Réflexions sur l’Abbé Pierre et sur la Shoah
January 27, 2007 on 9:39 pm | In réflexion sur l'Abbé Pierre | No CommentsRéflexions sur l’abbé Pierre et sur la Shoah.
(La Shoah est le nom hébreu donné à l’holocauste nazi qui a tué des millions de personnes, notamment juives mais pas uniquement, pendant le début de années quarante en Europe lors de la dernière guerre mondiale.)
Ce texte est une analyse qui aboutit à démontrer que si aujourd’hui on a en France, autant de sans domiciles, de cancers et de maladies graves, qui constituent le plus grand problème actuel de notre société française, c’est parce qu’on a fait le choix d’avoir des dents dévitalisées et de consommer des médicaments chimiques. Il me fallait bien au moins une quinzaine de pages pour y arriver, alors courage pour la lecture car le jeu en vaut la chandelle.
Comme le plupart des français, j’ai été touché d’apprendre fin janvier 2007, le décès de l’abbé Pierre pour qui j’avais beaucoup d’admiration et de sympathie pour son grand cœur comme la plupart de mes concitoyens. Un peu avant son décès, l’actualité avait parlé des « Justes », ces personnes qui ont protégé des juifs pendant la dernière guerre. Lorsque je vois des images de l’holocauste nazi, je suis toujours bouleversé aussi par cet épisode de l’histoire. D’autant plus peut-être que plus jeune, mon oncle me passait un plateau sur la tête avec dessus des herbes amères et d’autres choses, au moment de Pâques, pour se rappeler la sortie d’Egypte de mes ancêtres qui y étaient réduits à l’esclavage pour réaliser des édifices pharaoniques.
Ces deux faits de l’actualité m’amènent à développer une réflexion que je pense constructive et originale, mais somme toute assez brève par rapport à l’importance des sujets, c’est-à-dire, l’Abbé Pierre (et donc les sans logis) et la Shoah. Une réflexion que j’avais envie de vous faire partager ici car elle n’est pas hors sujet par rapport à ce site comme vous allez pouvoir le constater.
L’action de l’abbé Pierre et surtout le fait que malgré tant d’années, elle n’ait pas vraiment abouti à supprimer la présence de trop de personnes dormant encore dans la rue, reflète pour moi une grande confusion mentale dans la tête de nos politiques mais aussi dans celles de la majorité de mes concitoyens. Une confusion qui ne permet pas de voir les priorités essentielles que nous devrions avoir, dont celle de fournir à tous un toit. Une confusion qui fait que notre nation riche (enfin en apparence si on ne tient pas compte de la dette….) investit des sommes folles dans des domaines insensés. Car si nous n’avons pas les moyens de loger tout le monde, c’est aussi parce que certains budgets tels celui de la santé et de l’armée sont aujourd’hui démesurés. Un budget démesuré de l’armée traduit une peur démesurée de l’autre. Mais aussi l’ignorance que l’autre ne nous voudra du mal que s’il souffrira lui-même et qu’en fin de compte investir dans le bien-être de l’autre, c’est aussi investir dans la paix donc notre sécurité. Les milliards investis dans la lutte contre le terrorisme et l’armée seraient peut-être plus efficaces s’ils étaient investis dans la lutte contre la misère dans le monde et le développement d’une spiritualité qui enseigne l’intérêt de la non violence et d’aider son prochain. Mais si l’armée a toujours été un poste de dépense trop important, selon moi, le poste de dépense de la santé et son énormité est somme toute un cas assez nouveau dans l’histoire de la France, enfin du moins de ce que j’en sais. L’énormité des dépenses de santé traduit un état de maladie certes mais aussi une peur. Non pas la peur de l’autre mais la peur de nous même. La peur que nous ne puissions pas rester en bonne santé et qu’alors nous devions rechercher des solutions très onéreuses, complexes, synthétiques, chimiques, radiothérapiques, chimiothérapeutiques, etc…. pour retrouver la santé. Et cela associé à notre manque de spiritualité a abouti aujourd’hui dans la société occidentale à « la médecine des poisons », dont un texte de ce site détaille le sens et la perversité. Une médecine des poisons qui soigne certes et sauve des vies mais qui paradoxalement aussi fabrique des maladies très graves et en fin de compte coûte une fortune à la société. Le lien avec l’Abbé Pierre et son action est que le coût démesuré de la santé en France n’est pas indépendant du fait qu’aujourd’hui encore en France, des gens dorment dans la rue. Il est essentiel d’en prendre conscience car on ne peut prétendre vouloir défendre le bien sans accepter de s’attaquer au mal. C’est bien de crier à tue tête qu’il est scandaleux de laisser dormir des gens dans la rue. C’est bien d’expliquer aussi que si on ne gâchait pas tout l’argent de la collectivité dans des actions stupides, on aurait alors les moyens de loger tout le monde. Et le domaine de la santé me semble aujourd’hui être le champion toutes catégories pour les actions stupides. Pour ne citer qu’une action, je citerai le plan cancer que le dernier gouvernement a mis en place pour lutter contre le cancer. Un plan qu’on pourrait qualifier de pharaonique à la vue des dépenses effectuées. Mais surtout un plan dirigé par l’esprit de la médecine des poisons. Un esprit qui est l’esprit démoniaque par excellence selon moi. Démoniaque signifiant voulant détruire la vie, je le rappelle. Il sera difficile pour vous, cher lecteur, de le comprendre sans lire au préalable le texte de ce site intitulé « la médecine des poisons ». Il est inutile d’investir des sommes folles dans un projet si l’esprit qui guide ces choix n’est pas inspiré par l’esprit de la vie. Et l’esprit de la médecine des poisons s’est éloignée de la spiritualité, de la nature, du naturel et de son intelligence intrinsèque et ne pense qu’à détruire des expressions de la maladie pour soigner. Les milliards investis dans cet esprit, ne peuvent donc aller dans le bon sens et contribuent à fabriquer une civilisation d’handicapés. Et c’est d’ailleurs ce qui est déjà en train de se passer. Plus généralement, on pense souvent que la résolution de problèmes de société passe par un investissement financier toujours plus important. Et cela contribue à nous ruiner. Non, c’est faux. Dans bien des domaines de la société, il y aurait des solutions bien peu onéreuses pour résoudre bien des problèmes, que ce soit dans la justice ou dans la santé d’ailleurs qui sont aujourd’hui deux secteurs montrés du doigt comme des secteurs dysfonctionnant. Certaines sociétés n’acceptaient comme juge ou médecin que les personnes qui avaient aussi un niveau reconnu de spiritualité. Mais pour être encore plus concret, dans le domaine de la santé, certains thérapeutes qui ont intégré dans leurs pratiques, l’élimination des dents dévitalisées, la phytothérapie et aussi l’acupuncture par exemple, ont prouvé qu’on pouvait mieux redonner la santé ainsi que beaucoup d’autres techniques médicales et chirurgicales bien plus onéreuses. Regardez donc les vidéos de témoignages du site www.sante-dents.com pour vous en convaincre.
Analysons la Shoah maintenant.
Lors de cette période très sombre de notre histoire, peu de personnes se sont rendues compte du caractère démoniaque de ce qui se passait alors. La plupart des gens étaient même d’une certaine façon complices avec cette ignominie. Les quelques personnes qui ont agi pour sauver des juifs ont d’ailleurs été appelées ensuite des justes et elles étaient rares, très rares. Cet épisode sombre de notre histoire m’évoque le fait que lorsque que des forces démoniaques sont présentes, bien peu s’en aperçoivent. Car rares sont les personnes qui vont réfléchir par elles mêmes tandis que la plupart restent en accord avec la pensée académique du moment. Et moins encore ont le courage de s’y opposer. Ce n’est que bien plus tard que la nation dans sa majorité en prend conscience.
A l’époque, il était de bon ton de dénoncer des juifs. Une des premières actions du Conseil de l’Ordre français des médecins fut d’ailleurs d’interdire d’exercer tous les médecins juifs et de les dénoncer à la police de l’époque. Une action qui ne signifie pas, selon moi, que nos médecins étaient particulièrement antisémites, mais plutôt qu’ils n’étaient pas spécialement plus évolués que le reste de la population qui s’intéresse d’abord en majorité à acquérir des biens matériels. Non pas que vouloir acquérir des biens matériels soit une mauvaise chose, mais on ne peut le faire à n’importe quel prix et c’est là tout le problème. Et c’est encore le cas aujourd’hui puisque rien n’a vraiment changé dans l’esprit de leur recrutement ou de leur formation. Il s’agit toujours d’épreuves écrites faisant d’abord appel à la mémoire (des matières scientifiques ont toutefois été introduites depuis plusieurs années en première année) tandis que les cours de philosophie et de spiritualité n’ont toujours pas pénétrés l’enceinte de l’université de médecine par exemple. En dénonçant les médecins juifs, les médecins du Conseil de l’Ordre agissaient surtout, je le pense, comme l’auraient fait des commerçants voulant avant tout supprimer la concurrence tout simplement et non pas comme leur rôle officiel l’aurait dicté, protéger la population des charlatans. Une remarque qui est à mon sens riche d’enseignements pour aujourd’hui….quand on voit de la façon avec laquelle, je fus interdit d’exercer, ce qui a été aussi le cas de nombreux thérapeutes de médecines douces d’ailleurs.
A tous ceux qui pensent que ne pas oublier l’histoire est la clef du présent, je dirai aussi qu’il est toujours plus difficile d’agir contre le mal dans le présent que de s’émouvoir du mal fait dans le passé. Mais surtout qu’il est encore plus difficile d’apporter des solutions pour éviter que les erreurs du passé ne se reproduisent. Et qu’alors, il est intéressant de comprendre à fond pourquoi ce qui s’est passé, s’est passé justement. Dans la Shoah, on a certes en général tous entendu au moins une fois le témoignage des rescapés de l’horreur des camps de concentration mais pourtant ce qui m’aurait aussi intéressé est de pouvoir entendre le témoignage de leurs bourreaux nazis. Certes le procès de Nuremberg les a laissé s’exprimer mais c’était le témoignage d’un justiciable conseillé par son avocat qui lui avait dit quoi dire. Et ils ont dit alors qu’ils n’avaient fait qu’obéir aux ordres pour mieux se déresponsabiliser et tenter de sauver leur vie. Ce qui aurait été intéressant, eut été d’entendre leur vrai témoignage, celui enfoui au fond de leur cœur, celui qu’ils n’ont pas révélé à leurs juges de Nuremberg. Un témoignage qu’ils auraient éventuellement pu nous livrer plus tard, si nous ne les avions pas condamné à mort nous aussi…. Et donc si nous avions respecté le commandement « tu ne tueras point ». Alors ne pouvant l’obtenir, je ne peux que l’imaginer. Et lorsque je l’imagine et que je me penche aussi sur la connaissance de l’être, je ne peux imaginer autre chose que des individus pensant bien faire pour leur patrie, même s’ils étaient nazis. Des individus qui étaient convaincus qu’en tuant des juifs, ils débarrasseraient ainsi l’Europe d’une vermine qui pourrissaient leur nation voire la planète. Eh oui, l’enfer est pavé de bonnes intentions et je suis sûr que les nazis voulaient bien faire. Bien sûr il y avait aussi des salopards, comme toujours qui se foutaient de la cause et qui savaient bien qu’ainsi, ils récupéreraient surtout de l’argent et des biens immobiliers et qui aussi se défoulaient de leurs frustrations sur des boucs émissaires. Des salopards qui somme toute devaient faire moins de mal que les nazis sincères très organisés qui eux croyaient à leur cause et qui ont méthodiquement organisé l’holocauste très efficacement. Ils étaient de « braves » gens ces nazis selon leurs critères, mais des « braves » gens qui n’avaient pas de spiritualité et donc plus des fous que des braves gens en vérité. En tout cas, il n’avait pas la spiritualité de penser que tous les peuples constituent différentes parties d’une même entité vivante qui s’appelle l’humanité et que tous ont leur richesse à lui apporter. Pas une spiritualité non plus qui leur enseignait une loi divine qui dit « tu ne tueras point ». L’humanité est une entité vivante qui ne peut que souffrir si on tue une de ses parties. C’est comme chaque organe qui est une partie de l’entité organisme et a aussi sa raison d’être. Le peuple juif a visiblement joué assez longtemps le rôle de bouc émissaire pour l’humanité. Un rôle difficile, un des plus difficiles probablement. Un rôle qui pour bien se passer, nécessite que les autres soient heureux car sinon, c’est à vous qu’ils s’en prennent. Et c’est d’ailleurs ce qu’ont fait les allemands lorsque la crise économique est arrivée et qu’alors les juifs sont devenus leurs boucs émissaires. Et cela d’autant plus que la presse diffusait des ignominies à l’encontre de la secte juive comme ils disaient à l’époque. Ils sacrifiaient soit disant des enfants (un peu comme Abraham avait failli le faire d’ailleurs) et ils possédaient tout l’argent tandis que la population était soumise à une grave crise économique. La misère, terreau sur lequel toutes les dérives sont possibles, c’est bien connu, surtout quand elle est associée à l’ignorance et au manque de spiritualité.
Mais cela est du passé et il est au moins aussi important de s’en souvenir que de voir en quoi ce passé est aussi présent aujourd’hui sous une autre forme. Aujourd’hui, il existe aussi une entreprise de destruction massive de l’espèce humaine à travers la maladie. Elle s’appelle la médecine des poisons, et la dent dévitalisée en est probablement la partie la plus grave. Elle ne possède certes pas le caractère évidemment horrible de la Shoah, mais moi qui suis toujours à la recherche d’analogies instructives, je trouve aussi qu’elle est bien plus subtile à voir. En effet, avant de s’attaquer aux individus dans leur dimension humaine, comme le faisaient les nazis, elle s’attaque à leurs cellules bien plus petites. Elle est aussi bien plus subtile à comprendre, car les victimes ne meurent pas tout de suite après être passé entre les mains de leurs bourreaux en blouse blanche. Le lien de cause à effet est donc difficile à établir. Des bourreaux qui par ailleurs rendent aussi de multiples services à la population, ce qui les rend d’autant plus sympathiques et insoupçonnables. Eux même d’ailleurs ne se rendent pas compte des conséquences de leurs actes. Et là encore, comme les nazis le pensaient lorsqu’ils assassinaient des juifs, on pense que tuer une petite partie d’un tout, en l’occurrence une dent ou des enzymes, n’aura pas de conséquences fâcheuses sur l’harmonie du tout, ici l’organisme (voir « la médecine des poisons »). Mais au bout du compte, il n’est pas impossible qu’un jour avec une vision globale, on se rende compte que la destruction à petit feu de l’espèce humaine due à la dent dévitalisée et à la médecine de poisons plus généralement, n’ait rien à envier d’un point de vue démoniaque à la Shoah qui a tué des millions de personnes en les gazant. Ici ce ne sont pas des gaz toxiques mais des toxines et des inhibiteurs enzymatiques qui tuent à petit feu des millions de personnes après les avoir rendues malades. C’est difficile pour le lecteur de pouvoir croire que cet empoisonnement biochimique de l’organisme que représente la dent dévitalisée, ou de la médecine chimique, peut-être comparé aux meurtres en série de la Shoah, je le sais. A l’époque de la Shoah aussi, qui aurait cru que ces moyens de transports non violents qu’étaient les trains conduits par de gentils agent de la SNCF, qui emmenaient les juifs en Allemagne, aboutiraient dans des chambres à gaz et constitueraient donc les premiers maillons d’une gigantesque entreprise de meurtres en série. En plus, la presse de l’époque présentait le juif comme un être vil et pervers. Ce n’est que bien plus tard qu’on qualifia cette presse de propagande.
La réalité du moment est toujours plus difficile à discerner quand justement on baigne dans la conscience du moment. Ce n’est que bien plus tard, quand tout le monde est d’accord pour la reconnaître, qu’on se demande pourquoi si peu de personnes avaient alors pris conscience de l’horreur du moment. Et alors, on se dit : « Ah si j’avais vécu à l’époque, c’est sûr que j’aurais été un juste ». Mais rien n’est moins sûr en réalité, car aujourd’hui que faites vous concrètement qui prouverait que vous auriez fait partie des justes ? Bonne question n’est-ce pas ? Et pourtant aujourd’hui encore vous auriez l’occasion d’être un juste si vous commenciez par ouvrir les yeux avec un regard critique sur notre médecine et dentisterie actuelle et que vous décidiez d’agir. Mais il existe aussi d’autres bonnes causes, je ne prétends nullement défendre la seule bonne cause existante. Ici, vous pourriez agir au minimum en diffusant le texte « action humanitaire » de ce site et pour le reste je vous laisse imaginer car je n’ai pas à vous dire quoi faire. Au fond de vous, si vous cherchez, vous le savez. Quand on regarde attentivement les six heures de témoignages vidéo de guérison après élimination de dents dévitalisées, on peut au moins un peu se rendre compte que la vision analogique à la Shoah que j’ai donné dans ce texte avec notre système médico dentaire, n’est peut-être pas tout a fait délirante. En voyant les témoignages de guérisons évidentes, on peut comprendre en effet que la dent dévitalisée est souvent synonyme d’une vie de souffrances pour beaucoup de personnes. Et quand en plus (voir www.sante-dents.com) on sait qu’un éminent cancérologue, le Dr Issels, guérissait 37% de plus de cancers que ses collègues et faisait systématiquement enlever les dents dévitalisées, on peut comprendre que cette vie avec des dents dévitalisées se finit souvent par le cancer ou d’autres maladies très graves. En effet, la dent dévitalisée est très probablement une des premières causes de cancer, et de nombreux éléments pourraient confirmer cette hypothèse. Les allemands par exemple, ont un taux de cancer bien plus faible que les français, qui eux ont aussi plus de deux fois plus de dents dévitalisées que les allemands, comme par hasard. Les français ont le plus de dents dévitalisées d’Europe d’ailleurs, ce que je n’ai pu apprendre que par une enquête de terrain, il n’y a malheureusement pas de chiffres sur ce sujet. Eh bien comme par hasard, les français ont aussi le plus de cancers d’Europe. Voir le texte ici si vous ne me croyez pas. La maladie et le cancer qui est un problème gigantesque de nos sociétés occidentales est encore plus spécifiquement français.
De plus, des cancers très avancés ont disparus uniquement par l’élimination des dents dévitalisées sans aucun autre traitement. Je possède des documents vidéos de témoignage qui prouvent tout ce que je dis ici et le premier journaliste qui le demandera y aura accès. Et qui dit cancer, dit les épreuves que notre médecine fait endurer à ceux qui en sont atteints. Leurs cheveux tombent, les corps deviennent très amaigris à cause d’une chimiothérapie qui détruit le foie et les organes de l’assimilation de la nourriture. Une chimiothérapie que l’organisme voudrait rejeter par des vomissements. C’est vrai que parfois tous ces traitements très lourds à supporter sauvent aussi des vies, aussi paradoxal que cela puisse être. C’est la logique de la médecine des poisons que j’explique dans un autre texte. Une logique qui sauve parfois des vies certes mais laisse la plupart du temps les organismes dans un tel état de délabrement que bien souvent le handicap est le meilleur qualificatif pour caractériser leur état de vitalité résiduelle. Mais il semble qu’on ne sache pas faire autrement. C’est en tout cas ce qu’on a réussi à faire croire dans une des plus grandes manipulations mentales qui n’ait jamais existé pour mieux détruire la concurrence. Une manipulation mentale que notre société s’est elle-même appliquée en refusant de considérer qu’il pouvait y avoir une autre façon de soigner le cancer par exemple, que de tuer les méchantes cellules cancéreuses, imprégnée qu’elle était de dogmes darwinistes pseudo scientifiques qui eux aussi ne concevaient d’évolution des êtres vivants qu’en tuant ce qui les gênait. Une société qui a aussi refusé jusqu’à présent de considérer qu’il pouvait y avoir un danger vital à conserver des dents tout en les tuant et donc en introduisant des germes de mort dans l’organisme, les dents dévitalisées. Un choix somme toute logique lorsque la spiritualité s’éloigne des esprits puisqu’elle pourrait enseigner que tout est lié, que la vie engendre la vie et donc d’une certaine façon, que la meilleure façon de soigner n’est certainement pas d’y introduire de la mort ou d’essayer de détruire les réactions de l’organisme associées aux premières maladies dites bénignes en inhibant des enzymes vitales, ce que fait bien souvent notre médecine. Car alors les poisons qui causent les maladies bénignes pénètrent encore plus profondément dans notre organisme et fabriquent alors les maladies graves. Et cela, d’autant plus qu’il y aurait d’autres façons de soigner plus en accord avec le corps. Et tout est arrivé parce que nous n’avons pas suffisamment pris en considération certaines voix discordantes, qui essayaient de se faire entendre à des oreilles en manque d’ouverture d’esprit qui ne concevaient que la violence biologique pour lutter contre la maladie. Tuer des idées est en plus une pratique bien répandue aujourd’hui dans le monde médical avec l’aide du conseil de l’ordre, et des experts auprès des tribunaux. En général pour se faciliter la tâche on dit qu’elles proviennent d’une secte ou qu’elles représentent tout simplement un danger pur la population. Et alors il est plus facile de les enterrer dans ce contexte politiquement correct. Mais parfois s’en est même inutile tant la majorité des esprits sont ignorants et illusionnés par certains aspects de notre technologie médicale. On dit juste que ce sont des charlatans.
Et ma foi, je me demande si toutes ces épreuves de la maladie et notamment du cancer qui résultent de tous ces choix médicaux violents, ne valent pas un peu la déportation de mes ancêtres qui eux aussi finissaient leur existence dans un état famélique… Ne serait-ce que par les chiffres. En effet, sans même comptabiliser les diverses maladies graves, qui tuent autant que le cancer voire plus lorsqu’elles sont réunies, le cancer à lui seul a tué en France, ces dix dernières années environ l’équivalent de la moitié des morts de la première guerre mondiale. Et au rythme où les choses vont, les statisticiens prévoient qu’un français sur deux sera touché par le cancer durant sa vie. Toutes les maladies graves étant en augmentation d’environ 4% à 6% par an en moyenne. La maladie est donc devenue aujourd’hui le plus grand problème de société de notre pays. Elle est une guerre silencieuse qui tue autant qu’une guerre avec des armes conventionnelle. Notre pays est en guerre sans le savoir. Et je prétends que la principale cause de cet état catastrophique dans notre pays où on mange à sa faim, et où on bénéficie d’un certain confort matériel, est la dent dévitalisée principalement et de la médecine des poisons plus généralement. Cette médecine qui fait le choix de faire la guerre à la maladie (à ces enzymes, à ces cellules cancéreuses notamment) plutôt que d’aider l’organisme à retrouver la santé en aidant ses mécanismes d’auto guérison, ce qui est fondamentalement différent et est bien plus développé dans le texte sur « la médecine des poisons » présent sur ce site.
Les pays pauvres qui n’ont pas vraiment accès à notre médecine moderne ni aux dents dévitalisées ne connaissent pas en effet ce taux catastrophique de cancers et de maladies graves dégénératives. Ils ont d’autres problèmes certes bien souvent, surtout quand nous leur vendons nos armes, protégeons nous même leurs dictateurs pour garantir nos contrats de pillage et de poubellisation, importons leur production agricole pour nourrir notre bétail et cela après avoir tracés les contours de leurs pays avec une règle en partant après la colonisation (regardez un peu la carte de l’Afrique noire et vous comprendrez) ….. Et parfois en plus, ils commencent aussi a avoir aussi nos problèmes quand, parait-il, nous leur vendons nos sodas sucrés, vaccinons leurs enfants et leur fournissons charitablement nos médicaments chimiques….
L’exemple de certains autres pays précis dont la population est relativement pauvre mais en bonne santé globalement, serait aussi très instructif. Des pays qui ne connaissent pas la famine, mais qui ne sont pas suffisamment riches en devises, pour avoir importé des médicaments modernes chimiques et du coca-cola notamment, du moins en grande quantité et qui n’ont pas trop été sabotés, du moins au vingtième siècle, par un colonialisme plus que discutable. Des pays qui ont conservé leur médecine traditionnelle basée sur la phytothérapie. Je pense à Cuba par exemple dont la population est étonnement en bonne santé. Cuba est un exemple d’autant plus intéressant que ce pays a subi un embargo de la part des pays occidentalisés, notamment des Etats-Unis, des pays possédant bien sûr la médecine chimique moderne allopathique. Cuba a donc été privé depuis 1962 des médicaments modernes allopathiques et a été forcé par conséquent d’une certaine façon à conserver sa médecine traditionnelle à base de plante médicinales principalement. Et voilà le résultat après plus d’une quarantaine d’années d’embargo que dernièrement le président américain Obama veut supprimer avec la meilleure intention du monde, c’est sûr. Selon les autorités sanitaires de Cuba, sur 11,2 millions d’habitants l’île compterait plus de 3000 centenaires et 1,6 million de personnes de plus de 60 ans. Cuba cultive cette particularité : elle veut que l’espérance de vie atteigne 80 ans d’ici moins de dix ans, peut-être parce que Fidel Castro lui-même a cet âge. Un Club des 120 ans a même été créé par le Dr Eugenio Selman-Housein, le médecin personnel de Castro. Première réalisation marquante du Club des 120 ans, une enquête dirigée par le docteur Nancy Nepomucemo sur les centenaires, et le secret de leur longévité mais aussi de leur vitalité. Il n’ont pas mal au dos et conserve une activité sexuelle. Ce qui est rigolo est que ce médecin pense que la longévité et la vitalité des cubains est surtout due à leur régime alimentaire. Il n’a lui-même pas conscience que c’est surtout parce que les cubains n’ont pas les moyens d’avoir accès à la médecine chimique moderne qui comprend les dents dévitalisées par conséquent, et que leurs enfants n’ont pas les moyens de manger des sucreries, de boire des sodas américains, ni de manger la bonne viande américaine pleine d’hormones qui fait grossir le bétail (c’est probablement ça qui fabrique des obèses aux Etats-Unis).
« Les soins dentaires et la dentition des enfants cubains fait plaisir à voir » disait Jean-Claude Rennwald, Vice-président de l’Union syndicale suisse (USS). Député socialiste au Conseil national. Membre de la Commission de politique extérieure, à Courrendlin, le 16 août 2003 (cf.internet). Il avait sûrement du être étonné par les bons alignements dentaires des petits cubains, ce qui signifie que leurs géniteurs n’avaient pas de dents dévitalisées alors que les petits européens ont souvent les dents tordues. Mais Cuba qui commence à s’enrichir, et accéder à la dévitalisation dentaire et à la médecine moderne depuis quelques temps, voit aussi son taux de cancer grimper depuis et cela commence eux aussi à les préoccuper. Parfois, il vaut mieux rester un peu pauvre quand on a manque de conscience ….
C’est aussi le cas en quelque sorte des pauvres aux Etats-Unis car les soins dentaires y sont très chers et les médicaments chimiques non remboursés s’ils n’ont pas de bonnes assurances privées. Les pauvres n’ont donc pas les moyens de se faire dévitaliser des dents (et donc ils se les font extraire plutôt), ni de consommer trop de médicaments chimiques. Ils ont bizarrement bien moins de cancers et de maladies cardiovasculaire comme en atteste cette étude scientifique référencée sur MedLine (site américain de publications scientifiques médicales) effectuée sur la population hispanique immigrée aux Etats-Unis. Une population qui fait partie des pauvres aux Etats-Unis.
Am J Public Health. 1987 May;77(5):603-6
• Mortality differentials among persons born in Cuba, Mexico, and Puerto Rico residing in the United States, 1979-81.
• Rosenwaike I.
This paper examines the mortality experience in 1979-81 of three first generation Hispanic subpopulations in the United States, as defined by area of birth (Cuba, Mexico, Puerto Rico). Numerators were derived from National Center for Health Statistics (NCHS) mortality tapes, which included codes for selected places of birth appearing on the death certificate. Denominators were based on decennial census data for these migrant populations from the 1980 census. Generally, mortality is relatively high among Cuban-born, Mexican-born and Puerto Rican-born adolescents and young adults, particularly males, largely due to violent deaths. Aged migrants, despite their disadvantaged socioeconomic status, exhibit relatively low death rates from heart disease and cancer.
PMID: 3565656 [PubMed - indexed for MEDLINE]
Je traduis juste la dernière phrase sur la mortalité de migrants hispaniques (les pauvres des Etats-Unis en quelque sorte).
« Les migrants âgés, malgré le désavantage de leur statut socioéconomique présentent un taux relativement bas de maladies cardiaques et de cancer ».
Une observation statistique que mes explications sur l’absence de dents dévitalisées et de consommation de médicaments chimiques me semblent, jusqu’à preuve du contraire, très réalistes.
Je pense aussi au cas de l’Inde, le berceau de l’Ayurvéda et du végétarisme. Je regardais un reportage l’année dernière sur l’Inde sur la « cinq » la chaîne de télévision française. Il y avait un grand rassemblement de religieux (donc de végétariens) nommé la grande Kumbamela qui se produit tous les dix ans et qui rassemblaient environ 30 millions de personnes pendant quelques jours. Une équipe médicale était autour de cet évènement extraordinaire et elle n’était pas du tout débordée malgré qu’elle ne soit constituée que d’une trentaine ou quarantaine de médecins. Un médecin pour environ un million d’indiens végétariens religieux et ça suffisait amplement selon le reportage. Ce serait totalement surréaliste pour la France. Il faudrait au moins mille fois plus de médecins pour un tel rassemblement….
Ces quelques exemples nous font fortement présupposer que lorsqu’on est un peu pauvre, en tout cas suffisamment pour ne pas avoir les moyens d’avoir des dents dévitalisées et d’avoir trop recours aux onéreux médicaments chimiques, mais pas trop pauvre toutefois, c’est-à-dire ne pas mourir de faim et avoir un toit, alors on a moins de maladies en général surtout lorsqu’on est âgé. On a en particulier moins de cancers et de maladies cardiaques que les riches qui eux ont les moyens d’avoir des dents dévitalisées et de s’acheter des médicaments chimiques.
Et qu’on ne nous dise plus que si nous avons autant de cancers et de maladies graves en France, c’est parce que nous vivons plus vieux qu’avant grâce à notre médecine moderne. C’est d’ailleurs probablement faux, et un grand professeur va d’ailleurs le confirmer un peu plus loin dans ce texte. Certains chiffres officieux observent en plus une diminution de l’espérance de vie en France depuis quelques temps. Et même si c’était vrai, il faudrait surtout rajouter que c’est parce que les gens ont été soignés par la médecine des poisons qui en fait des vieillards handicapés prématurément même s’ils restent toujours en vie. Non vraiment, ça suffit d’entendre ces bêtises de médecins, qui voudraient nous empêcher de nous rendre compte qu’il existe un problème gigantesque de santé publique en France. Un problème qui fait, on le sait bien, leur fond de commerce et donc qui ne les intéresse pas vraiment, surtout si cela remet en question leur médecine et cela même si certains services hospitaliers commencent à s’en inquiéter. Ils s’en inquiètent car ils voudraient encore des moyens supplémentaires en évitant soigneusement de se poser les vraies questions. Non vraiment, ça suffit de prendre nos personnes âgées comme alibi à notre démence médicale. Des personnes âgées qui en plus n’ont pas été soumises aux médicaments chimiques pendant leur enfance, et qui n’ont pas eu de dents dévitalisées non plus pendant leur jeunesse, ni de vaccins. Les vieillards que notre médecine moderne nous exhibe aujourd’hui sont très trompeurs et il est plus que probable que les jeunes d’aujourd’hui qui ont des dents dévitalisées et prennent des médicaments chimiques, ne feront pas de vieux os si nous ne faisons rien qui aille rapidement dans le bon sens. Ou bien ils feront peut-être de vieux os mais qui auront juste la force d’ouvrir la bouche pour prendre leurs médicaments et être maternés comme des bébés impotents en étant maintenus en vie par des machines dans des salles climatisées car au moindre chaud ou froid, ils n’y survivraient pas. C’est d’ailleurs ce qui commence à se passer aujourd’hui. Quelle perspective réjouissante….. Cela n’est pas la santé. Une santé se construit surtout durant les premières années de la vie et elle détermine ensuite un état de robustesse pour le reste de la vie. Elle s’entretient ou se restaure par la nature et non par les poisons. Et les dents dévitalisées et la chimie médicale détruisent cette robustesse même s’ils peuvent supprimer des souffrances j’en conviens mais cela pourraient aussi l’être autrement. C’est ce qu’on comprendra quand enfin on s’intéressera au sujet des médecines naturelles, aux médecines en accord avec le corps comme je préfère dire de façon plus large.
Voici maintenant les éléments fournis par un éminent professeur sur ce sujet.
Jean de Kervasdoué, ancien directeur des hopitaux , professeur au CNAM écrivait un article fort intéressant dans le journal « le Monde » du samedi 27 janvier 2007 qui va tout à fait dans le sens de démontrer que la France est une exception médicale mondiale tant elle est médicalisée. Voici quelques éléments repris textuellement de son article.
« Il n’y a jamais eu autant de médecins en France qu’aujourd’hui : 3,4 médecins par milliers d’habitants en France en 2005….Or aujourd’hui il y en a deux au Japon (le pays où on vit le plus vieux du monde), 2,1 au Canada…et 2,4 aux Etats-Unis….Le vieillissement de la population. Il serait la cause première et inéluctable de la croissance des dépenses de soins. Cette idée, répétée chaque jour comme une évidence est fausse…. De nouvelles études nationales et internationales le confirment……Le japon dont la population est âgée dépense 2% du PIB (37 milliards d’euros) de moins que la France pour la santé… Les français sont plus souvent hospitalisés que la moyenne des pays riches de riches. 251 hospitalisations pour 1000 habitants en France en 2002, 161 dans les pays de l’OCDE….Enfin, si la France n’a pas le record des dépenses de médicaments (elle vient en seconde position après les Etats-Unis) elle a le record des prescriptions et dépenses de plus de 300 dollars de plus par an et par habitants que les néerlandais. »
Voilà donc le constat que fait Monsieur Kervasdoué sans vraiment à mon sens en comprendre l’explication, si ce n’est qu’il insiste sur le fait que la corporation médicale ne s’intéresse pas vraiment à rechercher les causes de cette exception française, puisque ça les arrange et « leur permet de bénéficier d’augmentations substantielles de leur revenu imposable ». Un constat qui montre en tout cas en terme d’hospitalisation et de dépenses de santé, qu’en France, on est en moyenne a peu près une et demi à deux fois plus malade qu’ailleurs dans le monde. Exception partielle toutefois sur avec les Etats-Unis qui détient le record de dépenses des médicaments, un privilège des riches qui ont une bonne assurance privée. La nourriture aux Etats-Unis me semble un gros problème encore plus qu’en Europe notamment avec la viande aux hormones autorisée aux Etats-Unis et non autorisée en Europe par exemple ainsi que d’autres choses encore… Mais en comparant ce qui est comparable, c’est-à-dire en Europe, les français sont les champions toutes catégories de la maladie.
L’explication principale est à mon sens, tout d’abord que les français ont le plus de dents dévitalisées du monde, même s’il n’existe pas de chiffre qui peuvent vraiment le démonter puisque l’acte de dévitalisation n’a pas une cotation sécurité sociale particulière. Elle est incluse dans les soins conservateurs, c’est-à-dire les soins de la carie en général. Seule une enquête de terrain que j’ai effectuée en récoltant des témoignages fiables sur la quantité de dents dévitalisées en Angleterre, en Suisse, en Allemagne et en Italie par exemple, me permet de l’affirmer. L’autre raison a cet état déplorable de santé des français est d’autre part que c’est la France qui a fait le plus la chasse aux médecines naturelles (et aux sectes qui souvent en font la promotion) grâce à un code de la santé extrêmement répressif vis-à-vis de l’exercice illégal de la médecine appliqué par des juges d’une médiocrité consternante. L’affaire d’Outreau a peut-être eu le mérite d’en faire un peu prendre conscience. Ce ne sont pas des personnes spécialement bêtes j’en conviens en fait mais leurs capacités est dans la moyenne des français et non de personnes particulièrement plus intelligentes et conscientes que la moyenne de la population comme la fonction suprême même du jugement l’aurait nécessitée. Il serait intéressant et salutaire pour notre nation de revoir leurs critères de recrutement. Les français faute d’avoir vraiment le choix, consomment donc le plus d’une médecine aux effets secondaires redoutables, que je nomme la médecine des poisons. Ces deux raisons étant bien sûr liées et liées aussi au fait que les français sont maintenus dans un état d’hypnose collective par des médias qui mettent nos médecins et nos dentistes sur un piédestal en les présentant comme les sauveurs de notre civilisation alors qu’en fait dans la réalité ce pourrait bien être exactement le contraire. Et cela même s’ils n’en sont pas conscients et donc qu’il est inutile de leur en vouloir, je le rappelle et le rappellerai toujours. Et cela d’autant plus que nos médecins et nos dentistes rendent aussi des services inestimables à la population, sauvent de multiples vies que personne d’autre ne pourrait faire. Donc, on ne peut se passer d’eux, c’est une évidence. C’est là tout le paradoxe. Inutile donc de nous déresponsabiliser car nous sommes tous collectivement responsables de cet état de fait.
Les problèmes de santé actuellement en France sont donc notre nouveau fléau de civilisation. Un fléau qui n’a donc rien vraiment à envier à celui du nazisme d’un point de vue de l’atteinte à la vie d’une certaine façon, même si ici c’est une atteinte à la biologie plus exactement. Et dans cette histoire aussi, les justes sont extrêmement rares et je sais que j’en fais partie, au risque de vous paraître prétentieux, mais c’est ainsi. Un juste contre lesquels des salopards s.d.f. (sans difficultés financières) du Conseil de l’Ordre des dentistes se sont ligués pour détruire une vie professionnelle, la mienne en l’occurrence, qui les dérangeait. Et non pas un dentiste dément comme ils ont voulu le faire croire. Un dément qui mutilerait des patients en leur enlevant de bonnes dents dévitalisées (avec leur consentement toutefois) en leur faisant croire que cela serait bon pour la santé. Car un dément ne peut pas guérir des centaines de cas médicaux complexes qui avaient résistés à tous les traitements médicaux possibles et éviter de multiples opérations chirurgicales. Une centaine de tels cas est d’ailleurs mise en vidéos sur www.sante-dents.com.
Mais pour toute cette histoire démente de dent dévitalisée et de médecine des poisons, il me semble que ce sera encore plus difficile à comprendre pour notre société que l’histoire du nazisme. Car ici en plus les victimes remercient leurs bourreaux en blouse blanche de leur avoir sauvé leur dent en la dévitalisant ou de leur avoir arrêté leurs douleurs avec leurs antalgiques et leurs anti-inflammatoires chimiques modernes. Et les bourreaux eux-mêmes vont se coucher avec la conscience tranquille d’avoir sauvé des dents que leurs confrères dentistes auraient jadis du extraire et d’avoir supprimé des douleurs bien plus facilement et rapidement que leurs confrères médecins jadis n’auraient pu le faire avec leurs plantes. Et tout cela se fait dans une apparente non violence consentante que je qualifie personnellement plutôt d’hystérie collective. Une hystérie vis-à-vis de laquelle la presse aujourd’hui est presque unanimement complice quand elle nous présente sans le moindre doute notre médecine moderne comme le nec plus ultra de notre civilisation en omettant bien de parler de l’existence de tous un tas de courants alternatifs qui remettent en question la pensée académique médicale. Des courants qui remettent par exemple en question nombre de pratiques médicales comme une certaine diététique conseillée par la médecine, les vaccinations, la disparition des herboristeries, et les attaques contre la phytothérapie, la cancérologie moderne, les médicaments allopathiques en général, les amalgames dentaires, et les dents dévitalisées par exemple. Une presse qu’on qualifiera peut-être un jour aussi de propagande. Une presse qui fait une publicité sans précédent aux thérapeutes de la médecine des poisons en les mettant sur un piédestal comme s’ils représentaient les détenteurs d’un savoir d’une valeur immense. Une presse qui conditionne bien la population à ne croire que leur santé ne peut se préserver ou se retrouver que dans une boite de médicaments ou par une injection. Il est très probable d’ailleurs que les journalistes de cette presse sont sincères, comme le sont aussi d’ailleurs les thérapeutes de la médecine des poisons. Et c’est bien pourquoi on ne peut leur en vouloir. Mais à eux aussi, ces thérapeutes et cette presse, c’est sûr, il leur manque une petite case. Une case de spiritualité, qui ne leur permet pas de se rendre compte qu’est trahit ici une partie du serment d’Hippocrate que les médecins et les dentistes récitent lors de leur thèse « Premièrement, ne pas nuire ». Et d’une certaine façon, qu’on n’obéit pas non plus à une loi divine qui dit « tu ne tueras point » même s’il s’agit de tuer une dent ou des enzymes de l’organisme. Les conséquences de cette désobéissance sont immenses et on n’a pas fini de les mesurer, je vous assure. La dent morte ou dévitalisée et l’utilisation des médicaments de synthèse inhibiteurs enzymatiques (antalgique, anti-inflammatoire notamment) sont aujourd’hui si répandues dans la population qu’elles en deviennent des armes de destruction massive de la population occidentale. Ridicule donc d’aller en chercher d’autres à l’étranger tant que nous ne nous serons pas débarrassés des nôtres. Quelle ironie en tout cas, de penser que ceux qui seraient censés nous soigner pourraient bien être, et sans vraiment le savoir, ceux qui pourraient le plus causer notre perte. L’orgueil, la culpabilité et les avantages financiers qu’ils en retirent, les empêchant bien sûr de le reconnaître même lorsqu’ils pourraient en prendre conscience ?
Et si c’était vrai tout ça…. Je précise car je pense que peu d’entre vous qui liront ce texte croiront vraiment ce qui est écrit ici.
Lorsque des gens réchappaient des camps de la mort nazis et racontaient ce qu’ils avaient vécu ensuite en revenant chez eux, on ne les croyait pas en général. C’était trop énorme pour être vrai. Il a fallu que des journalistes aillent filmer à la fin de la guerre ces horreurs inhumaines, pour que grâce aux images ramenées, le public prennent enfin conscience véritablement de ce qui s’était passé. Mais, parfois les images sont aussi les meilleurs outils de la manipulation mentale. Un beau sourire par exemple, peut cacher un cimetière de cadavres putrides (aussi appelés dents dévitalisées) sous de belles couronnes en céramique. Une opération chirurgicale spectaculaire impressionnera le public et fera aduler un chirurgien par ailleurs adepte de la médecine des poisons, alors que son opération n’aura qu’un intérêt anecdotique et que sa médecine ne peut en rien amener des solutions à la gigantesque problématique actuelle de santé publique. En plus, en enlevant une seule dent dévitalisée on peut parfois éviter une greffe d’organe par exemple. Ah les images…..
C’est bien pourquoi, je me suis décarcassé à vous apporter des images moi aussi. J’ai filmé une centaine de mes patients pendant environ six heures. Des patients témoignant de guérisons plus incroyables les unes que les autres après avoir enlevé des dents dévitalisées. Une goutte d’eau dans l’océan c’est vrai, mais regardez au moins les vidéos de témoignages de guérison du site www.sante-dents.com et vous verrez que tout ce que je raconte dans ce texte pourrait bien être très censé…. Je sais bien que tout ce que j’ai raconté dans ce texte est très difficile à croire, bien que je sois déjà d’une certaine façon en mesure de le prouver à une commission de scientifiques honnêtes.
Voici maintenant un texte allant aussi dans ce sens. Un texte qui parle du système de santé américain mais qui est très bien adapté aussi au système de santé français. Ce texte a été repris sur le site du Dr Tal Schaller, un médecin holistique hors norme, lui aussi persécuté, qui a aussi compris beaucoup de choses sur la santé. Mais visiblement il n’est pas encore au courant à ce jour (fin janvier 2007) que la dent dévitalisée est un important poison de l’organisme et que son élimination est souvent une des mesures les plus efficaces qui soit pour retrouver la santé. Voici donc le texte.
Gary Null, un célèbre new-yorkais, défenseur de la santé pour tous, a publié un livre révolutionnaire (Deathly Medecine) qui montre qu’une étude soignée des statistiques officielles américaines permet de conclure que la médecine américaine fait plus de mal que de bien à la population ! Le nombre des personnes qui ont souffert d’effets secondaires dus aux médicaments pendant leur séjour à l’hôpital s’élève à 2,2 millions. Des dizaines de millions d’antibiotiques sont prescrits sans que cela soit utile ou nécessaire, le nombre d’interventions chirurgicales ou médicales inutiles s’élève à 7,5 millions par an, le nombre d’hospitalisations inutiles est évalué à 8,9 millions. Le nombre de personnes qui sont mortes à cause d’interventions ou de traitements médicaux s’élève, en 2001, à 783.936. Pour la même année, les maladies cardiovasculaires ont tué 699.697 personnes et le cancer 553.251. Il est donc évident pour l’auteur que le système médical américain est devenu la cause principale de mortalité dans ce pays. Il montre que dans les dix années écoulées, la médecine américaine a tué 7.8 millions de gens, soit plus que toutes les guerres auxquelles a participé le peuple américain dans toute son histoire !
La médecine américaine consomme 14 % du produit National Brut (soit 1.6 milliards de dollars en 2003). Avec de telles sommes, elle devrait être la meilleure médecine du monde. Or c’est tout le contraire qui s’est produit parce qu’au lieu d’informer, d’éduquer et de montrer au public comment vivre en bonne santé, la médecine s’est développée uniquement dans la poursuite de traitements chimiques et chirurgicaux qui coûtent très cher sans améliorer la santé collective globale. En considérant que seulement de 5 à 20 % des cas de maladies iatrogéniques sont reportés, le taux de mortalité annuelle due à la médecine est certainement beaucoup plus élevé que le chiffre de 783.936 cité ci-dessus, chiffre qui correspond néanmoins à la chute de six avions jumbos tombant du ciel chaque jour de l’année !
Gary Null conclut : « Quand le tueur numéro un dans une société est le système de santé lui-même, il n’y a aucune excuse pour refuser de repenser ce système. Il s’agit d’un système en faillite qui demande une attention immédiate. »
Mais les chiffres de cet américain Gary Null oublient malheureusement de mettre en évidence l’incidence gigantesque de la dévitalisation dentaire sur les maladies graves et la mortalité. Une incidence qui à mon sens dépasse tout le reste car la dent dévitalisée constitue le poison des poisons de la médecine des poisons. Bien peu de chiffres permettraient de mettre en évidence l’incidence morbide de la dévitalisation dentaire, qui est dominante sur le reste de notre médecine moderne, même si en France il en existe certains par lesquels je finirai cet article. Mais avant je voulais vous parler de plusieurs témoignages édifiants que j’ai recueillis et qui vont tout à fait dans ce sens.
Lorsque je suis allé visité la seule clinique médicale d’Europe (à ma connaissance) en Suisse allemande, à Lusthmülhle dans le canton d’Appenzell, qui propose à tous ses patients d’enlever toutes leurs dents dévitalisées, j’ai recueilli oralement un témoignage fort intéressant. Cette clinique est spécialisée dans les traitements de médecine douce. Elle prescrit des plantes, des médicaments ayurvédique, de l’homéopathie, emploie un ostéopathe, un acupuncteur, des psychothérapeutes qui appliquent les nouveaux enseignements du Dr Hamer notamment. Les médecins injectent des produits du laboratoire Sanum qui sont connus comme étant très respectueux de la biologie, et faits à partir de microorganismes. Elle dispose de diverses machines de médecine naturelles : des saunas à infrarouges, des générateurs d’ondes magnétiques pulsées, des générateurs d’orgone, un microscope à fond noir pour le diagnostic. Les médecins utilisent pour le diagnostic la kinésiologie et d’autres techniques. Bref au niveau médecine naturelle, cette clinique semble être très bien équipée. Mais aussi et surtout, la clinique emploi plusieurs dentistes qui avec l’accord des médecins, enlèvent les dents dévitalisées et les amalgames dentaires. Cette clinique est connu dans un milieu très huppé pour guérir ce que personne ne sait guérir semble-t-il et avec des médecines douces. Le peu de temps que j’y ai passé, j’ai d’ailleurs vu quelques personnalités de la jet set du monde entier y passer. Le canton où se trouve la clinique est aussi le canton de Suisse qui a le moins de dépense de santé de la Suisse, j’en ai parlé dans le site www.santé-dents.com en mettant le tableau officiel des dépenses de santé de la Suisse. Et voici ce que m’a confié le médecin directeur de la clinique, le Dr Thomas RAU qui à l’époque avait du voir passer dans sa clinique environ 18 000 patients depuis 13 années. « Dans les pathologies graves, si on ne fait pas enlever les dents dévitalisées, toutes les autres techniques que nous employons ici sont négligeables ». Intéressant comme aveu d’un médecin qui lui-même n’enlève pas les dents dévitalisées. Voici encore un autre témoignage intéressant.
Le Dr J.G. Thomas médecin à Grasse, est connu pour conseiller depuis une quarantaine d’années à tous ses patients d’enlever toutes leurs dents dévitalisées. C’est la bête noire des dentistes dans le département. Si le Conseil de l’Ordre des dentistes avaient pu le faire interdire d’exercer aujourd’hui, il l’aurait bien volontiers fait, mais voilà il n’est pas dentiste et les dentistes du conseil de l’ordre des dentistes n’ont pas vraiment de prise sur lui. Evidemment, ça ne leur serait pas venu à l’idée de s’intéresser à l’espoir médical gigantesque que sa pratique originale suscitait. Et ce n’est pas faute de temps, car ils connaissaient son exercice original, comme celui du dentiste cannois, feu le Dr davo Koubi, depuis un demi siècle environ. Le conseil de l’Ordre des médecins est moins sensible à ce sujet de dents dévitalisées, car ça ne lui mange pas de pain….alors ma foi, ils n’ont pas vraiment embêté le Dr Thomas même s’il l’ont fait un peu pour faire plaisir à leurs confrères de l’ordre des dentistes mais sans trop de motivation toutefois. Eux non plus d’ailleurs, ça ne leur serait pas venu à l’idée de s’intéresser à l’espoir médical gigantesque que cette pratique originale suscitait. Le jour où cette histoire va être déballé sur la place publique, je crois que l’affaire du sang contaminé par le sida, ressemblera à une peccadille à côté…. Ce sera aussi très instructif.
En effet, le Dr J.G. Thomas est aussi connu pour arriver à guérir des affections soi disant inguérissables et des patients viennent des quatre coins de France pour cela. Et voici ce qu’il m’a témoigné un jour. Il m’a dit que s’il ne faisait pas enlever les dents dévitalisées, ses traitements fonctionnaient dix fois moins. Voici encore un autre de ses témoignages. Son père était médecin et à l’époque, c’était aussi les médecins généralistes qui soignait les dents, enfin plutôt les enlevaient quand elle faisaient mal. Il n’y avait de dentistes que dans les grandes villes. Mais petit à petit le nombre de dentistes augmenta et un jour un jeune dentiste s’installa dans son petit bourg. Logiquement alors, les patients qui souffraient des dents allèrent bien sûr voir le dentiste, c’est normal. D’autant plus que le dentiste sauvait bien plus de dents que le médecin qui n’avait comme outil que le davier, c’est-à-dire la pince pour arracher les dents. Mais dans la panoplie du jeune dentiste, il n’y avait pas seulement les fraises pour soigner les caries sur dents vivantes, il y avait aussi la panoplie de thanatopracteur c’est-à-dire tout ce qu’il fallait pour dévitaliser les dents. Eh bien au bout de quelques temps, et selon le père du Dr J.G. Thomas, ce fut net comme changement, tous les médecins du bourg furent débordés de malades. On pourrait penser que les dentistes en « plombant » les dents à l’amalgame de mercure font autant de mal qu’en les dévitalisant. C’est d’ailleurs ce que pensent certaines personnes qui défendent le fait que le plus gros problème vient surtout de l’amalgame au mercure. Moi-même avant d’être au courant du problème des dents dévitalisées, j’ai enlevé pendant environ cinq années uniquement les amalgames au mercure de mes patients. J’ai obtenu des guérisons intéressantes je dois l’avouer et même sans enlever les dents dévitalisées. Mais enlever les dents dévitalisées m’a ensuite permis pendant les dix années suivantes d’en obtenir d’encore plus étonnantes. Evidemment, j’enlevais amalgames et dents dévitalisées pendant ces dix années. Un jour j’ai interrogé le Dr Davo KOUBI sur ce qu’il pensait des amalgames dentaires. Feu, le Dr Davo KOUBI était connu dans les Alpes Maritimes pour guérir bien des affections en enlevant les dents dévitalisées. Le Conseil de l’Ordre ne l’avait pas vraiment embêté non plus car c’était l’époque du manque de dentistes donc il y avait tellement de travail, qu’un dentiste original qui prenait des patients à ses confrères, ça ne mangeait pas de pain non plus…. Eh bien le Dr Koubi m’a avoué qu’il ne s’intéressait pas vraiment à enlever les amalgames au mercure, sauf peut-être semble-t-il un peu sur la fin de sa carrière. Et pourtant il a guéri à lui seul un nombre impressionnant de maladies graves, bien plus que jamais personne n’en a guéri en enlevant des amalgames au mercure. Ce qui n’a d’ailleurs intéressé ni les médecins ni les dentistes du département à part quelques rares exceptions, dont fait partie le Dr Thomas qui lui envoyait tous ses patients.
Dans l’histoire de la dévitalisation dentaire, il y a quelques dates sombres pour la santé publique en rapport avec la dévitalisation dentaire. Lorsque la sécurité sociale est apparue grâce au front populaire avant la dernière guerre, les soins dentaires ont été remboursés, et donc la dévitalisation aussi dès le début, je crois bien. Cela aurait très bien pu ne pas être, car la Suisse par exemple rembourse actuellement les soins médicaux mais pas les soins dentaires par exemple, qu’elle estime donc d’une certaine façon être moins essentiels. Les Suisses ont donc moins de dents dévitalisées. Ils sont aussi bien moins malades que les français comme par hasard. Mais au début de la sécurité sociale française, cette dernière ne remboursait pas les couronnes dentaires. Dans le début des années cinquante, en 52 ou 53 selon mes sources, la sécurité sociale, s’est mise aussi à rembourser les couronnes dentaires, et là comme vous allez le voir, des choses terribles pour la santé publique ont commencé.
Ah ! la couronne dentaire. Si la carie est le pain quotidien du dentiste, la couronne dentaire est son gâteau quotidien sans l’ombre d’un doute. Et cela d’autant plus que si les tarifs conventionnés sont bloqués pour les soins, ils sont libres depuis toujours pour les prothèses donc les couronnes dentaires. Mais quel rapport avec les dents dévitalisées me direz-vous ? Et bien il se trouve qu’une dent dévitalisée devient cassante avec le temps et donc que pour lui éviter de casser, le mieux est de la couronner. Et tout bon dentiste qui se respecte et qui veut sauver les dents de son patient comme sa fonction le lui dicte, s’empresse bien de préciser à son patient, qui vient de subir une dévitalisation que maintenant il faut couronner la dent sinon elle risque de casser et qu’alors il faudra l’extraire. A en croire presque que ce serait une urgence. Je crois que tous les patients qui ont vécu une dévitalisation dentaire en France pourraient le témoigner…Il est certes vrai qu’après une dévitalisation dentaire la dent risquera de casser dans le futur mais cela n’a rien d’une urgence en fait. C’est surtout que ça arrange bien les finances du cabinet dentaire, soit dit en passant et que le dentiste serait un peu contrarié que ce soit un jour un autre praticien qui couronne les dents qu’il s’est décarcassé à dévitaliser pour pas cher…. Moi-même faisais exactement la même chose avant de prendre conscience qu’il valait mieux extraire les dents dévitalisées en fait. Et cela se comprend, car les soins en France qui sont bloqués sont terriblement peu rentables. La rentabilité de la dévitalisation dentaire comme de tous les soins n’est pas mirobolante à priori. La rentabilité de la couronne dentaire par contre est environ de l’ordre de deux à trois fois plus, surtout si la couronne est en céramique. Et comme la couronne est la suite logique de la dévitalisation, cette dernière devient donc très rentable à posteriori. Les dentistes sont incités financièrement à dévitaliser les dents quand ils savent que les patients feront alors à coup sûr une couronne ensuite, surtout si elle est en céramique…. Cela n’est bien sûr pas bien mais trop de dentistes le font parce qu’ils n’ont pas conscience qu’ainsi ils empoisonnent leurs patients puisque les concepts de dent dévitalisée générateurs de maladies ne sont pas enseignées en Université. J’ai même parfois entendu des raisonnements délirants qui me soutenaient qu’en dévitalisant une dent c’était mieux que de la laisser vivante car on était sûr que dans le futur elle ne ferait pas mal puisqu’elle n’avait plus de nerf. Je connais des histoires terribles qui prouvent la bonne foi de mes confrères inconscients. J’étais jeune dentiste et travaillais en Bourgogne dans un centre mutualiste. Un jeune dentiste est arrivé à peu près en même temps et est devenu bon copain avec la secrétaire du centre mutualiste, à tel point qu’il l’a soignée gratuitement, alors que pour les couronnes en céramique, le patient devait quand même payer une partie de sa poche. Mais en la soignant gratuitement il acceptait alors pour les couronnes en céramique d’être bien moins payé lui aussi. Il n’avait donc aucun intérêt financier à lui faire ses bridges en céramique, car elle payait juste le prothésiste. C’était un avantage en nature conférée par son poste de secrétaire en quelque sorte et son ami dentiste acceptait de travailler pour elle gratuitement. Eh bien tout copain qu’il était avec elle, il lui a dévitalisé toutes ses dents pour lui faire un bridge complet en céramique alors qu’elle avait une prothèse amovible avant avec toutes ses dents vivantes. Il était évident qu’il n’avait pas conscience qu’il l’empoisonnait ainsi. Moralité il vaut mieux avoir des ennemis qui ont un peu de conscience que des amis qui en manquent. Moi même d’ailleurs, je n’avais pas conscience non plus à l’époque des conséquences terribles qu’il allait lui offrir gratuitement. Toutefois même à mon ami, je ne l’aurais pas fait. En effet, à l’époque je faisais partie d’une minorité religieuse, d’une secte comme diraient certains qui m’ont d’ailleurs persécuté aussi pour cela, et j’évitais toujours de dévitaliser si possible. Tout simplement parce que la minorité religieuse que je fréquentais, enseignait le respect fondamental de la vie. Une dent vivante devait donc être respectée et il fallait donc éviter au maximum de la dévitaliser puisque par définition elle représentait de la vie. Mais pourtant je ne savais pas à l’époque que les dents dévitalisées pouvaient empoisonner et donc que je ne proposais jamais à mes patients même malades, de les extraire. Je respectais juste un enseignement religieux en quelque sorte qui m’évitait de tomber dans une tentation perverse, à laquelle peu de confrères résistent encore.
Les couronnes sur dents dévitalisées se sont mises à être remboursées la première fois dans le début des années 50, comme je l’ai déjà dit. Et comme par hasard voici certains chiffres intéressants :
De 1960 à 1995, les mises en congé pour longue maladie, des assurés sociaux actifs ont triplé, passant de 153 000 à 451 000 par an, (INSEE : SAINT MARC Philippe et Dr Jacques Janet, in L’écologie au secours de la vie, Une médecine pour demain, Ed. Frison-Roche, 2004.). En 35 ans, j’en déduis donc qu’il y a eu donc environ 300% d’augmentation des affections longues durée chez les actifs soit 86% par dix ans environ.
En 2004, le malades atteints d’affections longues durée étaient de 6,6 millions (sur 55 millions d’assurés que compte la France), soit un hausse de 73% sur dix ans, les ALD représentant 60% des dépenses de santé (Debrégeas G. et Lacoste T. (coordinateurs) L’autre campagne : 80 propositions à débattre d’urgence, Ed. La Découverte, 2007). En 2004, il y a eu dit ce même ouvrage, 900 000 nouvelles affections longue durée (85% étant constituées de cancer, maladies cardiovasculaire, diabète et affections psychiques). Sur 55 ou 60 millions d’habitants, c’est déjà gigantesque mais en plus cela augmente en plus chaque année d’en moyenne 4 à 6 %.selon d’autres données.
Le cancer et les autres maladies graves n’arrivent généralement pas du jour au lendemain. Il existe un temps de latence de plusieurs années pendant lesquelles l’organisme intoxiqué tente au préalable de se réparer autrement, en expulsant par exemple les toxines par des maladies dites d’élimination que notre médecine qualifie de bénignes. Ce n’est qu’au bout d’un certain temps, que n’en pouvant plus, il se cancérise ou déclenche des maladies graves. Certes un fort traumatisme psychologique ou une grosse irradiation ou intoxication chimique importante peuvent provoquer aussi très rapidement un cancer. Mais la dent dévitalisée, ce n’est pas cela. La dent dévitalisée constitue une petite intoxication qui se fait vingt quatre heures sur vingt quatre, en ciblant des organes précis en fonction de relation de correspondance qui existent entre les dents et les organes. Cela en est donc d’autant plus sournois car le lien de cause à effet entre leur présence et l’apparition des maladies graves est très subtil à établir. Ce qui nous sauve pour le comprendre dans ce cas, si je puis dire, est que lorsqu’on les enlève, on constate souvent des guérisons rapides (cf les six heures de témoignages vidéo de guérison du site www.sante-dents.com). Pour d’autres sources d’empoisonnement, nous n’avons pas toujours cette chance de pouvoir les enlever aussi facilement de l’organisme. C’est ce qui permet à certains de nier leur dangerosité pour de multiples autres sujets polémiques (les vaccins ou les résidus de la centrale nucléaire de Tchernobyl par exemple). Ce n’est donc qu’au bout de plusieurs années que les maladies graves apparaissent même si au début cela peut commencer par des maladies bénignes comme le simple mal de dos qui touche aujourd’hui 8 français sur 10. Le mal de dos qui constitue aussi un signal d’alarme que notre organisme utilise faute de pouvoir utiliser le signal d’alarme de la douleur provoquée par le nerf dentaire qui a été amputé par l’acte de dévitalisation dentaire. Les affections longues durée que sont les maladies graves n’arrivent que donc plusieurs années après les dents dévitalisées, surtout si on utilise pour se soigner les produits chimiques de notre médecine moderne. Une médecine que je qualifie de médecine des poisons car ses médicaments empoisonnent les systèmes de défenses biologiques de notre organisme, principalement en inhibant ou détruisant devrait-on dire, nos enzymes vitales qui se mettent en état d’hyperfonctionnement en provoquant les symptômes que sont la fièvre, la douleur, l’allergie, puis ensuite l’hypertension, et la tachycardie notamment. Des symptômes qui supprimés artificiellement par notre médecine chimique conduisent ensuite aux maladies graves car ils permettent aux poisons divers de pénétrer au plus profond de notre organisme. Il est donc logique qu’une dizaine d’années après la grosse incitation financière à dévitaliser, que constitue le remboursement de la couronne sur dent dévitalisée, on observe une augmentation significative des maladies graves, que l’on appelle aussi les affections longues durée.
Si en France en tous cas depuis le début des années cinquante, grâce à la sécurité sociale, les personnes pauvres n’ont pas vraiment moins de raison d’avoir des dents dévitalisées que les personnes riches, ce n’est pas le cas partout ailleurs et notamment aux Etats-Unis qui n’ont pas le même système social. C’est bien pourquoi aux Etats-Unis, l’étude que j’ai mis un peu avant dans cet article, montre que les latinos, qui font partie de la classe pauvre américaine sont bizarrement moins malades de cancers et de maladies cardiovasculaires que les riches américains blancs. Car les dentistes américains aussi gagnent surtout leur argent en faisant des couronnes en céramique sur dents dévitalisées. Et ils n’en font qu’aux riches car les pauvres n’ont pas les moyens de couronner leurs dents. Donc les dentistes les leur dévitalisent moins car seuls les riches pourront ensuite faire des couronnes. Eh oui, parfois il vaut mieux être pauvres…. C’est un peu le même paradoxe que relevait feu le Dr Kousmine quand elle observait qu’après la guerre, seuls les enfants des riches avaient les moyens de consommer des gâteaux et des sucreries qui les empoisonnaient et leur provoquaient des caries.
En France ce n’est pas aussi vrai qu’aux Etats-Unis dont les pauvres sont d’une certaine façon préservés de la dent dévitalisée. Car en France, grâce à notre système social « très bon », même les pauvres ont le droit d’avoir des dents dévitalisées car ils arrivent aussi généralement à payer leurs couronnes avec leurs bonnes mutuelles, ce qui fait qu’ils ont autant de dents dévitalisées que les riches…. Quant aux très pauvres, eux aussi y ont droit, surtout depuis qu’il y a la C.M.U. (la couverture maladie universelle que possèdent tous les rmiste (qui possèdent le revenu minimum d’insertion). Je dirais même que pour les patients avec la C.M.U., la couronne est le seul acte un peu rentable de la dentisterie ce qui fait que les patients C.M.U. ont peut-être encore plus de dents dévitalisées que les autres. Surtout si les dentistes soignent en majorité des patients avec la C.M .U. comme c’est sûrement le cas de nombreux dentistes de l’Ile de la Réunion (le département français qui a le plus de Rmistes et de C.M.U, je crois bien). Enfin depuis 2002, les prothèses amovibles sont quand même mieux remboursées aussi. Mais le remboursement de la couronne dentaire des patients C.M.U. est quand même une grosse incitation à leur dévitaliser les dents. C’est ce qui pourrait expliquer en partie selon moi, j’en ai d’ailleurs parlé dans un autre texte du site, pourquoi l’Ile de la Réunion a connu le Chikungounia bien plus que les régions proches à la même latitude qui elle aussi ont le même moustique mais qui ne provoquait bizarrement pas les mêmes épidémies de fièvres très graves. La fièvre étant un moyen bien connu de la naturopathie pour permettre aux organismes intoxiqués d’éliminer les toxines et donc éviter de maladies graves comme le cancer. Qui dit dent dévitalisée dit bien sûr organisme plus intoxiqué donc ayant plus besoin de se faire un bonne fièvre pour se désintoxiquer. Les Réunionnais grâce au remboursement C.M.U. de la couronne dentaire ont donc bien sûr bien plus de dents dévitalisées que leurs voisins qui ne bénéficient pas de cette mesure sociale française et donc leurs organismes ont bien plus de raison de développer une fièvre que leurs pauvres voisins qui n’ont pas les moyens d’avoir des dents dévitalisées….
Mais pour confirmer ma corrélation entre maladies et dévitalisation dentaire, en France, j’ai encore un indice très intéressant. En 2002, il y a eu une mesure qui a encore plus incité les dentistes à dévitaliser les dents. La sécurité sociale s’est mise à rembourser assez bien, on peut le dire, les dispositifs d’ancrage intra-canalaire : les screw post (visse dans la racine) et les inlays cores (ou faux moignons ne se faisant que si ensuite il y aura une couronne). Ces dispositifs sont faits en résumé pour mieux renforcer les reconstructions dentaire, mais uniquement sur dents dévitalisées et c’est là tout le problème. C’est donc une incitation financière supplémentaire à dévitaliser les dents. L’année qui a suivie cette mesure, comme par hasard, il y a eu une augmentation phénoménales des inlays cores. Si vous voulez vérifier voila de quoi ici
ou
ici
C’est fou comme le remboursement d’un acte le favorise, non…Comme le screw post, la visse mise dans la racine n’avait pas de cotation, on n’a pu chiffrer précisément l’augmentation de la mise de screw post dans les racines mais je suis sûr que si on interrogeait les patients, ils remarqueraient que bizarrement leur dentiste leur met depuis 2002 bien plus de visses dans les racines pour mieux tenir l’obturation (l’amalgame ou le composite), ou « renforcer la dent » comme on dit aussi, ça plait bien comme formule. « Ah oui docteur ! renforcez ma dent… Mon dentiste à moi il me met des visses dedans pour me les renforcer….donc c’est un bon dentiste »
Un peu d’humour : Quelle est la différence entre un bon dentiste français et un mauvais dentiste français. Le mauvais dentiste français, dès qu’il y a une carie, il vous dévitalise la dent. Il ne cherche même pas à la garder vivante. Le bon dentiste, eh bien, heuuuuuuu, c’est pareil mais c’est un bon dentiste, et puis c’est tout…..
Avec le remboursement des ancrages screw post, la tentation de dévitaliser les dents pour les dentistes, même à ceux qui ensuite ne feraient pas de couronne, est devenue souvent trop grande pour y résister, surtout quand on ne possède pas dans son catalogue de valeurs spirituelles, le respect fondamental de la vie donc par conséquent dans le sujet qui nous concerne, le respect de la vie des dents. Entre parenthèse, quand les abrutis qui siègent dans certains administrations et certains tribunaux auront compris que ce n’est pas contre les spiritualités qu’il faut lutter, fussent-elle des sectes, mais contre l’absence de spiritualité qui favorise la violence et le chaos, alors on aura fait un grand pas en avant … Qu’ils pensent un peu à un régime politique en Allemagne, qui il n’y a pas si longtemps faisait aussi la chasse à une secte bien précise qu’on appelait alors la secte juive…. Et que jadis aussi, c’était les romains qui mettaient dans l’arène aux lions les membres de la secte du nazaréen, qu’on appelle aujourd’hui les chrétiens…. Bon, je connais aussi des confrères qui n’ont jamais fait partie d’aucune minorité spirituelle, ne s’intéressent pas à la spiritualité et qui font tout pour garder les dents vivantes au maximum….
Mais pour en revenir aux dents dévitalisées, avec le bon remboursement des screw posts, même les plus pauvres auront du mal en France maintenant, à échapper à la dévitalisation dentaire. Et voici maintenant encore un chiffre intéressant. Il se trouve qu’un peu après cette mesure pleine de conscience (de favoriser la dévitalisation dentaire en remboursant les dispositifs d’ancrage intra-canalaires qui ne se font que sur dent dévitalisées), il y a eu quelques mois plus tard, une augmentation totalement inexpliquée par ailleurs de 7% environ de la consommation des médicaments. Une consommation de médicaments qui a continué depuis à progresser encore plus qu’avant cette mesure « pousse au crime ».
Tout cela fait beaucoup de coïncidences ne trouvez-vous pas, au pays où la maladie est devenu le plus grand problème de société ? Et vous qui lisez cela, maintenant que vous avez compris, qu’allez vous faire de toutes ces informations pour faire prendre conscience à vos frères et vos sœurs que la couronne dentaire sur dent morte pourrait bien représenter la couronne mortuaire de notre civilisation. Il n’est bien sûr pas question de mettre des bombes dans les cabinets dentaire qui dévitalisent les dents mais plutôt au contraire, de faire prendre conscience que les cabinets dentaires pourraient constituer le meilleur endroit pour aider nos frères et nos soeurs à retrouver la santé, si les dentistes acceptaient enfin de les débarrasser de ces mines anti-personnelles qui siègent dans leurs bouches et qu’on appelle aussi les dents dévitalisées. Des dents dévitalisées qui pourraient aussi se révéler un jour être des armes de destructions massives de la population occidentale. J’espère alors que ce site et son frère www.sante-dents.com pourront vous être utiles.
Fin
Dr Bruno Darmon
P.S. La construction des armes atomiques mais aussi des centrales nucléaires pourrait bien se révéler aussi un jour être une entreprise de destruction massive de l’espèce humaine. Il faudrait aussi y penser. Mais peut-être que si on était en meilleure santé, on pourrait mieux y réfléchir…
Détails pratiques
January 19, 2007 on 5:15 pm | In détails pratiques | No CommentsInformations pratiques pour l’élimination des dents dévitalisées et la suite, c’est-à-dire la prothèse.
Version courte :
Si vous enlevez vos dents dévitalisées, pour éviter les antalgiques chimiques, munissez vous d’huile essentielle de girofle diluée (20% à 50% environ d’huile essentielle dans de l’huile végétale, Olive ou autre) à mettre sur un coton et sur les zones d’extraction, plutôt que de prendre des antalgiques. Juste après les extractions, mettez une bouillotte chaude sur chaque joue et manger très mou et tiède, mais surtout ne pas boire chaud pendant quelques jours.
On enlève en général les dents du fond (molaires et prémolaires) puis on attend deux ou trois mois. Ensuite on enlève les dents dévitalisées de devant, et le jour même on place une prothèse amovible provisoire. Quelques mois plus tard on mettra la prothèse définitive. Prix approximatif pour faire des prothèses pour remplacer les dents extraites d’une mâchoire (haut ou bas), comprenant la prothèse provisoire et la prothèse définitive : environ 2500 euros plus ou moins 1200 euros en fonction des dentistes. Remboursement sécu pour les prothèses : le 100% est autour de 300 euros en moyenne, en tout. Certaines mutuelles remboursent à 150 % (le plus courant) d’autres à 200% ou plus parfois mais c’est rare. Pour ceux qui possèdent la C.M.U, c’est normalement gratuit, mais pas de prothèse provisoire alors. Dans le prix, prévoir 1000 euros de moins si la prothèse provisoire n’est pas nécessaire (elle n’est pas remboursée), et 500 encore de moins si vous voulez une prothèse définitive moins chère encore (en résine uniquement) qui coûte donc environ 1000 euros (plus ou moins 500).
Version longue :
Vous pouvez faire lire aussi cela à votre dentiste. Lorsque c’est trop compliqué pour vous, patients, c’est alors que c’est pour votre dentiste.
1- Info pratiques pour les extractions :
1-1 -Pour les anesthésies :
Dans les médecines orientales (chinoise et indienne) on tient compte des phases lunaires pour les soins (et même pour l’alimentation) en fonction que ce sont des soins de reconstruction ou de nettoyage. Les extractions (comme les soins de carie) sont des nettoyages, donc se font en lune décroissante. C’est aussi très important pour éliminer mieux l’anesthésie qui est un petit poison ne l’oublions pas. C’est loin d’être négligeable comme facteur. J’ai déjà observé sur quelques cas que les anesthésies générales donnent plus d’accidents et de morts quand elles sont faites en lune croissante. Il existe certes des calendriers lunaires qui donnent plus de précision encore mais on fera sans ici.
De même, il vaut mieux anesthésier l’après-midi (après un bon repas de midi, et on évitera aussi de manger le soir même), car le matin, on est en montée d’énergie et donc c’est plus dur d’anesthésier, car anesthésier revient à faire baisser localement l’énergie. C’est de la chronobiologie. A la fac, on apprend exactement le contraire pour pouvoir gérer les éventuelles hémorragies l’après midi…. La même nuit de l’extraction, on dormira éventuellement avec un oreiller de plus pour éviter l’hémorragie (question de pression sanguine) .
Pour éviter les produits anesthésiques, l’idéal serait la sophrologie ou certaines anesthésies par acupuncture, mais c’est un autre sujet encore.
Si le patient est plutôt maigrichon et hypotendu (visage plutôt pâle, plutôt lymphatique), le dentiste évitera absolument les anesthésies avec vaso constricteurs qui arrêtent trop le saignement. En général il vaut mieux éviter si possible les vasoconstricteurs mis dans les anesthésies dentaires de telle sorte que l’anesthésie qui est un petit poison ne l’oublions pas, parte le plus vite possible après l’extraction. Toutefois, si on pense que l’intervention va durer longtemps, c’est le contraire, il vaut mieux faire des anesthésies avec vaso constricteur sinon on mettra beaucoup d’anesthésie. Mais la logique de mettre toujours des vaso constricteurs (qui est en plus considérée comme une démarche de qualité par la pensée académique) en se disant qu’ainsi l’anesthésie ne se réveillera que lorsque le patient sera parti et que ses médicaments auront commencé alors à agir, n’est pas la meilleure façon de faire selon moi, même si c’est confortable pour le praticien. C’est une logique de médecine des poisons, qui nuit à la guérison à distance. Un praticien holistique garde donc son patient, surtout s’il est très fragile, jusqu’au réveil de l’anesthésie et gère ensuite lui-même la douleur sans médicaments chimiques, par des applications d’huiles essentielles (huile de girofle notamment sur la zone opérée), de bouillottes et d’autres techniques s’il les maitrise (ondes magnétiques pulsées, acupuncture, cautérisations, ozone, baume aux huiles essentielles, etc…car il en existe d’autres encore).
Bref, il vaut mieux enlever vite la dent par conséquent. Si elle casse, les fraises à os sur turbines sont très utiles pour aller vite. Donc, plus vite l’anesthésie part, moins ça fera mal ensuite car l’anesthésie empoisonne les tissus et le vasoconstricteur qui est dans l’anesthésie les asphyxie. La douleur est aussi la conséquence d’un empoisonnement et d’une asphyxie tissulaire. Toutefois si l’anesthésie part trop tôt alors que l’intervention n’est pas finie, il faudra refaire alors une anesthésie avec vasoconstricteur absolument, sinon ça ne marchera pas. Le vestibule du haut est l’endroit qui nécessite le plus de vasoconstricteur toutefois.
1-2 : Après l’extraction, le dentiste fait mordre sur une compresse pour arrêter le saignement. Il ne faut pas mettre pas de cône antibiotique dans l’alvéole (médecine des poisons qui nuit à la guérison à distance), même si certains pensent bien faire. Parfois il a fallu enlever les restes d’un cône d’antibiotique pour pouvoir guérir une maladie à distance. Le dentiste doit absolument vérifier qu’il y a un caillot dans l’alvéole. Sinon c’est que trop de vasoconstricteur a été mis. Alors là, si il s’y connaît en acupuncture il faudra faire des cautérisations. On peut aussi chauffer le manche métallique d’un instrument à gros manche, un élévateur par exemple, et l’appliquer chaud mais pas brûlant bien sûr, au fond du vestibule plusieurs fois. On peut de toute façon faire cela à chaque fois qu’on a une anesthésie, pour faire plus vite partir l’anesthésie qui est un petit poison. Si le sang ne vient pas, on oriente aussi le fauteuil pour mettre la tête en bas et les pieds le plus haut possible, voire sur la tablette du dentiste. On augmente ainsi la pression sanguine à la tête. Et si ça ne suffit pas, on peut même faire faire le poirier au patient, s’il le peut, en l’aidant. Il est très important d’avoir un caillot dans l’alvéole dentaire avant de libérer le patient, sinon c’est presque l’alvéolite assurée et c’est très douloureux les jours suivants. Si vraiment on n’est pas arrivé à faire un caillot, il faut prévoir de revoir le patient le lendemain. On ne met toutefois rien dans l’alvéole le jour de l’extraction car dans quelques heures, elle pourra à nouveau saigner seule, surtout si le patient reste allongé avec ses bouillottes et les pieds surélevés. Alors il suffira au patient de mordre sur des compresses (ou des mouchoirs en papier ou du Sopalin, si on n’a pas de compresses stériles) pour arrêter le saignement et le caillot sera fait en quelques minutes.
Une fois dans la salle d’attente, le patient placera une bouillotte d’eau chaude (venez avec, ce serait étonnant qu’il en ait au cabinet dentaire) sur chaque joue (question d’équilibre énergétique) pour ramener au plus vite de l’énergie et finir de faire partir l’anesthésie. A la fac, on apprend exactement le contraire. On dit de mettre une poche de glace pour éviter l’œdème et la douleur. Mais c’est dans la logique de la médecine des poisons adaptée à la dentisterie, qui ne comprend pas que l’œdème a une utilité et qui donne ensuite des antalgiques chimiques et des anti-inflammatoires, qui bloqueront en partie la guérison à distance. Une dentisterie qui bien sûr ne fait pas le lien avec les maladies à distance qui apparaîtront à cause des dents dévitalisées et parfois ne disparaîtront pas, malgré l’extraction de dent dévitalisée, à cause du blocage de la loge énergétique que toute cette chimie médicale pourra induire.
Si le caillot ne vient toujours pas ou tombe les jours suivants, ce qui peut arriver surtout si on boit chaud, et qu’on mange, surtout dur, les premiers jours après l’extraction, le dentiste devra alors réintervenir et mettre dans l’alvéole quelque chose pour que les aliments ne pourrissent pas à l’intérieur. Certains donnent une ordonnance d’antibiotique pendant quinze jours. Idéal pour avoir ensuite un os pourri qui rendra malade à distance même si la gencive le recouvrira, sans parler d’un intestin déglingué. L’idéal (selon moi) pour remplacer un caillot tombé est de la poudre de propolis (pas si facile à trouver mais le labo « La Royale » au Luxembourg en vend), avec de l’huile essentielle d’orange pure si on en a ou de tea tree sinon ou autre chose que sais-je (la girofle ça brûle trop dans ce cas). Et cela après avoir nettoyé l’alvéole à l’eau bien sûr. A renouveler deux à quatre fois en général. Il existe aussi d’autres choses, des mèches iodées par exemples. Attention toutefois aux produits agressifs classiques, avec des antibiotiques ou du formol, notamment, qui pourraient endommager l’os et créer ensuite un os abîmé et donc un foyer résiduel pour entretenir une maladie à distance, même si les douleurs de l’alvéolite disparaissent.
Après l’extraction, l’idéal est de ne pas prendre d’antalgiques mais de l’huile essentielle de girofle diluée dans de l’huile végétale (olive ou autre), prévu à l’avance. On l’appliquera avec un coton imprégné de ce mélange juste posé sur le caillot et on laisse agir au moins une minute. Il existe aussi des tisanes antalgiques (voir avec votre herboriste mais en gros : pavot, coquelicot, fleur d’oranger etc…)
Puis on fera des bains de bouche d’huile végétale plusieurs fois par jours. On peut aussi utiliser divers hydrolats de plantes. Les bains de bouche pharmaceutiques, c’est bon pour les adeptes de la médecine des poisons (cf. texte « médecine des poisons » sur ce site)….Pendant une semaine au moins on ne mangera que des choses très molles (à la limite, tout ce qui pourrait se manger avec une grosse paille).
2- L’extraction de la dent dévitalisée bien solidement implantée.
Si le dentiste accepte, vous pourrez le remerciez. Si en plus il accepte au tarif sécu, c’est un sain, car l’extraction dentaire est l’acte le moins rentable de toute la dentisterie. S’il refuse proposez lui de lui régler au moins 50 euros de plus par extraction, que le tarif sécu, ça peut l’aider à se décider car alors l’acte devient un acte aussi rentable que les autres actes. Et surtout si c’est pour des dents dévitalisées.
En effet, la dent dévitalisée est parfois soudée à l’os à cause des produits médicamenteux qui ont tué le ligament alvéolo-dentaire. Les fraises à os, longues, sur turbines sont alors très utiles et peuvent souvent éviter de faire de grands lambeaux de gencive, plus lourds à cicatriser.
Après l’extraction proprement dit de la dent, le dentiste peut prendre une fraise boule montée sur microtour et à vitesse lente et sous irrigation, enlever une petite pellicule d’os surtout autour de l’apex. Puis curette et gratter tous les tissus affectés et infectés qui s’y trouvent, jusqu’à ce que l’os soit sain sous la curette (enfin au toucher de la curette, c’est tout ce qu’on peut faire).
3- Le traitement de cavitation.
La cavitation doit être bien sûr repérée, ce qui n’est pas le plus facile. Il existe un appareil nommé Cavitat vendu aux Etats-Unis, mais la radio et des techniques de diagnostic énergétique peuvent aussi permettre de faire le diagnostic.
Il existe trois techniques de traitement.
3-1 Soit on incise sur la crête osseuse, on écarte un peu le lambeau et on fraise entre les deux corticales plus ou moins à l’aveugle, avec une fraise boule sur microtour à vitesse lente puis avec une curette. On enlève tout ce qui est mou et les corps étrangers évidemment, après avoir passer la corticale qui est généralement restée dure, à la fraise à os sur turbine et irrigation bien sûr ou avec contre angle irrigué . Parfois on peut aussi enlever une surossification pathologique, c’est plus rare mais ça nuit aussi à la santé.
Cette technique, plus ou moins à l’aveugle est celle que je préfère et la moins traumatisante. Mais attention, pas d’anesthésie tronculaire de Spix à la mandibule alors car dès qu’on s’approche trop du nerf dentaire inférieur, le patient le sentira et pas de risque de le sectionner par conséquent.
3-2 Soit on effectue un lambeau vestibulaire et on enlève la corticale vestibulaire jusqu’à là où se situait l’apex, et on nettoie la zone. Technique plus traumatisante. Technique à éviter sur un patient plutôt mince car des années après encore il pourrait souffrir de cette opération car l’os veut se reconstruire et c’est très long avec une corticale en moins, surtout chez les maigrichons, qui sont toujours déminéralisés et les personnes âgées qui cicatrisent bien plus lentement.
3-3 Soit on n’opère pas, surtout s’il n’y a rien dedans et on injecte des produits dedans. En suisse à la clinique Paracelsus, ils injectent des produits sanum, et moi autre chose, d’autres injectent des hydrolats de plantes diluée (grande consoude notamment).
Comment savoir quoi faire ? Bonne question. On appelle cette qualité, le sens clinique…
4- Les aléas thérapeutiques.
4-1 Les communications buccosinusales. C’est un aléas thérapeutique qui arrive parfois avec les dents dévitalisées au fond en haut, d’autant plus que les dents dévitalisées sont soudées parfois à l’os. Les produits médicamenteux mis dans le canal tuent parfois le ligament alvéolodentaire. Il ne faut pas en avoir peur mais les gérer, quand c’est possible (si le patient ne repart pas et ne revient plus…..). C’est moins grave d’avoir ça que de laisser des dents dévitalisées.
Une injection d’hydrolat dilué (à 30% de thym ou de laurier par exemple) directement dans le sinus, peut éviter une longue et fatigante antibiothérapie. En évitant de se moucher en pinçant le nez, le caillot peut rester et fermer tout seul la communication. Si au bout de dix jours ce n’est toujours pas fermé, il vaut mieux ré-intervenir, bien que certains patients ferment leur communication toute la vie avec leur prothèse (on voit ça souvent en post chirurgical de cancérologie du maxillaire) et ils vivent très bien avec. Au-delà des techniques classiques, il existe une technique très peu interventionniste que peu de dentistes connaissent, et donc j’en parle. Il s’agit de glisser une feuille d’or sous la gencive à l’endroit de la communication bucco sinusale, qui obturera la communication et de la suturer à la gencive. La muqueuse sinusale et la gencive la recouvriront puis l’os en quelques mois. Et alors on pourra l’enlever.
4-2 Les paralysies diverses.
Elles sont très rares voire exceptionnelles. Il faut faire des cautérisations d’acupuncture pour refaire partir l’énergie, Et surtout avec les dents dévitalisées. mais parfois ça ne suffit pas….
5- Les prothèses qui viendront ensuite :
5-1 : La meilleure façon, d’un point de vue médical, de remplacer des dents absentes est sans conteste pour moi la prothèse amovible. Les bridges en ne comprimant pas la gencive des dents absentes ne peuvent stimuler cette dernière et donc la loge énergétique attenante qui est reliée aux organes. Mais bon parfois ce n’est pas si grave que ça et beaucoup de personnes ont des bridges et en sont contents. Mais bon parfois il faut dévitaliser les dents quelques années après et alors on regrette. Quant aux implants actuels, ils ont d’autres inconvénients. Les bactéries peuvent cheminer le long de l’implant de la cavité buccale jusqu’à l’os. D’un point de vue absolu, l’implant idéal serait toutefois la solution de reconstruction idéale. Mais il n’existe pas encore….
Personnellement , je continuerai à porter mes prothèses amovibles, c’est mieux pour la santé.
La prothèse amovible s’enlève la nuit, se met dans de l’eau et doit se nettoyer après chaque repas avec une petite brosse à ongle de préférence. C’est la vie.
Une prothèse (amovible) du haut remplace toutes les dents absentes du haut. Idem pour le bas. Parfois on peut la faire en plusieurs bouts pour éviter la liaison au palais ou la barre sous la langue, surtout avec du Valplast (voir www.valplast.com ) ou équivalent comme flexi J qui permet plus d’éviter les armatures métalliques dans le cas des édentements postérieurs libres, selon certains prothésistes. C’est alors plus confortable sans conteste.
La revue professionnelle dentaire Clinic publiait récemment une brève en ces termes ” Réconcilier patient et prothèse.
Elle traitait des nylons utilisés en prothèse amovible.
Les nylons de la couleur de la dent devraient réconcilier le patient avec la prothèse amovible. Malgré son absence de métal et sa finesse, cet appareil est flexible et très résistant. Il présente une véritable mémoire. Son adaptabilité exceptionnelle permet de réaliser des fausses gencives, des crochets incolores
Il est revenu à la mode ces dernières années en raison d’une demande de confort et d’esthétique de la part des patients en prothèse amovible. Ces prothèses adjointes sont sans crochet métallique. La résine utilisée est thermoplastique en nylon biocompatible de la famille des Superpolymides (un nylon très pur hypoallergénique et biocompatible) qui ne détériorerait pas chimiquement quand il entre en contact avec les fluides, bactéries, et l’environnement buccal.
Pour la prothèse du haut, faire un trou derrière les incisives centrales du haut pour que la pointe de la langue puisse touche la papille rétroincisive. C’est une question de contact énergétique (il y a un cas intéressant qui en parle dans les témoignages vidéos du site www.sante-dents.com et qui a retrouvé la mémoire grâce à ça). Ce n’est toutefois pas faisable pour les prothèses totales qui doivent faire ventouse. On pourra alors décharger un peu l’intrados à cet endroit en enlevant un peu de résine à la fraise par exemple.
En général chez un patient, on enlève d’abord les dents dévitalisées du fond (molaires et prémolaires). On laisse cicatriser deux mois ou trois puis on enlève si besoin celles de devant (canines, incisives) et le jour même on pose une prothèse amovible.
Prothèse qui sera provisoire pendant trois ou quatre mois au minimum, avant de faire une prothèse définitive. Les prothèses provisoires sont en général uniquement en résine (sauf les crochets bien sûr).
Prix moyen: 1000 euros plus ou moins 500 euros. Et oui c’est la liberté des prix…
Les prothèses définitives sont généralement des stellites (palais partiel en métal en haut et barre ou plaque linguale en métal en bas, et le reste en résine). Pour le confort sous la langue, demander au dentiste, des contres plaques plutôt que des contre crochets, c’est plus confortable (il comprendra). Prix moyen : 1500 euros plus ou moins 700 euros.
Ça c’est le cas classique.
La prothèse totale en résine totalement coûte environ comme un stellite. On peut aussi la placer le jour même des extractions des dents de devant.
5-2 : On peut aussi faire directement des stellites comme prothèse provisoire. Plus confortable et pas toujours plus cher comme vous allez le comprendre, si on fait comme suit.
Chaque mois, on rebasera alors le stellite provisoire avec un matériau de rebasage provisoire, car la gencive se modifie en cicatrisant. Ensuite au bout de trois ou quatre mois ou plus après la pose, on rebase définitivement, c’est à dire qu’on fait cuire de la résine au labo qui refera la partie en contact avec la gencive qui s’est modifiée lors de la cicatrisation. La prothèse devient alors le stellite définitif. C’est un peu plus délicat certes mais c’est plus économique que de refaire un stellite définitif en jetant la prothèse résine provisoire. On peut aussi faire deux stellites si on ne veut pas s’embêter pour avoir un meilleur confort et qu’il n’y a pas de problèmes d’argent.
Pour être plus économique encore, on peut rebaser la prothèse en résine provisoire et la faire devenir alors une prothèse définitive.
Pour être encore plus économique, on enlève les dents, on laisse cicatriser trois ou quatre mois et on fait seulement ensuite les prothèses. S’il n’y a pas de dents de devant à remplacer, c’est d’ailleurs ce qu’on fait toujours.
5-3 : En général, au bout d’un an environ après les extractions, on peut avoir besoin d’un rebasage puis généralement plus du tout ensuite si on prend bien garde d’enlever les prothèses chaque nuit pour laisser regonfler la gencive (certains dentistes disent le contraire, mais ils se trompent car garder l’occlusion n’a aucun intérêt la nuit en position allongée, même si certaines gouttières sont à garder la nuit pour supprimer des douleurs d’articulation de la mâchoire en tirant dessus, mais alors à la place des prothèses). Ôter ses prothèses la nuit, évite la résorption de l’os sous jacent. Les prothèses pourront non seulement se rebaser mais aussi on pourra refaire des dents qui ont perdu de la hauteur avec de la résine composite de labo qu’on durcit en partie au fauteuil. On refait l’occlusion au cabinet et on envoie, c’est bien mieux, finir le durcissement au labo et polir le tout. Cela peut souvent éviter de refaire des prothèses anciennes. C’est bien moins cher mais ce n’est pas remboursé par la sécurité sociale ce qui fait qu’en fait cela peut revenir encore plus cher qu’une nouvelle prothèse, si on a une très bonne mutuelle….
Et puis le plus économique de tout est de ne pas faire de prothèses… mais c’est mieux d’en faire évidemment. Mais je précise cela, car il vaut mieux ça pour la santé, que garder des dents dévitalisées en bouche. Quasiment toute la profession vous dira bien sûr le contraire, surtout ceux qui n’ont jamais rien guéri à part des dents douloureuses. Pour les relations sociales, ça peut être différent bien sûr….
Maintenant la formule idéale et la plus chère est de faire une prothèse immédiate en matériau plastique coulé (un plus cher souvent qu’un stellite). Il n’y a pas de métal du tout. Sinon le métal le moins toxique est toutefois l’or. Prendre alors un alliage sans palladium toutefois et prévoir environ 500 euros de plus par prothèse pour l’or.
Le métal non précieux des stellites pose effectivement un petit inconvénient au niveau énergétique ce qui fait dire à certains qu’il vaut mieux faire des prothèses résines moins chères que des stellites plus chers et plus confortables en bouche, mais avec trop de métal, donc un peu moins bons pour la santé. Et cela surtout s’il y a d’autres métaux en bouche, notamment des amalgames au mercure.
Les prothèses en plastique coulé sont presque aussi fines que les appareils stellites mais ça se rebase mal et parfois il faut tout refaire au bout de quelques mois puisqu’on ne peut faire de rebasage corrects. Parmi les matériaux plastiques, je trouve que l’idéal est le Valplast ou d’autres marques équivalentes dont les crochets larges et plats sont de la couleur de la gencive. Pour nettoyer les crochets de ce type de prothèses, il faudra aussi demander à votre dentiste un goupillon de 20 mm de diamètre (ce qu’il utilise pour nettoyer ses grosses canules d’aspiration). Il peut aussi vous fournir un petit appareil à ultrasons (procédé officiel) mais avec les goupillons, je trouve que c’est mieux. De temps en temps il faudra quand même tremper la prothèse dans une solution nettoyante à base d’oxygène actif ça s’achète en pharmacie ou dans les rayons de parapharmacie, ou d’un produit que vous fournira votre dentiste avec un petit appareil à ultrasons éventuellement (mais pas nécessaire si on a le goupillon) ou d’un peu de javel très diluée (uniquement pour valplast ou équivallent), éventuellement, je crois.
Il existe aussi des matériaux plastiques intéressants (dental D , acétal …) mais parfois il faut y adjoindre de la résine rose et la liaison résine rose- matériau plastique n’est pas idéale. Le mieux quand on utilise ces matériaux plastiques coulés est qu’il n’y ait qu’un seul matériau donc pas de résine rose.
La prothèse amovible pourra servir en plus des applications habituelles, à tenir entre elle et la gencive, des cotons aplatis imprégnés d’huiles essentielles diluées, de girofle par exemple, pour soigner l’os sous jacent et donc des affections à distance qui sont dépendantes de ces zones réflexes. Vous essayerez quand des problèmes de santé à distance reviendront un peu et cela confirmera qu’il existe encore des mémoires toxiques, que les huiles essentielles pourront d’ailleurs soigner petit à petit, uniquement partiellement toutefois et parfois mais pas toujours.
Lorsqu’on met en place la prothèse amovible, le dentiste doit laisser une légère surocclusion (surépaisseur) et ne finir l’occlusion qu’après avoir mangé avec la prothèse, quelques minutes au moins, afin de comprimer la gencive. Le dentiste peut aussi laisser ainsi en surocclusion quelques jours et retoucher ensuite, c’est encore mieux. Cette même surocclusion qui doit être présente tous les matins et disparaître ensuite la minute qui suit quand la prothèse est mise sous pression. Si on oublie de laisser une petite surocclusion le premier jour, on risque d’avoir ensuite les prothèses en sous occlusion. Cela ne gène pas trop le patient mais c’est moins bien car la gencive sera moins comprimée et les dents prothétiques toucheront alors mal lors de la mastication.
5-4 : Le fignolage ( facultatif, à ne lire que si vous vous ennuyez).
Les dents des prothèses amovibles sont généralement trop petites. C’est fait exprès pour éviter des douleurs. Toutefois, après quelques temps, un an environ, lorsque les gencives sont bien durcies, le dentiste peut élargir les dents prothétiques en résine, avec de la résine composite de labo et finir la polymérisation au labo. On aura alors une meilleure efficacité masticatoire. En pratique quasiment personne ne le fait.
On peut aussi mettre des dents en céramique sur la prothèse amovible. C’est certes un peu mieux si on peut, mais plus délicat à réaliser et cela possède des limites car on ne peut rajouter de la résine ensuite dessus. C’est plus cher, prévoir 300 euros en moyenne de plus par prothèse. Pour des dents aussi grande que ses dents originelles, même les molaires et prémolaires (exigences esthétiques particulières et en cas de sourire large découvrant jusqu’aux molaires) il faudra alors éliminer suffisamment d’os pour pouvoir placer ensuite les grandes dents en céramique qui nécessitent plus de place. Les dents en céramique nécessitent effectivement plus de hauteur que des dents classiques en résine pour être mis en place (impératif technique de labo). Mais si ensuite le patient change d’avis et veut des implants, il faudra lui prendre de l’os ailleurs, dans le crâne ou la hanche, pour refaire l’os nécessaire pour les implants avec une esthétique idéale. Il faut savoir ce qu’on veut dès le début….
Parfois certaines personnes ont beaucoup de mal à supporter leur prothèse amovible, même après de multiples retouches. Généralement le dentiste n’en peu plus et dit au patient qu’il faut qu’il s’y habitue, qu’on ne peut plus rien faire de mieux. Il peut y avoir des zones qui gênent sur la prothèse et non dans l’intrados en contact avec la gencive. Mais ce n’est pas facile à déterminer si on ne dispose pas de technique de diagnostic énergétique comme le R.A.C., qu’on peut aussi appliquer à rechercher sur la prothèse pour les zones problématiques. Trouvez alors un dentiste qui s’y connaît en diagnostic énergétique et ça ira mieux. Les erreurs les plus courantes des prothésistes est de faire aller les prothèses trop loin. Elles ne doivent pas recouvrir les tubérosités maxillaires, ni les débuts des branches montantes mandibulaires, contrairement à ce qu’on enseigne généralement, car ce sont des zones réflexes ou il ne doit pas y avoir de dents ni de pression. C’est pourquoi d’ailleurs, les dents de sagesse doivent souvent être enlevées si elles s’y trouvent car normalement elles devraient être plus en avant. Mais pour diverses raisons pathologiques on observe qu’elles sont souvent là, c’est-à-dire trop loin au fond de la bouche et donc qu’il faut aussi les enlever, et cela même si elles ne gênent pas en apparence. Pour les prothèses totales, comme il faut toutefois englober ces zones pour la tenue, on déchargera un peu ces zones (en plus des zones qui sont enseignées) en enlevant de la résine dans l’intrados.
En bas, il faut souvent créer une concavité linguale dans la prothèse, alors que les prothésistes nous font souvent des zones convexes. Pour le reste, c’est plus subtil et au cas par cas.
Parfois si la prothèse fait mal, ce peut être l’os sous la gencive qui reste douloureux quand il est comprimé. S’il reste une pointe d’os, il faut l’aplanir à la fraise, sans même faire de lambeau. En général ça suffit.
Si le dentiste se décarcasse vraiment, et que le patient y met du sien, car il faut bien sûr un temps d’adaptation, tout le monde peut supporter sa prothèse amovible. Et sinon, si après avoir vu de multiples dentistes, ça ne va toujours pas avec votre prothèse et qu’alors vous m’en voulez de m’avoir écouté dire sur le site internet, qu’il fallait enlever les dents dévitalisées et mettre un dentier à la place, passez alors me dire un petit coucou sur la Côte d’Azur, car il y a peu de chance pour que je n’arrive pas à vous faire supporter votre prothèse. Faire supporter les prothèses insupportables était un de mes dadas… avec enlever les dents dévitalisées pour guérir des maladies. J’ai toujours bien aimé la série mission impossible. Mais, j’y pense,,,,, c’est peut-être à cause de ça que j’ai eu tant de problèmes ensuite. Euréka j’ai enfin compris…. Enfin je crois….