Réponse au diffamateur
June 16, 2006 on 10:38 pm | In Réponse au diffamateur | No CommentsIl existe deux personnes (au moins) qui me diffament sur internet. La première est une dentiste qui a écrit un livre sur une dentisterie holistique à elle, ce que je respecte mais qui qualifie la mienne de dentisterie mutilatoire. Quelle nous montre donc une centaine de cas médicaux complexes qu’elle a guéri avec sa dentisterie holistique à elle (comme sur www.sante-dents.com) et après on en rediscutera.
Il y a aussi un patient et le texte qui suit en traite.
Le cas du patient R.B. qui me diffame largement sur internet et m’envoie en correctionnelle.
Texte qui intéressera sûrement les adeptes des romans en général, et psychologiques en particulier, mais assez peu intéressant d’un point de vue strictement médical vis à vis de l’infection focale et des dents dévitalisées, si ce n’est pour ceux qui veulent approfondir les raisons de l’absence de diffusion de cette thérapeutique pourtant extrêmement efficace paradoxalement.
Ce monsieur R.B. a réalisé un site qui me diffame tellement et diffame tellement le courant de dentisterie qui s’intéresse à l’infection focale et prône l’extraction des dents dévitalisées qu’il m’était impossible de ne pas répondre.
Non pas que je désire ici attaquer ce monsieur mais c’est surtout pour expliquer les raisons qui font qu’aujourd’hui ce monsieur peut avoir une influence regrettable sur votre santé.
Toutefois aussi incroyable que cela pourrait vous paraître je vous conseille d’aller aussi voir son site que vous trouverez facilement, car si après avoir lu ce qu’il raconte et lu ce que je raconte, vous êtes plus d’accord avec ce qu’il dit, alors je vous le dis tout net : Ne faites surtout pas enlever vos dents dévitalisées.
Ce monsieur est un menteur manipulateur de la pire espèce. Il est l’outil idéal des forces de l’ombre pour perdre les éventuels prétendants à se faire enlever la mort de la bouche sachant que le meilleur atout des forces de l’ombre est le manque de discernement des humains. Ils croient autant un fou qui crie n’importe quoi pour faire peur que des études et preuves sérieuses et des gens sérieux qui parlent du problème des dents dévitalisées , un sujet qui pourraient redonner la santé à des millions de personnes. Lui même est surtout un imbécile manipulé par les thanato dentistes et d’une certaine façon il croit à ce qu’il raconte même si il n’hésite pas à mentir pour exagérer ses dires. En une quinzaine années d’exercice à guérir des centaines de patients soi disant inguérissables de la médecine je n’ai eu que trois plaintes, ce qui de l’avis d’un confrère est étonnement faible compte tenu du risque que représente cet exercice qui s’oppose à la pratique de toute une profession. A chaque fois cette plainte était fortement suggérée au patient par un confrère. Pour vous donner une image de ce monsieur dans la vie courante, ce monsieur est une grande folle, exagérant tout, dont une des premières passion est de brosser les cheveux des femmes, un hypersensible qui croit le dernier qui parle et qui laisse largement submergé son bon sens par ses émotions et les apparences. C’était donc l’imbécile idéal des forces obscures pour tenter de détruire cette cause qui va dans le sens de la préservation de la vie.
L’analyse du cas de M R.B. est assez intéressante pour les personnes qui s’intéressent aux mécanismes psychopathologiques, ce qui entre nous, je trouve, est bien plus passionnant que de parler de dents dévitalisées même si aussi actuellement dans la population française, les problèmes consécutifs aux dents dévitalisées sont plus lourds de conséquences en termes épidémiologiques et statistiques que ceux consécutifs aux problèmes psychologiques. Pourtant dans les milieux de médecine alternative que j’ai un peu fréquentés, on croirait que toutes les maladies viennent du psychisme aujourd’hui.
Tout d’abord, sachez que Monsieur R.B. est un brave Monsieur, il n’est pas question ici de le blâmer, et s’il me demandait encore de le soigner je le ferai bien volontiers. Pour l’instant, je doute toutefois que ça arrive… C’est un artiste lyrique dont les qualités artistiques de chanteur étaient indiscutables. Il avait du talent à mon avis. C’est un artiste à n’en pas douter et il a aussi le sens du spectacle. M R.B. est aussi quelqu’un de très sensible, je dirais même d’hypersensible. Lorsqu’il a pris conscience jadis du problème des dents dévitalisées, il a été littéralement horrifié de savoir qu’il possédait en bouche des usines à toxines pleine de bactéries toxiques. Il avait lu un article sur médecine nouvelle, qui expliquait tout l’empoisonnement que faisaient les dents dévitalisées. Comme il savait que ce sujet m’intéressait aussi, il m’a questionné à de multiples reprises. J’ai répondu à ses questions en confirmant bien sûr ce qui était écrit par le Dr J.G. Thomas et le Dr Agnès Koubi sur l’article du journal qu’il avait lu, respectivement médecin rhumatologiste et stomatologiste. Il confirme d’ailleurs cela dans un de ses textes mis sur internet.
Un jour, il prend rendez vous à mon cabinet et vient avec une amie qui l’admirait beaucoup et faisait un peu tout ce qu’il voulait, Mme Y.L. Plus de trois ans plus tard, il eut d’ailleurs l’idée de lui faire porter plainte contre moi, histoire de montrer qu’il n’était pas tout seul dans cette croisade. Aujourd’hui il raconte que plus d’une cinquantaine de patients auraient porté plainte contre moi. Je vous assure qu’il délire complètement ici. Malheureusement pour la plainte de Mme Y.L., c’était un peu trop tard juridiquement parlant et la plainte fut irrecevable.
Il avait convaincu son amie Y.L. qui avait une maladie grave, de faire enlever ses dents dévitalisées. Evidemment je confirmais que ses dents dévitalisées pouvaient intervenir comme facteur aggravant voire déterminant dans sa pathologie. J’enlevais ainsi à cette dame toutes ses dents dévitalisées, comme je l’avais déjà fait à des très nombreuses personnes avant elle et le fit d’ailleurs ensuite à d’autres très nombreuses personnes après elle. Le travail d’extraction fut assez facile et j’enlevais d’ailleurs de multiples dents dévitalisées en une séance. Elle en fut si contente se sentant si bien dans les jours suivants que son contentement a fini de motiver M R.B. En supposant qu’elle eut été totalement insatisfaite, comment expliquer qu’il se serait alors laissé soigner par moi ? Il nous dit pourtant qu’elle aussi aurait été mutilée… En tout cas à l’époque elle avait l’impression de se sentir beaucoup mieux.
Quelques jours plus tard, je réalisais de même sur M R.B. dont une dent qu’il aurait fallu dévitaliser mais que nous avions alors convenu d’extraire, dans la logique de prévention focale. L’intervention fut toutefois un peu plus longue que son amie car dans son cas, les dents étaient quasiment toutes soudées à l’os. Cela arrive parfois avec les dents dévitalisées. Le dentiste qui dévitalise les dents peut parfois utiliser lors du traitement des produits chimiques agressifs qui tuent des parties du ligament alvéolo-dentaire (le ligament qui relie la dent à l’os de la mâchoire). La dent se soude alors à certains endroits avec l’os et lorsqu’on l’enlève, il arrive alors des arrachements osseux. Les extractions sont d’autant plus difficiles que les dents dévitalisées sont plus cassantes que les dents vivantes. Bref ce n’est pas facile à réaliser mais j’ai fait cela des centaines de fois. Rien n’est grave car c’est de l’os mort en fait et ainsi il part de lui même. Maintenant je vais être encore plus technique mais dans ce cas, cela me parait nécessaire si vous avez pu être défavorablement influencé par ses propos.
En plus ce Monsieur était très perfectionniste sur l’esthétique. Il m’a semblé que s’en était même limite pathologique. Il voulait absolument des prothèses amovibles avec des dents en céramique aussi grandes que ses anciennes dents alors que normalement on met les dents qu’on peut compte tenu de la place dont on dispose. Il fallait alors ménager suffisamment d’espace pour pouvoir positionner des dents en céramique pour obtenir l’esthétique idéale que certaines personnes recherchent en prothèse amovible. Ce sont des détails techniques de prothèse dentaire. Il faut donc éliminer encore un peu plus d’os au niveau du collet de la dent extraite. Evidemment si ensuite on veut faire des implants, il faut éviter de le faire. Il faut donc savoir ce que l’on veut avant et s’y tenir. Quant aux arrachements osseux involontaires, parfois ils produisent même des communications entre la cavité buccale et les sinus. Là c’est plus gênant car si on ne fait rien les aliments passeront dans les sinus et pourront parfois provoquer une infection du sinus. Il faut donc agir mais pas toujours le jour même de l’intervention car en fonction de la taille de la communication, celle ci peut se fermer toute seule. Il faut donc effectuer une prescription médicale anti-infectieuse, attendre, surveiller et donner des conseils du genre ne pas se moucher en exerçant ainsi une pression qui pourrait expulser le caillot. On surveille tout régulièrement en étant près à intervenir au cas où. Généralement, la communication se ferme toute seule sinon si elle est petite, on fait ce qu’on appelle un lambeau de rotation de la gencive, qui permet avec la gencive de refermer la communication. Si la communication est plus importante, ce qui peut aussi arriver, il faut en plus faire une petite greffe d’os. Le chirurgien maxillaire à qui j’adressais mes patients pour fermer ce genre de rares petites conséquences post opératoires, prenait un petit bout d’os à l’intérieur de la bouche, dans la mâchoire du bas, vers le menton, sous anesthésie locale pour fermer de telles communications. Mais durant mon exercice, cela est arrivé une seule fois qu’un patient aurait pu en avoir besoin et en plus il ne l’a pas fait car il est resté avec sa prothèse qui obturait très bien et suffisamment selon lui sa communication bucco sinusale. C’est d’ailleurs ce qui se passe dans les cancers de la bouche et plus précisément des cancers qui touchent le palais qui est enlevé en partie. Les chirurgiens laissent persister une communication bucco sinusale qui est ensuite obturée par la prothèse dentaire amovible (le dentier), et cela ne pose aucun problème médical. Tout cela sont des petits désagréments qui sont sans commune mesure sur la santé avec la toxicité des dents dévitalisées qui sont je le rappelle très cancérigènes pour un éminent cancérologue allemand, le Dr Issels, qui fut expert dans le programme de lutte contre le cancer du gouvernement allemand et fondateur du premier hôpital européen d’immuno-cancérologie et guérissait 37 % de plus de cancers que ses collègues. Mais enfin on peut toujours croire M R.B…
Pour en revenir à ses communications bucco sinusale, l’une s’est fermée semble –t-il seule et l’autre a été fermée par un simple lambeau de gencive, alors qu’une grosse communication nécessite une greffe osseuse. Mais cela s’est fait plus d’un an après mon intervention. Pourquoi donc avoir laissé si longtemps ainsi ce monsieur ?
Mais que s’est-il donc passé alors sur ce patient qui l’a rendu autant malade par la suite de ses communications bucco sinusales, car il semble effectivement qu’il ait été malade ensuite.
Eh bien je vais tenter de vous l’expliquer.
Les psychologues s’intéressent beaucoup à une forme d’intelligence qu’ils appellent l’intelligence émotionnelle, en complément de l’intelligence analytique, c’est à dire celle qui permet de déterminer en partie le quotient intellectuel ou Q.I. Selon mon analyse ce monsieur, qui j’ai l’impression a un Q.I. normal d’ailleurs, et donc est loin d’être un imbécile de ce côté a aussi une intelligence émotionnelle surdéveloppée. Il est tellement intelligent d’un point de vue émotionnel pourrait-on dire que son analyse des évènements a été obscurcie. Lorsqu’il a pris conscience du problème des dents dévitalisées, il fallait que l’élimination de ces poisons se fasse tout de suite, d’autant plus qu’il avait divers problèmes de santé. Il ne pouvait supporter l’idée de rester une semaine de plus avec des cadavres putrides dans le corps qui étaient susceptibles d’intervenir dans ses problèmes de santé divers. Mais lorsqu’il est rentré à Genève, pour affaire, alors qu’il était en pleine forme m’a-t-il dit, mais en phase de cicatrisation encore très fraîche, et qu’il est allé consulter un dentiste traditionnel car il possédait une alvéolite sur une des extractions, comme cela peut arriver parfois, ce dernier lui a détruit le moral. Le dentiste lui a en effet brossé un tableau apocalytique de ce qu’il s’était passé dans sa bouche après avoir vu la radio panoramique qu’il n’a pas manqué de lui montré et qui montrait des dents parfaitement dévitalisées selon les critères radiologiques. Ce certificat n’est pas présent sur internet mais sur le dernier rapport d’expertise que seul les avocats, les experts et les juges auront en main.
Le dentiste lui a dit textuellement puisque c’est écrit dans son attestation:
« Je ne peux me passer de faire part ici de l’effarement que j’ai ressenti …L’alibi des extractions et de l’ablation de tissus osseux soi disant infectés qui justifieraient les dévastations relève d’une conception très particulière et personnelle de la pathologie générale et dentaire qui ne trouve nullement de justification scientifique. (tiens lui aussi c’est un scientifique semble-t-il croire NDLR).Je n’hésite pas à définir de criminelle une telle attitude thérapeutique. ».
D’autres pensent que de dévitaliser des dents saines pour faire plus facilement des bridges, comme le font beaucoup de confrères, est criminel. C’est une question d’appréciation, mais en tout cas pas une vérité unanimement reconnue…
En tout cas, comment voulez-vous qu’avec une telle appréciation, un monsieur hypersensible comme M R.B. en ressorte vivant. Il l’a psychologiquement tué.
Mais en plus, si ce dentiste a peut-être manqué de psychologie (mais qui n’en a jamais manqué), je ne remets pas une seule seconde en doute, sa sincérité. Ce dentiste qui toute sa vie a fait tout son possible pour conserver les dents dévitalisées de ses patients, n’a très certainement jamais enlevé de sa vie une dent dévitalisée solidement implantée comme il les a vues sur la radio panoramique pré extractionnelle du patient. Des dents qui de plus ne faisaient pas mal. L’objectif de redonner la santé ainsi, tout comme pour la plupart des dentistes de Genève était surréaliste. D’après une petite enquête que j’ai réalisé, ce concept me semble en effet très ignoré dans ce canton suisse. Ce canton est d’ailleurs comme par hasard, celui de suisse où les personnes consomment le plus de médecine de toute la Suisse et donc logiquement où ils sont les plus malades. Et donc on peut fortement le supposer, les moins bien soignés. Le tableau des dépenses de chaque canton suisse de 2003 et 2004 est d’ailleurs sur l‘autre site, avec l’attestation de la clinique Paracelsus.
J’avais évidemment mis en garde M R.B. contre ce genre de risque classique mais son intelligence émotionnelle a semble-t-il submergé son intelligence analytique et il a subi ici le choc psychologique de sa vie dont plusieurs années après il ne s’est visiblement toujours pas remis.
Et cela d’autant plus que cette analyse apocalytique de sa bouche a été confirmée par d’autres praticiens et éminents professeurs, ignorants tout autant les rapports entre les dents dévitalisées et la santé, lorsqu’ils ont regardé sa radio panoramique.
Monsieur R.B. a donc été persuadé qu’il avait été victime d’un monstre qui l’avait mutilé sciemment. Evidemment M R.B. aurait peut-être du se demander dans quel intérêt je l’aurais sciemment mutilé car en plus je l’avais fait gratuitement. J’ai du passer plus d’une dizaines d’heures à m’occuper de lui, gratuitement croit-il, parce qu’il m’avait amené une bonne patiente. Quand on sait que la perception d’honoraire d’un cabinet dentaire est en moyenne de 50 à 150 euros par heure, je vous laisse faire le calcul de ce que j’avais consenti à offrir à ce monsieur qui m’avait parlé de son dénuement financier et auquel j’avais été sensible, bien que j’avoue que je ne le fus pas toujours pour tout le monde car c’est souvent des histoires. Je ne suis en rien un saint qui veut travailler gratuitement, même si parfois il m’arrivait de le faire dans des situations où j’estimais que la limitation financière ne doit pas être un obstacle au fait de retrouver la santé. Mais tous mes confrères font de même, je vous assure. Je me demande d’ailleurs encore aujourd’hui comment ce monsieur a ensuite réussi à faire des implants si onéreux.
Mais ce n’est pas le plus intéressant, car ce patient est sincère j’en reste persuadé. Mais aussi il croit avoir été très crédule pour selon lui s’être fait berné de la sorte. Il le dit plusieurs fois en des termes équivalents. Et comme dans sa logique, il a honte de s’être fait berné à ce point, quand on connaît un peu ce monsieur, il devient évident qu’il ne peut l’admettre. Son égo en serait trop affecté. Nous avons tous un égo plus ou moins développé rappelons le, il n’est pas question de stigmatiser ici ce monsieur plus que nécessaire. Son égo a alors trouvé la solution. Il se raconte une histoire abracadabrante qu’il finit d’ailleurs peut-être par croire sincèrement. Il raconte que je lui aurais enlevé ses dents sans son consentement en le droguant. Evidemment comme il n’y avait pas de témoins et qu’à l’époque comme la majorité des praticiens français, je travaillais sans assistante au fauteuil, c’est sa parole contre la mienne. Et il a un tel talent de persuasion qu’il est arrivé à faire croire cela à un Procureur de la République en lui racontant je crois bien (en tout cas il m’en avait menacé), que je faisais partie d’une secte (ce qui était en partie vrai à l’époque d’ailleurs et ce que le procureur a du vérifié). J’imagine que cela a du être croustillant pour le jeune juge qui m’a convoqué jadis (vu la façon dont il m’a traité à l’époque) et qui y a sûrement vu ici une histoire croustillante. Imaginez vous, un dentiste dans une secte qui drogue ses patients pour leur arracher toutes leurs dents. C’est une histoire extraordinaire pour un jeune juge habitué à la banalité de la délinquance ordinaire. D’autant plus qu’un ministre de la santé de l’époque avait fait passer des circulaires dans les tribunaux, d’être particulièrement sévère dans toutes les affaires de sectes. Et que les affaires de sectes, en France, ça ne court pas les rues à vrai dire. Comme en plus le Conseil de l’Ordre m’avait condamné dans cette affaire pour le fait d’avoir réalisé des traitements en déssaccord avec la science, le dossier était assez étayé pour aller en correctionnelle. Et j’y suis d’ailleurs encore aujourd’hui. Si le procureur avait su que le dit Monsieur était en fait un ami proche du gourou de la même « secte » que la mienne (incroyable non), il aurait peut-être été moins zélé.
Mais comme toujours, ou du moins parfois en tout cas, dans ma vie, Dieu ou le hasard, appelez le comme vous voulez, me donne un petit coup de main. Ce Monsieur R.B. qui a un goût prononcé pour le spectacle a fait un site internet pour exposer au monde entier sa bouche et vivre ainsi ce qu’il pense être le rôle de sa vie, le défenseur des pauvres dents dévitalisées face à une méchante secte démente d’arracheurs de dents, tout en prenant aussi le rôle de la victime de la secte des arracheurs de dents, qui selon lui, ne doit pas être très différente de la secte de l’O.T.S. qui a défrayé la chronique jadis, puisqu’il en fait une comparaison dans un de ses documents sur internet. Et dans cette comédie dramatique qu’il nous joue sur internet, tout en la vivant sincèrement d’ailleurs dans son esprit, je n’en doute pas, il raconte des détails intéressants et vrais en les mélangeant toutefois à d’autres de son invention, étant donné qu’il ne peut avoir été aussi bête que cela pour s’être fait berné de la sorte. Et voici ce qu’il nous dit dans un de ses entretiens avec un médecin qu’il rapporte sur son site.
« alors que je n’avais pas donné mon accord pour des extractions multiples ».
« puis je suis tombé dans un état prolongé de semi-inconscience, comme drogué ».
« après 4 heures d’inconscience dues aux excès outrecuidants d’anesthésie: réveil vers minuit, et non pas une dent extraite… mais 8 dents arrachées d’un seul coup ».
Donc M R.B. veut nous faire croire d’abord qu’il aurait subi ses extractions sans son consentement, ce qu’il a d’ailleurs fait croire aussi au procureur de la république qui a ainsi instruit l’affaire. Mais voici aussi ce qu’il nous apprend dans le même courrier :
« Je vous rappelle que j’ai enduré vaillamment quatre heures et demie consécutives d’extractions, effectuées d’une seule traite (7 dents)(7 ou 8 il faudrait savoir , mais quand on aime on ne compte plus… NDLR) par un vrai boucher tortionnaire qui m’a presque démis la mâchoire dans sa rudesse bovine. J’ai supporté un nombre infernal de piqûres assénées profondément et sans ménagement dans le palais ainsi qu’un peu partout dans la bouche. Je n’ai pas bronché; ce faisant, je crois avoir fait preuve d’un certain courage et d’une résistance que peu auraient réussi à démontrer. »
Et avec ça il veut nous faire croire qu’il était inconscient de ce qu’il lui arrivait. Le plus rigolo est que le procureur l’a cru et ne m’a pas cru du tout quand je lui expliqué que tout cela n’était qu’un délire de ce monsieur. Normal évidemment, car j’étais dans une secte… Une observation que j’ai souvent constaté dans le passé. Mais chers juges et avec tout mon respect, permettez moi de vous rappeler que les premiers chrétiens que les romains donnaient à manger aux lions étaient appelés les membres de la secte du nazzaréen. Plus proche de nous, les personnes qui se nourrissaient dans les magasins d’alimentation biologiques étaient traités de secte aussi il n’y a pas si longtemps. Et que des sociologues qui se sont penchés sur le phénomène des sectes pensent que leur prétendu dangérosité, à part visiblement ce qui s’est passé dans quelques exceptions, la fameuse secte de l’OTS, est un mythe.
En plus, le Monsieur raconte que je lui aurais pris des empreintes. Les confrères de bonne foi comprendront. Pourquoi prend-t-on des empreintes selon vous. Pour faire une étude de cas prothétique quand on sait qu’on va enlever de nombreuses dents et éventuellement pour réaliser des prothèses immédiates si on le décide alors. On ne fait pas d’empreinte si on ne veut pas réaliser de prothèse. Il était donc évident qu’un travail prothétique se préparait et comme avant il avait toutes ses dents, il était évident qu’il était prévu d’en enlever plusieurs car pour une seule molaire en moins comme il prétend qu’il était convenu, on ne fait pas de prothèse immédiate après extraction. Les experts honnêtes comprendront…
Eh oui, l’égo obscurcit parfois la conscience et alors il permet de dévoiler les mensonges….
La démonstration évidente de ce mensonge, est d’ailleurs confirmé par d’autres pièces du dossier mais non présentes sur le site internet. Il avait en effet déclaré devant témoins lors d’un repas amical, qu’il avait décidé de faire enlever toutes ses dents dévitalisées, tout comme il n’a jamais parlé de cela au dentiste et médecin qu’il a consulté ensuite. Cette idée ne lui est apparue d’ailleurs que bien plus tard.
On peut aussi supposer d’autres mensonges. D’ailleurs, ce ne sont pas que des suppositions car il se contredit encore une fois. Dans ce même courrier, il prétends :
« Pour la forme, je précise quand même, qu’avant de bénéficier “accidentellement” des “soins” du Dr Darmon lors d’un passage à Nice pour des raisons professionnelles, ma santé était non seulement excellente, mais florissante. ».
alors que dans une autre pièce qui est le courrier d’un de ses avocats, courrier qu’il met d’ailleurs sur son site internet, ce dernier dit à la fin: Est-il besoin de préciser que lesdits problèmes digestifs et autres aspects mineurs de la santé de mon client n’ont bénéficié d’aucune amélioration depuis les extractions..
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il avait demandé à subir l’extraction de ses dents dévitalisées car tout ce qu’il avait essayé auparavant pour résoudre ses problèmes de santé avait échoué. Il voulait donc enlever ses dents dévitalisées pour essayer encore quelque chose. Evidemment je n’allais pas l’empêcher d’accéder à sa demande avec mes croyances sur le sujet de la toxicité des dents dévitalisées. Je l’ai même conforté dans ses choix d’autant plus que c’est un choix que je proposais à nombre de mes patients. Mais comme toujours, rien n’est jamais garanti car la santé dépend de bien nombreux facteurs et les poisons sécrétés par la pensée sont parfois pire que ceux sécrétés par les dents dévitalisées.
D’autre part, et comme dit le proverbe : « qui ment un oeuf ment un bœuf » ou quelque chose dans le genre, je ne sais plus (il faut bien un peu d’humour aussi…). On peut donc facilement imaginer que l’histoire de ce monsieur est truffée de mensonges. Mais comme je ne peux les prouver néanmoins, je ne m’étalerais pas dessus. Toutefois je reste persuadé que ce monsieur est sincère, en grande partie. Mais aussi que c’est un cas qui relève plus de la psychiatrie ou de l’art dramatique ou d’un mélange des deux, que de la dentisterie. Je me suis donc ici improvisé psychiatre, le temps de ce texte seulement je vous rassure.
Ce monsieur ne voulant pas assumer la responsabilité de sa « bétise » a inventé toute une histoire abracandabrante qu’il a fini par croire, une histoire entrecoupée de croyances absurdes que nous allons analyser et qui d’une certaine façon peuvent être instructives.
Pour finir sur l’analyse de mes extractions. Avez vous déjà fait extraire une dent bien implantée, par un dentiste. Je vous assure que pour arriver à extraire plusieurs dents bien plantées en une seule séance, il faut éviter de faire mal au patient sinon il n’accepte jamais d’en faire enlever d’autres après avoir fait enlever la première. En fait d’une certaine façon et avec un autre regard plus analytique, ce monsieur me fait un compliment car je lui aurais enlevé huit dents bien implantées sans qu’il s’en aperçoive même. Certaines personnes ont parfois des histoires d’extraction d’une seule dent qui étaient tellement épouvantables que l’idée d’en enlever huit d’un coup leur paraît inconcevable. Comme certains chirurgiens dentistes rodés aux extractions difficiles et multiples, c’est une pratique que j’effectuais couramment, avec le consentement du patient bien sûr car comment pourrait-il en être autrement d’ailleurs, bien évidemment ? A moins de les attacher à leur fauteuil. Mais ça il n’en a pas parlé…
Maintenant, nous allons reprendre la partie la plus intéressante de ce cas c’est à dire l’analyse psychologique.
Je reste persuadé d’ailleurs que c’est d’une clef psychologique que dépend la compréhension de toute cette histoire de dents dévitalisée et d’infection focale pour la population aussi d’ailleurs. Alors en fin de compte, l’analyse psychologique du cas de M R.B. est somme toute utile même pour enlever vos dents dévitalisées.
M R.B. croit très sincèrement qu’il a été mutilé. Mais M R.B. a des excuses certes et je le comprends. Quand des professeurs de médecine, et de dentaire vous confirment que cette théorie d’infection focale est une grande escroquerie mutilatoire, il n’est pas évident de ne pas être ébranlé dans ces certitudes. M R.B. malgré son empressement à vouloir enlever rapidement ses dents dévitalisées n’avait visiblement pas assez réfléchi et était effectivement d’une grande crédulité vis à vis de l’être humain, comme il le dit d’une certaine façon, mais peut-être pas vis à vis de ce qu’il croit toutefois.
Mais comment aurais-je pu le savoir car il avait reçu de multiples informations sur le sujet, avait lu un article notamment, était allé voir un médecin qui le lui avait confirmé, avait eu son amie qui avait subi une intervention équivalente et en était fort satisfaite ensuite. En plus c’était un Monsieur qui se vantait de savoir beaucoup de choses sur les médecines douces (c’était un expert en élixirs floraux qui sont des médicaments très subtils et naturels utilisés dans des psychothérapies naturelles. Il se prétendait même être l’expert de Genève sur le sujet m’avait dit quelqu’un qui le connaissait). Il semblait aussi avoir les pieds sur terre. Comment aurais-je pu savoir qu’à l’intérieur du cerveau de ce monsieur, existait une girouette qui allait lui faire croire ensuite le premier dentiste qu’il rencontrerait qui le retournerait comme une crêpe contre moi et qu’il manquerait ainsi à ce point de discernement comprenant qu’il est évident que des gens qui font quotidiennement des dévitalisations dentaires n’allaient pas lui confirmer qu’il avait bien fait de se faire enlever ses dents dévitalisées.
Et cela l’a détruit tout comme certaines croyances absurdes qu’il avait comme celle de ne pas devoir prendre d’antibiotiques lorsqu’on a certaines infections, qui peuvent alors se diffuser au reste de l’organisme et effectuer des destructions, surtout quand on ne sait rien faire à la place, ce qui est souvent le cas de beaucoup de personnes dans les milieux de médecines douces. Des personnes qui par ailleurs ne possèdent pas suffisamment d’outils efficaces dans leur panoplie thérapeutique pour enrayer une infection sans antibiotiques, même si je reconnais aussi que dans certains cas on peut s’en passer et qu’en France on prend bien trop d’antibiotique qu’il ne le faudrait d’ailleurs. Le slogan de l’assurance maladie « les antibiotiques c’est pas automatique » nous le rappelle d’ailleurs.
Il y a aussi d’autres croyances qui n’ont pas arrangé le mental de M R.B. C’est d’ailleurs ce que je vais analyser grâce à ses propres éléments qu’il met lui même sur internet.
Voici une croyance absurde de M R.B. tel qu’il l’exprime d’ailleurs dans une autre pièce: «
N’oublions pas cette phrase du Professeur C. : “En extrayant leurs dents, on tue - symboliquement - les gens!”
Et de terminer sur cette réflexion - ô combien édifiante - du professeur Branemark, fondateur et concepteur de l’implantologie orale moderne (implants dentaires en titane) :
“On perd en premier lieu ses dents, puis l’os, puis toute confiance en soi.”
»
Ce sont des phrases qui effectivement tuent les personnes qui comme des éponges absorbent tout ce qui est dit et à qui il manque visiblement un certain discernement.
Oui je veux bien croire comme le dit le professeur C. que certains patients se sentent symboliquement tués lorsqu’ils perdent leurs dents et c’est bien ce qui fait tout le succès du maintien de la dent dévitalisée sur l’extraction malgré des évidences biologiques focales. Mais Monsieur C. oublie semble-t-il aussi qu’ils sont biologiquement empoisonnés lorsqu’on les leur dévitalise…. Il tient le discours classique de la dentisterie traditionnelle qui veut absolument tout faire pour conserver les dents en opposition avec la dentisterie holistique qui veut tout faire pour conserver la santé, quitte à extraire des dents.
Mais ce qui tue biochimiquement les patients, cher confrère, et cela attesté par de multiples études scientifiques, et même si cela vous n’avez pas envie de le voir comme l’immense majorité des confrères qui dévitalisent quotidiennement des dents et comment vous en blamer, ce sont les dents dévitalisées et les redoutables toxines qu’elles émettent. Oublier cet aspect de la question revient à être démagogue d’une certaine façon car bien sûr les personnes ignorantes des subtilités toxicologiques perverses sont toujours contentes que leur dentiste leur conserve leurs dents même dévitalisées.
Pour l’anecdote, un professeur C., dentiste à Paris, faisait il n’y a pas si longtemps une conférence au congrès dentaire de Nice sur les dents dévitalisées. Je l’ai contacté pour essayer de le sensibiliser au sujet de l’infection focale mais il n’a jamais eu le temps de me retéléphoner.
Quant à la maxime du professeur Branemark, qui est un grand implantologiste, il faut la relativiser, ce que visiblement M R.B. ne semble pas faire. Et dans le genre maxime tape à l’œil, je peux aussi vous en faire une à ma sauce et la voici d’ailleurs:
En faisant dévitaliser ses dents on perd d’abord la vitalité de ses dents, puis celle du reste de son organisme.
C’est d’ailleurs ce que pense tout le courant de dentisterie holistique qui prône par conséquent l’extraction des dents dévitalisées.
Un courant que Monsieur R.B. appelle la « secte démente des arracheurs de dents » histoire d’essayer de vous manipuler chers internautes comme il a manipulé le Procureur de la République et d’autres car il sait qu’une des façons les plus faciles aujourd’hui de manipuler l’opinion, française notamment, est d’utiliser le terme secte pour faire peur aux gens.
Mais M R.B. a préféré croire que :
« Au delà de l’aspect purement physique, ce comblement osseux aurait comme finalité principale de me restaurer ma dignité (cf. phrase du prof. Branemark citée plus haut) » tel qu’il le dit dans une pièce présente dans son site.
Il faut aussi avouer que les phrases de C. et Branemark sorties de leurs contextes dans un esprit manquant de discernement peuvent faire certains dégâts. Voilà d’ailleurs ce que ça a donné sur celui de M R.B.
dixit lui même d’ailleurs.
« En extrayant vos dents par anticipation, vous perdrez tout à la fois, d’un seul coup, et vous risquez fort d’y laisser prématurément votre santé physique et émotionnelle, voire votre métier et votre carrière (suivant le degré d’invalidité imputable au désastre, ce qui fut malheureusement mon cas). »
ou bien : «
Au delà de l’aspect purement physique, ce comblement osseux aurait comme finalité principale de me restaurer ma dignité (cf. phrase du prof. Branemark citée plus haut)
»
Evidemment quand on adopte la croyance que sa dignité humaine dépend de la quantité apparente d’os dans ses mâchoires, cela peut perturber lorsqu’on a subi des extractions difficiles.
Personnellement je rapproche plus le maintien de la dignité de l’être humain du maintien de sa vitalité et de sa santé. Mais encore une fois, tout est question de croyance et si c’était sa croyance, il l’a effectivement vécu et il a eu un sentiment de perte de sa dignité. Et j’en suis vraiment désolé pour lui mais ce n’est pas ma faute, c’est à cause de croyances absurdes sorties de leur contexte, qu’il a intégré tel quel dans son cerveau qui manquait un peu beaucoup de discernement.
Il est vrai que pour beaucoup de personnes, perdre des dents leur fait perdre un peu de leur dignité, c’est vrai, que la prothèse amovible peut aussi leur redonner d’ailleurs, même si certains préfèreront les implants car la prothèse amovible a parfois une image un peu dégradante c’est vrai. Les avantages et les inconvénients de la prothèse amovible avaient aussi été envisagés, malgré ce qu’il dit aujourd’hui sans pouvoir le prouver encore une fois.
Mais ici le sujet de la dignité est encore une manipulation de plus car le cas est différent. Ce monsieur était consentant et ces extractions étaient réalisée dans un objectif de santé, il faut le rappeler car sinon, évidemment on ne peut comprendre.
Vous avez bien sûr le droit de croire ce monsieur R.B. ou de croire le Dr Issels dont j’ai parlé précédemment et de tout le courant de médecins, dentistes et scientifiques qui s’intéressent à l’infection focale. C’est à vous de voir, et peut-être ma foi qu’il a raison, je ne prétends pas détenir la vérité. Ce qui est sûr c’est que c’est sa vérité, et qu’il a expérimenté sa croyance, tout comme je constate que de multiples patients qui ont expérimenté la croyance qu’enlever les dents dévitalisées redonne la santé, et l’ont d’ailleurs retrouvé. L’argument classique des détracteurs est d’ailleurs de dire que tout cela n’est qu’un effet placébo. Regardez les vidéos et faites vous votre opinion par vous-même car ma foi c’est peut être un effet placébo (étymologiquement : je plais ou je fais plaisir) mais alors un sacré effet placébo, je trouve personnellement. En tout cas pour le patient R.B. il me semble qu’il y ait eu un effet nocébo (étymologiquement : je nuis) après avoir entendu certains avis de confrères sur les extractions de dents dévitalisées qu’il avait subi. C’est un peu comme quand on apprend qu’on a un cancer ou le sida, généralement…
Depuis des années, je me passionne pour la philosophie et les enseignements mystiques des religions. On y enseigne que l’on vit généralement nos croyances.
On peut changer ses croyances lorsqu’on adopte une démarche de raison qui est d’étudier les faits de manière scientifique, c’est à dire en ouvrant les yeux sur la réalité donc en voyant ce qui est et non ce qui paraît être. Les dents dévitalisées ne sont pas des dents même si elles paraissent l’être. Ce sont des cadavres de dents en réalité biologique, sachez le. C’est bien aussi pour que vous voyiez la réalité que quelques témoignages vidéos (une centaine) vous ont été mis sur ce site car comme le dit M R.B. une image vaut mieux que mille mots. Et je me permets de rajouter, une centaine de témoignages vidéo de guérisons vaut mieux que mille photos de sa bouche partiellement édentée aussi, je crois. Des photos qui traduisent encore une fois plus son goût du spectacle et du drame que son discernement scientifique.
Mon enseignant d’acupuncture m’expliquait aussi que contrairement aux traitements chimiques qui forcent la nature des choses bien souvent, selon la tradition chinoise, le traitement d’acupuncture pouvait être inhibé si le patient n’y croyait pas. Le mental étant plus fort que tout, et l’acupuncture elle même s’y soumettait en médecine énergétique respectueuse des croyances du patient.
Maintenant attention vous pouvez aussi y croire et ne pas guérir. Mais le problème selon mon enseignant ne venait pas alors de l’acupuncture mais de l’acupuncteur.
N’importe quel psychologue occidental d’ailleurs pourrait confirmer comment on peut se rendre malade par son mental.
M R.B. l’avoue d’ailleurs lui même dans une pièce: «
« Ce qui m’a descendu, c’est de constater la perte quasi-totale de la région osseuse concernée par les extractions, la tromperie perfide dont j’ai été l’objet, et les mensonges en cascade que j’avais gobés tout cru. »
pièce qui reprend d’ailleurs ses croyances: «
Cette réflexion du professeur Branemark (concepteur des implants au titane) est on ne peut plus édifiante:
“On perd en premier lieu ses dents, puis l’os, puis toute confiance en soi.”
Eh bien moi, j’ai perdu tout à la fois!
»
Le patient reconnaît lui même avec une honnêteté qu’on ne peut que constater ici, que ce qui l’a « descendu » selon ses propres termes, c’est son propre mental influencé par ses croyances et l’analyse de ce qu’il a vu de son image dans un miroir, donc les apparences.
Monsieur R.B. qui a accepté certaines croyances de confrères opposés à la théorie de l’infection focale, les a effectivement vécu.
Tandis que des centaines de patients que je connais, ont vécu des améliorations extraordinaires de leur santé, je le réaffirme et peux le prouver. Les témoignages vidéos n’en sont qu’une partie.
Alors qu’une communication bucco sinusale normalement gérée ne donne jamais aucun problème grave, eh bien lui a vécu toute une série de problèmes abracadabrants. Problèmes accrus par la haine qu’il a nourrie à mon encontre en pensant que j’étais un sinistre personnage (ce qui ressort bien de tous ses écrits), et qui a bien rempli sa vie semble-t-il jusqu’à présent. Afin de mieux me diffamer, il a contacté la presse, écrite, télévisuelle, a réalisé un site internet qui raconte en détail son histoire en mélangeant des faits et des inventions.
Moralité, la haine, ce n’est pas bon pour la santé et rappelons le message de Jésus qui est qu’il faut apprendre à aimer ses ennemis (car quelle performance y-a-t-il à aimer juste ses amis). Une pensée qu’il ferait bien de méditer…
Ensuite, il a passé son temps à consulter des médecins, faire établir des attestations et faire des psychothérapies en vue d’être sûr de gagner ensuite un pactole d’argent en justice contre moi. Les conclusions de certaines des attestations sont toutefois instructives sur cette histoire.
Voici celle du Dr J. présent sur son site avec le nom du médecin :
Attestation:
Par la présente, je confirme avoir eu cinq entretiens de psychothérapie de soutien avec M. R.B. Ces entretiens ont eu lieu en date du 29/12/97 et des 2, 5, 8 et 13/01/1998.
M. R.B. a consulté sur la base de conseils du Centre LAVI, suite à une problématique et des séquelles émotionnelles liées à des extractions dentaires multiples vécues comme traumatisantes.
Les honoraires pour ces séances se montent à 750.- CHF.
————
Le centre LAVI (rigolo comme nom pour cette histoire de dents mortes) avait bien compris que le principal problème de M R.B. vis à vis de ses dents était d’ordre psychologique confirmé par le psychiatre comme vécu comme traumatisante. Mais elles n’ont été vécues comme traumatisante qu’après coup, après que les dentistes traditionnels soient passés par son cerveau et y aient fait tourner la girouette qui s’y trouvait. Et c’est là tout le problème.
L’attestation du Docteur D. L est aussi instructive.
Je soussigné certifie avoir traité du 8 septembre 1998 au 13 novembre 1998 Monsieur R.B. pour un état dépressif majeur réactionnel à l’agression chirurgicale dentaire dont il a été l’objet en date du 19 mars 1997. Il existe en effet une relation de causalité suivie entre cette agression et le sentiment perçu par Monsieur R.B. d’effondrement narcissique de la personnalité et ce d’autant plus que ses capacités vocales, son métier en l’occurrence, ont été altérées après cette intervention inopportune.
On remarque que le Dr L. psychiatre affirme que son patient a subi une agression chirurgicale alors qu’il n’était pas là pour le constater. Une attitude qu’on retrouve chez bien des experts et qui traduit les capacités de M R.B. de convaincre de sa bonne foi, les médecins consultés. Tous les experts qu’il a vu n’ont jamais même voulu ensuite me parler une seule fois au téléphone tellement il les a convaincu que j’étais un monstre.
On le voit aussi sur l’attestation d’un autre psychiatre qu’il a aussi consulté et avec lequel il a fait une longue thérapie et qui écrit textuellement :
M R. souffre d’un état de stress post traumatique avec modification durable de sa personnalité consécutif aux faits suivant :
Monsieur R. a été victime sous narcose et sans son consentement, d’un arrachement massif de nombreuses dents…
Cette attestation n’est pas sur le site mais sur une dernière expertise.
Que ce psychiatre certifie que M R soit psychologiquement déglingué à la suite de tout ça, je le comprends, mais qu’il affirme que son patient ait subi sous narcose donc en état d’inconscience, des extractions dentaires, traduit les importantes capacités manipulatrices de Monsieur R.
Imaginez vous, un psychiatre, spécialiste de la pensée qui arrive à se laisser persuader de cela au point de l’écrire sur un certificat sans remettre le moins en doute la parole de son patient au risque de s’en rendre ridicule.
M R. possède sans aucun doute des capacités artistiques qui dépassent celles du chant lyrique. Et j’ai effectivement beaucoup de soucis à me faire devant un juge contre un tel monsieur qui n’hésitera pas à me faire passer pour le pire des individus si cela peut aussi lui rapporter beaucoup d’argent en dommages et intérêt. Exercice qu’il a déjà réussi une première fois et dans le passé j’imagine le connaissant mieux aujourd’hui, puisqu’il s’est déjà enrichi ainsi lors d’un premier procès, m’avait-il raconté où il s’est aussi fait passer j’imagine pour une victime.
Mais tout cela n’est pas le plus grave pour moi. Qu’un patient manipulateur, victime professionnelle, et psychologiquement désorienté par toute cette histoire de conflit interne dans la profession dont il est d’une certaine façon victime, il faut bien l’avouer, mais victime de ce conflit d’idées uniquement, essaie de gagner une grosse somme d’argent (qui sera d’ailleurs payé par un fond d’indemnisation alimenté par les contribuables français car je suis insolvable), peut se comprendre et même s’excuser.
Mais plus grave encore est l’expertise qui traduit une évidente ignorance des données scientifiques sur le sujet d’une part et une évidente partialité. L’expert affirme : « l’extraction des dents dévitalisées sans lésion dento-parodontale associée , sans pathologie apicale visible et sans symptomatologie locale avérée ne relève que d’une théorie personnelle sans aucune base scientifique démontrée ».
Evidemment, si on croit cet expert, je suis condamnable et c’est ma théorie personnelle. C’est me faire beaucoup d’honneur en quelque sorte, mais c’est faux, ce n’est pas moi qui ai compris cela. Je n’ai fait que reprendre ce que des scientifiques ont démontré. Des scientifiques comme Boyd Haley ou d’autres scientifiques qui s’expriment tout simplement dans de nombreuses publications scientifiques et aussi d’éminents médecins comme Issels (voir le site www.sante-dents.com). Alors ça change tout. Mais qui croire ?
Et même en supposant que l’expert ait raison sur tous ces scientifiques qui disent eux que les dents dévitalisées sans symptomatologie peuvent très bien empoisonner, il commet une preuve de manque d’impartialité.
Si on enlève les dents dévitalisées et qu’ensuite on gère correctement le post opératoire, alors tout se passe bien. Mais là le patient a laissé se développer des infections sinusales, en restant sans traitement pendant un mois en baignant dans sa haine alors que ces infections sinusales auraient pu être correctement gérées s’il était tout simplement revenu me voir comme cela était prévu. L’expert m’attribue alors une série de problèmes consécutifs, qui n’ont rien avoir avec l’extraction de dents dévitalisées.
L’expert confond donc deux concepts bien distincts qui sont « après que » et « à cause de ». Le premier concept n’étant pas condamnable tandis que le second l’est évidemment. Et comme il sait bien que les juges débordés par trop d’affaire de justice, dans la plupart des cas ne font généralement que suivre les conclusions des experts, ce monsieur, pense ainsi finir le sale travail que les dentistes du Conseil de l’Ordre ont déjà bien commencé avec moi et l’idée naissante en France de la toxicité des dents dévitalisées. Mais bon, les juges peuvent aussi se rendre compte de la partialité évidente de l’expertise. Lors de l’audience toutefois, ils semblaient la prendre comme parole d’évangile.
Et dites moi encore après ça que je suis paranoïaque……
Aujourd’hui un de mes plus grands souhaits est que ce monsieur retrouve une paix du mental, mais pas au prix d’une arnaque de l’Etat français et notamment de son système d’indemnisation des victimes qui fonctionnerait car je suis insolvable. Ce serait une injustice flagrante pour des centaines de personnes qui ont fait enlever leurs dents dévitalisées et ont payé avec leur argent leur prothèse amovible même si la sécurité sociale y a certes participé. Ils n’en ont pas profité pour autant pour se faire passer comme des victimes. Ou alors il faut aussi que l’Etat français indemnise ces braves gens honnêtes de la même façon que ce Monsieur suisse R.B. qui sinon aurait juste le droit d’être indemnisé lui et non les autres, parce ce que lui est psychologiquement dérangé. Sa paix du mental reviendra quand il acceptera de voir la vérité en face tout d’abord et qu’il comprendra les subtilités de toute cette affaire. J’espère que ce texte l’y aidera. S’il était revenu me voir avec un bon esprit, sa sinusite aurait été réglée rapidement sans s’étendre, d’autant plus qu’il aurait accepté de prendre des antibiotiques, car en plus il a refusé d’en prendre. En plus j’aurais lavé son sinus avec des dilutions tiédies d’hydrolats de plantes anti-infectieuses comme le thym, le laurier et d’autres adaptés à la fonction respiratoire comme l’hydrolat de pin que je possède toujours dans mon cabinet dentaire et qui m’ont permis déjà de régler en une séance des sinusites post chirurgicales aigues.
Ensuite j’aurais fermé ou fait fermer la communication bucco sinusale par un collègue stomatologiste de Cannes.
Ensuite je lui aurais réalisé une prothèse en plastique qui ne l’aurait pas gêné. J’ai déjà fait cela à des artistes lyriques qui en ont été fort satisfaits. Certains en témoignent d’ailleurs sur les vidéos du site et par écrits.
Et cela lui aurait coûté infiniment moins cher en terme de santé et d’argent. Cela était la voie de la raison. Mais le choix de ce Monsieur a été celui de la voie de la haine contre moi. Il en a subi par conséquent les conséquences. C’est le karma immédiat diraient les bouddhistes.
Après le souhait que ce Monsieur retrouve un jour ses esprits, je souhaite juste que ce monsieur ne vous influence pas au point que vous aussi, vous vous détourniez d’une voie dont dépend très certainement votre santé, comme la plupart des personnes malades. Une voie que tout un courant de dentistes et de médecins dans le monde, défend aujourd’hui et qui selon eux et des scientifiques qui le renforcent serait aujourd’hui une des clefs essentielle de la santé de millions de personnes.
Vous pensez peut-être qu’avec ce que j’ai écrit ici, le juge ne peut qu’être d’accord avec moi. Oh, comme vous connaissez mal la justice alors…
Le jugement sera favorable ou pas encore une fois en fonction de ce qu’il y a de prédominant dans le cerveau du juge.
L’intelligence émotionnelle du juge laissera-t-elle suffisamment de place à l’intelligence analytique. Rien n’est moins sûr, je vous assure, surtout quand un expert a sciemment truqué le jeu. Je pourrais alors lui dire que moi aussi à cause de ce Monsieur R.B., ma vie professionnelle a été détruite, et que j’ai des petits enfants qui aiment leur père et ne veulent pas le voir aller en prison parce qu’un patient se plaint qu’on lui ait enlevé des dents. Que cela somme toute, même si c’est une théorie folle que des dents dévitalisée puissent altérer la santé, n’est pas si grave que cela. Chaque année des millions de personnes souffrent de maladies, décèdent à cause d’erreurs médicales diverses et il existe de multiples dentistes qui dévitalisent fréquemment des dents saines que d’autres estiment alors devenir des poisons. Et pourtant personne ne condamne tout ce monde parce que l’erreur est humaine et ils n’avaient pas voulu mal faire, ils étaient sincères tout comme on ne peut douter que je l’étais, même si c’était peut-être une folie. Toutefois on pourrait aussi croire que ce ne l’est pas. De très nombreux patients ont témoigné être satisfaits de mes soins, attestation écrite à l’appui. Et dans le doute, normalement, la justice devrait s’abstenir de condamner, c’est bien connu. Une enquête de police a d’ailleurs été réalisée sur moi. Sur 20 patients à qui il a été demandé à tous s’ils voulaient déposer plainte contre moi, tous ont refusé et sur 20 patients, 19 se sont dits pleinement satisfaits de mes soins. Un sur vingt a dit qu’il n’avait pas vraiment d’avis sur ce qui avait été fait ou allait être fait, je ne sais plus, et se demandait si ce n’était pas en fin de compte une arnaque ou un terme dans le genre. C’est ce qui est souvent le cas quand les améliorations de santé obtenues après les extractions ne sont pas assez rapides pour être flagrantes, et qui est d’ailleurs dur à gérer.
Tout ça mérite bien mathématiquement parlant par conséquent une note de 19 sur 20 en quelque sorte. Il faut bien que je me remonte un peu le moral aussi, en utilisant l’humour car je dois avouer que moi aussi avec tout ce qui m’arrive, je ne l’ai pas toujours eu.
Mais dans certains enseignements mystiques, il paraît aussi que tout a sa raison même si j’ai encore du mal à le comprendre.
Avant de finir, je vais vous donner une petite information qui va vous faire comprendre pourquoi il serait déplacé de ma part de penser du mal de mes confrères qui dévitalisent les dents. Car moi-même avec tout ce que je sais sur les dents dévitalisées, je serais peut-être le plus condamnable de tous. En effet, j’ai eu parfois à dévitaliser des dents à certaines personnes pour respecter leur choix car elles refusaient de les extraire. C’était des cas où la dévitalisation restait la seule solution alors pour supprimer une souffrance parfois atroce de pulpite (inflammation du nerf). Je n’étais en effet pas arriver à les convaincre du danger des dents dévitalisées. Ces personnes en plus, en avaient d’autres et se trouvaient en bonne santé. J’ai respecté leur choix car j’ai alors considéré que dans l’urgence, il était meilleur que de conserver une dent qui fait mal. Le doute m’assaille toutefois aujourd’hui car je suis bien loin encore de n’avoir que des certitudes. Peut-être aurais-je du refuser tout simplement de les soigner alors et les laisser souffrir jusqu’à qu’elles me supplient de leur enlever leur dent ? Mais il est très probable aussi, qu’elles seraient alors allé voir le confrère qui était à l’autre coin de la rue et qu’elles auraient de toutes façons fini par avoir leur dent dévitalisée, c’est presque sûr. Je leur ai toutefois aussi dit que si un jour elles étaient malades, il fallait qu’elles se rappellent qu’elles avaient en bouche une redoutable petite usine à toxines.
Réponse à l’A.A.E (Américan Association of Endodontists)
June 10, 2006 on 6:34 pm | In Réponse à l'A.A.E | No CommentsLa position de la plus grande organisation au monde d’endodontistes, l’AAE (Américan Association of Endodontists) sur la problématique des dents dévitalisées cassée à la Brice de Nice.
(endodontistes signifie dentistes spécialistes de la dévitalisation dentaire)
Site internet aae.org
L’AAE est sans conteste la plus grande organisation mondiale de dentistes, spécialisés dans la dévitalisation des dents. Le Dr Meinig qui aujourd’hui crie sur tous les toits qu’il faut enlever toutes les dents dévitalisées, fut d’ailleurs un des cofondateurs de cette association dans les années trente.
Tous les dentistes savent dévitaliser des dents certes mais il existe aux Etats Unis depuis longtemps et aussi maintenant en Europe, des spécialistes de la dévitalisation qui ont approfondi le sujet et qui grâce à un savoir faire très certainement supérieur à celui de la moyenne des dentistes arrivent à conserver plus de dents dévitalisées. En effet parfois les dents dévitalisées s’infectent et se mettent à faire mal et il faut par conséquent les extraire. Pour éviter cela, une spécialité s’est donc développée afin de tout faire pour pouvoir conserver les dents dévitalisées.
En parallèle avec le développement de cette spécialité, s’est développé aux Etats-Unis, un courant de dentistes qui prônent que toutes les dents dévitalisées sont toxiques et qu’il faut les enlever. Ce courant existe aussi d’ailleurs dans les pays germanophones.
Cela fait polémique bien sûr car tout le monde pense avoir raison. Personnellement je pense qu’il serait une preuve de sagesse de notre profession que ces deux approches puissent coexister sans heurt, car le plus important est de laisser les patients décider de ce qu’ils veulent faire de leur corps, quitte à ce qu’ils acceptent de laisser le dentiste décider pour eux s’ils lui font confiance.
Aujourd’hui aux Etats Unis, cette polémique a pris une telle ampleur, que l’AAE n’a pu y rester indifférente et elle donne au public sa version de tout cela sur son site internet : aae.org
En France, le discours du Président du Conseil de l’Ordre des Alpes Maritimes était de dire que c’était la théorie du Dr Darmon. Ma foi jusqu’à présent, ça a fonctionné et personne ne lui a dit qu’il était ridicule et c’est moi qu’on a condamné.
Personnellement en étudiant le site de l’aae et notamment sur la réponse à la grosse polémique sur les dents dévitalisées qu’il y a aux Etats-Unis, je m’attendais à un discours qui dise par exemple que les dents mal dévitalisées peuvent effectivement donner de multiples maladies, mais que bien dévitalisées, cela n’en donnait aucune. Je m’attendais aussi à ce que l’AAE nous le prouve en nous montrant des publications avec des cas de patients qui avaient des maladies graves à cause de dents mal dévitalisées. Des maladies qui ont ensuite disparues par un retraitement endodontique parfait. Un retraitement dont on sait par ailleurs que s’il est parfaitement exécuté il permet d’éviter une infection locale qui se traduit par d’éventuelles douleurs de la dent dévitalisée, ou d’autres signes cliniques d’infection comme une inflammation de la gencive, voire du pus qui peut d’ailleurs se propager aux alentours.
Eh bien rien de tout cela. L’AAE est incapable de nous apporter la moindre preuve qu’un retraitement endodontique parfait ait pu guérir une grave maladie à distance de la bouche.
Mais pire encore, l’AAE nie purement et simplement tous les travaux scientifiques qui font un lien entre les dents dévitalisée et maladie.
Ma foi c’est une technique comme une autre… un peu comme celle du président de l’Ordre des Alpes Maritimes à mon égard. Parfois plus c’est gros et plus ça marche. Je le sais bien puisque j’ai un patient qui raconte des choses énormement absurdes et qu’un juge a cru, alors pourquoi ne pas utiliser cette politique aussi pour discréditer l’ensemble des travaux sur la toxicité des dents dévitalisées. C’est en tout cas le choix qu’a fait l’AAE, de nous prendre pour des imbéciles, et jusqu’à présent ça marche alors pourquoi ne pas continuer. Je vais d’ailleurs vous prouver tout cela.
Le site comporte de nombreuses publications scientifiques pour mieux dévitaliser les dents certes mais la seule préoccupation de cette association est de mieux dévitaliser les dents afin qu’elles ne s’infectent pas ou ne fassent pas mal et donc qu’on soit alors obligé de les extraire.
Le fait qu’elles puissent participer à une quelconque maladie est qualifié de mythe. Et nous allons voir quels sont les arguments qu’ils avancent pour nous démontrer en quoi cela est un mythe. Vous y trouverez des arguments risibles et je vais vous expliquer pourquoi dans ce texte.
Je vous suggère d’ailleurs d’aller vérifier par vous même sur leur site.
Il faut aller voir à rechercher un endodontist (find an endodontist en anglais)
Puis après cliquer sur « Myths about root traitement canal »
Vous obtiendrez alors le texte que je trouve risible qui est la seule argumentation que la plus puissante organisation au monde de spécialistes de la dévitalisation dentaire peut nous fournir pour répondre à la polémique sur les dents dévitalisées.
Vous pouvez aussi cliquer sur Tooth Illustration.
Vous obtiendrez un schéma d’une dent.
La chambre pulpaire, c’est là où se trouve le nerf et les vaisseaux sanguins aussi appelé le paquet vasculo nerveux, celui là même qu’on enlève lors de la dévitalisation dentaire. Et dans la dentine, les petits traits à peine perceptibles ce n’est pas juste un effet de dessin pour colorier la dentine, c’est la représentation des tubulis dentinaires.
Selon les défenseurs de la théorie de l’infection focale, ce sont les tubulis dentinaires qui constituent la niche indésinfectable dans laquelle les bactéries anaerobies se développeront et excréteront ensuite dans le sang leurs redoutables toxines.
Les tubulis dentinaires étant microscopiques, l’aae n’a pas jugé utile de les signaler sur son schéma. Mais les tubulis dentinaires sont aussi un des talons d’achille du meilleur des traitements endodontiques, il faut le rappeler.
Comme le schéma représente toutefois une dent en coupe, et les structures visibles à l’œil nu, l’aee n’a pu omettre toutefois de mettre sur le schéma un second talon d’achille de l’endodontie, les canaux accessoires. Sur son schéma, elle indique deux canaux accessoires mais dans la réalité, il y en a bien plus généralement. Ce sont des petits canaux qui comportent aussi nerfs et vaisseaux sanguins. Généralement, ils se trouvent au bout des racines mais pour les dents avec plusieurs racines (certaines prémolaires et les molaires) ils peuvent aussi se situer dans la furcation c’est à dire dans la dentine qui relie les différentes racines de la dent. Une information qui n’apparaît pourtant pas sur ce schéma de dent.
Comme ces canaux accessoires ne peuvent quasiment jamais être aussi obturés, et donc qu’ils sont le siège de putréfaction, on comprend pourquoi notamment pour les dents pluriradiculés (avec plusieurs racines), la résection apicale (le fait de couper chirurgicalement le bout de la racine), ne permet pas d’éliminer tous les canaux accessoires susceptibles de constituer des réservoirs d’infection de taille macroscopique.
Et cela sans même parler des réservoirs d’infection de taille microscopique que sont les tubulis dentinaires, qui resteront toujours présents même sur les dents monoradiculées ayant subi une résection apicale.
Maintenant, je vais vous traduire le texte qui répond à la polémique sur la toxicité des dents dévitalisées et les nombreuses publications scientifiques sur le sujet.
Myths about root canal treatement.
Les mythes sur le traitement de canal de racine (la dévitalisation dentaire).
Première remarque:
Les américains sont un peu plus subtil que les français, je trouve, ils ne parlent jamais de tuer ou dévitaliser une dent. Il disent uniquement traiter un canal de racine. Ailleurs ils font volontairement la confusion entre une dent dévitalisée et une dent naturelle. Au dessous de Tooth illustration, on peut aussi cliquer sur Value of a natural tooth, qui prône les avantages de conserver une dent dévitalisée que l’aae estime être une natural tooth donc une dent naturelle. La mauvaise foi n’a pas de limite semble–t-il … Evidemment dans leur logique une dent naturelle est à opposer à une dent artificielle c’est à dire une dent prothétique c’est à dire soit une dent sur une prothèse amovible soit un implant. Mais la réalité biologique est qu’ils confondent un cadavre de dent, ce qu’est en réalité une dent dévitalisée, avec une dent que la nature à produit c’est à dire une dent vivante, ce qui est le vrai sens de naturel. Mais comme aux Etats Unis (comme dans le monde occidental d’ailleurs), la mode est au naturel, il était astucieux d’exploiter cette mode pour mieux manipuler l’opinion, ce que l’aae ne se prive nullement de faire ici même.
Voici donc maintenant la traduction du texte risible qui prétend ainsi ridiculiser le courant de pensée qui prône l’extraction des dents dévitalisées. Il est traité dans la seconde vérité.
Il y a en fait trois textes et on les trouve exactement à l’adresse suivante : http://www.aae.org/patients/mythsrootcanal/. Les second et troisième textes sont censés répondre au mythe de la toxicité des dents dévitalisées qui donne des maladies du reste du corps.
Le second texte renvoie à la fin sur des publications scientifiques censées accréditer tout cela mais qui en fait affirment mais ne prouvent rien.
Si vous souhaitez les textes originaux en anglais je vous les ai conservé après les traduction au cas où l’aae changerait de politique après le 25 mai 2006 (date où je les ai téléchargé) et se rendait compte de leur ridicule et décidait alors en plus de cacher ces ridicule réponses.
Et voici la traduction en français. Je mets mes commentaires entre parenthèse avec NDLR à la fin.
Second texte :
En vérité, (je vous le dis NDLR) le traitement de canal de racine est une procédure sûre et efficace. (eh bien on attend les preuves…NDLR)
Des études de recherche exécutées dans les années 1930 et les années 1940 et ceux conduites en années postérieures n’ont montré aucun rapport entre la présence des dents traitées endodontiquement (de dents dévitalisées NDLR) et la présence de maladie. (Plus nier l’évidence que cela aurait été difficile NDLR). Au lieu de cela, les chercheurs ont constaté que les gens avec des remplissages de canal de racine risquaient moins d’être malades que les gens qui n’avaient pas eu.
(Effectivement c’est vrai d’une certaine façon mais ce n’est pas le sujet. C’est donc encore une tentative de manipulation mentale. Je m’explique. L’aae fait ici référence à la pulpotomie qui est une technique de dévitalisation ancestrale (toujours utilisée couramment pour les dents de laits d’ailleurs et encore par quelques vieux dentistes pour toutes les dents). La pulpotomie consiste à enlever la pulpe de l’intérieur de la couronne dentaire, en momifiant ensuite celle dans les canaux des racines donc sans véritablement traiter les canaux de racines pourrait-on dire.
Il est aussi possible ici que l’aae fasse référence à la nécrose dentaire qui peut survenir comme conséquence à la carie profonde qui n’est pas traitée ou mal traitée en laissant de la carie dessous. Les bactéries se développent alors encore plus facilement dans la pulpe que dans le cas de pulpotomie ou au moins la pulpe des racines est imprégnée de formol que les bactéries n’affectionnent pas trop. Mais cela n’a rien à voir avec le mythe que l’aae était censé détruire ici. Son discours est une véritable tromperie. NDLR)
Au cours des dernières années, cependant, un très petit nombre de dentistes et de médecins (sous entendu des marginaux… et sous entendu si on est plus nombreux c’est bien la preuve qu’on a raison NDLR) a prétendu que les dents qui ont reçu un traitement, de canal de racine (un traitement endodontique) contribuaient à la présence de maladies et d’affections de l’organisme. Cette revendication est basée sur la recherche périmée exécutée par docteur Weston Price de 1910-1930 (et celles d’autres scientifiques, médecins et dentistes bien plus récemment, quelle mauvaise foi de l’oublier ! NDLR). Sa recherche a déclaré que les bactéries prises au piège dans les dents pendant le traitement de canal de racine peuvent causer presque n’importe quel type de maladie, incluant l’arthrite, la maladie de coeur, la maladie de reins et d’autres.
La présence de bactéries dans des dents et la bouche est un fait accepté depuis plusieurs d’années. Mais la présence de bactéries ne constitue pas une infection et n’est pas nécessairement une menace à la santé d’une personne. Des bactéries sont présentes en permanence dans la bouche et les dents, même dans les dents qui n’ont jamais eu de caries ou d’autre affection. (C’est bien sûr vrai en partie mais cela n’a rien à voir avec le sujet. C’est d’ailleurs aussi faux en partie car on s’intéresse aujourd’hui aux conséquences à distance des poches parodontales. Mais les bactéries de la bouche dont parle ici l’aae, est ce qu’on appelle la bonne flore. On trouve aussi une telle flore dans le colon, et elle a même une grande importance mais ce n’est pas ici le sujet encore une fois. L’aae mélange sciemment la flore utile faite de bactéries aerobies en contact avec ce qu’en biologie on appelle le milieu extérieur car non baigné par le sang, avec la flore toxique faite de bactéries anaerobies présentes dans les dents dévitalisées et qui elles sont en rapport avec le milieu intérieur et donc le sang dans lequel elles déversent des toxines redoutables. Ce sont vraiment des arguments pour ignorants et on ne peut excuser l’aae encore une fois de confondre elle même ces deux concepts. C’est encore une fois une évidente tentative de manipulation mentale. NDLR)
Des tentatives plus récentes de reproduire la recherche de docteur Price et vérifier son exactitude ont échouées (Ah bon ! où et quand ? NDLR). Les chercheurs croient maintenant que les découvertes précédentes devaient avoir été causées par des mauvaises conditions d’hygiène et les techniques de recherche imprécises qui étaient communes dans la première partie 19ième siècle. (et les travaux récents du professeurs Boyd Haley, chef d’un département de biochimie, qui ne reproduisent pas certes exactement les travaux de Price mais sont encore plus scientifiques, c’est pour les chiens peut-être… NDLR)
Ces études plus récentes soutiennent la vérité (en vérité je vous le dis… mais jamais ne nous le démontre… NDLR) que nous annonçons aujourd’hui c’est à dire que les dents qui reçoivent le traitement approprié endodontique ne causent pas de maladie. (c’est ça…)
Et troisième texte :
(Ce texte répond bien sûr au courant des dentistes holistiques qui disent que le mieux est de ne pas garder de dents dévitalisées en bouche. NDLR)
(Troisième) Vérité. Sauver vos dents naturelles si possible, est la meilleure option . (C’est bien sûr vrai mais ce n’est pas le sujet car dent naturelle et dent dévitalisée ce n’est pas la même chose même si l’aae voudrait nous le faire croire par cette technique de manipulation mentale encore une fois. L’aae est encore hors sujet ici.NDLR)
Rien ne peut complètement remplacer votre dent naturelle (c’est vrai que le fait d’avoir un dentier n’est pas toujours aussi confortable que d’avoir une dent dévitalisée qui ne fait pas mal, mais encore une fois ce n’est pas le sujet mais un argument qui occulte plusieurs aspects de la science qui s’appellent la biologie et la toxicologie NDLR). Une dent artificielle peut parfois faire que vous éviterez certains produits alimentaires. La conservation de vos propres dents est donc importante pour que vous puissiez continuer à aimer la large variété de produits alimentaires nécessaires pour maintenir l’équilibre nutritif approprié dans votre régime. (faut pas exagérer quand même, avec un dentier bien réalisé on peut manger de tout. Et sinon pour ceux qui voudraient casser des noisettes avec leurs dents et ne le pourraient plus avec leur dentier, il existe des casses noisettes pour information. En lisant cet argument, je me suis vraiment écroulé de rire… L’aae mélange tout. Il est vrai que des personnes édentées ou qui ne supportent pas leur appareil dentaire, peuvent ensuite avoir des problème pour manger de tout et notamment des crudités et de la viande non hachée. Mais bon, en rappant suffisamment les crudités, ces personnes peuvent contourner le problème quand même. Et puis au 20ième siècle est apparu le mixeur, mais l’aae semble s’être arrété sur les connaissance de la fin du 19ième siècle semble-t-il encore une fois. NDLR)
Le traitement endodontique, avec la restauration appropriée, est une façon rentable de traiter des dents avec la pulpe endommagée et est d’habitude moins cher que l’extraction et le placement d’un pont ou un implant. (c’est parfois vrai en termes financiers notamment pour une seule ou deux dents dévitalisées en bouche. Mais c’est souvent faux aussi car lorsqu’il y a plusieurs dents dévitalisées, c’est moins cher de tout enlever et de faire un dentier que de toutes les couronner, voire pire faire de grands bridges. L’aae oublie de dire aussi que tous les dentistes disent qu’il faut toujours couronner les dents dévitalisées, ce qui limite un peu son argument commercial. Encore une fois l’aae oublie de parler des conséquences des dents dévitalisées sur la santé et nous sort des arguments de commerçant et nous explique que son produit est moins cher que la concurrence qui veut enlever les dents dévitalisées NDLR).
Le traitement endodontique a aussi un très haut taux de réussite. Beaucoup de dents avec un canal de racine traité durent toute la vie. (C’est vrai, mais le seul petit problème est que les dents avec un traitement de racine réduisent aussi la vie et en font une vie de souffrance, et c’est le sujet ici que se refuse malheureusement à traiter l’aae alors qu’elle prétendait démonter un mythe, celui de l’infection focale, ou de la toxicité des dents dévitalisées NDLR).
Le placement d’un bridge ou d’un implant exigera bien plus de temps dans le traitement et peut aboutir à de nouvelles procédures aux dents adjacentes et des tissus de soutien. (c’est vrai car la plupart des dentistes qui font des bridges dévitalisent aussi les dents piliers et font souvent des faux moignons en plus (des inlays cores). Quand aux implants dentaires, il faut souvent faire des greffes d’os et des soulevés de sinus, d’ou l’intérêt entre autre de ne faire que de la prothèse amovible. NDLR)
Des millions de dents bien traitées endodontiquement (dévitalisées, il faudrait le dire une fois quand même NDLR) servent des patients dans le monde entier, des années et des années après le traitement. Ces dents saines (facile à dire mais jamais prouvé NDLR) aident des patients à mâcher efficacement, à maintenir leur sourire naturel et augmentent leur plaisir de vie. Par le traitement endodontique, les endodontistes et des dentistes dans le monde entier permettent aux patients de tenir leurs dents naturelles pour le temps d’une vie (et d’être malades et mourir prématurément, c’était le sujet je le rappelle et l’aae ne nous a apporté pourtant aucun argument valable pour nous prouver le contraire. Les arguments qu’elle nous apporte s’adressent vraiment aux ignorants. L’aae n’a visiblement pas l’intention, comme le conseil de l’Ordre en France d’ailleurs, de rentrer dans un débat de spécialistes. Et elle a bien raison car il pourrait bien en ressortir que la dent dévitalisée est une des plus grandes causes d’empoisonnement du vingtième siècle NDLR).
Fin.
L’association des endodontistes américains n’a ici absolument pas une attitude scientifique. Elle aurait plutôt ici une attitude de commercant. Elle affirme détenir des vérités sans jamais pouvoir nous le prouver et en se gardant bien de parler des études scientifiques récentes qui prouvent le contraire de ce qu’elle avance, tout en apportant de la confusion dans le sujet en apportant des informations vraies certes, mais hors sujet. On pourrait presque dire que c’est de la manipulation mentale.
Voilà ce qu’elle aurait pu dire si elle avait au moins adopté une attitude honnête. Je suis sûr qu’avec mon texte je vais peut-être arriver à vous convaincre de garder vos dents dévitalisées d’ailleurs.
« Les dents dévitalisées rendent de multiples services. Il est vrai qu’il existe des études scientifiques qui montrent que les meilleures des dents dévitalisées peuvent provoquer toutes les maladies possibles et inimaginables. Mais il existe aussi des études scientifiques qui ne sont pas arrivé à prouver que certaines dents dévitalisées étaient toxiques. Dans le doute nous préférons penser qu’il serait alors dommage de les extraire. Nous pensons que le risque en vaut la peine, même si la mode aujourd’hui est le principe de précaution. Mais la mode, vous savez, ça passe.
Nous pensons effectivement que les avantages de la dent dévitalisée au niveau esthétique, masticatoire et du confort, restent supérieurs dans la plupart des cas à l’extraction de la dent et son remplacement par un dentier. Il y a bien sûr quelques exceptions qui sont reconnues par certains médecins dans des cas très particuliers (endocardite d’Ossler par exemple et d’autres encore).
Toutefois, si cela est notre intime conviction, nous ne pouvons honnêtement vous le prouver.
En retraitant parfaitement une dent nous ne sômmes jamais arrivé à améliorer une maladie grave comme un cancer par exemple, même si nous pensons qu’une dent bien dévitalisée provoque certainement moins de maladies à distance qu’une dent mal dévitalisée.
Par conséquent, c’est à vous de faire votre choix et de prendre le moins pire, pourrait-on dire. Mais vous devez sûrement connaître des tas de gens qui ont des dents dévitalisées et sont pourtant en bonne santé. Donc, même si c’est vrai, ce ne doit donc pas être trop grave quand même de garder des dents dévitalisées. Il faut tout relativiser.
Si vous choisissez de conserver vos dents dévitalisées comme nous pensons que c’est le mieux (surtout que c’est grâce à cela que nous vivons), nous les endodontistes seront alors les plus aptes de tous les dentistes à vous les faire conserver en bouche en vous dévitalisant vos dents le plus parfaitement possible, tout en sachant que le traitement endodontique parfait qui éliminerait tout matière putride n’existe pas, soyons honnête.
Pour le reste, c’est-à dire les maladies qu’elles peuvent éventuellement causer, encore faudrait-il que ce soit prouvé par l’académie des sciences ou de médecine. Personnellement nous n’en savons rien et ne voulons rien en savoir car cela ne nous regarde pas. C’est le job des médecins, éventuellement des scientifiques mais pas le nôtre. Le nôtre c’est de vous conserver vos dents, car nous sommes dentistes, et mettez vous bien ça dans la tête. Et dentiste comme son nom l’indique c’est celui qui soigne les dents. Si vous avez des problèmes de santé allez voir votre médecin et arrêter de nous parler de ça car ça ne nous regarde pas. Et si vous voulez vous plaindre de quelque chose adressez vous aux autorités car enfin, c’est quand même eux qui sont responsables de la santé publique. Alors c’est eux qui devraient être rendus responsables de toute cette histoire de toxicité des dents dévitalisées si elle est vraie, non mais. Nous on ne fait que ce qu’on nous a appris à l’université. Alors maintenant circulez, y’a rien à voir de plus.
Maintenant, si vous voulez avoir des dents bien dévitalisées, prenez vite rendez-vous avec un des membres de notre association au lieu de vous faire dévitaliser vos dents par les dentistes normaux car des études scientifiques montrent qu’aujourd’hui la majorité des dents dévitalisées par eux sont mal dévitalisées. Les dentistes qui font cela utilisent des produits anti-inflammatoires (hydrocortisone par exemple) dans les obturations de racine pour masquer l’excès de pourriture qu’ils y laissent. Escusez nous ce langage un peu cru mais parfois il faut bien appeler un chat un chat.
Les dentistes non spécialistes empêchent ainsi par des anti-inflammatoires, que l’organisme réagisse par une l’infection à l’excès de pourriture qu’ils laissent. Faut dire que ce n’est pas facile de bien dévitaliser des dents.
Alors si certains scientifiques pensent que les dents bien dévitalisées donnent plein de maladies à distance avec le peu de pourriture que nous on laisse dedans, je vous dis pas ce que les dents mal dévitalisées doivent provoquer. Nous les endodontistes, sommes en fait des limitateurs de pourriture, en quelque sorte et grâce à nous les gens sont certainement moins malades que si on leur laisse un maximum de pourriture dans leurs dents dévitalisées comme le font nos collègues non spécialistes bien souvent.
Donc venez vite vous refaire traiter par un spécialiste comme nous, toutes vos dents dévitalisées antérieurement par un dentiste non spécialiste du sujet. Evidemment ça vous coûtera environ dix fois plus cher, mais la santé n’a pas de prix, n’est-ce pas ?
Mais toute cette histoire de maladie à distance des dents dévitalisées, ce n’est que des hypothèses on vous le rappelle. Des hypothèses que défendent certes de nombreux éminents scientifiques mais des hypothèses quand même. Des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèses ….
A partir de maintenant imaginez vous la marionnette de Geoges Bush aux guignols de l’info de Canal +. Personnellement c’est ce à quoi m’a fait penser les arguments de l’aae.
La vérité c’est la notre la vraie, d’ailleurs on a écrit vérité (truth en anglais) au début de chacun nos chapitres ce qui démontre bien que toute cette histoire de maladies provoquées par les dents dévitalisées est un mythe. Et si on l’a écrit c’est que c’est vrai. Alors que les autres, les arracheurs de dents dévitalisées, sont des menteurs. D’ailleurs on dit menteur comme un arracheur de dent. Vous le savez bien ça, c’est bien la preuve que c’est nous qui disons la vérité et pas les autres. Et comme autre preuve, en France, qui est bien connue comme étant le pays le plus intelligent du monde et qui a la meilleure médecine du monde puisque presque tout le monde est soigné, ils ont interdit d’exercer un dentiste qui disait le contraire. C’est bien encore une preuve irréfutable que c’est nous qui avons raison.
Donc en conclusion, nous les endodontistes, si une dent dévitalisée vous fait mal et que votre dentiste veut vous l’arracher, venez vite nous voir et nous, on arrivera sûrement à vous la sauvez, c’est sûr.
Fin.
Si l’aae avait écrit quelque chose dans ce genre, elle aurait au moins fait la preuve d’une certaine honnêteté. Une honnêteté qui personnellement fait que je respecte le choix de conserver ses dents dévitalisées. Je peux très bien comprendre que des personnes préfèrent prendre des risques pour leur santé et avoir moins de vitalité que d’avoir un dentier.
Le seul problème est que d’un autre côté on soit un peu moins tolérant vis-à-vis de ceux qui pensent le contraire et c’est là tout le problème.
Personnellement quand je dévitalisais des dents aux personnes qui refusaient catégoriquement que je les leur enlève alors qu’il n’y avait plus que cette solution pour supprimer leurs douleurs atroces, je les prévenais qu’ainsi je les empoisonnais un peu et qu’avec le temps cet empoisonnement pouvait conduire à leur faire perdre leur vitalité et à de très graves maladies. Mais que s’ils voulaient prendre un tel risque, c’était leur droit bien que je ne les y encourageais nullement. Mais avec du recul je pense que je me suis peut-être trompé d’attitude et que j’aurais du refuser de les soigner s’il refusaient que j’enlève leur dent. Moi même ne suis pas un exemple comme vous le voyez.
Fin.
Annexe : Voici maintenant et pour finir, les deux textes originaux en anglais présents sur le site de l’AAE pour soi disant détruire un mythe. Ma foi avec certaines personnes ça doit marcher, c’est sûr. Avec un certain R.B. ça a d’ailleurs très bien fonctionné jusqu’à présent.
Truth—Root canal treatment is a safe and effective procedure.
Research studies performed in the 1930s and 1940s and those conducted in later years showed no relationship between the presence of endodontically treated teeth and the presence of illness. Instead, researchers found that people with root canal fillings were no more likely to be ill than people without them.1,2
Over the past several years, however, a very small number of dentists and physicians have been claiming that teeth that have received root canal (endodontic) treatment contribute to the occurrence of illness and disease in the body. This claim is based on the outdated research performed by Dr. Weston Price from 1910-1930. His research stated that bacteria trapped in the teeth during root canal treatment can cause almost any type of disease, including arthritis, heart disease, kidney disease, and others.
The presence of bacteria in teeth and mouth has been an accepted fact for many years. But presence of bacteria does not constitute “infection” and is not necessarily a threat to a person’s health.3 Bacteria are present in the mouth and teeth at all times, even in teeth that have never had a cavity or other trauma.
More recent attempts to copy the research of Dr. Price (and to check its accuracy) have been unsuccessful. Researchers now believe that the earlier findings may have been caused by poor sanitation and imprecise research techniques that were common in the early 1900s.1
These more recent studies support the truth we report today—that teeth that receive proper endodontic treatment do not cause illness.
Truth—Saving your natural teeth, if possible, is the very best option.
Nothing can completely replace your natural tooth. An artificial tooth can sometimes cause you to avoid certain foods. Keeping your own teeth is important so that you can continue to enjoy the wide variety of foods necessary to maintain the proper nutrient balance in your diet.
Endodontic treatment, along with appropriate restoration, is a cost-effective way to treat teeth with damaged pulp and is usually less expensive than extraction and placement of a bridge or an implant.
Endodontic treatment also has a very high success rate. Many root canal treated teeth last a lifetime.
Placement of a bridge or an implant will require significanly more time in treatment and may result in further procedures to adjacent teeth and supporting tissues.
Millions of healthy endodontically treated teeth serve patients all over the world, years and years after treatment. Those healthy teeth are helping patients chew efficiently, maintain the natural appearance of their smiles and enhance their enjoyment of life. Through endodontic treatment, endodontists and dentists worldwide enable patients to keep their natural teeth for a lifetime.
Fin
Qui suis-je.
June 10, 2006 on 5:58 pm | In Qui suis-je ? | 1 CommentJe m’appelle Bruno Darmon, je suis l’auteur des textes de ce site et je réside dans le Sud Est de la France près de Nice et Cannes. Mon seul titre officiel est docteur en chirurgie dentaire. Je suis tout d’abord un thérapeute de médecines naturelles qui possède aujourd’hui de multiples outils de médecine naturelles et une maison en montagne pour recevoir et soigner les personnes malades (voir http://centre-de-revitalisation.skyrock.com) qui possède un sauna et de multiples appareillages. Les outils que je maitrise permettent de résoudre la plupart des problématiques de santé sans avoir besoin de recourir à une médecine moderne chimique ou chirurgicale aux terribles effets secondaires mais dont très peu de personnes ont semble-t-il conscience, pour leur plus grand malheur.
J’ai obtenu mon diplôme de docteur en chirurgie dentaire après être rentré major primant au concours de première année de médecine de Nice, et j’ai exercé la dentisterie une quinzaine d’années, jusqu’en 2004. Mais ce qui m’a toujours le plus intéressé est de pouvoir guérir toutes les maladies, pas uniquement celles des dents et donc de faire de la médecine en fait. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait en quelque sorte. Je faisais en fait plus précisément de la médecine énergétique que j’associais à de la dentisterie énergétique ou holistique. Vous pouvez d’ailleurs remplacer le terme de médecine énergétique par médecine douce ou médecine naturelle si vous comprenez mieux ainsi. Cela m’a permis de guérir des centaines de personnes de maladies graves parfois et en tous cas de maladie que la médecine ne pouvait guérir. Si j’ai choisi de faire des études de dentaire, alors qu’à l’époque seuls les plus mauvais étudiants du concours de première année de médecine choisissaient cette voie, c’est que j’ai eu l’intuition que les études de médecine serait un piège où je perdrai mon temps à apprendre des tas de choses inutiles pour ce que je voulais faire c’est-à-dire une médecine qui n’empoisonnerait ni mutilerait personne. Une médecine naturelle qui de toute façon n’est pas enseignée aujourd’hui dans les universités de médecine.
Dès le début de mes études, j’ai aussi eu l’intuition que la clef de la santé de beaucoup de personnes et de la mienne en particulier se trouvait plutôt dans la bouche qu’ailleurs, compte tenu de mes nombreux passages chez le dentiste et de ma santé boiteuse lorsque j’étais jeune. Pour toutes ces raisons, je me suis dirigé vers les études de dentaires et non vers celles de médecine. C’est d’ailleurs ce que je conseillerai de faire à toute personne dont l’objectif est de vouloir guérir les malades car d’une certaine façon aujourd’hui, la clef de la santé de millions de personnes se trouve plus entre les mains des dentistes et des médecines douces que des médecins de la médecine chimique allopathique voire homéopathique, aussi incroyable que cela puisse paraitre . C’est un peu pour montrer cela que j’ai mis une centaine de guérisons de maladies diverses en témoignage vidéo sur le site www.sante-dents.com. Et c’est d’ailleurs parce que la population ne le comprend pas qu’elle est aujourd’hui si malade.
Après mes études officielles, je me suis intéressé à toutes sortes de médecines naturelles ainsi qu’à une dentisterie qu’on pourrait appeler la dentisterie holistique car elle s’intéresse aux rapports entre les dents et la santé dans son ensemble. J’ai rencontré de multiples dentistes qui étaient connus pour guérir des maladies grâce à cette dentisterie et ils m’ont gentiment transmis leur savoir, car cette dentisterie n’est pas enseignée en université dans la mesure où elle remet en question certaines pratiques et dérange donc certains enseignants. Les institutions en général donc l’université aussi, préfèrent souvent maintenir une certaine harmonie en leur sein plutôt que de s’intéresser aux informations dérangeantes et révolutionnaires. C’est pourquoi il est rare qu’on trouve les informations les plus intéressantes dans les institutions, c’est ainsi. Cela ne veut pas dire non plus que les institutions n’ont pas leur intérêt aussi mais plutôt qu’il faut savoir qu’elles ont aussi leurs limites que certains groupes minoritaires dépassent généralement car ils ont généralement plus de liberté d’action. Parmi les dentistes exceptionnels qui m’ont transmis leurs enseignements il y eut le Dr J.P.Galiano (un précurseur sur les amalgames, aujourd’hui interdit d’exercer à vie), le Dr davo Koubi (aujourd’hui décédé), et le Dr Landwerllin aujourd’hui retraité pour n’en citer que quelques uns. Des dentistes qui face aux pathologies chroniques guérissaient mieux que ce que les médecins savaient faire et pas juste des beaux parleurs ou écrivains qui n’avaient jamais guéris personnes comme par exemple certains qui s’expriment sur internet contre mon discours sur les dents dévitalisées et qui se disent les représentant de la dentisterie holistique. C’est avec eux et grâce aussi à des médecins exceptionnels comme le Dr J.G. THOMAS (à la retraite aussi aujourd’hui) que j’ai compris beaucoup de choses et notamment que moins on avait en bouche d’amalgames dentaires, de dents dévitalisées, de dents incluses ou trop loin au fond de la bouche comme c’est souvent le cas des dents de sagesse, et mieux on se portait. Et c’est pour avoir informé mes patients de cette réalité, notamment sur les dents dévitalisées, que le Conseil de l’Ordre des dentistes m’a interdit d’exercer à vie en juin 2004 pour selon lui un manquement grave à l’éthique. C’est bien sûr eux les dentistes qui ont effectué cet abus de pouvoir qui ont réalisé ainsi un manquement grave à l’éthique mais c’est bien connu : « la raison du plus fort est toujours la meilleure ». Et pour l’instant c’est moi qui suis interdit d’exercer tandis qu’ils continuent probablement à dévitaliser des dents saines pour faire des bridges, et en tout cas dévitaliser des dents sans informer leurs patients des terribles risques qu’ils leur font prendre pour leur santé. Ils taisent aussi une information dont dépend rien qu’en France la santé de millions de personnes qui pourraient retrouver la santé si on leur enlevait leur dents dévitalisées. Mais à part ça, rien de grave…
Pour l’anecdote, quelques années auparavant, à la fin de mes études de dentaire, ce même Conseil de l’Ordre m’avait attribué un prix après un concours national organisé par lui-même sur l’éthique. Concours qui récompense chaque année cinq ou six étudiants sur toute la France qui effectuent une bonne dissertation sur l’éthique. C’est rigolo non… enfin sauf pour moi… Pour moi la vraie éthique comprend l’information des patients sur la réalité empoisonnante de certains traitements dentaires et cela même si ça contrarie la profession. L’harmonie sans vérité est une forme de trahison en fait. En ne voulant pas affoler la population avec la réalité empoisonnante des dents dévitalisées, on la conduit en fait au précipice.
J’ai aussi assez vite compris que notre médecine moderne, même si elle permettait de soigner, de supprimer des souffrances et de sauver des vies on ne peut le nier, avait aussi de terribles effets secondaires qui à terme, j’en suis aujourd’hui persuadé, représentent en fait une cause essentielle de maladies graves et de handicaps de notre civilisation, voire la principale cause (après les dents dévitalisées) bien plus que toutes les pollutions dont on nous parle couramment et dont parlent couramment les écologistes par exemple, même si c’est important aussi on ne peut le nier.
Même si la dentisterie holistique représente un formidable outil thérapeutique, elle n’est évidemment pas suffisante pour répondre à toutes les demandes thérapeutiques. J’ai donc acquis d’autres outils de médecine naturelle. J’ai appris l’acupuncture de l’école Lavier, un génie, dentiste français à l’origine qui était allé apprendre l’acupuncture dans les monastères de Taïwan et en avait rapporté une acupuncture extrêmement efficace. L’école Lavier ne fait aucune publicité pour avoir des élèves, dans la pure tradition de l’acupuncture. C’est le maitre qui décide un jour de proposer cet enseignement aux élèves qui se présentent à lui. J’ai eu cette chance d’accéder à cet enseignement que l’on m’a proposé de suivre un jour. L’acupuncture actuelle en Chine selon Lavier n’est aujourd’hui qu’une version peu efficace de la vraie acupuncture qui avait été préservée à Taiwan, car c’est là et seulement là selon lui qu’elle avait été épargnée de la folie destructrice et meurtrière de la révolution culturelle de Mao Tsétoung qui fit décapiter les vrais maitres d’acupuncture (50 000 environ) qu’elle estimait ne pas être assez au service du peuple. On décapita ainsi la vraie acupuncture qui fut remplacée en Chine par une acupuncture de seconde zone qui n’avaient pas reçu cet enseignement essentiel juste transmis de maitre à élève et qui aujourd’hui diffuse en occident une acupuncture peu efficace qui la déconsidère par conséquent. C’est cette acupuncture de Taiwan qui m’a jadis sauvé la vie alors que je fis une crise cardiaque ou une crise d’asthme. C’est cette acupuncture qui m’a permis de relever en une séance une fois une personne qui avait eu un accident vasculaire cérébrale et pouvait à peine marcher. C’est cette acupuncture qui m’a permis de guérir bien des choses bien souvent et il y a peu d’urgences médicales que je ne peux traiter aujourd’hui avec mes aiguilles d’acupuncture que j’ai quasiment toujours sur moi.
Mais cela ne suffisait pas et j’ai aussi acquis en partie d’autres outils thérapeutiques fort intéressants comme la phytothérapie, l’aromathérapie (les huiles essentielles) dont je ne vais pas ici vanter les mérites car ce sont des médecines assez connues aujourd’hui.
Je ne refuse pas non plus certaines avancées technologiques modernes. Je dispose en effet aussi d’un appareil d’ozonothérapie, ce qui est fort intéressant je vous assure, ainsi qu’une chi machine, d’appareils d’onde magnétique pulsées et d’ionisation, et d’autres appareils encore.
J’ai aussi acquis des connaissances dans le domaine de la chromothérapie. C’est une médecine étonnante sur tout ce qui touche au cerveau. Il m’est souvent arrivé de supprimer en une seule séance des dépressions graves juste en mettant des lunettes de couleurs dans un certain ordre sur les yeux. Mais le cas le plus incroyable que j’ai guéri avec la chromothérapie, je vais vous le raconter maintenant et moi-même j’en fus étonné. C’est un patient qui était aussi un ami thérapeute d’ailleurs, qui s’est un jour retrouvé à l’hôpital après un grave accident qui l’a mis dans le coma quelques jours. En sortant du coma, et encore une dizaine de jours après il avait perdu totalement la mémoire. Il ne reconnaissait plus ses proches et ne savait d’ailleurs même pas où il était et pourquoi il y était même si on le lui avait déjà expliqué. Bref son cerveau était dans un sale état. Un jour j’allai le voir à l’hôpital comptant bien le soigner, en amenant quelques outils thérapeutiques. Après deux heures de chromothérapie, il eut très mal à la tête. Je lui appliquais alors le complexe d’huiles essentielles que je venais de lui faire, après lui avoir fait boire le complexe d’hydrolats que je lui avais aussi concocté. Puis miracle, il me reconnu, me demanda ce qu’il faisait ici, ce que je lui expliquai et il retrouva sa tête immédiatement totalement et définitivement. Il sortit alors de l’hôpital quelques jours plus tard. La chromothérapie, est vraiment un outil formidable, je vous assure, pour tout ce qui touche au cerveau et cela pourrait éviter bien des traitements de psychiatrie qui détruisent les cerveaux. C’est d’ailleurs un psychiatre, le Dr Agrapa qui le premier en France a fait de la chromothérapie et grâce à cela évitait à ses patients tous les médicaments chimiques. Il serait temps que les autres psychiatres s’y intéressent.
Je me suis aussi beaucoup intéressé à l’Ayurvéda, la médecine traditionnelle indienne. J’ai fait plusieurs stages d’Ayurvéda avec différents enseignants. L’Ayurvéda est une science médicale tellement vaste que je pense que toute ma vie, j’en apprendrai sur le sujet. La chromothérapie fait d’ailleurs partie de l’Ayurvéda.
Je me suis aussi intéressé à la naturopathie que l’on pourrait qualifier de médecine naturelle occidentale s’intéressant principalement aux corrections alimentaires. Toutefois aujourd’hui j’estime que les connaissances de l’Ayurvéda sont bien supérieures à la naturopathie et je suis un fervent adepte du végétarisme indien (sans viande ni poisson ni œufs mais avec laitages) même si je peux aussi expliquer aux non végétariens ce qu’il leur faut faire pour rester en bonne santé.
Je me suis aussi intéressé à la chronobiologie pour comprendre notamment qu’il faut enlever les dents dévitalisées, en lune décroissante, et l’après midi, exactement le contraire de ce qu’on faisait à la fac où on opérait toujours les patients le matin.
Je me suis aussi intéressé à certaines techniques de méditations fort efficaces pour se soigner soi même. Des méditations qui constituent un yoga de l’esprit en quelque sorte. Des techniques que j’enseigne parfois à mes patients.
Je suis aussi un chercheur dans le domaine médical des médecines naturelles et notamment de ce qui touche à la dentisterie holistique et notamment au traitement des mémoires laissées par les dents dévitalisées extraites. En effet, si enlever les dents dévitalisées est souvent le traitement le plus efficace de la dentisterie holistique et des médecines douces en générale, il reste encore souvent dans l’os qui entourait les dents, une certaine toxicité résiduelle qui continue à empoisonner l’organisme. Je me suis donc penché passionnément sur ce sujet et j’ai trouvé des solutions originales et efficaces dont certaines injections dans les gencives. Des techniques si efficace qu’une fois elles ont permis d’améliorer un cas de sclérose en plaque sur lequel tous les thérapeutes de Genève était passés auparavant sans arriver à l’améliorer autant que ces techniques particulières. C’est ce que m’a témoigné la patiente et que j’ai d’ailleurs constaté en la revoyant. Le patient avec qui j’ai le plus travaillé sur ses mémoires de dents dévitalisées m’a témoigné que ce traitement lui avait fait autant de bien que le fait d’avoir enlevé ses dents dévitalisées. Intéressant non.
Une de ces techniques est d’ailleurs la cristallothérapie dentaire.
La cristallothérapie, qui fait partie aussi de l’Ayurvéda. En portant des pierres au cou, au poignet et même en les scotchant avec un sparadra sur certains points d’acupuncture ou en face des organes malades tout simplement, on peut soigner de façon très efficace surtout quand ce sont des pathologies de manque d’énergie. Et c’est ainsi ensuite que j’ai découvert une cristallothérapie dentaire. Je m’explique. Les dents possèdent une structure cristalline (d’hydroxyapatite plus précisément) et lorsqu’on fait des prothèses dentaires, amovibles notamment, c’est ce qui est le mieux pour la santé pour remplacer les dents absentes, les dents sont soient en résine soit en céramique. Ces deux matériaux n’ont pas de structure cristalline pouvant transmettre à la loge dentaire une énergie que les dents vivantes cristallines transmettent. La solution est donc d’insérer dans les prothèses, au niveau des dents plus exactement, des cristaux. Les personnes trouvent alors leur prothèse bien plus facile à supporter. Souvent même ils ne veulent plus l’enlever car ils sentent qu’elle leur fait du bien. Une patiente dont le mari est thérapeute et analyse les énergies avec un appareil qui s’appelle l’antenne de Lecher m’a dit que son mari avait constaté que ses corps énergétique se recentraient dès qu’elle portait sa prothèse avec cristaux, ce qui n’était pas le cas avec son ancienne prothèse, elle aussi en plastique coulé mais sans cristaux. Dernièrement un ancien patient m’a téléphoné car il avait un problème au coude, des fortes douleurs. Il se frictionnait aux huiles essentielles, avait consulté plusieurs fois un célèbre acupuncteur de ma région après en avoir consulté un autre avant, avait vu ostéopathes et kiné, mais rien n’y faisait de très efficace. Comme il se rappelait que jadis je l’avais soigné de choses diverses et variées lorsque personne n’était arrivé à le soigner, il revint me voir pour son coude. Je plantais alors une aiguille d’acupuncture dans un endroit précis de sa gencive et la douleur au coude s’atténua fortement. Avec d’autres informations j’en déduisis que sous cette gencive il y avait encore un bout d’os pourri à cause de son ancienne dent dévitalisée aujourd’hui extraite, mais qui aujourd’hui lui affectait le coude. Je lui dis alors qu’il fallait comme dans le passé faire une piqure dans l’os sous sa gencive. Une piqure qui je le lui rappelai, l’avait jadis guéri de multiples choses d’ailleurs. Mais à vrai dire, ces piqures font un peu mal, je dois l’avouer, pas toujours toutefois. J’ai compris certaines choses aujourd’hui pour diminuer la douleur mais au début quand je les faisais ça faisait assez mal je dois l’avouer. Alors il ne fut pas très chaud pour cette nouvelle piqure et me demanda si je n’avais pas encore une autre solution par hasard. Alors je lui proposai de mettre des cristaux dans sa prothèse. La semaine suivante quand nous nous téléphonâmes il n’avait quasiment plus mal à son coude et depuis il en est suffisamment satisfait du résultat pour ne rien faire d’autre. Et en plus il n’avait plus mal au cou non plus. Intéressant non ! Toutefois je pense qu’en vieillissant quand son énergie baissera encore, les problèmes reviendront probablement et qu’il sera obligé de faire mes fameuses piqures s’il voudra alors guérir.
Le traitement des os malades des mâchoires après extraction des dents dévitalisées est un domaine médical qui représente un espoir gigantesque pour la santé de millions de personnes, sachez le. Et ceux qui s’imaginent qu’ils pourraient enlever la toxicité résiduelle dans les os des mâchoires par de l’homéopathie par exemple, ou autre chose, plutôt qu’agir directement localement dans les os des mâchoires, se trompent et induisent les patients dans l’erreur et la perte de temps voire de leur vitalité quand ils les font toucher à l’homéopathie notamment qui baisse l’énergie globale des patients pour guérir, je le rappelle (voir texte « médecine des poisons » ou « médecine et énergie »).
Voici encore un autre outil intéressant que j’ai plus ou moins découvert. Les cautérisations de gencive, voire de cicatrices de la peau avec un simple instrument de métal chauffé. C’est une technique dont j’ai eu l’idée après un séminaire de dentisterie holistique où on enseignait de brûler les gencives avec un laser pour traiter les blocages d’énergie consécutifs aux cicatrices de gencives après extraction des dents. Comme je n’avais pas de laser ni l’intention d’en acheter, car c’est un outil très onéreux, j’ai eu l’idée de simplement bruler la gencive avec un instrument métallique chauffé à la flamme, lorsque j’identifiais une cicatrice toxique. Grace à cela j’ai une fois redonné la vue à un œil totalement aveugle, c’est vous dire la puissance de la technique quand l’indication est bien posée. Je me suis aussi aperçu que bruler les cicatrices de la peau est aussi très efficace quand elles bloquent l’énergie. On brule bien sûr juste le ou les points où l’énergie est bloquée. C’est bien plus efficace que toutes les autres techniques qui existent aussi sur le traitement de cicatrice que certains neuralthérapeutes et ostéopathes connaissent bien d’ailleurs.
J’ai aussi eu l’idée d’un implant révolutionnaire mais qui en n’est encore que juste au stade de l’idée car je ne possède pas encore le financement pour le développer. C’est un concept tout à fait original et révolutionnaire qui serait un progrès important dans le domaine de l’implantologie mais je ne vous en parlerai pas plus ici désolé. J’espère juste que d’en parler ici me fera venir les financements nécessaires pour développer ce projet.
Je me suis intéressé aussi aux médecines que je qualifierais d’électriques. Il s’agit de médecines utilisant les courants faibles. Je possède d’ailleurs un appareil étonnant d’efficacité utilisant l’électricité statique et divers autres appareils utilisant le courant continu et les ondes magnétiques pulsées notamment, j’en ai déjà parlé. Mais l’appareil à électricité statique me semble être ce qu’il y a de plus efficace en général. Toutefois, ces médecines électriques m’ont donné l’idée d’un appareillage qui pourrait apporter de l’énergie électrique ou des ondes magnétiques pulsées thérapeutiques dans les zones dentaires d’os affectées par les anciennes dents dévitalisées, encore une fois pour traiter les mémoires. C’est un appareil que je suis encore en train de mettre au point et de tester donc je vous en dirai plus, plus tard mais cela semble assez prometteur. Il suffira de mettre son appareil en place dans la bouche devant la télé le soir et d’allumer un petit boitier qui transmettra aux zones d’extraction dentaire des ondes magnétiques pulsées qui soigneront les mémoires des dents dévitalisées.
Que vous dire d’autre sur mes thérapeutiques. Je m’intéresse aussi aux thérapeutiques par les aimants, par les élixirs de fleurs et même aux arts divinatoires.
Tout ce qui touche aux thérapeutiques naturelles m’intéresse en général tandis que j’informe toujours du danger des médecines chimiques et des opérations chirurgicales, qu’on peut presque toujours éviter lorsqu’on maitrise correctement les médecines naturelles. On peut même éviter parfois des greffes d’organes, je vous assure. Mais bon pour pouvoir croire cela, encore faut-il sortir de l’état d’hypnose collective dans lequel la majorité de la population se trouve actuellement pour notre médecine moderne. Une médecine moderne qui est aussi le plus grand pourvoyeur de maladies graves, de grabataires et d’handicapés, à cause de ses terribles effets secondaires. Le jour où notre civilisation ouvrira les yeux sur cette réalité, elle fera un grand pas en avant pour sa vitalité. Tout comme elle fera un grand pas en avant lorsqu’elle se rendra compte que les dents dévitalisées l’empoisonnent encore plus que tout, bien plus généralement que tout ce qui est communément dit par les médias et les médecins notamment, enfin tant que les centrales nucléaires n’auront pas explosé….. Dieu nous en préserve.
Dr bruno Darmon
Chronique de la persécution d’une idée dont dépend la santé de millions de personnes
June 10, 2006 on 3:07 pm | In Chronique de la persécution d'une idée | No CommentsLa conscience de la toxicité des dents dévitalisées est arrivée en France dans les années soixante grâce à un dentiste cannois le Dr Davo Koubi. Il fut très connu dans sa région pour les nombreuses guérisons qu’il obtenait en enlevant des dents dévitalisées. Il reussit à convaincre quelques médecins, dont le Dr J.G. Thomas de l’importance du sujet pour la santé générale des patients. Quelques médecins et quelques dentistes seulement en tinrent compte. Quelques praticiens pour une information aussi importante, cela me semblait être totalement fou. Le Conseil de l’Ordre des dentistes des Alpes Maritimes connaissait bien l’existence du Dr Davo Koubi et du Dr J.G. Thomas. Mais ils ne voulaient rien savoir de tout cela étant donné que la logique académique était de tout faire pour sauver des dents. La santé, c’était le domaine de la faculté de médecine en quelque sorte. Dès que j’ai eu connaissance de cela, J’ai personnellement trouvé cette situation d’une telle absurdité que j’ai mis toute mon énergie à informer la profession et le public sur l’espoir gigantesque qui existait par l’élimination des dents dévitalisées, pour retrouver la santé. J’ai écrit plusieurs articles dans divers revues et incité certains scientifiques à faire de même. Evidemment cette information contrariait mes confrères car si en enlevant des dents dévitalisées, on guérissait, cela signifiait d’une certaine façon que ceux qui les produisaient, les confrères, empoisonnaient les gens. C’était bien sûr très délicat. Tous les dentistes du conseil de l’Ordre connaissaient bien le Dr Davo Koubi et ils ne nourrissaient pas les meilleures de pensées à son égard pour cette évidente raison. Ils ont bien vu que je prenais un peu le même chemin et lorsqu’un patient est venu se plaindre de cela, il est devenu l’outil idéal pour me faire interdire d’exercer. Je fis alors un mémoire qui démontra clairement que cette attiude était fondée sur des bases scientifiques grâce à de nombreuses thèses françaises sur le sujet ainsi que des publications scientifiques étrangères. Le sujet était bien connu mais c’était un tabou dans la profession et nul n’est plus aveugle que celui qui ne veut voir. Je montrai aussi dans ce mémoire qu’à l’étranger et dans le passé aussi en France, des démarches similaires étaient et avaient été réalisées sans être pour autant condamnées.Je fus toutefois alors interdit d’exercer pendant un an, l’année 2000. C’est ce même patient qui a ensuite déposé plainte en correctionnelle en utilisant la condamnation du conseil de l’Ordre comme argument auprès du procureur et en rajoutant un peu de sa sauce délirante, comme quoi en plus je l’aurais drogué pour le faire sans son consentement…Le tribunal correctionnel dans la logique du Conseil de l’Ordre m’a alors condamné en Mars 2005, à un an et demi de prison avec sursis et mise àl’épreuve. C’est à dire que si je ne paie pas 70 000 euros, je dois y aller…Vous pouvez ici avoir le texte sur le sujet paru jadis dans le journal local.
Mais après cette première condamnation de l’Ordre, que j’estimais injuste, j’ai continué comme avant et même de plus belle, mais cette fois ci en récupérant des témoignages vidéos, histoire de pouvoir un peu mieux me défendre si un jour il leur venait encore à l’idée de récidiver.
Un jour ils interceptèrent un courrier adressé à un médecin responsable du problème des suicides dans ma région. Ce courrier expliquait simplement que j’avais observé que certains de mes patients aux tendances suicidaires m’avaient témoigné avoir retrouvé le goût de vivre après avoir enlevé les dents dévitalisées. Le Conseil de l’Ordre des Alpes maritimes déposa alors plainte contre moi et le Conseil régional de Marseille qui condamne me condamna à trois ans d’interdiction d’exercer, malgré un mémoire pourtant clair et des films vidéo de guérisons qui leur furent remis. Des éléments qui auraient incité tout jury impartial non seulement à ne pas me condamner mais en plus éventuellement à informer toute la profession sur le sujet.
Je pris alors comme avocat Maitre Corinne Lepage, ex Ministre de l’environnement, ex candidate écologiste aux dernières élections présidentielles, qui fit un mémoire éloquent sur le sujet, pour l’appel.
Ce mémoire instructif est consultable ici.
A paris, au Conseil National de l’Ordre, ils décidèrent dans un premier temps de demander son avis à l’Académie Nationale de Chirurgie Dentaire. J’avais personnellement demandé qu’une commission d’enquête scientifique indépendante du milieu dentaire se penche sur le sujet.
Entre temps, je commençais à organiser un Symposium intitulé: Symposium sur la toxicité relative des dents dévitalisées, qui était prévu à Cannes.
J’envoyais le projet du symposium au Conseil national de l’Ordre comme c’est la règle. Des médecins et des dentistes qui auraient pu y participer furent convoqués pour subir des pressions par l’Ordre des dentistes des Alpes Maritimes et l’Ordre des médecins des Alpes Maritimes. Un dentiste de Monaco qui prônait souvent d’enlever les dents dévitalisées et de les remplacer par des implants et qui voulait participer au symposium reçu des menaces orales des confrères de l’Ordre de Nice. Il dut se désister car selon lui, il avait plus à perdre dans cette histoire qu’autre chose. C’est en tout cas ce qu’il m’a dit et comme il l’a dit à mon répondeur téléphonique car j’étais absent, j’ai conservé l’enregistrement, histoire de le faire écouter aux journalistes qui se pencheront un jour sur cette affaire qui relève plus du roman d’espionnage qu’autre chose, comme vous allez encore le constater d’ailleurs par la suite. Le Dr J.G. Thomas, médecin rhumatologue connu dans la région pour proner depuis toujours à tous ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées, qui était cité sur le projet de symposium fut menacé d’interdiction d’exercer s’il ne prouvait pas son désistement de ce symposium et même le fait qu’il n’avait rien à voir avec ce symposium en déposant plainte contre moi. Ce qu’il fit d’ailleurs avec mon accord. Plainte qui fut classée sans suite lorsque le procureur eut l’explication du sens de cette plainte par le Dr J.G. Thomas lui même. Mais ainsi son ordre se calma. Des confrères dentistes que je ne veux pas citer pour ne pas les mettre en danger furent aussi convoqués et menacés par l’Ordre des dentiste, tandis qu’un confrère enseignant à la faculté de Nice, décida de refuser de participer à ce symposium après avoir pris conscience du danger que cela constituait pour sa carrière professionnelle. Cet enseignant savait pourtant beaucoup de choses sur le sujet.
Il était notamment au courant des travaux réalisés jadis dans cet esprit par le Docteur Lepoivre, en milieu hospitalier à Paris. Le Dr Lepoivre, stomatologiste, chef de service d’un hopital Parisien avait lui aussi appliqué l’extraction systématique de toutes les dents dévitalisées dans les années soixante, soixante dix et avait d’ailleurs écrit un ouvrage fort intéressant pour le justifier. En se mettant en relation avec les autres services hospitaliers il avait participé à améliorer l’efficacité de tout l’hopital dans lequel il exerçait. Il avait déjà été sanctionné par l’Ordre pour une autre raison mais ici, la peur de mettre sa carrière en péril a fait se désister le professeur qui m’a d’ailleurs adressé un courrier assez représentatif de l’esprit qui règne aujourd’hui autour de ce sujet éminement tabou dans la profession, la toxicité des dents dévitalisées. Un courrier que vous pouvez consulter ici. Un peu plus tard, je repassai devant le Conseil National de l’Ordre. L’Académie avait rendu un rapport disant en gros que cette façon de concevoir la dentisterie n’était pas très académique. Entre temps un autre patient bien conseillé par un confrère sincère, déposait plainte à nouveau car il était convaincu que c’était une arnaque encore une fois et je fus interdit d’exercer à vie en juin 2004. J’avais bien fait un mémoire encore plus explicatif et fourni des vidéos de patients témoignant de leurs guérisons diverses en enlevant des dents dévitalisées apparemment saines. Le tribunal de l’Ordre estima que même si une clinique Suisse proche de Zurich, la clinique Paracelse, faisait cela depuis 13 ans sur 18 000 patients ainsi que d’autres praticiens aussi dans le monde et notamment aux Etats-Unis, cela n’en restait pas moins dangereux pour les patients. Ma foi, je n’ai peut-être pas été suffisamment clair je pense, ça m’arrive souvent et c’est peut-être pour ça qu’ils n’ont pas du bien comprendre…
Montage énergétique toxique
June 9, 2006 on 5:50 pm | In Montage énergétique toxique | No CommentsSi je m’étais intéressé à la dentisterie énergétique qui enlevait les amalgames et les dents dévitalisées, ce n’était pas par hasard. Cela rentrait dans une démarche globale de curiosité dans le domaine de la médecine alternative. J’avais sans cesse été malade lorsque j’étais enfant et j’avais pris tellement de médicaments tout en étant de plus en plus fatigué, que j’en avais fini par me poser des questions. La dernière fois que je pris des antibiotiques, je me rappelle avoir été essoufflé pendant quinze jours en marchant simplement. J’avais aussi vu que les antihistaminiques et d’autres médicaments me modifiaient mon énergie et me fatiguaient. Bref, une certaine méfiance vis à vis des médicaments s’était installée et très tôt j’avais compris qu’à défaut de savoir vraiment quoi faire lorsque j’étais malade, bien souvent il valait mieux ne rien faire. Il suffisait d’arrêter de manger et de se coucher, plutôt que de prendre des médicaments pour supprimer des symptômes qui devaient avoir leur raison d’être. Plus tard je compris que ces symptômes constituaient souvent des processus d’auto-guérisons. Des processus qui si ils sont contrariés, conduisent alors à des maladies toujours plus graves, ce que visiblement très peu de personnes ont compris actuellement, quand je vois ce qu’elles consomment comme médicaments. Après avoir compris cela, il me restait alors à trouver les bonnes solutions, celles qui n’allaient pas m’empoisonner. Des solutions en accord avec le corps et non pas celles qui contrariaient mes réactions biologiques d’auto-guérisons. C’est alors que se présentèrent sur ma route divers enseignements de médecines naturelles. J’en faisais profiter mes patients, si je le pouvais, lorsque l’occasion s’en présentait. Parmi mes divers enseignements, un jour je rencontrai une radionicienne qui m’expliqua un peu comment fonctionnait sa médecine. Connaissez-vous la radionique ? C’est une médecine qui soigne à distance en utilisant des ondes équivalentes aux ondes radio. Cette thérapeute aidait beaucoup de personnes grâce à cette médecine. Une médecine étonnement efficace et surtout utile lorsqu’on ne peut se déplacer. Une médecine qui est encore très peu connue, comme d’ailleurs tout ce qui sort de la norme dans le domaine médical. Comme beaucoup de thérapeutes alternatifs elle s’était d’ailleurs rendu compte que les dents dévitalisées devaient aussi être enlevées et m’envoyait ses patients. Un jour, elle me fit visiter son atelier de radionique. Des cylindres métalliques contenant quelques gouttes de sang du patient avec des sachets de médicaments naturels étaient alignées dans l’axe magnétique de la Terre, grâce à une boussole. Dans l’alignement du cylindre, se trouvaient un solénoïde et d’autres appareils visant à amplifier le signal. Ces montages permettaient d’envoyer, l’information thérapeutique qui allait jusqu’au patient. Je sais que pour la plupart d’entre vous ça doit paraitre carrément surréaliste comme médecine, mais ce n’est pas le sujet. Si je vous parle de cette technique particulièrement, c’est que j’y ai vu ici, un parallèle intéressant avec les dents dévitalisées, qui pourrait encore mieux expliquer leur importante toxicité. Que sont en fin de compte les racines de dents dévitalisées ? Ce sont des formes plus ou moins cylindriques, pas exactement métalliques mais fait de matière cristalline comme les structures métalliques. Les minéraux présents dans la dent sont assemblés en cristaux qui s’appellent d’hydraoxyapatite. Les métaux ont aussi des structures cristallines. Les dents dévitalisées renferment toujours et plus ou moins, des résidus de sang ou de matière organique du patient. Les racines des dents sont orientées dans l’axe (magnétique) du corps, un peu comme en radionique avec l’axe magnétique de la Terre. L’organisme vivant, posséde des canaux d’énergie bien connus des acupuncteurs. Il se comporte donc comme le conducteur idéal pour les énergies, ou les ondes pourrait-on dire aussi. Mais la différence avec un montage de radionique thérapeutique, c’est qu’ici, il n’y a pas un médicament naturel mais des poisons à base de toxines bactériennes. Bref, la dent dévitalisée s’apparente à un montage de radionique qui aurait pour objectif d’empoisonner plutôt que de soigner.
Cet aspect pourrait donc expliquer l’importante toxicité de la dent dévitalisée. Elle provoque en effet des dégâts sur la santé bien plus considérables qu’un biologiste ne pourrait s’y attendre, compte tenu des quantités de toxines en présence. Cela explique aussi pourquoi, l’élimination des dents dévitalisées est un des aspects les plus puissants de la dentisterie énergétique. Cela explique pourquoi aussi on observe des guérisons immédiates parfois en enlevant des dents dévitalisées alors que l’organisme est encore empli de toxines qui ne s’élimineront que dans les mois, voire les années qui suivent, voire jamais. Cela explique aussi pourquoi jadis Price en plaçant la dent dévitalisée sous la peau d’un lapin provoquait de façon fulgurante la même affection que celle dont le patient était atteint.
Dent dévitalisée, première cause de maladies en France. Démonstration mathématique.
June 9, 2006 on 5:46 pm | In 1ère cause de maladies | No CommentsL’analyse du tableau suisse des cotisations d’assurance maladie mise dans le site www.sante-dents.com avec le texte de la clinique Paracelsus et l’explication qui en est donnée est déjà une démonstration mathématique du caractère déterminant de la dent dévitalisée pour la santé. Mais je vais le démontrer d’une autre façon encore. Avant de vous le démontrer, il faut d’abord rappeler les effets toxiques qui se déduisent de l’analyse que permet la connaissance de la médecine traditionnelle chinoise en plus du caractère infectieux et toxinique que la biologie occidentale a mis en évidence.
Il est donc nécessaire de vous faire ici un petit cours de médecine chinoise.
La médecine traditionnelle chinoise explique d’une certaine façon, l’importance de la dent dévitalisée en cinq points.
1/ L’acupuncture qui fait partie de la médecine traditionnelle chinoise est une médecine énergétique aux origines célestes. L’empereur Jaune, fils du ciel, a enseigné aux chinois les bases de l’acupuncture. Pour l’acupuncture, ce qui est en haut, domine ce qui est en bas. Le mental domine donc le reste du corps et les maladies mentales sont donc les plus graves et les plus lourdes de conséquences sur le reste du corps. Mais juste au dessous du cerveau se trouve les organes des sens puis les dents qui par conséquent, selon les lois de domination, dominent tout ce qui est en dessous c’est à dire quand même beaucoup d’organes. En fait tous les organes liés à la gestion de la matière. On pourrait en effet classer les fonctions de l’organisme en trois étages, celui de l’esprit, celui des sens et celui de la matière. Les dents dominent donc l’étage de la matière mais sont dominées par celui de l’esprit tout en étant intimement liées à celui des sens. Une affection dentaire est donc naturellement lourde de conséquence pour les fonctions organiques qui gèrent la matière, c’est à dire les maladies somatiques dans un langage moins chinois.
2/ En acupuncture on apprend que toutes les racines dentaires sont parcourues par un seul trajet d’énergie, celui de la fonction digestive (l’Estomac) qui est relié à l’élément Terre. Une perturbation de l’énergie locale par les phénomènes putrides présents dans les dents dévitalisées aura donc des retentissements sur la digestion reliée à l’élément « Terre » en médecine chinoise. L’élément « Terre » est aussi l’élément central et le plus important des cinq éléments en médecine chinoise qui sont Bois, Feu, Terre, Métal et Eau. Son dérèglement prépare le terrain de maladies graves comme le cancer et aboutit plus directement aux problèmes digestifs et au diabète par exemple. Le journal français « Le quotidien du médecin » parlait il y a quelques années d’une épidémie de diabète en France, alors que du temps de nos parents cette maladie était très rare. Une mauvaise digestion a en plus des conséquences fâcheuses diverses à travers l’accumulation intestinale de matières non digérées, que l’ayurvéda (la médecine traditionnelle indienne) appelle l’ama. L’ama étant selon l’ayurvéda la première cause de maladies.
3/ En énergétique chinoise, tous les tissus du corps sont reliés à un des cinq éléments. La dent c’est de l’Eau comme tous les tissus minéralisés d’ailleurs. La dent est donc logiquement reliée aux fonctions rénale et surrénalienne qui sont associées à l’élément Eau. Mais la fonction rénale est aussi la fonction la plus fragile de toutes les fonctions. C’est d’ailleurs celle qui dans le cas d’une fin de vie non pathologique, nous fait mourir lorsqu’elle s’arrête. On est alors fatigué, on reste alité tout en n’urinant plus et quelques jours après le cœur s’arrête sans souffrance comme une bougie qui s’éteint entraînant ainsi l’arrêt de toutes les autres fonctions de la vie dans une mort pleine de dignité.
L’élément Eau est pour la médecine chinoise, l’élément relié aux fonctions qui contrôlent la minéralisation de l’organisme.
Une dent malade altère donc les fonctions qui régulent la minéralisation de l’organisme, donc tout ce qui touche à la rhumatologie donc au mal de dos. La biologie moderne sait que les surrénales sécrètent aussi de la DHEA qui est une hormone que l’éminent prof. BAULIEU (ex Président de l’Académie Française des Sciences) a identifié comme ralentissant le vieillissement, surtout chez ceux qui en manquent d’ailleurs. Il est d’ailleurs logique que la supplémentation de DHEA fonctionne bien pour les habitants des pays dits civilisés car ce sont surtout eux qui ont des dents dévitalisées qui par conséquent selon la logique énergétique chinoise affectent surtout la fonction surrénalienne. J’ai d’ailleurs souvent constaté que les phénomènes de vieillissement se ralentissaient, et que les personnes retrouvaient même une certaine jeunesse en enlevant leurs dents dévitalisées. Des patients ont même observé une disparition partielle de leurs taches de vieillesse.
4/Il existe deux proverbes chinois assez instructifs. Le premier est que le poisson pourrit d’abord par la tête, ce qui signifie d’une certaine façon, que c’est là où se trouve les dents que la putréfaction commence généralement. Il existe un autre proverbe chinois qui dit qu’on doit traiter les dents durement comme les militaires et les yeux avec douceur comme les femmes. Cela signifie qu’il ne faut pas hésiter à enlever une dent lorsqu’elle est pourrie tandis qu’on fera tout pour ménager un œil malade.
En associant ces informations chinoises à celles obtenues par notre science médicale occidentale, notamment la bactériologie et la toxicologie, on aboutit aux conclusions suivantes :
La dent dévitalisée pose en premier lieu, trois types de problèmes. Premièrement, elle constitue un réservoir de germes toxiques sans nerf, donc une source d’infection sans douleur. Deuxièmement, elle est située dans l’os donc elle génère tout d’abord une infection osseuse qui affecte donc selon la médecine chinoise, la fonction rénale et surrénalienne (production de cortisone et DHEA entre autre) qui conduit à perturber la minéralisation de l’organisme et à maintenir un état inflammatoire. Troisièmement enfin, étant en relation de proximité avec le trajet d’énergie en acupuncture de la fonction digestive, elle perturbe cette dernière.
Les premières conséquences pathologiques de la dent dévitalisée seront donc logiquement :
1– la prédisposition aux infections.
2- la déminéralisation et l’inflammation.
3- la perturbation de la digestion.
Il faut aussi savoir que grâce à une politique de remboursement particulière, les français sont les européens qui ont le plus de dents dévitalisées. Et là, oh troublante coïncidence ! les maladies bénignes les plus fréquentes des français sont les infections puisqu’ils prennent trois à quatre fois plus d’antibiotiques que les autres européens, l’ostéoporose et le mal de dos (qui n’a pas mal au dos en France), et les phénomènes inflammatoires en général, et les problèmes d’estomac. En effet le Mopral pour les problèmes digestifs est le médicament spécifique d’une pathologie le plus consommé par les français qui pourtant ne mangent pas vraiment plus mal que les autres européens, si ce n’est qu’ils prennent des petits déjeunés sucrés, ce qui est quand même une erreur. Bref comme disait mon professeur de Mathématiques : c.q.f.d. c’est à dire, ce qu’il fallait démontrer. C’est à dire que la dent dévitalisée est donc bien probablement la première cause de maladie en France. Et sans trop prendre de risques, en Europe aussi très très probablement.
Une affirmation confirmée par l’observation jadis du père du Dr J.G. THOMAS, de l’augmentation des patients après l’installation d’un jeune dentiste qui dévitalisait en pensant bien faire. Ce n’est pas non plus un hasard si ce sont aussi les français qui ont le plus de dents dévitalisées d’Europe et sont les plus malades d’Europe. De nombreuses pathologies sont dépendantes ou aggravées ensuite par un état infectieux chronique, déminéralisant et inflammatoire, donnant mal au dos et avec une mauvaise digestion. Il est donc logique qu’ensuite toutes les autres pathologies arrivent. Logique donc que le cœur lâche quand il n’en peut plus d’essayer d’envoyer du sang frais pour réparer ces disfonctionnements. C’est d’ailleurs la première cause de mortalité en France.
Une photo d’explication …
June 8, 2006 on 5:21 pm | In Photo | No Comments
Voici une photo avec à gauche une dent vivante et ensuite des dents dévitalisées avec les dévitalisées récentes sur la gauche et les plus anciennes sur la droite. La dernière dent dévitalisée toute à droite , avait en plus un amalgame dentaire (au mercure). Sa racine est donc très noire. Les études du prof. Boyd Haley ont montré que dans ce cas là, les bactéries de la dent dévitalisée transforment le mercure en di-metyl sulfure mercure très toxique, qui imprègne la racine et se libère lentement dans l’organisme
On voit que les racines des dents dévitalisées ne sont pas aussi blanches que les couronnes en céramique qui les recouvrent souvent ne pourraient le faire croire.
Sur internet …
June 8, 2006 on 5:17 pm | In Les sites américains | Comments Off
La polémique sur la toxicité des dents dévitalisée fait rage aux Etats-Unis. Internet possède d’ailleurs de multiples sites qui reproduisent en ligne cette polémique. Un ami ostéopathe qui a un cabinet à Cannes mais exerce aussi aux Etats –Unis m’a d’ailleurs personnellement confirmé que ce sujet était très présent chez ses patients aux Etats-Unis.
Voici quelques uns des sites du web qui le confirment :
le site le plus complet et le plus intéressant me semble être http://www.rooted.tv
il y a aussi
http://www.drclark.net/fra/cleanses_clean-ups/dentalwork.php
http://www.tldp.com/issue/157-8/157rootc.htm
http://www.drshankland.com/root_canal.html
http://www.holisticmed.com/dental/root.html
http://www.sacredconnection.ndo.co.uk/Health%20Awareness/Root%20canal%20treatment%20&%20mercury%20amalgam.htm
http://www.tldp.com/issue/157-8/157rootc.htm
http://www.newswithviews.com/Howenstine/james34.htm
http://www.healingdaily.com/exercise/root-canals.htm
http://zap.intergate.ca/root.html
http://www.zip.com.au/~rgammal/root_therapies.htm
http://www.zip.com.au/~rgammal/FocalInfection.html
http://www.zip.com.au/~rgammal/FocalInfection.html
http://www.altcorp.com/AffinityLaboratory/rootcanalssystemichealth.htm
http://www.1stultimategumsolution.com
http://www.i-o-s.org/focal.html
http://www.altcorp.com/AffinityLaboratory/sterilerct.htm
parle du mythe de la dent dévitalisée stérile.
http://www.altcorp.com/AffinityLaboratory/oraltoxstudy.htm#Diseases
possède un nombre incalculable de publications scientifiques sur l’infection focale montrant tout ce que les dents dévitalisées peuvent provoquer.
http://www.altcorp.com/AffinityLaboratory/focalinfect.htm
raconte l’histoire de l’infection focale et les études qui montrent le liens entre les bactéries de la bouche et diverses maladies
http://www.aae.org/patients/faqs/rootcanals.htm
un bon schéma de dent mais en anglais.
`
http://www.aae.org/patients/mythsrootcanal/
Le traitement de la polémique sur les dents dévitalisées par l’AAE en disant que c’est un mythe. Le seul problème selon eux est donc que la dent mal dévitalisée donnera un abscès de l’os autour de la dent et qu’alors éventuellement cela pourra se diffuser au reste de l’organisme.
L’éventualité d’une maladie causé par une dent dévitalisée sans abscès de l’os est carrément nié.
http://www.aae.org/patients/faqs/retxsum.htm parle du retraitement endodontique.
Il n’y a aucun mot sur le fait que cela puisse guérir une quelconque maladie à distance.
http://ezinearticles.com/ ?The-Different-Root-End-Infections,-Root-Canal-Infections-Affect-The-Body&id=96512
http://www.drfarid.com/March%202005.htm
Un dentiste canadien d’Otawa qui exerce librement
http//www.drshankland.com/osteocavitation_lesions.html
détails sur les cavitation ou NICO
http://www.dreddyclinic.com/understanding_jawbone_cavitations.htm
les conseils d’une clinique ayurvédique.
http://www.think-aboutit.com/health/BIOLOGICALDENTISTRY.htm
Le site d’un dentiste américain qui prône l’extraction de toutes les dents dévitalisées et qui n’est pas embété par l’ordre professionnel
http://www.sdiegoclinic.com/treatments/dentistry/biological.htm
Une clinique à San Diego aux Etats Unis qui prône l’extraction de toutes les dents dévitalisées et n’est pas empêché d’exercer par la loi.
http://www.worldwidehealthcenter.net/articles-263.html
Un centre de santé par internet prône l’extraction des dents dévitalisées et cite de multiples médecins
http://www.medical-library.net/sites/framer.html?/sites/_cavitations.html
parle des cavitations dues notamment aux dents dévitalisées.
http://www.medicinacomplementar.com.br/temaMAR06.asp
Une association brésilienne de médecine alternative qui prône l’extraction des dents dévitalisées.
http://www.dentalhelp.org/index.cfm?fuseaction=readscan
Ce site parle d’un appareil le cavitat qui permet de diagnostiquer les cavitations dues aux dents dévitalisées notamment. Cavitat est un appareil d’échographie adapté à la bouche.
www.preferrednetwork.com/html/preferred_member_9.htm
un ou plusieurs dentistes américains qui affirment la toxicité des dents dévitalisées
Le procès du 19 Juin 2006
June 8, 2006 on 5:05 pm | In Le procès du 19 Juin | No CommentsLe procès du 19 Juin 2006.
( Après ce texte est mis en Mai 2009 un autre texte, “le problème des juges en France”)
Je suis passé en appel de correctionnelle à Aix-En-Provence le 19 Juin 2006, à 14 heures, pour avoir enlevé plusieurs dents dévitalisées à un patient. Le patient (le fameux patient R.B.) était pourtant lui-même demandeur d’une telle intervention, après certes que je l’y ai encouragé comme je le faisais toujours. Après mon intervention, il est rentré chez lui en Suisse malgré mes recommandations car en pleine phase de cicatrisation difficile. Les dentistes qu’il a vu là bas lui ont alors brossé un tableau catastrophique de son état. Évidemment pour des confrères inconscients de la toxicité des dents dévitalisées, enlever de bonnes dents dévitalisées est une mutilation. Les confrères l’ont convaincu par conséquent que tout cela était une arnaque et qu’en plus mes extractions avait été mal réalisées. Je l’avais averti de ce risque mais pas suffisamment visiblement. J’ai souvent rencontré cette attitude dès qu’un confrère conventionnel pouvait donner son avis sur mon travail surtout si j’avais enlevé ses bonnes dents dévitalisées avec les couronnes qu’il avait placées au dessus. Ces même confrères qui n’ont jamais rien guéri à part les dents (car on apprend rien d’autre en Université) alors que mes soit disant mauvaises interventions ont guéris des centaines de personnes de maladies soit disant incurables. Si vous voulez en avoir un petit échantillon vous pouvez toujours visionner les vidéos du site www.sante-dents.com
Mais quand beaucoup de confrères disent tous la même chose à un patient, il n’est pas évident de croire le seul qui dit le contraire. C’est ce qui s’est passé pour ce pauvre patient qui en plus a été soigné ensuite d’une façon assez discutable. En rajoutant la haine qu’il a nourrie en croyant mes confrères, et des croyances farfelues (que j’analyse dans un autre texte du site), il a eu ensuite quelques problèmes de santé. Mais tout cela n’est malheureusement pas de ma faute car des personnes comme lui et qui ont eu notamment le même tableau post opératoire, j’en ai eu plusieurs et tout s’est bien passé car ils m’ont fait confiance jusqu’au bout et m’ont laissé assurer le suivi post opératoire.
Dans cette affaire, le conseil de l’Ordre m’a déjà condamné à un an d’interdiction d’exercer car il estimait que ces bonnes dents dévitalisées n’auraient pas du être extraites. Ma foi, il aurait pu de même me condamner ainsi au moins plusieurs centaines de fois car j’ai fait la même chose à des centaines de patients pendant presque une dizaine d’années, dont 90% ont été pleinement satisfaits, 5% restent circonspects et 5% regrettent c’est vrai car après coup ils ne voient pas de différence sur leur état de santé alors qu’ils voient qu’il leur manque des dents. Il n’y a pourtant à ce jour aucune autre thérapeutique de maladies graves qui donne autant de résultats positifs. Et pourtant même les 5% de mécontents ont sans le savoir évité divers problèmes de santé. Sur ces derniers 5%, moins de 1% m’ont fait un procès ou se sont plaints. Et à chaque fois ils ont été instrumentalisés par mes confrères de l’Ordre pour bien prouver que j’étais un fou dangereux. N’importe quel statisticien honnête diraient que les fous dangereux sont ces dentistes qui oublient de voir que l’immense majorité des patients qui enlèvent leurs dents dévitalisées, guérissent de maladies toutes plus incroyables les unes que les autres. Et que le vrai miracle est que moins de 1% de gens s’en plaignent dans un tel contexte d’opposition et d’apparences trompeuses (pertes de dents). Mais aujourd’hui, c’est une coalition d’ignorants qui fait le plus entendre sa voix et le procès du 19 juin 2006 n’est que l’aboutissement des voix de cette coalition de l’obscurantisme.
Au début, j’ai mis le texte écrit avant l’audience et à la fin le texte après l’audience. Comme on est après l’audience maintenant, le texte à la fin me semble plus intéressant même si j’ai toutefois laissé celui avant l’audience ici.
Texte avant l’audience.
Ce procès en appel fait donc suite à la condamnation dont je fus l’objet en Mars 2005. Vous pouvez ici consulter un article sur cette affaire, paru dans le journal local.
Cette pratique n’étant selon le Conseil de l’Ordre, pas en accord avec les données acquises de la science. En plus, le patient a été soigné gratuitement (il disait ne pas avoir d’argent mais a fait plusieurs implants au tarif suisse ensuite …), est reparti chez lui en Suisse et n’est pas revenu à ses rendez vous, ni ne m’a même téléphoné, donc n’a pas respecté certaines précautions post-opératoires que j’aurais pu lui rappeler, est resté plus d’un mois sans suivi post opératoire, d’où certains petits problèmes passagers et d’autres plus ou moins imaginaires et dont il se trompe de toute façon sur l’origine, et ment pire qu’un arracheur de dents sur moi notamment en racontant que je l’aurais drogué pour lui arracher ses dents sans son consentement, totalement cru dans son délire malgré des preuves du contraire par des experts qui se sentent probablement remis en question dans leur pratique quotidienne vis-à-vis des dents dévitalisées et qui sont loin d’être experts sur les rapports entre les dents dévitalisées, l’os infecté et la santé. Et enfin il dit après coup avoir été manipulé par une secte démente arracheuse de dents. Les mensonges et les délires que racontent ce monsieur sont énormes mais comme il est soutenu par les experts et le Conseil de l’Ordre, condamnation en première instance à Grasse: Un an et demi de prison applicable si non paiement de 70 000 euros (amende et dommages et intérêts) et interdiction à vie d’exercice.
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Je vais vous expliquer le fond de toute cette histoire conflictuelle de dents dévitalisées avec la profession, bien qu’il soit probable que vous l’ayez déjà comprise. C’est un sujet qui contrarie beaucoup certains de mes confrères, je dois l’avouer et alors, ils aiment bien me faire passer pour un fou dangereux. Alors maintenant, je vais vous donner mon analyse personnelle.
Les dentistes sont loin d’être des scientifiques et leur première motivation est d’abord de faire plaisir à leurs patients. Certains dentistes académiciens qui en France ont eu à donner dernièrement à cause de moi, leur avis sur les dents dévitalisées ont voulu avant tout faire plaisir à la majorité des confrères plutôt que d’aborder avec un esprit scientifique des publications scientifiques. Ils n’ont donc pas soutenu l’approche que j’avais des soins dentaires
Maintenant je vais vous raconter en deux mots mon parcours universitaire pour que vous compreniez un peu mieux ce qui m’a amené à cette démarche originale de soins.
J’ai effectué deux années de préparation scientifique après le bac, intégrées à une école d’ingénieur. Deux années qui m’ont donné de solides bases scientifiques. J’étais admis à continuer en école d’ingénieur, mais j’ai préféré me réorienter vers les études médicales. Après la première année de tronc commun médecine dentaire à l’Université de Nice, où cinq à six cents étudiants se présentent, j’ai réussi major primant, c’est-à-dire major de ceux qui ne redoublaient pas. J’ai choisi dentaire alors qu’à l’époque encore, les meilleurs étudiants allaient en médecine tandis que les plus mauvais faisaient dentaire. J’ai préféré faire dentaire surtout après avoir vu la quantité de travail que mon frère devait réaliser en deuxième année de médecine, alors qu’en plus le petit frère avait une bien meilleure mémoire (il me gagnait toujours largement au jeu Mémory par exemple). Pour les études de médecine, il faut avoir une très bonne mémoire je vous assure et ça n’a jamais été mon point fort.
J’avais en plus déjà fait deux années de préparation scientifique, épuisantes qui demandent beaucoup de travail. De plus j’avais une santé moyenne (à cause surtout de mes dents dévitalisées en bouche, et mon alimentation, mais je ne le compris que plus tard), qui me fit m’intéresser aux médecines naturelles car les traitements antibiotiques fréquents m’épuisaient de plus en plus. Bref, je ne me sentais pas de me lancer dans des études de médecine longues et difficiles, où il faut faire en plus des gardes de nuit. Par facilité, j’ai donc choisi dentaire, mais en plus comme j’allais très souvent chez le dentiste et que je m’étais intéressé à diverses réflexologies (plantaires et auriculaire), j’ai eu l’intuition que la clef de ma santé se trouvait peut-être dans ma bouche, sans en savoir plus que ça.
Avec mon frère qui m’a parlé tous les jours pendant ses études de sa passion, la médecine, et des amis étudiants, nous avons organisé en parallèle avec nos études, et pendant cinq années, une école privée pour les étudiants de Nice, pour les préparer efficacement et à peu de frais (à côté d’un cours privé très onéreux), au concours de fin première année de médecine dentaire. Cela s’appelait les « Concours Blancs Major », 400 étudiants y participaient et j’y étais responsable des matières scientifiques. J’ai enseigné en plus en parallèle, la biochimie dans une école privée qui préparait à ce concours de première année, à qui nous faisions d’ailleurs aussi concurrence avec nos Concours Blancs Major.
Peut-être que tout cela m’a aidé à mieux comprendre les travaux scientifiques, notamment du biochimiste Boyd Haley, sur la toxicité des dents dévitalisées.
En fin d’étude, j’ai été primé par le Conseil National de l’Ordre à Paris, à un concours de déontologie médicale organisé au niveau national pour récompenser le sens éthique des étudiants. Dans l’histoire de la fac de Nice, c’était arrivé une seule fois avant moi qu’un étudiant soit primé, à l’époque où j’ai passé ce concours.
Après avoir compris le problème des dents dévitalisées, mon sens éthique, reconnu par l’Ordre national si je puis dire, me dictait d’informer sur ce sujet que j’estimais éminemment important pour la santé publique. J’écrivais des articles, et je faisais tellement de prosélytisme qu’un jour j’ai même distribué des prospectus à mes collègues dentistes. Cela pour tenter de les sensibiliser au sujet, et qu’ils prennent ainsi conscience du sujet. Un sujet que d’autres dentistes connaissaient mais dont ils se gardaient bien de parler ouvertement. J’étais vraiment crédule de penser que c’était une bonne idée d’agir ainsi. J’ai même tenté d’organiser un symposium sur la toxicité des dents dévitalisées. Je l’avais d’ailleurs intitulé Symposium sur la toxicité relative des dents dévitalisées. Cela a déclenché un peu de remous. Un médecin a été convoqué par son ordre et lui a fait des menaces. Un dentiste aussi s’est désisté et a aussi été convoqué pour intimidation par l’Ordre, et un enseignant de l’université n’a pas osé s’y exprimer de peur d’avoir des problèmes. Il en avait déjà un peu eu auparavant.
Bref mon histoire de dents dévitalisées avec la profession dentaire en France, et notamment dans les Alpes Maritimes, c’est un peu l’histoire d’un conflit sur la façon de concevoir la dentisterie. Ce sont deux visions qui s’opposent. L’une veut conserver les dents à tout prix et l’autre veut conserver la santé à tout prix. Je ne prétends d’ailleurs pas qu’une vision soit meilleure qu’une autre car certaines personnes peuvent considérer que de perdre des dents et avoir un dentier (une prothèse partielle amovible) est ce qu’il y a de plus horrible dans la vie, et préfèreront plutôt alors avoir une santé médiocre. Mais la vision que je défends, celle de faire passer la santé avant tout me semble tout aussi respectable. Pas mieux mais aussi respectable et juste plus en accord avec ma sensibilité car moi-même, ai eu à souffrir de problèmes de santé à cause de dents parfaitement dévitalisées et personnellement l’idée du dentier ne me posait aucun problème. Mais le problème est que les partisans de la vision de tout faire pour conserver les dents ont utilisé la science comme paravent à ce que plus tard on appellera très certainement un abus de pouvoir aux conséquences immenses sur la santé publique. Et cela ne me semble pas honnête. Ce n’est pas parce qu’ils parlent tous d’une même voix et sont au Conseil de l’Ordre qu’ils détiennent la vérité. Malheureusement pour eux, la vérité est plus proche de l’investigation scientifique que du vote démocratique ou des hiérarchies de la profession telles que celles qu’on trouve dans le conseil de l’Ordre. Et malheureusement pour moi, l’union fait la force même si c’est peut-être l’union de l’ignorance et du côté obscur de la force. Excusez moi ce langage un peu irrespectueux, mais n’oubliez pas que ces gens que je traite aujourd’hui ainsi, m’ont enlevé du jour au lendemain ma profession (j’ai du abandonner mon cabinet dentaire le jour même où j’ai ouvert le courrier de la décision du Conseil National de l’Ordre, sans même pouvoir finir de soigner mes patients en cours). Après qu’ils m’aient au préalable interdit un an, à 41 ans, j’ai été interdit d’exercer « à vie », au prétexte que ce que je faisais n’était pas en accord avec les données acquises de la science. Autant de jugements entachés d’un manque évident d’impartialité tout autant que des expertises malveillantes qui ne visent en fin de compte qu’à conforter les pratiques des dits experts ou de leurs amis. Le plus grand danger est que des juges à priori impartiaux, ne fassent qu’entériner de telles décisions ordinales ou de telles expertises, en se laissant influencer par des apparences, sans réfléchir par eux-mêmes. Les avocats ont l’habitude de dire que ce sont en fait les experts qui déterminent le jugement et qu’ensuite les juges ne font que suivrent les experts. Des juges influencés aussi par leur propre dentiste en qui ils font toute confiance, et qui avec son assurance pleine de (soi disant) connaissances, leur dira que tout ça ce n’est que des bêtises et que les dents dévitalisées qu’il produit ne font aucun mal à l’organisme. C’est tout à fait ce qui s’est déjà produit en premier instance et pourrait très bien se reproduire en appel. Et cela risque d’autant plus de se produire que vous resterez sans rien faire pour renforcer cette information qui n’est encore en France, qu’au stade embryonnaire. Une information qui bien plus que beaucoup d’autres comme vous le constaterez lorsque vous prendrez connaissance de l’intégralité des informations contenues sur ce site et notamment les vidéos, est cruciale pour la santé de millions de personnes en France. Et ce n’est pas parce que je suis dentiste que je l’affirme car plusieurs médecins l’affirment aussi et non des moindres. Des médecins qui sont connus pour guérir bien des pathologies inguérissables par ailleurs.
Pour excuser encore une fois ma qualification injurieuse d’ignorants, imaginez vous aussi à 41 ans, non seulement être au chômage, sans aucune indemnité de licenciement ni aucune allocation chômage, sans un sou d’économie mais juste diverses dettes (je n’ai pu vendre mon cabinet à la pratique originale dans la précipitation de l’interdiction d’exercer), et qu’en plus on vous empêche de retrouver un emploi, alors que vous redonniez chaque jour la santé à des personnes, en enlevant des dents dévitalisées. Des personnes malades qui avaient essayé de multiples autres choses avant et qu’en plus tous les scientifiques qui se sont penchés sur le sujet vous confirment que votre démarche est éthique. Je suis presque sûr que vous utiliseriez un terme encore plus injurieux qu’ « ignorants». Mais je veux bien aussi assumer un terme pire pour moi-même car il fallait vraiment aussi que je sois d’une crédulité incroyable pour distribuer des prospectus sur la toxicité des dents dévitalisées à mes collègues, en pensant qu’ils pourraient ainsi remettre en question leur pratique. Lorsqu’un jour, un patient manipulé par des dentistes conventionnels est venu se plaindre, il est devenu l’outil idéal pour me détruire professionnellement. Mes collègues de l’Ordre ont pu alors me faire passer pour un fou qui mutilait les patients en désaccord avec la science, en leur enlevant de bonnes dents, pour soi disant m’enrichir en faisant ensuite des prothèses. Évidemment les dizaines de patients guéris de choses et d’autres en enlevant simplement des dents dévitalisées apparemment saines, ne les intéressaient nullement.
Il était donc presque normal qu’à mon tour et par ce texte, je vous démontre aujourd’hui que ces mêmes personnes, qui prétendent aujourd’hui qu’en soignant ainsi, je ne suis pas en accord avec la science, ne sont en rien de brillants esprits scientifiques mais en fait les défenseurs d’une vision de la dentisterie et d’une vision seulement qui bien que respectable elle aussi ne peut prétendre être la seule vision à avoir le droit d’exister. Ce serait alors une forme d’intolérance aux retentissements importants pour la santé publique.
J’avais bien demandé au Conseil de l’Ordre, qu’une véritable commission d’enquête indépendante du milieu dentaire, composée de vrais scientifiques, se penche sur ce sujet et étudie les publications scientifiques sur les dents dévitalisées. Mais ils s’en sont bien gardés évidemment, car ils auraient eu trop peur que des conclusions dérangeantes puissent en émerger.
En tout cas, voilà comment quelques personnes d’une institution qui a sa raison d’être par ailleurs, le Conseil de l’Ordre, ont essayé en France, de tuer une idée pleine d’espoir pour la santé de millions de personnes, dans le pays européen qui est aussi celui qui possède le plus de dents dévitalisées, le moins de dentistes qui enlèvent des dents dévitalisées, mais aussi le plus de consommation de médicaments, le plus de malades et le plus de cancers comme par hasard, et où la couronne sur dent dévitalisée est l’acte le plus rentable remboursé par la sécurité sociale, les mutuelles et la CMU.
Cette histoire de dents dévitalisées dépasse complètement la profession dentaire, notamment en France. Et par la teneur scientifique des données qui prouvent la toxicité biochimique et microbiologique des dents dévitalisées sur le reste de l’organisme, et par le caractère évidemment culpabilisant de toutes ces données pour des dentistes qui ont dévitalisé des dents toute leur vie et ont surtout gagné de l’argent en mettant ensuite de couronnes dessus. Voire même, en dévitalisant des dents parfaitement saines pour y placer plus facilement des bridges dessus, ce qui est une pratique inconsciente encore courante dans la profession. Même si, j’aurais donc des raisons d’en vouloir à certains collègues, je sais aussi que je ne peux leur en vouloir. En effet je comprends que si ce sont très certainement d’honnêtes personnes sincères, ils sont aussi scientifiquement parlant, et médicalement parlant, des gens dépassés par toute cette histoire de dents dévitalisées. Une histoire qui les propulse sans même qu’ils s’en rendent compte, au cœur d’une affaire médicale d’empoisonnement gigantesque pour la santé de millions de personnes. Même si je suis d’accord pour reconnaître évidemment que la dent dévitalisée fait plaisir aux patients et leur rend aussi des services en leur évitant l’extraction, la dent dévitalisée est très probablement une des principales causes de maladies graves et de cancer, au moins aussi importante que les causes psychologiques, la pollution, l’amiante, les pesticides, les erreurs alimentaires, le tabac et l’alcool. Moins grave toutefois que la pollution radioactive due à l’explosion d’une centrale nucléaire, qui persiste pendant des millions d’années. Mais qu’y a-t-il de plus grave pour la santé que la radioactivité, même si on l’utilise paradoxalement pour traiter les cancers…
La population, un jour, sera à même de comprendre facilement tout cela car la dent dévitalisée n’est pas juste une petite cause de maladies comme il en existe de nombreuses. Elle intervient souvent comme cofacteur déterminant dans de toutes les pathologies de notre civilisation. Par conséquent, de plus en plus de médecins prendront aussi conscience que les dentistes leur seront indispensables pour les aider à traiter les maladies graves en éliminant les sources d’empoisonnement que d’autres dentistes auront mis en bouche pour garder envers et contre tout les dents et pour faire plaisir à une population peut-être inconsciente des conséquences de tels actes.
Une nouvelle branche de la dentisterie (la dentisterie holistique pourrait-on l’appeler) se développera alors chez les dentistes, un peu comme est apparue la parodontologie (le traitement des maladies dues au tartre), il y a déjà quelques années. Mais aussi incroyable que cela puisse paraître, cette branche sera en fait probablement, au 21ème siècle, la spécialité médicale qui possèdera le plus la capacité de guérir les patients atteints d’affections médicales (et non dentaires), graves lorsque les autres traitements auront échoués. Et ce n’est pas moi qui l’affirme mais des médecins qui l’ont constaté sur des milliers de patients. En effet, lorsque j’ai discuté avec le Dr Rau en Suisse, dans la clinique Paracelsus, chez qui je suis allé passé une semaine pour apprendre leurs techniques particulières, voici ce qu’il m’a avoué. « Dans les pathologies graves, si on ne fait pas enlever les dents dévitalisées, toutes nos autres techniques médicales sont négligeables et cela dans tous les domaines ». La clinique Paracelsus est très orientée médecines naturelles et est connue internationalement (dans un milieu assez aisé notamment car les prestations sont assez onéreuses) pour guérir des cas inguérissables selon la médecine conventionnelle. La clinique Paracelse a vu passer des milliers de patients. Cela confirmait ce que me disait le Dr J.G.Thomas de Grasse qui s’intéressait aussi au même sujet, pour lequel les patients venaient de partout en France, pour guérir des cas dits inguérissables, tout comme feu le Dr Davo Koubi, chirurgien dentiste, le faisait jadis à lui tout seul dans son cabinet dentaire en n’intervenant que sur les dents et en obtenant des résultats surprenants sur des pathologies qui avaient résistées aux traitements conventionnels.
Texte écrit après l’audience.
Récapitulatifs des audiences dans l’affaire M. R.B. contre le Dr Bruno Darmon.
Le premier procès à Grasse avait été somme toute assez classique. Le juge se moquait de moi. Pour qui me prenais-je donc ? Un Gallilé des temps modernes qui croit avoir raison sur toute l’institution. Et puis si le Conseil de l’Ordre m’avait condamné et qu’un expert avait confirmé que cette théorie très personnelle au Dr Darmon n’était en rien scientifique, je n’allais pas moi et mon petit diplôme le convaincre du contraire et les témoignages de patients guéris venus à la barre n’y changèrent rien, ni les dossiers qui confirmaient mes dires. Ma foi, il avait une certaine logique même si il était évident qu’il ne voulait pas voir que le Conseil de l’Ordre avait beaucoup de chance de ne pas être impartial dans cette histoire.
Dans la seconde audience du 19 juin, il m’a semblé ce fut très différent comme vous allez le voir en lisant mon histoire.
J’avais un peu mieux préparé ma défense que la première fois. Je n’avais informé aucun patient de venir me soutenir, leurs attestations suffisaient. Inutile de trop en faire car le temps est court parait-il en appel de correctionnel.
Quatre professionnels étaient là.
Pour l’appel, il fallait que je me décarcasse un peu plus, notamment en faisant venir témoigner des personnes un peu importantes dans le domaine scientifique et dentaire.
C’est ce que je fis
-Un prof. de fac de science, un physicien, qui s’était penché sur le sujet en scientifique et avait réalisé un petit dossier avec des publications scientifiques prouvant qu’aucune dent dévitalisée ne peut être considérée comme saine et donc qu’il n’est pas fou de proposer ou d’accepter de les enlever. Il comparait la dent dévitalisée à une petite pollution radioactive. Il témoignait qu’il avait aussi fait un site internet pour diffuser cette idée qu’un directeur de Recherche Honoraire au CNRS, biologiste, soutenait aussi d’ailleurs.
-Un dentiste qui avait vu le patient après mes extractions et qui l’avait trouvé dans un état normal de patient ayant subi des extractions multiples.
-Un ancien spécialiste d’endodontie qui avait fait mille kilomètres pour venir témoigner, le Dr Crussol, qui s’était penché sur les études scientifiques mondiales sur le sujet et était bien au courant de tout ce courant qui aux Etats-Unis prône l’extraction systématique des dents dévitalisées. Il informa la Cour, des études médicales réalisées sur le sujet jadis à la clinique Mayo aux Etats Unis. La seule grande étude médicale au monde sur le sujet de la toxicité des dents dévitalisées, réalisée de façon très scientifique en plus. Le Dr Crussol avait en plus donné des cours sur ce sujet à des présidents de Conseil de l’Ordre et avait en conclusion qu’ils ne voulaient rien savoir sur ce sujet qui remettait trop en question leur exercice.
-Il y avait enfin un expert professionnel auprès de la Cour d’Appel, le Dr P., dont la profession était justement d’effectuer des expertises. Il démontra bien que certes M. R.B. avait eu toute une ribambelle de conséquences fâcheuses après les interventions mais que cela ne pouvait m’être imputé. M. R.B. s’étant en effet non seulement soustrait aux soins post opératoire, et avait même selon le dentiste qu’il avait consulté juste après moi, refusé tout traitement antibiotique. Pendant un mois il avait laissé se développer une infection avant de commencer à être vraiment pris en charge et on avait fermé sa petite communication avec un simple lambeau de gencive, mais un an et demi plus tard.
Bref tout ce qui lui était arrivé ensuite n’était pas la faute du Dr Darmon. Son attestation est mise à la fin de ce texte en annexe.
En face de moi, il y avait une procureur qui semblait très tolérante. Selon elle ma foi, si les patients sont d’accord pour faire enlever leurs dents dévitalisées, pourquoi pas ? Selon elle, « si les gens ont un cancer et veulent se soigner par les plantes et mourir parce qu’ils refusent leur chimiothérapie, c’est leur droit », personne n’a à être condamnés ici. C’était déjà une marque de tolérance vis à vis de la phytothérapie à la limite. A la limite aussi, dans sa logique si les gens voulaient même se faire enlever toutes leurs dents vivantes en parfait état car ils préféraient un dentier, pourquoi pas. Rien n’était condamnable ici dans la mesure où tout le monde était d’accord et que ça se passait bien. C’était une grande tolérante en quelque sorte. Personnellement si un patient était venu me voir pour enlever des dents en parfait état que j’estimais ne pas devoir enlever, je me serai senti coupable de le faire et j’aurais refusé, même si c’est mon patient qui me le demandait. Mais ce n’est que mon avis ma foi. Le seul petit problème pour elle, était ici que ça ne s’était pas bien passé ensuite. Donc le fait d’enlever des dents que l’institution considérait bonne ne lui posait à elle à la limite pas de problème. C’était très étonnant car c’est sur ce point que l’Ordre principalement m’avait condamné et c’est bien pour cela qu’on considérait que j’avais en quelque sorte mutilé mon patient. C’est d’ailleurs uniquement pour cela que l’expert, le Prof. B., avait estimé que Mme L., la copine de M R.B. avait aussi été mutilée alors qu’elle n’avait eu aucun problème post opératoire. Mais pour la procureur ce n’était pas vraiment le problème. Le problème était tout ce qui était arrivé ensuite au patient. Et visiblement nous ne sommes pas arrivés à lui faire accepter qu’il y avait certes une relation entre mon intervention et ce qu’il lui était arrivé ensuite mais que cela n’était pas de ma faute mais plutôt à la négligence du patient après l’intervention. Il y a une différence entre “après que” et “à cause de “. Quant-à l’éventualité d’aborder des notions assez subtiles comme “il a vécu sa croyance” ou d’autres choses tout aussi subtiles, il n’était même pas question de les aborder ici. S’en eut été trop.
Quant au président du tribunal, une brave dame d’un certain age, qui avait l’air vraiment gentille d’ailleurs. Elle aussi le problème n’était pas vraiment d’enlever des dents dévitalisées ou non. Le problème semblait surtout d’en avoir enlevé sept d’un coup et à une heure tardive et aussi comme la procureur, qu’ensuite le patient ait eu divers problèmes. Il lui paraissait en plus totalement farfelu que d’enlever de telle dent puisse soigner quoique ce soit et il lui semblait dès le début très raisonnable que le conseil de l’Ordre m’ait interdit à vie pour faire croire cela aux patients. Je lui demandais d’ailleurs si elle voulait entendre notre défense où si j’étais déjà condamné dès le début. Puis sans lui laisser le temps de répondre, on ne sait jamais, je lui suggérais d’écouter les divers intervenants avant de me juger.
Afin de bien montrer le comportement partial du Conseil de l’Ordre à mon égard, je lui contais qu’il m’avait jadis condamné à trois ans d’interdiction d’exercer juste pour avoir envoyé un courrier à un psychiatre pour l’informer que j’avais observé que des patients n’avaient plus envie de se suicider après avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. « Alors comme ça vous enlevez des dents et hop, ils ne sont plus dépressifs » (sous entendu à qui voulez vous faire croire cela, Monsieur le Charlatan).
Actuellement un professeur de psychologie assez connu et qui a écrit un best seller, a beaucoup de succès en expliquant qu’il améliore des dépressions avec une technique qui consiste à faire fixer par le patient un objet qu’il oscille de droite à gauche. Une technique qu’il appelle l’EDMR je crois. Heureusement pour lui, qu’il ne doit pas passer entre les mains de ma brave dame juge.
Au lieu de trouver le Conseil de l’Ordre un peu sévère en m’interdisant trois ans pour un simple courrier, cette brave dame trouva dès le début que le Conseil de l’Ordre protégeait ainsi très bien la population d’un charlatan qui prétendait enlever des dépressions suicidaires en enlevant simplement des dents dévitalisées. La simple idée que ce put être vrai ne sembla même pas pouvoir l’effleurer. Je compris dès le début que la tâche serait rude voire impossible.
Et en plus quelqu’un qui enlève sept dent à la fois, là elle m’aurait condamné tout de suite à la perpétuité d’interdiction d’exercer. En fait le Conseil de l’Ordre avait somme toute été assez indulgent en ne me condamnant qu’à un an d’interdiction d’exercer.
Car c’était là tout le problème pour elle. Elle s’imaginait qu’enlever une dent c’était déjà dur à supporter, mais sept à la fois, ma bonne dame, voyez vous ça ? Et en plus sans assistante et à une heure tardive, comme le précisait bien l’expert pour qui cela ne semblait pas conforme aux bonnes pratiques. Pour elle c’était surtout cela le problème. J’aurais enlevé dix bonnes dents dévitalisées en dix fois, en matinée, cela n’aurait posé aucun problème pour cette brave dame juge, je vous assure. Mais sept en même temps à une heure tardive, alors là c’était condamnable.
On lui expliqua que les extractions multiples ne sont certes pas une pratique très courante dans les cabinets dentaires mais existent (des attestations en attestait d’ailleurs). Mais rien ne sembla pouvoir influer sur son opinion sur le sujet et la simple idée de se faire enlever autant de dents lui était insupportable. L’expert lui-même avait confirmé que de faire cela sans assistante ne relevait pas des règles de l’art. Plus de la moitié des praticiens français travaillent sans assistante donc s’ils ont des extractions multiples à faire, et qu’ils le font, ils sont donc condamnables selon cette brave dame.
Bref, dans cette audience et on oubliait que tout le problème était ou non:
1/ Est-il condamnable d’enlever des dents dévitalisées apparemment bonnes à un patient qui le demande.
2/ Est-il condamnable d’assumer des conséquences post opératoires si le patient se soustrait aux soins alors qu’après les soins il était dans l’état normal d’un patient ayant subi des extractions multiples.
3/ Est-il condamnable de faire des communications bucco-sinusales.
La réponse à la question 3 était bien sûr non, tous les spécialistes qui enlèvent des dents soudées à l’os savent que cela peut arriver et se gère très bien.
La réponse à la question 2 avait été agglomérée dans l’expertise pour dire que j’étais condamnable.
Selon le juge, l’expert nommé par le tribunal, ne pouvait qu’avoir raison. Même s’il ne m’avait jamais entendu ni convoqué, et avait pris pour argent content tout les dire du plaignant même les plus rocambolesques. Le plaignant qui nous ré-expliqua que je l’avais drogué, que j’avais trahi le serment d’Hippocrate et d’autres choses sans aucun rapport avec le sujet.
Le plaignant R.B. nous fit un numéro qui relèva plus de l’art dramatique que du témoignage de faits. Disant qu’il avait fallu prendre de l’os de son os pariètal du crâne pour reconstituer le bon os que j’avais enlevé comme un boucher (en fait, ses greffes d’os avaient uniquement été réalisées pour faire des implants, ce qui se fait souvent en implantologie, mais s’il avait réalisé comme prévu des prothèses amovibles avec des dents en céramique qui nécessitent un peu plus de hauteur que les dents en résine, il n’y aurait eu aucun besoin de greffes d’os, la communication bucco sinusale ayant été fermée par simple lambeau de gencive). Et les dames juges et procureurs qui l’écoutaient était sous son charme et le plaignaient car il parait qu’il ne pouvait plus chanter car ses cordes vocales s’étaient infectées.
Il était effectivement à plaindre mais le problème était que ce n’était pas à cause de moi mais de tout un ensemble de circonstances auxquelles j’étais étranger (sa haine, ses choix et le suivi post opératoire très discutable) et que c’était le sujet des débats puisque c’était mon procès.
Il demandait un million 600 milles euros de dommages et intérêts car il fallait rembourser les implants faits au tarifs suisse plus tout le manque à gagner professionnel car bien sûr depuis il ne pouvait plus travailler. Au début de l’histoire il nous avait raconté qu’il n’avait pu prendre ses antibiotiques car il n’avait pas assez d’argent pour les payer car en Suisse ce n’était pas remboursé puis ensuite que sa carrière florissante avait été brisé à cause de moi. C’était donc vraiment du n’importe quoi, mais plus c’était gros et plus cela avait l’air de marcher sur les dames juges et procureur. Mon avocat a expliqué ensuite que tout cela était un délire du plaignant mais ne réussit pas à convaincre le tribunal tombé sous le charme du plaignant qui parlait tellement bien même si ce qu’il disait était du n’importe quoi et était en contradiction totale avec les faits.
Le procureur reconduisit les réquisitions de la première condamnation disant qu’il n’y avait aucun doute de causalité entre mon intervention et les problèmes ultérieurs que ce pauvre Monsieur avait subi et le président du tribunal remis sa décision au 9 Octobre. Comme je n’avais jamais eu de condamnation auparavant et que les dames juges et procureur avaient à l’évidence du cœur, elles n’évoquèrent pas le fait de donner de la prison ferme, mais ma culpabilité ne faisait aucun doute pour elles m’a-t-il semblé. Le Conseil de l’Ordre et l’expert me condamnait d’ailleurs, ce qui était bien la preuve de toute façon que j’étais coupable.
Si la Cour m’avait jugé dans l’instant, je n’ai aucun doute qu’elle m’aurait condamné à être interdit d’exercer et aussi à un an et demi de prison avec sursis. Des années à faire des études, à approfondir mes connaissances, à guérir des centaines de personnes inguérissables et hop en un claquement de doigt, à nouveau interdit d’exercer parce qu’un comédien nous fait un numéro en disant des bêtises auxquelles il croit d’ailleurs sincèrement puisqu’on les lui a soufflé dans l’oreille et qu’un expert officiel le croit totalement, surtout que ça l’arrange bien car je remets en question un dogme.
Pour la procureur pourtant, le problème était non pas que j’avais enlevé des dents dévitalisées qui n’aurait pas du l’être mais que j’en avais enlevé sept d’un coup à une heure tardive et qu’ensuite le patient avait eu tant de problèmes.
Que voulez vous que je puisse répondre. Des gens venait me voir de partout et à chaque fois je leur enlevais de très nombreuses dents très rapidement pour leur éviter de multiples aller retour et concentrer les actes pour pouvoir plus rapidement effectuer des prothèses comme cela se fait souvent. C’était d’ailleurs aussi ainsi pour ce Monsieur Suisse. Mais pour sa bouche, la juge ne pouvait concevoir qu’on puisse le faire.
Et ceux qui venaient dire le contraire ne pouvaient être que des amis, donc ils ne pouvait être impartiaux, fussent-ils prof de fac de sciences, expert professionnel auprès de la Cour d’Appel, spécialiste d’endondontie ayant donné des cours d’endodontie à divers présidents du Conseil de l’Ordre et dentiste qui avait vu le plaignant quelques jours après et attestait qu’il se portait très bien à l’époque et ne se plaignait pas de ce qu’il avait subi.
L’expert de l’affaire nommé par le tribunal, lui était impartial même s’il ne m’avait jamais entendu et avait cru comme une vérité tout ce que lui avait raconté M R.B. et que l’avocat prouvait facilement que ce fut des délires que rien ne prouvait et même que certains éléments pouvaient être prouvés comme étant des mensonges flagrants. Mais rien n’y faisait
Le plaignant avait charmé la juge et la procureur.
Contre la méchanceté, on peut faire et le pire des méchants peut parfois changer quand il comprend mais là, que voulez vous faire. La présidente du tribunal n’était même pas méchante, tout comme la dame procureur d’ailleurs, c’était même à l’évidence deux braves dames mais deux braves dames qui en plus avaient du coeur car comme je n’avais jamais eu de condamnation, même si j’avais fait selon elle quelque chose d’assez condamnable, elle ne voulaient que me mettre du sursis. Mais voilà selon moi, j’avais l’impression qu’elles n’avaient pas les qualités intellectuelles requises pour siéger dans la cour d’un tribunal, d’appel en plus.
Et c’est là tout le problème de la justice française. Il ne sert à rien de vouloir réformer les institutions tant qu’on ne changera pas le recrutement des juges et des procureurs. Des gens qui sortent d’une petite école, celle de la magistrature, et à qui on remet des pouvoirs d’une importance phénoménale pour notre société alors que leurs capacités intellectuelles à l’évidence ne sont pas à la hauteur d’une telle responsabilité. L’exercice du jugement n’est pas une fonction administrative comme une autre. D’ailleurs dans la bible, il est inscrit « tu ne jugeras pas ». Il y a probablement une raison à cela car le jugement peut plus que beaucoup de chose détruire une société. Et pourtant notre société se comporte avec le jugement comme si c’était une action administrative comme une autre en la remettant, non pas aux personnes qui ont prouvé des capacités intellectuelles bien supérieures à la moyenne comme par exemple, les personnes sortant des grandes écoles, les personnes élues par le peuple (ce qui se fait aux Etats-Unis par exemple), les personnes qui ont prouvé dans leur vie qu’elles avaient eu un comportement exemplaire, notamment dans la justice comme cela se fait en Angleterre. Ce sont juste des exemples qui me viennent comme ça. Eh bien non, notre société française remet le pouvoir suprême de juger à des personnes qui ont réussi un petit concours administratif somme toute assez banal, pas plus côté qu’un IUT ou qu’un BTS et assez mal payé de telle sorte qu’il n’y a pas foule d’ailleurs pour le tenter et que n’importe quel bachelier ou presque peu réussir.
Et après ça n’allait pas chercher plus loin pourquoi des affaires d’Outreau vous en trouverez à la pelle en France. Et cela détruit notre société plus que beaucoup d’autres choses. Et c’est là tout le problème car leurs jugements reviennent à de la loterie tintée d’émotionnel la plupart du temps. Comment voulez vous donc que des choses éminemment graves et déterminantes pour l’avenir de notre société soient jugées par de telles personnes. Les prisons sont pleines d’innocents, j’en suis maintenant convaincu. Et je comprends aussi pourquoi c’est en France que les médecines alternatives sont le plus persécutées. Les juges français suivent les recommandations d’experts d’une médecine qui se délecte à tuer la concurrence notamment la naturopathie avec une facilité déconcertante, en la faisant passer pour du charlatanisme auprès de juges qui n’ont pas les capacités intellectuelles pour comprendre que tout cela revient plus à une guerre de chapelle qu’autre chose. Ils sont ainsi manipulés car ils n’arrivent pas à avoir une vision globale sur le sujet. Et on ne peut les en blâmer car le sujet est très complexe et il est si facile de faire passer qui on veut pour un fou dangereux quand on étale des titres universitaires auprès de juges qui ne peuvent qu’en être impressionnés.
Et ce système, c’est notre société qui l’a mis en place elle même. Il a des conséquences qu’on aurait du mal à imaginer. Pour rester dans le domaine médical par exemple, la compagnie d’assurance des médecins ne peut plus assurer certaines spécialités car les juges donnent des indemnités faramineuses dès qu’un patient se plaint dans certains domaines. La mort ou la quasi mort de la médecine naturelle en France en est une des conséquences aussi. Mais je sais que peu de personnes en ont conscience car ils croient que la médecine naturelle ne se résume qu’à l’ostéopathie et l’homéopathie.
Ce genre de folie de justice rend ensuite la société incapable de corriger éventuellement d’autres folies qui pourraient passer en face des juridictions. Des folies que le jugement aurait alors éventuellement pu corriger en dernier recours, s’il avait été remis à des personnes qui auraient eu à l’évidence plus de bon sens que le citoyen de base. Et ça fait des affaires d’Outreau à la pelle.
Ici, dans mon cas, une information dont dépend la santé de millions de personnes va peut-être encore être condamnée en me condamnant à la prison et en m’empêchant d’exercer en France, tout simplement parce qu’un juge trouve émotionnellement trop insupportable de se faire enlever sept dent à la fois et qu’un procureur n’arrive pas à comprendre que ce qui est arrivé ensuite au patient, n’était pas de ma faute puisqu’il s’était soustrait à tout contrôle post opératoire pendant une certaine période et n’a nourri que de la haine à mon égard, alimenté par toute une série de manipulations de mes confrères de dentisterie conventionnelle que le plaignant a cru sans aucun discernement. Et le tout mis en plus à sa sauce délirante.
Il n’y a plus qu’à en rire…. Et c’est donc soit l’assurance du corps médical qui va enrichir ce Monsieur, soit les contribuables français à travers un système d’indemnisation des victimes mis en place par notre état. Et cela même pour de riches suisses qui ont les moyens de faire huit implants au tarif suisse, ce que seule une infime quantité de personnes en France auraient eu les moyens de faire. Un système mis en place quand les condamnés comme moi sont insolvables. Et je parie à cinq contre un que c’est ce qui va arriver s’il n’y a pas un miracle. Mais comme je crois aux miracles, tout est possible…
Et vous chers confrères de l’assurance médicale ou chers contribuable, selon le choix du juge, en plus vous allez payer d’une certaine façon, le riche Monsieur Suisse qui aura réussi à se faire passer pour la victime d’une secte démente des arracheurs de dents, comme il le dit sur son site internet. Car moi de toutes façons, je n’ai pas les moyens de le payer.
Dans la convention internationale des droits de l’homme il est inscrit que chacun a le droit d’être jugé par un tribunal impartial. Mon tribunal était impartial ici cela ne fait aucun doute car ces juges contrairement à ceux du Conseil de l’ordre n’avaient pas dévitalisé des dents saines toute leur vie pour faire des bridges. Mais il faudrait sans aucun doute rajouter en plus à la Convention des droits de l’homme : Par un jury qui aura en plus fait la preuve d’une façon ou d’une autre qu’il avait un peu plus de bon sens et de capacités intellectuelles que le citoyen moyen qui arrive à réussir un petit concours administratif de seconde catégorie, ce qui est le cas de tous nos juges en France. Et alors on évitera bien des drames dans notre société.
Mais bon en attendant, on fera avec.
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Annexe : L’expertise d’un expert qui a daigné m’entendre avant de rendre ses conclusions (contrairement à l’expert sur lequel s’est basé toute la procédure correctionnelle) et que j’ai certes payé pour cela. J’ai supprimé les noms des experts diligentés par le tribunal ainsi que celui-ci, car il ne s’agit pas de blâmer ici qui que ce soit ni de faire de pressions sur qui que ce soit parce qu’il m’aurait soutenu. Je précise que quand cet expert relate des faits ils peuvent être prouvés.
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Docteur P.
CES National de Médecine Légale
DU de Réparation du Dommage Corporel
DU de Traumatologie Sportive
Expert près la Cour d’Appel
Je soussigné, Docteur P. , médecin légiste, expert près la Cour d’Appel, certifie avoir pris connaissance, à la demande de Monsieur DARMON Bruno, de différents documents médicaux dont 2 rapports d’expertise réalisés le 09/02/2001 par le Professeur B. et le 08/12/2005 par le Dr A..
- La lecture de ces différents documents amène plusieurs commentaires -
1°- Concernant le consentement éclairé du patient :
- Avant les extractions dentaires multiples du 19/03/1997, le patient avait discuté à plusieurs reprises avec le Dr DARMON et l’avait consulté le 17/03/1997 pour mise en place d’un pansement provisoire.
- Le Dr DARMON n’avait pas manqué de lui faire part de ses théories et il apparaît évident que lors de la séance du 19/03/1997, il avait donné son accord pour les extractions multiples de dents dévitalisées.
- Le 17/03/1997, le Dr DARMON a réalisé des empreintes ; c’était bien dans le but de mettre en place des prothèses amovibles.
- La notion d’état semi comateux qui aurait altéré ses facultés de décision apparaît peu crédible compte tenu de l’utilisation d’une anesthésie locale ; il était toujours possible d’arrêter les extractions.
- La confiance que le patient portait au Dr DARMON semblait peu altérée puisqu’il l’a reconsulté pour une nouvelle extraction le 28/03/1997 (ce qui n’apparaît pas dans le rapport du Dr A).
2°- Concernant l’absence de suivi post-opératoire :
Le patient a reconsulté sans difficulté le Dr DARMON le 28/03/1997, soit 9 jours après les extractions multiples. D’autre part, il a été averti de l’existence de communications bucco-sinusiennes qui auraient été prises en charge s’il n’avait pas regagné la SUISSE rapidement.
2° - Concernant les complications :
- Il est fait état de complications hémorragiques et de « saignements majeurs ».
Nous noterons que le patient n’a pas fait appel à un médecin en urgence et n’a pas été hospitalisé. A notre connaissance, il n’a pas été prescrit de traitement ni de bilan de l’hémorragie.
- Concernant les complications infectieuses de la communication bucco-sinusienne, il est noté dans le certificat du Dr F. du 22/03/1997, que le patient a refusé un traitement antibiotique.
Un scanner réalisé le 16/04/1997, soit 3 semaines après les extractions montrait une polysinusiste surtout maxillaire. Cette constatation devait requérir dans un premier temps une antibiothérapie adaptée puis, en fonction de l’évolution, une prise en charge chirurgicale de la sinusite et une fermeture de la communication bucco-sinusienne.
Cette intervention n’a eu lieu que le 03/07/1998 soit 15 mois après les extractions. C’est ce retard de prise en charge des complications qui est responsable des troubles phoniatriques allégués mais également des manifestations anxio-dépressives liées à la chronicisation des problèmes infectieux.
En conclusion :
- Il n’est pas possible de retenir l’absence de consentement éclairé. Il apparaît bien que le patient était en accord avec la théorie du Dr DARMON qui consistait à pratiquer l’extraction de toutes les dents dévitalisées.
- Il n’est pas possible de retenir l’absence de suivi post opératoire puisque le patient avait été averti du risque de complications sinusiennes et qu’il a quitté rapidement, après les soins, la région du chirurgien-dentiste.
- Il n’est pas possible d’imputer au Dr DARMON les conséquences des complications infectieuses sinusiennes qui auraient pu être traitées rapidement en évitant les séquelles liées à leur longue évolution de plus d’un an.
Certificat remis à la demande de Monsieur DARMON pour servir et valoir ce que de droit.
Quelque part, le 13/06/2006
Docteur P.
Procès du 19 juin, suite et fin.
La décision de la Cour d’appel d’Aix est tombée le lundi 9 Octobre 2006. Ma condamnation est de cinq années d’interdiction d’exercice de la Chirurgie dentaire. je suis donc condamné à vie plus cinq ans… à être interdit d’exercer car j’avais déjà été condamné à vie par le conseil de l’ordre. Mon plaignant doit percevoir environ 120 000 euros. Je ne me suis pas pourvu en cassation, c’est trop cher, pour pouvoir éventuellement aller à la Cour Européenne des droits de l’homme et faire condamner la France pour opprimer une thérapeutique qui est pratiquée ailleurs en Europe , en Allemagne, en Suisse allemande et notamment dans une clinique de Suisse allemande, la clinique Paracelse, ce que le Conseil de l’Ordre savait très bien alors qu’il m’a condamné et qualifiait pourtant mes actes de gravement contraire à l’honneur et la probité de la profession, le fait de faire exactement la même chose. Le fait d’affirmer des absurdités a visiblement du poids au pays du manque de discernement des juges.
Les mensonges évidents du plaignant (soi disant non consentant (soit disant drogué) malgré des témoignages du contraire, ayant soi disant fait une hémorragie (sans aucune preuve) , les manques de respect des soins post-opératoires, le fait évident qu’il était consentant et très informé, et que la théorie était respectable, n’ont pas suffi a démontré le caractère hystérique de cette plainte.
Pourtant cela avait été attesté à la barre par :
-Un dentiste qui avait reçu le patient quelques jours après mon intervention et le trouvait alors dans l’état normal d’un patient ayant subi des extractions multiples.
-Le fait qu’il était revenu se faire extraire encore une dent après les premières extractions où soit disant il n’était pas consentant.
-Un éminent dentiste (ex enseignant), le Dr Gilbert Crussol, au courant des travaux internationaux sur le sujet de la toxicité des dents dévitalisées, même sans symptomatologie, venu exprès de Paris, et de l’absence de caractère fautif quant à la création d’une communication bucco sinusale ou d’ extractions multiples.
-un prof de fac de science venu attester du caractère scientifique, de la théorie toxique des dents dévitalisées.
-un expert officiel auprès de la Cour d’appel faisant bien la démonstration de mon absence de responsabilité dans toutes les suites dommageables qui ont eu lieu.
- les dizaines de témoignages écrits de guérisons après élimination de dents dévitalisées présentées par mon avocat.
Eh bien tout cela n’a pas réussi à convaincre Madame la juge qui s’en est tenu au compte rendu de l’expert désigné par la justice qui ne m’a jamais vu ni entendu et qui a considéré que la théorie du rapport entre la santé et des dents dévitalisées apparemment saines était opsolète et donc que tous les désagréments survenus ensuite au patient m’étaient imputables. Le même expert qui avait d’ailleurs aussi rendu un rapport qui m’enfonçait pour l’amie du plaignant qui sur ses conseils s’était aussi plainte après coup, tandis qu’elle n’avait eu aucun ou quasiment aucun désagrément post opératoires. Preuve en est que l’élément essentiel du jugement négatif de l’expert à mon encontre, résultait dans le fait d’enlever des dents dévitalisées en vue d’améliorer la santé.
Ce jugement ne m’étonne même pas car c’est ce que j’avais ressenti dès le début de l’audience. Il était inconcevable pour la juge de se faire enlever sept dents à la fois. Ne serait-ce que pour ça elle me condamnait déjà et tout le reste devenait négligeable pour elle. Mais les extractions multiples ne sont en rien une faute Madame Le juge, nous vous l’avons dit et redit et fait dire par un dentiste même. Mon intuition s’est confirmé par la suite quand le plaignant a usé de tout son charme dans une plaidoirie totalement délirante dont il est un expert et qui fonctionne toujours très bien sur des personnes qui n’ont que très peu de discernement, mais qui ne marcherait jamais sur des personnes qui ont un peu de bon sens.
Je dois avouer que dans le rôle de victime, c’est un champion. Un champion qui n’en est d’ailleurs pas à son premier coup puisque c’est un premier procès il y a dix ans l’a déjà enrichi. C’est ce qui lui avait permis de payer d’ailleurs ses onéreux implants. La juge a donc alloué une provision de 120 000 euros à ce Monsieur, professionnel des procédures judiciaires. Des milliers de personnes ont effectué la même démarche de faire enlever leurs dents dévitalisées, certains ont même eu des communications bucco sinusales et les ont géré en accord avec leur dentiste car ce n’est en rien une faute professionnelles, sont honnêtes et ont eu à peine de quoi se payer un dentier. Et ce Monsieur qui a eu de quoi se payer d’onéreux implants au tarif suisse, grâce à un premier procès, va en plus percevoir maintenant une somme que peu de personnes arriveront à gagner en France après toute une vie de travail honnête. Et cette somme sera payée par l’assurance des dentistes, c’est-à-dire tous les dentistes qui cotisent à la MACSF. Ma foi ce sont des dentistes conventionnels qui l’ont au début manipulé pour lui faire croire qu’il avait été mutilé. D’une certaine façon, c’est donc juste que ce soit eux qui paient même si j’imagine qu’ils en seraient révoltés s’ils l’apprenaient. Qu’ils s’arrangent donc avec leur conseil de l’Ordre qui a renforcé tout cela….
Le grand point positif dans toute cette affaire c’est qu’elle a produit un bon article dans le journal « La Provence » le 10 octobre et que maintenant un journaliste de la télé s’intéresse au sujet grâce à cet article. Il est probable, l’avenir nous le dira, et cela me fait déjà rire, que cette personne qui à ma connaissance, a le plus la haine contre le courant de dentistes qui enlèvent les dents dévitalisée (dont elle s’estime être une victime d’une secte d’arracheur de dents), soit un jour en fait la personne qui en aura fait le plus la promotion, bien involontairement toutefois. Il aura alors à mon sens mérité son argent mais uniquement pour cette raison et pas pour celle qui aura été jugée au tribunal.
Cela pourrait bien se passer ainsi que cela ne m’étonnerait pas car la presse adore couvrir les évènements quand il y a du négatif. Des morts, de la souffrance, bref du négatif. Notre société en est friande. Il faut dire et la presse le sait bien et lui donne ce qu’elle veut.
Que des milliers de patients guérissent de façon spectaculaire en enlevant des dents dévitalisées, n’intéresse pas vraiment la presse depuis des années. Il faut dire qu’elle ne fait que traduire le manque d’intérêt de la médecine pour ce sujet. Mais qu’un patient s’en plaigne et se présente comme une victime du sujet (alors qu’il n’est qu’une victime de lui-même), pourrait cette fois ci intéresser la presse. Une victime qui en fin de compte va gagner plus d’argent qu’il n’en aurait gagné autrement de toute sa vie sur le dos du corps médical. Ma foi ainsi va la vie.
Quant à moi, je persiste et signe dans mon engagement sur la toxicité des dents dévitalisées même si une brave (surtout car elle ne veut pas m’envoyer en prison) juge confirme un jugement qui m’empêche d’exercer mon art parce qu’elle ne supporte pas l’idée qu’on puisse enlever sept dents à la fois. Un art qui me permettait de mieux guérir mes patients et leur amener une alternative rare à la médecine des poisons. Des connaissances qui correspondent à des tonnes d’heures et des années d’études, ré-annihilées en un instant par une juge qui ne pouvait supporter l’idée qu’on puisse se faire enlever sept dents à la fois. Je dis ré-annihilées en fait car le Conseil de l’Ordre était déjà passé par là mais la juge aurait pu délivrer un jugement contradictoire qui aurait pu être intéressant éventuellement pour me permettre de redonner la santé à des centaines de personnes qui sont des échecs de notre médecine.
Des faits qui n’intéressent pas grand monde jusqu’à aujourd’hui alors qu’on dépense de milliards de dollars ou d’euros (600 milliards par an sur notre planète) pour consommer des médicaments qui détruisent l’espèce humaine à petit feu. Ainsi va la vie dans les choix d’une civilisation qui s’est éloignée du sens sacré de la vie qui est une autre façon de nommer la spiritualité. Car la spiritualité c’est aussi de tout faire pour préserver la vie en sachant qu’elle est l’œuvre d’une création intelligente et non du hasard tel qu’on l’entend aujourd’hui. Une médecine spirituelle ne peut être une médecine qui prétend soigner durablement en faisant le choix d’empoisonner la vie elle-même. Lorsqu’on prendra alors conscience de cela, nous changerons nos choix et nous commencerons alors à protéger les alternatives à la médecine des poisons, au lieu de tout faire pour les détruire. Nous prendrons conscience que ces alternatives sont nos plus grandes richesses car elles visent à préserver ce que nous avons de plus cher c’est-à-dire notre santé. J’ai confiance que cela arrivera. Plus vite cela arrivera, plus vite la santé de la population s’améliorera durablement
Comme il existe d’autres dentistes qui font un peu comme moi, je dirigerai vers eux les personnes qui s’adresseront à moi sur ce sujet notamment grâce aux sites internet. Et n’étant plus autorisé à exercer la chirurgie dentaire, mais étant aussi assez expert en médecines naturelles, qui ne peuvent être considérées comme de la médecine à proprement parlé, j’ouvre début 2007 un centre de thérapies naturelles que je nomme Dhavantari. Ce centre démontrera encore j’en suis sûr, l’intérêt des thérapies naturelles associées à l’élimination des dents dévitalisées, même sur les pathologies graves où échoue notre médecine moderne. Il n’était pas question que j’abandonne d’aider des malades à retrouver la santé à cause de quelques personnes qui ont condamné inconsciemment une idée dont dépend la santé de millions de personnes. En plus cela fera un chômeur de moins.
Procès suite et fin , fini en novembre 2008
Le plaignant a gagné environ 126 000 euros qui lui ont été payé par l’assurance responsabilité professionnelle des dentistes.
Pour l’anecdote, je connais des personnes à qui des dentistes ont dévitalisés de nombreuses dents saines pour les couronner ensuite plus facilement, juste parce qu’elles n’étaient pas très belles. Parfois ces personnes elles-mêmes ne s’en rendaient pas compte et c’est le dentiste qui leur a fait remarquer qu’elles n’étaient pas très belles. Ensuite ces personnes ont développé diverses maladies plus ou moins graves d’ailleurs et leur vie en a été gravement affectée parfois. J’en connais une, c’est un vrai roman je vous assure. Elle avait la malchance d’être riche et de faire aveuglément confiance à ceux qui ont un diplôme et l’autorisation d’exercer la chirurgie dentaire. Même si ces personnes faisaient un procès, il est plus que probable que ces personnes n’auront jamais le moindre centime d’indemnités… car ce qu’elles ont subi est une pratique courante de la profession. Par contre ce monsieur qui a eu plusieurs dents dévitalisées enlevées, méticuleusement, sans qu’aucun bout de racine ne reste, en enlevant méticuleusement l’os intoxiqué autour des racines comme le conseillent les dentistes holistiques américains et allemands, en faisant toutefois deux petits trous dans les sinus qui ont été ensuite refermés par un simple lambeau de gencive, ce qui est un aléas thérapeutique et non pas une faute thérapeutique, et qui était bien sûr plus que informé sur le sujet et évidemment consentant, se retrouve avec 126 000 euros de la part d’un organisme français d’assurance. Incroyable non.
Cela m’amène à un second texte :
Le problème des juges en France.
Si les dentistes constituent un problème à travers le problème de la dent dévitalisée, les juges me paraissent être un problème encore plus grave, et je vais expliquer pourquoi. Un problème qui n’est pas sans lien avec celui de la dent dévitalisée et plus généralement de toute la médecine naturelle qui a été particulièrement détruite en France.
La fonction de juge n’est pas une fonction comme une autre fonction dans la société. Si on pouvait imaginer une hiérarchie des fonctions de la société, la fonction de juge serait au dessus de tout. Tout simplement car le juge a le pouvoir de mettre en prison tout le monde et d’interdire ou d’autoriser ce que bon lui semble. Il peut même donner une décision en désaccord avec une loi. Il est donc plus puissant que le politicien qui a été élu démocratiquement, et que n’importe quel diplômé de la plus prestigieuse grande école qui soit. Étant donné la puissance de la fonction de juge, il me parait normal que cette fonction devrait être tenue par les personnes qui ont prouvé qu’elles étaient les plus sages, les plus intelligentes et les plus conscientes de la société étant donné le pouvoir colossal dont elles disposent. Eh bien il se trouve qu’en France ce n’est pas exactement cela et c’est même très loin de l’être comme vous allez le comprendre.
Afin d’accéder à certaines fonctions dans notre société, il existe plusieurs voies certes mais la voie la plus classique est le système scolaire dans sa globalité, c’est-à-dire de la maternelle jusqu’à l’obtention du diplôme professionnel ou universitaire ou autre. Le système scolaire possède certes la fonction de transmettre des connaissances, mais ce n’est pas son unique fonction. Parmi les autres fonctions du système scolaire, dont la sociabilisation des élèves par exemple, on peut dire que le système scolaire est aussi un système dont le rôle est de sélectionner les élèves en fonction de leur intelligence. Cela commence d’ailleurs dès l’école primaire avec les notes et finit par les concours. Évidemment on peut critiquer ce système certes, et certains l’ont fait d’ailleurs, tels les écoles Montésori et Frenet mais il n’empêche qu’au jour d’aujourd’hui, nous ne possédons aucun autre système de grande envergure que le système scolaire pour classer l’intelligence des membres de la société. En fait je dirais, pour classer un certain type d’intelligence.
Il existe en effet d’autres formes d’intelligence. Des formes qui ne sont pas moins importantes que celle qui est quantifiée par notre système scolaire mais qui ne peuvent être quantifiées aussi facilement. Il existe l’intelligence sensitive par exemple, certains l’appellent aussi l’intelligence émotionnelle. C’est une intelligence plus féminine si je puis dire, plus yin diraient les chinois. Cette intelligence qui n’est pas moins importante que la première ne peut se mettre en évidence que dans la vie réelle et absolument pas sur une feuille d’examen. Elle est essentielle pour les rapports humains par exemple. C’est elle qui fait que certains élèves qui n’étaient pas spécialement classés très intelligents par le système scolaire finissent en fait à de meilleurs postes. Les artistes par exemple sont en général bien plus pourvus de cette forme d’intelligence ainsi que les bons psychothérapeutes, mais aussi les politiciens car il en faut aussi pour arriver à se faire élire. Mais si ensuite ces politiciens n’ont pas l’autre intelligence, ça pourra poser certains problèmes à ceux dont ils ont la responsabilité…
Tout cela fait qu’en fait notre système d’évaluation de l’intelligence actuel est très imparfait j’en conviens. Seulement voilà, à ma connaissance, nous n’avons pas mieux. Si nous voulons utiliser notre système scolaire pour attribuer des postes de responsabilité essentiels dans la société comme la fonction de juge, alors il faudrait faire avec les informations qu’il nous fournit plutôt que faire sans.
Dans certains pays, la fonction de juge ne s’acquiert pas par diplôme mais par un vote démocratique ou par nomination par le pouvoir (aux Etats-Unis par exemple), ailleurs les juges sont nommés certes mais uniquement par et dans le pouvoir religieux, ailleurs ils sont sélectionné parmi les avocats qui ont montré le plus de talent durant leur carrière (en Angleterre par exemple). En France les juges deviennent juge part un diplôme. Comme je l’ai dit au début, la fonction de juge n’est pas une fonction comme les autres. C’est plutôt une fonction suprême si on peut dire. Étant donné qu’en France nous avons décidé que les juges accéderaient à cette fonction par le système scolaire, ce qui aussi est discutable mais nous n’en discuterons pas ici, il peut sembler normal alors qu’à fonction suprême on place les élèves qui ont l’intellect le plus suprême. Logique non ! Eh bien nous allons voir que c’est loin d’être le cas et même que les juges sont recrutés parmi les éléments relativement moyens de notre système de sélection scolaire. Er c’est là que réside l’erreur fatale de notre civilisation. Nous avons remis le pouvoir suprême, celui de juger, entre les mains de personnes à l’intelligence moyenne. Pour le démontrer je vais faire un petit rappel sur les différents cursus scolaire. Dans notre civilisation, les meilleurs élèves se dirigent sans aucun doute vers le Bac scientifique S, qui avant s’appelait Bac C. Les enseignants savent bien que c’est aussi dans ces sections scientifiques qu’ont trouve aussi les meilleurs élèves dans le domaine de la littérature et de la philosophie par exemple car un très bon élève est en général très bon partout. Comme on remarque que la science et notamment les mathématiques sont si complexes que seuls apparemment les cerveaux les plus intelligents y comprennent quelque chose, on a crée d’autres sections plus faciles où ces matières scientifiques complexes sont de bien moindre importance voir carrément absentes. Ce sont toutes les autres sections. En général, les meilleurs élèves des meilleures sections, les sections scientifiques, ont accès aux grandes écoles, un système mis jadis en place par Napoléon Bonaparte, en vue de former les cadres de la nation, que ce soit les grands ingénieurs, les hauts fonctionnaires, les chefs des armées à travers l’école polytechniques, les grands professeurs d’universités et les grands scientifiques à travers l’école normale supérieure et même les cadres de la nation à travers l’ENA par exemple. Ce sont les élèves que j’étiquèterai les élèves de première catégorie. Un peu au dessous, on trouve la deuxième catégorie, les moins grandes écoles, les écoles accessibles aux préparations scientifiques avec l’option biologie, les ingénieurs agronomes, les vétérinaires, les grandes écoles de commerce, les IUT, les écoles d’ingénieur de seconde catégorie, les universités de science et de médecine.
En fait depuis plusieurs années, s’opère un certain changement inquiétant à mon sens, c’est que cet ordre n’est plus tout à fait respecté et on voit se diriger de plus en plus les meilleurs cerveaux non pas vers les préparations scientifiques aux grandes écoles mais vers les universités médicales. J’y reviendrai.
Mais quoiqu’il en soit ces formations de première et deuxième catégories, plutôt scientifiques dans notre civilisation qui s’enorgueillit d’être une civilisation scientifique ne sont pas accessibles à ceux qui par le système de sélection scolaire actuel n’ont pas prouvé qu’ils possédaient la plus grande intelligence. Alors que font-ils ceux là. Ne pouvant accéder aux formations prestigieuses qui demandent des aptitudes à comprendre la science, ils se retournent vers les universités de lettres, de psycho et de droit, les BTS et les concours de catégories inférieures, comme les formations paramédicales par exemple. C’est ce que j’étiquèterai les élèves de troisième catégorie.
Il y a ensuite ceux qui n’ont pas réussi à avoir leur bac, qui obtiennent des C.A.P., et des diplômes divers et variés, que je qualifierai de la quatrième catégorie. Et ainsi de suite on peut aussi parler de la cinquième catégorie etc, mais cela ne présente plus d’importance pour le sujet que je traite ici.
Certains éléments des catégories au nombre plus élevé auront d’ailleurs à terme parfois des salaires supérieurs à ceux des catégories au nombre moins élevé. Cela pour diverses raisons qui ne sont pas le sujet ici, si ce n’est une raison qui ‘intéresse plus particulièrement et que j’ai déjà in peu évoqué. On observe en effet qu’aujourd’hui, de plus en plus de très bons élèves se détournent de formations à priori plus prestigieuses pour se diriger vers d’autres plus lucratives, devenues de fait plus prestigieuses dans un monde où le salaire est souvent la plus grande marque de prestige. Pour être plus clair, on observe que de plus en plus de cerveaux se dirigent vers les carrières médicales qui sont bien connus pour générer aujourd’hui de gros profits dans un système où de plus en plus de grands ingénieurs sont au chômage malgré que dans le passé, ils furent de bien meilleurs élèves que les médecins de jadis. Il faut dire que même des bacs scientifiques mention très bien se retrouvent parfois dans des industries où le chômage guète, tant notre pays devient déficient dans sa production industrielle. Par contre comme notre système de santé est subventionné par la sécurité sociale et qu’il y a de plus en plus de malades grâce notamment à la dent dévitalisée, les profits de ce secteur sont assurés, enfin tant qu’il y aura la sécurité sociale pour rembourser les soins. Car après, ce sera une autre histoire….Toutefois, le fait que les meilleurs cerveaux de notre société soient attirés pas les carrières médicales est encore ici un symptôme d’une société de malades. Mais ce n’est pas le sujet de ce texte, qui est le cas des juges.
Les juges eux, d’où sortent-ils. Ils sont issus sans l’ombre d’un doute de la troisième catégorie à travers une école de la magistrature accessible par la fac de droit. La catégorie qui comprend des élèves du même niveau intellectuel sensiblement que les infirmières et les paramédicaux en général, les BTS, les avocats, (dont certains finissent pourtant président de la république), les huissiers , et tous les métiers issus de la fac de droit, et de lettre. Loin de moi le fait de penser que ces personnes sont des imbéciles, ce n’est pas là le propos. Mais il est aussi évident que ces personnes n’ont pas prouvé par notre système scolaire qu’elles étaient les personnes les plus intelligentes non plus. Notre système scolaire étant comme je l’ai déjà dit, et jusqu’à preuve du contraire, le seul système de sélection que nous ayons de l’intelligence. Et si pour les infirmières, les avocats, les huissiers, les fonctions administratives diverses etc… , cela n’a pas trop d’importance, cela devient terrible pour la société, et je pèse mes mots, lorsque des questions subtiles et complexes se présentent devant les cours de justice où s’exerce le pouvoir suprême.
L’affaire d’Outreau, cette pseudo affaire de pédophilie où il n’y avait en fait pas de pédophiles, que la France a connu dernièrement en est un des exemples les plus frappants mais certainement pas le plus grave en terme conséquence. L’histoire de ce procès a eu me mérite de montrer à la population que nos juges actuels peuvent d’une part détruire la vie de bien des gens mais aussi ont bien le pouvoir suprême. En effet, même lorsqu’ils font une erreur monumentale, ils n’ont droit à aucune condamnation lorsqu’eux-mêmes sont à leur tour jugés pour ces erreurs. Les juges qui ont jugés le juge d’Outreau savent très bien en leur fort intérieur qu’ils ont probablement agi bien souvent ainsi eux aussi dans le passé. Un avocat connu, Maitre Colard, en s’exprimant sur le sujet dans le journal “Nice Matin” disait d’ailleurs que des affaires équivalentes à l’affaire d’Outreau, il y en avait presque tous les jours en France. L’affaire d’Outreau n’est en fait que la partie visible d’un terrible iceberg qui ronge notre nation avec des jugements absurdes, disproportionnés et irresponsables bien souvent et qui sont de reflet d’un manque flagrant d’intelligence de ceux qui les donnent. Les décisions de justice sur des sujets complexes sont bien plus souvent le reflet de la conscience moyenne de la population que de la vérité ou de la justice. Une fois j’ai d’ailleurs vu par hasard à la télé s’exprimer un juge qui avait écrit un livre dans lequel il expliquait avoir conscience de son incapacité à juger compte tenu de sa formation et de ses connaissances et donc qu’en conséquence il refusait d’assumer la fonction que l’état voulait lui octroyer. Le simple fait d’avoir cette conscience est en fait un signe qu’il était bien plus apte à juger que les juges actuels qui n’ont même pas conscience de cela. C’est comme si moi, docteur en chirurgie dentaire, je me permettais de croire que je peux opérer quelqu’un à cœur ouvert. J’ai conscience que je ne possède pas cette compétence et en conséquence je ne le fais pas. Le plus grand problème de la justice n’est pas le manque de juges ou quoique ce soit d’autre, mais leur intelligence moyenne.
Et c’est là que réside pour moi le plus grand problème de notre société.
Notre société n’a pas mis les plus grands cerveaux aux fonctions suprêmes, mais mis à la place des cerveaux de troisième catégorie, sur une échelle qui en compte toutefois six ou sept. En écrivant cela je pense à l’échelle de Richter des tremblements de terre. Car cette incongruité si je puis dire amène dans notre société divers séismes qui à terme conduisent à son effondrement, tout comme l’effondrement d’un édifice après un tremblement de terre. Évidemment ça aurait pu être pire encore, on aurait pu recruter les juges parmi ceux qui n’ont même pas eu leur BAC mais bon, je crois que vous avez saisi le problème toutefois.
Que peut-on faire maintenant.
En attendant de corriger ce problème en intégrant une école de magistrature particulière aux Concours aux grandes écoles et en donnant un salaire à la hauteur de leur intelligence à ces élèves, il faudrait en urgence agir en enlevant immédiatement tout pouvoir aux juges actuels, sans bien sûr leur enlever les fonctions pour lesquels ils sont aptes, c’est-à-dire instruire un dossier d’instruction et toutes les fonctions actuelles des juges. Toutes sauf la fonction suprême, celle de juger. Fonction qui ne devra être réservée qu’aux juges issus d’une grande école de la magistrature accessible par les concours aux grandes écoles scientifiques. Ceux qui jugeront seront aidés dans leur tache par les juges actuels qui sortent de l’école de la magistrature actuelle et qui seront à ceux qui jugent ce que les infirmières sont aux médecins en quelque sorte, c’est-à-dire des assistants.
Mais en attendant que cette fonction soit assurée par les juges issus des grandes écoles donc des élèves de première catégorie, si on retire aux juges actuels le pouvoir de juger, nous allons manquer cruellement de juges.
On peut alors très bien recruter des juges par un autre moyen que le système scolaire. Notre société est pleine de sages intelligents qui ont prouvé à la société par leurs actes, leurs capacités humaines et leur conscience bien au dessus de la moyenne et qui feraient d’excellents juges aptes à juger. Il y a plein de cerveau de la première catégorie à la retraite ou au chômage aujourd’hui. Nous pourrions donc les recruter par dossier. Mais les personnes qui seraient chargées de recruter de telles personnes doivent elles aussi avoir fait preuve sans l’ombre d’un doute, de capacités intellectuelles hors du commun.
Même si le système que je propose ici n’est absolument pas exempt de failles, c’est certain, il me semble évident qu’il ne peut qu’être moins pire que notre système actuel de recrutement des juges. Un système de recrutement tellement pervers qu’aucune réforme de la justice qui ne prendrait en considération cet élément, ne pourra aboutir à une justice juste. Et quand la justice n’est pas juste, il ne peut y avoir de paix dans une nation. La paix étant l’état dans lequel tout peut se construire et se réparer dans notre société. Sans justice, c’est la destruction lente mais assurée de notre société. C’est d’ailleurs ce qu’il se passe depuis des années comme nous allons le comprendre avec l’exemple de la santé publique.
Si ce problème du recrutement des juges apporte de multiples problèmes à notre société, problèmes divers et variés qui sont hors sujet ici, il faut bien comprendre aussi qu’il est lié aussi incroyable que cela puisse paraitre avec le fait que les français sont le peuple le plus malade d’Europe. Nos concitoyens sont soumis depuis des années à un lavage de cerveau très important sur la médecine conventionnelle. Les médecines non académiques ont depuis des années l’image de médecines charlatanesques. C’est une image qui arrange bien les intérêts financiers des représentants de la médecine traditionnelle et de l’industrie chimique pharmacologique car elle permet de détruire facilement la concurrence. Et cette destruction se réalise d’autant plus facilement que les juges qui dans les faits mettre en prison ceux que la médecine académique classifie de charlatans dangereux, sont eux-mêmes au niveau de conscience moyen de la population. Ce sujet ne pourrait être correctement jugé que par des cerveaux bien plus intelligents que la moyenne, si je puis dire. Des cerveaux qui sont à même de comprendre toutes les subtilités qui rentrent ici en ligne de compte et toutes les conséquences qu’il y a à détruire la médecine naturelle. Je l’ai bien vu quand j’y ai été confronté avec ma problématique dents dévitalisées face à des juges. J’ai eu en face de moi des personnes qui n’avaient pas les qualités intellectuelles pour comprendre toutes les subtilités du sujet. J’aurais bien voulu être jugé par des personnes très intelligentes mais je n’en ai personnellement pas rencontré dans les tribunaux. Et malheureusement on trouve peu de telles personnes parmi la population actuelle des juges. C’est bien pourquoi, compte tenu d’un article de loi sur l’exercice illégal de la médecine notamment, les juges ont méthodiquement entériné des décisions destructrices pour la médecines naturelles, des décisions que les experts médicaux de la médecine officielle leur ont généralement fortement suggéré dans une attitude hégémonique propre à toute corporation qui veut détruire la concurrence. Il y aurait quantité d’histoire pouvant illustrer ces propos. C’est ce qui a conduit lentement mais surement à ne laisser au peuple français quasiment qu’une seule alternative pour se soigner, celle de s’empoisonner ou de se faire opérer par la médecine conventionnelle. Et voilà comment ensuite on obtient alors une civilisation de grabataires et d’handicapés. A l’article de loi qui stipule que chacun doit être jugé par un tribunal impartial, ce qui ne fut d’ailleurs même pas le cas avec le Conseil de l’Ordre, il faudrait rajouter aussi par un tribunal dont le ou les juges ont fait la preuve d’une manière ou d’une autre qu’ils possédaient une intelligence supérieure à la moyenne.
Vous comprenez maintenant pourquoi traiter de ce sujet du recrutement des juges n’est pas ici hors sujet par rapport au sujet de la dent dévitalisée. Si aujourd’hui la méthodologie qui redonne la santé en enlevant les dents dévitalisée a été condamnée en France, et donc qu’à cause de cela il vous sera très difficile de trouver à côté de chez vous un dentiste qui acceptera d’enlever vos dents mortes putrides de votre corps, c’est d’une certaine façon à cause de tout ce qui est écrit ici. Des juges à l’intelligence bien supérieure à la moyenne auraient au contraire énoncé un jugement intelligent qui par exemple aurait dit que compte tenu des droits de l’homme qui donnent le droit à chaque être humain de vivre dans un corps sain, chaque patient a le droit de vouloir se débarrasser de ses dents dévitalisées que tant d’études ont prouvé pleine de bactéries toxiques donc malsaines. Et donc que chaque dentiste a le droit d’accéder à sa demande sans être pour autant en contradiction quelconque avec l’éthique de sa profession. Et cela même si ce n’est pas une pratique courante dans la profession, notre société se devant de protéger les libertés d’expression et d’agir minoritaires car ce sont elles qui sont souvent les gardes fous de nos erreurs ainsi que les creusets où se forgent bien souvent des progrès de notre société. Bref, ils auraient pu dire de telles choses intelligentes et cela malgré le jugement précédent d’un conseil de l’ordre à l’évidence corporatiste et partial qui avait condamné une telle attitude. Cela aurait permis dans une certaine mesure de promouvoir cette méthodologie qui pourrait apporter la santé à des millions de personnes.
Je vais maintenant m’analyser ici avec mon système de classement. Dans mon système de classement, je ne faisais pas partie de la première catégorie, celle des élèves les plus intelligents. Je me rappelle d’ailleurs qu’en terminale C, j’étais parmi les élèves moyens de la classe et que je ne pouvais pas accéder à la prestigieuse préparation scientifique Math Sup du lycée Masséna. J’aurais pu accéder éventuellement à Math Sup Bio. Dans ma classe il y avait de très bons élèves qui normalement aurait du avoir une mention Très Bien ou au moins Bien au bac, alors que moi, d’intelligence moyenne je ne pouvais espérer qu’une mention Assez Bien au maximum. Vous allez bientôt comprendre pourquoi je vous raconte tout ça, patience…
Par rapport aux très bons élèves je n’étais pas aussi bons pour diverses raisons dont une qui est que j’étais, et je suis toujours d’ailleurs un peu particulier. Ce genre d’élève qui va toujours chercher la petite bête et qui veut comprendre même les choses inutiles pour passer son bac. J’avais en effet horreur d’appliquer des formules que je ne comprenais pas en profondeur, que je ne pouvais démontrer par moi-même, même si cela ne présentait aucun intérêt pour les examens, et même au contraire que cela ralentissait mon acquisition de connaissances. J’avais une assez mauvaise mémoire en plus et donc il fallait que je comprenne vraiment quasiment toutes les formules que j’appliquais. Il fallait que je sache retrouver toutes les formules car je ne voulais en apprendre aucune par cœur. Il existait par exemple certaines formules qui nous étaient fournies classiquement lors des examens de mathématiques donc il ne servait à rien de les apprendre par cœur et encore moins de savoir les redémontrer d’autant plus que c’était assez complexe. Eh bien moi, je voulais quand même comprendre comment on pouvait retrouver ces formules, ce qui était totalement inutile à priori. Mais si pour beaucoup de formules j’arrivais à en comprendre le sens et la logique, pour certaines, je n’arrivais pas à comprendre d’où elles pouvaient bien sortir. Une fois un professeur finit par m’expliquer comment retrouver certaines formules, ce qui était totalement inutile pour passer le bac car elles nous étaient systématiquement fournies. Lors des épreuves du bac, je fus comme prévu moyen dans toutes les matières et eu mon bac C avec la mention Assez Bien. Mais cette année là, l’épreuve de mathématique fit scandale. Pour la première fois et en contradiction avec toutes les habitudes où les formules classiques trigonométriques étaient fournies, cette fois ci ces formules essentielles à l’épreuve n’avaient pas été fournies. Cela fit un scandale certes, on parla même que le rectorat allait envisager de refaire cette épreuve mais le rectorat ne fit rien car ma foi ce n’était pas si grave que cela, les résultats au bac n’ayant aucune importance pour les admissions dans les diverses préparations ou écoles scientifiques, qui se font uniquement sur le dossier de terminale. J’imagine que les professeurs furent alors plus conciliants que d’habitude lors des sessions de rattrapages pour les élèves qui avaient raté leur bac à cause de cette épreuve de math. Comme personnellement, je n’apprenais rien par cœur sans le comprendre en profondeur, cela ne me gêna nullement car je retrouvais par moi-même ces formules essentielles lors de l’épreuve. J’eus comme à l’habitude une note moyenne à l’épreuve de math. Mais comme toute la classe se planta à cette même épreuve, et que le coefficient de math était très élevé dans cette section, les meilleurs élèves eurent la même mention que moi, c’est-à-dire Assez Bien. Cela me fait dire que j’ai un cerveau de la deuxième catégorie mais atypique. Dans les situations classiques, je ne fais rien de mieux que les autres et nombreux sont même ceux qui font mieux que moi. Mais lorsque la situation est atypique, alors parfois je trouve des solutions que les meilleurs cerveaux n’arrivent pas à trouver car j’ai un fonctionnement atypique. D’ailleurs dans le reste de ma vie, même scolaire cela s’est souvent vérifié. Pour vous donner un autre exemple de comment fonctionne mon cerveau, lorsqu’on faisait de la physique nucléaire, tandis que les meilleurs élèves savaient déjà maitriser toutes les transmutations et les calculs associés, je me demandais pourquoi les électrons se situaient sur des couches spécifiques qu’on appelle des orbitales avec certaines règles et pourquoi les protons les attiraient et pourquoi les noyaux instables comprenaient plus de neutrons et pourquoi et pourquoi encore, autant de questions totalement inutiles pour avoir son bac. Des questions que se posent généralement les enfants… Mais des questions qui répondaient à un besoin essentiel qui était de comprendre comment fonctionnait l’univers, quitte à bien moins réussir mes examens. Mes centres d’intérêt étaient bien sûr en accord avec cette façon de fonctionner. Quand la plupart sont intéressés par savoir comment installer l’électricité dans leur maison, moi je m’intéressais plutôt à comprendre d’où provenait cette électricité et comment fonctionnaient les centrales nucléaires pour produire cette électricité. Evidemment des années plus tard, tandis que les autres savaient réparer l’électricité de leur maison, moi je ne le savais toujours pas. Mais je crois avoir compris des choses que la plupart des gens trouveraient totalement inutiles pour la vie quotidienne.
Au niveau médical, c’est un peu pareil, quand la plupart des personnes prennent leurs médicaments sans se poser trop de questions, moi il faut que je comprenne comment fonctionne la médecine que j’utilise. C’est ainsi que j’ai appris que les molécules de l’allopathie sont pour la plupart des inhibiteurs enzymatiques qui par conséquent paralysent nos enzymes. Je crois même avoir compris le fonctionnement intime de l’homéopathie (voir texte « la médecine des poisons »). Ce n’est pas inintéressant car nombre des personnes qui s’intéressent aux médecines douces et ont compris le danger de l’allopathie, prennent de l’homéopathie sans vraiment en comprendre le fonctionnement, si ce n’est qu’ils connaissent la théorie des semblables de Hahnemann. Mais se sont-ils posés vraiment la question du mécanisme intime de l’homéopathie. Jamais la plupart du temps. Avec mon texte, ils verront que peut-être l’homéopathie n’est pas si anodine que les homéopathes voudraient bien nous faire croire. Et cela même si l’homéopathie rend parfois de grands services, et sauve même des vies. mais lorsque les personnes sont en état d’épuisement énergétique, il semble que la solution ne soit pas l’homéopathie qui utilise l’énergie du patient pour ramener la santé.
Vous comprenez maintenant pourquoi ma vie professionnelle était en accord avec le reste. Quand il s’agissait de faire ce que tout le monde savait faire, je n’étais pas spécialement le plus brillant et peut-être un peu moins que les autres. Mais quand il s’agissait de réaliser des choses hors norme, alors parfois j’y arrivais quand personne n’y arrivait. Il m’est par exemple une fois arrivé d’améliorer l’état d’ une sclérose en plaque bien mieux que tous les super médecins et thérapeutes de médecine douces de Genève que la patiente avait consulté auparavant. Cela sans même enlever une dent dévitalisée, la patiente les ayant déjà fait enlever des années auparavant sur les conseils d’un médecin suisse. C’était avec une méthode de dentisterie énergétique que j’ai inventé, j’en parle dans un autre texte. Mais c’est comme pour les extractions de dents dévitalisées, ça n’intéresse pas grand monde, car c’est trop hors norme et aucun laboratoire n’a de profits à faire. Par contre quand il s’agissait de dévitaliser parfaitement des dents, j’y arrivais rarement alors que certains collègues faisaient cela très bien. Le problème est que quand j’enlevais ces dents parfaitement dévitalisées qu’ils avaient faites, les patients guérissaient aussi….
J’ai parfois réalisé aussi des actions hors norme face à l’injustice. Lors de mes études de médecine, nous avions avec mon frère et un autre étudiant, monté un cours privé qui s’appelait les « Concours Blancs Major » où nous préparions les élèves au concours de première année de médecine. En première année, lorsque les étudiants arrivent du lycée, ils sont un peu perdus par l’Univers de la faculté et en pratique on s’apercevait que pour qu’ils réussissent leur concours, il leur était presque toujours nécessaire de passer par un cours privé qui coutait très cher. Seuls les enfants de « riches », si je puis dire, réussissaient, même s’il y avait bien sûr des exceptions. Cela me paraissait un peu injuste. Nous avions donc monté une structure d’enseignement qui employait des élèves uniquement, les « concours blancs major », qui se révéla en fait plus efficace que les cours privés onéreux de l’avis même des élèves ? C’était un concept totalement original pour l’époque, unique en son genre en France. Un concept qui coutaient aussi environ vingt fois moins chers, ce qui le rendait accessible à absolument tous les étudiants de première année qui le souhaitaient. Très rapidement, les trois quarts des étudiants de première année, soit environ 400 étudiants, fréquentèrent ces cours privés qui durèrent cinq ou six années, le temps de ma scolarité environ. Les enfants de riches ne furent plus avantagés et ce furent les vrais meilleurs cerveaux qui réussirent alors au concours de première année. Comme quoi on peut parfois faire mieux que certaines structures le font pour vingt fois plus cher, juste en pensant différemment. C’est exactement ce que je pense aujourd’hui de notre médecine. On pourrait soigner mieux les gens pour un budget au moins vingt fois moindre que celui d’aujourd’hui. Il faut juste penser différemment et savoir qu’il n’y a pas que les grosses machines très chères qui peuvent guérir. Une simple aiguille d’acupuncture qui coute moins de un euro est parfois plus efficace. Il faut juste savoir où la mettre, mais tout cela s’apprend.
Au début de cette période universitaire où je m’occupais des concours blancs, je m’aperçus aussi rapidement que assez souvent, des élèves moyens réussissaient au concours de médecine, tandis que d’autres meilleurs échouaient. Je compris que c’était à cause d’un système de sélection qui permettait de tricher très facilement. Toutes les épreuves comportaient exclusivement des QCM des questions à choix multiples où il faut cocher des cases tout simplement si je puis dire. Ce système permet de tricher très facilement dans la mesure où on s’entraide avec les élèves d’à côté ou de devant ou de derrière. Pour éviter cela il aurait suffit de juste changer l’ordre des QCM d’un élève à l’autre de telle sorte que l’élève d’à côté, de devant ou de derrière, n’ai pas le même ordre des questions. C’était simple et c’est ce que nous faisions d’ailleurs dans les épreuves du concours blancs major. Pourtant aucun professeur de la fac ne le faisait alors que cela aurait permis que seuls les meilleurs étudiants réussissent et non les tricheurs. Alors je fis quelque chose que personne ne me demandait d’ailleurs de faire. J’ envoyais une lettre anonyme à tous les professeurs de première année de médecine, me revendiquant comme le représentant du syndicat des étudiants de première année de médecine en les informant que tous les étudiants étaient scandalisés du mépris qui leur était porté à cause de ce système de notation qui permettait très facilement aux tricheurs de réussir le concours de première année de médecine. La formulation a probablement du les toucher car les professeurs instaurèrent l’année même le système de copies avec des ordres différents dans les questions, de telle sorte de limiter la tricherie. Un système qui avait toujours lieu encore à la fin de mes études à la fac de médecine de Nice.
En fait tout le monde savait que ce système permettait de tricher très facilement, les professeurs notamment qui ne sont pas des imbéciles. Mais tout le monde s’en foutait car bien sûr préparer plusieurs modèles d’épreuve donne un peu plus de travail que de n’en préparer qu’un seul. Pour la dent dévitalisée et les dentistes c’est un peu pareil. Beaucoup d’universitaires savent en fait que la dent dévitalisée, c’est un grave problème. Ils savent aussi que le fait qu’il existe une pratique courante de dévitaliser des dents saines pour faire des bridges ou même des couronnes, est une pratique assez fréquente mais plus que discutable. Mais personne n’en parle trop dans la profession, c’est un peu tabou. Lorsque les travaux sur la terrible toxicité des dents dévitalisées sont arrivés à la connaissance des universitaires, quasiment tout le monde a fait comme s’il ne les avait pas vus. C’est un peu comme pour l’exemple précédent. Et s’ils ont réagi ainsi, c’est parce que prendre en considération de telles découvertes, c’est embêtant si je puis dire. Il va falloir repenser et remettre en question tout un système bien confortable. Allons, laissons faire les choses comme elles sont, ce n’est pas si mal, surtout pour notre porte monnaie. Et puis si ça se savait, que dirait-on de notre profession ? Que nous avons empoisonné plus que l’industrie chimique, plus que l’industrie de tabac et de l’alcool. Non, c’est mauvais pour notre image, mieux vaut ne pas voir tout cela et oublier au plus vite ces informations trop dérangeantes. C’est exactement ainsi qu’ont du réagir tous les dentistes universitaires ou autres qui ont eu jadis accès à l’information sur la toxicité des dents dévitalisées et qui ont bloqué l’information. Et cela restera ainsi tant que l’opinion publique ne sera pas informé de ce scandale. Seulement voilà dans la vie, il y a toujours des emmerdeurs comme moi, Dieu bénisse ces emmerdeurs. Des empêcheurs de tourner en rond, qui crient sur les toits ce que personne ne veut ébruiter. J’ai même voulu organiser à Cannes, un symposium sur la toxicité des dents dévitalisée pour les médecins et les dentistes. Mais les éventuels intervenants se sont désistés devant les menaces qu’ils ont reçues dont certaines de leur conseil de l’ordre directement. Alors, ces empêcheurs de tourner en rond, ces lanceurs d’alerte, on essaie bien sûr de les faire taire. On les ruine en les interdisant d’exercer donc en les mettant à la porte de la profession. Mais voilà, le problème c’est que parfois, ils rentrent à nouveau par la fenêtre. Cet ouvrage, c’est un peu ma fenêtre mais aussi aujourd’hui une fenêtre d’espoir pour votre santé. Sachez l’ouvrir pour faire à nouveau rentrer une lueur d’espoir dans votre vie (oh que c’est mignon cette allégorie….).
J’ai toujours eu des actions plus ou moins originales que personnes ne me demandait de faire dans un contexte normal si je puis dire. Notre société par exemple, ne demande pas aux dentistes de soigner des maladies autres que celles des dents et des mâchoires. Eh bien pourtant, ce qui m’intéressait le plus n’était pas de faire ce que tout le monde savait faire, à savoir boucher faire des trous dans la bouche et les boucher ensuite. Je préférais de loin faire ce que personne ne savait faire, qui n’intéressait quasiment personne et que le public avait beaucoup de mal à comprendre comme soigner diverses maladies en soignant les dents par exemple. C’est ce qui m’a conduit à m’intéresser au problème des amalgames au mercure puis des dents dévitalisées et plus généralement de toute une dentisterie énergétique avec diverses découvertes que j’ai faites et qui constituent aujourd’hui un phénoménal outil thérapeutique qui arrive bien souvent à guérir ce qu’aucune médecine autre ne peut guérir.
Je vais maintenant un peu analyser la catégorie de cerveaux de mes collègues dentistes, notamment ceux qui m’ont jugé du Conseil de l’Ordre en me condamnant à l’interdiction d’exercer pour avoir enlever des dents dévitalisées à des personnes qui étaient d’accord toutefois. Selon le système scolaire, leur cerveau se classe comme le mien dans la seconde catégorie. Mais cette catégorie peut toutefois se diviser en deux tranches au moins au niveau du concours de première année de médecine. Les meilleurs étudiants qui réussissaient au concours faisaient à l’époque où j’ai passé mon concours, médecine tandis que les derniers du classement faisaient en général dentaire, parce qu’il n’avait pas le choix. Ce n’est plus vrai maintenant. Mais cela était encore plus vrai les années précédentes, et des années bien avant pour accéder au diplôme de dentiste, il ne fallait pas passer par le concours de première année de médecine mais par une école privée, assez chère donc accessible uniquement aux enfants de riches si je puis dire. Je pourrais aussi dire aux cerveaux de troisième catégorie dont les parents étaient assez riches pour leur faire obtenir des professions aux revenus équivalents à ceux de la seconde catégorie. Où trouve-ton encore ces dentistes qui sont tous à la retraite aujourd’hui. On ne les trouve encore que dans l’académie nationale des dentistes, à qui par exemple l’Ordre a demandé de se prononcer sur la problématique dent dévitalisée.
A la fin de la première année de médecine, je finis major des non redoublants et troisième au concours sur une centaine d’élèves admis, ce qui me permet de me classer dans la première tranche de la seconde catégorie. Evidemment comme je ne fais rien de ce qu’on pourrait attendre de moi, j’ai choisi de faire dentaire et non médecine à la grande surprise générale car les meilleurs étudiants choisissent bien sûr de faire de la médecine pour sauver des vies. C’est bien plus prestigieux, que de se cantonner à boucher des trous dans les dents toute leur vie. Les derniers du classement comme d’habitude furent obligés de faire des études de dentaire et devinrent dentistes.
Aujourd’hui et dans leur immense majorité, les dentistes et les membres représentants de la profession dentaire que ce soit le Conseil de l’Ordre ou même l’Université considèrent que de proposer d’enlever les dents dévitalisées est une erreur. Il est important que vous sachiez cher lecteur que ces personnes là ont des cerveaux qui rentrent dans la catégorie de la seconde tranche du second groupe. Et que même s’ils sont nombreux à dire cela, il existe des cerveaux de la première catégorie, des vrais scientifiques, comme le professeur Boyd Haley aux États-Unis qui pensent que même les dents dévitalisées apparemment sans symptômes peuvent gravement empoisonner l’organisme ou comme le professeur Raynaud en France, qui pensent que la dent dévitalisée aujourd’hui est très probablement la première cause de cancers et de maladies graves. C’est ce que pensent aussi des médecins comme le Dr Thomas en France et tous les médecins de la clinique Paracelsius en Suisse, qui pensent aussi que parmi toutes les thérapeutiques de médecine naturelles, l’élimination des dents dévitalisées est la technique la plus efficace qui soit pour la plupart des maladies chroniques. Toutes ces personnes ont prouvé par leur cursus scolaire qu’elles étaient plus intelligentes que les dentistes. Et l’avis d’un cerveau intelligent vaut plus parfois que l’avis de milliers d’autres qui le sont moins, surtout si en plus l’information qu’ils pourraient reconnaitre comme vraie éventuellement les culpabilise terriblement.
C’est donc des cerveaux de la seconde tranche de ma catégorie qui à l’époque étaient présents dans les conseils de l’ordre qui m’ont condamné au prétexte que ce que je faisais n’était pas en accord avec les données acquises de la science. Ils n’ont même pas pris la peine de demander leur avis sur le sujet à de vrais scientifiques indépendants, alors même que certains médecins et scientifiques estiment que la dent dévitalisée est une des premières causes de cancers et de maladies graves en France. Ils ont par contre demandé un avis éclairé à l’académie de chirurgie dentaire, composée entre autre de cerveaux de troisième catégorie à la retraite. Et cela tandis qu’un peu plus tard d’autres cerveaux de troisième catégorie me condamnaient dans des cours de justice à cause de cette problématique de dents dévitalisées. Je dus en effet subir aussi un procès au vrai tribunal (celui dont je parle dans le texte précédent), si je puis dire, car le premier n’était qu’une mascarade, où tout était joué d’avance puisque la dernière fois, c’est le conseil de l’ordre qui déposait plainte contre moi et me jugeait aussi.
Lors de mon procès au vrai tribunal, le tribunal correctionnel de la cour d’appel à Aix, se trouvaient le Professeur Raynaud, enseignant à l’Université des sciences de Toulon, passé lui par math sup math spé, et les concours aux grandes écoles, cerveau de première catégorie sans aucun doute, qui avait rédigé un rapport qui justifiait le caractère scientifique et donc éthique selon les critères demandés par l’Ordre, de la démarche d’enlever les dents dévitalisées. Il y avait aussi présent le Dr Crussol, qui fut président de l’association des dentistes spécialistes en dévitalisation qui avait même donné des cours à des présidents du Conseil de l’Ordre sur le sujet. Il soutenait lui aussi ma position aujourd’hui. Il y avait aussi un expert médecin qui confirmait bien que tout ce qui était arrivé ensuite comme problème au patient était certes arrivé après mes actes mais absolument pas à cause de mes actes ce qui est très différent. Il y avait aussi un dentiste qui confirmait que le patient était tout à fait consentant dans cette démarche et qu’il allait bien l’ayant vu quelque jours après, puisque j’étais absent. La logique mathématique était sans l’ombre d’un doute de mon côté mais je crois que tout cela fut bien au dessus de ses capacités de compréhension de ma juge. Cette vieillie dame avait toutefois du cœur et donc de l’intelligence sensitive, et ne m’envoya pas en prison pensant plutôt j’imagine que ma place aurait du être en hôpital psychiatrique à la limite. J’étais en effet sincère dans ma « folie » puisque je lui avais expliqué que moi-même j’avais fait jadis enlever mes dents dévitalisées pour les mêmes raisons que celles qui me faisaient aujourd’hui me présenter devant elle aujourd’hui. Ce que j’avais d’ailleurs fait aussi à des centaines de patients qui ne s’en été pas plaints. Elle ne tenu pourtant compte que de l’avis de son expert. Un expert qui d’ailleurs n’avait jamais demandé mon avis sur le sujet et qui lui avait fait un rapport disant que tout cela ne relevait que d’une théorie obsolète qui n’avait plus lieu d’être et qu’en conséquence, enlever des dents dévitalisée qui ne présentaient aucune infection en apparence, et même avec le consentement du patient, relevait par conséquent de la mutilation. Bref, tout à fait l’expression de la pensée académique de la majorité des dentistes. Je fus donc condamné en théorie mais en pratique ce fut l’assurance dentaire donc tous les dentistes de France qui furent condamnés à payer une somme colossale (environ 130 000 euros) au plaignant, un ressortissant Suisse qui entre parenthèse n’a jamais payé un centime d’impôt à l’Etat Français. Un monsieur apparemment sincère dans son changement d’avis puisqu’il se fit dévitaliser d’autres dents par la suite. Un monsieur qui avait aussi une immense intelligence sensitive et notamment dans la mise en scène de sa pseudo tragédie. Cela toucha tellement le cœur de la juge qu’elle lui fit gagner plus d’argent en un instant qu’il n’aurait pu en gagner de toute sa vie par son travail. C’est une indemnisation bien supérieure par exemple à celle des pauvres gens d’Outreau qui ont passé trois ans pour rien en prison et tout cela juste pour avoir eu quelques dents enlevées avec quelques aléas thérapeutiques qui arrivent parfois. Cette indemnisation colossale avait été suggérée par tous les experts dentistes qui s’étaient penchés sur le dossier et qui bien sûr dévitalisent quotidiennement des dents. J’imagine qu’ils pensaient sûrement ainsi à travers cette condamnation financière, me faire chèrement payer ma remise en question de ce qu’eux-mêmes réalisaient quotidiennement. Il n’y avait en effet pas de raison que l’assurance indemnise étant donné que les actes qui avaient été réalisés n’étaient pas des actes autorisés officiellement par la profession donc pas indemnisables par l’assurance. Mais comme disent les védas (écrits religieux indiens), le dharma protège celui qui protège le dharma (traduction : la voie protège celui qui protège la voie) et je n’eus pas à payer cette indemnisation colossale ni aucune prison à faire. Ce furent donc les dentistes, donc aussi ceux qui ont suggéré cette colossale indemnisation, qui durent la payer à travers leurs cotisations d’assurance responsabilité professionnelle.
Il y a quand même une justice sur cette Terre…… enfin parfois…. Ce qui est sûr, c’est que toujours, justice divine il y aura. Et c’est pourquoi malgré tout ce qui m’arrive et m’arrivera, et qui en apparence me défavorise, je reste serein et confiant. Et comme un guerrier de lumière, pacifique, que j’essaie d’être le plus souvent, je continue à diffuser ma lumière sans chercher à m’opposer ni à nuire à ceux qui veulent l’occulter et qui aux yeux de Dieu sont j’imagine, plus à plaindre qu’à condamner.
Je finirai ma démonstration que les juges français possèdent une intelligence moyenne, pour ne pas dire médiocre, donc inapte à juger des situations complexes sortant de la norme, par l’analyse d’un exemple de l’actualité du 8 Juin 2009. Le jugement par le Conseil d’Etat à l’encontre de Monsieur Serge Dassault. On l’appellera M. D. pour faire comme c’est écrit dans le jugement que l’on peut trouver à l’adresse internet notée en bas de texte. En résumé, ce jugement a condamné M. D. pour avoir donné de l’argent à des électeurs.
Le Conseil d’Etat est la plus haute juridiction administrative française. La Section du contentieux du Conseil d’Etat, qui a rendu le jugement est en plus une des formations les plus solennelles de la juridiction. On pourrait donc supposer que les juges qui ont rendu ce jugement sont donc parmi les plus sages de la juridiction française. Et pourtant, comme nous allons le voir, ces juges ont eux aussi des cerveaux dans la moyenne de la population française, comme dans toutes les juridictions. Preuve en est que dès que le sujet est un peu subtil, philosophiquement parlant, le niveau intellectuel moyen de nos juges ressort avec une évidence flagrante, alors qu’un esprit plus évolué aurait à l’évidence édicté un jugement différent. Enfin c’est en tout cas ce que je pense et c’est ce que je vais essayer de vous démontrer au risque de me ridiculiser bien sûr.
Pour résumer l’histoire de ce monsieur D., c’est l’histoire d’un monsieur qui, distribuait son argent, aux électeurs de sa commune. Comme il fut élu, son concurrent se plaignit au Conseil d’Etat que cela avait du influencer les votes et que selon le code électoral, l’élection devait être annulée. Le Conseil d’Etat lui donna raison en annulant l’élection et condamna en plus monsieur D. à un an d’inégibilité.
Je trouve que dans le genre jugement absurde, il eut été difficile de faire pire. Mais évidemment c’est subtil à comprendre et c’est pourquoi les juges se sont plantés encore une fois, comme ils se sont plantés pour moi, par exemple, avec l’histoire des dents dévitalisées.
Analysons donc un peu tout cela avec un regard qui va essayer d’être philosophe.
M D est condamné pour avoir donné son argent à des électeurs de sa commune. Dans ce monde d’égoïsme, où chacun ne pense généralement qu’à lui-même, la plus haute juridiction de l’Etat condamne donc quelqu’un qui partage son argent avec d’autres qui en ont moins. Évidemment, diront certains et probablement dans la moyenne intellectuelle de la population, « oui mais c’est intéressé, c’est pour que les autres votent pour lui ».
Et je réponds, oui, et alors, mais ce n’est pas condamnable. Je connais aussi plein de politiciens qui font des tas de choses pour que les électeurs votent pour eux, au lieu de défendre leurs idées politiques. Ils se font beaux, mettent sur leurs listes des personne charismatiques, mettent en avant des personnes qui ont plus de charme que de cervelle, ou font même des promesses qu’ils ne tiennent pas ensuite et usent bien sûr de multiples stratagèmes pour arriver au pouvoir. Cela leur permet d’être élu à la place d’autres même si leurs idées sont en fait assez éloignées de celles des électeurs. C’est paradoxal, mais c’est ainsi. Évidemment après on a des décisions politiques qui ne représentent pas tout à fait la pensée de la majorité du peuple.
Parfois on voit des politiques accomplir des actes pour s’enrichir personnellement ou détourner de l’argent pour alimenter les caisses de leur parti politique. Évidemment là c’est du classique pour un juge lorsque l’affaire lui est présentée. Mais dans le cas que nous analysons ici, qu’un individu donne son argent, c’est tellement original que la situation submerge à l’évidence les capacités intellectuelles des juges. Et comme toujours, lorsque cela les dépasse, ils condamnent. Ici c’est à la raison que cela aurait pu « affecter la libre détermination des électeurs ». Mais mes chers juges, tout peut affecter la libre détermination des électeurs alors. Évidement, le code électoral pour éviter certains abus de grands partis riches et permettre aux petits partis de faire entendre leurs idées minoritaires, a eu l’idée de limiter les dépenses de campagnes. On entend ainsi restreindre la liberté d’utiliser son argent pour des affiches politiques notamment tout en donnant à chacun un temps de parole raisonnable dans les médias. On pense ainsi éviter un certain monopole de la pensée qui serait préjudiciable à la démocratie en limitant le pouvoir de l’argent. Une démocratie qui est riche du débat d’idées et de sa diversité d’idées. Personnellement je trouve toujours délicat de limiter la liberté pour quelque raison que ce soit dans la mesure où on ne nuit à personne, mais ici c’est vrai, ça se discute. Mais dans le cas que nous étudions ici, celui de M D. il s’agit de dons d’argent à des particuliers, c’est totalement différent, il ne s’agit pas de prendre par l’argent le monopole du débat d’idées.
La condamnation de M D. est d’autant plus absurde ici que chacun sait bien que l’électeur est toujours seul et isolé du regard d’autrui dans l’isoloir (par définition) face à son bulletin de vote. Et donc que lorsqu’il vote, il le fait toujours avec la plus grande liberté qu’il puisse avoir, si tant est que nous avons une certaine liberté ou un certain libre arbitre en ce bas monde. Évidemment, nos votes électoraux sont influencés par diverses choses. L’objectivité de nos opinions politique est évidemment impossible, et tout vote est le fruit d’une démarche qui ne peut qu’être subjective par définition et soumise à de multiples influences toutes plus ou moins discutables mais qui indiscutablement modèlent nos opinions avant le vote. Un film sur l’écologie deux jours avant une élection, un débat où un leader politique s’est ridiculisé, un look ou une tête qui nous plait moins qu’une autre plus sympathique etc.. Et oui , c’est la vie et chacun utilise ses atouts pour se faire élire, c’est ça la liberté de la démocratie. Bien sûr on pourrait en parler et faire un débat sur le sujet pour voir en quoi la démocratie n’est pas toujours le système politique idéal pour que la meilleure décision électorale émerge des élections ni même la décision électorale la plus représentative de la pensée politique profonde du peuple. On pourrait imaginer par exemple un système électoral où seuls pourraient voter ceux qui ont réussi à un examen quantifiant un minimum de capacités intellectuelles et de savoir politique. Ou plus simplement, leur faire passer un examen qui montrerait aussi qu’ils se sont penchés sur les divers programmes politiques pour choisir leur bulletin de vote en toute connaissance de cause. Mais c’est là un tout autre sujet et ce n’est pas le sujet d’ici. Et faute de cela par conséquent, ma foi, dans la mesure où le jeu électoral n’empiète par sur la liberté d’autrui et se fait dans la non violence, il est normal que chacun utilise ses atouts car c’est la règle du jeu de la démocratie. Chacun a le droit de faire ce que bon lui semble pour que les électeurs votent pour lui. Les beaux et belles se font beaux et belles, les sympathiques se font sympathiques et les malins usent par leur esprit pour manipuler les électeurs. Et pourquoi pas, les riches se font généreux même si c’est excessivement rare. Et c’est la vie. Imaginer que tous les électeurs votent selon leurs aspirations politiques profondes qui seraient le fruit d’une longue et mure réflexion politique, consécutive à une grande maturation intellectuelle et philosophique serait d’une naïveté inouïe. Eh bien c’est ce que nos juges du Conseil d’Etat semblent penser en condamnant ce pauvre monsieur D. car donner son argent à ses électeurs peut se voir « comme ayant pu affecter la libre détermination des électeurs ». Mais alors messieurs les juges, il faut condamner aussi pourquoi pas pour aller dans la même absurdité, tous les hommes qui invitent les femmes au restaurant en vue de devenir l’élu de leur coeur. En fait il faudrait condamner tous ceux qui utilisent leur argent pour influencer quoi que ce soit. Évidemment dans un monde idéal, je veux bien concevoir que seul l’esprit devrait déterminer nos choix politiques et que l’argent ne devrait pas compter pour influencer quoi que ce soit. Et même que l’argent ne devrait pas exister en fait. Mais pour l’instant dans ce bas monde, l’argent existe encore et vouloir interdire de l’utiliser comme bon nous semble, surtout quand cela ne fait de mal à personne et même fait des heureux est complètement absurde. Non vraiment messieurs les juges, vous faites preuve d’un tel vide philosophique ici qu’il faudrait qu’il soit étudié collectivement dans toutes les écoles de la République et fasse débat dans tous les médias. Ceci afin que cette étude serve de prise de conscience à notre nation toute entière pour réformer le recrutement des juges afin de sauver notre nation de vos jugements trop souvent plus absurdes les uns que les autres dès que la situation est un tant soi peu originale et demande un peu plus de profondeur philosophique qu’une situation banale. Car vous édictez alors des jugements qui détruisent notamment toutes les initiatives originales et en fin de compte vous détruisez à petit feu toute possibilité d’évolution de notre civilisation en y créant aussi toujours plus d’injustice alors que normalement vous devriez être les ultimes remparts de la justice. Mais pour que justice puissent être énoncée par nos juridictions, encore faudrait-il que ceux qui l’énoncent notamment dans les plus hautes juridictions, aient un peu plus de plomb dans la tête que la moyenne de la population. Et c’est là tout le cœur du problème que ce jugement met ici en évidence dès qu’on l’analyse un tant soi peu avec le regard du philosophe.
Ce jugement est un peu à mettre dans le même registre que ce qui s’est passé pour mon histoire des dents dévitalisées que j’arrachai pour redonner la santé. On n’a jamais vu ça, un dentiste qui guérit des maladies et évite des suicides en enlevant des dents dévitalisées, ma bonne dame. Cela ne peut être qu’une arnaque et ne peut être que condamnable avait pensé des juges français. Eh bien ici, quand un individu se montre généreux dans notre société, les juges français aussi le condamnent tellement c’est anormal.
Le cas de ce Monsieur D. est en plus je trouve fort intéressant à analyser. Ce monsieur bien qu’il ait travaillé toute sa vie est surtout l’héritier d’une immense fortune accumulée par son père Marcel Dassault, le célèbre fabriquant de matériel militaire. Un nom prédestiné à faire du matériel militaire notamment des chars (d’assaut, ah ah !) d’autant plus que le prénom était lui aussi assez guerrier (m’harcelle pas comme ça). Eh bien ce monsieur a décidé de donner sa fortune directement à d’autres qui manquent visiblement d’argent. Quand on voit ce que certaines associations humanitaires font des dons, notamment celles qui font de la recherche médicales , je me dis que ma foi, donner directement son argent à ceux qui sont proches de nous, n’est pas si insensé que ça quand on veut faire du bien autour de soi. C’est un acte de générosité extraordinaire je trouve, un acte qu’infiniment peu de personnes riches sont capables de réaliser dans leur vie. C’est un acte très religieux je dirai même, car donner aux personnes qui manquent c’est une forme d’empathie avec l’autre mise en pratique. La personne qui a réalisé un tel acte devrait en être très fière et nous en tant que nation devrions la citer en exemple plutôt que la condamner. Je connais peu de personnes qui seraient capables de donner leur argent à d’autres personnes que leurs enfants par exemple alors que le partage est un élément clef d’une société plus humaine. Si la plupart de l’humanité vit dans la misère, c’est aussi que les plus riches ne veulent pas partager leur fortune. 20% de l’humanité possède 80% des richesses. Et parmi ces 20%, il y en a encore seulement 20% qui possède encore 80% des richesses. Notre civilisation moderne est un modèle d’injustice mathématique dont nous devrions avoir honte quand on sait toute la souffrance qui résulte de cette injustice. Mais parfois, dans ce monde cruel de non partage, un individu a une prise de conscience et décide de partager son argent. Et devant un tel acte de générosité exceptionnel, que fait la justice française ? Elle le condamne. Quelle justice d’inconscients vraiment !
Pour voir le jugement aller sur http://www.conseil-etat.fr/ce/jurispd/index_ac_ld0938.shtml
Et pour le communiqué de presse du jugement sur http://www.conseil-etat.fr/ce/actual/index_ac_lc0923.shtml
Les conseils d’un Maitre d’ayurvéda
June 8, 2006 on 4:54 pm | In Vu de l'ayurvéda | No CommentsL’ayurvéda est la médecine traditionnelle indienne Elle est intimement liée à la religion indienne car les connaissances qu’elle utilise sont tirés des écrits religieux indiens les védas. Véda signifie littéralement la connaissance
Si en Inde, cette médecine est la médecine dominante dans le pays, en Europe elle est quand même un peu connue et pratiquée notamment en Angleterre dont l’Inde fut longtemps une colonie. L’Angleterre possède par conséquent sur son territoire de nombreuses personnes indiennes ou d’origine indienne qui ont développé plus qu’ailleurs en Europe, la médecine ayurvédique
En France, la médecine ayurvédique est encore au stade embryonnaire, pourrait-on dire
Il existe pourtant en France, une école d’ayurvéda qui m’a dispensé des cours pendant plusieurs années notamment lors de stages qui furent riches d’enseignements Cette école est sous la direction de Monsieur Brihaspati, un brahmane, c’est à dire un prêtre selon la religion indienne Il édite des livrets (65) d’une vingtaine de pages, de nombreuses cassettes et CD, et des bulletins régulièrement aux adhérents de l’association qu’il anime depuis environ une vingtaine d’années
Nous vous fournissons ici même le texte paru dans un de leurs bulletins qui traite plus précisément de l’aspect dentaire
Pour en savoir plus sur cette école d’ayurvéda, voici leur adresse
Agora, Le Lac 11240 Seignalens France
Email : ayur-ved@com
Site wwwayurvedfrst
Trente deux Dents et… deux dehors…
Cette plaisanterie enfantine est devenue plus que d’actualité Moult enfants présentent des dents en surnombre (cf le tempérament “Fluorique” dans nos volumes n° 14 “Homéopathie”) Rares ceux qui ne sont pas obligés de se soumettre au port d’un appareil pour redresser les dents !
L’Ayurveda offre pourtant d’efficaces et comme toujours très gratuites solutions… depuis plus de cinq mille ans
— Esprit –
Notre état de conscience est le plus important facteur dans la trilogie santé Les quelques points mentionnés ici ne sont qu’un bref aperçu ; à méditer longuement néanmoins et dans la bonne humeur Vous en trouverez plus long sur l’importance de la pensée positive et ce que l’on s’imagine être, dans nos livrets 1 et 3
- Pour “mordre la vie à belles dents”, des solutions dans la Bhagavad-Gita ou le lâcher Prise Cf nos livrets 17 et notre prochain bulletin
- Les dents du haut sont liées à l’aspect féminin, aux émotions et le bas au masculin, à l’action
- Dans un monde où il est de plus en plus difficile de savoir prendre les bonnes décisions (en subtil, non différent de la dent), le nombre des dentistes ne suffit plus
- Carie signifie “avoir une dent contre” ; rancune – ou complexe d’infériorité – difficulté à affirmer sa personnalité
- Canines malades = on se sent le cœur déchiré face à une décision à prendre ou prise par d’autres
- Incisives abîmées : trancher est trop difficile dans… la vie = je n’arrive pas à dire oui ou non
- Trop de tartre = on se durcit à l’image des problèmes intérieurs non réglés ou de difficiles positions à prendre Très typique des chefs et directeurs !
- “Serrer les dents” = fermeture ; on ne laisse pas entrer ou… sortir ! Stress
- Grincement la nuit = problème d’occlusion et/ou de rage (frustration ou agressivité) refoulée
— Hygiène –
Dans nos livrets n°3, nous vous proposons de nombreuses pratiques faciles et des plus salutaires telles que :
- Se masser les gencives avec le doigt – de préférence avec un peu d’huile Une gencive bien kératinisée est l’un des meilleurs moyens pour n’avoir jamais de maux de dents Ce toucher simple du doigt sur la gencive est souvent d’un grand réconfort affectif ; mémoire du petit enfant soulagé par les bons soins de sa mère D’ailleurs, de même qu’en massage il est préférable de toujours garder le contact avec la personne massée (en laissant au moins une main sur elle), de même, lors de la thérapie des dents, il peut être relaxant pour le patient de sentir le contact permanent du doigt du praticien
- Au lever, garder de l’huile dans la bouche (gandusa) : les effets sont différents selon les substances utilisées (cf livrets n°20)
- Se mettre deux gouttes d’huile tiède de sésame dans les oreilles (de plus, cela remédie aux crispations involontaires des mâchoires)
- Racle-langue, à utiliser tous les jours, notamment au réveil ; cela prend 2 secondes
- Neem (cf livrets n°11)
- Après avoir mangé des agrumes, se rincer la bouche de l’acidité avec une pincée de bicarbonate de sodium (qualité alimentaire)
- Se brosser les dents au lever et coucher du soleil ainsi qu’à son zénith ; cela améliore aussi le dhatu os donc l’esthétique des cheveux et des ongles (upadhatu, cf livrets n° 1)
- Oter son appareil dentaire ou “dentier” pour la nuit Ainsi, on alterne intelligemment pression, décompression ; les tissus retrouvent toute leur vitalité… De même que l’effet de la posture sur la tête apparaît après la compression, d’où l’importance en Yoga du lâcher-prise aussi, juste après la posture
— Alimentation –
- Sattvique bien sûr
- Carottes Pignons de pin Girofle après céréales Cardamome après sucreries (saines bien sûr, et en quantité modérée) ; nota : en ayur-véda, les gâteaux, yaourts sucrés et autres friandises ne sont consommés que rarement ou lors des jours de fête
- Bien mâcher ; plus on mâche, plus on se minéralise (Prèle en tisane + soleil)
* * *
La médecine ayur-védique, outre ces aspects préventifs via les bons soins du terrain, vous soulage aussi des situations aiguës :
L’équivalent d’un pois chiche (en volume) de curcuma (turméric) se révèle un merveilleux anti-inflammatoire et antiseptique Appliquer le soir, entre la gencive malade et la joue, soit une capsule (faite de cire d’abeille, donc doublement efficace), soit la poudre pure – ou plus facile, la mélanger à un peu d’huile, la plus adaptée étant celle de sésame surtout si vous êtes Vata
Après le petit déjeuner, vous pouvez alterner avec du neem, véritable antibiotique naturel (nombreuses autres merveilleuses propriétés, notamment anti-diabète, cholestérol, cf nos livrets 6 et 11)
Ne pas chercher à avaler mais plutôt laisser la poudre agir sur la gencive ; résultat merveilleux
Si vous parlez beaucoup, le jour vous préférerez laisser dans la bouche 2 petits clous de girofle bien frais (pas des vieux oubliés dans vos boîtes à aromates) Encore plus analgésique que neem et curcuma ! Il est prouvé que l’huile essentielle de girofle est la meilleure pour apaiser les douleurs ; le produit étant très concentré, il est plus agréable de diluer 3 gouttes dans une petite cuillérée d’huile d’olive ou autre
Enfin la propolis (exiger sans a-ool) apporte aussi ces trois avantages Sous forme de poudre, et mélangée à de l’HE d’orange, elle peut aussi remplacer un caillot malencontreusement tombé (après extraction de dent)
————-
En ayurvéda, la putréfaction des matières non digérées (ama) est la principale cause de maladies Il existe en dentisterie moderne une pratique très discutable à la vue de cela, la dévitalisation dentaire qui introduit dans l’organisme un corps mort générant de la putréfaction juste sous le cerveau
Des études scientifiques ont montré que toute dent dévitalisée constitue une source de putréfaction, plus ou moins importante selon la qualité du traitement de dévitalisation La pratique montre que pour conserver la santé, il est nécessaire de soigneusement éviter la dévitalisation ; et si malheureusement elle a déjà eu lieu, mieux vaut enlever les dents dévitalisées et les remplacer par une prothèse amovible —
Cette information est encore considérée comme polémique dans la profession et par les personnes manquant d’information ou d’expérience personnelle dans ce domaine Nous vivons à une époque où les apparences sont plus que jamais trompeuses Ainsi, ceux qui la défendent sont parfois très diffamés… Malheureusement “classique” de nos jours…
Pourtant, ces soins dans l’esprit “ayur-védique” permettent de très grands succès au niveau de l’amélioration de la santé du patient Nous avons nous-mêmes pu observer de visu les progrès rapides et parfois étonnants sur quelque uns de nos amis qui avaient décidé de faire extraire des dents dévitalisées par un dentiste spécialiste du sujet, le Dr bruno Darmon L’énergie est immédiatement retrouvée, le corps et le mental fonctionnent de nouveau “positivement”, les douleurs disparaissent… voilà entre autres ce qu’il ressort de quelques témoignages que nous connaissons personnellement
Pour en savoir plus sur le sujet nous vous conseillons vivement de consulter le site www.sante-dents.com
Cela vaut la peine de faire circuler l’info… et d’en profiter aussi soi-même
fin
Voici des passages d’un courrier reçu en février 2007, de mon Maître d’ayurvéda que j’ai trouvé utile de vous mettre ici pour vous donner une vision mondiale de ce qui se fait dans le domaine.
Bien cher Bruno
L’une de nos élèves vient de nous apprendre qu’elle revient du Mexique où elle est allée spécialement se faire faire un excellent « ménage » de bouche (une dizaine de dents dévitalisées enlevées et nombre de composites remplacées)… par le dentiste Solorio… www.drsolorio.com Il pratique les soins strictement selon la maintenant très célèbre Dr Clark aux USA…. réfugiée au Mexique …..qui envoie ses patients au Dr Solorio. La cure du Dr Clark coûte près de 1000 dollars la journée (frais dentaire inclus)….sachant qu’il faut y rester au moins 2 ou 3 semaines (20 000 dollars la cure de trois semaines, patients américains, canadiens, japonais etc… ayant les moyens). Il y a des listes d’attentes…les soins se font entièrement au Mexique, en fait juste à la frontière US tout près de la Californie (l’Etat où plus de la moitié de la population est végétarienne…..thérapie qui consiste à débarrasser le corps de tous les poisons….Ils ont des résultats excellents, la plupart du temps « miraculeux » y compris sur des cas dits sans espoir (cancer terminal etc)…Le Dr Klark propose dans des termes actuels ce que l’ayurvéda enseigne depuis des millénaires….
Une partie de la réponse.
C’est un peu ce que je vais faire à Thorenc dans le 06, au centre Dhavantari pour bien moins cher et en accompagnant les patients chez un dentiste qui les soigne selon mes recommandations. Je m’occupe de l’aspect médecines naturelles et désintoxication. Mais ici ça ne se bouscule pas encore vraiment, c’est ainsi.