Les mémoires toxiques des dents dévitalisées, un témoignage.

February 22, 2011 on 12:23 pm | In Non classé | Comments Off

Témoignage sur les mémoires toxiques des dents dévitalisées.

Ce témoignage a déjà été mis sur le texte sur les cavitations mais comme ce traitement constitue un outil médical nouveau et révolutionnaire à part entière, il est remis ici encore une fois.

Je suis actuellement un retraité de 70 ans, en pleine forme qui peut marcher une trentaine de kilomètres sans être trop fatigué et je ne prends absolument aucun médicament. Mais pourtant il y a quelques années j’étais dans un état de santé pitoyable. Vers l’âge de trente ans, j’ai commencé à avoir mal au dos et ma santé s’est dégradée progressivement jusqu’à être obligé de m’arrêter régulièrement de travailler pour de longues périodes à partir de 45 ans, jusqu’à la retraite. J’avais des douleurs partout dans le corps et j’étais toujours fatigué. Selon la médecine j’avais le foie, le colon, la prostate et la thyroïde, notamment en mauvais état. J’avais aussi des maux de gorge et des problèmes respiratoires fréquents. J’ai pourtant toujours eu une alimentation saine depuis des années qui est devenue progressivement de plus en plus biologique et végétalienne. Je n’ai jamais fumé, ni pris d’alcool, de café, de thé, ni de chocolat. J’ai toujours eu aussi une certaine réticence pour les médicaments chimiques et les vaccins, que j’ai donc toujours évités. J’imagine que c’est probablement grâce à toutes ces précautions que je n’ai jamais eu de cancers ou de maladies très graves. J’ai donc essayé toutes sortes de traitements de médecine douce: plantes, homéopathie, huiles essentielles notamment. Mais malgré tout, mes problèmes de santé persistaient et mes douleurs étaient parfois à la limite du supportable. J’ai toujours essayé de comprendre pourquoi j’avais tous ces problèmes et ce n’est qu’à la retraite que je l’ai vraiment découvert. C’est un rhumatologue de Grasse aujourd’hui à la retraite lui aussi, le Dr J.G. Thomas qui m’a donné la cause de mes problèmes de santé. Cette cause est très certainement aussi celle de vos problèmes de santé mais aussi étonnant que cela soit, il est très probable que personne ne vous en parle jamais dans le monde médical. C’est pourquoi j’ai décidé aujourd’hui de témoigner.
Le Dr Thomas m’expliqua que mes problèmes de santé provenaient surtout de mes dents dévitalisées. C’est d’ailleurs ce qu’il expliqua pendant toute sa carrière à ses milliers de patients qu’il guérissait mieux que très souvent ce que peut guérir notre médecine moderne. Il était très réputé pour cela dans la région Mais le Dr Thomas n’était pas dentiste et il envoyait donc ses patients chez divers dentistes du département qui acceptaient d’enlever les dents dévitalisées. Le Dr Darmon était l’un d’eux et c’est après ces extractions que m’a santé s’est vraiment améliorée.
Mais malgré les extractions de dents dévitalisées et les divers traitements que le Dr Thomas continuait à me faire, il persistait toujours des douleurs diverses dans mon corps. Le Dr Darmon me proposa alors des traitements qui consistaient à soigner les os où se trouvaient jadis mes dents dévitalisées. Il m’expliqua que malgré qu’on les ait ôtées, elles avaient tellement empoisonné l’os dans lequel elles se trouvaient que ce dernier continuait à me rendre malade. Parfois je consultais d’autres praticiens de médecine douce, des kinésithérapeutes et des ostéopathes mais à chaque fois que les problèmes persistaient malgré leurs traitements, j’allais consulter mon dentiste et ses traitements de mémoire de dents dévitalisées, se révélaient toujours plus efficaces.

Stéphane G.

Comme tous les témoignages que je mets sur le site www.dent-devitalisee.com celui ci peut être aussi vérifié. Monsieur Stéphane G. qui a accepté de témoigner, n’a toutefois pas internet mais a accepté que son numéro de tel soit donné sur ce témoignage. Mais je ne tiens pas à ce que ce gentil monsieur risque d’être importuné inconsidérément si son numéro de tel est livré à tous. Toutefois vous pouvez rentrer en contact avec lui par téléphone et même le rencontrer si vous venez sur Nice. Mais je préfère que vous passiez d’abord par moi en me contactant par email drbrunodarmon@yahoo.fr et en me laissant un numéro de tel fixe, qui me permettra de vous rappeler.

Le traitement des mémoires toxiques laissées dans les os des mâchoires par les dents dévitalisées constitue un outil très performant de la dentisterie holistique. Un outil qui peut souvent guérir là où tout le reste à échoué, même pour des pathologies soi disant inguérissables…. Un outil que certains médecins à l’étranger utilisent depuis des années mais que personne en France n’utilise encore à ma connaissance. Il faut dire qu’en France, on ne croit déjà pas beaucoup que les dents dévitalisées représente un grave problème pour la santé. Alors, les mémoires toxiques laissées par les dents dévitalisées, n’en parlons même pas.

Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire.

Témoignage en rapport avec l’importance relative entre les amalgames au mercure et les dents dévitalisées.

February 12, 2011 on 6:59 pm | In Non classé | Comments Off

Témoignage de guérison du syndrome de fatigue chronique en rapport avec les amalgames au mercure et les dents dévitalisées..

Voici mon témoignage et j’espère qu’il vous intéressera. Il y a une dizaine d’années, j’avais alors 55 ans et j’étais assez fatiguée en permanence, sans raison apparente et sans maladie selon la médecine. Je commençais aussi à ressentir des douleurs articulaires à la hanche gauche. Mon dentiste le Dr Bruno Darmon me proposa alors d’enlever tous mes amalgames dentaires, une douzaine environ. Il le fit avec les précautions d’usage pour que je n’absorbe pas de mercure. A la suite de cela, je ne me suis pas sentie plus mal certes, peut-être un peu mieux car j’ai eu l’impression que ça m’avait enlevé une certaine lourdeur dans les mâchoires c’est vrai, mais rien de très net ne se produisit sur la vitalité toutefois. Le dentiste était étonné car il m’a dit avoir enlevé des centaines d’amalgames dentaires à ses patients pendant plusieurs d’années et que leur santé s’était toujours au moins un peu améliorée. Il me proposa alors d’enlever mes trois dents dévitalisées, qui pourtant ne faisaient pas mal. C’est alors que j’ai ressenti instantanément après l’extraction un regain notable d’énergie qui est restée ensuite et que j’ai toujours aujourd’hui, soit une dizaine d’années après. Ma vie a retrouvé alors une vitalité que j’avais perdue depuis des années. Le dentiste m’a dit que par la suite il s’est mis à proposer directement à ses patients d’extraire toutes leurs dents dévitalisées, même celles qui ne comportaient pas d’amalgame au mercure. J’étais en fait un de ses derniers patients à qui il n’avait pas directement proposé d’enlever leurs dents dévitalisées. C’est pour cela qu’aujourd’hui, il m’a recontactée pour me demander de témoigner car mon cas est en fait assez rare semble-t-il et intéressant pour comprendre l’importance relative de la toxicité des amalgame au mercure et de celle des dents dévitalisées.

Vous pouvez vérifier l’authenticité de mon témoignage en me contactant par email dans un premier temps. Si vous me laissez un numéro de tel fixe, je vous recontacterai par téléphone si vous le souhaitez. J’accepterai même de vous rencontrer si vous venez sur Nice où j’habite.
Emilie A.      orchidea666@hotmail.fr

Le commentaire du Dr Darmon.

Quand l’état n’est pas très grave, enlever les amalgames dentaire peut suffire pour redonner suffisamment de vitalité aux patients pour qu’ils retrouvent la santé, c’est vrai et je l’ai vérifié de nombreuses années dès 1990 sur des centaines de patients. Mais enlever leurs dents dévitalisées est beaucoup plus efficace encore, je l’ai constaté sur des centaines de patients aussi. Cela permet même souvent de guérir des pathologies très graves. C’est aussi ce qu’ont compris quelques médecins qui étaient connus pour guérir ce que personne n’arrivaient à guérir comme feu le cancérologue Joseph Issels, feu le stomatologiste parisien Lepoivre, feu l’homéopathe Paul Lozillon et l’acupuncteur Jean-Gabriel Thomas. Ces médecins ne faisaient enlever que les dents dévitalisées, pas les amalgames au mercure. Et cela chacun sur des centaines voire des milliers de patients.

Une petite modération toutefois pour les amalgames au mercure et les dents dévitalisées.
Enlever les amalgames dentaires est délicat quand même. Il faut le faire avec une bonne aspiration chirurgicale, de préférence avec les canules d’aspiration de marque clean up, pas nécessairement alors avec une digue. Il faut aussi bien maitriser la mise en place de composites dentaires, la solution correcte la moins onéreuse, ce que tout le monde ne maitrise pas visiblement sur les dents du fond notamment, car c’est assez délicat. Car si c’est pour mal faire les composites et qu’ensuite les dents se nécrosent, je crois aujourd’hui qu’il vaut presque mieux garder ses amalgames au mercure….

Parfois enlever les dents dévitalisées ne suffit pas non plus à enlever tous les poisons qu’elles ont laissé dans les os des mâchoires. Cet élément peut être déterminant dans les pathologies graves. Il faudra alors effectuer soit des curetages osseux soit des injections, dans les os qui les ont contenues et mettre aussi éventuellement des cristaux dans les prothèses amovibles. Et même là, ce ne sera pas aussi bien que si on n’avait jamais eu de dents dévitalisées, c’est pourquoi il vaut mieux s’en débarrasser le plus vite possible.

Analyse critique de l’homéopathie.

November 19, 2010 on 1:35 pm | In Non classé | Comments Off

Analyse critique de l’homéopathie.

Loin de moi l’idée de penser que l’homéopathie n’est pas efficace et n’agit que comme un simple placébo, ce serait vraiment être de mauvaise foi. Une mauvaise foi que j’ai rencontrée auprès des membres du Conseil de l’Ordre des dentistes qui nient les nombreuses guérisons (en voir une centaine sur www.sante-dents.com) obtenues après extractions des dents dévitalisées car cela les dérange trop. Non, l’homéopathie est une médecine très efficace et qui peut même parfois sauver des vies, je n’en ai aucun doute. L’homéopathie est efficace, tout comme les vaccins protègent de la maladie pour laquelle on vaccine et tout comme le fait de dévitaliser des dents a permis de sauver des millions de dents et même de sauver des vies. Nier cela serait ridicule. Il peut vous sembler incroyable que moi, le grand pourfendeur de la dent dévitalisée, je dise que dévitaliser des dents peut même sauver des vies, même si c’est rare à vrai dire. Et pourtant, une pulpite aigue due à une carie très profonde provoque une très violente douleur dentaire qui est suicidogène. Il vaut donc mieux dévitaliser une dent que de laisser une pulpite aigue qui pourrait provoquer le suicide du patient tant la douleur est insupportable. Bien sûr, le mieux serait d’extraire la dent car la dévitalisation de l’organisme qui arrivera ensuite sera terrible mais à défaut ma foi, il vaut mieux la dévitaliser. Pour les vaccins idem, les personnes anti-vaccins nient généralement leur efficacité et ainsi décridibilisent tous les discours sur la dangerosité des vaccins. Non les vaccins permettent de diminuer les maladies pour lesquelles ont vaccine, je n’en ai aucun doute, seulement voilà ils fabriquent des autistes, des leucémies, des handicapés mentaux notamment donc des maladies bien plus graves encore que celles qui sont sensées être évitées par la vaccination. Et cela, la médecine qui vaccine refuse de le voir comme elle refuse de voir d’ailleurs toutes les catastrophes que la plupart de ses médicaments chimiques provoquent sur le long terme et donc que la plupart du temps il aurait mieux valu s’abstenir de les prendre, tout comme il aurait mieux valu s’abstenir de vacciner, tout comme il aurait mieux valu s’abstenir de dévitaliser les dents et tout comme, nous allons le comprendre ici, il aurait mieux valu éviter aussi l’homéopathie..

Mais que nous reste-il alors à nous pauvres malades me direz vous ? Eh bien tout le reste, toutes les autres médecines qui sont en accord avec le fonctionnement du corps et ne l’empoisonnent pas. Des médecines qui ne s’opposent pas à son fonctionnement enzymatique comme c’est souvent le cas de l’allopathie ou ne lui introduisent pas des poisons reconnus comme tel comme c’est le cas de la vaccination, de la dent dévitalisée ou de l’homéopathie car ces pratiques sont en fin de compte toutes à mettre dans le registre des médecines des poisons. Il reste donc pour en citer quelques unes, la phytothérapie, l’aromatérapie, la psychologie et toutes ses branches avec notamment l’analyse transactionnelle, les thérapies émotionnelles, la reprogrammation cellulaire etc… , la spiritualité avec elle aussi toutes ses branches dont les mantras, la méditation, l’analyse de ses croyances et la prière, mais aussi l’ayurvéda, la diététique, le yoga, le tchi kong, la respiration, le rebirth, l’ostéopathie, la méditation, le jeun, amaroli, les aimants, les élixirs floraux, les ondes magnétiques pulsées, la chromothérapie, l’ozonothérapie, les cures d’Hulda Clark, l’acupuncture (la bonne, celle avec les aiguilles qui tournent dans le bon sens), la cristallothérapie, l’hygiénisme, la naturopathie, les appareils de piezoélectricité (avec un petit appareil nommé biopiezo), les appareils d’ionisation, la médecine quantique en général etc… Et bien sûr la dentisterie holistique avec surtout l’extraction des dents dévitalisées qui on le comprendra un jour est plus qu’une médecine douce car il s’agit là l’extirper du corps des tissus morts qui empoisonnent l’organisme, généralement plus que tout.
Il existe donc de nombreuses méthodes pour se soigner qui n’auront pas d’effets secondaires toxiques sur votre santé mais je vous le concède, ces méthodes ne sont généralement pas remboursées par la sécurité sociale et ceux qui les pratiquent sont de plus en plus difficiles à trouver alors qu’on trouve surtout en France des allopathes et des homéopathes….. et des dentistes qui dévitalisent des dents. Et cela plus qu’ailleurs en Europe. De là à penser que c’est la principale raison qui fait que les français sont les plus mal en point d’Europe, et que les jeunes y sont aussi les plus pessimistes, il n’y a qu’un pas.. Les Conseils de l’Ordre médicaux ont ici une certaine responsabilité dans la mesure où ils se sont appliqués depuis toujours à détruire tout ce qui rentrait en concurrence avec la pensée majoritaire tandis que la sécurité sociale a toujours soutenu les options empoisonnantes. Les homéopathes ont d’ailleurs aussi été persécutés pendant des années par les conseils de l’ordre avant de finir par être aujourd’hui reconnus. En France, la seconde grande médecine reconnue et remboursée par la sécurité sociale est donc l’homéopathie. La plupart des français choisissent donc de se soigner soit par l’allopathie, soit par l’homéopathie, qui sont nous allons le comprendre, toutes deux des mauvais choix d’une certaine façon.

Si on devait résumer les effets secondaires de l’allopathie, notamment des molécules qui inhibent le fonctionnement de nos enzymes ( la plupart des médicaments allopathiques), je dirais qu’elle vous déglingue un organe ou une fonction pour vous en guérir une autre. Et cela parce que l’allopathie s’oppose généralement à des fonctionnements naturels de l’organisme et ses enzymes qui ont pour fonction d’auto-guérir vraiment l’organisme. Mais comme cette auto-guérison passe généralement par des symptômes divers (douleur, fièvre, inflammation, allergie, hypertension notamment) et gênants, les malades sont bluffés par ces molécules chimiques pratiques d’utilisation qui suppriment rapidement leurs symptômes et leur apportent un certain confort très rapidement sans avoir à changer leurs mauvaises habitudes. Les malades n’ont pas conscience que les maladies toujours plus graves qui arrivent ensuite sont la conséquence de cette démarche chimique anti naturelle. C’est ce qui fait tout le succès de l’allopathie. L’allopathie s’inspire généralement des plantes médicinales mais n’utilise dans un médicament qu’une molécule active alors que la plante médicinale en possède de multiples afin de palier justement aux effets secondaires que produiraient l’utilisation exclusive du principe reconnu comme actif par la pharmacologie moderne. L’allopathie a voulu faire mieux que la nature…. Elle est certes parfois plus efficace et plus pratique à court terme mais à long terme elle fabrique des pathologies que la phytothérapie n’aurait jamais fabriqué.

Pour l’homéopathie, le mécanisme d’action est très subtil mais aussi très différent de l’allopathie. L’homéopathie est une médecine énergétique qui ne vous déglinguera pas un autre organe ou une autre fonction mais vous dévitalisera sournoisement l’organisme. En gros avec l’allopathie vous finirez généralement avec un cancer ou un diabète mais avec l’homéopathie vous finirez avec une fatigue telle et un froid interne tel que votre cœur s’arrêtera de battre et que vous mourrez bien plus tôt qu’il ne l’aurait fallu, en passant par des années de fatigue intense parfois mais bien sûr et c’est cela qui explique tout le succès de l’homéopathie, sans aucune maladie. L’homéopathie aura soigné toutes vos maladies. Avec l’homéopathie vous mourrez donc en bonne santé en quelque sorte mais bien trop prématurément, ce qui est quand même un problème…… Je connais par exemple des cas d’adolescents en parfaite santé morts dans leur sommeil et dont les parents étaient des adeptes de l’alimentation saine, de la non vaccination mais aussi de l’homéopathie.
Pour résumer dans un premier temps le principe de l’homéopathie, je dirais qu’on absorbe un poison fortement dilué, voire tellement dilué qu’il ne reste plus de poison du tout mais juste la trace du poison dans l’eau qui a servi à le diluer. Ensuite on imprègne en général cette eau chargée d’information sur des granulés de sucre qui ne sont d’ailleurs pas sans effets cariogènes (fabriquant des caries dentaires) en plus. Ce poison non dilué provoquerait les mêmes symptômes que ceux que l’on souhaite voir disparaître par le traitement homéopathique. L’homéopathie utilise le principe de similitude «le semblable guérit le semblable» (similia similibus curentur). A mon avis il serait plus judicieux de dire surtout qu’on soigne le mal par le mal car c’est un poison dilué certes mais un poison qu’on utilise comme médicament dans l’homéopathie. On retrouve un peu ce principe aussi dans la vaccination. Ce qui distingue la vaccination de l’homéopathie est que contrairement à l’homéopathie, dans la vaccination on pourra mettre en évidence dans l’organisme, dans le sang plus précisément, l’apparition de protéines particulières. Ces protéines appelées anticorps auront été produites par le système immunitaire après que celui-ci ait été stimulé par l’introduction de cadavres de bactéries ou virus toxiques pour lesquels on désire obtenir une certaine immunité en vaccinant. Ainsi lorsque l’organisme sera en en contact avec des bactéries et virus toxiques bien vivants, ceux ci seront tout de suite stoppés par les anticorps spécifiques. Le système immunitaire enrayera ainsi tout de suite la maladie qui sinon aurait pu se développer avec le développement des bactéries et virus le temps que l’organisme élabore ses défenses immunitaires. Mais le problème est que la vaccination comme l’homéopathie abaissent l’énergie globale de l’organisme et donc le dévitalisent. Certes on n’aura pas la maladie pour laquelle on vaccine ou pour laquelle on traite par l’homéopathie mais les effets secondaires seront peut-être pire que la maladie qu’on aura évité ou guérie et c’est là tout le problème. Je rentrerai par la suite encore plus dans les détails pour vous expliquer en profondeur, comment agit l’homéopathie d’un point de vue énergétique mais avant cela rappelons un peu comment nous est parvenu l’homéopathie.
L’homéopathie est une médecine assez récente, elle date de deux siècles environ. L’inventeur Samuel Hahnemann pratiquait le spiritisme et c’est au cours de séances de spiritisme qu’il a reçu par révélation le principe de base de l’homéopathie : “guérir le mal par le mal”. Un religieux m’a dit une fois que la Bible interdit la pratique du spiritisme. Le spiritisme permet probablement d’entrer en contact avec des mondes subtils mais pas toujours bienveillants. Des mondes certes, auxquels la majorité de la population ne croit généralement pas mais qui n’en existent pas moins pour autant. L’homéopathie est une deuxième fois en contradiction avec la Bible notamment un principe thérapeutique édicté dans la Bible. La Bible donne en effet une logique thérapeutique quand elle dit dans Romains 12:21 : « Surmonte le mal par le bien »). C’est aussi tout à fait la philosophie de l’ayurvéda, la médecine traditionnelle indienne qui est d’origine céleste, qui consiste à donner ce qui justement provoque le contraire des symptômes. Pour prendre deux exemples très simples, à quelqu’un de frileux on donnera des épices réchauffantes, à quelqu’un de gros on conseillera des aliments qui font maigrir. L’homéopathie et par son principe et par son origine spiritueuse, est donc doublement en contradiction avec la Bible. Une information qui pourra intéresser les croyants mais je sais bien que pour les athées cet argument n’a pas vraiment de valeur. Pour les athées, je vais donc fournir d’autres arguments.
Tout dans l’univers est matière ou énergie, c’est ou l’un ou l’autre. Si quelque chose agit à l’évidence sans utilisation de matière, c’est donc que ce quelque chose utilise de l’énergie.
L’homéopathie est une médecine qui n’utilise quasiment pas de matière. Elle ne peut donc utiliser que de l’énergie. L’homéopathie étant donc une médecine qu’on peut qualifier d’énergétique, il est donc inutile de vouloir comprendre son fonctionnement en explorant les arcanes de la matière. C’est plutôt en explorant les arcanes de l’énergie que nous avons une chance de comprendre comment elle fonctionne.

D’abord qu’est-ce que l’énergie. L’énergie c’est ce qui permet le mouvement et dans ne moindre mesure la chaleur qui découle du frottement de la matière contre la matière donc d’un mouvement aussi. Dans l’atome, la particule énergétique par excellence est l’électron. Est donc énergétique l’électron et tout ce qui est dérivé de l’électron comme les différentes ondes électromagnétique. Mais si on sait qu’il existe bonne et mauvaise matière, il faut savoir aussi qu’il y a de la bonne énergie et de la mauvaise énergie. Par exemple on sait bien qu’il existe des ondes électromagnétiques qui sont bonnes pour la santé, notamment les fréquences correspondant au spectre visible, voire des infra rouges qui réchauffent mais on sait aussi qu’il existe des ondes toxiques notamment celles qui correspondent à la radioactivité qui détruisent la vie jusqu’aux chromosomes. On peut donc dire qu’il existe de la bonne énergie et de la mauvaise énergie, pour la vie, en tout cas la notre, tout comme on peut dire qu’il existe de la bonne matière, la bonne alimentation par exemple, et aussi de la mauvaise matière, les poisons notamment. Il faut aussi savoir que toute matière comporte aussi de l’énergie tout comme toute énergie comporte de la matière. Les physiciens connaissent bien d’ailleurs la théorie corpusculaire de la lumière constituée de ces grains de matière appelés photons même si ils savent que la lumière répond aussi à des critères ondulatoires caractéristiques des ondes donc des éléments purement énergétiques.

Les poisons matière comportent donc inévitablement aussi une partie énergétique poison. Et bien c’est cette fraction énergétique qui va être exploitée par l’homéopathie. Cette fraction énergétique poison est récupérée par l’eau qui sert d’accumulateur énergétique grâce à des procédés de dilution et de dynamisation propre à l’homéopathie. Ces procédés permettent en même temps de se débarrasser de la fraction matière du poison utilisé. Lorsque le médicament homéopathique est alors absorbé, comme il ne reste plus de poison matière, il ne reste plus rien susceptible de provoquer la maladie. Mais comme il reste toutefois le côté énergie du poison, l’organisme reconnaît la vibration poison et réagit en développant des mécanismes de défense contre le poison, un peu comme dans le cas du vaccin d’ailleurs. Et si le poison est sensé provoquer un ensemble de symptômes spécifiques, l’organisme développera alors une réaction spécifique visant à s’y opposer en vertu de mécanismes d’autodéfenses subtils prévus dans l’organisme. Des mécanismes qui en fin de compte aboutissent à la disparition des dits symptômes donc à la guérison de la dite maladie. Des mécanismes que notre science n’a pas encore mis vraiment en évidence, sauf pour les vaccins comme je l’ai expliqué précédemment. Mais pour l’homéopathie il semble que ce soit bien plus subtil encore à mettre en évidence. Le patient guérit par conséquent avec l’homéopathie si on lui donne la vibration poison qui correspond à la maladie. Jusque là, ma foi, cela semble très bien, on ne fait que stimuler les réactions d’autodéfense de l’organisme, un peu comme le fait d’ailleurs l’organisme lui même lorsqu’il est malade. Le problème est que pour que l’organisme réagisse ainsi, on y introduit un poison énergétique et donc il va être obligé de baisser son niveau d’énergie car rien de bon ne lui est donné de l’extérieur pour obtenir une telle réaction. C’est ce que nous allons comprendre maintenant grâce à des enseignements issus de l’acupuncture.
L’acupuncture est la médecine énergétique de référence par excellence. Elle existe depuis des milliers d’années et est d’origine céleste. Elle va nous aider à comprendre le fonctionnement de l’homéopathie qui est aussi une médecine énergétique à l’évidence comme nous l’avons déjà compris.
En acupuncture on sait qu’il n’existe que deux sortes d’énergies: les chenns et les kweis. Les chenns se sont les bonnes énergies qui viennent du ciel, qui sont anabolisantes, constructives pourrait-on dire et qui tirent l’énergie de l’organisme vers le haut, vers un plus vitalité. Les kweis sont les mauvaises énergies catabolisantes, destructives qui viennent du sol et qui tirent l’énergie vers le bas, vers la mort. Les poisons contiennent de kweis bien sûr sinon ils ne seraient pas des poisons. Les médicaments homéopathiques sont donc obligatoirement des kweis car ils sont issus de matières poisons, ils ne peuvent donc que baisser l’énergie. Lorsqu’on est malade, c’est qu’il y a une attaque de kweis en général même si un excès de chenns peut aussi rendre malade, mais ce sont des cas plus rares (insolation par exemple). En acupuncture on sait par exemple que l’aiguille d’acupuncture disperse les kweis tandis que l’apport de chaleur par la combustion de l’armoise (les moxas ou cautérisations) , apporte des chenns. Maintenant l’idéal serait que je vous fasse un petit schéma mais je ne sais pas faire cela sur mon ordi donc je vais vous l’expliquer par des mots. Imaginez que les chenns sont des forces qui tirent vers le haut et les kweis des forces qui tirent vers le bas. Si on imaginait la vitalité comme le fléau d’une balance qui coulisse sur l’axe vertical de l’énergie, dans la maladie ce fléau de balance serait tiré vers le bas d’un côté par des kweis. Le fléau de balance déséquilibré traduirait la maladie et le fléau de balance descendant en même temps sur son axe d’énergie traduirait aussi une baisse d’énergie. C’est tout à fait ce que produit la maladie, une baisse d’énergie vitale et un dérèglement de l’équilibre schématisé par un fléau de balance qui n’est plus horizontal. L’aiguille d’acupuncture dispersant les kweis permet le retour à l’horizontal du fléau de balance qui conservera toutefois son niveau d’énergie de malade. Dans un second temps l’apport de chaleur sur le point d’acupuncture (technique des moxas ou cautérisations) permet de remonter le niveau d’énergie.
Maintenant dans cette vision de fléau de balance, voici comment on pourrait schématiser l’action de l’homéopathie. L’homéopathie apporte des kweis de l’autre côté du fléau de la balance. Ces derniers rétablissent certes l’horizontalité du fléau de balance donc la santé mais en tirant vers le bas le fléau de balance, on l’abaisse encore un peu plus qu’il ne l’est sur son axe énergétique. Le patient est alors guéri mais aura ensuite moins d’énergie. Ceci est inévitable car les kweis ne peuvent que baisser l’énergie de l’organisme.

Mais cette baisse d’énergie n’est pas obligatoirement visible de façon évidente. Le patient traité par l’homéopathie peut donc même retrouver une certaine vitalité apparente après un traitement homéopathique parce qu’un déséquilibre du fléau de balance fatigue et peut même tuer. C’est comme la fièvre qui est un mécanisme de défense et d’auto-guérison mais qui fatigue et dans certains cas peut tuer lorsqu’elle trop forte. Le patient retrouve donc alors de la vitalité ce qui fait dire que l’homéopathie lui a quand même fait du bien. Il retrouve de l’énergie mais moins toutefois que s’il avait guéri sans avoir recours à l’homéopathie. Là est toute la subtilité du sujet, comme c’est d’ailleurs aussi le cas pour l’allopathie. L’allopathie sauve des vies même si elle aussi enlève de la vitalité aux patients. Dans les deux cas ils sont guéris mais en ressortent énergétiquement amoindris.

Tout cela est donc très subtil et des patients peuvent passer leur vie à se soigner par l’homéopathie en étant très satisfait de cette médecine sans jamais s’apercevoir qu’elle les dévitalise sournoisement. C’est un peu comme la dent dévitalisée ma foi qui parfois ne donne jamais de maladies mais dévitalise juste les organismes.
L’argument classique des homéopathes disant que si cela ne vous guérit pas, cela ne vous fera pas de mal au moins est donc faux car tous les médicaments homéopathiques font réagir l’organisme en l’affaiblissant même si la réaction ne permet pas la guérison. Maintenant je veux bien croire aussi que le mal fait par l’homéopathie est moins grave que celui fait par l’allopathie mais dans les deux cas du mal est fait indéniablement, même s’il est moindre pour ces deux médecines que celui fait par la dent dévitalisée en général. La putréfaction intrinsèque à la dent dévitalisée est en effet en général pire que la chimie allopathique et les poisons homéopathiques.
Il existe une autre thérapie plus ou moins énergétique qui ressemble un peu à l’homéopathie mais qui en fait est très différente car cette fois ci elle extirpe non pas des kweis mais des chenns de la matière. Elle apporte donc des chenns à l’organisme, comme le font souvent toutes les bonnes médecines énergétiques. Il s’agit des élixirs de fleurs. On fait tremper des fleurs non toxiques dans l’eau et au soleil. L’eau se charge alors de vibrations bienfaisantes pour les psychopathologies notamment. Les élixirs de fleurs ne provoquent pas une réaction de l’organisme à la suite d’un empoisonnement comme le fait l’homéopathie mais utilisent un autre mécanisme. Il s’agit d’apporter la vibration qui fait défaut à l’organisme ou plutôt qui est insuffisamment développée. Cette dernière entre en résonance avec celle apportée par l’élixir de fleurs et se remettra à croitre jusqu’à une amplitude correspondant à l’état de santé mentale recherché.

Ni les élixirs de fleurs ni l’homéopathie ne traitent les causes des maladies, contrairement à ce que certains prétendent. Mais la thérapie par les élixirs de fleurs est quand même très différente de l’homéopathie qui utilise juste un mécanisme réactionnel de l’organisme qui est mis face à un poison ce qui malheureusement contribue à abaisser l’énergie de l’organisme donc à terme à l’épuiser.

Les homéopathes disent que pour que l’action soit puissante, il faut beaucoup diluer, jusqu’à 30 CH au moins, éventuellement jusqu’à 100 CH ! D’après Hahnemann, les substances alors “se réduisent à leur nature la plus pure, qui est spirituelle.” Il faut agiter longuement les préparations, pour que “leurs vertus soient intensifiées”. (C’est dans son maître-ouvrage, l’Organon ou l’Art de Guérir” qu’il écrit cela.) Au cours de ce rituel de préparation, “une force se transmet du fabricant au médicament, de façon mystérieuse…” Hahnemann affirme que son procédé est spirituel, mais je trouve que le terme spirituel n’est pas du tout juste car on confond ici énergétique et spirituel. Le terme spirituel n’est pas adéquat avec un domaine qui travaille pour ôter de la vitalité. L’homéopathie n’est en rien spirituelle d’une part parce que l’esprit n’a rien à voir dans son fonctionnement mais en plus par ce que le seul esprit qui soit intervenu pour donner l’idée de faire de l’homéopathie à Hanneman est très certainement un esprit issu de mondes qui n’ont rien à voir avec les mondes qu’on pourrait qualifier de spirituels. Si l’homéopathie est spirituelle, la magie noire l’est aussi alors…. Nous avons par contre des éléments qui nous montrent que les mondes spirituels sont intervenus pour bien d’autres médecines, comme la phytothérapie, avec Sainte Hildegarde de Bingen par exemple, mais aussi pour l’ayurvéda et l’acupuncture. Des médecines douces qu’il faut donc préférer.

L’homéopathie soigne certes, mais pourtant elle contribue à dévitaliser les organismes. Mais il en est de même de l’allopathie, des vaccins et de la dent dévitalisée et cela même si les trois sauvent aussi des vies. Seule une analyse approfondie peut permettre de le comprendre car tous font partie de ce qu’on pourrait appeler des poisons.

Nombre de personnes dans les milieux spirituels ont compris le danger qu’il y avait à faire confiance à l’allopathie et aux vaccins et souvent elles se tournent alors vers l’homéopathie pensant y trouver une médecine plus en accord avec la spiritualité. Qu’elles sachent que ce n’est absolument pas le cas, pas plus que de garder en soi de la mort comme c’est le cas de ceux qui ont en bouche des dents dévitalisées. Car tout ce qui dévitalise l’organisme même si c’est pour guérir de maladies aboutit à terme à des situations de handicaps énergétiques pires que les maladies que l’on soigne. Certes quand on est malade il faut consulter un médecin et recueillir son avis car certaines pathologies risquent d’évoluer dangereusement et dans ces cas là il faudra intervenir malgré tout par l’allopathie ou l’homéopathie si on ne sait vraiment rien faire d’autre. Mais c’est très rare et très souvent lorsqu’on est malade, et qu’on ne sait rien faire, on ferait mieux de ne rien faire c’est à dire de se coucher, de jeuner et de laisser le corps au repos se guérir par lui même tout en se demandant quelles peuvent être les causes à éradiquer. Car la recherche puis l’éradication des causes est toujours la meilleure chose à faire pour se soigner véritablement. Et si on ne les trouve pas, l’organisme par ses mécanismes d’autoguérison finira en général à se soigner seul. Et même s’il n’y arrive pas, on fera en général de plus vieux os en supportant sa maladie qu’en la soignant par l’homéopathie ou l’allopathie. Je sais bien que c’est un discours que peu de personnes vous tiendrons dans le monde médical mais c’est ainsi, c’est ce que je pense, c’est mon intime conviction et elle n’est pas que le fruit de réflexions mais aussi d’observations. J’ai constaté de nombreuses fois que les patients que je voyais avec des pathologies très graves étaient des patients qui avaient fait confiance à ces deux médecines outre qu’ils possédaient aussi des dents dévitalisées. Choisir de se soigner entre l’homéopathie ou l’allopathie revient d’une certaine façon à choisir en la peste et le choléra même si ces mots sont un peu extrêmes je le concède mais je n’ai pas trouvé d’autre expression aussi bien imagée. Bien sûr dans les situations d’urgence il vaut mieux avoir recours à ces médecine empoisonnante si on ne sait rien faire d’autre car cela peut nous sauver la vie, mais sinon il vaut mieux laisser la maladie suivre son cours, laisser la nature faire les choses par elle même pourrait-on dire aussi. Car la maladie a un sens et très souvent ce sens est de restaurer l’énergie de l’organisme afin que la vie sont plus longue et plus énergétique. Traiter des symptômes bénins par la chimie allopathique ou l’énergétique homéopathique fait apparaître ensuite des maladies et des états de dévitalisation bien plus graves et cela même si on peut momentanément avoir des améliorations de santé notables. Il faut développer les médecines douces qui n’agressent pas l’organisme certes comme c’est le cas de l’allopathie mais on devrait aussi préciser, les médecines douces qui n’empoisonnent pas l’organisme. L’homéopathie ne rentre pas dans cette catégorie. Elle est une médecine des poisons sans l’ombre d’un doute. C’est donc une médecine avec bien évidemment des inconvénients qui peuvent se révéler à terme pire que les maux qui sont censés être soignés et qui entre en contradiction avec le premier principe médical « primum non nocere », c’est à dire premièrement ne pas nuire. Mais bon dans l’univers des poisons, l’homéopathie n’est pas ce qu’il y a de pire. La dent dévitalisée est bien pire encore. La dent dévitalisée est un bouillon de culture, une véritable usine à toxines bactériennes qui fabrique 24 heure sur 24 et tous les jours de l’année de redoutables poisons issus de la putréfaction de tissus organiques restés dans la dent dévitalisée. Inutile en tout cas, vous l’aurez compris, de vouloir s’affranchir de la toxicité des dents dévitalisées en se soignant par l’homéopathie. On ne fera ainsi que se dévitaliser un peu plus, tout en bloquant les mécanismes naturels qui essaient d’éliminer les poisons issus de la dent dévitalisée. L’allopathie les bloque généralement par des poisons chimiques, tandis que l’homéopathie les bloque par des poisons énergétiques. Et toutes les deux affectent ainsi à terme, la vitalité de l’organisme sans l’ombre d’un doute pour moi.
Et la vitalité, l’énergie, est aussi notre bien le plus précieux.
Mais bon il y a pire encore que l’allopathie, l’homéopathie et la dent dévitalisée, c’est la radioactivité ne l’oublions pas et elle pourrait un jour gravement nous contaminer si on ne s’y intéresse pas sérieusement. Dernièrement, nov.2010 alors que des milliers d’allemands se mobilisaient pacifiquement pour manifester contre un train bourrés de déchets radioactifs, seuls sept français faisaient de même. Ces personnes probablement plus que toutes, par la prise de conscience qu’elles pourrait induire, pourraient un jour nous éviter de connaître un équivalent national du drame écologique qui a eu lieu jadis à Tchernobyl. Au lieu de les mettre sur le piédestal de la conscience nationale, que croyez vous qu’il leur fut fait ? Un juge français voulut les mettre en prison…..http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague/article/action-de-blocage-du-ganva-a-caen
La justice aime parfois persécuter ce qui va dans le sens de la protection de la vie, surtout lorsque ça sort des sentiers battus et que très peu de personnes en ont conscience. J’en sais quelque chose.

Bruno Darmon Dr en chirurgie dentaire.

Le message essentiel de la dentisterie holistique américaine

October 19, 2010 on 10:26 am | In Non classé | Comments Off

Le message essentiel de la dentisterie holistique américaine, son avis sur les dents dévitalisées.

La dentisterie holistique est une science médicale relativement récente mais qui constitue pourtant un espoir considérable pour de nombreux malades et de nombreuses pathologies. Cette science médicale est malheureusement très peu connue ou très mal connue, et donc très inexploitée, notamment en France. Il existe depuis 1985 aux États-Unis, une importante association de dentisterie holistique, l’IABDM, initiales de International Academy of Biological Dentistry and Medicine, qui regroupe de nombreux dentistes et médecins qui sont conscients de l’implication de l’état dentaire des patients sur leur santé générale. L’IABDM prône une dentisterie qu’elle qualifie de biologique ou holistique et qui lui semble plus adaptée à la santé que la dentisterie conventionnelle. L’association organise notamment chaque année un congrès annuel où viennent s’exprimer d’éminents orateurs du monde entier, de Suède, du Canada, d’Allemagne et d’Australie par exemple. Est venue parler notamment Vera Stejskal, une éminente toxicologue suédoise qui a beaucoup travaillé sur la toxicité du mercure des amalgames dentaire. Sont venus parler aussi des grands noms de la dentisterie holistique comme le Dr Hal Huggins qui était un des précurseurs mondiaux dans la prise de conscience de la problématique des amalgames dentaires au mercure et est en partie à l’origine du terme de dentisterie holistique, le Dr Meinig, auteur d’un livre choc sur la toxicité des dents dévitalisées et cofondateur de l’association endodontique américaine (les spécialistes de la dévitalisation dentaire), des médecins de renom tel le Dr Klinghardt qui est un précurseur mondial dans la chélation des métaux toxiques, le Dr Bouquot, un éminent médecin stomatologiste cancérologue et probablement le spécialiste mondial des cavitations (un sujet que j’ai traité dans un autre texte http://dent.devitalisee.free.fr/?p=126) et des scientifiques de renom comme le Professeur Boyd Haley, chef d’un département universitaire de biochimie et qui est un précurseur mondial dans la mise en évidence, des incidences toxiques de métaux dans des maladies graves comme la maladie d’Alzheimer. Le prof Boyd Baley a aussi mis en évidence la toxicité du mercure des amalgames dentaires, des toxines émises par les dents dévitalisées et pire du diméthyl sulfure mercure extrêmement toxique, produit en présence des amalgames au mercure sur dents dévitalisées. L’IABDM agit notamment pour promouvoir l’utilisation de certains matériaux dentaires biocompatibles, pour identifier les pratiques dentaires dangereuses pour la santé et en promouvoir d’autres qui n’affecteront pas la santé et même permettront aux patients de la retrouver. J’ai demandé récemment à cette association, son avis sur le sujet des dents dévitalisées. Il m’a été renvoyé un texte qui date d’avril 2008, qui résume l’esprit de cette association et qui comporte un paragraphe qui répond plus précisément à ma question sur le sujet des dents dévitalisées. J’ai effectué la traduction en français de ce paragraphe

Sachez que certains estiment que la dent dévitalisée est très probablement une des premières causes de cancers et de maladies graves dans le monde occidental. Son élimination représentait un des premiers traitements appliqués par des thérapeutes alternatifs de renom telle Hulda Clark par exemple. Si aujourd’hui vous vous interrogez sur l’opportunité de faire ou non extraire vos dents dévitalisées, vous pouvez bien sûr demander son avis à votre dentiste qui dévitalise quotidiennement des dents, ou à votre médecin qui n’a jamais reçu d’enseignement sur le sujet ou au Conseil de l’Ordre français des dentistes composé de dentistes qui ont dévitalisé des dents toute leur vie et dont certains m’ont interdit d’exercer pour avoir proposé à mes patients malades d’enlever leurs dents dévitalisées. Vous pouvez aussi demander à des dentistes français qui se disent holistiques et utilisent par exemple des huiles essentielles pour dévitaliser les dents. Certains d’entres eux qualifient même la dentisterie qui propose d’enlever les dents dévitalisées de dentisterie mutilatoire. Mais plutôt que de demander leur avis à des personnes qui en fin de compte ne sont nullement des spécialistes du sujet, je vous conseille plutôt de lire attentivement le court texte qui suit et de bien méditer dessus car il ne provient pas de n’importe qui mais très probablement de ce qu’on peut considérer comme la plus grande autorité mondiale en matière de dentisterie holistique puisque l’IABDM est aussi probablement la plus grande association au monde de dentisterie holistique.

Voici la traduction française que j’ai effectué de ce paragraphe dont le texte originel se trouve par la suite..

Le sujet des dents dévitalisées inclut bien sûr les considérations des matériaux utilisés pour le traitement de dévitalisation mais la remarque de base qui surgit avant tout est la suivante: une dent sans vaisseaux sanguins et sans nerfs, donc une dent dévitalisée, est une dent morte. La garder dans l’organisme représentera toujours un empoisonnement (le terme anglais utilisé est littéralement: fardeau ) , avec lequel l’organisme devra composer. La controverse au sujet de traitement de dévitalisation “compatible”, de l’utilisation de laser à basse énergie pour «  stériliser » les canaux dentaires et de l’efficacité relative de divers produits est intéressante certes et peut-être même pleine d’espoir. Mais ces préoccupations restent toutefois secondaires au fait principal, à savoir: « la dent dévitalisée est morte et constituera toujours un empoisonnement » (le terme anglais utilisé est littéralement: fardeau ).” Les praticiens, et en fin de compte chaque patient pour lui -même, doit faire face à la difficulté de savoir quelle quantité de bonne santé sera sacrifiée pour garder des dents dévitalisées dans la bouche. Dans de nombreux cas, ce choix peut avoir des conséquences énormes, particulièrement pour ceux qui sont atteints de maladies chroniques et débilitantes, si communes dans notre société aujourd’hui.

Fin du paragraphe du texte de l’IABDM

Ce texte dit en résumé que la meilleure des dents dévitalisées constituera toujours un empoisonnement pour l’organisme qui peut avoir des conséquences énormes sur la santé.

Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire email: drbrunodarmon@yahoo.fr

Le paragraphe originel en anglais.

The field of root canal-treated teeth is an area that includes dental material considerations, but an even more basic issue arises first. A tooth without blood vessels and nerves is dead – keeping that tooth in the body will always be a burden with which that body must deal. Controversy over “compatible” root canal filing materials, use of laser light energy to “sterilize” canals, and the relative effectiveness of varying irrigants is interesting and perhaps even hopeful. But these concerns remain subsidiary to the primary issue, namely that “The tooth is dead and will remain a burden.” Practitioners – and ultimately each patient for him or herself – face the quandary of understanding to what degree good health might be sacrificed by keeping dead teeth in the mouth. In many cases, the choice can have overwhelming consequences, especially for those with chronic, debilitating diseases so common in our society today.

Le texte complet en anglais envoyé par Dawn Ewing
Executive Director Internatonal Academy of Biological Dentistry and Medicine
www.IABDM.org

International Academy of Biological Dentistry and Medicine

Some Agreements and Disagreements in Biological Dentistry – April, 2008

The field of biological dentistry or holistic dentistry has as its objective the diagnosis, treatment, and optimum maintenance for each of the people that come to us for care. We always use what our experience and training suggests are the best elements of conventional dentistry – but going further, we strongly acknowledge, appreciate, and consider that oral health and disease are inseparable from total-person wellness. From this comprehensive vantage point, we see optimal health as intimately related to the choice of dental materials and techniques as well as to the training, experience, and skill of the dental professional providing the care. Our intention is to be minimally invasive yet appropriately proactive and not simply reactive.

The world of thoughtful people, some highly sophisticated in the compatibility of biomaterials, has shown increasing appreciation for the role that dental materials can play in regaining and maintaining more optimal health. For us to disregard the relevance that they have demonstrated would be blind and irresponsible. How then do we proceed?

Through the past decades and to this very day, different techniques and practices are chosen by “biological dentistry” practitioners to determine which dental materials would seem most ideally suited for their patients. The sometimes-desperate people that we see are wonderfully – but often troublingly – unique. We must take into consideration their individuality, especially as it relates to the permanent placement of dental materials. Experienced practitioners have learned to accept with humility the fact that no single dental material or anesthetic can appropriately be ideally suited for all of their patients.

Without doubt, practitioners become familiar with and have chosen certain “favorite” materials due to their strength, beauty, and chemical metabolism. At the same time, the conscientious dental professional knows that multiple (and often competing or even conflicting) factors must be weighed for each patient each time. In this not-so-perfect world, several material testing techniques are favored rather than blanket adoption of any one material as “the best.” Thus we go forward, evaluating and treating individuals as best we can with customized treatment, always remaining open to newer materials and improved techniques. As a happy consequence, recent advances in nonmetallic fillings, partial crowns, crowns, and prostheses have led to more successful treatments for more patients than ever before.

The field of root canal-treated teeth is an area that includes dental material considerations, but an even more basic issue arises first. A tooth without blood vessels and nerves is dead – keeping that tooth in the body will always be a burden with which that body must deal. Controversy over “compatible” root canal filing materials, use of laser light energy to “sterilize” canals, and the relative effectiveness of varying irrigants is interesting and perhaps even hopeful. But these concerns remain subsidiary to the primary issue, namely that “The tooth is dead and will remain a burden.” Practitioners – and ultimately each patient for him or herself – face the quandary of understanding to what degree good health might be sacrificed by keeping dead teeth in the mouth. In many cases, the choice can have overwhelming consequences, especially for those with chronic, debilitating diseases so common in our society today.

We know of some “health professionals” who recommend that their patients insist on having the treating dentist sign a contract that details the precise selection of techniques, protocols, and materials usage to be employed. In many cases, these treatments represent a business “franchise” approach, sort of a “one-size-fits-all.” Surgeons, of course, cannot ever accept such limitations because what they encounter during an operation might best be treated by approaches not already discussed. Dental surgeons likewise should remain mindful that patients ultimately place faith in their experienced judgment as well as their skill. Perhaps this “contract” situation is even more worrisome when patients lack a sufficient background to make a well-reasoned choice but are relying on persuasive but possibly incorrect “franchised” opinions regarding what they actually need.

As in all fields of health care, minority opinions can be the source of hopeful progress as well as unintended disasters. Biological dentists who shoulder the responsibility for making the best decisions for their patients need to rely on their training, experience, skill, and judgment at every turn. Perhaps all that is needed is a brief conversation explaining biological individuality – and gentle reassurance that the patient honestly doesn’t want to limit the dentist to a treatment contract that might not allow for the best available care in his or her particular circumstances. After all, “biological dentistry” is treating the whole patient, with the goal of restoring and maintaining optimal health, rather than merely treating a tooth in a particular way!

Voici le mail exactement:

IABDM position on Root canal teeth

De :
Dawn Ewing email: drdawn @drdawn.net

Ajouter dans les contacts

À :
drbrunodarmon@yahoo.fr

 
Biological Dentistry Agreements.doc (28Ko)

Hope this answers your question.


Dawn Ewing
Executive Director Internatonal Academy of Biological Dentistry and Medicine
www.IABDM.org

suite et fin du texte “cavitations”

September 19, 2010 on 4:09 pm | In Non classé | Comments Off

Mais si je pense que le sujet traité ici c’est à dire l’élimination des dents dévitalisées puis ensuite la guérison des cavitations est bien souvent la première action individuelle à réaliser pour retrouver la santé, je pense aussi qu’il existe un autre sujet encore plus grave pour notre santé. C’est le danger du nucléaire civil et militaire et je ne peux m’empêcher d’en parler d’autant plus que les deux sujets présentent des points communs. Je vous conseille donc fortement pour en prendre conscience de visionner le film « la bataille de Tchernobyl » qu’on peut se procurer par la société playfilm à l’adresse suivante http://www.playfilm.fr/rubrique.php?id_rubrique=1&page=4 . C’est probablement le film le plus édifiant sur le danger du nucléaire qui existe aujourd’hui. Il fait prendre conscience de la folie nucléaire dans laquelle s’est engagée l’humanité en pensant qu’il est une bonne idée de s’amuser à séparer les atomes pour en retirer de l’énergie. Dans ce film on y voit comment les plus grands physiciens russes avaient assuré aux politiciens que la technologie nucléaire, notamment celle de la centrale de Tchernobyl ne présentait absolument aucun danger. Cela me rappelle tout à fait que les instances officielles dentaires disent toujours aujourd’hui que la technologie des dents dévitalisées est sans danger pour la santé humaine bien que des milliers de personnes ont retrouvé la santé après avoir enlevé des dents dévitalisées en apparence parfaitement saines pour ces mêmes instances officielles. Sachez que le plus grand scientifique ou le plus grand médecin au monde n’est pas au dessus des lois de la vie notamment celle qui veut nous faire prendre conscience du danger qui existe à séparer ce que Dieu ou la nature ou la vie si on préfère a naturellement réuni comme c’est le cas des constituants des noyaux atomiques que l’on divise dans la technologie nucléaire ou comme c’est aussi le cas des constituants de l’organe dentaire que l’on divise dans la dévitalisation dentaire. Et cela même si c’est très pratique d’avoir une petite centrale nucléaire qui fournit beaucoup d’électricité tout comme c’est aussi très pratique de dévitaliser les dents pour éviter de les extraire quand il n’y a pas d’autre choix. Mais ce pratique d’apparence est aussi terriblement pervers et nous conduit ensuite à des situations terriblement complexes à résoudre. Et en matière de nucléaire, la France, tout comme pour les dents dévitalisées d’ailleurs, est encore une fois le pays d’Europe le plus concerné. La France possède des centrales nucléaires qui possèdent elles aussi des failles qui ne les mettent pas à l’abri d’un accident comme celui qu’à connu la centrale nucléaire de Tchernobyl, comme en atteste un document mis à le fin du texte en annexe. La France veut même, plus que quiconque, vendre cette technologie ultra-dangereuse à des pays en voie de développement qui ne pourront jamais pallier aux éventuels accidents comme a pu en partie le faire en 1986 l’ex URSS en évitant ainsi une catastrophe encore plus grave qui aurait pu rendre invivable une bonne partie de l’Europe. Quelle inconscience ! Les considérations très à la mode sur la problématique du réchauffement planétaire me paraissent tellement dérisoires à côté de la problématique du nucléaire. Non seulement nous avons le plus de cancers d’Europe à cause de notre plus grand taux de dents dévitalisées mais nous risquons plus qu’ailleurs en Europe de voir sur notre territoire ou d’être directement responsable à l’étranger, d’un accident nucléaire qui pourrait se révéler dramatique pour la vie pour des milliers d’années et des millions de personnes. C’est aussi en France que pour la première fois en Europe a été interdit d’exercice un dentiste pour la raison qu’il proposait à ses patients de retirer leurs dents dévitalisées pour les guérir. Pas de chance, c’est tombé sur moi…. En France, on est vraiment les champions d’Europe de l’inconscience sur la protection de la vie sur Terre …. Ma foi à défaut d’être champion de football, c’est déjà ça….

Séparer ou diviser ce que Dieu (ou la nature, si les athées préfèrent) à uni est une interdiction donnée à l’être humain et inscrite dans les écrits religieux et notamment la Bible. Pour les athées qui croient que le singe s’est transformé tout seul en homme et qui croient en Darwin en général, cela n’a aucune valeur, certes. Mais qu’ils revoient un peu leurs croyances à la vue des nouvelles découvertes de la biologie génétique et ils s’apercevront peut-être, comme de plus en plus de scientifiques, qu’elles comportent une bonne dose d’absurde. Le mot « diviser » qu’utilise la Bible, nous ramène au terme du Grec ancien « diabolein » qui signifie diviser et qui a donné le terme diable et diabolique. Étymologiquement parlant, il est donc diabolique de vouloir diviser les atomes naturellement réunis, comme le fait l’industrie nucléaire. De même, diabolique pourrait aussi qualifier l’action de vouloir diviser le nerf de la dent du reste minéral de la dent, que la vie a naturellement réuni. C’est pourtant ce que fait la dentisterie moderne dans la dévitalisation dentaire. Une dentisterie qui installe ainsi la mort dans les organismes vivants. Laisser des organes morts dans le corps est pourtant une interdiction majeure en médecine en raison du risque de gangrène qui pourrait advenir ensuite. On pourrait qualifier pour cela cette dentisterie de thanato dentisterie ou dentisterie diabolique aussi pourquoi pas compte tenu de l’étymologie du mot diabolique. En opposition à cette dentisterie qui rend malade ses patients, il existe la bio dentisterie qui n’accepte de garder que des dents vivantes en bouche et propose donc l’élimination des dents mortes ou dévitalisées. Une dentisterie qui représente un espoir considérable pour la santé de millions de personnes malades.

Bruno Darmon Dr en chirurgie dentaire

Annexe.

Complément sur certaines analogies entre nos centrales nucléaires et celle de Tchernobyl.

Des notes confidentielles d’EDF attestent de la dangerosité du réacteur EPR et de tous les réacteurs nucléaires en France.

Le Réseau “Sortir du nucléaire” a reçu le lundi 27 septembre 2010 des documents internes à EDF qui démontrent que la conception et la fabrication d’éléments du couvercle de la cuve de l’EPR de Flamanville sont de nature à provoquer un accident de type Tchernobyl.

Plus grave encore, selon une note rédigée par le Chef du Département combustibles nucléaires d’EDF en 2001 (1), un accident de type Tchernobyl est possible sur tous les réacteurs nucléaires français. L’EPR est également concerné.

Plusieurs documents EDF démontrent que le nombre de soudures et le type d’acier utilisé dans certaines parties du couvercle de la cuve du réacteur EPR à Flamanville peuvent provoquer une fuite de cette cuve. EDF juge que cette fuite peut, à son tour, dégénérer en un accident de type Tchernobyl. L’acier défaillant et les soudures font partie du système d’arrêt d’urgence du réacteur nucléaire EPR et concernent 89 points d’entrée dans la cuve du réacteur.

Les documents EDF reçus par le Réseau “Sortir du nucléaire” démontrent que les ingénieurs d’EDF ont conçu des parties du couvercle de la cuve de l’EPR qui mettent en péril la sûreté du réacteur EPR et violent, en toute connaissance de cause, la réglementation française (2) relative aux équipements nucléaires sous pression.

Pour le Réseau “Sortir du nucléaire”, la conclusion s’impose : en toute conscience des problèmes, EDF persiste dans une politique qui sacrifie la sûreté aux impératifs économiques ! Au regard des conséquences catastrophiques d’un éventuel accident, cette légèreté est impardonnable.

Failles de conception, toxicité accrue des déchets, atteinte de limites technologiques, vulnérabilité à des attentats (voire au cyber-terrorisme)… Avant la remise par EDF du rapport de sûreté sur Flamanville, le Réseau “Sortir du nucléaire” souhaite rappeler la liste de tous les problèmes du réacteur. En France, en Finlande et ailleurs, il est urgent de mettre définitivement fin au programme EPR, et d’engager la transition vers un futur sans nucléaire.

Interrogée par l’AFP, EDF n’a pas démenti ces informations alarmantes.

Le Réseau “Sortir du nucléaire” prépare donc une lettre à l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN).

* Lien vers les documents EDF et notre analyse détaillée : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/EPR-revelations2.html
* Soutenir le Réseau “Sortir du nucléaire” : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/soutien.html

Les cavitations

September 19, 2010 on 12:42 pm | In Non classé | Comments Off

Les cavitations.

Sachez que c’est un sujet qui est presque aussi important pour la santé que le sujet des dents dévitalisées qui pour certains: dentistes, médecins et scientifiques, représente le sujet le plus important aujourd’hui pour la santé de millions de personnes malades.

Les cavitations sont des cavités à l’intérieur des os des mâchoires qui sont très toxiques pour l’organisme mais souvent ne donnent aucune douleur locale. Il s’agit d’un problème encore moins connu que le problème des dents dévitalisées et aussi d’un sujet qui lui est très lié car les cavitations sont la plupart du temps une conséquence de la toxicité des dents dévitalisées. Quand une dent dévitalisée est restée de longues années dans l’os de la mâchoire et qu’on l’extraie, il est très fréquent que l’os reste affecté par la présence de l’usine à toxine que représentait la dent dévitalisée. L’os aura alors du mal à cicatriser correctement ce qui provoquera une cavitation. On comprend bien pourquoi plus vite on se débarrasse de ses dents dévitalisées et mieux on se portera en évitant notamment d’avoir des cavitations.

Les cavitations concernent, comme les dents dévitalisées, une grande partie de la population. La France est d’ailleurs le pays européen le plus concerné. Sa population a le plus de dents dévitalisées par habitant, deux à trois fois plus en moyenne que les autres européens. Cela est du au bon système de remboursement français (sécurité sociale et mutuelles) pour la couronne sur dent dévitalisée qui est l’acte le plus rentable de la dentisterie conventionnelle, après les implants . La France est aussi comme par hasard le pays où il y a le plus de cancers en Europe. Le jour où on comprendra qu’il existe un lien de causalité très important entre cancer et dents dévitalisées, voire cavitations, on aura fait un grand pas.

Si il a été bien souvent prouvé que dans nombre de pathologies, enlever les dents dévitalisées est une mesure extrêmement efficace pour retrouver la santé (explorer le site www.sante-dents.com et vous le verrez), il se pourrait bien qu’on s’aperçoive un jour que le traitement des cavitations est , après l’élimination des dents dévitalisées, une thérapeutique extrêmement efficace pour soigner les maladies et revitaliser les organismes. Cela peut s’expliquer notamment par le fait qu’il s’agit encore une fois d’une médecine des causes. Les médecines visant à supprimer les causes sont toujours plus efficaces que celles qui ne traitent que les effets.

Paradoxalement, le sujet des cavitations n’intéresse quasiment personne dans le monde médical, en France notamment. C’est somme toute logique puisque quasiment personne ne s’intéresse non plus en France au sujet de la toxicité des dents dévitalisées qui lui est très lié. Dans les pays germanophones et anglophones notamment, où on s’intéresse beaucoup plus à la toxicité des dents dévitalisées, on s’intéresse aussi logiquement beaucoup plus aux cavitations. On les appelle les N.I.C.O. en anglais qu’on peut traduire par cavité osseuses non infectieuses même si parfois elles sont aussi infectieuses semblent-t-il.

Le désintérêt du monde médical pour le sujet des cavitations et des dents dévitalisées peut se comprendre dans une société où les motivations économiques sont généralement prédominantes sur toutes les autres. Les dentistes ne s’y intéressent donc pas puisque ce sont justement les dentistes qui dévitalisent les dents ce qui provoque ensuite des cavitations. Autant demander aux fabricants d’amiante d’admettre la toxicité de l’amiante ou aux médecins qui vaccinent de reconnaître la toxicité des vaccins etc… Quant-à la médecine, comme le sujet des cavitations est subtil et en rapport avec les dents, elle l’a délégué aux dentistes, tout comme le problème des dents dévitalisées. A chacun son domaine. Les seuls médecins qui auraient pu s’y intéresser sont les stomatologistes mais d’une part ils sont débordés de travail tant il y a de dents de sagesse à extraire (dues à l’excès de carnivorisme qui rétrécit les cranes donc les mâchoires) et d’autre part, le Ministère a eu la bonne idée il y a quelques années, de supprimer cette spécialité médicale qui faisait parait-il double emploi avec celle des dentistes. Il y a donc de moins en moins de stomatologistes qui sont de plus en plus débordés. A peu près à la même époque, la sécurité sociale a eu la mauvaise idée de faire rembourser les traitements de vis intracanalaires et les inlay cores (dits aussi les tenons), qui ne se font que sur dent dévitalisée. Cette mesure a bien sûr incité encore plus les dentistes à dévitaliser les dents et bizarrement depuis, les cancers augmentent encore plus malgré toutes les campagnes de préventions possibles…Quant aux industries pharmaceutiques, elles recherchent toujours le médicament miracle pour tuer les cellules cancéreuses ou le vaccin miracle pour le cancer et d’autres maladies. Le traitement des cavitations, tout comme l’élimination des dents dévitalisées d’ailleurs, ne peut donner lieu à aucun médicament qui permettrait des profits importants à une quelconque industrie pharmaceutique. Ce sujet n’intéresse pas non plus les scientifiques, du moins ceux que j’ai contactés. Ils ont peur qu’on leur reproche de marcher sur les plates bandes des autres corporations, surtout si cela peut les contrarier. Ils risqueraient ainsi qu’on leur supprime leurs crédits de recherche. Dans le monde scientifique aussi, il existe des sentiers dont il ne faut pas s’écarter au risque de perdre ses revenus. Voici d’ailleurs un exemple instructif. Le professeur Garel est un scientifique libre penseur. Il ne plaisait pas toujours à sa hiérarchie au CNRS. Il était Directeur de recherche au CNRS et en a été licencié parce qu’il s’intéressait à des travaux hors norme dans le monde scientifique. Il travaillait plus précisément sur les mesures de vitalité par cristallisation sensible. Une méthodologie qui avait déjà été explorée par un groupe qui était plus ou moins catalogué de secte. Le CNRS l’a alors licencié. Le professeur Garel qui s’intéressait beaucoup au thème de la vitalité est aussi un des rares scientifiques français à avoir pris position sur le sujet des dents dévitalisées pour dire qu’elles dévitalisaient ceux qui en possédaient, tout comme il a pris aussi position sur le sujet des vaccins dans la même direction. Notre société n’a visiblement pas encore la maturité de comprendre que les différences, dans le domaine médical et scientifique notamment, sont une richesse et non un élément à éradiquer « ..les braves gens n’aiment pas que, l’on suive une autre route qu’eux » chantait Georges Brassens. Une chanson sur laquelle nous devrions encore méditer un peu…

Tout notre système médical et scientifique organisé en spécialités est incité d’une certaine façon par notre société à ne pas s’intéresser au sujet. Si on a mal au pied on va consulter un spécialiste du pied, si on a mal au ventre on consulte un spécialiste du ventre etc… Personne n’imagine que ces maux de pied ou de ventre peuvent provenir de dents dévitalisées ou de bouts d’os pourris dans la bouche, qui plus est ne font pas mal. Les psychologues ont mis un siècle à faire comprendre que des maladies pouvaient avoir des origines psychologiques, il faudra bien encore un siècle pour comprendre qu’elles peuvent aussi avoir une origine dentaire, d’autant plus que la bouche est ou a été pleine de dents dévitalisées.

Quant aux patients, le sujet des cavitations tout comme celui des dents dévitalisées, est assez subtil à comprendre, il faut l’avouer et il est difficile de les y sensibiliser. Il n’est pas si facile de comprendre qu’il existe des dents qui rendent service ou des bouts d’os pourris dans la mâchoire qui ne font pas mal la plupart du temps, qui peuvent provoquer toutes sortes de maladies à distance de la tête aux pieds. Les dentistes holistiques qui se sont penchés sur le sujet se sont aperçus en plus que ce sont justement souvent les zones osseuses ou les dents, les moins douloureuses, qui provoquent à distance le plus de problèmes de santé. C’est comme si la douleur locale constituait un barrage pour éviter que le problème ne se diffuse dans le reste de l’organisme. Il n’est donc pas facile de convaincre les patients de les opérer de ces zones qui ne font pas mal pour soigner des zones du corps éloignées de la bouche.

Ceux qui ont enlevé leurs dents dévitalisées et ne guérissent pas toujours ont parfois du mal à comprendre pourquoi, même si elles ne sont plus là, les dents dévitalisées peuvent être encore une cause de leurs maladies. Et pourtant c’est logique et c’est comme le gros fumeur qui s’arrête de fumer et ne peut espérer retrouver immédiatement des poumons neufs après avoir fumé pendant des années. Des années de tabac ont inévitablement abimé les poumons. Eh bien des années de dents dévitalisées ont aussi inéluctablement abimé l’os qui les contenait et il faut non seulement enlever les dents dévitalisées mais aussi soigner l’os pour vraiment guérir à distance les affections qui en sont la conséquence. On comprend donc pourquoi mieux vaut éviter d’avoir des dents dévitalisées et que sinon, il vaut mieux les enlever le plus vite possible, même si on n’est pas encore malade.

Quand on sait que ce sujet est une clef essentielle de la santé, le désintérêt généralisé du monde médical pour ce sujet est véritablement très dommage dans une société qui se ruine à rechercher de nouveaux traitements et à soigner ses malades toujours plus nombreux. Des maladies chroniques qui ne disparaissent pas après l’élimination des dents dévitalisées et divers autres soins de revitalisation, de corrections alimentaires, psychologiques etc… peuvent souvent s’expliquer par la persistance de cavitations qu’il faut traiter pour guérir totalement les patients. J’en ai fait plusieurs fois l’expérience. Mais en France, quasiment personne dans le monde médical ne s’y intéresse

Il est donc important que le public s’intéresse à ce sujet, pour qu’un jour les professionnels s’y intéressent à leur tour étant donné que les patients sont en grande partie soignés en fonction de leurs croyances et de leurs demandes. L’assurance maladie l’avait bien compris jadis lorsqu’elle avait fait une campagne pour expliquer au public, et non pas aux professionnels, que « les antibiotique c’est pas automatique ». Une diminution significative des prescriptions d’antibiotiques s’en est alors suivi prouvant par là même que lorsque les patients veulent moins d’antibiotiques, on leur en prescrit moins. Lorsque suffisamment de patients seront donc demandeurs qu’on leur enlève leurs dents mortes ou dévitalisées qui leur pourrissent la santé en pourrissant dans leurs os des mâchoires, les professionnels s’y intéresseront alors vraiment. Idem par conséquent pour les cavitations. Idem aussi pour les traitements alternatifs de cancérologie. Tant que la majorité des patients croiront que la seule solution pour soigner le cancer est d’irradier l’organisme avec des rayonnements radioactifs (la radiothérapie) et de lui injecter des poisons cellulaires (la chimiothérapie), les autres solutions auront du mal à émerger et seront même persécutées car on ne rigole pas avec la santé, c’est bien connu…

La cavitation provoque des maladies par des mécanismes un peu similaires, mais pas tout à fait identique toutefois, à ceux de la dent dévitalisée, qu’on appelle communément l’infection focale. La cavitation est souvent une niche de bactéries toxiques qui diffusent ses toxines mais c’est aussi un trou d’os qui perturbe la circulation de l’énergie. Arriver à guérir les cavitations peut se révéler très efficace pour redonner la santé aux patients, comme je l’ai déjà dit. Il m’est parfois arrivé de soigner immédiatement des maladies qui résistaient à tout, juste en soignant une cavitation. Il y a quelques témoignages vidéo qui en parlent sur le site www.sante-dents.com. Le traitement des cavitations est donc en soi un nouvelle médecine, tout comme enlever des dents dévitalisées d’ailleurs. Une médecine extrêmement efficace puisque les médecins chinois savent bien que « ce qui est en haut domine ce qui est en bas ». Les cavitations se trouvant dans la bouche se trouvent de fait au dessus de tout le reste du corps quasiment. L’expérience me montre d’ailleurs que lorsque les dents dévitalisées sont déjà retirées, le traitement des cavitations est bien souvent plus efficace que tous les autres traitements que je pouvais appliquer, comme l’acupuncture ou la phytothérapie par exemple. La conscience de l’existence des cavitations est bien sûr aussi un élément de plus, s’il en fallait, pour comprendre aussi la grande toxicité des dents dévitalisées.

Les cavitations se situent généralement à l’endroit où se trouvaient les dents dévitalisées. Je dis généralement car si la plus grande erreur de la dentisterie moderne est sans aucun doute la dent dévitalisée, il existe d’autres erreurs de la dentisterie qui peuvent causer des cavitations même lorsqu’à l’origine il n’y avait pas de dent dévitalisée. Une trop forte anesthésie notamment avec vasoconstricteur fera que l’alvéole dentaire ne saignera pas suffisamment après l’extraction et cela pourra provoquer une cavitation. Il m’est arrivé de faire faire le poirier à des patients après une extraction pour augmenter la pression sanguine au niveau de la tête et provoquer un saignement des alvéoles dentaires qui venaient de subir les extractions. Les alvéoles ne saignaient pas car j’avais mis probablement trop d’anesthésie avec vasoconstricteur pour réduire le saignement par constriction des vaisseaux sanguins. Il est important après les extractions que le patient reparte avec l’alvéole remplie de sang, car sinon, c’est l’alvéolite la plupart du temps. L’alvéolite est une infection très douloureuse de l’alvéole qui contenait la dent. En cas d’alvéolite, j’utilisais personnellement un mélange de poudre de propolis et d’huiles essentielles pour remplir les alvéoles dentaires sans abimer l’os mais je sais que le laboratoire Véléda propose aussi un produit naturel qui m’a l’air très bon pour soigner les alvéolites. Si on utilise un produit toxique pour soigner l’alvéolite, comme il est courant d’en utiliser, on fabriquera alors une cavitation. En cas d’alvéolite après l’extraction, les produits classiques utilisés par la dentisterie conventionnelle pour soigner l’alvéolite (pâtes antibiotiques ou les pâtes à base de formol) sont assez toxiques pour l’os et peuvent donc provoquer des cavitations.

Pour éviter l’apparition des cavitations après extraction de dents dévitalisées, les dentistes holistiques américains conseillent aussi d’enlever une couche d’os d’environ un millimètre autour de la dent dévitalisée juste après l’extraction, surtout au niveau de la zone apicale (l’extrémité de la racine). Ensuite on curète manuellement l’os mou donc affecté, avec une curette jusqu’à tomber sur de l’os assez dur. On retirera ainsi l’os le plus imprégné de poisons. J’ai toutefois constaté plusieurs fois que cela n’est pas toujours suffisant pour éviter l’apparition de cavitation. Cette action peut aussi parfois être très délicate et donc elle est parfois à éviter compte tenu de certains impératifs anatomiques.

Si très souvent la cavitation est totalement indolore, tout comme la dent dévitalisée, la présence de cavitation peut parfois contribuer à rendre la gencive douloureuse, tout comme la dent dévitalisée aussi d’ailleurs. Parfois la douleur ne sera présente que lorsqu’on mettra son dentier ce qui pourra empêcher de l’utiliser lors de la mastication. Évidemment cela constitue un inconvénient de plus à l’élimination des dents dévitalisées qui est certes bien moins important que de perdre la santé mais il faut toutefois le connaître. Certaines personnes n’arrivent toujours pas à manger des aliments durs avec leur dentier, des années après la perte de dents, notamment de dents dévitalisées. Néanmoins la mastication sur le dentier contribuera à soigner un peu les cavitations par effet de massage qui provoque avec la douleur, un afflux de sang. La prothèse amovible est donc aussi un outil de guérison des cavitations, ce que le bridge sur dent vivante n’est pas par exemple car le pont du bridge n’appuie pas sur la gencive.

La mise en évidence des cavitations n’est pas facile à réaliser. La radiographie osseuse avec injection de Technetium radioactif est un outil que le Dr Meinig, l’américain qui a écrit des ouvrages sur la toxicité des dents dévitalisées, disait avoir utilisé sur lui même. Personnellement, j’hésiterai à me faire injecter un produit radioactif dans l’os même si c’est un examen médical courant aujourd’hui. On peut aussi faire un scanner de la bouche qui peut parfois les mettre en évidence mais pas toujours. Un oeil avertit peut parfois les voir avec une simple radio panoramique dentaire. Des personnes possédant un appareil de morathérapie ou autre appareil du même genre, utilisant des ondes magnétiques pulsées notamment, peuvent aussi parfois arriver à diagnostiquer la présence de cavitations avec les mesures électroniques réalisées par ce genre d’appareil. Mais l’outil issue de la technologie moderne le plus performant et le moins invasif qui soit est apparemment le Cavitat. C’est un outil utilisant les ultrasons ce qui est quand même très peu invasif par rapport aux outils qui utilisent les rayonnements ionisants. Néanmoins le Cavitat ne peut pas faire la différence entre de l’os malade d’une cavitation et de l’os en train de se régénérer après une extraction dentaire car la seule chose que le Cavitat peut mesurer c’est la densité osseuse. Cela est quand même un problème car dans le second cas, il n’est pas toujours une bonne idée d’ouvrir la cavité osseuse pour la nettoyer car on retarderait encore la cicatrisation osseuse qui peut prendre parfois une ou deux années. Si la gencive est toujours douloureuse au toucher plusieurs mois après l’extraction, et que le Cavitat montre une moindre densité osseuse, on peut alors en déduire qu’il existe une zone toxique mais sinon mieux vaut s’abstenir de réintervenir même si le Cavitat montre une zone de moindre densité car ce pourrait bien être une zone en cours de cicatrisation osseuse et non une cavitation. Il faut donc être vigilant sur les démarches systématiques qui veulent systématiquement tout réouvrir. Je sais que certains dentistes holistiques à l’étranger possédant un cavitat, appliquent de tels protocoles et opèrent leurs patients après les avoir dopé pour qu’ils ne se sentent pas trop fatigués ensuite par l’intervention. Mais cette stratégie n’est peut-être pas la stratégie idéale à long terme pour la santé. Si on ne risque pas de se tromper en proposant systématiquement l’élimination de toutes les dents dévitalisées, il faut être plus prudent pour opérer systématiquement toute zone osseuse de moindre densité qui se trouverait dans les maxillaires surtout si les extractions dentaires ont été récentes.

Si à la radio, l’os des maxillaires montre toutefois la présence de corps étrangers, il faut alors toujours essayer de réintervenir pour les éliminer chirurgicalement. Les bouts de racine par exemple, qu’on retrouve souvent dans les os des mâchoires sont aussi toxiques que les dents dévitalisées bien sûr car la toxicité de la dent dévitalisée est concentrée dans sa racine (la partie enfouie) et non dans sa couronne (la partie émergée). C’est la racine qui diffuse dans l’os les toxines et bactéries toxiques dans l’organisme via l’os de la mâchoire. J’ai dit qu’on retrouvait souvent des racines dans les os des mâchoires car lorsque les dentistes extraient des dents dévitalisées qui sont trop pourries pour supporter des couronnes, les dents cassent facilement. Les racines cassent donc facilement et comme peu de dentistes ont conscience de la toxicité que représente la racine, ils leur arrive assez fréquemment de ne pas s’embêter à l’extraire et donc ils la laissent dans l’os. J’ai dernièrement discuté avec un stomatologiste qui m’expliquait qu’il ne voyait pas l’intérêt d’extraire une racine dans l’os qui ne faisait pas mal et qui était si soudée à l’os qu’elle semblait ne faire plus qu’un avec son os. En plus il risquait fortement soit disant de léser le nerf dentaire du patient. Ce serait pourtant une grave erreur de laisser cette racine en place et cela pourrait être fatal au patient car il présentait une récidive de cancer malgré l’élimination de toutes ses dents dévitalisées. Les concepts d’infection focale ne sont semble-t-il pas non plus enseignés en France aux stomatologistes.

L’absence fréquente de douleurs de la dent dévitalisée, de la cavitation, et de racines aussi par conséquent s’explique par la présence de toxines qui paralysent le système nerveux. Des toxines paralysantes proches de la toxine botulique que la médecine esthétique aiment bien injecter dans les organismes sous l’appellation de Botox. Avec l’absence de douleurs, personne ne se plaint donc de ces racines pourries qui empoisonnent sournoisement les organismes comme le font aussi les dents dévitalisées d’ailleurs.

On trouve aussi parfois dans les os des mâchoires, des bouts d’obturations métallique ou d’autres corps étrangers qui sont tombés lors de l’extraction. Ce pourra être aussi des bouts de cône antibiotique qui ne se sont pas résorbés et qui ont été mis juste après l’extraction pour la prévention d’une éventuelle infection. L’enfer est pavé de bonnes intentions, on le sait et cet antibiotique abimera l’os. Mais ce qu’on trouve le plus fréquemment, ce sont les dépassements de pâte endo-canalaire. C’est la pâte qui sert à remplir les canaux des racines après en avoir extirpé le nerf et les vaisseaux sanguins dans l’acte de dévitalisation. Très souvent le dentiste envoie cette pâte dans l’os de la mâchoire sans s’en apercevoir lors du remplissage du canal dentaire car c’est un acte qui ne peut se faire qu’à l’aveugle. Cette pâte est souvent constituée de produits anti-inflammatoire à base d’hydrocortisone pour que le patient ne ressente aucune douleur après la dévitalisation. Cette pâte sera encore plus difficile à enlever que la dent dévitalisée elle même. Avec cette pâte à l’hydrocortisone dans l’os, c’est un peu comme si l’organisme était soumis en permanence à un peu de cortisone ce qui contribue au dérèglement du système endocrinien tout en perturbant localement la reminéralisation de l’os de la mâchoire.

Tous ces corps étrangers qui abiment l’os ont des répercussions toxiques sur le reste de l’organisme. Il est donc préférable si possible d’ôter tous ces corps étrangers des os des mâchoires et de faire en sorte de ne pas risquer d’en introduire, notamment en dévitalisant les dents. Un os abimé provoque un trouble énergétique qui aura des répercussions sur le reste de l’organisme, je l’ai souvent constaté. Pour avoir une répercussion néfaste à distance, il n’est pas nécessaire qu’il y ait une cavitation, il suffit juste que l’os soit abimé, sans même parfois de modification de la densité osseuse. Le Cavitat est alors ici inutile et seuls des tests énergétiques permettront de s’en rendre compte. Parfois au contraire d’une cavitation qui correspond à une nette diminution de la densité osseuse bien sûr, il peut s’agir d’une augmentation de la densité osseuse qui elle aussi est perturbatrice, je l’ai aussi parfois constaté. Il faudra alors fraiser dans cet os pour qu’il cicatrise alors de nouveau correctement.

Hormis ces cas où la densité osseuse est augmentée et où il y a des corps étrangers dans l’alvéole, certains dentistes pensent qu’il vaut mieux injecter des produits qui vont aider à la régénération osseuse, que de réintervenir chirurgicalement pour cureter les cavitations. Les avis sont toutefois partagés sur le sujet et certains sont des inconditionnels du bistouri. Il y a donc ceux qui veulent systématiquement intervenir chirurgicalement et ceux qui veulent systématiquement injecter des produits dans l’os car ils estiment qu’intervenir chirurgicalement a plus d’inconvénients que d’avantages. J’ai rencontré les deux types de dentistes en Allemagne, en Suisse, aux Etats-Unis et en France aussi bien sûr et j’ai écouté leurs arguments. Entre les deux approches, il existe la possibilité de juste stimuler l’ostéogénèse en piquant simplement la zone cavitationnaire pour la faire saigner. Je discutais encore dernièrement avec un dentiste suisse allemand qui m’expliquait que des dentistes holistiques travaillaient en collaboration avec des thérapeutes qui en touchant les pieds des patients, déterminaient par les zones douloureuses des pieds, les zones osseuses précises de la bouche qui étaient malades. Le dentiste effectuait ensuite un petit trou dans l’os maxillaire à l’endroit indiqué par le thérapeute et cela améliorait ainsi la santé du patient après que la cavitation se soit remplie de sang.

En France personne à ma connaissance ne possède de Cavitat, probablement car l’appareil est très cher, que personne quasiment dans le public n’est conscient du problème des dents dévitalisées et donc des cavitations et que logiquement l’examen n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Je connais en Allemagne et en Angleterre des dentistes qui en possèdent. C’est logique, puisque les dentistes de ces pays s’intéressent aussi bien plus que les dentistes français au problème des dents dévitalisées et que là bas ils ne sont pas persécutés pour cela.
Même si le Cavitat est sans aucun doute le meilleur outil issu de la technologie pour voir les cavitations, il lui manque une dimension énergétique que par exemple l’appareil de morathérapie possède. L’appareil de morathérapie mesure les flux électromagnétiques du corps humain et permet donc de déceler les zones qui présentent des blocages énergétiques. Mais pourtant selon moi le meilleur outil pour savoir où intervenir pour traiter les os malades des maxillaires n’est pas issu de la technologie mais d’un savoir faire qui ne nécessite aucun appareillage. Il faut juste savoir faire du diagnostic énergétique en maitrisant le R.A.C. (réflexe auriculo cardique de Nogier) ou les tests de kinésiologie par exemple. On peut toutefois coupler, pourquoi pas, Cavitat, appareil de morathérapie et tests énergétiques sans appareillages.

Lorsque j’ai fait un stage de formation à la clinique Paracelsus où les médecins et les dentistes sont bien conscients du problème des dents dévitalisées et des cavitations, je me suis rendu compte qu’on y était très timide pour ouvrir les os des mâchoires pour traiter les cavitations car l’expérience leur avait montré que bien souvent les patients avaient ensuite beaucoup de mal à se remettre de l’intervention. Les dentistes de la clinique Paracelsus préfèrent alors plutôt injecter des produits, notamment des produits du laboratoire Sanum dans la cavitation directement. Le laboratoire Sanum que les dentistes et médecins suisse allemands affectionnent, je l’ai constaté, fourni des solutions bactériennes qui désintoxiquent les zones d’injection par l’action de digestion des bactéries vis à vis des matières mortes et toxiques qui stagnent dans l’organisme. Des matières parfois dues aux dents dévitalisées bien sûr et autres poisons mais aussi parfois dues à l’utilisation intempestives d’antibiotiques. Des antibiotiques qui ont tué des bactéries qui certes rendaient malades mais qui aussi avaient un rôle de désintoxication car les bactéries mangent les poisons en général. On comprend pourquoi les antibiotiques sont aussi des poisons à un certain niveau même s’ils sauvent des vies aussi j’en conviens. En fait en plus des produits Sanum, je pense aujourd’hui qu’il existe un certain nouveau produit en injection qui peut éviter la plupart des interventions chirurgicales des os des mâchoires. Un produit qui a néanmoins l’inconvénient d’être très douloureux à injecter mais c’est un inconvénient somme toute négligeable par rapport aux inconvénients des cavitations, nous en parlerons plus tard.

La cavitation n’est pas obligatoirement due à la présence de toxiques dans la zone osseuse mais aussi à une diminution du potentiel ostéogénique du patient. La diminution du potentiel ostéogénique en français courant signifie que l’os n’arrive pas à se reconstituer correctement. Le fait de l’ouvrir et le cureter à nouveau n’est donc pas toujours alors la bonne solution, car la cavité pourra alors ne pas se reboucher d’os et le problème perdurer. J’ai discuté avec un stomatologiste qui a traité chirurgicalement des centaines de cavitations et qui me disait que bien souvent elles persistaient même après son traitement. On voit souvent cela avec les personnes plutôt maigres donc plutôt déminéralisées et les personnes âgées qui ont moins d’énergie vitale. L’indication est alors encore plus les injections plutôt que d’ouvrir chirurgicalement la zone cavitationaire car le traitement pourrait alors être pire que le mal provoqué par la cavitation. C’est ce qu’on voit souvent en cancérologie quand le patient meurt guéri de son cancer car il n’a pas supporté le traitement….

Le traitement classique de la cavitation préconisé par la plupart des dentistes est toutefois le traitement chirurgical. On ouvre et on curette la zone. Si on décide d’opérer une cavitation, la technique chirurgicale la moins traumatisante consiste à ouvrir le moins possible la cavitation et à la gratter en aveugle ou presque. Dans cette technique on évitera les anesthésies tronculaires au maxillaire inférieur notamment car dès qu’on s’approchera du nerf dentaire, le patient ressentira une douleur qui permettra d’éviter de léser le nerf dentaire, ce que l’anesthésie tronculaire (dite aussi anesthésie à l’épine de Spix) ne permettrait pas car cette technique anesthésie le nerf dentaire. On anesthésiera donc juste localement au niveau de la cavitation. Évidemment avec cette technique, on verra bien moins ce qu’on curète que si on ouvre largement l’os pour mieux voir. Une certaine sensibilité manuelle rend toutefois inutile quasiment le fait de trop bien voir. Moins on ouvre l’os et meilleures seront les suites opératoires car une perte osseuse inutile est aussi préjudiciable d’un point de vue énergétique, je l’ai aussi constaté. Il faudra aussi éviter trop de vasoconstriction lors de l’anesthésie car il est important que le site opératoire saigne bien sinon il ne cicatrisera pas correctement. Parfois il est toutefois nécessaire d’utiliser des vasoconstricteurs, chaque cas est particulier. Des techniques énergétiques permettent de savoir quel anesthésique il faudra utiliser. La morphologie du patient peut aider aussi à choisir l’anesthésique. Les palo-maigrichons hypotendus n’ont pas besoin de vasonstricteurs tandis que les patients plutôt sanguins bien rouge du visage, les hypertendus, en ont souvent besoin pour éviter une trop fort saignement inutile lors de l’intervention. On préfèrera alors de la noradrénaline comme vasoconstricteur en première intention, conservant l’adrénaline uniquement pour les cas d’hémorragies. Lorsqu’on ne sait pas faire d’écoute énergétique, prendre la tension du patient avant l’intervention peut donc être utile pour le choix de l’anesthésie. Les hypertendus auront droit à une anesthésie avec vasoconstricteurs tandis qu’on évitera les vasoconstricteurs pour les hypotendus. Il existe maintenant des petits appareils bien pratiques, les tensiomètres, pour prendre la tension qui évitent au dentiste l’utilisation du stéthoscope et de la pompe à air qui sont d’utilisation plus délicate.

Les cavitations peuvent se situer dans des zones qui n’ont jamais eu de dents dévitalisées ni aucun corps étranger. C’est par exemple le cas des dents de sagesse incluses qui ont dues être enlevées notamment avec une forte élimination osseuse. Une stimulation de la régénération osseuse de la zone de la dent de sagesse peut alors permettre de guérir des affections à distance. Enlever de l’os n’est donc pas anodin pour la santé générale. En ayant pris conscience de cela, je suis maintenant un peu perplexe sur les pratiques de certaines implantologistes qui préconisent parfois des prélèvements osseux dans le crane pour pouvoir placer leurs implants sur des zones maxillaires qui manquent d’os. Les patients en ressortent bizarrement fatigués pour de longues années, alors qu’une bonne prothèse amovible n’aurait jamais eu ces inconvénients. Il n’est pas anodin par conséquent de prélever de l’os à un endroit pour le mettre ensuite à un autre endroit.
Aujourd’hui j’ai même conscience que la simple anesthésie dentaire pour enlever une dent de sagesse un peu trop loin au fond de la bouche, par exemple, est capable de provoquer un trouble énergétique qui aura des répercussions néfastes sur la santé. Si on peut donc effectuer une anesthésie par acupuncture ou autrement qu’en injectant de l’anesthésie, ce n’en sera que mieux car même l’anesthésie est un poison ne l’oublions pas.

Quoiqu’il en soit quand on y arrive, guérir les cavitations est en soi une médecine qui peut guérir de multiples maladies souvent bien mieux que beaucoup d’autres choses car c’est une médecine des causes. Le traitement des cavitations n’est pas juste une réflexologie comme certaines autres réflexologies (auriculaire et plantaire par exemple) ni une médecine qui n’éliminent pas à les causes (la plupart des médecines). Afin de vous faire un peu plus prendre conscience de toute la puissance de certains traitements cavitationnels, non chirurgicaux, j’ai demandé à un de mes patients d’effectuer un petit témoignage assez instructif car tout discours théorique a bien plus de valeur lorsqu’il est associé à des faits.

Le voici par conséquent.

Témoignage de M Stéphane G.

J’ai aujourd’hui 69 ans et il y a un peu plus d’une quinzaine d’années je suis allé consulter à Grasse le Dr J.G. Thomas, aujourd’hui à la retraite, à cause de divers problèmes de santé et plus précisément de très importantes douleurs de dos ainsi que des problèmes du tube digestif. C’est un médecin qui recevait des patients de toute la France tant ses résultats étaient extraordinaires. Mes affections étaient tellement importantes que j’avais été mis en arrêt de travail longue durée. Je me suis mis à manger bio et je suis devenu végétarien, pensant que ma santé s’améliorerait, ce qui a d’ailleurs été un peu le cas. Le Dr Thomas m’a fait de l’acupuncture principalement et extraire toutes mes dents dévitalisées comme il le conseillait de faire à tous ses patients. Ma santé est alors revenue progressivement. Néanmoins parfois des symptômes persistaient et de nouveaux apparaissaient aussi pouvant faire croire que les dents dévitalisées n’y étaient alors pour rien. Tout cela était toutefois moins grave que mon état de santé déplorable au début où je l’ai consulté. J’ai continué alors à me faire soigner par l’acupuncture, la phytothérapie, les huiles essentielles, l’homéopathie, et d’autres médecines encore car ces symptômes était quand même parfois assez gênants et handicapants. Je faisais même des séances de kinésithérapie et certains voulaient me faire de la psychothérapie car ils pensaient mes maux d’origine psychologique. Tout cela me faisait du bien mais mes problèmes de santé persistaient. Je suis allé alors consulter le Dr Darmon qui identifia qu’il y avait des zones dans ma bouche qui restaient toxiques à l’endroit précis où j’avais eu jadis des dents dévitalisées, même si aujourd’hui elles avaient été extraites. Elles avaient empoisonné l’os et la gencive dans lesquels elles avaient séjourné pendant des années. Ce sont ces zones toxiques qui provoquaient selon lui à distance divers problèmes de santé, ce qu’il mit en évidence en faisant certains tests particuliers. Selon lui c’était des cavitations. Ces zones n’étaient pas toujours douloureuses. Il me fut fait alors divers traitements de ces zones toxiques, des injections plus précisément, et à chaque fois mes problèmes de santé qui duraient pourtant depuis des mois parfois, disparaissaient dans les jours suivants et parfois même dans l’heure qui suivait le traitement. Je retrouvais aussi toujours de la vitalité en même temps. J’ai eu trois traitements et à chaque fois ces résultats étonnants se produisaient. Mes symptômes disparaissaient soit complétement, soit suffisamment pour que je n’ai plus besoin ensuite de le consulter à nouveau. Ces traitements des zones toxiques de la bouche, où il y avait eu des dents dévitalisées jadis, constituent donc pour moi des traitements qui me sont apparus plus efficaces, à chaque fois, que tout ce que j’avais fait auparavant et je suis prêt à en témoigner par téléphone ou directement à toute personne qui se déplacera pour me rencontrer. Aujourd’hui je n’ai plus aucun problème de santé, ne prends aucun traitement médical et je m’estime en très bonne forme puisqu’il m’arrive de marcher une trentaine de kilomètres dans une journée sans être particulièrement fatigué et sans douleurs alors qu’avant ma santé était si mauvaise et mes douleurs si importantes que j’avais même du être mis en arrêt de travail longue durée.

M Stéphane G. Mai 2010.

Ce Monsieur qui n’a pas internet, a accepté que son numéro de tel soit mis directement sur internet mais je préfère ne pas le mettre pour le préserver. Si vous souhaitez lui téléphoner , contactez moi au préalable par email en me laissant un numéro de tel fixe, je vous rappellerai et vous communiquerez éventuellement son numéro de tel pour l’appeler si vous voulez vérifier l’authenticité de ce témoignage.

Sur ce patient, je n’ai effectué que des traitements non chirurgicaux car j’estimais que des traitements chirurgicaux auraient fait plus de mal que de bien. Les cavités ne se seraient probablement pas reminéralisé en les ouvrant et les grattant. C’est ce qui arrive quand l’organisme n’a plus suffisant de vitalité pour reminéraliser ces cavités osseuses. Il ne suffit pas toujours de gratter les contours osseux empoisonnés pour que la cavité se reminéralise. Des chercheurs ont essayé divers produits pour reminéraliser ces cavités, notamment de l’homéopathie mais rien ne semble probant dans ce domaine. Quand on sait comment fonctionne l’homéopathie, rien d’étonnant car c’est une médecine qui introduit des poisons pour stimuler une réaction de l’organisme un peu comme le font les vaccins en quelque sorte. L’organisme s’en trouve alors globalement un peu plus dévitalisé encore. L’homéopathie ne pourra rien pour reminéraliser des cavités car il serait nécessaire de lui apporter de l’énergie et non pas de lui en enlever. Il y aurait plus de chance à injecter des produits issue de la biothechnologie comme le font les produits du laboratoire Sanum, On pourrait aussi rechercher dans le domaine de la phytothérapie ou mieux encore de la cristallothérapie qui sont des concentrés d’énergie, d’autant plus que l’os possède lui même une structure cristalline avec ses cristaux d’hydroxyapatite. Un cristal qui en plus se transformerait en calcium qui est le principal constituant de l’os serait idéal à injecter. Eh bien il se trouve que ce cristal existe. La Silice est un cristal qui se transforme en Calcium en milieu organique c’est à dire en présence de Carbone, selon les travaux de transmutations à basse énergie développés par Kervran. Mais si en plus cette Silice est chargée d’énergie, cela n’en est que mieux et c’est ce que M. Plocher à réussi à effectuer avec une de ses poudres qu’il nomme Terre de Silice. M. Plocher est un allemand génial qui a réussi à capter l’énergie libre de l’univers et à l’imprégner sur divers supports dont justement une poudre de Silice, en poussant les travaux de Wilhelm Reich sur l’Orgone. Ce produit permet de reminéraliser les cavitations qui ainsi ne provoquent plus les maladies à distance. Il suffit de l’introduire dans la cavitation. On mélange cette poudre préalablement stérilisée à de l’eau stérile injectable et on l’injecte après avoir localisé précisément la cavitation. L’injection est parfois fortement douloureuse, c’est un inconvénient certes. C’est un peu comme si on ressentait une brulure dans l’os qui reçoit l’injection, c’est pourquoi il peut parfois se passer une demi heure pour injecter un à deux millilitres. Ensuite on peut encore ressentir de la douleur dans la zone pendant quelques jours parfois. C’est tout à fait le contraire de la démarche antalgique qui supprime artificiellement la douleur qui est une réaction normale d’alerte et de défense de l’organisme. Une démarche qui s’inscrit dans une médecine aux effets secondaires qui produit à terme la cohorte de grabataires et de handicapés que connait aujourd’hui notre société. La médecine moderne a en effet pour philosophie de supprimer à tout va et chimiquement en plus, les réactions désagréables du corps en général et la douleur en particulier, plutôt que de laisser agir ces mécanismes d’auto-guérison en mettant au repos et à la diète par exemple les patients et en leurs prescrivant des plantes médicinales. Le grand naturopathe Marcheseau disait à ce sujet que nos médecins modernes font le serment d’Hippocrate à la fin de leur études dans lequel il est mentionné « Primum non nocere », c’est à dire « premièrement ne pas nuire », puis toute leur vie professionnelle ils le parjurent en utilisant des médicaments poisons. Cette maxime est encore plus vraie pour les dentistes qui dévitalisent des dents, totalement saines parfois pour effectuer plus facilement des bridges.

Là avec ces injections, c’est tout le contraire d’une démarche chimique qui baisse toujours l’énergie de l’organisme et avec la douleur, c’est la vie en quelque sorte qui revient aussi dans la zone d’injection. En soignant la zone cavitationnaire, c’est comme si on ouvrait un portail énergétique qui bloquait la circulation de l’énergie. Les résultats thérapeutiques obtenus sont souvent étonnants comme le témoignage précédent en atteste et dépassent souvent la plupart des autres techniques car encore une fois il s’agit d’une médecine des causes. Parfois des symptômes mineurs apparaissent suite à cette injection pour mieux guérir ensuite une affection majeure. J’ai en effet déjà vu des fièvres qui clouaient les personnes au lit pour une semaine, des zonas très douloureux et même parfois des réactions d’ordre psychologiques étonnantes se déclencher juste après cette piqure. Ils ne représentaient qu’une forme transitoire d’élimination des poisons qui étaient coincés dans la cavitation et qui sortaient tout simplement soit par le corps soit par le cerveau, pour mieux être éliminés ensuite par l’organisme dans une logique de désintoxication et de ré-énergétisation. Ces symptômes accompagnaient toujours un retour vers une certaine guérison. Mais comme tout, cette technique ne suffit pas toujours à tout guérir. La médecine ce n’est pas si simple qu’une seule technique suffise pour tout traiter.

Néanmoins, avec ces injections j’ai observé parfois des améliorations de diverses maladies graves comme sclérose en plaque et cancer chez des personnes qui avaient préalablement enlevé leurs dents dévitalisées mais qui pourtant ne pouvaient pas être considérées comme guéries mais juste améliorées. Les cavitations consécutives aux dents dévitalisées perturbaient encore trop leur santé visiblement.

Ce texte étant trop long pour mon blog il a été coupé en deux et la suite est à http://dent.devitalisee.free.fr/?p=127

Témoignage en rapport avec le mal de dos, dit « mal du siècle ».

July 8, 2010 on 4:34 pm | In Non classé | Comments Off

Témoignage en rapport avec le mal de dos, dit « mal du siècle ».

J’ai aujourd’hui 59 ans, j’étais enseignante de français; à l’heure actuelle j’enseigne le yoga et des techniques de développement personnel.

J’avais des maux de dos et de genoux depuis des années mais qui sont devenus très importants dès l’âge de 38 ans. Auparavant, j’étais en excellente santé et je faisais beaucoup de sport. Je faisais notamment plus de trente kilomètres de vélo par jour.

A cause des maux de dos, lorsque je me levais du lit le matin, je devais m’accrocher aux murs ou à n’importe quoi pour me relever, C’était un calvaire pour me mettre en station debout. C’était pareil pour me relever d’une chaise ou d’un fauteuil. J’avais constamment des douleurs dans le dos et dans les genoux. Je souffrais même la nuit en dormant. Lorsque je marchais il m’arrivait de me mettre à hurler de douleur. Parfois je ne pouvais même pas descendre une marche d’escalier sans hurler. Un seul pas pouvait occasionner des souffrances terribles.J’appréhendais de devoir sortir de chez moi. Ma seule envie, c’était de rester couchée et même couchée j’avais mal. Ma vie était un enfer. Selon le Dr Darmon, si je n’ai pas eu envie de me suicider, c’est que je n’avais pas de dents dévitalisées dans la mâchoire du haut qui est en rapport direct avec le cerveau.

J’ai vu pendant plus d’une dizaine d’années des tas de médecins, des kinésithérapeutes et fait de multiples examens. Ils voulaient bien que je prenne des anti-inflammatoires mais je ne voulais plus de médicaments chimiques car plus jeune j’en avais trop pris, et j’avais eu trop d’effets secondaires. Je ne pouvais bien-sûr pas travailler et j’avais un dossier en cours de reconnaissance de mon statut de handicapée. Un spécialiste de rhumatologie m’a dit après nombre d’examens que j’avais les genoux d’une femme de quatre vingt ans, alors qu’à l’époque je n’en n’avais que quarante. Selon lui, il n’y avait qu’une seule chose à faire: couper les articulations et les remplacer par des prothèses métalliques de genoux. Mais je faisais une formation pour devenir professeur de yoga et une élève de yoga m’a convaincue de ne pas le faire car elle-même l’avait fait et depuis elle avait perdu beaucoup de mobilité.

J’ai donc cherché dans le domaine des médecines douces d’autres solutions. J’ai essayé l’argile et tous les jours je me faisais des cataplasmes. Cela me faisait un peu de bien. J’ai essayé aussi la phytothérapie dont notamment l’Harpagophytum, cela aussi me faisait un peu de bien. J’ai essayé aussi les huiles essentielles. Des kinés me mettaient des électrodes autour des genoux. J’ai lu de nombreux ouvrages de naturopathie. J’ai alors amélioré ma diététique en supprimant notamment les aliments acidifiants. J’ai éliminé les tomates, les pamplemousses, les oranges, les laitages. J’ai mangé plus d’aliments alcalinisants: pommes de terre, châtaignes etc…. Je mangeais quasiment strictement bio depuis aujourd’hui une trentaine d’années. J’ai diminué aussi tout ce qui contenait du gluten, le blé notamment. Tout cela m’a donné une légère amélioration mais dès que je remangeais ces produits, toutes mes douleurs revenaient. Je continuais le yoga et passais mon temps à rechercher et essayer tout ce qui aurait pu me faire du bien dans le domaine des médecines douces. Ce que je trouvais m’apportait parfois un peu de soulagement mais j’avais toujours énormément de douleurs. J’avais décidé alors de m’acheter une jolie canne pour marcher, à l’âge de 45 ans !!!!!!!!!!

Un jour j’ai lu dans le Biocontact de l’année 2000 un article sur les dents dévitalisées du scientifique du CNRS le Professeur J.P. Garel qui parlait des dangers des dents dévitalisées et des travaux d’un éminent scientifique américain le Professeur Boyd Haley sur la toxicité des dents dévitalisées. Je suis alors allé voir un dentiste qui a examiné ma dentition et qui m’a dit que tout allait très bien. Il voulait juste me mettre une couronne sur une dent mais pour lui il n’y avait aucune infection en bouche et donc il n’y avait aucune raison d’enlever de dents ou même de retraiter quoique ce soit.

Chaque année j’allais au salon des médecines naturelles à Marseille et une année il y avait une conférence du Dr Melet sur la toxicité des amalgames au mercure. A la fin de la conférence, j’ai posé la question pour savoir ce qu’il pensait des dents dévitalisées même s’il n’en avait pas parlé. Pour lui ce n’était pas un problème, le seul problème c’était les amalgames au mercure. Après la conférence, le Dr Darmon qui y était présent, est venu me voir et nous avons parlé. Je suis ensuite allé le consulter à Cannes et il m’a enlevé mes sept dents dévitalisées en une séance. Après chaque extraction de dent, il enlevait l’os autour de la dent avec une fraise. Il m’a fait ensuite de l’acupuncture et appliqué des huiles essentielles pour éviter de prendre des médicaments car il préférait que j’évite de prendre des médicaments chimiques et même de l’homéopathie.

Tout de suite après ces extractions, je n’ai plus jamais eu mal au dos jusqu’à ce jour d’aujourd’hui soit environ dix ans plus tard. Le lendemain des extractions j’ai même marché des kilomètres dans Marseille, j’ai monté et descendu des escaliers toute la journée sans avoir mal aux genoux. Je n’ai plus eu de douleurs ni la nuit ni le jour, ni du dos ni des genoux.

Par la suite j’ai revu de nombreux dentistes notamment holistiques dont certains écrivent même des livres et font des stages et à chaque fois je leur témoignais mon histoire. Et à chaque fois ils essayaient de me montrer tous les inconvénients de ce qui m’avait été fait, notamment que cela m’avait fait perdre de l’os des mâchoires, que maintenant j’avais un dentier. Ils me disaient tous que c’était vraiment une erreur d’avoir enlevé mes dents dévitalisées. Je comprends très bien que des dentistes qui ont dévitalisé des centaines de dents dans leur vie professionnelle auront toujours beaucoup de mal à reconnaître tout le mal que provoquent les dents dévitalisées !!!!!!!!

Un peu après les extractions, j’avais vu un rhumatologue à Grasse, le Dr J.G. Thomas qui m’avait dit que si j’avais fait les prothèses de genoux tout en ayant gardé les dents dévitalisées, à cinquante ans j’aurais été selon lui sur un fauteuil roulant.

Quelques années plus tard, j’ai eu de nouveau un peu mal aux genoux, notamment au genou gauche (vraiment pas grand chose par rapport avec ce que j’avais avant). Mais toutefois c’était un peu gênant notamment pour rester en position du lotus en yoga et lorsque je marchais longtemps. J’avais déménagé à Grenoble et quand il faisait très humide j’étais plus gênée. J’ai téléphoné au Dr Darmon qui me parla de techniques de traitements des mémoires des dents dévitalisées. Je le consultais à nouveau. Il me fit alors une injection dans la mâchoire du bas, du côté gauche, là où il y avait eu une dent dévitalisée jadis. Peut-être n’avait-il pas suffisamment bien enlevé tout l’os intoxiqué autour de la dent qu’il avait extraite jadis, m’a-t-il dit. Après cette piqûre, j’ai pu à nouveau rester en position du lotus et mon genou gauche ne me fit plus mal.

Depuis ces soins, ma qualité de vie a complètement changé. Je me sens libre dans mon corps, je pratique à nouveau de nombreux sports. Bien que je sois végétarienne (ni viande, ni poisson, ni œufs), je mange à nouveau de temps en temps, des laitages, des tomates, du gluten et des fruits acides. Cela ne me provoque plus de douleurs de dos ni de genoux. Même s’il m’arrive parfois d’avoir encore un peu mal aux genoux, je me considère toutefois comme guérie.

Françoise B.

Commentaire du Dr Darmon.

J’avais aussi discuté avec le médecin toxicologue, le Dr Melet, du problème des dents dévitalisées, avant la conférence de Marseille dont parle ce témoignage, et avant qu’il ne se suicide (il avait probablement des dents dévitalisées à la mâchoire du haut). Je lui avais parlé de toutes les guérisons que j’avais obtenu en enlevant les dents dévitalisées. Il m’avait répondu que c’était parce que les dents devaient avoir des amalgames au mercure et n’avait rien voulu entendre de plus sur le sujet, semblant tellement sûr de lui sur ce point. Le problème est que j’ai enlevé des amalgames au mercure dès 1990 et que j’ai fait cela sur tous mes patients, soit des centaines, pendant environ cinq ans avant de commencer à comprendre qu’il fallait aussi leur proposer d’enlever leurs dents dévitalisées. Certes la santé de mes patients s’améliorait après avoir enlevé leurs amalgames, c’est vrai on ne peut le nier, mais l’amélioration n’avait rien à voir avec celle qu’on obtient en enlevant les dents dévitalisées. La patiente qui témoigne ici avait certes des amalgames au mercure sur ses dents dévitalisées mais elle n’aurait jamais obtenu une telle guérison en ne faisant qu’enlever ses amalgames. Le Dr Davo KOUBI qui a amené dans le Sud de la France la conscience de la toxicité des dents dévitalisée et qui était connu pour nombre de guérisons extraordinaires, n’enlevaient pas les amalgames au mercure et même en mettait. En discutant avec lui, il me disait même du bien des amalgames au mercure. Dans ce monde où nous sommes aujourd’hui noyés sous des tonnes d’informations, il est donc plus que jamais important de savoir relativiser. Aujourd’hui nous sommes envahis de tellement de poisons que trop peu de personnes, et même des toxicologues, prennent conscience à sa juste mesure, de la véritable importance du poison que représentent les dents dévitalisées. Certes, certains poisons sont encore plus graves que les toxines que produisent les dents dévitalisées, je ne le conteste nullement. Ingérez du Strontium ou du Césium radioactif tous les jours comme le font les animaux de Tchernobyl, et comme ils le feront pendant des millénaires voire des millions d’années, car la radioactivité met des milliers, voire des millions d’années à disparaître, et vous mourrez certainement encore plus vite qu’avec vos dents dévitalisées. L’espace naturel de Tchernobyl représente pour eux un piège mortel dans lequel des générations d’animaux viendront mourir. Des études scientifiques ont montré que Tchernobyl était un endroit où bien plus qu’ailleurs les animaux venaient s’installer. Ils y viennent et s’y trouvent bien car ils y rencontrent moins qu’ailleurs de concurrence. La concurrence meurt en effet très rapidement. Tchernobyl qui en apparence est donc un havre de paix pour eux est en réalité un piège mortel. Eh bien la dent dévitalisée, c’est un peu pareil pour les êtres humains. En apparence, la dent dévitalisée a de multiples avantages. Elle évite l’extraction et le dentier. Mais en réalité, la dent dévitalisée est un piège mortel pour les êtres humains car c’est un organe mort qui engendrera inévitablement la mort. Plus vite on comprendra tout cela et mieux on se portera.

un autre témoignage.

Un témoignage d’une personne qui est passé dans mon centre de revitalisation:

J’ai 60 ans et je travaille dans l’Éducation Nationale. Suite aux conseils de mon ostéopathe de Digne, j’ai rencontré le Dr Bruno DARMON qui m’a conseillé de faire enlever toutes mes dents dévitalisées, soit onze au total. Il faut dire que j’avais de graves douleurs de dos depuis six ans due à une sciatique latérale gauche, que plus personne n’arrivaient à soulager. Après des années de kinésithérapie de diverses sortes (Mezières, standard etc….. ) je suis résolue à passer sur la table d’opération en janvier, ce qui m’a permis de retrouver de la mobilité. Des douleurs continues et aiguës persistaient toutefois. Elles étaient devenues tellement intolérables qu’en dernier recours, sur les conseils du chirurgien, j’ai pris le maximum de Dolipranes autorisés, soit 600 mg par jour, sans aucun résultat. J’ai également pris de l’ibuprofène qui ne m’a pas soulagé non plus. De plus depuis treize ans je prenais des antidépresseurs et d’autres médicaments pour des problèmes psychologiques graves qui m’occasionnaient divers effets secondaires (fatigues, problèmes de concentration perte de mémoire).

Le Dr Darmon m’a convaincue qu’il fallait enlever mes dents dévitalisées. Il m’a accompagnée chez un dentiste qui a accepté de m’enlever mes onze dents dévitalisées. Etant donné que ni le Dr Darmon, ni moi même ne sommes favorables à la prise de médicaments chimiques, j’ai passé une dizaine de jours chez lui afin qu’il puisse gérer mes douleurs post-chirurgicales sans y avoir recours. Voici les divers traitements appliqués:
Application de pierres semi précieuses.
Acupuncture (aiguilles et cautérisations).
Application d’huiles essentielles.

Je garde d’ailleurs les pierres et les huiles essentielles que j’utilise parfois quand des douleurs reviennent. Aujourd’hui je constate que j’ai pu arrêter tous mes médicaments allopathiques. Mes douleurs de dos sont aujourd’hui nettement moindres.

Pendant ce séjour d’une dizaine de jours, début Aout, j’ai apprécié le calme d’un chalet de montagne en pleine nature, d’une belle chambre d’hôte, de conseils en diététiques ayurvédiques, de pouvoir utiliser divers appareillages thérapeutiques (fauteuils de massages notamment), de nourriture saine et biologique (mixée toutefois), et de nombreux livres intéressants. Le tout pour un prix raisonnable de 60 euros par jour. Je n’étais évidemment pas dans un hôtel trois étoiles mais mon objectif étant essentiellement thérapeutique , j’en ai été pleinement satisfaite car je vois que j’ai retrouvé de la vitalité.

Le plus important est que je me suis sentie accompagnée et rassurée dans cette épreuve chirurgicale où malgré ces onze extractions je n’ai pris aucun médicament et j’ai même pu arrêter tous ceux que je prenais auparavant. J’ai retrouvé une vivacité intellectuelle que j’avais perdue depuis plusieurs années.

Tatiana D. La Bastide, le 10 aout 2010.

email tania.doubledent@orange.fr
Si vous désirez vérifier l’authenticité de mon témoignage, vous pouvez me parler au téléphone, et même me rencontrer si vous vous déplacez dans le Sud-Est. Je vous rappellerai si vous laissez un numéro de tél. fixe (je ne rappelle pas les portables) sur votre email.

Fin.

témoignage en rapport avec la maladie d’Alzheimer.

July 3, 2010 on 8:07 pm | In Non classé | Comments Off

Témoignage en rapport avec la maladie d’Alzheimer.

Après avoir exercé comme psychologue- formatrice en entreprises, durant plus de vingt ans, je me suis retrouvée au chômage et j’ai été amenée à m’occuper d’une dame atteinte de la maladie d’Alzheimer, amie de ma famille.
 
Cette personne âgée de 78 ans, jouissait d’un standing social très aisé : épouse d’un grand chirurgien de renommée nationale, vie mondaine, plusieurs propriétés dans toute la France, dont une à Cannes où elle résidait lorsque je l’ai rencontrée.
 
Elle a évolué dans la vie, entourée d’un personnel de maison à son service, femme de ménage, cuisinière, jardinier, gouvernante… le tout, géré d’une main de fer, avec un tempérament autoritaire et capricieux. Je tiens ces propos de ses propres enfants et amis.
L’époux décédé, cette dame se retrouva seule : dépression, alcoolisme mondain et maladie d’Alzheimer. Elle ne garda autour d’elle qu’une femme de ménage qui assumait également la cuisine. Mais la maladie d’Alzheimer empirant, cette employée ne pouvait dépasser le cadre légal de sa fonction, d’où la recherche d’une dame de compagnie qui faisait également office de gouvernante. Je fus embauchée dans cette optique durant deux ans.
Voilà pour l’historique.
 
Je rencontrais donc, une très jolie femme, mais très diminuée quant à ses capacités intellectuelles. Très douce, gentille, aimable, elle avait le comportement d’une enfant perdue, sans toutefois perdre la raison. Consciente de son chagrin dû au deuil de son mari, elle parlait souvent de lui. Il lui arrivait de traverser des phases de confusion durant lesquelles elle pensait qu’il était présent dans la maison. Par ailleurs, elle s’en remettait complètement à moi quant à l’organisation interne des contingences de la maison :
gestion de la femme de ménage, course, papiers administratifs. Bref, elle ne gérait plus rien. Je rendais des comptes précis aux enfants une fois par semaine qui avaient toute confiance en moi, conscients de la dégradation de son état mental, due à la maladie d’Alzheimer.
 
Au bout d’un an de travail avec cette dame adorable, cette dernière fut prise d’une rage de dents et se réveilla un matin, le visage tout enflé.
Je téléphonais alors au Docteur DARMON
La dent dévitalisée qui faisait mal fut extraite plutôt que retraitée et une seconde dent dévitalisée fut également extraite, bien qu’elle ne faisait pas mal mais, selon le Dr Darmon elle pouvait elle aussi participer à sa maladie d’Alzheimer. Il ne lui resta donc ensuite plus aucune dent dévitalisée.
 
Une semaine après une bonne cicatrisation, quelle ne fut pas ma surprise de constater que la gentille dame avec qui je vivais depuis un an se transforma en une “patronne” autoritaire et désagréable, reprenant la gestion de sa maison, donnant des directives sur la cuisine, voulant aller faire les courses elle-même au marché, s’intéressant à nouveau, avec brio, à ses papiers, tenant des propos des plus cohérents et retrouvant la mémoire.

Les enfants demeurant dans la Loire et la région parisienne surpris d’un tel changement, lors de leur conversation téléphonique avec la maman, ne tardèrent pas à se déplacer à Cannes afin de constater avec stupéfaction le changement de comportement en question…. et moi d’entendre leurs propos : “c’est fou, maman est redevenue comme avant !!!” Oui, même si, pour le personnel ce fut l’enfer, pour cette dame, ce fut un rétablissement spectaculaire de ses capacités mentales, intellectuelles et même physiques.
Ce qui n’est pas peu dire… J’ai eu l’impression d’avoir affaire à une autre personne…
J’avais été avertie par le Docteur DARMON des possibilités d’amélioration, mais à ce point, je n’en croyais pas mes yeux ni mes oreilles…
 
A la suite de cette période de deux ans de travail avec cette dame, j’ai donc quitté cet emploi.
 
Marie-Josée S.
 
Contact : angele_110@yahoo.fr
Les personnes qui veulent vérifier la véracité de mes propos peuvent m’envoyer un mail.
S’ils veulent que je converse avec eux par téléphone je les rappellerai sur leur numéro de téléphone fixe (je ne rappelle pas les portables) et les rencontrerai, s’ils le désirent, pour leur confirmer de vive voix, toute l’authenticité de mon témoignage. 

médecine physique, suite

June 18, 2010 on 5:30 pm | In Non classé | Comments Off

Des centaines de personnes qui auraient pu être débarrassées de leurs dents dévitalisées, restent maintenant dans la voie de la maladie à cause de cette influence. Ce collègue est aussi très versé dans la conservation de la vitalité dentaire. Il a donc tenté de me sauver ma dent en lui conservant sa vitalité. Comme il y avait une chance de la sauver je lui demandai de me la soigner sans anesthésie, afin de ne pas l’empoisonner et lui donner plus de chance de survivre. La carie atteignait quasiment le nerf, mais bon, avec un peu de contrôle mental ça ne pose pas de problème. Après avoir éliminé la carie jusqu’au nerf, le copain dentiste a appliqué sur la pulpe dentaire que n’importe quel dentiste ( du conseil de l´ordre notamment) aurait extirpé, un vernis à base de résine de mélèze de la fabrication d’un ami commun producteur de plantes médicinales. Officiellement on apprend aux dentistes à appliquer de l’hydroxyde de calcium dans ce cas là, mais ça ne marche pas aussi bien. La dent fut alors sauvée. Néanmoins deux années plus tard environ, elle se remit à faire mal comme si elle était en train de mourir. C’est juste à ce moment là que je tombais sur les enseignements de Hildegarde de Bingen, quel bon hasard. C’est donc aussi à cette époque que je commençais à me laver les dents avec de l’eau très froide. La dent malade me faisais encore plus mal que les autres lorsque j’y appliquais l’eau très froide, signe qu’elle était encore vivante, en partie au moins. Je fis aussi un autre traitement original sur la dent en souffrance. La dent faisait mal à la percussion axiale, signe d’une inflammation interne assez importante qui présage généralement une future nécrose. Comme je sais que la douleur n’est pas juste un signal d’alarme mais aussi un mécanisme thérapeutique, eh bien je la percutais régulièrement dans son axe, pour me faire encore plus mal, en me donnant dessus des coups d’index. Il existe divers traitements par la douleur dans les médecines naturelles, notamment en acupuncture, mais ce n’est pas ici le sujet. La douleur permet aussi de libérer des électrons à partir des nerfs et donc possède un effet thérapeutique. C’est d’ailleurs en supprimant les douleurs par des antalgiques ou anti-inflammatoires chimiques (qu’on considère comme un grand progrès de la civilisation) qu’on fait le lit de toutes les maladies graves d’autant plus qu’on a supprimé les douleurs des dents en les dévitalisant. Pour que le coup sur ma dent soit plus violent encore, l’index était détendu d’un coup après avoir été retenu par le pouce. A chaque coup je ressentais une forte douleur que j’exprimais même par un petit cri. Je fis cela trois ou quatre jours seulement et étonnement, un matin la dent ne fit plus mal du tout. Des mois plus tard, la dent est toujours là sans aucune douleur, et bien vivante. Dans ce cas précis, je peux dire que j’ai soigné ma dent par de la médecine physique uniquement en évitant soigneusement toute démarche chimique qui aurait pu supprimer la douleur de la dent. Toutefois en relisant ce texte plus d’un an après, je dois avouer qu’environ moins d’un an après, elle s’est quand même nécrosé, et j’ai donc du l’extraire. Je pense qu’elle devait vraiment être trop atteinte. Si la dent avait eu une carie, j’aurais coincé aussi en plus dans la carie un clou de girofle mais là, le clou de girofle aurait abimé la reconstitution en composite par l’essence qu’il produit et donc je ne l’ai pas fait. Il n’est toutefois pas impossible que ce genre de traitement (eau très froide, percussion axiale, et clou de girofle) permette de soigner une carie, pas trop profonde, en la reminéralisant, sans même avoir besoin du dentiste. A confirmer toutefois car je ne l’ai pas encore vérifié. J’ai eu aussi un témoignage de caries qui se sont soigné seules par ingestion de colostrum de vache.

Mais revenons à nos électrons.
Toutes ces explications sont surtout là pour dire que pour que la vie fonctionne, la vie a besoin de mouvement et donc d’électrons car les électrons apportent l’énergie de mouvement nécessaire à la vie. Attention n’essayez pas d’arrêter de respirer en mettant deux doigt dans la prise électrique en pensant qu’ainsi ce sera aussi bien….. Je ne pense pas que ça ira mieux pour vous…. car même les bonnes choses deviennent mauvaises quand elles sont appliquées avec excès.
Ce sont donc les électrons et non l’oxygène qui constituent véritablement le moteur de la vie. D’ailleurs dans certaines conditions de vie anaerobies, c’est à dire en absence d’oxygène, il peut exister des formes de vie, qui fonctionnent sans oxygène. Elles fonctionnent alors avec du soufre, qui lui aussi est un élément qui a la capacité de s’ioniser négativement et donc de transporter des électrons. A l’intérieur des dents dévitalisées il n’y a pas d’oxygène et les bactéries anaérobies des dents dévitalisées ont d’ailleurs un métabolisme soufré puisqu’elles produisent des thio-éthers (Thio signifie Soufre en chimie) qui sont d’ailleurs très toxiques pour nos organismes. Les bactéries anaerobies des dents dévitalisées qui comportent en plus un amalgame au mercure peuvent d’ailleurs fabriquer du dimethyl sulfure mercure qui est un poison redoutable.

Mais d’où viennent donc ces électrons qui permettent la vie ? Ils viennent du Soleil comme je l’ai déjà dit d’ailleurs, car les rayons lumineux du Soleil appelés photons ne sont en fait qu’une certaine forme d’électrons qui se déplacent dans l’Univers. Sans Soleil, il n’y aurait pas de vie c’est bien connu. La Terre elle, apporte les matériaux de construction à la vie, dont le carbone qui est un élément essentiel. Notre vie a donc besoin autant de la Terre pour apporter des matériaux de construction que du Soleil pour apporter des électrons.

Si le moteur de la vie est donc en fait les électrons, on peut comprendre que lorsqu’on est malade, c’est à dire que la vitalité donc la vie tourne un peu au ralenti, il peut être intéressant d’y apporter des électrons tout simplement.

Il existe à vrai dire différentes façons d’apporter des électrons mais ce qui est sûr c’est qu’en apporter trop comme je l’ai déjà expliqué, ne serait pas la meilleure idée pour retrouver la santé. Demandez donc à ceux qui ont essayé de mettre les doigts dans une prise électrique de vous en parler un peu.

Il existe aussi de multiples appareils qui apportent des électrons, notamment sous forme d’ondes magnétiques pulsées. Une simple pile de 9 volt dont le pôle négatif (qui fournit les électrons) serait mis en contact d’une zone malade et le pôle positif relié au côté opposé dans le corps, peut avoir un effet thérapeutique. Deux bouts de tissus humidifiés peuvent servir d’électrodes en les reliant avec un petit fil électrique aux bornes de la pile. Et si cela ne suffit pas mettez deux ou trois piles de 9 volt en série pour obtenir 18 ou 27 volts. Il existe divers appareils qui utilisent l’effet thérapeutique des courants faibles. Certains sont certes plus sophistiqués que le Biopiezo mais bien plus chers aussi. Le Biopiezo est en fait l’appareil que j’ai croisé qui a le meilleur rapport qualité prix à ma connaissance et que je vous conseille vraiment de vous procurer.

L’appareil biopiezo est une excellente façon d’apporter des électrons aux organes malades. Lors de son utilisation, il est toutefois conseillé de toujours le laisser en mouvement sur la peau, par des mouvements circulaires autour de la zone à traiter car ça peut piquer fort si la pile est neuve, même au plus petit débit, car il existe une mollette de débit des électrons.

Vous pouvez facilement trouver cet appareil sur internet ou en allant dans les boutiques Sédao.

Ce petit appareil pourra même vous servir à faire de la réflexologie dentaire et comprendre comment vos dents dévitalisées vous empoisonnent. Il suffit pour cela d’appliquer le biopiezo sur les joues en regard de vos dents dévitalisées, toujours en faisant des ronds pour ne pas le laisser immobile. Vous pourrez alors constater que certains symptômes à distance disparaissent. Si en plus vous mettez de l’huile essentielle de thym sur un coton tige et que vous frictionnez avec ce coton tige, les collets des dents dévitalisées, ça fonctionnera encore mieux. Vous pourrez même utiliser le biopiezo après avoir fait enlever vos dents dévitalisées. Il faudra l’’appliquer sur les joues en regard des dents dévitalisées extraites car celles ci laissent persister dans l’os de la mâchoire, des poisons qui continueront à provoquer des maladies à distance. Idéalement il faudrait inventer un petit appareil qui puisse délivrer directement des électrons dans les gencives, précisément là où il y a eu des dents dévitalisées. En effet, même une fois les dents dévitalisées enlevées, l’os qui était autour d’elles reste empoisonné. Je suis en train de travailler à un tel appareil qui sera fait sur mesure avec une empreinte dentaire. On mettra dans la bouche une sorte de gouttière qui apportera des électrons aux endroits précis où il y en a besoin….. Si on arrivait à soigner ces zones ce serait bien sûr très efficace car on soignerait une cause encore une fois. Ce serait ici, les zones toxiques laissées par les anciennes dents dévitalisées extraites. Et soigner la cause est toujours plus efficace que de ne soigner que les effets.

En tout cas en appliquant le biopiezo sur vos joues en regard de vos dents dévitalisées, vos douleurs de dos peuvent alors partir un peu et momentanément, confirmant donc la relation de cause à effet entre les dents dévitalisées et les douleurs du dos. On peut aussi appliquer directement le biopiezo sur les douleurs de dos ou d’autres douleurs. Mais cela marche pour d’autres problèmes de santé aussi, et pas juste pour les douleurs. En gros il faut aussi appliquer le biopiezo en regard de l’organe malade. L’organe rechargé en électrons sera alors en partie soigné.

Attention, je ne veux pas dire non plus que le Biopiezo suffit à lui seul dans toutes les pathologies mais je veux juste dire que ce peut être un adjuvant intéressant voire très intéressant je vous assure, d’autant plus qu’il peut être utilisé par tous simplement sans posséder de connaissances particulières.

Le biopiezo n’est pas le seul appareil thérapeutique qui agit en délivrant des électrons, comme je l’ai déjà dit au début de ce texte. Il existe d’autres appareils thérapeutiques qui produisent du courant électrique ou des champs magnétiques pulsés. Ils sont toujours plus chers que le biopiezo qui bat tous les records qualité prix à ma connaissance, sauf l’aiguille d’acupuncture qui est aussi un petit générateur d’électrons et de magnétisme. On en parle même dans la Bible dans « l´exode », plus précisément lorsqu´on y parle d´une tige d´airain entouré d´un serpent de cuivre qui guérirait les malades qui le verraient. Lorsque j´en ai parlé à mon ami acupuncteur qui est aussi un fervent fidèle, il ne faisait aucun doute que cette description biblique représentait une aiguille d´acupuncture.

Certains autres appareils qui produiront des électrons et du magnétisme sont toutefois peut-être encore plus efficaces que le biopiezo mais beaucoup plus chers aussi. Je ne vous parlerai pas de tous ceux que je connais mais en voici un autre que je vous ai sélectionné car j’estime qu’il a fait ses preuves puisque les séances de cet appareil sont même remboursées par l’assurance maladie hollandaise, ce qui est une certaine preuve d’efficacité. C’est l’appareil d’APH thérapie. Son prix est certes plus élevé (environ 1000 euros) et son utilisation un peu plus complexe que le biopiezo car il s’agit de placer sur la peau des électrodes qui vont délivrer soit un courant continu soit de impulsions électriques. L’appareil fonctionne lui aussi avec une pile 9 volt, comme le biopiezo. Cet appareil n’est pas encore disponible aussi facilement que le biopiezo sur internet. Pour vous le procurer je n’ai que les coordonnées de l’importateur du produit pour la France Karem Moojen tel 0659042219

Certains scientifiques ont mis aussi en évidence que les cellules cancéreuses étaient très électropositives donc qu’elles manquaient d’électrons. Dans le traitement du cancer on a donc aussi réalisé avec succès des traitements électriques jadis mais on les a abandonné pour diverses raisons, plus d’ordre philosophique d’ailleurs. Pourquoi faire autre chose que la radiothérapie ou la chimiothérapie quand on pense que la seule solution au cancer est de tuer les cellules cancéreuses. Le Dr Nordenstrom (co-créateur du cathéter à ballonnet, un ancien membre de l’Assemblée Nobel) utilisait pour traiter les cancers des traitements électriques, d’une durée d’une heure par session, sur une période de plusieurs mois. Les tumeurs régressaient, et certains patients étaient en rémission complète. Personnellement je conseille en cas de cancer localisé de passer le biopiezo sur la zone affectée.

Mais comme vous l’avez compris, la respiration apporte aussi des électrons et une bonne façon d’en apporter un peu plus encore est de respirer plus fort que normalement. On commence par gonfler le ventre pour abaisser le diaphragme puis on écarte les épaules en fin d’inspiration. Ensuite on souffle en effectuant les mouvements inverses dans le même ordre. En augmentant l’amplitude sans même augmenter le rythme de notre respiration, on absorbera plus d’oxygène et donc plus d’électrons. On apportera alors plus de vitalité à nos cellules et cela permettra de réparer bien des choses donc de soigner même des maladies parfois. C’est une méthode totalement gratuite celle ci, mais il faut juste en connaître l’existence, ce qui est fait maintenant pour vous qui avez lu ce texte. Cette méthode permet même d’effectuer des psychothérapies émotionnelles en faisant ressurgir des émotions enfouies susceptibles de perturber notre santé. Et cela sans l’aide d’un psychothérapeute. En augmentant sa respiration tout simplement, on peut soigner bien des choses, on peut même évoluer et on débranche le mental pour accéder à l’instant présent qui constitue une porte d’accès à notre divinité. Mais tout cela est trop simple pour être enseigné dans notre société, c’est comme le médecine physique en général d’ailleurs.

Une autre façon d’apporter de l’énergie est sous forme de chaleur. La chaleur ce sont aussi des électrons mais moins énergétiques que ceux de la lumière. La chaleur est effectivement constitué de radiations, les infrarouges qui sont aussi moins énergétiques que la lumière donc les photons. Une méthode simple est d’utiliser une bouillotte en la positionnant à certains endroits. Se coucher avec une bouillotte aux pieds et sur le ventre peut faire beaucoup de bien, c’est simple mais pensez y aussi. En Asie, on utilise une technique où on appose des pierres chaudes sur le corps. Une autre façon excellente d’amener de la chaleur, lorsqu’on possède un poêle à bois est de se mettre devant le poêle à bois mais plus exactement le dos nu devant le poêle à bois jusqu’à ce que le dos rougisse bien. C’est dans le dos que se situent tous les points d’acupuncture qui commandent toutes les fonctions organiques. Des points que l’on peut stimuler par les techniques d’armoise qui se consument sur les points. Mais le poêle à bois est aussi une très bonne méthode. Lorsque je reçois des patients l’hiver alors que le poêle à bois fonctionne, ils passent généralement tout d’abord devant le poêle à bois avant toute chose. Le sauna est aussi une méthode très intéressante pour ramener de la chaleur. On s’est aperçu que cela permettait même se sortir du corps les métaux lourds à travers la transpiration. Pour les bronchites, il existe une méthode d’enveloppement de la poitrine de serviettes chaudes que l’on change régulièrement dès qu’elles refroidissent.
Toutes ces méthodes d’apport de chaleur n’ont qu’une seule contre-indication, les problèmes cardiaques avec une augmentation du rythme cardiaque car la chaleur augmente encore le rythme cardiaque, il faut le savoir.

En conclusion pour se soigner, électronisons nous, soit par le Soleil, soit par l’électricité soit par la respiration soit par la chaleur.

Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire.

Appel du 18 juin 2010 pour la santé.

June 18, 2010 on 12:07 pm | In Non classé | Comments Off

Appel du 18 juin pour la prise de conscience que les dents dévitalisées constituent très probablement la principale cause du cancer en France.

On a l’habitude de dire dans le domaine de la spiritualité que l’homme cherche vainement à l’extérieur de lui la vérité alors que c’est au plus profond de lui qu’elle réside. Une assertion qui pourrait bien être vraie aussi pour le cancer dont la cause serait donc à rechercher au plus profond des tumeurs cancéreuses.

En discutant avec un ami chirurgien sur les médecins anatomopathologistes qui analysent au microscope les tumeurs pour voir si elles sont cancéreuses, voici ce que j’ai appris dernièrement. Lorsque les médecins anatomopathologistes constatent que les cellules de la tumeur possèdent les caractéristiques cancéreuses, donc que la tumeur est cancéreuse, savez vous ce qu’ils trouvent au centre des tumeurs ? Ils trouvent des cellules normales mais nécrosées c’est à dire des cellules mortes. La tumeur cancéreuse constitue donc très probablement une pathologie où l’organisme n’arrive pas à se débarrasser par le système immunitaire de cellules mortes. L’organisme entoure alors les cellules mortes, gangrénées ou nécrosées c’est comme on veut, par des cellules cancéreuses qui font barrière à la mort afin de séparer la mort du vivant. Les mécanismes de la vie, dont le cancer fait partie, font donc comme ce que Dieu recommande dans la Bible lorsqu’il dit de ne pas laisser les morts au milieu des vivants mais de les emmener à l’Hadès par exemple. Le Dr Semmelweiss avait aussi compris jadis, que les étudiants en médecine sortant des salles de dissection devaient bien se laver les mains avant d’aller accoucher les parturientes. J’imagine que tout ce qui est mort, depuis un certain temps notamment, recèle très probablement je ne sais quoi de très toxique et certains germes très virulents sécrétant des poisons extrêmement toxiques, le tout pouvant nuire très fortement à tout ce qui est vivant. L’idée de prendre des plantes médicinales anti-infectieuses et anti parasitaires pour soigner le cancer est donc assez cohérent comme Hulda Clark le conseillait. Hulda Clark guérissait beaucoup de cancers et une des premières choses qu’elle faisait faire était de faire enlever les dents dévitalisées de ses patients. Hulda Clark ne s’intéressait pas spécialement au psychisme de ses patients et pensait que les parasites représentaient probablement la plus grande cause au cancer, avec les produits chlorés mis dans l’eau potable aussi d’ailleurs. Mais pour en revenir aux parasites, s’ils étaient la première cause de cancers, comment expliquer alors que nombre d’habitants des pays africains qui sont pourtant infestés de parasites en raison de leur eau de boisson, n’ont pourtant que très peu de cancers. Le cancer est avant tout une maladie des pays riches, de ceux qui ont les moyens de conserver leurs dents cariées en les dévitalisant et c’est bien là qu’il faut voir la première cause du cancer de notre civilisation même s’il en existe d’autres, j’en conviens. Tout ce qui empoisonne les cellules vivantes de l’organisme se révèlera plus ou moins cancérigène un jour ou l’autre.

Les cellules cancéreuses sont des cellules programmées génétiquement donc des cellules que la vie a prévu de faire apparaître dans certaines circonstances. Elles ne sont nullement des cellules folles à vouloir éliminer systématiquement et surtout par n’importe quel moyen comme certains voudraient le faire croire parce qu’eux mêmes ne comprennent pas le sens du cancer. C’est un peu comme la psychiatrie qui ne comprend pas le sens de la schizophrénie et qui détruit les cerveaux des schizophrènes avec sa chimie en qualifiant la schizophrénie de folie alors qu’elle n’est qu’une forme de perception des mondes parallèles. Une perception qui certes peut rendre fous ceux qui n’en comprennent pas le sens, mais qui peut faire grandement évoluer ceux qui le comprennent.

Pour arriver à supporter l’empoisonnement associé à la nécrose cellulaire, des cellules cancéreuses apparaissent dans les tumeurs par conséquent pour effectuer une tache que les cellules normales ne sauraient exécuter. Le problème est que d’une part les tumeurs grossissent pour réaliser des barrières plus épaisses et donc plus efficaces j’imagine et que d’autre part les cellules cancéreuses consomment énormément d’énergie et épuisent l’organisme. Pour preuve, dans un cancer, le cœur se met par exemple à battre très vite et les extrémités des membres deviennent froides. Tout cela parce que les cellules cancéreuses nécessitent beaucoup d’énergie et qu’il en reste moins ensuite pour réchauffer les extrémités. Cela fait qu’en général le malade meurt par épuisement énergétique ou dans d’atroces douleurs de compression si les cellules cancéreuses persistent un peu trop longtemps dans son organisme ou si les tumeurs grossissent un peu trop. Bref dans le cancer, quand apparaît la tumeur, tu meurs. Cela n’est pas inutile à rappeler quand on entend parfois dans certains milieux de médecines douces que le cancer est une bonne chose pour la santé. Je sais certes que ce n’est pas totalement faux non plus à un certain niveau de compréhension comme l’a expliqué le Dr Hammer. Il explique que la cancérisation d’un organe est la meilleure solution que le cerveau trouve pour résoudre un fonctionnement déficient du dit organe. Pour sa liberté d’expression le Dr Hammer a d’ailleurs fait trois ans de prison en France, c’est honteux. Les malades de psychiatrie dont on détruit le fonctionnement du cerveau avec des poisons pharmacologiques ne font d’ailleurs bizarrement que très rarement des cancers. D’où l’idée folle d’un certain Gernez de détruire le cerveau de tout le monde en faisant ce qu’il appelle de la prévention active, pour prévenir le cancer. Idée folle heureusement jamais appliquée par l’institution mais toutefois par certains adeptes de médecines douces manquant de discernement qui présenteront certainement après quelques temps de cette prévention folle, des problèmes neurologiques. L’idée de Gernez consiste plus précisément à prendre du chloral, un ancien médicament de psychiatrie, pour prévenir le cancer. Le choral de Gernez est d’ailleurs aussi un dérivé chloré (Na cl O2) proche de ceux que Hulda Clark considérait comme cancérigène. Mais le sel de cuisine (Na Cl) aussi et pourtant j’en prends. Avec le choral, on n’aura certes pas de cancer mais plus de cerveau non plus à terme. Avec Gernez, ou bien tu as un cancer ou bien tu as un cerveau, il faut choisir. Gernez est encore plus dans l’erreur que Hammer ou plutôt certains de ses adeptes psychothérapeutes quand ils ne pensent qu’à la psychothérapie pour soigner le cancer. Mais le fait de comprendre que le cancer est une solution de guérison orchestrée par le cerveau ne doit pas faire oublier quand même que le cancer tue aussi la plupart du temps et donc qu’il n’est pas une mauvaise chose d’éliminer les tumeurs cancéreuses. Et cela contrairement à d’autres symptômes bénins comme la fièvre, la douleur, les allergies par exemple qui tuent rarement et qu’il est trop souvent une erreur de supprimer avec des médicaments allopathiques ou même homéopathiques (voir texte « la médecine des poisons ») car ces symptômes constituent en fait des manifestations d’autoguérison de l’organisme face à un empoisonnement. Ne rien faire face au cancer n’est donc parfois pas la meilleure des choses à faire même si une bonne psychothérapie pour résoudre ses conflits intérieurs n’est bien sûr pas inutile non plus. Elle peut parfois suffire, je veux bien le croire, surtout si la cause du cancer est uniquement d’ordre psychologique, ce qui est assez rare. Une bonne psychothérapie serait même selon moi une psychothérapie qui irait plutôt dans le domaine de la philosophie voire de la spiritualité. Nous devons accepter tout ce qui arrive comme un cadeau du ciel pour nous faire évoluer. Nous devons notamment comprendre que les considérations matérielles ne sont pas ce qu’il y a de plus important. Arriver à accepter ce qui nous arrive est une bonne façon de ne plus avoir de conflits intérieurs. La philosophie voire mieux la spiritualité me semblent donc en fait bien plus adaptées que la psychothérapie à proprement parlé, pour gérer ces conflits psychologiques cancérigènes dont parle Hammer notamment. Ces conflits ne sont certainement toutefois pas la plus grande cause de cancers. Preuve en est que dans des périodes très difficiles comme notamment les dernières guerres mondiales, où les personnes ont eu de nombreux chocs psychologiques, il n’y a eu pourtant que très peu de cancers. A l’époque il faut dire qu’il n’y avait aussi que très peu de dents dévitalisées.

Mais revenons à nos moutons. Le chirurgien qui enlève la tumeur cancéreuse enlève donc en même temps que des cellules cancéreuses, des cellules mortes, et c’est une très bonne chose qui sauve la vie au patient très souvent. Évidemment si en plus il enlevait les causes du cancer c’est à dire tout ce qui peut induire la mort des cellules comme tous les poisons en général, les dents dévitalisées et les idées morbides que certains appellent conflits, ce serait encore mieux évidemment.

Le fait de savoir que le centre des tumeurs est constitué de cellules nécrosées et le fait de savoir que la mort engendre la mort (j’en parle sur un autre texte du site: « essai sur le suicide » http://dent.devitalisee.free.fr/?p=113 ) est un élément de plus s’il en fallait, pour comprendre que les dents mortes ou dévitalisées engendrant à distance de la mort donc des cellules mortes dans l’organisme, sont par conséquent hautement cancérigènes. Hautement cancérigènes, c’est d’ailleurs aussi ce que disait des dents dévitalisées feu le professeur Joseph Issels, éminent cancérologue allemand qui guérissait bien plus de cancers que ses collègues et qui comme par hasard faisait systématiquement enlever toutes les dents dévitalisées de ses patients. On comprend aussi pourquoi les français qui possèdent le plus de dents dévitalisées d’Europe sont aussi les européens qui ont le plus de cancers d’Europe (1,7 fois plus que les allemands par exemple). Merci à notre excellent système de couverture maladie: sécurité sociale, mutuelles et CMU qui prennent en charge bien mieux qu’ailleurs en Europe, les couronnes sur dents dévitalisées, principaux revenus des dentistes français, ce qui incite par conséquent les dentistes français à dévitaliser plus qu’ailleurs en Europe.

Plus généralement tous les poisons qui contribuent à tuer des cellules à petit feu sont donc cancérigènes (tabac, amiante, métaux lourds qu’on ingère notamment par les fritures dans des casseroles métalliques (même en inox), etc..). Si je suis assez d’accord avec l’élimination chirurgicale des tumeurs cancéreuses, je suis plus critique sur la chimio et la radiothérapie. La chirurgie enlève un poison du corps tandis que la chimio et radiothérapie introduisent des poisons. La radiothérapie et la chimiothérapie sont donc aussi par conséquent cancérigènes et cela même si elles tuent aussi des cellules cancéreuses. C’est un paradoxe certes mais ce pourrait aussi être une explication de plus aux fréquentes récidives des cancers traités par radiothérapie d’une part (surtout si on n’enlève pas les causes, notamment les dents dévitalisées) mais aussi à l’apparition de métastases cancéreuses après traitements car la chimio partant dans le sang empoisonne bien d’autres organes. On en perd d’ailleurs ses cheveux… Eh oui les traitements de la cancérologie moderne sont très probablement cancérigènes. Ils induisent de nouveaux cancers tout en traitant un cancer particulier. On pourra bien sûr attendre plusieurs siècles au moins avant que les médecins cancérologues le reconnaissent éventuellement. Autant demander aux médecins ayant vacciné toute leur vie pour éviter certaines maladies de reconnaître que les vaccins provoquent toutes sortes d’autres maladies encore plus graves, de la mort subite du nourrisson à l’autisme en passant par les leucémies des enfants par exemple. Autant demander aux dentistes de reconnaître qu’en ayant dévitalisé toute leur vie des milliers de dents pour les sauver, ils ont induit des centaines de cancers aux conséquences bien plus graves que la perte de dents. Autant de missions impossibles en quelque sorte. D’ailleurs si vous ou l’un de vos collaborateurs essayez de faire admettre cette théorie à un cancérologue ou à un juge, sachez que je nierai toute implication dans cette théorie et j’affirmerai que la chimio et la radiothérapie sont deux grands progrès de la civilisation. Par contre je maintiendrai que les dents dévitalisées ont permis de sauver des millions de dents, tout en provoquant des millions de cancers par la même occasion évidemment. Il paraît qu’on ne peut pas être condamné deux fois pour le même délit m’a dit mon avocat. Et comme pour cette dernière affirmation j’ai déjà payé (interdiction d’exercer la dentisterie à vie et un an et demi de prison avec sursis) il paraît que je suis tranquille. A moins qu’on me considère comme un récidiviste, va savoir, faut que je me renseigne encore un peu…

Il y a encore un problème annexe à la dent dévitalisée. Comme celle ci se trouve dans l’os de la mâchoire, elle l’empoisonne tellement avec les années que parfois des cellules d’os meurent. Les parents ayant des dents dévitalisées transmettent au passage à leur progéniture l’information « os maxillaire malade » ce qui leur provoquera des problèmes orthodontiques. Comme par hasard, les enfants des pays pauvres n’ont pas de problèmes orthodontiques, regardez leurs bouches sur les reportages à la télé. A cause de cet os malade, même enlevées, les dents dévitalisées peuvent donc être encore la cause de cancers, surtout si on les a conservées très longtemps. Les os nécrosés n’arrivant pas à cicatriser présentent alors des cavités qu’on appelle aussi cavitations. Un sujet qui n’intéressent pas non plus vraiment les dentistes en France car c’est encore une preuve, s’il en fallait, de la toxicité des dents dévitalisées. La cavitation peut, elle aussi, être cancérigène, moins que la dent dévitalisée toutefois. Or, il se trouve que j’ai découvert qu’il existait un produit issu de la technologie quantique pourrait-on dire, qui injecté dans l’os fait disparaître l’os mort. Mais bon je ne vais pas trop vous en parler car l’idée d’enlever les dents dévitalisées n’intéresse déjà pas grand monde alors inutile de trop parler de ce sujet qui n’arrive qu’après l’extraction des dents mortes de toutes façons. Et puis vous n’avez qu’à le trouver vous même sur les textes du site car j’en parle quelque part. Et puis sinon mettez des cristaux dans les dents de vos dentiers, ça marche aussi un peu déjà.

Le cancer tue aujourd’hui environ autant que la dernière guerre mondiale a tué. Il est prévu qu’environ un français sur deux aura un cancer selon les statisticiens. Le traitement d’un seul cancer coute 25 000 euros en moyenne ce qui avec les nombreuses maladies chroniques que connait aujourd’hui la population française, contribue plus que tout à ruiner notre sécurité sociale et par voie de conséquence notre société déjà très très endettée. Une société dont les politiques, pour financer la maladie en général et le cancer en particulier vont jusqu’à emprunter de l’argent que nos générations futures devront rembourser. Et dans ces traitements ruineux du cancer, les cancérologues oublient juste de faire à leurs patients l’acte le plus efficace pour guérir, le moins mutilant et le moins onéreux qui soit c’est à dire leur faire enlever les dents dévitalisées. Un acte qui serait aussi la meilleure prévention au cancer et aussi l’acte le plus apte à revitaliser les organismes fatigués et atteints de maladies en tout genre. En ce 18 juin 2010, il est un bon jour pour de lancer un appel salvateur face à ce que certains appellent une guerre contre le cancer. Le terme de guerre n’est pourtant pas à mon sens, le meilleur terme qui soit à vrai dire pour parler des solutions pour soigner le cancer, mais c’est souvent le terme le plus usuel. Au lieu de vouloir tuer à tout prix les cellules cancéreuses dans une logique de guerre, il serait peut-être mieux d’en comprendre le sens pour qu’elle disparaissent d’elle même sans avoir besoin d’arme de destruction (chimio et radiothérapie) qui laissent ensuite les patients dans l’état de victime de guerre, c’est à dire éclopés. Cette guerre ne sera gagnée qu’avec la prise de conscience que les dents mortes que les dentistes ont tuées, tuent à leur tour notre civilisation à travers notamment les cancers qu’elles produisent. Et inutile d’en vouloir aux dentistes qui ne font que répondre à la demande conservatrice perverse d’une civilisation, qui veut conserver des dents trop cariées à tout prix et au mépris des lois de la vie en vous implantant dans les corps vivants, des organes morts. Notre civilisation sur le déclin à cause principalement de cette grossière erreur sera certes aussi et peut-être encore plus empoisonnée dans l’avenir et pour des centaines de générations, par les déchets nucléaires qu’elle produit, empoisonnant au passage aussi ceux qui n’en produisent pas. Mais tout cela est encore un autre sujet. Sachez que ce sont les dentistes qui seront le plus à même de vous redonner la santé quand vous prendrez conscience qu’il faut enlever vos dents dévitalisées. Mieux vaut donc ne pas se fâcher avec eux.

Il serait temps que les français et les françaises qui ont conscience de la toxicité des dents dévitalisées aident véritablement à relayer cet appel du 18 juin 2010 au maximum et résistent non pas à un quelconque oppresseur, mais à la désinformation sur la toxicité des dents dévitalisées qui est plus forte en France que partout ailleurs en Europe, tout comme l’est d’ailleurs aussi la désinformation sur l’immense dangerosité du nucléaire, même civil. Il est important qu’ils résistent aussi accessoirement à l’aversion pour les dentiers qui constituent pourtant pour la santé, la meilleure solution de remplacement des dents dévitalisées extraites.

Bruno Darmon Dr en chirurgie dentaire.

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