Dent dévitalisée et dentisterie holistique…

Dent dévitalisée
et dentisterie holistique…

Les Dents dévitalisées
une grande cause de maladies graves
et de cancers




Ce site est principalement dédié à la toxicité des
dents dévitalisées, mais il donne aussi une vision alternative de la santé, plus en rapport avec le concept de santé naturelle.

Il est réalisé par Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire et tout ce qui est
écrit sur ce site n’engage que la responsabilité du Dr Bruno Darmon qui ne parle
absolument pas au nom de l’institution qui lui a remis le titre de docteur et
qui aurait même tendance à vouloir nier la toxicité des dents dévitalisées. Je
précise cela afin que personne ne soit trompé ici. Ce site n’est en rien
académique. Il serait plutôt hérétique. Il est réalisé en complément du site
www.sante-dents.com réalisé par un enseignant de l’Université des Sciences de
Toulon, Michel Raynaud, qui alerte aussi principalement de la toxicité des dents
dévitalisées et contient des vidéos fort intéressantes qui montrent nombre de
guérisons après avoir enlevé des dents dévitalisées. En France, on entend parler
depuis quelques années de la toxicité des amalgames dentaire au mercure (« les
plombages ») mais le problème des dents dévitalisées qui serait encore plus
grave est très souvent occulté même par les dentistes qui se disent holistiques.
Mais aux Etats-Unis, il existe une grande polémique depuis fort longtemps et sur
les dents dévitalisées et sur les amalgames au mercure. Un petit film a même été
réalisé pour résumer la problématique. Si vous comprenez l’anglais, vous pouvez
le visionner en cliquant
ici.

Selon plusieurs médecins, dentistes et spécialistes, qui se sont penchés sur la
toxicité des dents dévitalisées, statistiquement aujourd’hui en France, la
présence de dents dévitalisées dans une bouche serait une des causes les plus importantes
de maladies graves. Des milliers de cas de guérisons spectaculaires après
élimination des dents dévitalisées confirment d’ailleurs cette conviction. Il
n’y a pas un seul domaine de la pathologie générale qui ne soit pas concerné par
la présence de dents dévitalisées. Et pourtant jusqu’à aujourd’hui, beaucoup de
choses ont été faites pour vous détourner de cette information qui peut donc se
révéler essentielle pour votre santé.

 

 


                                      
ci dessus : dent vivante en coupe.                        

Comme dans toute cette histoire d’empoisonnement de millions de personnes par
les dents dévitalisées, les faits sont plus importants que toute théorie, voilà
tout d’abord le témoignage fort intéressant d’un confrère suisse allemand.

 

Témoignage du Dr Gschwend , dentiste suisse
allemand
:

 J’ai exercé pendant une dizaine
d’années au sein de la clinique Paracelsus à Lustmühle, une clinique médico
dentaire en Suisse, avant d’avoir aujourd’hui mon propre cabinet dentaire. C’est
d’ailleurs là que j’y avais rencontré le Dr Darmon venu pendant un séjour pour y
étudier nos méthodes, il y a quelques années. Je suis aussi le concepteur d’un
implant dentaire non métallique, en céramique zirconium, constituée de deux
pièces avec une surface spéciale élaborée avec l’université de Lausanne en
Suisse. La clinique Paracelsus emploie plusieurs médecins et dentistes mais
aussi des kinésithérapeutes et des psychothérapeutes notamment. Elle est
spécialisée dans les affections chroniques graves qu’elle traite exclusivement
par des méthodes naturelles, pourrait-on dire. La clinique se trouve proche de
Zurich qui est la grande ville d’Europe où selon certaines études récentes, on
est le moins malade au monde. C’est aussi la ville où la population est
parait-il, la plus riche d’Europe. Les prestations de la clinique Paracelsus
pourraient d’ailleurs paraître très onéreuses aux français mais pourtant la
clinique possède une très bonne réputation car elle est connue pour obtenir des
résultats très surprenants face à nombres d’affections graves qui avaient
résistées à la médecine conventionnelle. Des patients viennent donc se faire
soigner de toute l’Europe à la clinique Paracelsus et même des Etats-Unis. Elle
a traité environ vingt mille patients depuis une vingtaine d’années. Les
dentistes de la clinique travaillent en étroite collaboration avec les médecins
et tous les patients y sont invités à faire enlever toutes leurs dents
dévitalisées, même celles qui ne présentent en apparence aucun signe
d’infection. Selon les médecins eux-mêmes, cela constitue la mesure la plus
essentielle de toutes les prestations de la clinique, face aux maladies graves.
En Suisse allemande, et en Allemagne aussi d’ailleurs, il existe depuis
longtemps, tout un courant de dentistes et de thérapeutes qui ont adopté cette
politique de soins. Des dizaines voire des centaines de milliers de patients
doivent y avoir bénéficié de l’élimination de toutes les dents dévitalisées pour
retrouver la santé. Mais en Suisse, cela me semble bien plus développé encore
dans le canton d’Appenzell Ausserhoden où se trouve la clinique Paracelsus et
dans le canton de St.Gall où se trouve mon nouveau cabinet. Ces cantons suisses
sont aussi comme par hasard, les cantons de Suisse où quasiment, les personnes
sont les moins malades de toute la Suisse. Dr Rudolf Gschwend le 4 Mai 2007 St
Gallen, Suisse http://www.drgschwend.ch/

La dent dévitalisée, généralités.

Radiographie dentaire


 

Une dent dévitalisée est une dent dont le dentiste a retiré le nerf (le paquet
vasculo nerveux, plus exactement) qui se trouve à l’intérieur de la dent.
Ensuite le dentiste obture l’espace vide avec une pâte antiseptique ou un ciment
pourrait-on dire aussi, blanc à la radio. On effectue généralement cet acte
quand la carie est trop profonde et a atteint le nerf, car sinon il aurait fallu
extraire la dent. Vous pouvez avoir une idée de ce qui est fait pour dévitaliser
les dents en visionnant la vidéo à l’adresse suivante:

en français:


http://www.dentalespace.com/dentiste/formation/240-traitement-endodontique-complet-molaire-mandibulaire.htm

ou en anglais:


http://www.youtube.com/watch?v=-vqKlN_VCPI&mode=related&search
=

On y voit un jeune homme qui subit une dévitalisation dentaire et qui
visiblement doit être content d’avoir évité grâce à cela d’extraire une dent qui
devait lui faire mal et donc d’une certaine façon de porter ensuite un dentier.
Il est très caractéristique de millions de personnes qui ne se rendent pas du
tout compte de ce qu’elles risquent pour l’avenir. Car malheureusement, ce qu’il
s’apprête à subir peut avoir des conséquences dramatiques sur sa santé générale
et provoquer des maladies toutes plus graves les unes que les autres. Le côté
positif de cette terrible histoire est que les pathologies générées par la dent
dévitalisée, même graves, si elles ne sont pas à un stade trop avancé, peuvent
souvent guérir uniquement avec l’extraction de toutes les dents dévitalisées.
Mais pas toujours toutefois et on y laisse toujours une partie de sa santé
quoiqu’il en soit. Si on ne guérit pas de sa maladie, ce qui est aussi possible,
l’élimination des dents dévitalisées permettra toutefois à l’état de s’améliorer
et aux traitements médicaux d’être bien plus efficaces. Sachez que la majorité
de la population française a des dents dévitalisées en bouche. Les enfants dès
cinq ou six ans ou même parfois avant, ne faisant pas exception, les dents de
lait étant encore plus souvent dévitalisées d’ailleurs car la pulpe très
volumineuse est encore plus rapidement atteinte par la carie. Chez les adultes,
ces dents sont généralement couronnées, avec des pivots et des bridges. Mais
rien de tout cela parfois, elles sont juste dévitalisées et cela se voit par des
tests en bouche comme le test au froid ou le test électrique. Le test électrique
est préférable mais nécessite un appareil appelé pulpetester. On voit aussi
généralement les dents dévitalisées assez facilement sur une radiographie et
notamment une radiographie panoramique dentaire. On verra un trait blanc à
l’intérieur de la dent car la pâte d’obturation pour dévitaliser les dents est
dite radioclaire. Dévitaliser des dents permet de conserver des dents qu’il
aurait fallu extraire et c’est bien sûr un avantage évident. Un avantage évident
en apparence mais qui cache un autre aspect qui pourrait selon certaines études
se révéler bien pire que le dit avantage. La dent dévitalisée pourrait bien être
la première cause de cancers et de maladies graves aujourd’hui dans le monde
occidentalisé, rien que ça. En tous cas, cela pourrait être au moins aussi grave
voire pire souvent que ce dont on parle couramment comme le tabac, l’alcool,
l’amiante, les pesticides, la pollution, les traumatismes psychologiques ou
l’alimentation industrialisée, par exemple, qui aussi bien évidemment ne sont
pas ce qu’il y a de mieux pour la santé. Des médecins se sont aperçus en effet,
que de faire enlever les dents dévitalisées était le mesure la plus efficace à
effectuer pour retrouver la santé dans les pathologies graves. C’est en tout cas
ce que pense un petit groupe de médecins et de dentistes en France. Mais ils
sont bien plus nombreux dans les pays germanophones et anglosaxons et notamment
aux Etats-Unis où une polémique existe et cela depuis de nombreuses années.
Actuellement, un ancien cofondateur de l’association américaine des spécialistes
en dévitalisation qui a dévitalisé des dents le plus parfaitement possible toute
sa vie, le Dr Meinig, affirme qu’il faut toutes les enlever et reprend les
traces d’un ancien éminent dentiste américain, qui avait commencé à en parler et
publié de multiples travaux sur le sujet, feu le Dr Weston Price. A la suite de
ces travaux, tout un courant de thérapeutes américains s’était positionné pour
dire qu’il ne fallait pas garder en bouche de dents dévitalisées. C’est
d’ailleurs aux Etats-Unis qu’il y a probablement le plus de dentistes, de
médecins et de scientifiques qui soutiennent encore aujourd’hui cette démarche,
comme une célèbre (aux Etats-Unis) ex professeur de biologie cellulaire à
l’Université d’Indiana, Hulda Clark, auteur de nombreux best sellers sur la
prévention et les traitements naturels des maladies graves et des cancers. Pour
approfondir sur les sites américains sur le sujet aller voir le texte “les sites
américains“. Néanmoins, même aux Etats-Unis, la quantité de dents dévitalisées
dans la population a progressé de façon effroyable ces dernières décennies, tout
comme les maladies graves et les cancers aussi d’ailleurs. Et cela même si
d’éminents scientifiques, comme le professeur Hulda Clark et le professeur Boyd
Haley (on en reparlera plus loin) se sont positionnés pour alerter sur ce sujet.
Mais il y avait d’autres scientifiques qui avaient fait de même depuis fort
longtemps aux Etats-Unis et qui n’ont pas été écouté. Au contraire, on n’a
jamais autant dévitalisé de dents. Aux Etats-Unis, au début des années soixante,
3 millions de dents étaient dévitalisées dans la population américaine qui
comptent environ 200 millions d’habitants. Au début des années 90, les dentistes
américains dévitalisaient environ 40 millions de dents par an et actuellement
c’est plus de 50 millions chaque année. Et ces chiffres sont fournis dans un
journal professionnel français, par un des plus éminents endodontistes (dentiste
spécialiste de la dévitalisation dentaire) américains, le Dr Clifford, non pas
pour affoler mais au contraire pour montrer que grâce à la technique de la
dévitalisation dentaire, on peut ainsi sauver rien qu’aux Etats-Unis, plus de 50
millions de dents chaque année qui sinon auraient du être extraites. Vous pouvez
d’ailleurs consulter le texte originel de cette info
ici même
.
Cette information permet de prendre conscience de l’ampleur du problème « dent
dévitalisée » qui s’est développé considérablement au vingtième siècle aux
Etats-Unis et continue encore aujourd’hui de se développer à grande vitesse. Les
chiffres sont du même ordre en Europe et ils sont même pire en France à cause
d’une incitation nette de la sécurité sociale française et des mutuelles, à
dévitaliser les dents plutôt que les extraire, voire même à les garder vivantes
tout simplement. Le problème « dent dévitalisée » touche aujourd’hui des
centaines de millions de personnes dans notre civilisation occidentalisée car
dans les pays pauvres, on arrache encore surtout les dents plutôt que de les
dévitaliser. J’espère qu’on prendra  conscience de toute la problématique liée à
la dent dévitalisée quand on consultera les informations qui sont délivrées sur
ce site Internet et son cousin www.sante-dents.com, ce que certains dentistes comme
le Dr Clifford semblent ignorer ou plutôt refusent encore aujourd’hui de prendre
en considération. Il est en effet peu probable qu’il ignore le sujet en fait,
car aux Etats-Unis, il existe depuis de nombreuses années une grande polémique
sur ce sujet. Mais, nul n’est plus aveugle que celui qui ne veut voir, c’est
bien connu. Cela est quand même très intéressant à savoir car en France, il
semble qu’il n’y ait quasiment pas de polémique sur le sujet. La population y
est généralement uniformément convaincue en sortant de chez son dentiste qui
vient de lui dévitaliser une dent, qu’elle a été soignée de la meilleure façon
qu’il puisse y avoir.

Les raisons de la toxicité des dents dévitalisées.

Bactériologiquement parlant, la dent dévitalisée est une niche de bactéries
toutes plus toxiques les unes que les autres. Ces dents essaiment des bactéries
anaérobies dans l’organisme. Les bactéries anaérobies sont des bactéries qui ne
nécessitent pas d’oxygène pour vivre et généralement elles sont parmi les plus
toxiques. La dent dévitalisée est donc un foyer infectieux qui peut avoir des
retentissements sur tout l’organisme. Un foyer qui provoquerait des pathologies
à distance extrêmement diversifiées dont certaines n’ont rien à priori
d’infectieux. Des affections aussi bien dans le domaine des maladies somatiques
que des maladies psychiques d’ailleurs. On parle de la théorie de l’infection
focale dentaire, car ce n’est pas encore vraiment reconnu par la pensée
académique dentaire, surtout si les dents dévitalisées ne présentent pas de
signes apparents d’infection. Et même dans ce cas là, c’est largement sous
évalué. La dent dévitalisée est un cas particulier dans le domaine de
l’infectiologie. Elle constitue un foyer infectieux chronique sans présenter
localement de signe d’infection la plupart du temps. Cela s’expliquerait par la
structure de la dent et par le traitement de dévitalisation qu’on appelle aussi
plus prosaïquement parfois un traitement canalaire ou de canal dentaire (root
canal treatment en anglais) ou un traitement endodontique. Les dentistes
enlèvent la majeure partie des tissus putrescibles de la dent en les remplaçant
par une pâte antiseptique. C’est cette pâte qui empêche l’organisme de réagir
par une infection locale et cela d’autant plus qu’elle comporte des produits
anti-inflammatoires. Le traitement endodontique s’est amélioré certes au cours
des années sans toutefois qu’il y ait eu véritablement de révolution depuis
qu’on a bien compris qu’il valait mieux extirper toute la pulpe de la dent (pulpectomie)
alors qu’au début de la dévitalisation dentaire, on n’extirpait que la pulpe de
la couronne de la dent et pas celle des racines (pulpotomie). C’est d’ailleurs
ce qui se fait encore couramment pour les dents de lait. Pour approfondir voir
le texte: “dévitalisation des enfants“. Mais voilà, malgré tous les progrès
technologiques dans le domaine (nouveaux instruments, laser etc.. ), ce
traitement ne peut et ne pourra jamais être parfait à cause de la structure de
la dent. La dent dévitalisée ne pourra donc jamais être stérile. Il est en effet
impossible d’enlever la totalité de ce tissu putrescible de part l’anatomie et
l’histologie (l’anatomie microscopique pourrait-on dire) de la dent qui restera
toujours plus ou moins donc dans un état infectieux chronique, le plus souvent
indolore. Et cela est loin d’être anodin car la dent baigne dans la circulation
sanguine qui propage les germes infectieux à tous les organes. Pour essayer de
comprendre pourquoi il est impossible de stériliser une dent dévitalisée,
analysons l’anatomie de l’intérieur de la dent tout d’abord. Le schéma de coupe
se trouve vers le début du texte. A l’intérieur de la dent se trouve la pulpe
dentaire qui comprend nerfs et vaisseaux sanguins qui cheminent dans un canal
jusqu’à l’os de la mâchoire. L’intérieur de la dent n’est malheureusement pas
constitué d’un seul canal mais de multiples canaux. Il est impossible d’extirper
le tissu pulpaire (nerf et vaisseaux sanguins) des canaux dits accessoires. Le
dentiste peut seulement nettoyer par conséquent le canal principal, voire
parfois avec un peu de chance un canal secondaire (un gros canal accessoire)
mais pas plus. De la matière organique pourrit donc inéluctablement dans les
canaux accessoires.

 

 

Anatomie plus précise de la pulpe dentaire

 



Les canaux accessoires restent la plupart du temps inaccessibles au nettoyage
et constituent par conséquent le siège de putréfactions même si cela ne provoque
pas de douleurs ni d’infection locale la plupart du temps.

 

 

 

Voici le type d’instruments utilisés pour dévitaliser les dents. Ce sont des
instruments longitudinaux qui extirpent la pulpe dentaire, raclent le canal
dentaire pour l’élargir et le nettoyer pour ensuite pouvoir plus facilement le
remplir d’une pâte ou d’un ciment qui va durcir et obturer l’espace vidé. On
comprend facilement qu’il n’est pas possible ainsi d’avoir accès aux canaux
accessoires qui sont représentés sur le schéma précédent. Ceux-ci restent donc
remplis de matière organique et pourrissent inéluctablement en libérant dans le
sang les produits de leur putréfaction.
Les dentistes grâce à cette
technique ont moins l’image d’arracheurs de dents mais plutôt l’image de
micro-chirurgiens conservateurs de dents. En fait dévitaliser les dents
ressemble plus d’un point de vue de la technique, à une technique d’embaumement
de thanatopracteur qu’à une technique médicale à proprement parler. Les
instruments utilisés pour dévitaliser la dent ressemblent un peu à des poignards
enfoncés dans la dent pour la tuer, et munis d’aspérités pour en sortir les
entrailles. L’aspect médical réside en fait principalement dans le fait qu’on
supprime ici la douleur de la dent sans l’enlever puisqu’on extirpe le nerf qui
peut exprimer cette douleur. Et c’est cela qui fait que les patients sont
extrêmement contents car ils n’ont plus mal et conservent leur dent d’une
certaine façon grâce à l’acte de dévitalisation dentaire. Puis quand des années
plus tard, ils font leur cancer ou leurs autres maladies, ils ne font jamais le
lien avec cet acte de dentiste réalisé des années auparavant. Le dentiste non
plus d’ailleurs, d’autant plus que la dent ne fait pas mal et qu’en
apparence, elle n’a donc que des avantages. Mais en réalité, biologiquement
parlant, ce n’est plus une dent mais une dent empaillée en quelque sorte et cela
est très différent.
 

 

Mais ce n’est pas tout. L’histologie (la science des tissus biologiques) nous
enseigne que la dentine ou l’ivoire qui constitue la masse de la dent n’est pas
non plus de la pierre mais ressemble plutôt à une éponge constituée de millions
de minuscules canaux, les canalicules ou tubulis dentinaires qui sont eux même
remplis de matière organique. Ce sont les prolongements des cellules de la
pulpe, les odontoblastes, qui fabriquent l’ivoire ou dentine. Ces tubulis dans
la dent dévitalisée deviennent eux aussi des niches de bactéries qui sont aussi
totalement indésinfectables.

Image en microscopie électronique des tubulis
dentinaires constituant l’ivoire ou la dentine.



 

A côté des canaux on voit des petites boules blanches de la taille de
bactéries. Les tubulis dentinaires constituent la loge idéale de bactéries dans
les dents dévitalisées. Les bactéries anaerobies très toxiques, hors d’atteinte
du système immunitaire et de tous les désinfectants possibles et inimaginables
libèreront ensuite des toxines redoutables dans la circulation sanguine.

Lorsqu’on dévitalise des dents, cela peut se faire de la façon la plus stérile
possible certes, en mettant notamment autour de la dent, un champ opératoire en
caoutchouc qui s’appelle la digue. Mais il n’est pas rare de toute façon, à
cause de la carie, que des bactéries étaient déjà présentes dans la dent et donc
dans ses recoins inaccessibles aux antiseptiques. Et même si la dent vivante
était totalement saine avant d’être dévitalisée de façon parfaite, sans une
seule bactérie, il est toujours possible que des bactéries la colonisent
ultérieurement à l’occasion d’une quelconque bactériémie, c’est-à-dire au
passage de bactéries dans le sang, venant par exemple du gros intestin. Les
germes viendraient se nicher dans la dent puis s’y multiplieraient. Le concept
de dent dévitalisée stérile qui le resterait dans le temps est donc totalement
un mythe.

La dent dévitalisée la mieux traitée devient donc inéluctablement avec le temps,
un bouillon de culture planté dans l’os de la mâchoire. Un bouillon de culture
qui va essaimer ses bactéries toxiques dans tout le corps et libérer les
produits du métabolisme bactérien, appelés toxines. Le tout grâce à la
circulation sanguine dans laquelle baigne la dent dévitalisée. Et cela n’est
bien sûr malheureusement pas sans conséquences néfastes sur la santé. On a vu
que les dents dévitalisées en apparence sans infection, constituent en fait
aussi des foyers d’infection. Mais parfois les dents dévitalisées présentent
aussi des petits signes d’infection comme le granulome dentaire qui est un
processus immunologique local. On peut aussi avoir le stade suivant, le kyste
qui est un petit sac fibreux mais aussi il peut y avoir des abcès qui se
diffusent dans les tissus environnants. Dans ces cas là, notamment le dernier
cas, la pensée académique pense qu’effectivement il pourrait y avoir
éventuellement un processus d’infection focale mais qu’alors il suffit de
retraiter la dent correctement, voire de supprimer chirurgicalement le kyste.
Parfois cela peut être vrai en partie d’ailleurs mais en partie seulement. Les
signes infectieux locaux régressent alors car le nouveau traitement désinfecte
mieux la dent dévitalisée. Une dent mieux dévitalisée pourra faire régresser des
petites pathologies à distance, c’est vrai. Mais ce ne sera jamais suffisant
pour guérir de graves pathologies toutefois et en plus les récidives sont très
fréquentes même avec de petites pathologies. L’extraction de la dent dévitalisée
sera donc toujours préférable pour guérir de pathologies à distance. Mais même
sans ces signes infectieux, certains estiment que les dents dévitalisées peuvent
être toxiques. Le granulome et le kyste sont la traduction d’une défense de
l’organisme contre une invasion bactérienne. On considère généralement, s’il n’y
a ni granulome ni kyste, que le traitement endodontique est correct.
Paradoxalement selon certains, l’absence de kyste ou de granulome permettrait
encore plus aux germes toxiques de se disséminer dans l’organisme. Les
désinfectants chimiques couramment mis dans la racine comme l’eau de javel
pourraient en être la cause. En effet les désinfectants et les pâtes
d’obturations tuent souvent le ligament qui entoure la dent ce qui fait qu’elle
se soude alors à l’os de la mâchoire. L’extraction n’est d’ailleurs alors pas ce
qu’il y a de plus facile et peut prendre parfois un temps certain et conduire à
des éliminations osseuses fréquentes, mais rien de grave toutefois. Les cellules
du ligament qui servent de trame à la fabrication d’un granulome ou d’un kyste,
une fois tuées, ne permettent plus alors de fabriquer de granulome ou de kyste
par conséquent. Les bactéries dans une telle dent dévitalisée passent alors
encore plus facilement dans l’organisme car il n’y a plus rien qui pourrait s’y
opposer par son action immunitaire et son action de barrière à la dissémination
bactérienne que constituent le granulome et le kyste. Dans la pratique les
dentistes qui se sont intéressés au sujet, constatent souvent que ce sont
d’ailleurs des dents dévitalisées non douloureuses et sans signes cliniques
d’infection qui sont le plus toxiques à distance. La douleur est un signal
d’alarme qui semblerait ici avoir même un intérêt thérapeutique. L’absence de
douleur pourrait aussi être due à la présence de certaines toxines fabriquées
par les dents dévitalisées dans le genre de la toxine botulique qui elle bloque
la transmission de l’influx nerveux moteur. Une toxine qui est d’ailleurs
utilisée en médecine esthétique moderne pour créer un spasme musculaire
permettant de supprimer une ride associée à un relâchement musculaire. On
observe d’ailleurs généralement que lorsque la dent se remet à faire mal, les
symptômes pathologiques à distance liés à la dent disparaissent aussi ou au
moins s’atténuent. Cette propriété peut d’ailleurs être utilisée dans une
technique de réflexologie dentaire assez simple. Il s’agit de toucher la gencive
de la dent causant la pathologie et de créer à l’endroit touché une douleur en
frictionnant la gencive avec le plat de l’ongle par exemple ou une bague en
métal placée au bout du doigt. Avec l’autre main, on touchera sur le corps, la
peau en regard de l’organe malade ou l’endroit de la douleur du corps. En
quelque secondes douloureuses pour la gencive, les symptômes de la maladie,
surtout s’ils sont associés à une douleur, peuvent s’atténuer voire disparaître.
Cette réflexologie à l’avantage, en plus d’améliorer les symptômes (surtout
s’ils sont associés à de la douleur), d’identifier aussi la loge dentaire
causale, c’est-à-dire la zone dentaire qui cause la pathologie à distance. C’est
d’ailleurs généralement la zone de la bouche la plus douloureuse quand on touche
d’une main la zone malade du corps et de l’autre quand on frictionne la gencive
de la façon décrite précédemment. La douleur possède donc à l’évidence un
intérêt thérapeutique et c’est intéressant de le comprendre quand on sait qu’à
l’inverse on fait généralement tout aujourd’hui dans la logique médicale moderne
pour la supprimer à coup de médications chimiques qui inhibent les mécanismes
biologiques qui interviennent dans la genèse de la douleur. Et cela n’est
probablement pas anodin. Pour approfondir cela, voir le texte de 12 pages : “
douleur, mal de dos et décadence“. Il n’est d’ailleurs pas rare qu’après
certains bons soins, ou de façon cyclique, des dents dévitalisées se remettent à
faire mal comme si l’organisme effectuait ainsi une tentative de signaler un
danger grâce à la douleur locale. La douleur ici dans une dent dévitalisée, est
due alors à une compression du ligament qui entoure la dent. On parle de
desmodontite aujourd’hui et autrefois on parlait d’arthrite dentaire. Ce qui
préoccupe surtout les dentistes généralement vis-à-vis de la dent dévitalisée,
il faut bien l’avouer, est que les signes d’infection locaux de la dent
dévitalisée puissent surtout provoquer des douleurs de la dent. Et c’est surtout
ça le problème pour les dentistes dont l’objectif est avant tout de supprimer
les douleurs de la dent, afin de ne pas extraire la dent. Les patients ne sont
généralement pas contents qu’on doive leur enlever leur dent. La pensée que le
bon dentiste est celui qui garde le plus possible les dents est aujourd’hui bien
ancrée dans la population. Par contre, la pensée que le dentiste puisse
empoisonner ses patients en leur dévitalisant les dents ou autre chose n’est pas
vraiment présente en France. J’ai écrit « ou autre chose » car il n’y a pas que
dévitaliser les dents qui puisse empoisonner, il y a aussi les amalgames au
mercure notamment. Mais les dents dévitalisées semblent la plupart du temps
constituer le plus grand empoisonnement dentaire qu’on puisse réaliser, à
quelques exceptions près. Mais notre monde est un monde où les atteintes à la
santé sont multiples j’en conviens et on peut donc se dire ma foi, c’est une
pollution de plus. Il y a aussi tellement de bactéries dans le gros intestin
alors quelques une de plus ou de moins, où est le problème ? Et c’est là que
certains éléments interviennent pour faire prendre conscience de l’extrême
importance de cette intoxication par rapport à d’autres intoxications du même
ordre. Certaines considérations de médecine chinoise pourraient bien prouver
qu’aujourd’hui en France, la dent dévitalisée est la première cause de maladie.
Pour approfondir cela aller voir le texte de 3 pages : “Première cause de
maladie“. Enlever les dents dévitalisées est aussi tout à fait en accord avec la
philosophie de la médecine traditionnelle indienne. Pour approfondir cela aller
voir le texte: “vu de l’Ayurvéda“. Mais pour rester sur des considérations
purement occidentales, les dents dévitalisées libèrent tout simplement toxines
et bactéries toxiques. Les dents dévitalisées par leur proximité avec le
cerveau, sont donc susceptibles plus que beaucoup d’autres choses d’altérer le
fonctionnement du chef d’orchestre de l’organisme qu’est le cerveau. Et cela
simplement, pourrait expliquer l’immense implication de la dent dévitalisée dans
la pathologie générale. L’expérience thérapeutique de certains médecins sur ce
sujet est édifiante. En effet, leur expérience sur des milliers de patients et
pendant des dizaines d’années pour certains, leur a permis de constater que face
à des pathologies graves, la mesure la plus essentielle à effectuer pour
retrouver la santé était le plus souvent de faire enlever les dents dévitalisées
et cela dans quasiment toutes les pathologies. Et cela même lorsque les dents
sont apparemment saines selon les critères académiques, c’est-à-dire qu’elles ne
font pas mal, et ne présentent pas de signes cliniques d’infection notamment à
la radiologie.

La toxicité des dents dévitalisées pourrait aussi s’expliquer par des façons
plus subtiles encore. Pour approfondir cela voir le texte: “montage énergétique
toxique“.

 

Dents dévitalisées et maladies génétiques.

Il est aussi plus que probable que nombres de maladies génétiques puissent
trouver leur origine dans les dents dévitalisées des parents. Les enfants qui
ont des dents tordues par exemple (problèmes orthodontiques) pourraient bien
constituer la première maladie génétique provoquée par les dents dévitalisées de
leurs parents. En effet, il faut comprendre que la dent dévitalisée empoisonne
tout d’abord l’os qui entoure la dent donc l’os des mâchoires. On sait que les
parents diabétiques qui ont donc le pancréas abîmé ont plus de chance d’avoir
des enfants diabétiques. Et bien c’est un peu la même chose ici tout simplement.
L’os des mâchoires génétiquement affecté, aura une croissance perturbée de telle
sorte que les dents n’auront plus assez de place pour se positionner. La
quantité effarante de problèmes orthodontiques qu’on observe chez les enfants
français particulièrement, pourrait donc bien être la première conséquence
génétique des dents dévitalisées de leurs parents. Quand on voit toutes les
pathologies induites par les dents dévitalisées, et donc leur caractère
éminemment toxique, il est probable que bien d’autres maladies génétiques dont
le nombre a considérablement augmenté ces dernières années, soient aussi causées
par les dents dévitalisées des parents. Et cela adviendra avant que les parents
ne soient malades eux-mêmes à cause des dents dévitalisées, ce qui rend le
problème bien plus complexe à mettre en évidence. La dent dévitalisée étant
remplie de médicaments ne se révèlera toxique que bien plus tard par divers
symptômes mais cela ne signifie nullement qu’elle n’est pas pour autant toxique
dès qu’elle est mise en place dans la bouche. J’ai eu quelques cas troublants
dans ce sens chez mes patients. Les enfants avaient un problème dans une zone du
corps qui correspond à la zone du corps qui aurait du être affectée par la dent
dévitalisée de leur mère. Etonnant non, mais somme toute logique. Il faudrait
certes des années et des années pour arriver à prouver cela par les
méthodologies scientifiques actuelles et entre temps tous nos enfants seraient
atteints de tares génétiques. La vague de maladies génétiques qui arrive
aujourd’hui pourrait bien être une des premières conséquences de la dent
dévitalisée.

 

La dentisterie holistique.

La pensée qu’on puisse redonner la santé en arrachant les dents dévitalisées ou
en faisant autre chose dans la bouche, est au stade embryonnaire, surtout en
France. C’est vraiment dommage car en enlevant les dents dévitalisées et plus
généralement en nettoyant la bouche de tout ce qui y est toxique, on comprendra
un jour que les dentistes seront des aides essentiels, voire indispensables bien
souvent dans certains cas, pour redonner la santé à la population.
Personnellement je suis persuadé que ce sujet est une clef essentielle
aujourd’hui de l’immense majorité des maladies. Et ce n’est pas que théorique
car pendant une dizaine d’années, j’ai proposé à tous mes patients d’enlever
toutes leurs dents dévitalisées notamment et l’immense majorité a guéri de
choses plus ou moins graves d’ailleurs, juste en effectuant cela. La plupart du
temps, les dents que j’enlevais ne faisaient absolument pas mal. Et comme je
savais que cela serait un peu incroyable, j’ai pris la précaution de filmer une
centaine de mes patients qui sont d’ailleurs sur le site Internet
www.sante-dents.com. Il est vrai que pour renforcer mon taux de guérison,
j’avais aussi développé toute une série de techniques de médecines naturelles en
plus. Techniques que j’applique aujourd’hui dans un centre de thérapies
naturelles. Voir le texte: “Centre de thérapies naturelles“ ou que j’enseigne
lors de stages de médecines naturelles, voir le texte « stages prévus ». Mais
ces techniques auraient été insuffisantes à terme pour les maladies graves, sans
avoir appliqué au préalable ce qu’on pourrait donc appeler une dentisterie
holistique, car elle prend en considération les interactions entre les soins
dentaires et le reste de l’organisme. Voir le texte: “dentisterie holistique“
pour approfondir. Actuellement et pour avoir défendu cette idée, j’ai été interdit d’exercer la dentisterie par le Conseil de l’Ordre. Je travaille donc avec certains dentistes proches du centre de
thérapies, qui acceptent d’enlever les dents dévitalisées. J’effectue le
diagnostic énergétique permettant de savoir précisément quoi faire, je contrôle
que tout soit fait dans l’esprit holistique et j’assure la préparation pré et
post opératoire afin d’optimiser les résultats thérapeutiques grâce à toute une
panoplie de médecines naturelles. Mais l’acte le plus important pour retrouver la santé est réalisé sans aucun doute par les dentistes qui ont
compris ici que leur intervention était indispensable pour redonner la santé à
nombre de patients. Je n’étais quand même pas le seul dentiste en France à
avoir compris l’intérêt pour la santé d’enlever les dents dévitalisées, même si
j’étais probablement le moins discret sur le sujet. Mais c’est un sujet où
j’estimais que la discrétion n’était pas de mise, vu notamment l’état sanitaire
actuel de la population et l’espoir considérable que l’élimination des dents
dévitalisées peut y apporter.

 

Dentisterie holistique :

La dentisterie holistique prendrait en considération toutes les conséquences
des traitements dentaires sur la santé générale et permettrait aussi par
conséquent grâce à des traitements dentaires particuliers de soigner de
multiples affections médicales. L’élimination des dents dévitalisées remplacées
par des prothèses amovibles, l’élimination des amalgames au mercure remplacées
par des composites ainsi que l’élimination des dents de sagesse qui sont souvent
trop au fond de la bouche, en seraient le B.A.BA.

Compte tenu de l’état de conscience de la population sur les rapports entre les
dents et notamment les dents dévitalisées et la santé, les dentistes se
préoccupent aujourd’hui surtout de conserver le plus possible les dents, donc
les dents dévitalisées, pour faire plaisir à leurs patients. Et les
universitaires qui ont généralement aussi leur cabinet privé, suivent le même
chemin. Ils répondent ainsi à une croyance de la population en quelque sorte,
qui n’octroie aux dentistes que le rôle de conserver le plus longtemps possible
leurs dents. Une croyance qu’il n’est pas si facile de remettre en question sans
passer pour un arnaqueur qui voudrait enlever des dents qui ne devraient pas
l’être. Peu de personnes croient que les dentistes pourraient être un élément
déterminant de leur santé, surtout en enlevant des dents qui ne font pas mal.
« Vous vous imaginez, tous ces chercheurs qui cherchent, tous ces millions
dépensés pour la recherche médicale, pour trouver de nouveau traitements et de
nouveaux médicaments et on voudrait nous faire croire qu’en enlevant des dents
sans douleur et sans infection, on va guérir mieux que tout. Si c’était vrai, ça
se saurait ». C’est le genre de pensée, pas toujours exprimée, que j’ai souvent
du générer en proposant mes traitements d’élimination des dents dévitalisées et
qui ont du me faire perdre nombre de patients. On peut facilement comprendre que
peu de dentistes se risqueraient à proposer de tels traitements car on peut
imaginer que les patients pourraient leur en vouloir s’ils ne guérissaient pas
ou pire si leur santé ne s’améliorait pas. Mais heureusement si les choses sont
faites comme elles le doivent, il est très rare que les améliorations de santé
ne soient pas évidentes peu de temps après l’élimination des dents dévitalisées.
La croyance que les dentistes, ne sont pas si importants que ça pour la guérison
de maladies, même graves, est vraiment une erreur dont notre société est loin
d’avoir mesuré toutes les conséquences fâcheuses. Il existe toutefois
actuellement un courant de dentistes et aussi des universitaires qui
s’intéressent aux conséquences néfastes sur la santé, des amalgames dentaires au
mercure, du tartre et aussi d’une mauvaise occlusion dentaire (les rapports des
dents du haut avec celles du bas). Mais tout cela est généralement négligeable à
côté des dents dévitalisées. Notre dentisterie actuelle fait donc tout pour que
la dent soit la mieux dévitalisée possible afin surtout que la dent dévitalisée
ne soit pas douloureuse et donc ne nécessite pas d’être extraite. Car souvent
les petits signes infectieux locaux que sont le kyste ou le granulome, peuvent
rendre la dent douloureuse. Et si on n’arrive pas à supprimer cette douleur
alors il faudra extraire la dent, et le dentiste passera pour un mauvais
dentiste.

 

Les raisons du succès de la dent dévitalisée.

Si la dent dévitalisée jouit d’un succès considérable dans notre civilisation,
c’est que l’extraction implique souvent le dentier qui n’a pas il faut bien
l’avouer une très bonne image. C’est probablement la plus simple explication à
l’immense succès de la dent dévitalisée et au manque d’information sur ses
effets secondaires redoutables. Et ma foi on peut comprendre que des personnes
préfèrent souffrir et mourir prématurément, tout ça pour ne pas avoir de
dentier, pourquoi pas, même si je trouve cela un peu triste. Mais on peut aussi
comprendre que d’autres préfèrent avoir un dentier que subir tout cela. Et c’est
là le problème car pour que ces personnes aient le choix, encore faut-il
qu’elles soient informées que ce choix existe, donc que leurs dents dévitalisées
les empoisonnent. C’est bien le but de ce livret et des sites Internet qui y
sont rattachés. C’est donc à cause d’un problème lié au dentier donc d’image
aussi surtout et de confort en bouche aussi plus ou moins, que nous pourrions
être le peuple le plus malade d’Europe. En effet, ce sont les français très
probablement (car je n’ai pas pu enquêter sur tous les pays d’Europe) qui ont le
plus de dents dévitalisées d’Europe. Les remboursements ont en effet favorisé
cet acte d’une certaine façon à travers le bon remboursement de la couronne
prothétique, grâce aux mutuelles et plus qu’ailleurs en Europe encore. On
pensait ainsi en France, que les dentistes conserveraient plus de dents à leurs
patients. Et c’est d’ailleurs ce qui s’est fait, mais le côté pervers du bon
remboursement a fait que les dentistes français ont fait de leurs concitoyens,
ceux qui possèdent le plus de dents dévitalisées d’Europe. En Angleterre, les
dentistes étaient mieux rémunérés pour extraire les dents et faire des dentiers.
En Italie, les dentistes sont tous aussi médecin. Ce sont donc des
stomatologistes. Ils ont plutôt tendance à extraire de part leur formation qu’à
dévitaliser des dents. En Suisse les soins dentaires ne sont toujours pas
remboursés ce qui fait que seules les personnes un peu aisées peuvent avoir des
bridges et couronnes sur dents dévitalisées. En Allemagne, où le concept
d’infection focale est assez connu depuis longtemps, les patients ont deux à
trois fois moins de dents dévitalisées que les français. Si un dentiste allemand
dévitalisait un peu trop de dents, il serait vite convoqué par son conseil de
l’Ordre. En France il est plutôt convoqué quand il extraie des dents
dévitalisées pour redonner la santé, ce qui a d’ailleurs été mon cas. La
quantité importante de dents dévitalisées dans la population française s’est
encore accentuée nettement depuis 2002, à cause d’une mesure gouvernementale de
remboursement des systèmes d’ancrage intra-canalaire, les visses ou screw post
et les faux moignons ou inlays cores, mis à l’intérieur des racines donc dans
les dents dévitalisées uniquement. Une mesure que même le Président du plus
grand syndicat dentaire français, la CNSD a considérée comme inconsciente car il
l’a qualifié en ces termes dans une revue syndicale : « Bravo pour cette mesure
qui n’améliore pas la santé publique en augmentant le nombre de dents
dévitalisées ». Comme quoi, certains savent que santé publique et quantité de
dents dévitalisées ne font pas bon ménage, même s’ils n’en mesurent probablement
pas toute la gravité. Cette mesure de remboursement incite en effet les
dentistes à dévitaliser encore plus les dents qu’avant, en faisant de la
couronne sur pivot ou visse, l’acte le plus rentable de la dentisterie
conventionnelle (hormis les implants). Depuis cette date les autorités
sanitaires ont d’ailleurs constaté en France, une progression encore plus nette
de certaines maladies bénignes comme les allergies, les troubles
musculo-squelettiques et les dépressions. Les conséquences de cette mesure sur
les maladies graves ne se verront qu’un peu plus tard surtout chez ceux qui
auront pris des anti-allergiques, des anti-douleurs, des anti-inflammatoires et
des anti-dépresseurs (les raisons de cela seront un peu plus développées à la
fin du texte et dans le texte du site « la médecine des poisons »). Mais là, le
Conseil de l’Ordre Français des dentistes n’est pas intervenu. Le cadeau
empoisonné fait par le Ministre de la Santé était bien trop tentant pour leur
bourse. C’était une autre version en quelque sorte du fameux : « la bourse ou la
vie ». La France est donc et depuis longtemps, le pays dont les habitants ont le
plus de dents dévitalisées d’Europe et aussi le pays où on ignore le plus que
les dents dévitalisées puissent être la principale cause de maladies graves. Les
deux choses étant en partie liées. Ceci pourrait bien être la principale
raison au fait que les français consomment trois fois plus de médicaments que
les autres européens, ont le plus de pharmacies d’Europe et ont le plus de
cancers d’Europe,
voir
ici
. La santé est devenue en France le premier budget du pays. Un
quart de la population y est atteinte d’affection chronique grave (diabète,
cancer, sclérose en plaque etc…). Dix pour cent de la population en age de
travailler y est considérée comme handicapée. Et cela ne cesse de progresser de
façon vertigineuse. Mais bon, en France, on est aussi persuadé généralement
qu’on a la meilleure médecine du monde, qu’on est le pays des droits de l’homme
et d’autres choses du même ordre. La France est aussi aujourd’hui le pays
d’Europe où les médecines naturelles (et notamment la naturopathie qui prône la
santé par les méthodes naturelles et le danger des médicaments de notre médecine moderne) sont les moins
développées. C’est aussi le pays d’Europe où l’on utilise le plus de vaccins
pour nos enfants, de pesticides dans l’agriculture et où on fabrique le plus
d’énergie nucléaire. Mais il y
a aussi d’autres thèmes où les français ou la France est le pays où on est le
plus ceci où le plus cela d’Europe voire du Monde comme par exemple :
exportation d’armes et de technologie nucléaire, quantité d’heures
hebdomadaire théoriques à l’école pour les enfants (sauf pour la philosophie qui
apprend à réfléchir par soi même et sur les grands thèmes de la vie), laïcité ayant exclu tout enseignement
religieux et spirituel de l’école de la République (d’Europe de l’Ouest),
producteur et exportateur de sucre raffiné, consommateurs de petits déjeunés
sucrés, champion pour la réalisation de projets scientifiques et technologiques gigantesques
comme le projet Iter qui voudrait récréer un Soleil sur Terre (ça ma fait penser à l’histoire d’Icar …), le train le plus rapide (le TGV), l’aqueduc le plus haut (de Millau), le plus gros avion (A380), jadis l’avion de ligne le plus rapide (le concorde), et champion aussi pour l’oppression des personnes qui pensent différemment de
la norme dans le domaine de la spiritualité et de la santé (ce qu’on appelle
aussi communément les sectes). C’est aussi le pays d’Europe où il y a le plus de cancers et de malades et où la croissance économique est la plus faible.
Il est peut-être possible qu’il y ait aussi un
lien entre tout cela, va savoir…

La souffrance occasionnée aujourd’hui en France par la maladie pourrait d’une
certaine façon et dans une certaine mesure se comparer aux souffrances générées
par les guerres mondiales du 20ième siècle. Pour approfondir cela lire le texte
de 18 pages : “Réflexions sur l’Abbé Pierre“. La maladie pourrait bien être
aujourd’hui le principal problème des français et sa première cause pourrait
bien être la dent dévitalisée. C’est en tout cas aujourd’hui mon intime
conviction après avoir fait une enquête approfondie. C’est aussi l’intime
conviction de nombreux scientifiques, médecins et dentistes qui se sont penchés
sur le sujet depuis longtemps comme un directeur honoraire de recherche au CNRS
(le professeur Garel), un chef de département universitaire de chimie aux
Etats-Unis (le professeur Boyd Haley) et un enseignant à l’Université des
sciences de Toulon qui s’est aussi beaucoup penché sur la toxicité des antennes
relais des téléphones portables, le Dr Raynaud qui a aussi réalisé le site
Internet www.sante-dents.com. C’est aussi le cas de divers médecins dont un
médecin de ma région à Grasse le Dr J.G. THOMAS, le directeur de clinique privé
Suisse, le Dr Rau et tous ses collaborateurs médecins et dentistes et même le vice président du second parti écologique français. Ce n’est
donc pas un sujet qui manque de personnes importantes qui le défendent mais
pourtant jusqu’à présent, tout a été fait pour tenter de l’occulter.
L’occultation de ce sujet a été faite avec la complicité passive d’une
population, notamment française, qui est très conditionnée à attendre le
médicament chimique miracle qui va tout soigner ou le vaccin miracle qui va la
protéger des maladies les plus graves. Et cela sans rien changer dans ses
habitudes morbides. Ces solutions fabriquent à terme plus une population
d’handicapés qu’autre chose, je pense. Certes l’idée de faire extraire des dents
qui ne font pas mal et ensuite de devoir les remplacer par un dentier, est une
idée qui ne réjouit pas vraiment beaucoup de monde de prime abord. C’est
d’ailleurs le gros argument des dentistes pour décourager ceux qui voudraient
s’aventurer sur cette voie thérapeutique. Les inconvénients du dentier sont bien
sûr mis en exergue par ceux qui dévitalisent les dents. Peu de dentistes
incitent à effectuer la démarche d’enlever les dents dévitalisées et certains
dentistes se targuent de leur grande expérience pour décourager les patients sur
cette voie. Ils affirment que cette démarche ne guérit rien et ne présente que
des inconvénients. Ils sortent généralement de faux arguments scientifiques et
des contre vérités qui font peur comme : « on a édenté des millions de personnes
pour rien jadis aux Etats-Unis à cause de cette théorie puis on y est revenu »
histoire de faire croire que maintenant avec le progrès, tout va mieux. Mais
pourtant malgré le progrès, les maladies graves ne cessent de progresser même chez des personnes de
plus en plus jeunes. Des personnes qui guérissent aussi mieux que tout en
enlevant leurs dents dévitalisées. Contrairement à ce que disent la plupart des
dentistes, le danger de conserver des dents dévitalisées ou dents mortes peut-on
aussi dire, apparaît souvent bien plus grave que l’absence de dents. Les
dentistes qui s’opposent à cette idée mettent toujours en avant des problèmes
secondaires comme les problèmes d’occlusion ou de perte d’os qui sont ensuite
consécutifs à la perte de dents dévitalisées. Des problèmes que le dentier
résout d’ailleurs en plus très facilement. Les dentistes minimisent généralement
le caractère toxique de la dent dévitalisée en tenant aussi le discours qu’il y
a tellement de polluants dans l’environnement qu’un de plus ou un de moins, on
n’est pas à cela près. Et qu’eux avec leur technique particulière, il n’y a pas
de problème. J’avais un collègue qui tenait ce discours à Cannes en mettant des
huiles essentielles ou d’autres bonnes chose d’ailleurs dans ses traitements de
racine. Eh bien ses patients aussi guérissaient quand je leur enlevais leurs
dents dévitalisées. Certes je veux bien croire que de ne pas mettre trop de
cochonneries chimiques dans les canaux dentaire est moins pire que d’en mettre.
Mais de là à dire que ces dents sont alors sans danger est une autre histoire.

 

Un espoir thérapeutique concret, largement éprouvé et avec des bases
scientifiques
.

En niant le danger de conserver des dents dévitalisées et en se présentant comme
des experts du sujet, certains dentistes freinent ainsi la diffusion d’une
information qui pourrait aider des millions de personnes malades, rien qu’en
France. Il vaudrait mieux qu’ils disent la vérité c’est-à-dire qu’ils n’y
connaissent rien au sujet, ce qui est très souvent le cas. En effet, le
caractère thérapeutique exceptionnel de l’élimination des dents dévitalisées est
confirmé en pratique par les témoignages de nombreux dentistes et de médecins
qui se sont intéressés au sujet dans le monde. Ils sont certes plus nombreux en
Suisse allemande, en Allemagne et aux Etats-Unis. Ils affirment avoir traité
ainsi des centaines de milliers de patients. Personnellement je n’en ai traité
que quelques centaines seulement mais qui aussi m’ont donné ce sentiment. Ces
thérapeutes estiment même que l’élimination des dents dévitalisées est une des
clefs essentielles et primordiale pour la guérison de nombreuses maladies,
certaines graves mais aussi certaines assez anodines en apparence comme le mal
de dos, les allergies ou la dépression. Certains médecins ont fait de
l’extraction des dents dévitalisées, en collaboration avec des dentistes,
l’élément le plus important de leurs traitements depuis de nombreuses années
afin de guérir de multiples pathologies dans tous les domaines de la médecine.
Un cancérologue allemand, feu le Dr Issels (voir www.issels.com), obtenait
environ 37% de guérisons supplémentaires que ses collègues et avait fait de
l’extraction des dents dévitalisées, un des éléments incontournables de ses
traitements du cancer. Il avait constaté que quasiment tous ses patients
cancéreux avaient au moins deux dents dévitalisées par exemple. Coïncidence
étonnante de la part d’un médecin qui a soigné des milliers de patients
cancéreux. Les extractions des dents dévitalisées semblent aussi avoir permis
selon des médecins, d’éviter bien souvent diverses interventions chirurgicales
soit disant inéluctables. La majorité de celles prévues par nos chirurgiens
selon un médecin de Grasse, le Dr J.G. THOMAS, dans les Alpes Maritimes. Un des
rares médecins francophones encore en activité, à s’être aperçu de l’importance
du sujet. Pour approfondir voir le texte: “cautionnement médical francophone“.
C’est aussi selon lui et face aux pathologies graves, la mesure essentielle de
ses traitements médicaux qu’ils soient d’acupuncture, de phytothérapie,
d’homéopathie ou d’allopathie. Il a collaboré pendant longtemps avec feu le Dr
Davo Koubi, dentiste à Cannes qui avait été un précurseur dans ce domaine dans
la profession dentaire en France. Une clinique privée en Suisse allemande, la
clinique Paracelsus, de très bonne réputation, qui applique diverses techniques
de médecines douces, pense que l’élimination des dents dévitalisées est aussi
l’élément essentiel de ses traitements. C’est en tout cas ce que m’a exprimé le
médecin directeur de la clinique, le Dr Rau qui a vu environ 20 000 patients
depuis une vingtaine d’années. De nombreux dentistes du même canton suisse ont
aussi adopté cette politique de soins. Ce qui est étonnant c’est que le canton
où se situe cette clinique est aussi le canton de suisse quasiment où les
personnes sont le moins malades de toute la Suisse. En France un stomatologue
chef d’un service hospitalier parisien, feu le Dr LEPOIVRE, prônait aussi
l’extraction systématique de toutes les dents dévitalisées dans les années
cinquante et soixante, dans toutes les pathologies médicales pourtant sans lien
apparent avec les dents. Mais malgré un ouvrage écrit sur le sujet, son exemple
n’a pas été suivi dans le monde hospitalier français. Cela fait quand même
beaucoup d’éléments pour conforter l’idée que la dent dévitalisée n’est pas
qu’une petite cause de plus dans l’ensemble des causes des maladies et du cancer
notamment. On peut très bien imaginer aussi que certaines dents dévitalisées
puissent ne pas être toxiques. Encore faudrait-il en apporter la preuve, ce qui
n’a jamais été réalisé à ma connaissance et me semble difficile voire impossible
à réaliser. Par contre, le contraire a été souvent prouvé puisque si on guérit
de choses et d’autres après les avoir extraites, c’est bien qu’elles étaient
toxiques. Il existe des arguments très scientifiques pour défendre l’idée
d’enlever toutes les dents dévitalisées. Pour approfondir cela voir les 39 pages
du texte: “Publications scientifiques“. Un éminent scientifique américain, le
professeur Boyd Haley a démontré que certaines dents dévitalisées en apparence
parfaitement traitées selon les critères dentaires classiques pouvaient en fait
libérer des toxines qui arrivaient à inhiber le fonctionnement d’enzymes
fabriquées par le cerveau, notamment les enzymes de types kinases

c’est-à-dire celles qui sont chargées de fabriquer de l’énergie. Les enzymes
produites par le cerveau deviendraient donc inefficaces au contact des seules
toxines émises par les dents dévitalisées. Les enlever toutes par précaution,
serait donc assez logique même avant de tomber malade. Ce serait une forme de
prévention. Le prof. Boyd Haley n’est pas arrivé à prouver que toutes les dents
dévitalisées étaient toxiques mais il semblerait aussi logique selon certaines
études qu’avec le temps, les dents dévitalisées deviennent de plus en plus
toxiques et donc que des dents dévitalisées pas ou peu toxiques à un certain
moment puissent le devenir ultérieurement.

 


Voici une photo avec à gauche une dent vivante qui a été extraite pour des
problèmes de place (une dent de sagesse plus précisément) et ensuite des dents
dévitalisées avec les dévitalisées récentes sur la gauche et les plus anciennes
sur la droite. Leurs racines sont de plus en plus sombres car de plus en plus
imprégnées de toxines, probablement. La dernière dent dévitalisée toute à droite
avait en plus un amalgame dentaire (au mercure). Sa racine est donc très noire.
Les études du prof. Boyd Haley ont montré que dans ce cas là, les bactéries de
la dent dévitalisée transforment le mercure de l’amalgame en di-methyl sulfure
mercure très toxique, qui imprègne la racine et se libère lentement dans
l’organisme. On voit sur cette photo que les racines des dents dévitalisées ne
sont pas aussi blanches que les couronnes en céramique qui les recouvrent
souvent ne pourraient le faire croire.

 

En s’appuyant donc sur des bases scientifiques, certains médecins estiment donc
logiquement que toutes les dents dévitalisées sont trop toxiques pour être
conservées même si les gens ne sont pas malades. Si cette position est
scientifiquement défendable, je peux aussi comprendre qu’elle puisse paraître
incompréhensible et extrémiste pour la majorité des patients et des dentistes
qui savent bien les services que peut leur apporter la technique de dévitaliser
les dents. Il existe aussi des milliers de personnes qui étaient malades et ne
regrettent pas non plus d’avoir fait enlever toutes leurs dents dévitalisées en
les remplaçant par un dentier car elles savent que c’est grâce principalement à
cette démarche qu’elles ont retrouvé la santé. Et la santé, jusqu’à preuve du
contraire, c’est ce que nous avons de plus précieux. S’il existe des
publications scientifiques convaincantes pour le scientifique sur la toxicité
des dents dévitalisées, pour le public, le vécu, exprimé sous forme de
témoignages vidéo de patients m’a semblé très précieux aussi, et encore plus que
des écrits compliqués. Je vous suggère donc pour vous aider à prendre conscience
de l’importante dimension toxique des dents dévitalisées, d’aller voir sur
Internet les vidéos de témoignages sur le site www.sante-dents.com. Elles sont
pour le moins surprenantes. Elles montrent des témoignages de guérison
spectaculaires, d’une centaine de personnes atteints de maladies chroniques
graves bien souvent. Il y a peu de thérapeutiques à ma connaissance qui arrivent
à obtenir des résultats aussi percutants et même des médecins et des dentistes
énergéticiens habitués à enlever les amalgames au mercure, s’en sont étonnés. Il
est vrai aussi que certains patients regrettent toutefois d’avoir fait cette
démarche et après coup auraient préféré garder leurs dents dévitalisées. Ils
sont toutefois une extrême minorité mais ils existent indéniablement, c’est un
fait. Certains ont été convaincus que c’était indiscutablement une mutilation et
donc une arnaque. Ils peuvent parfois s’en rendre malade prouvant par là même
que le mental est plus fort que tout et même que les dents dévitalisées. Pour en
avoir une idée voir le texte de 15 pages : “Réponse au diffamateur“. Mais ce qui
est sûr est que l’élimination de la dent dévitalisée n’élimine pas totalement le
problème due à la dent dévitalisée. Car la dent dévitalisée peut laisser
persister un os toxique. Parfois il y a véritablement encore un os infecté, on
parle alors d’ostéite. Mais parfois il y a juste un os intoxiqué par des toxines
ou des produits chimiques. On parle alors d’ostéose toxique. Parfois il peut
persister à l’emplacement de la dent, d’autres mémoires toxiques à cause des
cicatrices de gencive. Et alors il s’agit de compléter le travail par d’autres
techniques plus subtiles encore. C’est un autre sujet sur lequel je me suis
beaucoup penché avec quelques découvertes assez intéressantes. Il existe là
aussi des informations pour améliorer la santé, mais elles me paraissent être
plus du domaine du professionnel que du grand public, car il s’agit de
techniques nécessitant un certain apprentissage pour le dentiste. Il faut
parfois injecter certains produits dans l’os, mais au bon endroit… Pour limiter
toutefois les problèmes de ces mémoires toxiques, il semble préférable
d’éliminer par fraisage lors de l’intervention, la petite couche d’os intoxiqué
qui entoure la racine dentaire. On effectue aussi
un curetage manuel de l’alvéole et de la lésion osseuse, s’il y en a une. Le
suivi post opératoire de l’extraction doit aussi se faire correctement pour que
la cicatrisation se fasse correctement, c’est-à-dire que la gencive ne se
referme pas sur un os abîmé. Pour cela, en cas d’alvéolite (infection de
l’alvéole qui contenait la dent) après l’extraction, il faut soigner localement
avec des produits respectueux de l’os (mélange huile essentielle et propolis par
exemple). Et cela plutôt que de donner un traitement antibiotique et des
antalgiques par voie générale car alors des bouts d’os pourris pourraient
persister et eux aussi auraient des répercussions néfastes à distance même s’il
n’y a plus de dents dévitalisées. Pour éviter au mieux tous ces inconvénients
consulter le texte de 9 pages : “détails pratiques“. Concrètement, les problèmes
d’os abîmés pourront souvent se manifester par des cavités déminéralisées des os
des mâchoires que les spécialistes du sujet nomment d’ailleurs les cavitations.
Des cavitations qui peuvent se diagnostiquer soit à la radio mais plus
facilement encore par un appareil particulier d’échographie qui s’appelle le
cavitat. Mais parfois il peut juste y avoir une ostéose toxique sans cavité et
c’est alors encore plus subtil à diagnostiquer. Très peu de dentistes sont
spécialistes du sujet aujourd’hui en France d’autant plus qu’ils ne sont déjà
qu’une minorité à s’intéresser aux seuls problèmes des dents dévitalisées. Il
est évident aussi qu’il n’est pas toujours suffisant de nettoyer impeccablement
la bouche pour guérir de tout ni même de faire tout ce qui est du domaine de la
dentisterie holistique. Les organes abîmés ne se régénèrent pas toujours seul,
et d’autres médecines sont souvent nécessaires aussi. Les choses ne sont donc
pas si simples et on ne peut condamner cette technique parce que certains
patients ne guériraient pas complètement après avoir enlevé leurs dents
dévitalisées. C’est pourtant ce qui a été déjà fait en France par le Conseil de
l’Ordre en me faisant en quelque sorte passer pour une personne un peu fêlée et
dangereuse pour les patients, qu’il faudrait donc interdire d’exercer. Alors
j’ai essayé de vous donner une autre vision de moi dans le texte de 5 pages
: “qui suis-je“. Je ne rentrerai pas trop dans les détails de ce sujet qui n’est
pas médical à proprement parler mais ceux qui aiment les histoires de
conspirations pour étouffer une idée, pourraient y trouver leur compte, car
c’est un sujet qui fâche. Vous allez toutefois en avoir un petit aperçu.

 

Toxicité des dents dévitalisées, un sujet qui fâche.

Le sujet de la toxicité des dents dévitalisées est un sujet très tabou, un sujet
qui fâche et qui est rarement abordé même par les dentistes qui se disent
holistiques. Il faut dire que la mise en évidence de la toxicité des dents
dévitalisées pourrait bien faire des dentistes avec leurs dents dévitalisées, la
plus grande cause de cancers et de maladies graves. Bref, les plus grands tueurs
de dents en série pourraient bien être aussi les plus grands tueurs en série
tout court de notre société. J’ai constaté à mes dépends, que c’est le genre
d’humour que mes confrères du Conseil de l’ordre n’apprécient pas trop
généralement. Non mais vraiment, on se demande pourquoi. Il n’y a donc pas à
s’étonner que certains feront tout leur possible pour étouffer au maximum cette
histoire qui les met un peu en porte à faux. Il y a des informations qui
fâchent, c’est sûr. Tout cela se comprend facilement. Mais pourtant les
dentistes, donc aussi les membres du Conseil de l’Ordre, pourraient aussi voir
les choses plus positivement car ils pourraient bien être aussi ceux qui
seraient le plus à même de redonner la santé, notamment aux malades atteints de
maladies chroniques, en enlevant principalement les dents dévitalisées. C’est
bien ce que j’avais compris et que j’ai effectué pendant plusieurs années sur
des centaines de patients, avec des résultats qui feraient envie à beaucoup de
médecins. Il n’y a qu’à voir les vidéos de témoignages du site
www.sante-dents.com pour s’en rendre compte. Après avoir été une première fois
interdit d’exercer une année pour cette raison en quelque sorte, que j’ai été
interdit d’exercer pendant trois ans en première instance, par le conseil de
l’ordre, sans aucune plainte de patients. J’avais juste envoyé un dossier au
médecin psychiatre de ma région officiellement responsable du problème des
suicides. Un dossier qui expliquait que plusieurs jeunes patients très
dépressifs ayant fait auparavant des tentatives de suicides, n’avaient plus de
tendances suicidaires uniquement et rapidement après avoir enlevé leurs dents
dévitalisées. Le conseil de l’ordre me condamna sans même entendre les personnes
qui avaient retrouvé le goût de vivre. L’attitude du conseil de l’ordre face à
ce sujet fut particulièrement honteuse ici, je trouve, car j’essayais juste
d’apporter un élément de plus pour lutter contre les suicides, qui constituent
aujourd’hui la première cause de mortalité dans la jeunesse et un des plus
grands drames de la vie. Cette condamnation fut d’ailleurs qualifiée de
véritable procès en sorcellerie par mon avocate, une ancienne Ministre de
l’environnement, Corinne LEPAGE. Son instructif mémoire de défense est
consultable
ici même
.
La condamnation fut ensuite transformée en appel, en condamnation à vie en 2004,
parce qu’entre temps un patient manipulé par un confrère s’était plaint de cette
démarche qui fut pourtant appliquée sur lui comme elle le fut d’ailleurs aussi
sur des centaines de mes autres patients. Le prétexte fut que cette démarche
était non scientifique et pas suffisamment éprouvée donc dangereuse pour les
patients. Ils n’ont vraiment pas eu honte d’eux…. Ils avaient pourtant eu en
leur possession un épais dossier sur le sujet avec les témoignages vidéo de
guérison et les éléments scientifiques qui accréditaient cette démarche. Nul
doute que si les bûchers avaient existé, le Conseil de l’Ordre des dentistes,
en aurait monté un ici pour l’occasion, histoire de s’assurer d’éliminer
l’hérétique et l’information dérangeante avec. Et cela même si un gigantesque
espoir pour des millions de personnes malades en France aurait pu résulter de
cette pratique. Un symposium que j’étais en train d’organiser sur le sujet a
même du être annulé à peu près à la même époque, à la suite de pressions du
conseil de l’ordre des médecins et des dentistes exercées sur ceux qui auraient
pu s’y exprimer. Pour approfondir cette histoire rocambolesque, voir le texte de
3 pages : “chronique de la persécution d’une idée“. En plus la justice française
est aussi allée dans ce sens, comme si parole de Conseil de l’Ordre était parole
d’évangile. Pour approfondir voir le texte de 16 pages : “le procès du 19 juin“.
Cette grande intolérance de l’Ordre en France fait comprendre pourquoi les
dentistes qui prônent très souvent l’extraction des dents dévitalisées y sont
aussi une extrême minorité. Ils pourraient bien se compter sur les doigts d’une
ou deux mains. Ils font tout pour rester très discrets car cette pratique est
très contrariante pour les autres dentistes puisque la plupart dévitalisent
souvent un peu facilement des dents, voire des dents parfaitement saines pour
faire plus facilement des bridges. Il faut dire à la décharge des dentistes qu’en
général, peu d’entre eux sont conscients des conséquences de tels actes puisque les
effets toxiques des dents dévitalisées ne sont pas enseignés actuellement en
université ou bien sont largement sous évalués. Les enseignants universitaires
sont aussi des dentistes qui ont dévitalisé des dents durant de nombreuses
années, ce qui ne favorise pas l’introduction de ces enseignements dans le
milieu universitaire. Il est difficile, même lorsqu’on est universitaire, de
reconnaître parfois qu’on a pu effectuer des actes qui pourraient d’une certaine
façon mettre la santé de ses patients en danger alors qu’on appartient au corps
médical qui est censé « d’abord ne pas nuire ». Pour en avoir une petite idée
lire le texte de 6 pages : “l’avis de l’université“. Selon certaines études de
la profession elle-même, plus des trois quarts des dents dévitalisées seraient
incorrectement traités. Seul moins d’un quart des dents dévitalisées seraient
donc réalisées selon les règles de l’art et ne constitueraient pas des foyers
infectieux. Ce sont des dentistes particuliers, les endodontistes qui
réaliseraient le mieux et le plus parfaitement possible ces traitements.
Seulement voilà même lorsque sont extraites des dents dévitalisées traitées par
ces spécialistes, les patients guérissent aussi. Les spécialistes d’endodontie
eux-mêmes n’arrivent pas à guérir des affections graves en dévitalisant
parfaitement les dents. La plus grosse association mondiale d’endodontistes,
l’association américaine d’endodontie (l’AAE) qui réunit les dentistes
spécialistes américains de la dévitalisation dentaire ne peut ignorer la
polémique qui existe sur le sujet actuellement aux Etats-Unis. Elle en parle
d’ailleurs sur son site internet. Force est de constater que les arguments
scientifiques qu’elle fournit sur son site Internet sont plus que légers. Ce
sont les arguments classiques qui ont toujours été fournis aux patients pour
promouvoir cette technique, c’est-à-dire en gros si on vous enlève vos dents
dévitalisées, ensuite vous aurez un dentier avec tout ce que cela implique de
négatif dans l’inconscient populaire. Pour approfondir lire le texte d’une
dizaine de pages : réponse à l’AAE.

Dévitaliser des dents qu’il aurait fallu extraire sinon est donc d’autant plus
tentant pour les dentistes que les patients ne seraient pas satisfaits qu’on ait
du leur enlever leur dent. C’est là tout le paradoxe. Les patients sont contents
de conserver leurs dents dévitalisées plutôt que les extraire car ils évitent en
général le dentier mais n’ont nullement conscience de ce qui les attend dans les
années à venir. Les dentistes aussi sont contents car en y mettant ensuite une
couronne dessus pour lui éviter de se fracturer, puisque les dents dévitalisées
deviennent fragiles avec le temps, c’est là qu’ils font leur acte le plus
rentable. Bref tout le monde est content pourrait-on dire. C’est cela qui est
terrible. Mais pourtant, cela revient à dire, d’un point de vue biologique, que
les patients sont contents d’être empoisonnés. Certes ils n’en n’ont pas
conscience alors qu’ils auraient facilement conscience d’être mutilés d’un point
de vue anatomique par l’extraction d’une dent. On ne peut donc pas en vouloir
aux dentistes, ils ne font que ce que vous voulez en quelque sorte, d’autant
plus que généralement ils n’ont pas conscience eux-mêmes des conséquences qui en
résulteront dans l’avenir pour la santé. Paradoxalement la plupart des dentistes
croient souvent préserver ainsi votre santé en vous conservant vos dents.
Effectivement c’est vrai qu’une bonne digestion est importante pour la santé et
qu’une bonne digestion nécessite une bonne mastication qui nécessite par
conséquent une bonne denture donc de conserver le plus de dents possible. Mais
qu’est-ce qui est le plus grave pour la santé : l’empoisonnement biologique du
aux bactéries et aux toxines des dents dévitalisées ou la mutilation anatomique
due à l’extraction et le traumatisme psychologique qui peut en résulter ? That
is the question ? En dehors du bon sens, c’est une question qui pourra peut-être
trouver une réponse dans certains enseignements ésotériques. Pour en savoir
plus lire le texte de 15 pages: « ésotérisme médical ». On peut très bien
considérer, comme le fait majoritairement la profession dentaire actuellement,
que l’empoisonnement biologique de la dent dévitalisée soit moins grave que la
mutilation anatomique consécutive à la perte d’une dent. Mais les apparences
sont très trompeuses et l’expérience clinique pourrait bien accréditer le
contraire en observant les guérisons après élimination des dents dévitalisées.
Et cela d’autant plus qu’on possède un nombre important de dents dévitalisées.
La perte des dents pouvant être compensée par une prothèse toutefois, ne
l’oublions pas, ce n’est donc pas si dramatique que cela. C’est à notre société
dans sa globalité de répondre à ce dilemme qui est : Doit-on garder un poison ou
avoir un trou dans sa bouche à la place de la dent dévitalisée ? On pourrait
aussi laisser coexister les deux approches thérapeutiques plutôt que de
persécuter l’approche minoritaire. Persécuter les idées minoritaires, ce n’est
pas très spirituel et c’est le genre d’attitude qui pourrait avoir bien des
conséquences très fâcheuses pour la santé publique. Malraux a même dit que le
XXIème siècle sera spirituel ou ne sera pas. Pour approfondir cela lire le texte
de 17 pages : “spiritualité médicale“. Mais pour que notre société puisse se
poser cette question, encore faut-il qu’elle se penche sur le sujet car
aujourd’hui beaucoup de personnes souffrent et sont à mille lieux de penser que
leurs dents dévitalisées pourraient intervenir de façon déterminante dans cette
souffrance. Il semble que c’est donc à chacun correctement informé de décider,
sachant toutefois que s’il existe des prothèses qui peuvent remplacer des dents
extraites, il n’existe pas encore à notre connaissance de produits qui peuvent
annihiler les toxines émises dans l’organisme par les dents dévitalisées, 24
heures sur 24 et 365 jours par an. On comprend donc bien la complexité du sujet
où c’est plus l’ignorance des conséquences, le souci de préserver les apparences
et de faire plaisir aux patients, en oubliant de considérer la toxicité
biologique, qui est surtout responsable de la situation, c’est-à-dire des
millions de personnes qui possèdent des dents dévitalisées et qui ignorent
totalement qu’elles comportent un aspect d’empoisonnement qui peut
raisonnablement être qualifié d’important. Si elles en étaient conscientes,
elles pourraient par exemple décider de s’en débarrasser dans certaines
situations où elles estiment que leur santé est en danger à cause de leurs dents
dévitalisées. C’est d’ailleurs tout l’objectif de ce livret, que d’améliorer la
conscience sur le sujet et d’ouvrir un véritable débat dans les médias car à une
époque où la santé est la première préoccupation des français, il n’est plus
tolérable qu’un sujet de cette importance continue d’être à ce point ignoré du
grand public français, et même si cela contrarie quelques dentistes.

 

Les méthodes de remplacement des dents dévitalisées extraites.

Lorsqu’on enlève des dents dévitalisées, la façon la moins risquée et la plus
thérapeutique pour la santé de les remplacer semble être sans conteste, la
prothèse amovible, le dentier. Les dentiers ont des inconvénients certes et il y
a dentier et dentier et des façons de le réaliser.

 

Prothèse amovible en nylon (type valplast ou autre)

 


 

 La revue professionnelle dentaire Clinic a publié une brève en ces termes «
Réconcilier patient et prothèse. Elle traitait des nylons utilisés en prothèse
amovible. Les nylons de la couleur de la dent ou de la gencive devraient
réconcilier le patient avec la prothèse amovible. Malgré son absence de métal et
sa finesse, cet appareil est flexible et très résistant. Il présente une
véritable mémoire. Son adaptabilité exceptionnelle permet de réaliser des
fausses gencives et, des crochets particulièrement esthétiques. Il est revenu à
la mode ces dernières années en raison d’une demande de confort et d’esthétique
de la part des patients en prothèse amovible. Ces dentiers sont sans crochet
métallique. La résine utilisée est thermoplastique en nylon biocompatible de la
famille des Superpolymides (un nylon très pur hypoallergénique et biocompatible)
qui ne se détériorerait pas chimiquement quand il entre en contact avec les
fluides, bactéries et l’environnement buccal.

 

Il existe donc maintenant divers dentiers qui n’ont plus de métal du tout et qui
sont particulièrement esthétiques car même les crochets sont de la couleur de la
gencive. Esthétiquement c’est donc très bien. Bien sûr il vaut toujours mieux
les enlever pour dormir, ainsi que les enlever après chaque repas pour les
nettoyer sous l’eau. Tout le monde est d’accord pour dire qu’avoir en bouche une
prothèse amovible n’est pas ce qu’il y a de plus extraordinaire et qu’il vaut
mieux conserver ses vraies dents. C’est d’ailleurs ce qui a contribué à faire
tout le succès de la dent dévitalisée et ce qui a souvent fait avorter nombre
de tentatives visant à informer de sa toxicité. En plus, certaines personnes
semblent à l’évidence mécontentes de leur prothèse amovible même si nombreux
sont ceux qui semblent pleinement satisfaits toutefois. Peut-être cela vient il
de la qualité du travail du dentiste et du prothésiste ainsi que des matériaux
utilisés ? La prothèse amovible permet en tout cas de restaurer les fonctions
masticatoire, esthétique et phonétique très correctement lorsque les patients
sont satisfaits. Certains cas sont un peu complexes toutefois. Néanmoins on peut
aussi concevoir que la simple idée du dentier et l’image associée à la
vieillesse que le public en a, fait que la plupart des personnes veuillent
conserver leurs dents dévitalisées pour l’éviter. Ce choix me paraît lui aussi
respectable car certaines personnes extrêmement soucieuses des apparences
pourraient être gravement perturbées psychologiquement par l’idée même de
posséder un dentier. Mais quand on observe certaines guérisons après élimination
des dents dévitalisées et donc qu’on comprend ce qu’elle provoquaient, les
inconvénients du dentier pourraient alors paraître négligeables à côté de la
conservation des dents dévitalisées, surtout en cas d’affection chronique grave
et cela même si on est encore jeune. J’ai vu des maladies graves comme une
maladie d’Alzheimer installée, disparaître en quinze
jours après élimination des dents dévitalisées. Il est évident que pour une
maladie d’Alzheimer trop avancée, il n’aurait plus suffi alors d’enlever les
dents dévitalisées pour retrouver la mémoire. Et c’est la même chose pour nombre
de pathologies graves lorsqu’elles sont à un stade très avancé. Comme la
meilleure thérapeutique est bien sûr la prévention, cela me fait dire qu’il
vaudrait mieux idéalement se débarrasser de ses dents dévitalisées avant d’être
malade. Pour remplacer les dents absentes, il existe aussi les bridges sur dents
vivantes et les implants bien sûr si vous avez un peu plus d’argent encore. Ce
sont des solutions qui paraissent plus confortables en général car il n’y a pas
à enlever ses dents le soir, bien qu’on puisse aussi éventuellement garder son
dentier la nuit. Mais c’est déconseillé car la gencive aurait alors tendance à
se résorber plus qu’il ne le faut et la prothèse nécessiterait alors des
rebasages plus fréquemment que nécessaire. Le rebasage est une technique
prothétique de laboratoire qui consiste à remettre de la matière sous la
prothèse amovible pour compenser la résorption de l’os sous la gencive. Les
bridges sont donc aussi une solution de remplacement parfois possible. Ils ont
toutefois des petits inconvénients en ne s’appuyant pas sur la zone édentée qui
est donc non stimulée par les forces masticatoires. Cela a de petits
inconvénients d’un point de vue énergétique, ce qui peut donc avoir des petites
répercussions à distance. Ils nécessitent aussi souvent de tailler comme pour
les couronnes, des dents piliers indemnes en leur faisant ainsi prendre des
risques pour le futur. Mais ma foi après le dentier, ou prothèse amovible dit-on
plus professionnellement, il semble que ce soit la meilleure façon de remplacer
les dents manquantes, bien que certains préfèrent aujourd’hui de plus en plus
les implants. Les implants sont aussi un peu controversés par certains médecins
qui s’intéressent aux rapports entre la santé et les dents et qui sont assez
réputés pour guérir des affections sur lesquelles leurs confrères avaient
échoué. Si l’os se soude à l’implant notamment en titane, un métal couramment
utilisé en implantologie, la gencive elle, n’a pas vraiment d’attache à
l’implant. On parle d’absence d’attache épithéliale plus précisément. Cela fait
que les bactéries de la bouche peuvent cheminer le long de l’implant jusqu’à
l’os.

 

 

Implant dentaire


les implants sont constitués d’une racine artificielle généralement en
métal titane. Ils sont implantés dans l’os de la mâchoire. Mais on n’a pas
réussi à obtenir de véritable attache entre l’implant et la gencive
(l’attache épithéliale), ce qui fait que les bactéries de la bouche peuvent
cheminer le long de l’implant jusqu’à l’os et donc la circulation sanguine.
Cela pourrait expliquer que les implants puissent eux aussi constituer des
foyers infectieux et que certains médecins les déconseillent
systématiquement. Mais ce serait bien moins problématique que les dents
dévitalisées toutefois, il faut relativiser et dans certains cas notamment
pour bien faire tenir des prothèses totales parfois particulièrement
difficiles à faire tenir, c’est appréciable.

 

 

Certains implantologistes, refusent d’ailleurs de poser des implants aux
personnes diabétiques et à ceux qui ont un moins bon système immunitaire et qui font donc
plus facilement des infections. La raison est que l’implant a beaucoup moins de chance de se
souder à l’os car une infection locale pourra le rejeter plus facilement.

Mais cela accrédite aussi d’une certaine façon que les implants sont un peu
toxiques mêmes si certains qui possèdent un bon système immunitaire peuvent
quand même bien les supporter, mais jusqu’à quand ? Toutefois et contrairement
aux dents dévitalisées, la littérature scientifique ne possède pas assez
d’éléments pour pouvoir aujourd’hui affirmer le caractère toxique des implants
qui semble toutefois bien moindre que celui des dents dévitalisées. Il existe
aussi des personnes qui ont retrouvé la joie de vivre grâce à leurs implants car
leur dentier les dérangeait vraiment, et qui restent aussi en bonne santé.

 

La vie engendre la vie.

D’un point de vue philosophique ce sujet interpelle aussi. En effet, la dent
dévitalisée est le seul organe mort (c’est-à-dire qui était auparavant vivant,
contrairement aux prothèses et aux implants) que la médecine moderne a accepté
de conserver dans l’organisme. Et cela depuis un peu plus d’un siècle, la
dévitalisation dentaire étant apparue au début du vingtième siècle, aux
Etats-Unis. Cela pourrait être vue comme une transgression à des lois de la vie,
dans la mesure où il s’agit de conserver de la mort dans le vivant. C’est une
question philosophique qui méritait de se poser, comme nombre d’autres questions
philosophiques aussi en médecine d’ailleurs. J’ai un peu essayé d’approfondir
cela dans le texte de 23 pages : “petits textes de philosophie médicale“. Dans
le même genre, lorsqu’on a voulu donner des aliments carnés à des herbivores,
des vaches en l’occurrence, cela a conduit à de graves problèmes de santé
transmis ensuite aux humains qui consommaient cette viande. C’est toute
l’histoire de la vache folle et du prion. Là aussi des éleveurs avaient
transgressé à l’évidence, une loi de la vie et cela depuis de nombreuses années
sans que personne dans le monde agricole ne s’en émeuve vraiment jusqu’à ce que
des drames de santé apparaissent. Ce sont des personnes extérieures, des
scientifiques et des médecins qui après coup ont mis en évidence la folie d’une
telle transgression. Il aurait fallu attendre longtemps pour que les
professionnels, ici des éleveurs de vaches, acceptent de reconnaître leur
responsabilité. De même on peut se demander si les dentistes, « les éleveurs de
dents dévitalisées », n’auraient pas aussi transgressé une autre loi de la vie
en conservant dans l’organisme des dents mortes ? Et là aussi, on doit
comprendre que la population pourrait attendre longtemps pour qu’ils fassent
leur autocritique. Il est évident que lorsqu’on aura pris conscience de tout
cela, il faudra aussi se poser la question de savoir pourquoi on en est arrivé à
avoir autant de dents dévitalisées dans la population. Il faudra alors
s’intéresser aux causes de la carie. Le sucre raffiné ou sucre blanc qui est
présent dans nombre d’aliments industrialisés serait une des premières causes de
carie selon certaines études.

 

En conclusion.

Certes des millions de personnes possèdent des dents dévitalisées et ne sont pas
malades non plus, tout comme des millions de personnes fument et n’ont pas de
problèmes de poumons. Mais bien souvent, ça ne durera pas. La dent dévitalisée
produit une petite intoxication qui pendant des années ne va parfois pas être
suffisante pour rendre malade, tout en apportant un bénéfice évident en
apparence à celui qui la conserve en bouche, par rapport à l’extraction qui le
prive de la dent. Et c’est cela qui est subtil. Mais un jour, lorsque la maladie
est là, il n’est malheureusement plus toujours suffisant d’enlever la dent
dévitalisée pour guérir, même si c’était la principale cause du problème de
santé. Il vaut mieux prévenir que guérir c’est bien connu. Enlever les dents
dévitalisées s’est avéré toutefois bien souvent, être la mesure thérapeutique la
plus efficace face à toutes les pathologies chroniques graves. De nombreux
thérapeutes l’ont constaté. C’est ce qui me fait dire que la dent dévitalisée me
paraît aujourd’hui comme à nombre de spécialistes, constituer une des plus
importantes causes de nos maladies modernes, bien qu’on puisse aussi imaginer
certains empoisonnements pires mais plus subtils encore car ils ne pourraient pas
s’enlever aussi facilement qu’enlever des dents. Les enfants de Tchernobyl par
exemple, n’ont pas eu besoin de dents dévitalisées pour être malades après
l’accident de leur centrale nucléaire. Enlever les dents dévitalisées est en
tous cas une mesure pleine d’espoir pour retrouver la santé. Ce qui conforte
cette opinion, est que les médecins et les cliniques qui prônent cela, sont
aussi connus dans certains milieux et dans leur région, pour guérir des
pathologies que leurs confrères n’arrivent pas à guérir. Il serait donc temps
que cette information pénètre le milieu médical et dentaire car il y a là un
espoir très simple et très concret pour la santé de millions de personnes, rien
qu’en France. La démarche d’enlever les dents dévitalisées, me semble tout à
fait aller dans le même sens que d’autres démarches hygiénistes. C’est par
exemple, un empoisonnement de la cellule, qui pourrait bien faire qu’elle se
cancérise. C’est aussi un “désempoisonnement” de l’organisme qui pourrait
permettre de faire que le cancer disparaisse de lui-même. C’est ce que prône
tout le courant naturopathique ou hygiéniste en général. Il s’agit donc de
désintoxiquer prioritairement l’organisme de poisons qu’ils soient d’ordre
chimique, ou psychologique d’ailleurs (les poisons du mental pourrait-on dire)
afin que les cellules malades puissent se rétablir. Avant de réparer un
organisme, on le nettoie de ses poisons, c’est logique et cela dans toutes les
maladies ou les états de dévitalisation. C’est aussi le plus important et c’est
parfois suffisant quand on n’est pas à un stade trop avancé de dévitalisation
générale, grâce aux mécanismes d’auto guérison de notre fabuleuse machine
vivante. Une machine qui visiblement préfère être débarrassée de ses organes
morts, les dents dévitalisées, car à l’évidence, les dents mortes engendrent
aussi la mort. Tout le monde meurt certes mais ici avec les dents dévitalisées,
c’est prématurément et en passant par de multiples souffrances et maladies. Des
maladies vis-à-vis desquelles il faudrait peut-être penser à aider l’organisme
en souffrance à s’auto réparer. C’est tout le domaine des médecines naturelles
qui agissent en accord avec l’énergie de l’organisme. Pour approfondir voir le
texte de 11 pages : “médecines et énergie“. Et cela plutôt que de vouloir faire
la guerre à la maladie en voulant supprimer à tout prix les éléments de notre
organisme (symptômes, virus, bactéries, cellules cancéreuses notamment) qui sont
associés aux dites maladies. Une attitude qui pourrait bien être la cause
d’apparition de maladies toujours plus graves, à cause surtout de ce qu’on
appelle communément les effets secondaires de nos médicaments chimiques et de
certains traitements modernes plus généralement qui se sont éloignés d’un
certain esprit tourné vers le respect de la vie. Une médecine qu’on pourrait
qualifier de médecine des poisons. Une médecine qui est tout à fait dans
l’esprit d’une agriculture des poisons aussi d’ailleurs, dont vous pouvez avoir
un aperçu en regardant la vidéo disponible à cette adresse:

http://www.dailymotion.com/video/x1ds9p_alerte
. Une médecine des poisons
dont l’esprit n’est pas indépendant de nos croyances ou plutôt de l’absence de
certaines croyances notamment dans le pouvoir thérapeutique de la
nature et du naturel. Une médecine qui fait souvent le choix d’empoisonner pour soigner et même parfois, on le voit pour la dent dévitalisée, de tuer un organe pour soigner. Pour approfondir lire le texte de 40 pages : “la médecine
des poisons“. Eh oui,
le dentiste s’attaque ici à la douleur dentaire en tuant la dent, dans la
dévitalisation dentaire. Mais dévitaliser les dents dévitalise aussi
l’organisme et c’est là tout le problème.

Enlever les dents dévitalisées pourrait être même supérieur aux médecines
naturelles ou douces car étymologiquement parlant, on peut dire que c’est même
une médecine d’amour. Pour approfondir cela lire le petit texte du site «
médecine d’amour contre la mort ». En allant dans cette logique, l’alimentation végétarienne pourrait aussi être qualifiée d’alimentation d’amour. Pour approfondir cela lire le texte: “Plaidoyer pour le végétarisme”. Enlever ses dents dévitalisées redonne donc de
toute façon de l’énergie vitale même si on était en apparence en bonne santé et
sans maladie. C’est le manque d’énergie vitale qui prépare le terrain de toutes
les dégénérescences, c’est-à-dire ce qui nous fait vieillir prématurément et
affaiblit nos fonctionnalités (mémoire, vue, audition, mobilité, qualité de
notre peau, de nos cheveux, etc…). Des dégénérescences qui sont parfois la
conséquence de maladies certes. Mais paradoxalement aussi, les maladies qui sont
des réactions de l’organisme, tentent aussi d’éviter les dégénérescences. Car
les maladies sont aussi des réactions de l’organisme pour se réparer lui même.
Mais ça c’est encore une autre histoire…..

Pour approfondir tout cela, vous pouvez consulter les différents textes du
sommaire. Certains passages de ces textes démontrent carrément tout ce qui est
affirmé ici.

Passer l’information aux personnes malades, d’enlever leurs dents dévitalisées,
est donc véritablement une action humanitaire, probablement une des plus
importantes en France aujourd’hui. Il y a un texte sur le site que vous n’avez
qu’à copier et envoyer pour faire vous aussi cette action humanitaire, voir
texte: “action humanitaire“. Bien sûr si les médias s’y intéressaient, ça irait
plus vite encore. Alors si vous connaissez des journalistes envoyer leur un des
“communiqués de presse du site“. Merci par avance de votre aide.

Bruno Darmon, Docteur en chirurgie dentaire.

drbrunodarmon@yahoo.fr

Juillet 2007 . Fin.