Petit essai sur le suicide.
October 20, 2009 on 10:27 pm | In Non classé | Comments OffPetit essai sur le suicide .
La vague de suicides qui défraie fin 2009 l’actualité avec notamment les nombreux suicides des employés de France Télécom, ne me laisse pas indifférent d’autant plus que je fus personnellement concerné dans ma vie professionnelle par ce sujet. Je fus en effet condamné jadis à être interdit d’exercer trois années, juste pour avoir informé le psychiatre officiellement responsable du problème des suicides dans ma région, que certains de mes patients aux tendances suicidaires m’avaient témoigné ne plus avoir pensé au suicide après avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. Un mémoire fort instructif fut alors réalisé par Corinne Lepage qui parlait « d’une grave question de santé publique » concernant les dents dévitalisées. http://pagesperso-orange.fr/michel.raynaud/mem_clpg.htm
On s’imagine parfois à tort que la clef du suicide réside exclusivement dans le mental et le stress que peut ressentir l’individu et on demande alors l’aide de psychothérapeutes principalement. Mais peut-être que ce n’est pas toujours suffisant.
Si on sait qu’il existe des maladies psychosomatiques, c’est à dire des maladies somatiques aux causes psychologiques, on oublie souvent qu’il existe aussi des maladies somatopsychiques c’est à dire des affections du psychisme, qui ont pour cause une affection somatique.
Évidemment, on sait bien qu’à force de souffrir de quoique ce soit, on finira par déprimer et peut-être donc par se suicider surtout si la douleur ne cesse pas. Mais ici quand je parle de maladies somatopsychiques, je veux aussi parler d’affections plus subtiles à déterminer qui n’occasionnent aucune douleur physique et ne causent pas encore de troubles organiques visibles et qui pourtant affectent sournoisement l’état psychologique.
J’ai personnellement constaté que certaines personnes très dépressives voire suicidaires et pourtant sans aucun problème de santé en apparence ni aucune douleur physique, sortaient parfois quasi immédiatement de cette tendance suicidaire en faisant enlever leurs dents dévitalisées., notamment les dents du haut qui sont plus proches du cerveau que les dents du bas.
La dent dévitalisée est je le rappelle une dent morte car elle ne possède plus de vaisseaux sanguins ni de nerf qui circulent à l’intérieur de la dent. C’est un cadavre de dent par conséquent ou une dent empaillée si vous préférez, si l’image est plus parlante pour vous. En effet, on enlève l’intérieur de la dent, donc ce qui pourrit le plus et on y met des produits imputrescibles. On ne garde en fait que l’extérieur tout comme on le fait pour les animaux empaillés. Le point commun entre le suicide et la dent dévitalisée est à l’évidence le concept de mort. Un point commun qui pourrait bien être aussi un lien d’engendrement.
Nous allons en effet comprendre que la mort engendre la mort, en commençant par constater que la vie engendre la vie
Les formes de vie dans la nature sont toujours engendrées par la vie elle même par les différentes formes de reproduction. Rien ne provient du néant et c’est ce qui fait comprendre que la vie engendre la vie. De la même façon, nous pouvons comprendre que la mort engendre la mort. Plus généralement d’ailleurs bien d’autres concepts s’engendrent mutuellement. L’amour engendre l’amour et la violence engendre la violence, par exemple, c’est bien connu. Mais le fait que la mort engendre la mort est moins connu car plus subtil à comprendre.
La vie, la violence, la haine, et en fin de compte la mort sont tous des concepts reliés à un état vibratoire spécifique. La mort me semblant être en fait l’état l’état vibratoire le plus immobile de tous les états précédents dans la mesure où s’est arrêté le mouvement du sang qui apportait aux cellules vivantes son oxygène chargé d’électrons. Les électrons étant dans l’atome la particule la plus en mouvement d’ailleurs.
Dans l’univers tout est vibration à divers degré. Cette vibration va influencer les structures environnantes d’autant plus qu’elle rentre en résonance avec ces dernières, c’est à dire que ces dernières sont déjà prédisposées à vibrer naturellement dans la même fréquence.
Illustrons cette notion. On sera plus apte à s’énerver face à une situation contrariante ou quelqu’un de colérique, quand on est déjà soi même imprégné de vibrations de colère. Sachant aussi que quelqu’un de colérique, d’agressif, peut aussi nous contaminer de sa colère si nous ne sommes pas assez fort dans nos convictions pacifiques. Mais il y a bien d’autres sources vibratoires qui peuvent nous transmettre leurs vibrations. Les images cinématographiques aussi transmettent des vibrations émotionnelles et nous influencent c’est bien connu. Les films tristes nous font pleurer, les films de violence nous imprègne de violence et les films d’horreurs nous imprègnent de peurs par exemple. Et le rire engendre le rire, certains en faisant même une thérapie qu’ils nomment la rigolo-thérapie. De même on peut comprendre par un mécanisme analogue, qu’un individu qui dégage de l’amour va imprégner d’amour ceux qui l’approchent.
Si cela est vrai pour l’amour, la colère , le rire, la peur et le mal être, il n’y a pas de raison à priori que cela ne soit pas aussi vrai pour la mort.
En médecine on sait très bien que lorsqu’un pied se gangrène c’est à dire qu’il meurt, cela peut tuer le patient, par la septicémie qui va arriver inéluctablement . Il faut alors couper le pied pour sauver une vie. On sépare donc la mort (le pied mort) du vivant car sinon la mort du pied engendrera la mort du patient.
Mais en dentisterie il semble qu’on n’ait pas encore compris cela pour la dent morte ou dévitalisée….
Des études biochimiques ont montré que la dent dévitalisée libérait dans le sang des substances toxiques comme des thioéthers ( le gaz moutarde, arme militaire, en contient), de la putrescine et de la cadavérine aux noms plus qu’évocateurs car on les trouve aussi dans les cadavres en état de putréfaction. Mais bizarrement la dent dévitalisée peut rester malgré tout cela indolore grâce à l’intervention du dentiste qui a enlevé la majorité des tissus putrescibles et mis à la place une pâte antiseptique, un peu comme le font les thanatopracteurs qui embaument les morts. On pourrait d’ailleurs logiquement appeler les dentistes qui font cela des thanatodentistes, tandis que ceux qui ne veulent garder que des dents vivantes dans la bouche de leurs patients, des biodentistes, puisque bio signifie vie.
De même ceux qui mangent avec des dents dévitalisées pourraient être appelés des nécro-mangeurs et cela même s’ils se nourrissent dans des magasins d’alimentation biologiques.
Il existe des exemples dans le domaine de la médecine qui pourraient illustrer le concept vibratoire .
On possède des exemples dans les médecines naturelles, qu’on pourrait même qualifier de médecine quantique, où seule la prise en considération du caractère vibratoire pourrait expliquer le mécanisme d’action de certains médicaments. Il s’agit des élixirs floraux, et de l’homéopathie par exemple. Des médecines qui utilisent des médicaments contenant des principes actifs très dilués voire extrêmement dilués dans certains cas de dilutions homéopathiques et qui pourtant agissent. On peut donc comprendre qu’une dent dévitalisée qui diffusent dans le sang, même de petites quantités de cadavérines peut ne pas être dénuée de conséquences cadavériques.
En naturopathie, on définit le concept d’aliments vivants et d’aliments morts. Les derniers étant plutôt issus des boites de conserve par exemple. Chimiquement il y a à peu près la même chose que dans les aliments frais mais pourtant ild transmettent moins de vitalité aux organismes. Les aliments vivants sont plutôt les aliments frais, issus de l’agriculture biologique par exemple. Biologique signifie la science du vivant pour information. Un autre exemple est celui du lait. Il y a le lait cru, le lait frais et le lait stérilisé UHT. Ces trois laits n’ont pas la même valeur nutritionnelle même si chimiquement il n’y a pas de grande différence. Le lait cru contient, on le sait, certains microorganismes qui en général peuvent être bienfaisants comme des levures et des bonnes bactéries que l’on ne retrouvera jamais dans le lait UHT et qu’en petites quantités dans le lait frais ou pasteurisé. Des microorganismes que l’on retrouvera et qui seront bienfaisant notamment dans les fromages au lait cru, qui ne possèdent pas de moisissures (pour approfondir, voir texte: « plaidoyer pour les laitages » http://dent.devitalisee.free.fr/?p=98).
Dans le cas du lait ou des boites de conserves on voit ici que l’utilisation d’une température trop élevée et incompatible avec la vie, nuit d’une certaine façon au caractère vitalisant de la nourriture. La nourriture a été plus ou moins tuée en quelque sorte et s’en nourrir n’apportera pas autant de vitalité, les naturopathes s’en sont rendus compte. Inversement se nourrir de germes de céréales qui sont en plein développement vital est reconnu comme apportant une vitalité certaine.
Maintenant j’imagine que vous pouvez un peu mieux comprendre pourquoi garder en soi une une dent morte ou dévitalisée, va nous imprégner de vibrations de mort et donc peut logiquement être suspecté d’induire des pensées de mort donc de suicide.
Cela n’est pas juste théorique car enlever des dents dévitalisées a permis à des suicidaires de retrouver le goût de la vie et certains patients l’ont d’ailleurs témoigné sur les vidéo du site www.sante-dents.com.
Mais heureusement, tous ceux qui ont en bouche des dents dévitalisées n’ont pas envie de se suicider car les cadavérines et les putrescines ne sont pas toujours suffisantes pour donner envie de mourir. Certains supportent aussi mieux les poisons que d’autres c’est certain. Mais ce qui me semble certain aussi, est que même si les dents dévitalisées ne suffisent pas toujours pour conduire au suicide, elles nous rapprochent toujours plus vite de la mort que si elles ne sont pas présentes dans notre bouche. On observera alors des vieillissements prématurés inévitablement. Preuve en est que les patients qui enlevaient leurs dents dévitalisées présentaient toujours des caractéristiques plus ou moins nettes de rajeunissement. Et cela, même s’ils avaient ensuite un dentier, ce qui paradoxalement pourrait donner l’image exactement de l’inverse.
Mais ce n’est pas le seul inconvénient des dents dévitalisées car vieillir ou mourir, cela n’est rien pourrait-on dire, mais être malade, c’est encore plus terrible. La vieillesse n’est qu’un processus somme toute harmonieux, enfin qui devrait normalement l’être, où la maladie devrait être donc absente car il s’agit juste d’ une baisse progressive de toutes les capacités physiques. Or les dents dévitalisées ont aussi une implication déterminante dans toute la pathologie générale à un point que notre société est loin d’imaginer et qui fait dire à ceux qui se sont véritablement penchés sur le sujet qu’extraire les dents dévitalisées est bien souvent plus efficace que tous les traitements qui existent aujourd’hui dans notre médecine moderne et même les médecines douces. Je sais que cette affirmation peut paraître incroyable et mégalomane mais elle résulte pourtant du témoignage de médecins très connus pour guérir ce que personne n’arrivait à guérir. Des témoignages qui pourraient aussi être recueillis par des journalistes qui voudraient bien faire l’effort de se pencher sérieusement sur le sujet.
Le grand problème est que ce fait extraordinaire, il n’y a pas d’autre mot, n’intéresse quasiment personne d’un point de vue économique dans le monde pharmaco-médico-dentaire. Les patients eux mêmes, une fois convaincus par maints efforts puis guéris sont rares à passer l’information. Les raisons de tout cela sont plus développées dans d’autres textes de ce site comme « la source du mal ». Ce fait extraordinaire qui est connu en France depuis une cinquantaine d’années en est donc encore aujourd’hui à un stade de développement quasi embryonnaire.
Pour en revenir au suicide, bien sûr, les causes du suicide ne se résument uniquement aux dents dévitalisées, loin de moi cette idée saugrenue. Il existe toute une liste de pollutions de l’organisme qui sont aussi susceptibles d’affecter la santé, baisser les vibrations vitales, donc de faire déprimer et donc d’inciter à se suicider. Ce n’est toutefois pas à moi de vous parler ici de ces pollutions en général plus connues et que j’estime d’ailleurs en général aussi, moins graves que la pollution occasionnée par la dent dévitalisée. Et oui c’est un paradoxe et tant qu’il persistera je persisterai à essayer de vous informer sur ce sujet dont je suis particulièrement conscient. L’extrême importance de ce sujet est d’ailleurs une opinion partagée par des médecins connus pour guérir ce que personne d’autre ne sait guérir comme le Dr J.G. Thomas aujourd’hui à la retraite ou les médecins de la clinique Paracelsus en Suisse. Une opinion qui repose donc sur des faits avérés. Il y aurait bien sûr aussi beaucoup à écrire encore sur les caractéristiques psychologiques qui incitent au suicide. Je suis certains que de grands philosophes et psychologues ont écrit sur le sujet. Des psychologues qui parlent de pensée positive par exemple ou des philosophes qui pensent notamment que la croyance darwinienne est d’une certaine façon suicidogène. Une croyance qui pense en effet que la vie est apparue du néant et n’aurait pas de sens plus élevé que celui de faire survivre son code génétique peut en effet sembler somme toute peu enthousiasmante voire parfois carrément déprimante. Si la vie revêt alors parfois un caractère un tant soi peu difficile à supporter, qu’il est facile alors de tomber soit dans des paradis artificiels, les drogues, qui à terme détruisent la vie, soit lorsque le mal-être atteint certains niveaux, de se supprimer la vie carrément.
Dans les causes du suicide, il y a bien sûr le poids du stress. La vie cool est bien sûr moins difficile à supporter que la vie stressante. Mais vouloir expliquer le suicide uniquement en considérant le stress serait extrêmement réducteur. Le stress devrait plutôt être vu comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase même s’il est vrai aussi que tout doit être fait pour diminuer le stress au travail notamment. Il serait de même très réducteur de penser que la seule thérapie à effectuer pour prévenir les suicides seraient les psychothérapies. Et pourtant chercher à diminuer le stress ainsi que la psychothérapie me semblent souvent les seules options envisagées pour lutter contre les tendances suicidaires. C’est là une grave erreur.
Étant donné d’autre part qu’il s’agit de suicides à France Télécom, c’est à dire dans une entreprise de télécommunication, je rappelle que de telles entreprises ont développé ces dernières années un service qui inonde notre espace d’ondes électromagnétiques, avec les antennes relais et les téléphones mobiles. Des ondes qui possèdent un caractère toxique sans l’ombre d’un doute. On a déterminé des corrélations significatives entre la proximité d’antennes relais des habitations et des mal êtres voire des cancers apparus dans ces mêmes habitations. Il s’agit de cancers du cerveau plus précisément, sachant que le cerveau est le siège de l’esprit. Peut-être y a-t-il quelque chose à creuser dans cette voie aussi car les ondes associées à la téléphonie mobile sont très probablement la plus nouvelle pollution de l’environnement apparue ces dernières années. Ce n’est donc probablement pas un hasard si ces suicides touchent la plus grande entreprise française de télécommunication. Un premier indice à ceux qui rechercheraient dans ce sens est que selon l’Ayurvéda, la médecine traditionnelle indienne, l’esprit est caractérisé par l’élément Éther, l’élément le moins matériel et le plus énergétique, qu’on peut aussi appeler l’espace *. C’est justement aussi l’espace donc l’éther qui est pollué par les ondes électromagnétique. Il est donc à craindre que la premier fonction affectée par les ondes électromagnétique soit la fonction mentale. Intéressant non !
Mais il serait aussi temps qu’on fasse la corrélation entre les tendances suicidaires et les dents dévitalisées.
Pour finir je vous renverrai finalement au témoignage vidéo surprenant de l’assistante du Dr Thomas, sur le site www.sante-dents.com à l’adresse http://pagesperso-orange.fr/michel.raynaud/vds.htm
Une dame qui témoigne avoir vu son employeur médecin guérir des centaines de dépressions sans jamais faire de psychothérapie mais juste par des médecines douces, de l’acupuncture notamment et surtout en faisant enlever les dents dévitalisées de ses patients. La dépression est la psychopathologie qui prépare généralement au suicide je le rappelle. Des centaines de dépressions guéries sans psychothérapie, étonnant non! Loin de moi d’idée de vouloir dévaloriser le travail psychothérapeutique et son intérêt pour prévenir le suicide, ou bien de vouloir dévaloriser l’importance du stress mais force est de constater que dans de multiples cas, l’élimination des dents dévitalisées semble aussi très efficace pour prévenir le suicide.
Ce qui pourrait à priori paraître décalé du sujet, en parlant de dents alors qu’il s’agit du suicide, est en fait par conséquent tout à fait dans le sujet et il serait important que notre société en tienne compte dorénavant.
Fin.
Les cinq éléments de l’Ayurvéda sont dans l’ordre du plus matériel ou plus énergétique: la Terre qui est en relation avec les structures solides du corps, l’Eau qui est en relation avec les structures liquides, le Feu, qui est en relation avec la chaleur corporelle, l’Air qui est en relation avec les mouvements et l’Éther qui est en relation avec l’esprit.
Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire.
L’essai à proprement parlé est fini mais je vais vous raconter une anecdote en rapport avec le sujet, somme toute assez rigolote car il n’y a pas eu grand chose de très rigolo jusqu’à présent dans le texte ci dessus. Parmi les quelques condamnations du Conseil de l’ordre à mon encontre, trois en tout, deux impliquaient des plaintes de patients et l’une n’était relié à aucune plainte. C’est cette histoire dont je parle au début du texte où j’avais juste informé un psychiatre par courrier que mes patients suicidaires n’avaient plus envie de se suicider. Trois ans d’interdiction pour un simple courrier qui invitait un médecin psychiatre à réfléchir sur l’ éventuel rapport entre le suicide et les dents dévitalisées, je trouvais là que le Conseil de l’ordre avait fait la preuve flagrante de son manque d’impartialité à mon encontre, vu la peine totalement disproportionnée par rapport à l’éventuelle faute si tant est qu’il y avait là une faute qui était, selon le Conseil de l’ordre, une tentative de tromperie. Et qu’ainsi il aurait été plus facile de comprendre que dans les autres affaires où cette fois ci un patient se plaignait, et où le Conseil de l’ordre m’avait condamné pour le sujet polémique de la toxicité des dents dévitalisées, que là aussi le Conseil de l’ordre pouvait fortement être suspecté de manque d’impartialité à mon égard. Je voulais donc montrer que tout ce qu’il racontait dans son jugement contre moi et que le plaignant utilisait, n’avait en fin de compte pas de valeur. C’est ce que d’ailleurs mon avocate de jadis, Maitre Corinne Lepage, avait elle aussi noté dans son mémoire de défense pour le Conseil de l’Ordre.
Lors de mon procès en correctionnel, en appel à Aix, je fis donc état de ce fait lorsqu’on me laissa m’exprimer. Et voici ce que me répondit la juge, et j’en ris encore à vrai dire. « Quoi, vous dites qu’en enlevant les dents dévitalisées, les gens n’ont plus envie de se suicider comme ça, pouf… et bien moi je trouve qu’en vous condamnant qu’à trois ans d’interdiction d’exercer pour avoir dit ça, ils ont été assez cléments. ».
Mon opinion sur les vaccins
October 14, 2009 on 12:53 pm | In Non classé | Comments OffMon opinion sur les vaccins.
Ce texte ne vous donnera pas ce que vous attendez peut-être d’un texte sur les vaccins qui se positionnerait clairement pour ou contre les vaccins. Il fait par contre certains parallèles instructifs et originaux avec la dent dévitalisée. C’est un texte qui peut toutefois intéresser les personnes qui sont préoccupées par le sujet de la vaccination auxquelles j’espère ainsi apporter une modeste mais originale contribution. Mon texte s’appuiera aussi sur des observations personnelles et représente, je le pense, une analyse somme toute assez instructive comme vous allez le constater .
Le sujet des vaccins est très d’actualité avec le projet de vaccination de masse contre la grippe A même si de récents sondages montrent que 60% des français refuseront de se faire vacciner.
La population dans son immense majorité croit fermement que les vaccins constituent un indéniable progrès médical qui a permis d’éradiquer nombre de maladies graves comme la polio, la variole et le tétanos par exemple.
IL existe pourtant une minorité de personnes, dont des médecins et des scientifiques qui pensent que les vaccins ont plus d’inconvénients que d’avantages.
Ce que je trouve choquant, est que le groupe minoritaire de personnes qui pensent du mal des vaccins n’a quasiment pas la parole au niveau des médias et est considéré comme un groupe de doux farfelus au mieux ou de dangereuses sectes au pire. Et cela même s’il comporte des médecins et des scientifiques. Quant aux médecins qui osent penser cela et ont le courage d’exprimer leurs opinions à leurs patients, ils sont tout simplement interdits d’exercer pas le Conseil de l’Ordre.
C’est un peu la même chose que pour les médecines naturelles en général et que mon cas sur les dents dévitalisées.
Quoiqu’il en soit, la population doit comprendre que les médecins qui ont vacciné tout comme les dentistes qui ont dévitalisé ne peuvent être objectifs sur des sujets qui les touchent de près comme la vaccination ou les dents dévitalisées, respectivement. Il n’y a pas à attendre de ces deux corporations une attitude honnête quant-aux éventuelles conséquences catastrophiques des vaccins ou des dents dévitalisées. Seuls des scientifiques indépendants pourront éventuellement porter un regard honnête sur le sujet.
Le principe du vaccin.
Expliqué de la façon la plus simple possible dans son fonctionnement, le vaccin est un produit qui une fois introduit dans l’organisme déclenche une réaction immunitaire spécifique fabriquant certains agents immunisants. Des agents présents dans le sang qui permettront ensuite à l’organisme de détruire spécifiquement les germes infectieux qui le pénétreront avant qu’ils aient le temps de se développer pour provoquer la maladie correspondante.
Pour se faire le vaccin comporte des germes traités de telle sorte qu’ils ne puissent pas provoquer la maladie qui nécessiterait que les germes puissent se multiplier. Parfois les germes sont justes affaiblis mais souvent ils sont morts carrément. Ces germes n’ont alors plus la capacité de se multiplier, la multiplication des germes étant une condition sine qua none à la maladie selon les connaissances actuelles sur les infections. S’ils sont morts ils n’en restent pas moins utiles pour la vaccination car leurs cadavres, reconnus par nos agents immunitaires du sang permettent de provoquer une réaction immunitaire spécifique. Le vaccin comporte parfois aussi un conservateur à base d’Aluminium ou de Mercure par exemple qui est aussi essentiel à l’apparition de la protection immunitaire parait-il.
On est bien loin des premiers vaccins assez naturels somme toute avec l’invention de Jenner qui en 1796 commença en injectant du pus tout simplement prélevé sur une pustule d’une personne infectée par des vaches, malades de la vaccine (la variole des vaches) pour protéger de la variole très mortelle à l’époque. Jenner s’était aperçu que ceux qui étaient en contact avec les vaches en les trayant notamment, n’attrapaient jamais la variole. Ah sacré vaches, sacrées aussi pour les indiens. Et dire que certains pensent que leur lait est une sacrée vacherie (voir texte « plaidoyer pour les laitages »)
Et pour faire encore un petit rappel historique qui n’est pas sans relation avec le sujet, je rappellerai les observations d’un autre grand médecin d’antan. Le Dr Semmelweis s’était aperçu en 1847 que les étudiants en médecine qui avait eu un contact avec les cadavres en salle de dissection et qui oubliaient de se laver les mains après, provoquaient ensuite plus de morts de nouveau nés quand ils participaient aux accouchements.
Moralité, il vaut mieux toucher une mamelle de vache qu’un celle d’un cadavre (un peu d’humour ça détend toujours).
Pour l’anecdote Jenner fut mis sur un piédestal par ses confrères car il leur apportait un outil supplémentaire mettant ainsi en valeur la profession médicale, tandis que Semmelweis fut renvoyé de l’hôpital car il mettait cette fois ci en évidence une faute médicale grave de ses confrères due à ce qu’on comprendra plus tard être un manque d’asepsie tout simplement (faudrait pas que je m’identifie trop quand même car il n’a pas trop bien fini le pauvre). Le fait d’être discrédité par l’institution médicale n’est pas toujours synonyme de faute professionnelle comme vous le voyez.
Va savoir pourquoi, mais l’histoire de Semmelweis Génère plus de compassion en moi que celle de l’autre ….(houa le jeu de mot).
Au fait en ayant une dent dévitalisée, c’est en permanence que vous êtes en contact avec un cadavre, sachez le. Semmelweis aurait été sans aucun doute contre les dents dévitalisées qui sont des cadavres de dents, je le rappelle. Mais en 1847, les dents dévitalisées, ça n’existait pas encore. Ce n’est qu’un peu plus tard que c’est arrivé, avec une foison de cancers aussi d’ailleurs….
Pour en revenir aux vaccins, avec une vision plus philosophique, si je puis dire, je constate que souvent dans le cas des vaccins, on introduit de la mort, même si ce sont des bactéries ou des virus toxiques morts. Il est bien entendu qu’introduire des germes toxiques vivants serait encore pire. Dans les vaccins, on introduit aussi parfois des métaux qui ont largement prouvé leur toxicité biologique.
Les vaccins participent donc pleinement d’une médecine qu’on pourrait qualifier de médecine des poisons dont un texte du site parle plus longuement en développant le côté pervers de cette philosophie médicale qui pourrait bien à long terme avoir plus d’inconvénients que d’avantages. Plus précisément en fait, le vaccin fait souvent partie même d’une médecine morbide en quelque sorte lorsqu’on introduit des germes morts dans le sang.
Pour faire un parallèle avec la dent dévitalisée, je rappelle que là aussi on introduit de la mort dans le sang, même si cette mort revêt un caractère utile elle aussi puisque une dent morte sert aussi à manger par exemple. Et en plus parfois, la dent dévitalisée est ornée d’un amalgame au mercure et couronnée d’une couronne métallique. Le prof. Boyd Haley s’est aperçu que l’association amalgame au mercure et dent dévitalisée était le top de la toxicité. En effet, les bactéries anaérobies (au métabolisme sans oxygène) de la dent dévitalisée qui ont donc un métabolisme à base de souffre (on dit d’ailleurs que ça sent le souffre quand il y a du diabolique ) transforment le mercure en un redoutable composé chimique qui est le diméthyl sulfure mercure, hautement toxique. Les ions métalliques introduits dans la dent dévitalisée participent donc aussi à une intoxication certaine. Tout cela ressemble beaucoup aux vaccins ma foi, ne trouvez-vous pas ?
Dans le cas des vaccins, pour la médecine officielle, on injecte simplement des éléments qui serviront d’antigènes au système immunitaire qui fabriquera alors des anticorps spécifiques qui circuleront en permanence dans le sang comme des sentinelles qui montent la garde. En théorie tout cela est très idyllique et dans une vision très simpliste, on pourrait ainsi éviter toutes les maladies infectieuses en vaccinant tout simplement. Et c’est d’ailleurs ce que notre société croit assez souvent quand elle vaccine à tour de bras et investit des sommes importantes pour trouver de nouveaux vaccins. On commence même à penser au vaccin contre le cancer à l’institut Pasteur. Les cancers pourraient bien souvent comporter une cause infectieuse en partie, et on le pense de plus en plus pour le cancer de l’estomac avec Héliobacter Pilori (présent toutefois chez de nombreuses autres personnes n’ayant aucun trouble de l’estomac) ou le cancer du col de l’utérus dont on a déjà d’ailleurs mis au point un vaccin qui a déjà commencé à être commercialisé. En allant dans cette direction, on va peut-être comprendre un jour que la dent dévitalisée qui est une niche de bactéries toxiques pourrait ainsi participer aussi aux cancers…
Les maladies infectieuses graves (variole, tuberculose etc..) ont plus ou moins disparues effectivement, grâce à la vaccination selon la médecine officielle. Le problème est qu’il existe des études qui montrent que certains pays qui n’ont pas vacciné notamment pour le BCG contre la tuberculose mais qui ont réalisé eux aussi des progrès dans l’hygiène et le confort des habitations, ont vu aussi disparaître ces mêmes maladies infectieuses graves. Évidemment ces études ne sont pas très bonnes pour le commerce et n’intéressent pas grand monde dans le monde médical non plus dont l’image pourrait être un peu affectée.
Une autre question qu’on est en droit de se poser par l’observation de certains faits, est de savoir si la vaccination n’aurait pas non plus un lien avec l’apparition de maladies graves, ce que bien sûr nie avec véhémence toute la profession médicale qui a vacciné à tour de bras car là, son image pourrait être plus sérieusement affectée. Et cela même devant certaines éléments plus que suspects comme l'’apparition de premiers symptômes de maladies graves juste le lendemain de vaccination par exemple. Des éléments qui pour les détracteurs de la vaccination sont des évidences de lien de cause à effet mais qui pour les médecins qui vaccinent, sont juste dus aux hasard.
Quelques grands exemples de problèmes post vaccinal controversés certes mais plus ou moins prouvés attirent mon attention.
-Le syndrome de la guerre du golfe, divers symptômes dépressifs et algiques et de la fatigue chronique, chez les militaires américains qui furent copieusement vaccinés avant de partir à la guerre.
-L’apparition du sida chez les africains vaccinés par un vaccin expérimental contre le paludisme.
-Les cas de sclérose en plaque apparus après des vaccins contre l’hépatite B.
-Des cas d’autismes apparus après les vaccins des bébés.
-Il y a aussi un exemple plus lointain, la fameuse grippe espagnole qui a tué des millions de personnes au début du vingtième siècle et qui selon certains témoignages auraient justement touché ceux qui se seraient fait vaccinés contre la variole après la première guerre mondiale.
Le symptôme le plus fréquent apparu juste après ces vaccinations serait généralement une forte fièvre. On sait bien sûr que la fièvre peut tuer parfois. Il est intéressant de rappeler aussi que la fièvre est un mécanisme naturel qui sert en outre à désintoxiquer l’organisme et à de tuer des agents infectieux. Une maladie avec sa fièvre, mortelle dans certains cas, pourrait être donc logiquement une première réponse de l’organisme à une intoxication de nature vaccinale, ce qui avec une vision de médecine naturelle signifie que l’organisme se défend contre quelque chose qui vient de l’intoxiquer.
Certains pensent aussi que seuls les conservateurs adjuvants indispensables aux vaccins tels l’aluminium et le mercure constitueraient ce qui est toxique dans les vaccins. Il est bien sûr plus que probable que ces métaux aient une action hautement toxique mais c’est peut-être aussi la totalité de la philosophie vaccinale qui est à remettre en question.
Quelques faits troublants plus personnels:
Maintenant je vais vous citer des faits en rapport avec les vaccins que j’ai personnellement observé ou dont j’ai eu personnellement le témoignage direct.
Mon père a commencé à être patraque après les vaccins de l’armée m’a raconté un jour ma mère. Puis en sortant de l’armée il eut une sciatique qui fut traité par infiltration (de cortisone j’imagine). Quelques jours plus tard un ganglion inquiétant se manifesta au niveau de l’aine (la cortisone comme tous les anti_inflammatoire est immunosuppresseurs et favorise la pénétration plus profonde dans l’organisme des agents infectieux donc du cancer). La biopsie indiqua qu’il était cancéreux et un traitement classique fut entrepris. Mon père qui était un scientifique, enseignant à l’université de Nice, participait même avec ses médecins à la mesure des doses radioactives qui servaient à traiter son cancer, me raconta ma mère. Étant très confiant dans la science universitaire à laquelle il appartenait (celle des maths et de la physique plus précisément), il fit logiquement confiance à la science médicale universitaire et mourut académiquement si je puis dire. C’est ainsi que je devins orphelin de père à l’âge de cinq ans et que nous dûmes vivre en HLM ayant perdu du même coup le luxueux appartement qu’il avait acheté dans le quartier chic de Nice.
Je possède encore quelques exemples instructifs avec les vaccins. Une personne travaillant dans le milieu hospitalier m’avait jadis téléphoné pour me dire qu’elle avait déclaré des symptômes de sclérose en plaque après un vaccin contre l’hépatite B, s’étonnant que personne à l’hôpital ne l’avait jamais informé de ce risque. Un récent sondage auprès du personnel hospitalier français révèle toutefois qu’environ la moitié du personnel médical refusera de se faire vacciner contre la grippe A.
Plus proche de moi, il y une amie qui possède un enfant handicapé mental, son état étant arrivé juste après la forte fièvre qui a suivi un vaccin.
Une autre amie a eu une telle fièvre après un vaccin et elle est tombée dans le coma. Elle s’en est sortie de justesse sans séquelles mais a failli y rester..
Ce qui est très instructif est que ces deux dernières personnes ont quand même vacciné leurs enfants même après avoir vécu ces accidents qui ont failli la tuer pour l’une et a handicapé à vie un de ses enfants pour l’autre. Toutes deux restant persuadées au moment où elles ont fait vacciné leurs enfants que les vaccins protégerait leurs autres enfants. L’une de ces personnes, celle qui a sa fille handicapée est enseignante. C’est une femme intelligente qui aujourd’hui ne referait pas vacciner ses enfants. Mais à l’époque m’a-t-elle dit, elle était tellement imprégné du fait que les vaccins sont un progrès médical que même après l’accident vaccinal qui a rendu sa fille lourdement handicapée mentale, elle a fait vacciné ses autres enfants qui en ont aussi été affectés d’ailleurs mais pas aussi gravement. Elle était elle aussi sous l’hypnose totale du système médical qu’elle croyait imprégnée de vérité sans l’ombre d’un doute. Que si c’était vrai que les vaccins n’étaient pas bons pour la santé, ça se saurait (un peu comme pour les dents dévitalisées) car il ne pouvait en être autrement. Aujourd’hui elle milite contre la vaccination et les dents dévitalisées car elle a retrouvé la santé en se les faisant enlever et son mari est sorti d’un cancer aussi en les faisant enlever.
J’ai encore un exemple flagrant de l’état d’hypnose collective dans lequel se trouve la population vis-à-vis du système médical et de la vaccination en particulier. Je me rappelle d’un article sur mon journal local « Nice Matin » qui traitait le cas d’un enfant atteint d’une maladie rare très grave. Le journaliste avait interviewé la maman qui lui avait dit que les premiers symptômes de cette maladie étaient bizarrement apparus le lendemain d’une vaccination. Mais juste après, le journaliste donnait sur ce fait l’avis du grand professeur de médecine qui avait supervisé l’article et qui disait que c’était tout à fait un hasard et qu’il n’y avait aucun rapport entre cette maladie grave et rare et cette vaccination. Je me rappelle avoir montré à l’époque l’article du journal à quelques personnes assez intellectuelles pour leur demander leur avis sur cet article. Aucun d’eux ne remettait le moins du monde en doute la parole du grand professeur de médecine qui était exprimée dans cet article et visiblement le journaliste non plus à sa façon d’avoir tourné les termes. Il n’y avait aucun doute pour eux sur le fait que les symptômes de la maladie rare et grave qui était apparue juste le lendemain d’une vaccination n’avait aucun rapport avec la dite vaccination. Si le grand professeur de médecine le disait, ce ne pouvait qu’être vrai. Il était inconcevable qu’on puisse mettre ne doute les dires du grand professeur de la médecine scientifique de notre grande civilisation scientifique.
Eh bien mes amis tant que vous penserez cela, vous serez mal barrés…. Les hommes sont les hommes, fussent-ils grands professeurs de médecine et s’ils ont vaccinés des milliers d’enfants pendant leur exercice professionnel et que leurs amis des bans de l’université ont fait de même, jamais ils ne pourront remettre en question la pratique vaccinale même si on leur en apporte toutes les preuves, sachez le. Même mon beau père qui est un éminent scientifique ne m’adresse plus la parole depuis que j’ai eu la maladresse de remettre en question les voyages en Afrique de sa fille pharmacienne qui part bénévolement vacciner des petits africains, ce dont il est très fier. Un jour je l’ai juste informé que certains scientifiques pensaient que c’est ainsi que le Sida était apparu en Afrique. Même les grands scientifiques sont des hommes qui réagissent avant tout parfois en hommes plutôt qu’en scientifiques. Mon propre frère médecin trouve à la limite que ma sanction disciplinaire à l’interdiction d’exercice à vie est justifiée quand je lui parle des terribles effets secondaires de cette médecine qui l’a largement enrichi (une villa avec piscine, un luxueux appartement, une superbe voiture neuve et un compte en banque bien rempli). Eh oui, dans notre société, d’un point de vue bassement matériel, dans le domaine médical, il vaut mieux avoir tord avec l’immense majorité que raison tout seul ou presque… Mais pour sa propre santé, c’est peut-être différent toutefois….
Tant que la société ne prendra pas en compte des facteurs humains dont j’évoque certains ici, elle n’aura pas accès à la vérité qu’elle est pourtant en droit d’avoir. La société devrait réfléchir sur différents problèmes médicaux et le problème des vaccins notamment en totale indépendance de ceux qui sont juge et partie. Le problème c’est qu’il y a généralement toujours en France notamment un conseil de l’ordre ou un juge pas très intelligent (voir le texte « le problème des juges ») influencé par un expert en médecine des poisons, pour condamner les voies dissidentes dès qu’il s’agit médecine vaccinale ou de médecine douce en général. On tue ainsi dans l’œuf toute possibilité de réflexion alternative. C’est un peu la même chose avec le problème des dents dévitalisées et de la médecine moderne et de leurs terribles effets secondaires. Seuls les médias pourraient à la limite contourner le problème si elles mêmes n’étaient pas elles aussi sous hypnose des blouses blanches. Nous devons comprendre qu’il est inutile de demander leur avis sur les vaccins aux vaccinateurs comme il est inutile de demander aux dentistes qui ont dévitalisé et aux médecins qui ont prescrits de l’allopathie, de reconnaître que ces actions ont des effets secondaires qui peuvent se révéler parfois dramatiques.
En attendant, si vous souhaitez faire vacciner votre enfant, il serait préférable pour sa santé qu’il n’ait pas en bouche de dents dévitalisées, ce qui est très fréquent chez les enfants car les dents de lait sont encore plus souvent dévitalisées que les dents définitives, à cause de la grande taille de la chambre pulpaire très souvent atteinte par les caries. Les dents dévitalisées épuisent le système immunitaire étant donné que ce sont de petites infections chronique permanentes. Or les vaccins vont demander au système immunitaire un effort supplémentaire alors qu’il est déjà très fatigué par les dents dévitalisées. Si on est un peu fragile, ce peut-être dramatique. Nombre d’enfants autistes ont manifesté leurs symptômes d’autisme un peu après les vaccins. Hasard diront les professeurs de médecine qui croient beaucoup au hasard, imprégnés qu’ils sont de la théorie darwinienne qui fait la part belle au hasard pour expliquer l’apparition de la vie sur Terre et donc logiquement des maladies.
Vacciner des bébés est encore plus dangereux que de vacciner des adultes car leur système immunitaire n’est pas encore mature. Mais pourtant on a pris l’habitude de vacciner à l’age de bébé, les enfants dans notre société même si bébés, les enfants sont en général protégés des sources de contaminations classiques des maladies pour lesquelles on les vaccine comme le tétanos, la polio et la diphtérie par exemple. On peut trouver les germes de ces maladies à la limite dans la terre dans laquelle jouent en général les enfants plus grands . Il faut aussi éviter de faire plusieurs vaccins trop rapprochés car si le système immunitaire peut à la limite encaisser un produit, trois vaccins en même temps pourraient être terribles pour la santé. Mais pour le côté pratique on a l’habitude de grouper plusieurs vaccins dans la même injection comme le D.T. Polio ou le R.O.R. qui n’est nullement obligatoire à la scolarisation d’ailleurs, je le rappelle. Bien sûr, il évite des maladies infantiles comme la rougeole qui dans certains cas assez rares peut avoir des conséquences neurologiques assez graves. Mais la question que je me pose est de savoir si les enfants qui auraient eu des conséquences neurologiques graves ne sont pas des enfants déjà endommagés dans leur système immunitaire et qui sont aussi ceux là même qui feront le plus d’accidents post vaccinaux parfois encore plus graves que les éventuelles conséquences neurologiques des maladies pour lesquelles les vaccins sont sensés protéger. Des questions qui n’ont pas aujourd’hui de réponses car elles n’intéressent pas les entreprises pharmaceutiques d’une part et ne trouvent pas de financement suffisants dans le domaine public pour pourvoir y répondre.
Aussi incroyable que cela pourrait paraître à certains dans le domaine des médecines douces, je crois que quand on vaccine pour une maladie donnée, on diminue fortement la probabilité que la personne vaccinée ait la dite maladie. J’ai connais toutefois des personnes sensées qui m’ont affirmé aussi le contraire, et je ne suis pas sûr qu’elle aient tord. car cela doit dépendre des vaccins. Mon frère médecin m’a témoigné jadis et je le crois, avoir constaté dans ses patients, que ceux qui avaient été vaccinés contre certaines maladies n’attrapaient pas les dites maladies. Mais le problème qu’il n’a pas vu est qu’on augmente aussi les chances que le patient vacciné ait une maladie bien plus grave.
Les maladies infectieuses ont un certain intérêt avec une vision naturopathique. Je ne veux pas dire par là qu’il faut absolument avoir des maladies infectieuses en s’injectant par exemple les bactéries responsables de ces dites maladies infectieuses mais je veux dire que le fait d’empêcher l’organisme de les avoir par les vaccins alors qu’on devrait les avoir, nuit à un processus qu’on pourrait qualifier de désintoxiquant. Il existe des éléments objectifs qui pourraient en effet le laisser penser. Lorsque j’ai visité la clinique Paracelsus en Suisse, les médecins y soignaient beaucoup de patients en injectant des produits du laboratoire suisse Sanum, notamment dans les gencives aux endroits où il y avait eu des dents dévitalisées. Une pratique qui n’intéresse pas encore nos médecins et dentistes français à ma connaissance. Ce sont des produits faits à partir de souches bactérienne qui permettent une désintoxications des tissus. La philosophie du laboratoire Sanum est de penser que nombre de maladies et notamment de douleurs du corps proviennent de résidus toxiques que les bactéries infectieuses n ’ont pu éliminer de l’organisme à cause d’une utilisation trop importante d’antibiotiques ou de la présence prolongée de sources infectieuses chroniques comme les dents dévitalisées. Cette philosophie n’est pas juste théorique mais est mise en pratique par la clinique Paracelsus notamment depuis des années à travers l’utilisation des produits Sanum qui comportent des bactéries. Les bactéries ont donc un rôle thérapeutique incontestable. Évidemment tout le monde sait aussi que les bactéries ont aussi des inconvénients et qu’on peut mourir d’une infection bactérienne. On comprend donc que tout cela est subtil mais aussi que de soigner les infections par des antibiotiques a aussi des effets secondaires en laissant persister dans les tissus des poisons que les dites bactéries étaient en train de nettoyer lors de l’infection. L’attitude médicale de soigner les infections sans avoir recours aux antibiotiques me paraît donc préférable si tant est que l’on sache quoi faire à la place évidemment. Et l’attitude d’éviter de vacciner pour des pathologies bénignes me paraît elle aussi plus raisonnable dans la mesure où ces maladies pourront jouer un rôle désintoxiquant, si besoin, sans présenter un caractère irréversible que certaines affections possèdent comme la polio par exemple.
Je pense que si la vaccination a permis de fabriquer des anticorps spécifiques, elle a aussi endommagé le système immunitaire d’une blessure, qui comme une cicatrice bloquant l’énergie, le rendra moins apte à lutter contre des poisons. Les poisons pourront pénétrer plus profondément dans l’organisme et provoquer alors les maladies graves où sont atteints les tissus profonds. Ce sera par exemple le tissus nerveux dans les maladies graves comme Alzheimer ou la sclérose en plaque, voire le cœur de la cellule avec ses chromosomes dans le cas de cancer. A propos, on m’a aussi témoigné que des personnes âgées débutent parfois des maladies d’Alzheimer juste après des vaccins contre la grippe, ainsi qu’une maladie où on se paralyse et s’étouffe peu à peu. Mais bon elles n’attrapent pas la grippe……
Il y a bien sûr des faits qui pourraient aussi nous faire penser que des organismes qui n’ont jamais rencontré certains germes pourraient mourir en cas de contacts avec les dits germes. Ils auraient alors peut-être survécus si on les avait vaccinés même s’il y a probablement d’autres facteurs aussi à prendre en compte. On cite souvent pour illustrer cela le cas de peuplades primitives qui furent décimés par les germes transportés par leurs envahisseurs du temps de la conquête de l’Amérique par exemple. Le fait de ne pas avoir du tout frotté son immunité à certains germes semblerait donc poser aussi problème. Tout cela est bien compliqué n’est-ce pas?…………
Enfin tout cela pourrait s’appeler le paradoxe vaccinal qui peut d’autant plus se comprendre qu’on sait que les maladies infectieuses ont aussi un rôle positif parfois. En plus de créer une certaine immunité qui fait qu’on ne peut pas avoir deux fois certaines maladies infectieuses, elles permettent aussi de détruire des poisons qui par définition empoisonnent donc bloquent le fonctionnement cellulaire. Cette désintoxication se fait notamment par le mécanisme de la fièvre qu’il faut savoir contrôler en faisant boire de l’eau avec un peu de chlorure de magnésium par exemple et en mettant des gants froids sur les fesses de l’enfant ou par le bain de siège froid quand le mécanisme de fièvre s’emballe. Il faut rappeler que la fièvre peut aussi tuer quand la fièvre monte au dessus de 42°c. Mais pourtant c’est une erreur de faire tomber la fièvre avec les Doliprane ou Efferalgan au paracétamol, sauf si on ne connait pas les autres solutions certes. Bien souvent face à la plupart des maladies infectieuses, hormis une prévention intelligente, il vaut mieux se coucher à la diète et attendre que ça passe. Pour les maladies infectieuses graves, il vaut mieux avoir sous la main un vrai thérapeute de médecine naturelle, ce qui est assez rare aujourd’hui je le concède.
Les services de cancérologie pédiatrique sont, j’imagine, plein d’enfants ayant été vaccinés qui ont eu ensuite une fièvre qui fut soignée par du Paracétamol ou autres poisons et qui malgré tout a plus ou moins duré jusqu’à ce qu’on découvre une leucémie. Les traitements de chimio finiront par anéantir leur vitalité faisant que toute la vie, s’ils survivent, ils devront payer cette facture énergétique. Ces enfants avaient aussi pour la plupart des pulpotomies en bouche, les dévitalisations des enfants.
Évidemment si un grand professeur de médecine n’arrive pas à reconnaître le lien de cause à effet entre une maladie grave survenant le lendemain d’une vaccination et la dite vaccination, il est à craindre que ni la médecine ni la chirurgie dentaire n’arriveront jamais à reconnaître ce que je viens d’énoncer. Il faudra alors engager à des scientifiques indépendants c’est-à-dire aussi qui n’ont pas un enfant médecin qui vaccine ou une fille pharmacienne qui va vacciner des petits africains pendant ses vacances ou une fille dentiste qui dévitalise des dents. Il faudra demander alors à ces scientifiques indépendants et incorruptibles de se pencher sur ce sujet dont dépend je le pense la santé de millions de personne dans le monde occidental. Mais actuellement les seuls sujets qui semblent intéresser les chercheurs sont des sujets susceptibles de se voir rentabiliser financièrement par des laboratoires pharmaceutiques en général. Ce serait donc à l’État de financer de telles recherches mais il a fini de se ruiner en achetant des millions de doses de vaccin contre la grippe A qui ne serviront très probablement à rien. De toutes façons les dépenses de la sécurité sociale l’ont malheureusement déjà ruiné, tant il y a de malades…. .
Dans les médecines ancestrales naturelles comme la médecine indienne, chinoise ou même tibétaine, je n’ai pas vraiment trouvé de traces de procédés qui se rapprochent des vaccinations, mais peut-être n’ai-je pas assez cherché. La médecine tibétaine dont j’ai eu la chance d’avoir un petit enseignement utilise toutefois comme dans les excipients de certains vaccins, du mercure. Mais c’est toutefois du mercure « purifié » qui a subi de multiples réactions physiques ou chimiques que sais-je, et cela uniquement dans certains de ses médicaments, les pilules dites « précieuses » qui sont sensée guérir des maux subtils qui font intervenir les entités des mondes inférieurs, selon le bouddhisme, celui des démons, dans les affections psychiatriques notamment. Des notions bien sûr totalement totalement étrangères à notre médecine moderne très despiritualisée où ceux qui sont en contact avec certains mondes, qui entendent des voix par exemple, sont vite mis sous neuroleptiques pour plus tard grossir les rangs des maladies d’Alzheimer par exemple ou d’une autre dégénérescence neurologique quelconque. La médecine indienne elle, utilise des médicaments à base de bouse de vache dont les bactéries, bonnes à priori ont sûrement un rôle intéressant et désintoxiquant. On peut retrouver une pratique similaire quand on conseille d’ingérer de bonnes bactéries et des levures, lactiques en général, et se présentant sous différentes formes ( ultra levure ou autre marque de bactéries lactiques, kombucha, champignon tibétain, levure de bière, kéfir et plus simplement yaourts). Mais tout cela est bien différent du principe vaccinal qui injecte des bactéries toxiques. Je n’ai donc rien trouvé dans les médecines traditionnelles asiatiques sur l’introduction de germes toxiques dans le sang comme la vaccination le réalise.
Je reste donc assez dubitatif sur le sujet de la vaccination qui me semble sans aucun doute être une technique à mettre au registre d’une médecine des poisons dont les médecines naturelles citées précédemment réprouvent l’utilisation en règle générale. Et cela même s’il existe quelques exceptions comme l’utilisation de certains produits comme des champignons par exemple en médecine chinoise. Mais la médecine chinoise ne possède pas la dimension spirituelle que l’on peut retrouver dans les médecines indiennes ou tibétaines (que les chinois actuels ont bien contribué à détruire) qui réprouvent tout ce qui peut faire souffrir le règne animal par exemple. Quoiqu’il en soit, jouer avec les poisons est toujours un peu délicat, il faut le rappeler. Les exemples que j’ai cité dans ce texte le montrent bien.
Tout cela pour dire que parfois les vérités des hommes changent et que la meilleure attitude n’est sûrement pas de persécuter la liberté d’expression, même dans le domaine des vaccins ou de la médecine plus généralement, comme cela a un peu trop tendance à se faire aujourd’hui en France notamment. La vérité aura du mal à émerger dans un climat d’ostracisme vis à vis des médecines alternatives qui doivent subir une attitude hégémonique de la médecine officielle avec la complicité de juge simplets. Le climat de non violence est bien plus propice à l’émergence de la vérité sans aucun doute comme le texte de ce site « spiritualité médicale » l’explique. C’est à notre société de rétablir des règles de non violence si elle veut aussi avoir une chance que les idées alternatives pleines d’espoir pour la santé puissent être entendues.
Une donnée essentielle qui devrait nous faire réfléchir et nous inciter à explorer d’autres voies médicales est que, malgré les progrès de la médecine en général et des vaccins en particulier, il y a toujours plus de maladies graves et de cancers qui augmentent environ de 7 à 8 % par an. Des maladies graves qui semblent d’une certaine façon avoir remplacé des maladies infectieuses, graves. Évidemment, cela ne veut pas dire non plus qu’il n’y a un lien entre toutes ces maladies graves et les vaccins.
Les discours classiques sur le bénéfice-risque de l’allopathie, des dents dévitalisées et des vaccins ne peuvent plus satisfaire pleinement notre société où de plus en plus de personnes sont devenues très malades, grabataires et handicapées, à l’évidence pour certains spécialistes, à cause de ces pratiques discutables, même si elles même n’en ont pas toujours conscience. Il serait plus que temps qu’on s’en rende compte et qu’on en débatte enfin sur la place publique.
Si dans le cas des vaccins on introduit un poison en une fois dans le sang (ou plus si on fait des rappels), sachez que dans la dent dévitalisée, c’est en permanence que sont introduits des poisons dans le sang. Il s’agit de bactéries dangereuses et des toxines que la dent dévitalisée produit en permanence. Et pourtant dans les milieux de médecines naturelles, il est très à la mode de parler du grand danger des vaccins mais par contre quasiment pas un mot sur celui des dents dévitalisées. Il serait temps que ce second sujet qui n’est pas moins important que le premier soit aussi débattu car il représente un espoir considérable pour la santé de millions de malades.
La vie comporte certaines lois. L’une d’elle est que de garder de la mort en soi, comme les dents mortes par exemple, n’est pas bonne pour la vie. Cela est et restera toujours une vérité. Et personnellement mais ça n’engage que moi, je pense par analogie qu’injecter aussi de la mort fusse-t-elle représentée par des germes infectieux morts présents dans la plupart des vaccins, ne soit pas la meilleure idée que nous ayons eu pour la santé humaine. Mais je connais aussi indirectement, une histoire de famille où la seule personne qui ne s’est pas faite vacciner contre la polio est aussi justement la seule qui a attrapé la polio, dans une version très légère toutefois. La polio, cette maladie qui détruit irréversiblement une partie du système nerveux rendant les personnes handicapées plus ou moins certes mais à vie toutefois. Mais je connais aussi la mère d’un ami médecin qui a eu la polio après avoir eu (par erreur parait-il) deux fois le même vaccin de la polio. Que c’est compliqué tout ça…..
En tout cas, il existe un petit film fort interpellant que je vous conseille de voir à cette adresse:
http://video.google.com/videoplay?docid=8503852033482537965#
C’est le film “SILENCE ON VACCINE” !
un autre petit film intéressant sur l’actualité de la grippe est visible à cette adresse
http://www.dailymotion.com/video/xb39rb_victimes-du-vaccin-h1n1_news
Cette grippe actuelle est il est vrai assez grave et j’ai eu l’occasion de soigner quelques personnes atteintes qui étaient très mal en point et qui ne sont pas passées si loin que ça de l’hospitalisation et pourquoi pas de la mort. Le cocktail classique anti grippe gingembre rapé et jus de citron ne suffisait pas toujours même si parfois il a été suffisant dans certains cas. Il a fallu aussi faire des soins d’acupuncture parfois. Je peux donc comprendre que la vaccination soit tentante même s’il y a aussi des effets secondaires évidents et graves parfois comme ce dernier film le montre.
J’aimerais bien qu’un jour il existe un tel petit film sur la dent dévitalisée et ses dégâts, mais il existe déjà un peu en quelque sorte sur les vidéos du site www.sante-dents.com et les images sont très parlantes selon tous ceux qui les ont vues.
pour en revenir à cette grippe dont tout le monde parle fin 2009. Les allopathes sont un peu embêtes avec cette grippe car ils s’aperçoivent que leurs médicaments ne marchent pas toujours suffisamment et que les patients ont alors parfois les poumons détruits. Dans la logique allopathique lorsqu’on ne connait que les médicaments allopathiques, il semble assez logique de se faire vacciner mais si on connait un vrai thérapeute énergéticien qui saura soigner la grippe, peut-être vaut-il mieux éviter car il peut aussi y avoir des morts comme cette adresse email le montre.
http://www.destinationsante.com/Deces-d-un-enfant-4-jours-apres-vaccination-contre-A-H1N1-l-enquete.html
On peut certes peut-être se débrouiller tout seul avec des enveloppements de serviettes bouillantes par exemple ou des frictions d’huile essentielles d’eucalyptus ou du médicament vicks par exemple. Mais bon c’est à vos risques et périls….
Dr Bruno DARMON Octobre 2009