Ce qu’il ne faut pas faire lorsqu’on extrait des dents.

March 20, 2008 on 10:44 pm | In Non classé | Comments Off

Ce qu’il ne faut pas faire lorsqu’on extrait des dents.
C’est en visionnant une vidéo d’un dentiste qui enlève des dents dévitalisées que je me suis dit qu’il fallait que j’écrive un texte intitulé « ce il ne faut pas faire ». Vidéo que l’on peut visionner à l’adresse http://www.dentalespace.com/dentiste/formation/297-extractions-dents-situation-normale-sur-arcade.htm que j’intitulerai plutôt personnellement : « presque exactement tout ce qui ne faut pas faire lors d’une extraction dentaire ». Pour visionner la vidéo, il faut s’inscrire au préalable mais c’est gratuit. Cette vidéo n’est pas inintéressante à voir (bien moins intéressante toutefois que toutes les vidéos du site www.sante-dents.com, cela va sans dire), avant de lire mes commentaires, sauf pour les âmes sensibles car c’est quand même de la chirurgie ne l’oublions pas. Il n’est toutefois pas indispensable de la voir. Il est possible qu’un jour cette vidéo disparaisse d’ailleurs mais le commentaire restera utile.

Cette vidéo constitue un exemple de façon de procéder qu’il illustre bien une absence d’esprit holistique. J’en remercie toutefois l’auteur car il a le mérite d’exposer cette façon de faire au grand jour ce qui est déjà un pas dans la recherche de la vérité. Mais en fait dans un esprit holistique c’est exactement la mauvaise façon de procéder, bien qu’on puisse imaginer encore pire. Certains dentistes mettent systématiquement un cône antibiotique dans l’alvéole après l’extraction par exemple. Cône qui empoisonne l’os d’une part et peut aussi ne pas se résorber totalement d’ailleurs. D’autres laissent des fragments de racine, c’est assez courant. Tout cela contribue à la persistance de foyers qui empêchent la guérison à distance. Mais revenons au commentaire de notre vidéo.
Première erreur, l’anesthésique avec un vasoconstricteur ou un vasoconstricteur trop puissant (probablement de l’adrénaline), empêche un bon saignement, meilleur garant d’une bonne cicatrisation dans un esprit énergétique.
Seconde erreur, à la place du saignement après l’extraction, des solutions chimiques désinfectantes sont introduites dans les alvéoles, elles abîmeront l’os.
Troisième erreur, aucun curetage osseux à la fraise du fond des alvéoles n’est réalisé et même l’os empoisonné est conservé au maximum.
Quatrième erreur, un décollement de la gencive est réalisé afin de suturer bord à bord les berges des extractions, diminuant du même coup la profondeur du vestibule ou de gencive attachée (à l’os) diminuant du même coup l’espace de gencive qui servira de support à la prothèse pour une meilleure tenue d’une éventuelle prothèse totale dans le futur, et même de barrière de protection autour des implants que le dentiste auteur de la vidéo à l’intention de poser, pour leur éviter des poches parodontales.
Cinquième erreur, une poche de glace sera placée sur les joues du patient alors qu’il faut au contraire mettre une bouillotte afin de faire circuler au plus vite les énergies bloquées par l’anesthésie. La poche de glace est mise dans la logique de donner ensuite des antalgiques, histoire de prolonger l’anesthésie et d’éviter un gonflement qui a pourtant un rôle thérapeutique comme toute inflammation d’ailleurs.
Sixième erreur mais dans la suite logique de l’erreur précédente, des antalgiques sont prescrits afin de supprimer la douleur de façon chimique ce qui nuit à la guérison énergétique qui nécessite au contraire le respect des réactions enzymatiques de l’organisme dont la douleur est une des expressions. Douleur qu’il faut toutefois savoir supprimer mais avec des techniques respectueuses de la biologie (acupuncture, huile essentielle, bouillotte, onde magnétiques pulsées, par exemple).
On comprend qu’avec un tel protocole, les guérisons auront du mal à arriver après l’extraction des dents dévitalisées, ce qui fera dire aux ignorants que cela prouve bien que les dents dévitalisées n’avaient rien à voir avec les maladies du patient et qu’il aurait mieux fait de les garder.
De toute façon dans cette vidéo, on comprend bien que l’indication de l’extraction des dents dévitalisées n’était pas de redonner la santé au patient mais de remplacer les dents dévitalisées par des implants. On se demande d’ailleurs pourquoi car les dents dévitalisées paraissent d’ailleurs assez saines (à la radio dans la logique de la dentisterie conventionnelle bien sûr). Dans mon cas enlever des dents dévitalisées pour redonner la santé en mettant ensuite une prothèse amovible m’a valu une interdiction d’exercer du Conseil de l’Ordre. Enlever par contre des dents dévitalisées équivalentes pour mettre ensuite des implants environ dix fois plus onéreux qu’une prothèse amovible, ne semble pas laissé imaginer qu’il puisse y avoir de conséquence avec l’Ordre des dentistes…. Moralité, il est très dangereux d’être dans une minorité surtout quand elle remet en question les intérêts d’une majorité qui possède le pouvoir de vous nuire et cela même si l’intérêt général y perd. D’où l’intérêt de cette phrase inscrite dans les droits de l’homme « nul ne peut être juge et partie » qui est en contradiction avec nos Conseils de l’Ordre en France, lorsqu’ils jugent des confrères qui pratiquent d’autres façons de soigner. Les Conseils de l’Ordre sont donc en contradiction avec les droits de l’homme et cela a bien sûr des conséquences sur votre santé car il est aujourd’hui très difficile de trouver des personnes et des médecins qui vous soigneront efficacement sans vous empoisonner. Tiens je viens d’en apprendre une nouvelle en discutant avec un vieux naturopathe très intéressant, M. André Passebecq, qui a beaucoup été persécuté aussi par la médecine officielle, qui a écrit nombres d’ouvrages de naturopathie et a aidé de multiples personnes à retrouver la santé grâce à l’hygiène vitale et en leur faisant arrêter leurs médicaments. Selon lui, le Conseil de l’ordre des médecins, qui a été créé sous le gouvernement de Vichy, l’avait été sous l’impulsion des nazis dans l’objectif premier de pouvoir contrôler les médecins qui apportaient leur aide aux résistants pendant la dernière guerre mondiale. La première mesure des Conseils de l’Ordre fut toutefois de dénoncer aux autorités les médecins juifs après les avoir interdit d’exercer, avant de s’occuper de ceux qui aidaient les résistants. Ma foi, aujourd’hui le Conseil de l’Ordre lutte aussi contre des résistants mais aujourd’hui ce sont les résistants à la médecine des poisons.
Et dire que la majorité de la population croit que « L’intérêt en particulier dans la société, des Conseils de l’Ordre des professions de dentistes et de médecins, c’est surtout pour protéger la santé». D’ailleurs voici une petite devinette facile : Les mots de la phrase précédente sont justes mais il faut juste les replacer dans le bon ordre pour obtenir la vérité. Solution à la fin du texte.

Connaissant grâce à la vidéo qui nous apprend les intentions du dentiste, la septième erreur est donc de proposer avant tout des implants pour remplacer les dents extraites et non pas une prothèse amovible environ dix fois moins chère. C’est une erreur d’une part parce qu’elle représente une solution plus onéreuse et d’autre part parce que d’un point de vue de la santé, même si les implants sont très probablement infiniment moins toxiques que les dents dévitalisées, il n’en reste pas moins qu’ils sont quand même plus toxiques que les prothèses amovibles.
Les implants par l’absence d’attache épithéliale permettent le cheminement de bactéries de la bouche dans le milieu intérieur c’est-à-dire le sang et l’os. Sans compter la toxicité que représente le métal titane d’un point de vue énergétique et galvanique, ce que les dentistes énergéticiens commencent à réaliser.
Malheureusement les implants en céramique pêchent un peu par leur faible ostéintégration, c’est-à-dire que l’implant en céramique n’est que peu soudé à l’os. C’est ce qui fait que j’ai entendu conseiller d’éviter de manger avec les dents de devant remplacées par de tels implants en céramique sous risque qu’ils ne se dessoudent de l’os. Eh bien, si on ne peut même plus manger avec ses implants, où va-t-on ?….
Dans le cas de personnes malades ou fragiles la pose d’implants constitue donc selon moi, et d’autres médecins de ma connaissance d’ailleurs, un risque à ne pas prendre. Les implants ne devraient donc être proposés que lorsque la prothèse amovible est insupportable pour le patient. Et encore, une prothèse amovible réalisée par un praticien compétent en subtilités énergétiques et non pas par le praticien qui a aussi un quelconque intérêt à ce que des implants soient mis. Praticien qui s’empressera alors de dire au patient : « eh oui mon cher monsieur, on ne peut rien faire de mieux pour votre prothèse, c’est ainsi il faut vous y habituer ou faire des implants ». Sentence qui est parfois en partie vraie je l’accorde car c’est vrai qu’il faut progressivement s’habituer à sa prothèse amovible jusqu’à qu’elle soit confortable ce qui peut prendre un certain temps et qu’il faut aussi faire certains efforts parfois pour la supporter. Mais la fréquence de l’expression de cette affirmation varie dans un rapport de dix mille en fonction de la compétence des praticiens dans le domaine des prothèses amovibles. A titre d’exemple, dans ma pratique d’une quinzaine d’années, il m’est arrivé deux fois de prononcer une telle affirmation et c’était dans le cas de prothèses totales du bas qui ne tenaient pas et pour lesquelles j’ai alors conseillé la pose de deux implants servant à tenir les dites prothèses.
La vidéo que j’ai commentée me fait prendre conscience d’un fossé qui existe dans la profession entre la dentisterie holistique qui prétend vouloir guérir les affections générales et la dentisterie conventionnelle pour qui les dents sont une chose et la santé générale une autre et pour laquelle la seule chose qui compte est que les patients n’aient pas mal et que ce qui est mis en place en bouche soit solide et confortable, même si pour cela on utilisera abondamment nombres de poisons. Je ne veux pas dire non plus que les actes de la dentisterie holistique ne soient pas sans douleur, solides et confortables mais pas au prix d’empoisonner. C’est là la grande différence. Ce fossé se comblera d’autant plus vite que les informations sur ce site seront connues sans oublier que la première chose qu’il ne faut pas faire est quand même de dévitaliser des dents. Et pourtant moi-même l’ai fait parfois, alors même que je savais très bien que j’empoisonnais. Certes les patients m’avaient demandé de le leur faire car ils voulaient garder leurs dents malgré que je les avais abondamment informés sur le sujet. Je pensais alors que je devais avant tout respecter leur choix. Mais est ce bien raisonnable de respecter le choix de quelqu’un qui veut que vous l’empoisonniez ? Vous voyez, je suis peut-être pire que celui dont je commente la vidéo dans ce texte car ce confrère au moins, est probablement totalement inconscient du sujet que je traite dans ce site et sans l’ombre d’un doute il pense bien faire. Inutile donc de le juger. Ne regardez donc cette vidéo que comme un document instructif sans plus et éviter de lui mettre des commentaires négatifs svp.

Solution de la devinette du texte : « L’intérêt en particulier dans la société, des Conseils de l’Ordre des professions de dentistes et de médecins, c’est surtout pour protéger la santé». Cette phrase devrait plutôt s’écrire dans cet ordre là : « Des Conseils de l’Ordre des professions de santé, c’est là surtout pour protéger dans la société, l’intérêt de médecins et dentistes en particulier. » Comme quoi l’ordre (mais ici des mots) a bien son importance pour rétablir la vérité.

histoires vraies intéressantes

March 20, 2008 on 10:15 pm | In Non classé | Comments Off

Une histoire hallucinante.

En résumé, cette histoire raconte comment nombre de médecins de ma région des Alpes Maritimes (et je ne parle même pas des dentistes qui étaient quasiment tous au courant), qui ont eu la preuve flagrante de l’immense toxicité des dents dévitalisées, ont fait comme si de rien n’était.

Hallucinant ou édifiant, c’est ainsi que certaines personnes qualifient les informations qui sont sur mon site quand elles prennent le temps de s’y pencher. Tellement hallucinant d’ailleurs que quand elles en parlent à leurs connaissances, ces dernières n’y croient pas. Leurs réponses sont d’ailleurs « Si c’était vrai ça se saurait », « ce n’est pas possible » et puis « j’ai pas envie d’enlever mes dents ». Sans parler des histoires du genre « j’ai vu vingt dentistes et tous ont refusé de m’enlever mes dents dévitalisées » ou pire, « on m’a dévitalisée mes dents saines parce qu’elles étaient un peu tordues ou pour faire un bridge ». Mais ce genre d’histoires sont plutôt dans le registre du lamentable que de l’hallucinant.
Le caractère hallucinant de cette histoire de dents dévitalisées, qui peuvent mieux que tout guérir de tout la plupart du temps, est un des grands freins au développement de cette connaissance. Elle est trop incroyable pour être vraie en quelque sorte. Mais parmi tout ce qui est incroyable, j’ai une histoire encore plus hallucinante à vous raconter. Une histoire que je qualifierai d’édifiante aussi car elle fait prendre conscience de la difficulté que l’information aura à passer dans le monde médical. Cette histoire je l’ai d’ailleurs sous forme de reportage vidéo mais la personne concernée n’a pas voulu que je la mette sur internet. Certes j’aurais pu flouter son visage et couper sa présentation pour le rendre anonyme comme les témoignages de guérison. Je pourrais le faire d’ailleurs peut-être, mais il est un peu long car il dure plus d’une heure. Il me raconte une histoire hallucinante que je vais vous résumer en quelques lignes. Et si des journalistes s’intéressent un jour au sujet et veulent vraiment voir cette vidéo, je la leur montrerai sans problème dans la mesure où ils s’engageront à respecter l’anonymat de la personne. Mais avant de vous raconter cette histoire hallucinante, je veux aussi vous en raconter une autre, que je qualifierai plus de surprenante que d’hallucinante et qui servira d’introduction en quelque sorte à mon hallucinante histoire, dont voici tout d’abord l’introduction..

Cette histoire surprenante comme nombre d’informations précieuses pour la cause que je défends sont venues généralement un peu comme par hasard. En guise d’introduction à mon histoire surprenante, voici d’ailleurs comment j’ai eu la première fois l’information sur la toxicité des dents dévitalisées en entendant parler du médecin qui en France était à l’époque le plus investi dans cette information. C’était dans un bar étudiant alors que j’étais étudiant. Le fils du Dr Thomas qui faisait ses études en même temps que moi mais lui de médecine, et qui était un copain, me raconte un jour que son père médecin parlait des couronnes en or sur dents dévitalisées comme d’un beau mausolée doré avec dedans un cercueil recouvrant un cadavre en état de putréfaction qui empoisonnait ensuite tout l’organisme. C’était juste à l’époque où nous apprenions à réaliser de couronnes qui la plupart du temps servaient à recouvrir les dents dévitalisées. Cette information du fils du Dr Thomas m’avait intriguée et je l’avais gardée dans un petit coin de ma mémoire en me disant qu’il fallait absolument que je rencontre un jour ce fameux Dr Thomas pour que j’éclaircisse cette information. Puis le temps a passé. Un jour en allant à la fac, au centre de soin plus particulièrement, pour ma thèse, je vois un attroupement d’élèves et de professeurs autour d’un enseignant qui était en train de se faire soigner. En fait celui-ci se faisait pour la seconde fois enlever un amalgame dentaire par le Dr Galiano, qui était de passage à la fac de Nice, revenant d’une série de stages aux Etats-Unis sur l’énergétique dentaire. Au moment où je m’approche de l’attroupement, le soin se termine et le patient, lui-même dentiste et enseignant à la fac, se relève et dit ceci à celui qui lui avait fait le soin « La semaine dernière déjà quand tu m’as enlevé l’autre amalgame, une douleur que j’avais dans le dos depuis des années a complètement disparue ». Etonnant comme information, moi qui apprenait à faire des amalgames (au mercure), de constater que dans la fac, un enseignant se les faisait enlever et qu’en plus cela lui soignait le dos. Le fameux Dr Galiano qui n’était présent qu’exceptionnellement s’en va d’ailleurs aussitôt et je n’ai pas le temps de lui parler. Je vais alors parler avec l’enseignant qui venait de se faire soigner et lui demande : « mais alors vous allez continuer à faire des amalgames à vos patients alors qu’en enlevant les vôtres vous n’avez plus mal au dos » Eh bien il me répond que oui car il ne va pas s’embêter avec ça, et changer ses habitudes. Les composites c’était trop long et compliqué à faire selon lui pour ce que c’était remboursé et l’alternative, les inlays en or trop chers pour les patients qui seraient allez voir un autre dentiste. Alors les patients feront avec. Je retrouve la trace du Dr Galiano et vais le voir pour lui demander des explications. Un dentiste extraordinaire qui m’a enseigné les rudiments de l’énergétique dentaire. C’était un précurseur en France de l’élimination des amalgames dentaires. Il fut lui aussi d’ailleurs interdit d’exercer à vie par le Conseil de l’Ordre que ce sujet contrariait bien sûr comme le contrarie le sujet des dents dévitalisées. Je l’ai rencontré par la suite par hasard, et il admis alors qu’il fallait aussi enlever les dents dévitalisées pour guérir encore mieux les patients. L’information qu’il m’avait donnée sur la toxicité des amalgames au mercure allait perturber ma vie professionnelle car comme je devais travailler chez d’autres dentistes au début, le fait de vouloir enlever les amalgames des patients alors qu’eux-mêmes en faisaient, ne facilitait pas les choses, évidemment. Il était en effet hors de question que mes actes soient en désaccord avec mes connaissances, c’était à moi d’assumer ce dilemme et de faire avec. Je finis par travailler dans un centre de soins mutualiste où là au moins je pouvais faire ce que je voulais. Faire des composites me demandait certes plus d’énergie que faire des amalgames au mercure alors que je ne pouvais pas me faire payer plus, mais bon, j’étais alors en accord avec ma conscience et donc c’était mieux que tout. Un jour je vais à un congrès de dentisterie holistique à Strasbourg, et là j’assiste à une conférence d’Agnès Koubi (stomatologiste et fille de Davo Koubi, le dentiste précurseur du sujet en France) et du Dr Thomas sur les dents dévitalisées. Le fameux Dr Thomas dont j’avais entendu parlé lors de mes études. Les informations données lors de ce congrès sont hallucinantes, elles sont confirmées par un autre dentiste sur place, le Dr Crussol. Je commence alors à prendre conscience qu’il faut enlever les dents dévitalisées. Entre temps je déménage et change de région. Je retrouve une place à la mutuelle à Cannes, mais là ma nouvelle connaissance sur la santé me complique encore plus l’existence. Je suis rapidement licencié car je ne suis pas assez rentable. Enlever les dents dévitalisées ne rapporte pas assez d’argent à la mutuelle de Cannes. Il vaut mieux faire des couronnes dessus comme le font tous mes collègues. Les considérations de santé sur le sujet n’intéressent pas le directeur. Une centre de soins de mutuelle, ça doit avant tout être rentable, même si le discours auprès du public est exactement le contraire. Bref, je suis licencié. Je passe les détails sur tous les autres ennuis que m’ont occasionnés cette connaissance sur la toxicité des dents dévitalisées mais ce qui est le plus intéressant est qu’à chaque fois qu’un ennui arrivait, arrivait aussi une bouée de sauvetage qu’il me suffisait d’attraper pour ressortir la tête de l’eau. Il suffisait de rester serein et d’ouvrir les yeux en quelque sorte. Je me lançais alors dans cette croisade, persuadé de l’importance du sujet, voulant d’une certaine façon, moi aussi comme tant d’autres, « sauver le monde ». Parmi toutes les bouées de sauvetage que j’ai eu, qui parfois étaient des informations de grande valeur, je vais maintenant vous raconter l’histoire de l’une d’elle assez marrante. C’est ma fameuse histoire surprenante.

L’histoire surprenante. Alors que j’étais interdit d’exercer, je cherchais du travail en Suisse francophone. Mais bon là aussi, les dentistes et les autorités de santé m’ont bloqué étant donné que je les ai informé de mes histoires avec le Conseil de l’Ordre. Là encore l’aspect formidable du sujet pour la santé ne les a pas intéressé. Un dentiste vendait son cabinet à la Chaux de fonds et proposait tous les arrangements possibles et inimaginables car il n’arrivait pas à trouver de successeur. C’était tout à fait ce qu’il me fallait. Nous arrivons avec ma compagne à la Chaux de fonds, nous arrêtons la voiture et sortons de la voiture pour demander gentiment à une petite vieille dame qui passait par là, Mme Gerber, où on pouvait trouver une cabine téléphonique dans son patelin. La dame nous dit qu’il fallait aller à la poste mais qu’elle n’ouvrait qu’à deux heures. Il fallait donc attendre mais si c’était urgent on pouvait venir téléphoner chez elle. Nous nous rendons chez elle et parlons de choses et d’autre. Elle s’intéressait beaucoup aux médecines naturelles et était responsable d’une association culturelle dont le thème était le développement de la conscience. En fin de compte cette brave dame nous logea même chez elle. J’avais prévu d’aller aussi faire un stage dans la clinique Paracelsius dont le Dr Meinig m’avait parlé au téléphone. Le Dr Meinig est un dentiste américain qui a écrit un livre pour expliquer pourquoi il faut enlever les dents dévitalisées. La clinique Paracelsius est une clinique en Suisse allemande qui propose d’enlever les dents dévitalisées à tous leurs patients. Je proposais à la brave dame de m’organiser pour mon retour, une petite conférence avec les membres de son association. Lorsque je revins de mon stage plusieurs personnes étaient présentes pour la conférence dont un enseignant de la fac de sciences de l’Université de Neuchâtel qui s’intéressait aussi aux dépenses de santé de son pays. Il me donna une information qui fait partie des informations les plus intéressantes de mon site probablement. Il me dit que le canton où se trouvait cette clinique Paracelsius d’où j’arrivais, était aussi le canton de Suisse où les cotisations d’assurance maladie étaient les moins élevées, ce qui signifiait que c’était là que les personnes consommaient le moins de soins remboursés par la sécurité sociale de toute la Suisse. Il m’envoya d’ailleurs par email le tableau des cotisations suisse qui prouvait cette information. Tableau que j’ai mis sur le site www.sante-dents.com. Cette information édifiante qui montre que le canton de Suisse qui est le plus versé dans l’élimination des dents dévitalisées dépense jusqu’à deux fois moins d’argent pour soigner ses malades que certains autres cantons, m’est donc arrivée comme ça, sans vraiment faire d’efforts, juste après une série de hasards assez incroyables. Il a suffit que je tende la main pour la récupérer. Mais la brave dame était en plus la voisine de la veuve de feu le Dr Beghin, ce pédiatre suisse qui avait démontré que la consommation de sucre complet à la place du sucre blanc était la meilleure solution pour prévenir les caries, sans avoir les inconvénients du Fluor. Je pus donc grâce à elle, rencontrer cette dame qui me raconta l’histoire de son mari et des informations qu’on ne trouve nulle part écrite et assez étonnantes. Son mari avait rencontré notamment les hauts responsables d’une célèbre entreprise de sucreries Suisse pour leur expliquer qu’en mettant du sucre non raffiné dans leurs produits, ils éviteraient alors bien des caries aux enfants. Mais ceux-ci n’ont pourtant rien fait, ça devait contrarier leur première loi, la loi du profit… J’ai eu aussi quelques autres histoires de hasards étonnants qui m’ont procuré des informations étonnantes et notamment celle qui m’a permis de recueillir le témoignage qui constitue l’histoire édifiante que je vais maintenant vous raconter.

L’histoire édifiante.

J’avais entendu parler jadis par un de mes patients d’un médecin de la région que le Dr D. Koubi (un dentiste précurseur de l’idée de toxicité des dents dévitalisées) avait sauvé quasi miraculeusement en enlevant une dent dévitalisée. Mais c’était un médecin qui pourtant n’avait jamais rien fait pour défendre cette cause et n’avait malgré tout rien compris en vérité selon le patient. Je trouvais que ça aurait pu être intéressant de recueillir ce témoignage étonnant, d’une part parce qu’il était étonnant mais aussi pour illustrer comment la corporation médicale était enfermée dans ses croyances limitatives sur la santé. Peut-être aussi pour montrer que même si on est médecin, on peut ne pas répercuter l’information même si cette info vous a sauvé la vie. J’ai toujours pensé qu’il est important de contribuer à supprimer un peu cette hypnose collective vis-à-vis de la corporation médicale que notre société a aujourd’hui, un peu trop à mon goût. Les médias aiment bien nous montrer ces médecins qui travaillent jour et nuit pour sauver des vies et soigner leurs patients. Bien sûr qu’il existe nombre de médecins formidables, comme il existe nombre de plombiers formidables aussi d’ailleurs, mais trop d’admiration est nuisible en fait. Elle crée une forme d’hypnose qui permet d’une certaine façon une destruction des médecines naturelles qui concurrencent la médecine officielle. Cela fait beaucoup de mal à notre société. Une société dont les malades avalent avec une facilité inimaginable des médicaments chimiques aux effets secondaires terribles, tandis que ceux qui essaient de les informer du danger, comme nombre de naturopathes notamment et d’autres qui essaient de développer une médecine naturelle mais concurrentielle, sont assez souvent envoyés en prison en France pour exercice illégal de la médecine. Et tout cela se passe parce que justement notre société et donc nos juges sont en quelque sorte en état d’hypnose vis-à-vis de nos médecins en les mettant trop sur un piédestal. Eh bien non mes amis, les médecins sont des hommes comme les autres, même si parfois ils sauvent des vies. Ils peuvent être bêtes aussi. Ils font aussi du commerce d’une certaine façon car ils veulent conserver leur clientèle. Si on leur prouve que quelque chose est très bon pour la santé, mais qu’ils n’ont rien à gagner et surtout qu’ils ont quelque chose à perdre, la plupart ne passeront pas l’info. Mais surtout, si d’autres, des concurrents, essaient de montrer que ce qu’ils font a des effets secondaires terribles, ils feront tout pour détruire cette info et les concurrents avec, même si la santé publique en dépend. Les médecins sont des hommes comme les autres, ou des femmes comme les autres, et les dentistes aussi bien sûr, ne l’oubliez jamais.
J’avais un peu cherché ce médecin qui avait été sauvé en extrayant une dent dévitalisée, mais il n’exerçait plus et était introuvable. Ce médecin avait aussi témoigné anonymement dans le livre de Davo Koubi sur les dents dévitalisées.
Par une série de hasards assez incroyables du même genre que l’histoire précédente, j’obtiens facilement les coordonnées de ce médecin. Je lui téléphone et lui explique que j’aurais bien aimé l’interviewer sur le sujet pour recueillir son témoignage vidéo. Je me rends donc chez lui avec ma caméra. Il me reçoit et je commence à l’interroger en le filmant. L’histoire qu’il me raconta fut au-delà de mes espérances et c’est cette histoire que je vais à mon tour vous raconter.
Ce Monsieur est un médecin cardiologue aujourd’hui à la retraite et un jour se sentant de plus en plus fatigué, il consulte des collègues, fait des examens et le diagnostic terrible tombe. Il a une hépatite très grave. Son foie est en train de se détruire totalement et on ne lui donne que quelques mois à vivre. A l’époque on ne faisait pas de greffe du foie, il n’y a donc pas d’espoir. Il était resté en contact avec son professeur de cardiologie à Paris qui était le fils d’un des fondateurs de la cardiologie moderne. Celui-ci lui dit de faire contrôler ses dents et donc ses dents dévitalisées car selon lui ça pourrait venir de là. C’est l’époque où le Dr Lepoivre, chef de service en stomatologie à Paris prônait l’élimination de toutes les dents dévitalisées et ce concept avait pénétré un peu le milieu de la cardiologie française qui encore aujourd’hui dans certaines affections particulièrement graves comme l’endocardite d’Össler, prône l’élimination systématique de toute dent dévitalisée. C’est à ma connaissance en France la seule spécialité a avoir plus ou moins officiellement intégré ce concept mais uniquement pour cette affection particulière et aussi je crois en cas de greffes de valves cardiaques, mais c’est à vérifier.
Mais bon, notre cardiologue n’attache pas trop d’importance à cette information, bien que ce soit son maître parisien qui la lui transmette. Alors qu’il annonce à ses patients qu’il va cesser son activité car il va mourir bientôt, une de ces dernières patientes lui parle d’un dentiste original à Cannes qui a guéri de nombreuses personnes en enlevant tout simplement des dents dévitalisées. Information originale mais ce cardiologue était lui aussi assez original. Son maître parisien de cardiologie qui semble-t-il avait une certaine ouverture d’esprit lui avait appris à faire jeûner les patients et à leur faire arrêter totalement tout alcool même le vin. Grâce à cette méthode originale, il obtenait des résultats bien supérieurs à ceux de ses confrères et lorsqu’on est un peu original, on a souvent aussi des patients un peu originaux qui vous apprennent donc des informations originales, je l’ai bien vu moi-même. Après cette deuxième information l’incitant à s’occuper de façon originale de ses dents, il va consulter le dentiste Davo Koubi à Cannes. A l’époque, il n’a qu’une dent dévitalisée. Le Dr Koubi regarde sa radio, lui dit que sa dent est parfaitement dévitalisée, dent qui ne lui fait d’ailleurs nullement mal, mais qu’il faut quand même l’enlever. Il se renseigne alors sur le sujet et apprend qu’effectivement en Allemagne, il existe tout un courant de thérapeutes qui disent eux aussi qu’il faut enlever les dents dévitalisées. Ma foi, c’est une dent du fond et puis de toutes façons, la médecine l’a condamné, alors il accepte de la faire enlever compte tenu de tous les éléments qui vont dans ce sens, bien que la démarche ne soit pas académique. Et là miracle, l’hépatite disparaît rapidement, il guérit et retrouve la santé. Il reprend son cabinet médical et sa vie reprend son cours normal. L’histoire fait le tour de tous les collègues médecins d’Antibes où il exerce, mais bon à ma connaissance, personne n’a conseillé à ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées. Un peu plus tard, un médecin, ami du cardiologue, apprend qu’il a lui-même un grave cancer de l’estomac. Après avis des plus grands spécialistes à Paris et d’un grand chirurgien de la région, il faut effectuer une ablation totale de l’estomac, et encore ce n’est pas sûr qu’il survivra. L’avis est confirmé par le doyen de la fac de médecine de Nice qui l’adresse à un grand chirurgien d’une clinique privée de la région. Le cardiologue lui parle alors de son histoire de dent et ils vont consulter le dentiste à Cannes, qui est le successeur de Koubi mais exerce un peu dans cet esprit aussi. Cette fois ci il y a de nombreuses dents dévitalisées à enlever. Ma foi, il n’a plus grand-chose à perdre et il fait enlever toutes ses dents dévitalisées. L’intervention du chirurgien cancérologue est elle, retardée au mois prochain car le chirurgien doit partir en congrès de cancérologie aux Etats-Unis. Le chirurgien revient des Etats-Unis et l’opère alors. Le cardiologue est autorisé a assister à l’opération. Le chirurgien ouvre le ventre, palpe l’estomac et ne comprend plus. L’estomac n’a rien à voir avec un estomac cancéreux. Avant d’enlever l’estomac il fait alors refaire des analyses d’anatomopathologie. Il n’y a plus de cancer et le chirurgien referme le ventre sans rien faire. Le cancer a disparu. Notre cardiologue explique alors toute l’histoire des dents dévitalisées au chirurgien qui écoute attentivement. Le patient (médecin) guérit rapidement et il retrouve la santé sans rien faire de particulier. Je demande alors au cardiologue s’il connaît d’autres histoires similaires. Oui un collègue travaillant dans un laboratoire d’analyses médicales avait vu des patients soignés par Koubi avec des affections très graves soit disant inguérissables comme une polyarthrites chronique évolutive. Les examens sont redevenus normaux après leur passage chez ce dentiste Koubi. Je demande alors si lui-même, et tous ceux qui avaient obligatoirement eu l’information sur ces histoires édifiantes, dont le doyen de la faculté de médecine de Nice de l’époque et le grand chirurgien de cancérologie notamment, ont voulu en savoir plus. S’ils sont allés voir le dentiste Davo Koubi par exemple et s’ils ont conseillé à leurs patients d’enlever leurs dents dévitalisées. Non à sa connaissance, cette information est semble-t-il rentrée par une oreille et sortie par une autre, aussi bien pour lui que les autres d’ailleurs. En guise de justification il m’explique qu’il n’a pas approfondi le sujet et d’ailleurs que je suis bien crédule de penser que lui et ses confrères auraient pu s’y intéresser. Il y a déjà assez de travail comme ça pour passer du temps, non rémunéré en plus, a essayer de convaincre les patients qu’il faudrait enlever leurs dents dévitalisées. Sans compter en plus qu’on se mettrait mal avec les confrères dentistes. Le spécialiste des analyses biologiques est là pour faire des analyses, lui pour soigner le cœur, le chirurgien pour enlever des cancers et d’une certaine façon le doyen pour diriger l’Université. Chacun à sa place et les moutons seront bien gardés, en quelque sorte, m’explique-t-il le plus naturellement du monde. Alors qu’il me raconte cela, je prends conscience du caractère effrayant de cette attitude. Cela n’a rien à voir bien sûr mais je ne peux m’empêcher de penser aux nazis du procès de Nuremberg qui disaient n’avoir fait qu’obéir aux ordres. Mais ce n’est pas tout, l’histoire continue. Je l’avais contacté depuis quelques mois déjà par téléphone pour lui exprimer ma demande. En lui téléphonant, je lui avais rappelé que les dents dévitalisées étaient très toxiques. Lui-même a depuis quelque temps un problème cardiaque et il se soigne tout seul en prenant les médicaments qu’il a toujours prescrits à ses patients, en ne buvant pas une goutte d’alcool et en jeûnant de temps à autre, j’imagine comme il le conseillait à ses patients. Coïncidence, peu après mon coup de fil, une dent se met à lui faire mal. Il va consulter son dentiste qui se propose de lui redévitaliser sa dent qui s’était un peu infectée semble-t-il. Malgré son histoire avec Koubi, il avait fait dévitaliser par la suite d’autres dents. Comme mon coup de fil lui a rappelé ce sujet, il demande alors au dentiste de la lui enlever cette fois ci, en lui expliquant son histoire personnelle de guérison miraculeuse en enlevant jadis une dent dévitalisée. Le dentiste accepte par conséquent et exceptionnellement de la lui enlever. Son problème cardiaque, la tachycardie, cesse alors le jour même. De toute sa carrière de cardiologue, il n’a jamais vu la cessation d’un tel problème aussi rapidement. En général, les patients sont traités à vie avec leurs médicaments. Eh bien, pensez-vous qu’il en aurait touché un mot à ses amis cardiologues, pas du tout. Quant au dentiste, j’imagine qu’il continue comme avant lui aussi bien sûr. Alors que je discute avec lui, il me parle de nouveaux problèmes de santé qu’il a. Il ne peut plus faire de ski, à cause d’un problème rhumatologique apparu depuis quelques années. Je lui demande s’il a encore des dents dévitalisées et il me montre une zone de la bouche qui correspond je le sais, à la zone de son problème rhumatologique. Je lui conseille alors de faire enlever les dents dévitalisées qu’il lui reste et les faire rajouter sur son appareil. Il connaît en plus l’existence du rhumatologue de notre région qui prône d’enlever toutes les dents dévitalisées. Alors que je lui conseille cela, il me regarde et me dis, « ah bon vous croyiez que ça peut avoir un rapport. Pour l’instant j’ai eu des informations sur le traitement des fascias et je crois que je vais d’abord voir de ce côté-là », sous entendu, je ne vous crois pas vraiment…. C’est à mourir rire cette histoire vraie, ne trouvez vous pas…. Mais c’est aussi terriblement instructif tellement s’en est hallucinant. Sur le coup ça m’a un peu démoralisé je dois dire car je me suis dis alors, que je n’arriverai jamais à convaincre sur le sujet quand je voyais que même ce cardiologue, je n’arrivais pas à le convaincre malgré tout ce qu’il avait vu et vécu. Puis maintenant, je me dis que lorsque des journalistes verront cette vidéo, ils comprendront un peu mieux pourquoi cette information si importante pour la santé de millions de personnes est restée endormie depuis si longtemps et qu’alors cela les aidera à comprendre pourquoi le « si c’était vrai ça se saurait » est loin d’être vrai, en tout cas dans ce cas.

Dr Bruno Darmon.
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Communication scientifique sur l’impossibilité de stériliser une dent dévitalisée.

March 13, 2008 on 9:28 pm | In Non classé | Comments Off

Communication scientifique sur l’impossibilité de stériliser une dent dévitalisée.

Le laser est une méthodologie physique de stérilisation de la dent dévitalisée. Elle fut jadis présentée comme la technique nec plus ultra des traitements endodontiques (de dévitalisation). Par une forte chaleur, les bactéries sont pulvérisées et cela semble mieux que tous les agents chimiques désinfectants.
Mais voilà, malgré que cette technique soit probablement la meilleure, elle ne permet toujours pas d’arriver à stériliser la dent. Une étude récente, mise à la fin du texte, sur cette meilleure technique de désinfection lors de la dévitalisation dentaire, avoue en effet que même avec cette technique « certaines bactéries pathogènes restent cependant difficiles à éradiquer » avouant ainsi que la meilleure des techniques endodontique ne pourra pas stériliser la dent dévitalisée. C’est un aveu de plus pour comprendre que la meilleure des dents dévitalisées restera toujours une niche de bactéries en contact avec le sang. Cela est bien sûr différent des bactéries qui se trouvent dans le tube digestif qui sont considérées comme appartenant au milieu extérieur et non au milieu intérieur, et qui n’ont donc pas la même incidence sur la santé. Je précise cela car généralement les détracteurs de l’information sur la toxicité des dents dévitalisées, arguent qu’il y a tellement de bactéries dans le tube digestif, qu’un peu plus dans les dents dévitalisées, ce n’est pas grave…

En conclusion, il me semble important que vous sachiez qu’une dent dévitalisée est donc par conséquent toujours un foyer infectieux puisque la meilleure technique existante pour désinfecter la dent dévitalisée ne pourra jamais éradiquer toutes les bactéries présentes dans la dent dévitalisée. La meilleure des dents dévitalisée restera donc toujours quelque chose qui s’apparente à un bout de pourriture dans votre bouche en contact avec votre sang. Certains pensent même qu’aujourd’hui c’est la première cause de cancers et de maladie dans le monde occidental et notamment en France. Et ceux qui pensent cela sont des thérapeutes connus pour arriver à guérir ce que personne d’autre n’arrive à faire. Ma foi, le plus absurde dans tout cela, c’est que c’est connu en France depuis un demi siècle, que des milliers de personnes ont été guéries grâce à cette info et que malgré cela des millions de personnes restent malades de ne pas la connaitre. En plus on dépense des sommes folles dans la recherche médicales, alors qu’il y a ici même une technique très efficace mais que notre médecine ignore royalement. Mais bon il y a tellement d’absurdités aujourd’hui qu’une de plus une de moins, on n’est pas à une près.

Voici maintenant le résumé de la publication scientifique, dont la phrase essentielle se trouve à la fin pour info.

Des recherches in vitro récentes ont été menées à l’UCL de Louvain (Belgique) pour évaluer l’effet du laser dans la désinfection canalaire.
Objectif: vérifier l’hypothèse selon laquelle les désinfections photo-activées (PAD) auraient un effet bactéricide sur les pathogènes innoculés dans les canaux radiculaires, en mettant l’accent sur le processus formation / destruction du Biofilm.
Les dents sélectionnées ont été traitées selon diverses techniques de PAD, laser avec ou sans utilisation de colorants pour élargir le spectre et potentialiser ainsi l’action du laser.
Méthodologie des canaux radiculaires de dents extraites (n = 38) ont été préparés (taille 30, 0,10 de conicité), puis autoclavés, et divisés en trois groupes. Deux groupes contrôles négatifs ont été inoculés (Streptococcus anginosus, Enterococcus Faecalis ou Fusobacterium nucleatum) et traitées (PAD, laser, colorant ou Contrôle positifs).

Les traitements des canaux radiculaires avec PAD (15 J) ont provoqué une importante
réduction de la charge bactérienne, ce qui a permit d’éliminer à 93,8% de S. anginosus, d’élimine à 88,4% E. faecalis et à 98,5% F. nucleatum
mais n’a pas permit la stérilisation complète. Le Laser seul n’a pas d’effet significatif sur la charge bactérienne
Des mesure au MEB on montré que lorsque les biofilms sont peut épais (monocouche) la PAD est efficace.
Cependant , l’éradication bactérienne a été substantiellement réduite en couches profondes (2 et 6 jours pour E. faecalis, 6 jours pour S. anginosus).
Conclusion : La désinfection photo-activée n’est pas une alternative mais un éventuel supplément aux protocoles existant
Des protocoles de désinfection du canal que de l’interaction entre la lumière (diode Laser) et associé à des colorants ont fournit un effet à large spectre.

Certaines bactéries pathogènes endodontiques qui se développent en biofilms restent cependant difficiles à éradiquer.

Int Endod J. 2008 Mar;41(3):227-39. Epub 2007 Dec 10.
Effect of photo-activated disinfection on endodontic pathogens ex vivo.
Bergmans L, Moisiadis P, Huybrechts B, Van Meerbeek B, Quirynen M, Lambrechts P.
BIOMAT Research Cluster, Catholic University of Leuven, Leuven, Belgium.
Le texte originel se trouve à l’adresse suivante :
http://www.dentisfuturis.com/modules/news/article.php?storyid=918