Centre de thérapies naturelles

November 25, 2006 on 8:12 pm | In centre de thérapies naturelles | 2 Comments

Actuellement le Dr Darmon dispose aussi d’une villa à la montagne pour y recevoir des patients . De nombreux appareils thérapeutiques y sont utilisés. Vous pouvez voir la villa à http://centre-de-revitalisation.over-blog.com

Un témoignage d’une personne qui est passée dans mon centre de revitalisation:

J’ai 60 ans et je travaille dans l’Éducation Nationale. Suite aux conseils de mon ostéopathe de Digne, j’ai rencontré le Dr Bruno DARMON qui m’a conseillé de faire enlever toutes mes dents dévitalisées, soit onze au total. Il faut dire que j’avais de graves douleurs de dos depuis six ans due à une sciatique latérale gauche, que plus personne n’arrivaient à soulager. Après des années de kinésithérapie de diverses sortes (Mezières, standard etc….. ) je suis résolue à passer sur la table d’opération en janvier, ce qui m’a permis de retrouver de la mobilité. Des douleurs continues et aiguës persistaient toutefois. Elles étaient devenues tellement intolérables qu’en dernier recours, sur les conseils du chirurgien, j’ai pris le maximum de Dolipranes autorisés, soit 600 mg par jour, sans aucun résultat. J’ai également pris de l’ibuprofène qui ne m’a pas soulagé non plus. De plus depuis treize ans je prenais des antidépresseurs et d’autres médicaments pour des problèmes psychologiques graves qui m’occasionnaient divers effets secondaires (fatigues, problèmes de concentration perte de mémoire).

Le Dr Darmon m’a convaincue qu’il fallait enlever mes dents dévitalisées. Il m’a accompagnée chez un dentiste qui a accepté de m’enlever mes onze dents dévitalisées. Etant donné que ni le Dr Darmon, ni moi même ne sommes favorables à la prise de médicaments chimiques, j’ai passé une dizaine de jours chez lui afin qu’il puisse gérer mes douleurs post-chirurgicales sans y avoir recours. Voici les divers traitements appliqués:
Application de pierres semi précieuses.
Acupuncture (aiguilles et cautérisations).
Application d’huiles essentielles.

Je garde d’ailleurs les pierres et les huiles essentielles que j’utilise parfois quand des douleurs reviennent. Aujourd’hui je constate que j’ai pu arrêter tous mes médicaments allopathiques. Mes douleurs de dos sont aujourd’hui nettement moindres.

Pendant ce séjour d’une dizaine de jours, début Aout, j’ai apprécié le calme d’un chalet de montagne en pleine nature, d’une belle chambre d’hôte, de conseils en diététiques ayurvédiques, de pouvoir utiliser divers appareillages thérapeutiques (fauteuils de massages notamment), de nourriture saine et biologique (mixée toutefois), et de nombreux livres intéressants. Le tout pour un prix raisonnable de 60 euros par jour. Je n’étais évidemment pas dans un hôtel trois étoiles mais mon objectif étant essentiellement thérapeutique , j’en ai été pleinement satisfaite.

Le plus important est que je me suis sentie accompagnée et rassurée dans cette épreuve chirurgicale où malgré ces onze extractions je n’ai pris aucun médicament et j’ai même pu arrêter tous ceux que je prenais auparavant. J’ai retrouvé une vivacité intellectuelle que j’avais perdue depuis plusieurs années.

Tatiana D. La Bastide, le 10 aout 2010.

email tania.doubledent@orange.fr
Si vous désirez vérifier l’authenticité de mon témoignage, vous pouvez me parler au téléphone, et même me rencontrer si vous vous déplacez dans le Sud-Est. Je vous rappellerai si vous laissez un numéro de tél. fixe (je ne rappelle pas les portables) sur votre email.

Pour les personnes qui préfèreraient loger dans un hôtel plus confortable, le Dr Darmon peut aussi les y soigner, il s’agit du centre Dhavantari.

Dhavantari Le
Centre de thérapies naturelles.

Dhavantari Le
Centre de thérapies naturelles.


Il est l’équivalent d’une clinique médicale totalement orientée médecines naturelles avec une dizaine de chambres pouvant recevoir jusqu’à environ une quinzaine de personnes atteints de pathologies chroniques, même très graves, mais jamais en état d’urgence médicale. Nous n’intervenons pas sur les traitements médicaux en cours et ne faisons pas de médecine au sens occidental du terme.
Le centre est en pleine nature dans un site exceptionnel à une heure environ en voiture de Nice ou de Cannes, dans les Alpes Maritimes à Thorenc (station climatique à 1200 m d’altitude). Rien n’est pris en charge par la sécurité sociale car il n’y a rien de médical au sens occidental du terme (ni examens, ni prescriptions nécessitant une ordonnance, ni traitement donnant lieu à un remboursement).
L’esprit du centre Dhavantari:
L’ayurvéda (la médecine indienne), la médecine chinoise, la psychologie et la naturopathie sont les bases de connaissances sur lesquelles s’appuient les thérapeutes du centre Dhavantari.
Pour prétendre guérir des pathologies graves par les méthodes naturelles, il faut :
- Identifier puis éliminer les causes de la pathologie, c’est-à-dire assainir le terrain.
- utiliser un large panel de thérapies qui renforcent les mécanismes d’autoguérison (les médecines naturelles).
- délivrer un enseignement afin de permettre aux patients de se prendre ensuite eux même en charge et surtout de ne pas refaire les erreurs qui les ont conduit à la maladie.
Prestations de thérapies naturelles proposées par le centre Dhavantari:
Médecine traditionnelle chinoise et indienne, phytothérapie, massages énergétiques aux huiles essentielles, préparation d’épices, d’huiles et de baume personnalisés, lavages coloniques aux plantes médicinales, lota aux hydrolats, diverses techniques d’oléation, cataplasmes, ozonothérapie colonique, traitement des cicatrices chirurgicales, chromothérapie, thérapies diverses dans et par la nature. Utilisation de diverses machines thérapeutiques : appareil d’ozone, sauna, chi machine, fauteuil de massage, appareil d’ondes magnétiques pulsées, appareil de pressurisation des problèmes circulatoires des jambes. 
. Seule la dentisterie holistique supervisée par M. Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire, sera réalisée par des dentistes holistiques proches du centre Dhavantari, et de préférence pendant la durée de la cure.Les plus : deux stations de ski à 10 minutes en voiture (Gréolières les neiges et l’Audiberge), temple bouddhiste tibétain à 5 minutes en voiture (centre Karmapa) et joli lac à une minute de voiture. Immense forêt autour de la clinique pour se promener. Petit étang privé pour se baigner. Alimentation en eau de source. Air pur et ensoleillement exceptionnel.
Les thérapies naturelles : Non seulement elles ne présentent aucun risque lorsqu’elles sont utilisées normalement mais aucun effet secondaire indésirable. Et cela est très intéressant d’autant plus que certains pensent que les effets secondaires de notre médecine moderne pourraient bien être une des premières causes des maladies graves qui sont si fréquentes aujourd’hui. Utilisées correctement, les thérapies naturelles représentent très souvent un complément réellement efficace à notre médecine moderne, et cela face à toutes les pathologies. Le directeur du centre Dhavantari, M Bruno Darmon Dr en chirurgie dentaire, a déjà démontré dans son cabinet dentaire l’intérêt des thérapies naturelles associée à la dentisterie holistique pendant une dizaine d’année d’exercice environ. Une centaine de témoignages vidéo étonnants de guérisons se trouvent d’ailleurs sur le site www.sante-dents.com. Cet exercice représentait en quelque sorte un exercice précurseur au centre Dhavantari actuel qui permet maintenant, grâce à la prestation hôtelière, d’avoir un confort bien supérieur. Cela est même essentiel pour certaines thérapies. Une séance d’acupuncture dans le centre peut en effet durer une dizaine d’heures et le confort d’une chambre est alors très appréciable.
Hôtellerie deux étoiles, chambres et suites de 50 euros à 90 euros par jour.
Le prix des prestations thérapeutiques dépend de ce qui vous sera réalisé. Prévoir une moyenne de 190 euros par jour pour un ensemble de prestations (lavement colonique aux plantes médicinales, ozonothérapie colonique, acupuncture, et une ou deux autres thérapies). Les appareils étant en libre accès (sauna, chi machine, fauteuil de massage).
Pour tout renseignement et inscription envoyer un email à : drbrunodarmon@yahoo.fr 
 
 

 

Cautionnement médical francophone

September 22, 2006 on 6:21 pm | In cautionnement médical francophone | 1 Comment

Cautionnement médical francophone.

Deux médecins francophones en exercice, confirment l’intérêt de proposer d’enlever des dents dévitalisées pour améliorer la santé.

Si la conscience de la toxicité des dents dévitalisées est très peu connue en France et dans les pays francophones, elle n’est toutefois pas ignorée par de certains médecins et dentistes étrangers notamment allemands, suisse allemands et américains et probablement d’autres. Mais pour les francophones pour qui est principalement réalisé ce site et qui parfois ne parlent pas ces deux langues, ce serait difficile de vérifier.

Alors pour eux, afin qu’ils puissent vérifier facilement que cela est vrai, j’ai recueilli des témoignages instructifs de médecins francophones, encore en exercice (du moins à l’heure où est écrit cet article c’est-à-dire oct.2006) donc facilement vérifiables. Car dans la vie c’est bien de croire à priori mais c’est encore mieux de vérifier par soi même.

Je pense que l’importance de ces témoignages simplement formulés est immense. Je pense en bon pragmatique que la théorie c’est une chose mais que l’expérience et l’observation sont toujours plus fortes que n’importe quelle théorie. C’est deux témoignages pourraient donc être à eux seuls la clef de la santé de millions de personnes dans les pays francophones.

Jusqu’à présent, mes confrères dentistes français notamment ceux qui se sont penchés sur mon cas au Conseil de l’Ordre, ont tenu le discours jusqu’à présent, de dire que de proposer d’enlever les dents dévitalisées pour améliorer la santé était une théorie dangereuse pour les patients. C’est le discours qui a abouti à me faire interdire d’exercer dans un premier temps et pourrait avoir des conséquences pires encore avec la justice civile qui s’est aussi intéressée à cette histoire avec des experts qui ont toujours renforcé la vision du Conseil de l’Ordre.

Mais peut-être que la dent dévitalisée est une grande expérimentation sur l’être humain dont on n’a pas jamais vraiment mesuré les conséquences sanitaires. Peut-être que la dent dévitalisée est une des plus grandes causes de cancer actuellement et constitue une grande prise de risque pour la santé.

C’est en tout cas des questions que l’on est en droit de se poser et cela d’autant plus que d’autres à l’étranger se les sont semble-t-il un peu plus posés que nous, français, comme certains éléments des sites internets www.sante-dents.com et www.dent-devitalisee.com le montrent.

Voici en tout cas ce qu’écrit le 2 Mars 2005, le Dr Nathalie Calame Genaine, médecin, adresse : route de Sombacour 10, 2013 Colombier Suisse. tel 032 843 36 30

« En tant que médecin, spécialisé dans les problèmes médico-dentaires en Suisse et les problèmes de toxicologie liés aux matériaux dentaires, je confirme par écrit ce que j’ai dit au Dr Darmon, à savoir que de nombreux médecins dentistes, en particulier de formation alémanique (Allemagne et Suisse allemande) considèrent qu’une dent dévitalisée est un foyer potentiellement toxique et pathogène, et que ces dentistes pratiquent l’avulsion dentaire des dents dévitalisées, en particulier chez des personnes atteintes dans leur état de santé ». Fin

Voici aussi ce qu’écrit le 28 décembre 1999, Dr Jean Gabriel THOMAS, médecin rhumatologue français à Grasse dans les Alpes Maritimes en France. tel : 04 93 36 21 81

« Par la présente, j’atteste avoir observé depuis 25 ans sur des centaines de cas, que les traitements médicaux entrepris chez différents malades, se révélaient beaucoup plus efficaces sur les patients dont les dentistes traitant veillaient à ne laisser aucune dent dévitalisée présente sur les arcades dentaires, en dehors même de toute pathologie locale appréciable radiologiquement ou symptomatiquement ». Fin

En lisant les témoignages des Drs Calame et Thomas, on voit donc qu’il existe bien des dentistes notamment à l’étranger, mais aussi en France, qui proposent d’enlever les dents dévitalisées pour améliorer la santé générale. Des dents même apparemment saines selon les critères actuels de la dentisterie (en dehors même de toute pathologie locale appréciable radiologiquement ou symptomatiquement).

A en croire ces deux médecins francophones dont l’existence et les dires peuvent être actuellement facilement vérifiés puisque ces médecins sont encore en exercice, ce n’est donc pas une théorie dangereuse pour la santé mais bien au contraire. C’est en plus une pratique largement éprouvée bien que très peu connue dans le milieu médico dentaire français.

premier patient guéri grâce au site internet

September 22, 2006 on 6:15 pm | In premier patient guéri grâce au site | 2 Comments

Témoignage du premier guéri grâce au site internet.

Voici la correspondance entretenue avec le premier patient
qui a fait enlever une dent dévitalisée grâce au site internet. Une correspondance que je trouve fort instructive et que le patient m’a autorisé à mettre sur internet.

> — JC Waechter
a écrit :
>
>> Bonjour docteur Darmon,
>>
>> Je suis un presque quadragénaire en pleine santé qui
>> va rarement chez le médecin.
>> Deux choses récurrentes m’y amène parfois: Mon
>> estomac et UNE dent: Prémolaire supérieure gauche.
>>
>> Dent dévitalisée il y a deux ans, couronnée après
>> hésitations en début d’année 2006 car j’avais beau
>> expliquer que quelque chose n’allait pas avec cette
>> dent, mon dentiste ne trouvait rien. Expliquant que
>> cette dent me faisait l’effet d’un caillou au sein
>> de la gencive, une sensation de “démangeaison”
>> autour de cette dent et parfois de légers éclairs
>> électriques dans la joue. Expliquant aussi que les
>> massages de la gencive et d’un point prés de
>> l’oreille (dont j’appris plus tard qu’il était sur
>> le méridien de l’estomac) me soulageaient pour un
>> temps.
>>
>> Je n’ai eu le droit qu’à “vous savez un corps, c’est
>> personnel, j’ai vu de tout en trente ans de
>> pratique…”
>> Je propose une extraction de la dent: Refus. “Vous
>> vous rendez compte, c’est un échec pour nous les
>> dentistes…”
>>
>> Deuxième dentiste (je déteste devoir voir plusieurs
>> spécialistes, mais bon…): “Comptez-pas sur moi
>> pour vous extraire cette dent, on va simplement lui
>> enlever un peu de pression”….ça n’a pas changé mon
>> problème évidemment.
>>
>> Troisième dentiste (sur les conseils de mon ostéo):
>> “L’origine de votre malaise à cette dent est
>> peut-être à chercher du côté d’un blocage psy…etc”
>> Or j’aime mes parents, mon épouse, je suis musicien
>> et je me “défoule” régulièrement grâce au karaté
>> depuis 5 ans. Je mange bio le plus possible, pas
>> trop de viande…..bref: Je m’optimise en quelque
>> sorte.
>>
>>
>> DONC je ne sais plus quoi faire pour convaincre un
>> dentiste que cette dent m’est étrangère et qu’elle
>> m’empoisonne, au sens propre comme au figuré.
>> Les dentistes rapprochent mon mal à l’estomac du
>> stress ou d’un blocage, et moi je relie tout ça
>> directement à cette dent.
>>
>> Ma question: Peut-on se faire extraire une dent,
>> même contre l’avis de son (ses) dentistes ? Et où
>> ?(Je suis sur Nantes)
>>
>> Et aussi: Que mettre à la place de cette dent ?
>> Faut-il d’ailleurs absolument mettre quelque chose ?
>>
>>
>> Merci d’avoir pris le temps de lire. Il me semble
>> que cette dent est la clé de voûte de mon état de
>> santé général, alors cela semble vital pour moi
>> d’avoir votre avis. Bravo pour votre site.
>>
>> Cordialement
>>
>>
>> JC Waechter

—– Original Message —–
From: “bruno Darmon”
To: “JC Waechter”
Sent: Friday, September 01, 2006 10:44 AM
Subject: RE : Questions essentielles….

> Bonjour cher monsieur
> Merci tout d’abord pour “bravo”
> Pour convaincre votre dentiste de vous extraire votre
> dent dévitalisée, vous pouvez toujours lui suggérer
> d’aller voir les deux sites.
> Sinon je connais un dentiste sur ma région, dans les
> Alpes Maritimes, mais il faudra passer par moi car je
> ne veux pas le mettre en danger en vous donnant son
> nom.
> Evidemment ce serait bien moins cher de faire cela
> dans votre région, compte tenu des frais de
> déplacement.
> Au sujet du remplacement de la dent extraite, c’est
> mieux de la remplacer et le mieux est avec une petite
> prothèse amovible de type valplast. C’est moins grave
> de laisser un trou que de laisser une dent
> dévitalisée. L’explication se trouve dans le texte “la
> médecine des poisons”
>
> Amitiés et suivez votre bonne intuition.
>
> Dr Darmon

JC Waechter a écrit :
Bonjour docteur Darmon,

J’ai tout tenté pour convaincre mon dentiste, je lui ai parlé de votre site,
des témoignages audio/video, et je lui ai même proposé de lui signer une
décharge engageant ma décision concernant l’extraction de ma prémolaire
supérieure gauche.
Rien n’y fit. Il a tenu absolument a me faire faire un “bilan
kinésiologique”, tout en me guidant vers un processus de guérison psy +
homéopathie.
Selon ses dires, tant qu’il n’était pas convaincu de la nécessité d’une
extraction, il n’extrairait pas. Je lui ai pourtant bien indiqué que mes
symptômes (lancement dans la joue, angoisses ou déprimes subites, chutes de
tensions et aigreurs d’estomac) ne faisaient qu’empirer de semaines en
semaines.

Je me suis orienté en dernier ressort vers une stomatologue, qui, aprés
m’avoir fait passé une radio de la face, m’a annoncé que ma dent couronnée
et ma gencive étaient trés belles, et que ça serait dommage d’y toucher.
Elle a décelé sur la radio, au bout de la racine, une zone sombre et
suspecte, donc…scanner, bien sûr, c’est à dire un rendez-vous dans trois
semaines, à la suite duquel elle aviserait…(démontage de la couronne ou
traitement des racines).
Je me trouve donc encore dans une logique de conservation de la dent à tout
prix, et pour le moment AUCUN dentiste n’a voulu vraiment faire cas de mon
mal-être physique grandissant, excluant même la possibilité d’un quelconque
rapport avec la dent dévitalisée.

Bref, docteur, comme vous m’aviez proposé de m’arranger un rendez-vous sur
les alpes-maritimes avec un dentiste de vos amis qui pourrait m’extraire ma
prémolaire, il me semble que je suis prêt à faire le voyage pour cette
opération. Pouvez-vous m’aider à rencontrer ce dentiste ? J’aimerais prendre
rendez-vous en semaine si possible, car étant musicien je suis assez libre
la semaine, et assez pris les week-end.

Je joints la radio en jpg prise la semaine dernière, ça n’apportera pas
grand-chose, si ce n’est ma bonne foi à vouloir me faire extraire cette
fichue dent.

Merci d’avoir pris le temps de me lire, je n’ai que vous à qui m’adresser,
car je me vois mal téléphoner à la centaine de dentiste sur Nantes pour leur
demander l’un aprés l’autre de bien vouloir pratiquer une opération qui leur
semblera “contre-nature”, alors qu’elle est tout à fait banale dans bon
nombre de pays encore aujourd’hui.

A bientôt j’espère.

Jean-Christophe Waechter

—– Original Message —–
From: bruno Darmon
To: JC Waechter
Sent: Wednesday, September 13, 2006 5:56 PM
Subject: RE : Re: Questions essentielles….

Votre histoire me rappelle de patients qui avaient vu une vingtaine de dentistes qui avaient tous refusé d’enlever leur dent dévitalisées.
Je veux bien vous accompagner sur les Alpes maritimes, en semaine, faire cela chez un ami dentiste et être présent pour assurer une efficacité thérapeutique optimale et contrôler que tout se fait comme il le faut.
>

JC Waechter a écrit :
Ah cher docteur, merci de cette proposition mais je viens juste de convaincre (il y aune petite heure de cela) le dentiste qui m’avait posé la couronne de m’enlever tout ça. Pour ce faire j’ai dû exagérer mes symptômes en lui disant que les douleurs dans la joue, l’oeil et parfois la tête devenaient insupportables. Ce n’est pas tout à fait juste évidemment. Ce qui est insupportable, ce sont les symptômes “à distance” (estomac, chute de tension …etc), même si les “démangeaisons” autour de la dent dévitalisée, ainsi que les lancements subits en direction du haut de la tête commencent à se fare insistant.

Comme on dit, j’ai galéré, mais à force de ruse j’arrive à mes fins (dommage de devoir faire ça mais bon…): Mardi prochain vers 15 heures, je serai sorti d’affaire, enfin.
J’ai du coup annulé mon scanner de la joue et je crois que je ne verrai plus cette stomatologue, qui voulait m’embarquer dans des choses longues, compliquées et peut-être coûteuses.

Sachez que si vous n’aviez pas été là, et si vous n’aviez pas mis vos témoignages en téléchargement, je n’aurai peut-être jamais pu prendre cette décision.
Merci beaucoup pour tout ça. J’espère que je pourrai un jour à mon tour vous rendre service.

Amitiés

JC Waechter

—– Original Message —–
From: bruno Darmon
To: JC Waechter
Sent: Wednesday, September 13, 2006 9:33 PM
Subject: RE : Re: Re: Questions essentielles….

Vous avez bien fait d’exagérer vos symptômes en disant que la dent vous faisait mal. C’est ce que je conseillerais de faire dorénavant aux personnes dans votre situation. C’est en mensonge pieux… Ne prenez pas d’antalgique après mais de l’huile essentielle de girofle diluée ( 20%) dans de l’huile d’Olive ((80%) par exemple.

JC Waechter a écrit :
Bonsoir docteur,

Le dentiste m’a (enfin) extrait ma prémolaire dévitalisée cet après-midi. La dent sous la couronne était très solide et très longue, ce qui lui a causé un peu de difficulté, mais ses 36 ans de métier et son calme sont venus à bout de cette pauvre prémolaire.

Un point noir suspect au bout d’une des deux racines, ainsi qu’un tissu rouge et spongieux l’ont fait conclure à un début d’infection.

Moi je sais qu’il y avait bien plus que ça: Ma théorie est que cette dent avait un effet bloquant sur la bonne circulation de l’énergie dans le méridien de l’estomac.
J’aurais dû faire médecine, car dés que la dent fut extraite ma théorie se vérifia: Envolés l’oppression et les douleurs d’estomac. Disparu le stress et l’anxiété permanente. Je me sens très bien et très détendu ce soir. Une sensation d’unité dans mon corps.

Avant, mon estomac me disait “stop” lorsque j’atteignais une certaine quantité de nourriture avalée. Quantité qui avait tendance à se réduire de plus en plus (j’ai perdu du poids). Une impression de satiété étrange: j’aurais bien mangé plus, mais mon estomac disait “non, sinon on aura mal”.
Je me suis surpris ce soir à manger sans retenue aucune et sans effet secondaire: Mon estomac s’est fait oublié, lui qui était un organe à part dans mon corps, le voici rentré dans le rang: Je n’en sens plus les contours, comme c’était le cas avant l’extraction.

Des choses se passent également à l’intérieur de ma tête, comme une ré-organisation invisible, ça tourne dans tous les sens, et ça vibre également dans tout le corps. Ce n’est pas désagréable, juste un peu surprenant…

Je ne m’attendais pas non plus à me sentir “plus petit” !!! Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai juste l’impression d’avoir perdu quelques centimètres. Peut-être un déplacement du centre de gravité…mystère.

Pas trop de douleurs dans et autour de l’énorme cratère laissé par l’extraction, rien qui justifie la prise d’efferalgan. J’ai tout de suite été cherché de l’huile essentielle de girofle, l’ai mélangé selon votre recette avec de l’huile d’olive, et…C’est très efficace ! Merci !

Tout ça c’est grâce à vous. Grâce à vous, à votre site et aux témoignages de vos patients, je me sens prêt à mordre la vie à pleines dents (moins une, ha ha ha ! ).

Amitiés

JC Waechter

—– Original Message —–
From: bruno Darmon
To: JC Waechter
Sent: Thursday, September 21, 2006 3:03 PM
Subject: RE : Re: Re: Re: Questions essentielles….

Cher Monsieur
Je suis très content de ce qui vous est arrivé, cela semble très positif. Pour l’anecdote vous êtes la première personne qui me témoigne avoir fait enlever une dent dévitalisée grâce à mon site internet. J’aimerai pour cela rester en contact avec vous. Votre histoire est très intéressante et pourrait être utile à des millions de personnes malades. Une question tout d’abord. Comment avez vous connu mon site internet ?

JC Waechter a écrit :
Bonjour docteur,

Voici comment j’ai appris votre existence: Il y a six mois j’ai lu un article sur un magazine bio du net, c’était une polémique sur “se faire enlever les dents dévitalisées ou pas”. Discussion bien argumentée des deux côtés, mais votre façon de voir m’a tellement intriguée que j’ai fait le rapprochement avec la dent qui me dérangeait. Puis il y a eu l’article d’un professeur qui a été soigné par vous, article dans lequel je retrouvais de plus en plus de similitude avec mon cas. J’ai ensuite suivi votre histoire par l’intermédiaire du site de la personne qui s’était plainte de vos services, site assez violent, je me demandais d’ailleurs si cette personne n’avait pas eu des problèmes personnels annexes (drogue, alcool, affectif) qui auraient pu aggraver son état de santé physique..et mentale.

L’idée de faire extraire cette dent faisait son chemin (même si mon dentiste voulait la conserver à tout prix). C’est finalement cet été que je suis tombé sur votre site en tapant votre nom dans Google. J’ai été surpris de voir que pour quelqu’un qui avait été rejeté par ses pairs, vous gardiez un esprit calme, combatif avec une envie de divulguer une vérité au grand public.

Ce qui m’a fait basculer de votre “côté” définitivement, ce sont les innombrables témoignages que vous mettez en ligne. La preuve par le son et l’image. Des histoires d’hommes et de femmes qui, par pudeur, ont longtemps cachés leurs douleurs existentielles puisque qu’aucun médecin ne semblait les trouver anormales, ni hors du commun (dépression, douleurs articulaires, dos…etc).

Je dois d’ailleurs ajouter un détail dont je ne vous ai pas parlé dans mon dernier mail: Je souffrais bizarrement du genou gauche depuis le couronnement de ma prémolaire dévitalisée (printemps dernier). Vous ne serez pas surpris d’apprendre que cette douleur est déjà en train de se résorber alors que nous n’en sommes qu’au troisième jour post-extraction…

Bref je re-vis !

Si vous avez un jour besoin de mon témoignage, je serai enchanté de rédiger un texte pour vous, vous n’aurez qu’à m’indiquer combien de lignes vous voulez à peu prés, histoire de me cadrer un peu.

A+

JC

—– Original Message —–
From: bruno Darmon
To: JC Waechter
Sent: Friday, September 22, 2006 2:55 PM
Subject: RE : Re: Re: Re: Re: Questions essentielles….

Cher monsieur

Je vous remercie de votre proposition de témoignage. Cela pourrait être utile à de très nombreuses personnes qui pourraient emprunter le même chemin que vous. Et cela d’autant plus que votre problème résolu est un problème digestif qui est le problème de santé, dit bénin, le plus courant des français. Un problème bénin qui est souvent le début d’une grande aventure dans le monde de la maladie.

Je pense que nous pourrions tout simplement mettre en ligne la totalité de nos échanges de mail jusqu’à présent en les remettant dans l’ordre chronologique. Il y a là un parfum de vérité qui est pour moi plus précieux que tout. Lorsque je recueillais les témoignages vidéo de mes patients, et qu’ils me demandaient quoi dire avant l’enregistrement, je leur disais toujours de simplement répondre aux questions que je poserai. Et comme dans l’immense majorité des cas, ils n’oubliaient rien, tellement ils avaient vécu cette histoire dans leur chair, je ne refaisais pas d’autre prise car la première avait ce parfum de vérité que je pense, vous avez du ressentir en visionnant les vidéos.

L’élimination des dents dévitalisées, selon les experts qui se sont penchés honnêtement sur le sujet constitue aujourd’hui généralement la mesure thérapeutique la plus efficace face à toutes les pathologies chroniques bénignes ou graves. Nos dentistes se refusent à le voir, nos médecins l’ignorent, et les adeptes des médecines naturelles et du bio ont encore rarement la conscience de cette importance.

Et lorsqu’on sait que pour certains, la maladie est aujourd’hui le sujet le plus préoccupant du monde occidental et notamment de la France qui consomme par habitant trois fois plus de médicaments que les autres pays d’Europe (et qui a aussi le plus de dents dévitalisées), je vous laisse imaginer l’importance du sujet.

Je trouve vraiment que vous êtes une personne formidable. En effet vous avez eu la curiosité de rechercher une solution à vos problèmes de santé en réfléchissant par vous-même sans avoir cette confiance aveugle dans les professionnels de santé que la plupart ont, hypnotisés qu’ils sont par des diplômes et des titres de docteurs ou professeur. Vous avez ensuite fait preuve de discernement. Ensuite vous avez obtenu ce que vous vouliez par votre persévérance. Et enfin vous vous proposez d’aider les autres à emprunter le même chemin qui conduit à la santé, en témoignant de votre expérience. Vous pouvez être fier de ce que vous êtes et je serai heureux un jour de vous rencontrer.

Je vois en plus que vous vous intéressez à l’optimisation de la santé et aux médecines naturelles, un sujet qui devrait intéresser tout le monde au moins un peu surtout à notre époque où il existe tant de dangers susceptibles de contribuer à dégénérer notre nature d’être humain en pleine santé. Effectivement comme vous le disiez, votre dent comme toutes les dents est reliée énergétiquement en acupuncture à l’estomac et donc à l’élément Terre qui est le plus important des cinq éléments de la médecine chinoise.

Sachez aussi qu’en enlevant votre dent dévitalisée vous avez enlevé la plus grande partie du poison qui s’y rattache mais pas la totalité. Il reste probablement une mémoire toxique dans l’os qui pourra s’effacer par un produit un peu particulier. Un jour en effet quand vous serez plus âgé, ce reste pourra devenir déterminant pour votre santé et alors il deviendra peut-être nécessaire d’agir à l’endroit même de cette dent dévitalisée que vous n’aurez plus. On pourra aussi placer quelque chose dans la prothèse amovible que vous aurez en remplacement de votre dent manquante. Ce quelque chose ramènera un peu de l’énergie que votre dent vivante aurait transmise à votre organisme et particulièrement à un endroit précis en fonction de sa localisation. Car la dent ne sert pas qu’à mâcher, à sourire et à parler comme on l’enseigne aujourd’hui. La dent est la structure la plus dure de l’organisme et cela lui confère quelques particularités qui ne sont pas encore très connues dans les milieux académiques. On sait déjà qu’il existe une énergie piezzo électrique transmise par les os lorsqu’ils sont comprimés et qui leur permet de se minéraliser en permanence, d’où l’intérêt de la prothèse amovible avec des dents en résine ou céramique, pour stimuler l’os qui soutenait la dent extraite lors de la mastication. Mais cela ne suffit pas à tout restaurer. Pour la dent qui est en contact avec l’extérieur, il existe une fonction encore plus subtile. La dent est un cristal qui capte une énergie extérieure qui est ensuite retransmise à l’organisme. Il y a donc quelque chose à faire pour recréer au moins en partie ce capteur énergétique. Il faut introduire un certain cristal dans la prothèse amovible.

Il est probable compte tenu de la vitesse à laquelle vous avez récupéré votre santé, que vous aurez suffisamment d’énergie pour ne pas avoir besoin pendant longtemps encore, de quoi que ce soit dont je viens de parler pour rester en bonne santé même si cela améliorerait toutefois encore votre énergie. Comme j’ai déjà soigné des choses étonnantes ainsi, je tenais donc à vous en parler pour que vous soyez au courant pour plus tard, mais c’est la première fois que j’en parle sur le site.

Merci en tout cas pour votre proposition d’aide de témoignage. Vous participerez ainsi à une des plus grandes œuvres humanitaires de notre époque. Très peu de personnes en ont conscience aujourd’hui, d’où la valeur de votre action.

JC Waechter a écrit :
Merci docteur pour tous ces compliments. Mon sentiment actuel est mitigé: Entre fierté d’avoir localisé moi-même la source de mon problème, et découragement quant à l’attitude des médecins en général, chacun agissant dans son coin et soignant à l’intérieur des limites de son propre domaine, conférant à la médecine actuelle une allure d’immense “puzzle” dont personne ne trouverait le dessin originel.

Entièrement d’accord pour publier le côté spontané de notre correspondance: C’est la vérité toute nue, avant extraction et après.
Je vous laisse le soin de mettre tout cela en page, car il faudra peut-être couper des passages trop longs…etc.

Je me suis rendu compte encore ce matin à quel point cette dent faisait du mal: Ma mâchoire craquait régulièrement à grand bruit du côté gauche, me laissant toujours l’impression d’avoir la “gueule de travers”. Or ce matin j’ai constaté (en baillant) que l’articulation était parfaite ! Et libre ! Je mets ça sur le compte de la détente musculaire du visage qui s’est produite après l’extraction, mais progressivement sur 2 ou 3 jours.

Cette détente générale me joue un peu des tours, car j’étais naturellement sur le qui-vive avant l’extraction. Je pense qu’il va me falloir un petit temps d’adaptation pour me faire à ce “nouvel” état de tranquillité intérieure (contacts humains, sensation du temps qui passe) sans perdre mon dynamisme au quotidien (boosté par le stress ambiant, très contagieux).

Vous parliez du côté bénin des problèmes digestifs: Après examen de mon estomac par échographie et endoscopie, après prescription inutile d’inhibiteurs de la pompe à protons, après avoir avalé des litres d’eau argileuse, après avoir supprimé tous les produits laitiers de mon alimentation, bref après avoir cherché partout sans avoir trouvé de solution, je suis en mesure de dire qu’une seule petite dent était responsable de cet état de fait.

Je ne suis pas médecin comme vous, docteur Darmon, donc ce n’est pas mon rôle de dire aux gens: “faites vous extraire vos dents dévitalisées, car elles vous empoisonnent”. Je voudrais juste apporter mon témoignage personnel de patient guéri par extraction d’une seule dent, témoignage qui s’ajoute aux dizaines que vous avez mis en ligne sur votre site, et qui ont le mérite, comme vous le dites si bien, d’avoir “ce parfum de vérité”.

Amicalement

JC

—– Original Message —–
From: bruno Darmon
To: jcwaechter@free.fr
Sent: Friday, April 06, 2007 11:08 AM
Subject: site dent-dévitalisée.com

cher monsieur Waechter
J’espère que vous allez bien et que votre santé continue de s’améliorer depuis l’extraction de votre dent dévitalisée. Je pensais pour votre témoignage que cela aurait plus de valeur si vous acceptiez de mettre vos coordonnées email au moins. Qu’en pensez-vous ?
Dr Bruno darmon

Bonsoir Docteur,

J’espère que vous allez bien également.

Oui ma santé est trés solide maintenant, plus de mauvaises surprises ou de coups de fatigue. Je respire mieux car mon plexus est libre dorénavant, ce qui me permet de penser et d’agir plus posément et de voir venir les choses de plus loin.

Vous pouvez, si vous le désirez, utiliser cette adresse email (jcwaechter@free.fr) pour compléter mon témoignage.

Cordialement,

JC Waechter

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la médecine des poisons

August 21, 2006 on 10:13 am | In 1ère cause de maladies, la médecine des poisons | No Comments

Ce texte est une analyse philosophique de notre médecine moderne.
Connaissez vous l’histoire des grenouilles qui sont dans leur marre et qui s’imaginent que leur marre représente la totalité de l’Univers. Puis une grenouille un peu plus curieuse va explorer ailleurs et s’aperçoit alors qu’il y a aussi d’autres marres et que l’univers est un peu plus vaste que celui que ses copines grenouilles pensaient. Et je vous laisse imaginer la suite si en plus elle en parlait et remettait en question ce que les grands prêtres grenouilles professent depuis toujours.
J’ai souvent fait comme cette dernière grenouille pour explorer d’autres univers médicaux et cela a toujours été fort instructif. C’est ainsi que j’ai d’ailleurs découvert qu’à l’étranger, il existait des courants de médecins et dentistes qui prônaient l’extraction des dents dévitalisées pour retrouver la santé, mais aussi bien d’autres choses. Savez vous par exemple comment les prêtres médecins de la médecine traditionnelle indienne qualifient notre médecine occidentale. Ils la qualifient de médecine asurique ce qui signifie littéralement médecine démoniaque c’est-à-dire qui vise à détruire la vie. Etonnant non ! Eh bien nous allons essayer de comprendre pourquoi ces érudits, prêtres de surcroît, qualifient ainsi notre médecine que je pensais moi aussi jadis être la meilleure et le fruit d’une haute civilisation scientifique, la mienne.
La médecine occidentale moderne comprend une partie, assez importante qui pourrait en tout cas être appelée à bien des égards, la médecine des poisons car elle a fait souvent le choix d’empoisonner ce qui dérègle le fonctionnement normal. Elle empoisonne des agents venus de l’extérieur tels les germes mais aussi des mécanismes biologiques de l’organisme qui adoptent un fonctionnement inhabituel.
Empoisonner des intrus, cela peut se comprendre mais il peut sembler paradoxal d’empoisonner même des mécanismes biologiques de l’organisme pour vouloir soigner. Mais c’est ainsi que notre médecine agit bien souvent. Tous les spécialistes officiels de la pharmacologie allopathique le reconnaissent d’ailleurs.
Cette médecine empoisonne tout ce qui dérange notre bien être. Bactéries, virus, cellules cancéreuses, nerf douloureux de la dent, enzyme producteur de douleur, d’inflammation, d’allergies, d’hypertension, de symptômes psychiatrique etc.. sont empoisonnés dès qu’ils sortent de certaines normes qui correspondent à l’état de santé.
C’est un choix qui sauve parfois des vies certes et supprime bien des maladies bénignes. Mais nous allons voir que même si c’est un choix médical et un choix qui sauve parfois des vies, la médecine des poisons n’est peut-être pas à long terme le meilleur des choix.
Tout un courant de médecine naturelle pense même que c’est le choix qui aujourd’hui produit largement plus que tout, une quantité de maladies extrêmement graves. Notre médecine actuelle en ayant un peu trop adopté la médecine des poisons pourrait donc bien être la première responsable d’une grave détérioration de l’état de santé de la population occidentale et des maladies graves d’aujourd’hui et cela bien plus par exemple que la pollution de l’environnement ou l’alimentation. Deux domaines qu’il est pourtant classique de considérer aujourd’hui comme les principaux responsables de ce problème. Et si on se trompait…
Comme les problèmes de santé sont actuellement un des problèmes de société les plus préoccupants que connaît aujourd’hui notre civilisation, il serait intéressant d’explorer cette hypothèse, on ne sait jamais.
En plus, ce qui n’arrange rien, les problèmes de santé pourraient venir aussi de ce que nous ne comprenons souvent pas le sens des maladies.
En faisant disparaître inconsidérément les maladies, notamment les maladies bénignes, la santé que nous obtenons n’est peut-être qu’une santé d’apparence. Une santé qui quelques temps plus tard, verra apparaître des maladies encore plus graves ou des états de dévitalisations qui auraient peut-être pu être évité par le recours à d’autres médecines ou même à l’absence de médecine tout simplement en se couchant et en se mettant à la diète et en éliminant les véritables causes des maladies.
Des maladies qui apparaissent à la suite de traitements médicaux, c’est ce qu’on appelle la iatrogénicité. Une maladie iatrogène est une maladie causée par un acte médical.
La médecine des poisons est en tout cas un choix qui est la conséquence logique de croyances particulières, ou d’ignorances diraient nos prêtres médecins indiens, et cela nous n’en avons peut-être pas conscience. Et bien ce texte va aussi analyser tout cela.
La dent dévitalisée qui est quand même le thème principal de ce site, est probablement un des éléments les plus lourds de conséquence de la médecine des poisons auquel elle appartient pleinement.
La dent dévitalisée n’est en effet pas arrivée dans notre panoplie médicale comme un cheveu sur la soupe. Elle est un élément de plus à cette médecine des poisons qui élimine les éléments qui nous dérangent, ici la douleur, en détruisant s’il le faut les mécanismes du corps qui en permettent l’expression.
Dans la dent dévitalisée, le choix d’empoisonner est poussé à son extrême puisque ici on tue carrément la dent. C’est évident à comprendre puisqu’on enlève le nerf et les vaisseaux sanguins. On dit d’ailleurs dévitaliser une dent, ce ne peut être plus clair.
Il reste alors un cadavre de dent qui ne fait plus mal certes mais qui n’est plus une dent mais une dent dévitalisée.
Eh bien nous allons voir que de multiples techniques médicales modernes aboutissent elles aussi à un organisme dévitalisé.
Cette technique de dévitalisation dentaire est une technique médicale toutefois j’en conviens, car elle permet de supprimer des souffrances, du moins à court terme, tout comme les différents outils de la médecine des poisons.
Pour en finir sur la dent dévitalisée, l’autre choix certes pour la dent aurait été d’enlever la dent. On n’aurait aussi tué la dent d’une certaine façon mais en fait le terme couper serait plus adapté. En dévitalisant la dent on sépare dans l’entité dent, le nerf et les vaisseaux sanguins de la partie minérale et on tue véritablement la dent. En l’extrayant, on ne maintient pas dans l’organisme un organe mort donc on ne peut pas dire qu’on tue quoique ce soit. On élimine une dent voilà tout.
Si dans le cas de la dent dévitalisée le rôle d’empoisonnement d’une fonction de l’organisme, ici le nerf, est évident puisqu’on le tue carrément, il existe d’autres domaines de la médecine où le rôle de médecine des poisons est parfois un peu plus subtil à comprendre.
Dans le cas des antibiotiques ou des antiseptiques, c’est assez simple à comprendre. Les antibiotiques et les antiseptiques tuent les bactéries qui en se développant dans l’organisme provoquent une infection qui peut tuer. En tuant les bactéries, on soigne par conséquent et même on sauve des vies. Les inconvénients sont que les antibiotiques empoisonnent non seulement les mauvaises bactéries mais aussi les bonnes de notre tube digestif.
Mais nos cellules humaines sont aussi un peu empoisonnées par les antibiotiques. Savez vous d’ailleurs pourquoi les antibiotiques ou les antiseptiques et les antiviraux tuent les germes et pas nos cellules, généralement. Tout simplement parce que nos cellules sont plus robustes dans leur immense majorité. Les cellules humaines sont des eucaryotes contrairement aux bactéries qui sont des procaryotes. Les procaryotes sont beaucoup plus fragiles face aux attaques chimiques par exemple à cause d’une membrane cellulaire beaucoup plus rudimentaire.
Mais les antibiotiques, les antiseptiques et les antiviraux empoisonnent tout et même parfois tuent certaines cellules plus fragiles de notre organisme. Ils constituent donc aussi des poisons pour nos cellules même si généralement, ce sont des poisons que nos cellules tolèrent quand même.
Ce qui est sûr aussi est que les antibiotiques tuent aussi les bonnes bactéries de notre intestin ce qui peut poser des problèmes d’autant plus que le quart de la population française est atteinte de colopathie fonctionnelle que de bonnes bactéries arrivent bien souvent à améliorer.
Même si nos cellules humaines sont un peu empoisonnées, elles ne le sont généralement pas suffisamment pour que des organes soient détruits, surtout si on a beaucoup de vitalité. Parfois certaines personnes ont effectivement des destructions de cellules plus fragiles. Certaines personnes peuvent par exemple devenir sourdes après un traitement antibiotique ou avoir une destruction des reins.
Et là on touche un point essentiel. Les dégâts de la médecine des poisons seront bien moins perceptibles sur les organismes très robustes et cela aurait tendance à faire croire à ceux qui l’utilisent qu’elle ne possède pas d’effet toxique. Mais sur les organismes affaiblis, alors là les dégâts sont bien plus évidents à constater si on veut bien accepter de le reconnaître, c’est toujours la même chose. Quant aux organismes robustes, ils perdent aussi petit à petit leur vitalité.
Notre médecine a du mal à vouloir assumer les dégâts occasionnées par ses prescriptions c’est bien connu et la dent dévitalisée en est un bon exemple.
Il faut dire que bien souvent, notre médecine ne sait faire autrement pour contenter un public qui veut guérir toujours plus rapidement et sans changer ses mauvaises habitudes.
Le fait de tout empoisonner et de ne tuer que les cellules les plus fragiles est bien sûr aussi le mécanisme choisi dans les traitements anticancéreux. Ils empoisonnent tout mais seules les cellules cancéreuses plus fragiles meurent. Les autres cellules saines restent vivantes généralement, mais sont empoisonnées toutefois et donc affaiblies.
C’est là le problème de cette médecine qui fait le choix d’empoisonner, c’est qu’elle laisse l’organisme dans l’état d’un champ de bataille après un affrontement, c’est-à-dire dans un état d’affaiblissement. Notre médecine actuelle fait véritablement comme elle le dit si bien d’ailleurs, la guerre à la maladie.
La médecine des poisons est encore présente dans bien des domaines de notre médecine moderne. Tous les anti-inflammatoires, anti-douleurs, anti-allergiques et autre anti-ceci et anti-cela sont constitués de molécules synthétiques qui inhibent (empêche le fonctionnement de) nos enzymes. Nos enzymes sont des protéines qui possèdent des fonctions spécifiques. Lorsque notre médecine estime que ces fonctions agissent trop (provoquant les symptômes de la maladie), elle utilise alors des inhibiteurs enzymatiques. Cela revient en fait à empoisonner les cellules humaines qui fabriquent ces enzymes que l’on estime être produits en excès.
Les inhibiteurs enzymatiques qui constituent une partie très importante de notre médecine font donc aussi partie de la médecine des poisons. On empoisonne nos fonctions organiques car on estime qu’elles sont trop actives sans avoir véritablement de réponse d’ailleurs au sens de cette hyperactivité ou hyperfonctionnement. On pense simplement que l’organisme est un peu devenu fou et donc qu’il faut brider son activité.
Peut-être faudrait-il déjà se poser la question du sens de la maladie, et notamment de ces hyperactivités (fièvre, douleur, allergies, inflammation, hypertension ) avant de vouloir à tout pris les faire disparaître.
Car généralement après avoir bridé ces hyperactivités, on observe parfois longtemps plus tard, des maladies d’hypoactivités ou d’hypofonctionnement. Des organes vitaux ne fonctionnent plus aussi bien. Ainsi on voit apparaître des diabètes, des insuffisances hépatiques, rénales, cardiaques, coloniques etc…
Notre médecine y répond plus difficilement alors par ce qu’on pourrait appeler la médecine des prothèses et encore quand elle le peut. Les prothèses peuvent être chimiques ou mécaniques (du pace maker au fauteuil roulant et mêmes les lunettes) ou carrément des greffes (foie, cœur). Par exemple lorsque le pancréas ne sait plus fabriquer d’insuline, alors la médecine fournit de l’insuline synthétique. C’est une prothèse chimique pourrait-on dire.
Pour certains, le développement de prothèses parfois très sophistiquées est la traduction d’un haut niveau de notre science moderne. Pour d’autres, elle est surtout la traduction d’un haut niveau de dégénérescence de notre civilisation. Comme quoi les mêmes faits peuvent être analysés différemment…
Mais à part les prothèses, notre médecine moderne a très peu de solutions pour refaire fonctionner des organes qui ne fonctionnent pas assez bien. Elle se contente de suppléer à vie, ces hypofonctionnements, ce qui est déjà ça mais ne peut jamais être aussi bien que si les organes fonctionnaient correctement eux mêmes. Cette incompétence à refaire fonctionner des organes est somme toute logique car sa compétence est surtout dans le domaine des poisons. Les poisons empoisonnent par définition et donc ne peuvent faire fonctionner mieux ce qui ne fonctionne pas ou mal.
Pour les naturopathes et les médecins naturels qui refusent la médecine des poisons, ces maladies d’hypofonctionnement sont les conséquences logiques de traitements des maladies d’hyperfonctionnement par la médecine des poisons.
D’autant plus qu’on ne comprend pas le sens des maladies d’hyperfonctionnement et qu’on n’en cherche nullement la cause.
La naturopathie se veut être une médecine qui reste en accord avec la nature et dans la pratique corrige très souvent l’alimentation avant tout qu’elle estime être une cause essentielle des maladies d’aujourd’hui et suggère souvent l’arrêt des médicaments allopathiques qui sont souvent des poisons pour elle.
Selon les naturopathes et les médecins de médecines naturelles, le sens des maladies d’hyperfonctionnement est très souvent d’éliminer les poisons et de rétablir un corps sain. Eliminer simplement les causes permet souvent à l’organisme par les méthodes d’autoguérison que sont ces maladies d’hyperfonctionnement, de se soigner tout seul. Parfois cela ne suffit plus et alors il faut l’y aider. Mais alors selon certains, pas par des poisons mais par des médecines qui vont dans le sens des mécanismes d’autoguérisons. Des médecines en accord avec le corps pourrait-on dire.
C’est tout à fait l’esprit de ce que disait jadis Hippocrate. Ce même Hippocrate dont les représentants de notre médecine prêtent le serment à la fin de leurs études. Un esprit dont notre médecine actuelle s’est pourtant bien éloignée en adoptant la philosophie de la médecine des poisons.
Pour certains, les outils pour aider véritablement sans empoisonner ne peuvent être issus que de la nature et non de nos industries pharmacologiques modernes qui ont dénaturé le naturel qui possède une intelligence intrinsèque.
Parfois aussi, on ne peut plus aider un organe en souffrance. Il faut accepter de se débarrasser ou de couper ce qui est pourri et irrécupérable quand on le peut et d’autant que c’est vraiment irrécupérable car généralement tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.
Dans le cas de la dent dévitalisée, il n’y a plus de vie donc plus d’espoir que la dent puisse redevenir vivante. Le dentiste qui a décidé de dévitaliser aurait pu aussi prendre le choix de d’extraire la dent. Evidemment en apparence, c’est une mutilation. Mais la réalité biologique de la dent dévitalisée est qu’elle constitue un empoisonnement, ce site l’a suffisamment démontré je crois. Le problème des apparences trompeuses est tout le problème justement de la médecine des poisons.
Dans le cas des infections, le choix d’aider ce qui est en souffrance est le choix global de la naturopathie qui veut renforcer le terrain avant de vouloir tuer les bactéries.
Pour les naturopathes, les bactéries ont un rôle de nettoyage des matières mortes et des toxiques. Evidemment si elles se développent un peu trop sur des cellules faibles, elles vont finir par détruire tout l’organisme et tuer le patient. Si les cellules de l’organisme retrouvent une bonne vitalité, les bactéries n’auront plus la possibilité de les détruire et se contenteront de détruire uniquement les matières qui encombrent l’organisme.
Mais encore faut-il savoir quoi faire pour remonter la vitalité des cellules de l’organisme sinon les bactéries prendront le dessus et pourront tuer et alors il vaut mieux utiliser les antibiotiques que de ne rien faire. Les naturopathes pensent qu’en redonnant une bonne alimentation, l’organisme retrouvera alors cette vitalité. Toutes les médecines naturelles veulent aussi remonter la vitalité d’ailleurs en utilisant leurs techniques spécifiques.
Parfois quand on ne sait rien faire de mieux que la médecine des poisons, il me semble qu’il vaut mieux l’utiliser que ne de ne rien faire, surtout dans les situations d’urgences où la vie est en danger. Une infection peut se diffuser à tout l’organisme et devenir ainsi gravissime, alors qu’un antibiotique peut facilement l’enrayer. Mais peut-être aussi qu’on utilise un peu trop souvent la médecine des poisons et que si on avait conscience de sa iatrogénicité, on l’utiliserait bien moins souvent notamment pour les affections chroniques qui ne relèvent pas de l’urgence vitale. Alors, on chercherait des solutions qui risquent moins de développer des iatrogénicités.
Penchons nous maintenant un peu plus sur le cas du cancer.
Une bonne partie de la naturopathie a une autre vision du cancer que la cancérologie moderne. Si les cellules saines arrivaient à faire correctement leur travail, les cellules cancéreuses n’auraient pas de raison d’être et disparaîtraient d’elles même. Et cela n’est pas juste une vue de l’esprit et a été observé maintes fois surtout lorsqu’on débarrasse l’organisme de ce qui l’empoisonne, sachant d’ailleurs que nos propres pensées peuvent aussi nous empoisonner.
Dans l’esprit de la naturopathie, le cancer a une raison d’être. C’est celui d’effectuer un travail que les cellules normales ne peuvent effectuer. Les cellules se cancérisent par conséquent pour effectuer leur tache. Evidemment si ça dure un peu trop, le patient meurt de son cancer. Non pas parce que le cancer l’empoisonne au sens propre du terme mais parce que la dépense énergétique résultant du cancer épuise l’organisme. C’est une façon de voir totalement différente de celle de voir le cancer comme un élément méchant qu’il faut donc détruire. Le cancer pourrait donc être vu comme une maladie d’hyperfonctionnement ultime en quelque sorte.
Toutefois on ne peut nier que le fait de détruire les cellules cancéreuses sauve aussi des vies, comme d’ailleurs beaucoup de traitements d’autres maladies d’hyperfonctionnement. Une fièvre trop importante par exemple, peut tuer, c’est évident. Une forte crise d’asthme due à une constriction des bronches aussi.
Alors comment expliquer le fait que la médecine des poisons sauve aussi des vies dans le cancer si la vision de la naturopathie est juste. Tout simplement car lorsqu’il n’y a plus de cancer il n’y a plus de source d’épuisement énergétique qui finit par tuer. Mais les fonctions qui devaient être réalisées par les cellules cancéreuses ne peuvent plus être effectuées d’un autre côté et cela amène des états qu’on pourrait aussi assimiler à des états d’handicaps énergétiques ou de mutilations même si parfois cela sauve la vie ou prolonge la vie.
Pour sauver des vies, il semble donc qu’il vaut mieux parfois utiliser la médecine qui fait le choix d’empoisonner que de ne rien faire. Et cela, même si la médecine qui fait le choix d’empoisonner possède des inconvénients dont celui de fabriquer ensuite des personnes qui sont énergétiquement, ou physiquement mutilées. C’est surtout vrai en fait quand on ne sait rien faire d’autre, ce qui est le cas de nos cancérologues conventionnels actuels qui ne savent qu’utiliser la médecine des poisons.
Les poisons surtout ceux qui rentrent dans le sang par définition empoisonnent toutes nos cellules. Tous nos organes fonctionnent alors moins bien, ce qui fait qu’on a moins de vitalité.
Si on pense généralement que c’est un mal nécessaire pour guérir, il existe pourtant des cas, notamment lorsque les affections ne sont pas trop graves, où il vaut mieux ne rien faire, se coucher et jeûner. Mais lorsque les maladies sont plus graves, ça ne suffit pas toujours. Il faut adjoindre d’autres médecines.
La philosophie générale des médecines qui n’empoisonnent pas est de chercher à renforcer ce qui est en souffrance sans empoisonner ce qui nous dérange. On s’aperçoit ainsi que ce qui nous dérange finit par disparaître de lui-même.
Mais encore faut-il suffisamment maîtriser de telles médecines pour pourvoir prétendre pouvoir se passer de la médecine des poisons ou posséder au moins un minimum de connaissances simples que la population pourrait posséder.
Et c’est rarement le cas je trouve aujourd’hui dans nos pays occidentaux qui ont délégué totalement la santé aux médecins, et notamment en France où la naturopathie est carrément pourchassée dès que des naturopathes ont un peu trop de succès. La majeure partie de notre population est très ignorante sur les solutions naturelles même simples qui lui permettraient d’éviter le recours à la médecine des poisons. De plus l’investissement universitaire médical s’est fait depuis longtemps presque exclusivement dans le sens de la médecine des poisons si bien remboursé par la sécurité sociale. Une médecine qui a même souvent une attitude hégémonique vis-à-vis des médecines naturelles.
Aujourd’hui prétendre pouvoir guérir des maladies bénignes par les médecines naturelles passe encore mais prétendre guérir de maladies graves comme le cancer par exemple en excluant les armes conventionnelles contre le cancer serait une hérésie qui pourrait envoyer celui qui le prétendrait en prison. Et en plus l’immense majorité de la population ne peut même pas s’imaginer que ce soit possible. Comment ma brave dame, tous ses chercheurs qui cherchent, tous ses grands professeurs qui ont fait de longues études. Non, c’est résolument impossible, diraient la plupart des gens et des juges d’ailleurs aussi.
Et pourtant si on fait une enquête sur ce sujet, partout dans le monde, et même en France, il existe des personnes qui ont guéri ainsi et plus qu’on ne le croit si on va un peu visiter d’autres marres à grenouilles et qu’on acquière d’autres savoirs.
N’oubliez pas que dans notre civilisation occidentale, à quelques exceptions près, tous les chercheurs qui cherchent et tous les grands professeurs, ne mobilisent leurs neurones que dans une seule direction, celle de la médecine des poisons. Et donc que parfois avec beaucoup moins de moyens financiers, en allant chercher dans d’autres directions, on peut aussi trouver.
Si vous n’en n’êtes pas convaincu, regardez la centaine de témoignages de patients du site www.sante-dents.com. Pour obtenir les mêmes résultats thérapeutiques que ceux obtenus simplement par l’élimination des dents dévitalisées, des milliards d’euros investis dans la recherche de nouvelles molécules chimiques n’y aurait probablement pas suffit.
Les solutions thérapeutiques ne dépendent donc pas toujours de moyens financiers alloués à la recherche, mais parfois juste d’une certaine ouverture d’esprit.
Prenons un exemple simple pour illustrer les deux choix médicaux qui existent, celui d’empoisonner ou celui d’aider ce qui souffre.
Dans le domaine des affections de la peau et des muqueuses, je dirais qu’il y a le choix de l’alcool et des désinfectants en général, qui désinfectent donc tuent les germes et le choix de l’huile qui reconstruit. Face à une plaie, on peut désinfecter ou oindre. On peut d’ailleurs adjoindre à l’huile une huile essentielle aussi d’ailleurs et oindre avec un aspect aromathérapeutique que certains pourraient dire anti-infectieux aussi, même si je pense qu’avec les dilutions d’huiles essentielles on est aussi dans le choix d’aider les cellules en souffrance plutôt que celui d’empoisonner ce qui gène. Il est probable que le choix des poisons tels les antiseptiques en usage externe soit bien moins lourd de conséquences que les poisons en usage interne notamment pour de petites plaies. Quoique même dans ce cas maintenant nos médecins déconseillent l’alcool car il brûle un peu trop la peau. Ils recommandent alors des antiseptiques moins agressifs, même s’ils constituent toujours des poisons toutefois. En ayurvéda, la médecine traditionnelle indienne, en relation proche avec la religion, la technique de l’oléation est une technique de base des traitements. On peut mettre de l’huile partout et cela soigne tout. Mais dans un occident imprégné de combat contre la maladie donc les agents de la maladie, on préfère désinfecter la peau, les muqueuses, les cellules. On utilise pour cela de l’alcool et autre antiseptiques et antibiotiques. L’alcool a même imprégné la phytothérapie occidentale avec des alcoolatures et les teintures mères, alors qu’en ayurvéda il n’existe pas de médicaments avec de l’alcool qui est toujours considérée comme un poison ainsi que son dérivé qui est le vinaigre que certains utilisent pour soigner avec une certaine efficacité d’ailleurs. Mais le vinaigre est quand même plutôt utilisé en cuisine. Et oui après la médecine des poisons on pourrait parler de l’alimentation des poisons mais c’est un autre sujet même si bien sûr il y a des liens avec le précédent.
En médecine indienne, il existe d’ailleurs aussi un liquide désinfectant naturel très peu agressif pour la peau qui possède un peu d’ammoniaque. C’est sa propre urine… L’urine est un liquide stérile je le rappelle.
Dans tous les domaines de la médecine on pourrait trouver des exemples de choix qui empoisonnent et d’autres qui aident ce qui est en souffrance et dans la cancérologie aussi bien sûr.
Je ne vais pas explorer ici tous ces domaines de la médecine, je resterai dans la douleur, l’inflammation et l’allergie qui sont souvent les premiers symptômes des maladies bénignes.
En supprimant artificiellement l’allergie et l’inflammation par exemple, qui sont respectivement des mécanismes d’élimination des poisons et de reconstruction de l’organisme, il est plus que certain que les poisons pénétreront plus profondément dans l’organisme. Je veux dire par là que les organes les plus vitaux seront alors pénétrés par les poisons vis-à-vis desquels l’allergie, la douleur et l’inflammation avaient pour objectif de lutter.
En soignant les rhumes de foins, des asthmes peuvent apparaître. En soignant les asthmes des diabètes peuvent apparaître. L’apparition de maladies qui touchent en profondeur le système nerveux par exemple comme la sclérose en plaque ou la maladie d’Alzheimer, pourraient bien résulter de poisons ou de germes infectieux qui sont rentrés profondément à cause d’un tel mécanisme de suppression artificiel de l’allergie ou de l’inflammation ou de la douleur. Quant à nos médicaments de psychiatrie, ils seraient idéals selon certains, pour fabriquer des zombis décérébrés.
Evidemment la médecine nie ce genre de lien de cause à effet que seuls les naturopathes et d’autres remarquent. C’est comme avec les dentistes et les dents dévitalisées en quelque sorte. Nul n’est plus aveugle que celui qui ne veut voir, tout comme nul n’est plus sourd que celui qui ne veut entendre.
Ce mécanisme discutable d’inhibition enzymatique est à peu près présent avec tous les médicaments anti-ceci et les anti-cela de notre médecine chimique.
Cette classe de médicaments allopathique pourrait bien être selon la naturopathie d’ailleurs, la principale cause d’apparition de maladies graves. Ils ne se sont pas encore aperçus de l’incidence de la dent dévitalisée, c’est pour ça.
Mais si notre médecine des poisons ne s’intéresse pas aux dégâts occasionnés par ses produits, en plus bien souvent elle ne s’intéresse pas vraiment aux causes véritables de la maladie, ne s’attachant à supprimer avant tout que les symptômes. Les patients continuent ainsi à refaire encore et encore les mêmes erreurs et à consulter pour renouveler leurs ordonnances entre deux périodes d’accalmie.
Les patients sont toujours contents quand leurs symptômes disparaissent rapidement sans se remettre en question et l’organisme s’épuise à réagir au bout d’un certain temps. Alors on estime être guéri, même si on est totalement dévitalisé. Des maladies plus graves apparaissent bien souvent ensuite.
Et puis les patients ne font pas le lien ensuite entre les médicaments qu’ils ont pris pour guérir et d’autres maladies qui apparaissent ensuite. Les médecins non plus d’ailleurs. C’est tout comme pour la dent dévitalisée, les patients et les dentistes. C’est très subtil. Asurique diraient les médecins religieux indiens.
J’ai dit un peu avant, les causes véritables, car pour notre médecine les causes sont les pollens, les bactéries, les virus etc… c’est-à-dire des causes naturelles bien souvent. Ce ne sont pas les causes véritables au sens où la naturopathie l’entend. Ce sont des causes secondaires qui ne peuvent se manifester que parce qu’il existe d’autres causes qui affaiblissent le terrain.
Mais il faut bien faire quelque chose me direz vous-même si on ne connaît pas les causes véritables ?
C’est vrai et ce n’est pas vrai, car dans certains cas il vaut mieux ne rien faire, se coucher se mettre à la diète, se moucher, se gratter, transpirer avec sa fièvre et attendre que ça passe tout seul et que l’organisme fasse son travail de nettoyage. Mais ce qui est trompeur avec la médecine des poisons, c’est qu’elle est redoutablement efficace à court terme. Une pilule et hop, plus de symptômes sans rien changer dans ses habitudes. Alors que dans les médecines douces, c’est souvent plus compliqué et plus long. Pas toujours toutefois quand on les maîtrise bien.
En plus, il faut généralement changer des habitudes, notamment alimentaire et en plus ce n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Mais à terme on obtient la santé qui n’est pas juste l’absence de maladies mais aussi un état de pleine vitalité.
Ce texte n’a absolument par pour objectif de vous enseigner des médecines naturelles, chinoise ou indiennes ou la phytothérapie ou la naturopathie par exemple, mais de vous faire prendre conscience de leur immense intérêt. Mais comme je sais que le lecteur est toujours à la recherche de trucs pour la santé, je vais ici lui en donner quelques uns assez simples. Des trucs qui seraient souvent utiles aujourd’hui.
En cas de fortes fièvres, boire un peu d’eau salée idéalement avec du sel de magnésium (chlorure de magnésium par exemple) calme la fièvre, car en médecine chinoise la saveur salée qui est de l’Eau éteint le Feu. Mettre les fesses, et les fesses seulement dans l’eau froide est aussi une bonne idée pour la fièvre surtout pour évacuer ce qui stagne dans l’intestin et qui est souvent la cause de biens des problèmes. Une cause qui peut aussi être éliminée avec un nécessaire à lavement acheté en pharmacie et installé au dessus de vos W.C. En cas d’infection, il faut supprimer tout ce qui est sucré, surtout le matin et prendre plutôt des saveurs amères. Si vous n’avez rien d’autre comme plantes médicinales, une décoction d’herbes de Provence tout simplement est déjà une bonne tisane pour toutes les infections. Pour ceux qui sont plutôt apathiques et froid en général, une infusion de gingembre râpé et de jus de citron règlera bien des problèmes, surtout pour les gros. Les maigres auront plutôt intérêt à boire de l’huile grasse comme celle de sésame et à se mettre des bouillottes sur le ventre. C’est fou ce qu’on peut soigner avec les bouillottes car elles apportent de la chaleur à l’organe malade. Boire de la bonne huile d’Olive avec de l’eau chaude citronnée règle bien des problèmes simples des enfants tout simplement. La vitamine C règle aussi bien des problèmes même si c’est aussi un peu chimique.
Comme vous le voyez, dans les médecines naturelles, on tient compte de la morphologie, de l’heure et parfois même des phases de la lune, mais aussi des causes. On ne soigne pas que la maladie mais aussi le patient en fonction de sa typologie. Une même maladie sera aussi soignée différemment en fonction des causes qui peuvent être différentes même si elles provoquent ensuite la même maladie. Bref, ce n’est pas si simple que cela même si ce n’est pas non plus si compliqué que cela.
Maintenant nous allons voir que le choix médical d’empoisonner et de se désintéresser du sens de la maladie et des causes véritables en général, est un choix qui n’est pas totalement indépendant de nos croyances philosophiques sur la Vie et l’Univers.
Il existe en gros sur Terre, deux croyances sur l’apparition de la vie sur Terre. Celle de croire en un dieu ou des dieux créateurs et celle de croire que la vie serait apparue par le fruit d’un hasard dirigé ensuite par la sélection naturelle des plus forts aux dépends des plus faibles. Cette dernière croyance est la croyance en l’évolution darwinienne. Il y a donc pourrait-on dire, le créationnisme et l’évolutionnisme.
Evolutionnisme et créationnisme qui traitent de l’apparition de la vie sur Terre sont d’ailleurs aussi dépendants des croyances sur la naissance de l’Univers.
L’évolutionnisme découle logiquement de la croyance dans le Big Bang, cette hypothétique explosion originelle qui serait à l’origine de l’apparition de notre univers de matière tandis qu’ailleurs une antimatière existerait. Une antimatière qu’on pense avoir mis en évidence dans des accélérateurs de particules mais sinon qu’on cherche encore ailleurs. Evolutionnisme et Big Bang sont des théories dites nihilistes car expliquant l’apparition de la vie et de l’univers à partir de rien.
Le créationnisme rattaché à Dieu parle lui d’un univers sans limite. Dans l’ésotérisme juif par exemple on parle d’Aïnsoft, c’est-à-dire de l’infini. Un infini ayant toujours existé et n’ayant par définition pas de limites.
Univers infini et vie crée, ou univers délimité et vie apparue du néant. Telle est la question ? Mais surtout quelles en sont les implications, c’est encore plus la question ?
Dans l’évolutionnisme, on pense donc que la vie se développe en luttant contre la vie des autres, et plus précisément en tuant les plus faibles.
On comprend donc logiquement que la médecine d’une société imprégnée de darwinisme, se voulant préserver la santé, va opter d’agir en tuant ce qui nous dérange. Il est donc logique de tuer les bactéries, la dent douloureuse, les enzymes qui dérangent ou les cellules cancéreuses. C’est la logique de guerre. Mais bon les humains n’ont pas attendu Darwin il est vrai, pour choisir d’éliminer les ennemis dans la logique de guerre. La théorie de Darwin est donc elle même la conséquence logique d’une pensée de guerre qui existe depuis la nuit des temps. Une pensée guerrière qui n’a fait ici en Darwin que trouver un cautionnement scientifique, pourrait-t-on dire par conséquent.
Dans les écrits religieux on parle certes aussi de guerres mais il semble quand même qu’il y ait plus d’incitation à la tolérance et à l’amour même celui pour nos ennemis. Les écrits religieux sont donc quand même plus porteurs de sentiments de paix que de guerre même si bien sûr les guerres de religions ont bien existé. Mais de là à penser qu’elles étaient l’émanation directe des écrits religieux, c’est un peu exagéré. On peut même raisonnablement imaginer que sans les religions ça aurait pu être encore pire.
Des grands génocides récents comme celui de Pol pot, Mao, Staline, Hitler et plus récemment des Hutus par les Tutsis ou l’inverse, je ne sais plus, montrent que dans ces cas il n’y avait aucune interférence de la pensée religieuse.
La pensée religieuse se caractérise toujours par l’existence d’un ou plusieurs dieux créateurs. Le fait de détruire la vie humaine est donc une forme de sabotage de l’œuvre de Dieu.
On peut donc raisonnablement dire que la croyance en Dieu est quand même plus propice à établir la paix que la croyance en Darwin et que les personnes qui ont une propension pour la guerre, même si elles s’identifient à un groupe religieux n’en sont pas moins en désaccord avec la pensée de leur religion même si certaines religions gagneraient à être un peu débarrassées de certains écrits donc à être spiritualisées. Et que plutôt que guerre de religions on devrait les appeler guerre de personnes qui n’ont rien compris à leur religion et se sont laissés envahir par des sentiments de haine qui n’ont rien de religieux ni de spirituel.
Dans une optique de créationnisme, Dieu est bien plus savant que nous. Il est donc logique de penser que si Dieu a créé certaines choses comme les germes infectieux et les cellules cancéreuses, c’est qu’il y a un sens à cela. Il serait donc peut-être intéressant avant tout de le comprendre avant de vouloir les détruire.
Et cela, même si l’hygiène est aussi un concept enseigné par Dieu pour nous éloigner de certaines de ses petites créations. En effet certains germes ont peut-être un rôle utile mais ne devant pas obligatoirement trop se faire à notre contact.
Mais pour les cellules cancéreuses, la science a montré que le cancer est codé génétiquement dans nos propres chromosomes. Le cancer est donc prévu par Dieu, dans une croyance créationniste, pour se développer à l’intérieur même de notre organisme. Les cellules cancéreuses ne sont à l’évidence pas faites pour vivre en dehors de l’organisme comme les germes infectieux pourraient l’être. Elles ont donc un rôle à jouer dans notre organisme.
Approfondissons le concept des causes maintenant. Si Dieu contrôle toute sa création et est omniprésent tel que l’enseignent les grandes religions, le hasard n’existe pas au sens où on l’entend. La maladie est donc la conséquence logique de quelque chose. On peut aussi imaginer qu’elle a un sens. On peut certes aussi imaginer une troisième théorie, par exemple que des dieux qui seraient repartis sur leur planète et nous laisseraient nous débrouiller tout seul. C’est une théorie intermédiaire peut-on dire, où le hasard aurait alors une plus grande place éventuellement. Je dis bien éventuellement car ces dieux repartis chez eux auraient très bien pu créer la vie avec une intelligence autonome (ce serait aussi une autre vision de dieu) faisant que tout ce qui s’y passera sera le résultat d’une cohérence visant à protéger la vie. C’est le concept d’une intelligence intrinsèque de la nature dont l’homme ne peut aujourd’hui pas toujours comprendre le sens et vis-à-vis de laquelle il ferait mieux de s’abstenir plutôt que de vouloir faire mieux qu’elle (la nature) en voulant jouer aux apprentis sorcier, notamment avec les OGM. Mais bon tout ça est compliqué et pour résumer on peut dire qu’il y a deux types de croyances. La croyance que nous vivons dans un monde insensé et celle que nous vivons dans un monde sensé c’est-à-dire où tout ce qui arrive possède un sens et que c’est à nous de le comprendre. Et surtout que si on ne cherche pas à comprendre le sens de ce qui nous arrive, on va vers encore plus de problèmes. La croyance en Dieu étant contenue dans le groupe des croyances qui est que nous vivons dans un monde sensé.
Dans la croyance majoritaire en Dieu, Dieu étant amour selon nos religions, une médecine en accord avec Dieu va donc essayer de traiter l’organisme avec amour et en respectant les lois que Dieu nous a donné et pas en empoisonnant ce que Dieu a créé.
Essayons par exemple d’imaginer ce que ce Dieu penserait de la dent dévitalisée.
Dans la Bible par exemple, il a dit : « l’homme ne séparera pas ce que Dieu a uni ». Séparer ou diviser se dit diabolein en grec ancien et a donné le mot diable. Donc on ne séparera pas le nerf du reste de la dent par exemple car cet acte est diabolique étymologiquement parlant en tous cas. Ce n’est pas le cas pour arracher une dent qui s’apparente à couper et non à séparer.
C’est une différence subtile mais elle existe. Dieu dans la Bible s’est aussi exprimé sur la mort et les morts en particulier en disant de ne pas les laisser au milieu des vivants mais de les emmener à l’Hadès. Par analogie on peut penser que de laisser des dents mortes au milieu des dents vivantes n’est pas la meilleure des idées pour les vivants.
Essayons par exemple d’imaginer aussi ce que ce Dieu penserait de la pharmacologie moderne qui sépare le principe actif du reste de la plante où plutôt le synthétise, comme on le sait quand on s’intéresse un peu à la pharmacologie.
Au niveau pharmacologique, les plantes possèdent en effet un ou quelques principes dits actifs et d’autres molécules que l’on pense inactives mais que la phytothérapie sait qu’elles permettent de protéger le terrain. Dans la croyance en Dieu, il sera donc logique d’utiliser des plantes car sinon, on utilisera des médicaments qui ont séparé quelque chose que Dieu avait uni d’une certaine façon. Utiliser la médecine de la nature est donc plus dans la logique de croyance en Dieu.
Il ne faut toutefois pas oublier qu’il existe aussi dans la nature des plantes qui sont toxiques. Tout ce qui vient de la nature n’est pas bon pour la santé. La radioactivité qui est toxique existe aussi naturellement dans l’uranium naturel. Le concept de toxique n’est donc pas l’exclusivité de ce que l’homme synthétise.
Les passages suivants sont peut-être un peu plus compliqués. Mais ce sont des passages que j’ai développés parce qu’ils approfondissent une médecine naturelle que l’on peut estimer être la principale médecine naturelle historiquement en occident, la phytothérapie.
Les plantes dites toxiques peuvent se classer en deux catégories. Une première catégorie est constituée de celles qui provoqueraient des symptômes de maladies d’hyperfonctionnement lorsqu’on n’est pas malade. On peut donc les utiliser dans les maladies d’hypofonctionnement correspondantes. Ce sont donc de plantes à utiliser avec parcimonie et bon escient uniquement car sinon on provoque inutilement certaines maladies. Alors que pour rappel, les plantes dites non toxiques, ne présentent elles aucun risque même si on se trompait un peu dans leur utilisation.
La seconde catégorie de plantes toxiques constitue carrément des poisons. Ces plantes bloquent et détruisent des fonctions de l’organisme. Leur utilisation en phytothérapie n’est pas médicale à proprement parler (avortement par exemple). Pourtant les molécules de ces plantes sont utilisées pour servir de modèle à la médecine des poisons qui s’est introduite dans une partie de l’allopathie et même une partie de l’homéopathie.
L’allopathie recopie alors par la synthèse chimique le principe actif ou synthétise plutôt maintenant des molécules proches des principes actifs originels des plantes. Des molécules encore plus efficaces. Les effets toxiques sont aussi en parallèle plus importants généralement. Mais l’allopathie le fait aussi avec les plantes non toxiques. Elle n’utilise pas que les modèles des plantes poisons. L’acide acétylsalicylique de l’aspirine par exemple provient du saule blanc qui est une espèce non toxique. Toutefois en concentrant le principe actif, le médicament allopathique devient alors toujours un peu toxique pour des raisons expliquées précédemment, même si à l’origine la plante utilisée comme modèle n’était pas toxique.
Les plantes toxiques sont aussi utilisées en homéopathie qui ainsi provoque une réaction du corps qui va mobiliser des énergies internes pour activer des processus d’auto guérisons.
Lorsque l’homéopathie utilise les plantes toxiques de la seconde catégorie, donc les poisons, elle constitue alors une médecine des poisons même s’ils sont très dilués et que l’homéopathie est aussi une médecine énergétique. L’homéopathie rééquilibre alors l’organisme, donc le guérit puisque la guérison est une question d’équilibre, mais en abaissant alors le niveau global énergétique de l’organisme. L’homéopathie utilise d’ailleurs aussi des poisons dans le règne minéral et animal. Des règnes qui possèdent aussi des éléments thérapeutiques qui ne sont pas des poisons et que certaines médecines utilisent (minéraux, produits issus de la vache par exemple comme sa bouse).
Lorsque l’homéopathie utilise les plantes toxiques de la première catégorie (l’arnica par exemple qui est bien connue des homéopathes), elle ne constitue alors pas une médecine des poisons mais effectue alors une simple stimulation énergétique rééquilibrant.
Les plantes dites non toxiques ne sont quasiment pas toxiques et tout le monde pourrait apprendre à les utiliser même sans être spécialiste. Ce sont des plantes qui sont d’ailleurs en vente libre et il n’est pas nécessaire d’être herboriste, pharmacien ou médecin pour les obtenir et les vendre. Certaines le sont toutefois un peu. En général, elles ne se révèlent toxiques qu’à très forte dose car la plante médicinale possède un ensemble de principes que l’on suppose éviter les inconvénients de l’utilisation exclusive d’un et unique principe actif comme cela se fait dans les médicaments modernes. Et cela même s’il s’agit de soigner des inflammations, des allergies et des douleurs sans s’intéresser aux causes.
Dans la logique darwinienne, la nature est plutôt hostile. Il est donc logique aussi par la science de l’homme de synthétiser des molécules artificielles pour soigner. On veut faire mieux donc que la phytothérapie et des autres apports de la nature.
Dans la logique de l’existence de Dieu, ce serait un peu prétentieux de vouloir faire mieux que la nature même s’il existe il est vrai en médecine naturelle, une alchimie qui sépare certes certains principes mais les réunit à nouveau ensuite.
Dans le créationnisme, on serait plutôt enclin à rechercher ce qui existe déjà dans la nature, en interrogeant les peuplades qui utilisent depuis toujours cette médecine plutôt que de vouloir créer de nouveau médicaments en laboratoire.
Dévitaliser ses dents, prendre des médicaments synthétiques qui inhibent nos enzymes pour supprimer des symptômes , tuer des cellules cancéreuses, les germes et cultiver des OGM par extension, ne me semble pas être dans la logique de la croyance en Dieu.
D’une certaine façon, c’est dans la logique de croire que la vie est le fruit d’un hasard et s’est développée par la lutte pour la sélection naturelle et que l’homme et sa science peuvent faire mieux que Dieu, puisque de toute façon il n’existe pas.
Ces comportements sont, et cela même si on n’y pense pas généralement, issus de théories dites nihilistes. Des théories qui expliquent que la vie et l’univers sont apparus du néant. Le problème selon certains enseignements mystiques est qu’en adoptant des théories nihilistes, ces dernières risquent de nous reconduire d’où elles sortent c’est-à-dire au néant, donc de nous anéantir.
Mais qui croire, Dieu ou Darwin ? Et puis quel Dieu car il y en a tellement et ils semblent en plus se contredire sur bien de points. Je pense toutefois qu’ils doivent être d’accord pour dire qu’ils ne sont pas d’accord avec Darwin et sa théorie qui voudrait nous faire croire que nos arrières arrières…. … grands parents étaient des singes et qu’en bronzant un peu trop, des rayons cosmiques auraient fait muter leurs chromosomes et hop nous voila devenus homme et femme.
En tout cas, ces croyances majoritaires de notre société et de nos scientifiques particulièrement, ont eu une influence sur les options de notre médecine. C’est important de le comprendre. Non pas à la limite pour dire que c’est mieux ou moins bien mais juste pour avoir conscience que les choix médicaux actuels majoritaires de notre société sont dépendants de ses croyances darwiniennes.
Notre médecine se prétend elle aussi d’ailleurs scientifique. Sous entendu que ce qui n’est pas validé par des études scientifiques, avec des protocoles bien précis, n’a pas vraiment de valeur. Il existe d’ailleurs deux remarques à ce genre d’études dans une société où le concept de profit est omniprésent.
La première est que lorsque certaines découvertes ne rapporteront rien en terme financier à un groupe professionnel (laboratoire pharmaceutique par exemple), on trouve peu de personnes pour mettre en place de telles études. Et si en plus les éventuelles découvertes risquent de contrarier un groupe professionnel (les dentistes avec les dents dévitalisées par exemple), alors là il est encore plus difficile de financer des études sur le sujet.
La seconde remarque est que certaines études de cause à effet de toxicité sont extrêmement complexes à réaliser. Certains sujets aujourd’hui comme la toxicité des OGM, des antennes relais et des téléphones portables, du taux de nitrate dans l’eau, du sucre raffiné etc… ne recueillent pas toujours l’adhésion de toute la communauté scientifique et médicale sur leur caractère toxique.
Certes un principe de précaution a vu le jour ces dernières décennies mais d’un autre côté trop de précaution nuit aussi d’une certaine façon au développement de la technologie. Bref, les choses ne sont pas si simples et cela demande du discernement. Il faut savoir que la science aujourd’hui ne peut pas toujours nous garantir véritablement que ceci ou cela est sans danger sauf dans quelques domaines évidents.
Il n’y a pas si longtemps par exemple, au début de la découverte de la radioactivité et donc dans ce qu’on peut considérer que c’était déjà l’ère scientifique, on fabriquait des bijoux imprégnés de radioactivité en pensant que cette énergie était bienfaisante pour la santé. Quand on voit ça on peut très bien penser que peut-être plus tard, on aura le même genre de prise de position vis-à-vis de la radiothérapie qui utilise aussi de la radioactivité. Pensez cela n’est donc pas totalement absurde. Il existe même une étude très officielle d’un pédiatre cancérologue qui montre que ses petits patients lorsqu’ils ont été traités par radiothérapie ont par la suite bien des soucis dans leur vie. Voir http://www.destinationsante.com/fr_depeche.php?id_rubrique=108&id_article=22670&cat=1
Peut-être qu’à la vue de cette étude on recherchera un peu plus d’autres moyens de soigner le cancer chez les enfants notamment, que d’utiliser des méthodes qui font le choix de les irradier car certes on guérit le cancer mais on leur pourrit ensuite le reste de leur existence. Au cas où l’étude disparaissait du site je la mets en annexe à la fin du texte.
Les choix d’empoisonnement ont fait toutefois leurs preuves en occident. Grâce aux antibiotiques, on y a sauvé des millions de vie. En tuant des cellules cancéreuses aussi, on a sauvé aussi des millions de vies et cela a apporté beaucoup à une médecine qui était très pauvre sinon.
Si notre société toutefois avait adopté des croyances créationnistes, sa médecine se serait probablement développée dans d’autres directions notamment au sujet du traitement des infections. Mais aussi du cancer.
En Inde, pays très religieux et où la médecine naturelle, l’ayurvéda a toujours été très riche, les antibiotiques sont très peu utilisés et les infections et les cancers sont soignés par des plantes et des techniques diverses de régénération. Il n’est pas sûr qu’ainsi on sauve moins de malades ou plus de malades d’ailleurs. En tout cas, c’est un sujet qui n’intéresse pas vraiment notre science occidentale et c’est dommage je trouve, car ce pourrait être très instructif.
Je m’y suis un peu intéressé avec certes le peu de moyen dont je dispose et la différence essentielle est qu’il semble que s’ils sont sauvés par cette médecine, ensuite ils n’en ressortent pas trop diminués comme lorsqu’ils sont soignés par des médecines qui ont pour philosophie d’empoisonner pour soigner.
La chirurgie sauve aussi bien des vies dans le cancer.
Quant on enlève un organe cancéreux on sauve la vie car comme il n’y a plus de cancer, il n’y a plus épuisement de l’organisme à cause du métabolisme épuisant des cellules cancéreuses et donc on sauve souvent la vie. Mais bien sûr il n’y a plus d’organe non plus. Parfois ce n’est pas si grave que ça d’ailleurs. En occident la chirurgie semble bien plus sophistiquée que celle pratiquée par la médecine indienne, qui la considère d’ailleurs comme ne devant être utilisée qu’en dernier recours à cause des dommages causés inévitablement. La médecine indienne semble d’ailleurs pouvoir l’éviter bien souvent alors qu’on opère bien plus facilement en occident.
De la même façon que la chirurgie enlève les cellules cancéreuses, avec la radiothérapie et la chimiothérapie, on tue les cellules cancéreuses donc on enlève aussi les cellules cancéreuses. Plus de cellules cancéreuses donc plus d’épuisement énergétique consécutif à l’existence de cellules cancéreuses donc on sauve des vies par conséquent.
Mais en contre partie, dans quel état se trouve-t-on ensuite. Un peu mutilé en général car les poisons par définition, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour la santé.
Quand on pense comme une grande partie du courant naturopathique le pense d’ailleurs, que le cancer se développe quand les cellules sont trop empoisonnées, on pourrait aussi penser que les traitements allopathiques qui empoisonnent les cellules cancéreuses sont cancérigènes. Cela pourrait expliquer entre autre l’apparition des métastases plus que la migration des cellules cancéreuses d’ailleurs. Je sais que cela peut sembler paradoxal de dire que les traitements anti-cancers sont cancérigènes mais c’est une réalité assez facile à comprendre d’ailleurs quand on prend l’exemple de la radiothérapie.
On sait que la radioactivité donne des cancers. Et bien la radiothérapie pour tuer des cellules cancéreuses est de la radioactivité, celle là même qui provoque des cancers. Cela tue les cellules cancéreuses fragiles et ça provoque des cancers sur les cellules saines plus robustes. C’est bien pourquoi on fait tout pour cibler le plus précisément possible les tumeurs dans les radiothérapies. Dans le domaine de la guerre on parle d’ailleurs de guerre chirurgicale par extension de langage.
Et bien pour la chimiothérapie, le raisonnement est un peu pareil, c’est aussi cancérigène. Mais le problème est qu’ici il est impossible de cibler uniquement les cellules cancéreuses car les produits vont dans le sang et ensuite dans tout l’organisme.
C’est paradoxal de dire que les traitements anti-cancéreux sont cancérigènes mais c’est pourtant une évidence. Une évidence dont on ne parle d’ailleurs jamais. Ce pourrait être une bonne explication complémentaire des métastases à d’autres qui existent déjà. Et puis dans la même logique, on pourrait dire alors que tous les traitements allopathiques qui empoisonnent sont eux aussi cancérigènes. Eh oui c’est ainsi…
Mais de là à pouvoir le prouver, on n’est pas sorti de l’auberge. Regardez avec les deux sites internet français sur les dents dévitalisées, comme c’est simple de prouver que les dents dévitalisées sont toxiques. Et pourtant l’immense majorité de l’institution dentaire ne veut pas le reconnaître alors que depuis un siècle pourtant cela a été prouvé par des équipes médico-dentaires américaines et des dizaines de dentistes américains et germanophones (allemands et suisses allemands). Alors imaginez pour des sujets plus subtils et difficiles à prouver comme ce que je viens de dire. C’est carrément du rêve dans une société où la vérité passe bien après les intérêts de certains puissants.
Maintenant, je vais un peu développer la croyance en Dieu en relation avec la médecine. Il existe différentes religions toutes instructives. Un peu avant j’ai parlé d’une loi donnée par Dieu dans la Bible, celle de ne pas séparer ce que Dieu a uni, mais il existe bien d’autres écrits religieux dans le monde. Dans l’enseignement soufi issu de la religion musulmane par exemple, on explique que le métal ne doit pas être mis dans le corps. Le métal c’est pour faire la guerre et non pour soigner ou faire la cuisine. A la vue de cela, il serrait peut-être intéressant qu’on fasse des recherches sur des prothèses mises dans l’organisme, en d’autres matériau que du métal et qu’on cuisine surtout les fritures dans de la terre cuite peut-être ou au moins du métal émaillé ou avec revêtement car les ions métal dissous dans l’huile bloquent la respiration cellulaire et asphyxient les cellules qui n’ont alors que le choix de se cancériser pour continuer à fonctionner. On a d’ailleurs observé souvent des concentrations plus importantes d’ions métalliques oxydés dans les cellules cancéreuses.
La religion indienne est aussi très instructive (le yoga, les mantras, le végétarisme etc…) . On l’appelle en occident l’hindouisme. Ces écrits s’appellent les védas.
Il y a de nombreux dieux dans cette religion. Il existe d’ailleurs une hiérarchie assez instructive et qui peut nous donner des idées en médecine. Le dieu suprême de cette religion est Krishna. Ensuite en dessous de lui il y a Vishnou qui est une émanation directe de Krishna, puis en dessous Shiva et encore en dessous Brahma.
Cette hiérarchie dans l’ordre décroissant d’importance de Vishnou, Shiva et Brahma est très instructive car Vishnou c’est celui qui maintient ce qui est, Shiva c’est celui qui détruit ce qui doit l’être, donc qui enlève aussi la cause empoisonnante de la maladie et Brahma c’est le dieu qui crée, qui construit ou reconstruit.
Si on analyse cette hiérarchie on comprend que le plus important est de maintenir ce qui est, avant tout. C’est la fonction de Vishnou. La prévention est donc la première médecine. Il faut éviter que les choses se dégradent en se comportant correctement et avec de l’hygiène et de bonnes manières de vivre. Comme le sens de la vie est d’évoluer, mais dans la conscience, pas au sens darwinien, si on ne se comporte pas correctement, Dieu, ou la vie nous fera comprendre que nous ne sommes pas sur le bon chemin par les maladies qui arriveront. Les maladies seront alors une indication que l’on n’est pas sur la bonne voie.
Accessoirement, les premières maladies seront donc aussi des tentatives de maintien de la santé car Dieu dans son infinie sagesse a prévu cela sans attendre que la science des hommes ne développe la médecine. La fièvre, l’allergie, l’inflammation, la douleur seraient donc des manifestations d’une intelligence visant à désempoisonner, alerter puis réparer l’organisme malade. En naturopathie on parle du corps médecin ou plutôt des mécanismes d’auto-guérison.
La douleur peut être vue comme un signal d’alerte pour nous informer que nous faisons mauvaise route. Elle nous oblige en plus bien souvent à nous reposer et à nous mettre à la diète. Ainsi on peut déjà se poser des questions un peu plus en se demandant déjà pourquoi on est malade.
Mais dans une vision darwinienne, la douleur doit être supprimée car elle n’a aucun intérêt. Elle est une émanation de la nature qui nous agresse et contre laquelle il faut lutter. L’utilisation des antalgiques chimiques, car les plus efficaces, visant à détruire la fonction douleur sont alors utilisés en première intention.
C’est logique somme toute car dans cette vision, les maladies résultent en général du hasard. Un germe passait par là par hasard, et on n’a pas eu de chance voilà tout. Sauf pour quelques cas particuliers évidents, inutile de chercher plus loin les causes des maladies. Le plus important est de tuer au plus vite le germe qui cause la maladie ou en tout cas de faire disparaître ses symptômes gênants. Et quand des maladies plus graves apparaissent ensuite, c’est encore un sale coup du hasard et voilà tout.
La douleur, la fièvre et l’allergie sont les premières manifestations de la maladie et si on les laisse évoluer, elles risquent de nous gâcher la vie alors autant les enrayer dès le début comme ça on sera tranquille. C’est d’ailleurs ce que fait la médecine que ce soit allopathique d’ailleurs mais homéopathique aussi, mais aussi toutes les médecines même douces lorsqu’elles n’enlèvent pas les causes de la maladie. La différence est que certaines agissent en synergie avec les mécanismes de défense du corps tandis que la médecine des poisons agit en opposition avec les mécanismes de défense du corps.
Dans la vision naturopathique liée selon moi à la vision créationniste, la douleur sera supprimée d’elle-même lorsque les bonnes conditions de vie seront rétablies. On peut certes accélérer cela mais en étant en accord avec le corps et non en opposition. Et si on doit vraiment utiliser des antalgiques, alors autant utiliser des plantes antalgiques, car même Dieu a probablement prévu que nous ayons besoin de calmer le processus de douleur même sans en trouver les causes. Mais ces plantes antalgiques ont certainement bien moins d’effets nocifs que les antalgiques de synthèse ou les antalgiques qui ne concentrent que les effets actifs de la plante car au moins toute la plante est présente.
D’autre part, comme la douleur et toutes les maladies ont une raison, il est logique aussi de vouloir la rechercher car le hasard n’existe pas vraiment dans cette croyance, il faut le rappeler. On ne peut donc pas attraper un germe par hasard, car il y a une raison à tout. Le hasard au sens occidental du terme, c’est très darwinien. Je dis au sens occidental du terme car le mot hasard vient de l’arabe et signifie originellement la volonté de dieu.
Dans la vision créationniste de la médecine, on recherche aussi le sens de la maladie. La suppression de la douleur peut aussi être rapide mais cela nécessite une certaine connaissance de ce que doivent être les bonnes conditions de vie, sinon, on continue à souffrir, c’est sûr. Et si malgré tout on la supprime sans en connaître la cause, ce sera avec des méthodes faites pour cela et non des méthodes qui transgressent des lois divines.
Quand on ne connaît pas bien les causes et que des erreurs ont été faites, en général l’approche chimique est quand même plus efficace et facile d’utilisation surtout en occident, il faut l’avouer. C’est cette facilité qui fait tout son succès sans avoir besoin de se poser trop de question en plus. Mais peut-être que derrière cette efficacité et cette facilité, se cachent des inconvénients redoutables que l’on ne soupçonne pas toujours et qu’on appelle aussi la iatrogénicité. La dent dévitalisée en est d’ailleurs une bonne illustration.
Je vais aussi vous donner deux autres exemples dans le domaine dans lequel je suis un peu spécialiste, la dentisterie, même si j’en suis interdit d’exercice par les grands prêtres de la dentisterie moderne. Quand on enlève une dent, au réveil de l’anesthésie, ça fait toujours un peu mal. Si en plus on a fait une extraction difficile avec un décollement de gencive, c’est encore pire. On peut alors gérer la douleur de deux façons différentes. Dans la logique darwinienne, on lutte contre la douleur en mettant une poche de glace sur la joue le temps que les antalgiques agissent et prennent le relais du froid qui est anesthésiant et anti-inflammatoire. Dans la logique créationniste, on sait que la douleur a une raison. C’est que le site a été empoisonné en quelque sorte par l’anesthésie et que des nerfs sont à vifs à cause de la chirurgie. Il faut donc faire partir au plus vite cette anesthésie et au lieu de mettre du froid on met des bouillottes chaudes sur les joues. Si on maîtrise l’acupuncture, on fera aussi des cautérisations puis des aiguilles, c’est encore plus efficace. Ainsi on rétablit la circulation des énergies que l’anesthésie avait bloquées. Mais comme les chairs et donc les nerfs sont à vif, on va oindre. Le mieux est de l’essence de girofle diluée dans de l’huile végétale. Mes patients repartaient avec des flacons d’essence de girofle diluée dans 80% d’huile d’Olive ou mieux de l’huile de sésame moins acide donc plus restructurante. En mettant un petit coton imprégné d’huile de girofle diluée sur la plaie, la douleur était arrêtée.
Mais parfois cela ne suffisait pas et s’ils ne voulaient pas se réveiller la nuit, ils avaient aussi des antalgiques, sachant, que ce n’était pas la meilleure des solutions pour obtenir ensuite le plus de guérison à distance. Mais il était très rare qu’ils en aient besoin. En n’appliquant que leur huile, ils guérissaient ensuite bien plus à distance des maladies que les dents dévitalisées leur avait provoquées car leurs extractions libéraient plus les énergies que si ils avaient utilisé des médications qui s’opposaient aux mécanismes naturels. Des approches thérapeutiques qui auraient donné de la chimie auraient observé peut-être moins de guérisons après extraction des dents dévitalisées. Pour les obtenir ensuite, il faudrait alors redonner de l’énergie aux sites d’extraction qui présentent peut être encore aujourd’hui des blocages d’énergie due à une utilisation d’une médecine des poisons.
Voici encore une autre approche originale d’une pathologie courante en dentisterie, la parodontite (tartre sur la racine qui finit par faire tomber la dent) sur dent dévitalisée.
Avec la dent dévitalisée, les bactéries de l’intérieur de la dent n’arrivent souvent pas à se débarrasser de la dent dévitalisée car cette dernière est trop remplie de produits chimiques. Alors elles sécrètent des toxines, c’est leur mauvais côté sans pouvoir éliminer la dent morte, ce qui serait leur bon côté si elles le pouvaient. Bien sûr les médicaments mis dans la dent dévitalisée permettent de limiter l’infection qui pourrait être pire peut-être mais d’un autre côté, l’infection aurait conduit à l’élimination de la dent morte. Les dents dévitalisées présentent plus de parodontites (atteinte des tissus de soutien de la dent) que les dents vivantes. Parodontites qu’on pourrait alors interpréter comme une volonté de l’organisme de se débarrasser de la dent dévitalisée. Mais pourtant dans un souci de conservation dentaire, le dentiste fait tout pour soigner cette parodontite et conserver la dent dévitalisée dont l’organisme veut se débarrasser. Tout cela peut sembler très compliqué et paradoxal. Personnellement je me gardais bien de soigner les parodontites sur dents dévitalisées. Elles pouvaient être une chance de survie pour un patient qui n’avait pas le courage d’enlever ses dents dévitalisées car ainsi elles finiraient par tomber d’elles mêmes.
J’ai pris deux exemples en dentisterie mais dans tous les domaines de la médecine on pourrait trouver des exemples d’approches opposées sur la façon de soigner et de concevoir la maladie. Il existe toujours une approche qui utilise une technicité qui s’oppose aux réactions du corps et une approche qui est en accord avec le corps. Sachant toutefois que si on n’est pas suffisamment compétent dans ce dernier domaine, la médecine de poisons peut éviter bien des souffrances assez facilement. Mais à terme elle peut aussi conduire à de telles souffrances que notre médecine des pilules n’aura alors bien souvent comme ultime solution que la perfusion permanente de morphine.
Pour reprendre la vision hindouiste, le dieu qui vient après Vishnou est Shiva. Shiva est celui qui fait le ménage et il est plus important que Brahma qui crée.
Cela signifie dans cette logique, que si on est malade il faut d’abord désempoisonner l’organisme avant tout et avant de vouloir le réparer. Et cela est fort intéressant. On comprend pourquoi les techniques de désempoisonnement sont bien plus puissantes pour redonner la santé que les techniques qui veulent réparer avant de désempoisonner. Dans la médecine indienne, l’ayurvéda, les techniques qui doivent d’ailleurs être utilisées en premier sont les techniques de nettoyages internes : le vomissement thérapeutique (en buvant au préalable de l’eau salée), la purge à l’huile de ricin, le lavement colonique, et la sudation par le sauna. Ensuite seulement viennent les techniques qui reconstruisent avec l’oléation et les médicaments. On met de l’huile un peu partout et dans tous les orifices notamment, on effectue des massages éventuellement et d’autres choses encore puis on prescrit des médicaments faits de plantes médicinales notamment.
En dentisterie, on comprend, si on adopte cette croyance, que le rôle de Vishnou est le plus important de tous. Il faut maintenir une bonne hygiène dentaire, manger des bons aliments et non pas du sucre déminéralisé où on a séparé la molécule de saccharose des minéraux comme dans le sucre blanc. Car alors l’organisme donnera ses minéraux à partir de l’organe justement le plus minéralisé c’est-à-dire la dent et cela s’appelle la carie.
Mais ensuite lorsqu’il y a de la pourriture dans la bouche, notamment des dents dévitalisées, selon la philosophie hindouiste, le rôle Shivaïste est plus important que le rôle Brahmaniste, c’est-à-dire qu’il est plus important d’enlever ce qui est pourri que de recréer ce qui est enlevé ou abîmé. Bref, avec cette vision, il est moins grave d’avoir des dents absentes que des dents dévitalisées. Avant de vouloir soigner quoique ce soit de grave et chronique dans l’organisme, on devrait donc enlever ce qui est pourri. Enlever les dents dévitalisées et tout ce qui est pourri d’ailleurs est donc prioritaire dans cette vision de la santé.
C’est donc certes bien de faire des prothèses dentaires mais le plus important est d’enlever les dents dévitalisées. Sans cette information hiérarchique issue de la religion indienne, à la limite, on peut très bien penser que d’avoir un trou dans la bouche est plus grave que de garder une dent dévitalisée un peu pourrie. La majorité des dentistes du monde occidental pensent pourtant le contraire et font donc tout pour maintenir les dents dévitalisées. Comme je vous le dis, nos croyances conditionnent nos choix de vie et il est important d’en être conscient.
Il est donc important de s’interroger et d’analyser nos croyances car elles déterminent nos choix. Si vous pensez que la vie est issue du hasard, et est un combat où il faut détruire les plus faibles pour survivre comme le pense la théorie darwinienne, il est logique pour être cohérent avec vous-même de prendre des antibiotiques, des pilules qui ont reproduit par la chimie des principes actifs présents dans des plantes médicinales, de désinfecter vos bobos à l’alcool ou plutôt un autre antiseptique moins agressif quand même et si vous avez un cancer de faire de la chimiothérapie, des rayons et si le nerf de la dent vous fait mal, de le faire enlever plutôt que d’enlever votre dent.
Et sinon, si vous croyez en Dieu, je vous suggère d’être aussi en accord avec vos croyances et donc de traiter vos cellules avec amour sachant que Dieu est amour selon les écrits religieux.

Dieu nous a donné la nature comme aide et non comme ennemie et sa science divine transmise dans divers écrits religieux de toutes les civilisations. Et dans cette logique, nous aurons du mal à faire mieux avec une science d’êtres humains qui ne respecte pas les lois divines comme celle de séparer ce que lui-même a uni.
Ma croyance était que la dent dévitalisée ne pouvait être bonne pour la vie. C’était une croyance issue de ma croyance en la toxicité de laisser ce qui est mort au milieu du vivant. Une croyance consécutive en ma croyance en des enseignements issus de la Bible en quelque sorte. Des enseignements qui en plus étaient confirmés par des études scientifiques et de nombreux cas cliniques.
Une fois, en Suisse, où je devais collaborer dans une clinique ultramoderne, j’ai rencontré au préalable le confrère qui en était propriétaire. D’une part, il ne croyait pas du tout en Dieu et d’autre part avait même la croyance que la pulpe (le nerf) de la dent ne servait à rien une fois que la dent était suffisamment construite. Il pensait même que le nerf qu’elle contenait ne pouvait qu’être une source d’ennui pour l’avenir car il pouvait générer de la douleur. Alors, le confrère dévitalisait dès qu’une carie un peu profonde se présentait afin de ne pas prendre de risque dans sa logique à lui, et d’être sûr que le patient n’aurait jamais mal à sa dent. J’imagine qu’il disait peut-être d’ailleurs, « j’ai dévitalisé comme ça vous serez tranquille pour plus tard ». C’est une politique qu’il suggérait à tous ses collaborateurs et comme il possédait la clinique dentaire la plus luxueuse de sa région, et que les tarifs étaient assez élevés, il y soignait les personnes les plus fortunées du patelin. Nous n’avons pu travailler ensemble mais je dois reconnaître que ce confrère était tout à fait cohérent avec sa croyance qui est que le nerf de la dent ne sert qu’à faire mal et donc qu’il faut l’enlever dès que possible. Une croyance qui est dans la logique de celle qu’a du lui enseigner j’imagine jadis sa maman qui était une des premières femmes chimiste à travailler dans l’industrie pharmacologique suisse qui fabriquait des antalgiques notamment m’a-t-il dit. Je pense qu’ainsi il participera à améliorer les connaissances scientifiques en rapport avec les dents dévitalisées car il est probable que les patients de cette luxueuse clinique auront plus de cancers que les autres patients de la région. Ainsi c’est peut-être lui qui prouvera par son action que la dent dévitalisée provoque de multiples cancers, et la science pourra alors le remercier d’avoir été ici par conséquent un « monsieur utile ». Je ne donnerai pas son nom car je ne pense pas qu’il veuille assumer pour l’instant sa croyance au grand jour. Va donc savoir pourquoi. Je respecterai donc son anonymat qu’il se rassure mais il n’est pas tant que cela un cas particulier dans la profession de toutes façons. Dans une civilisation qui s’est très éloignée de la spiritualité, ce genre de choix dentaires ne sont somme toute qu’une des nombreuses conséquences logiques de nos croyances darwiniennes.
Aujourd’hui la population, particulièrement française, me semble en état d’hypnose collective vis-à-vis de notre médecine moderne et notre chirurgie dentaire moderne. Elle croit que parce que les médecins ont fait de longues et difficiles études, ce qui est vrai, ils possèdent inévitablement le Savoir, le vrai, le seul, qui leur permet de comprendre tout sur la santé.
Certes ces personnes rendent de grands services à la population mais le savoir que ces personnes ont acquis, même s’il a une grande valeur certes, est la plupart du temps conditionné par une seule croyance. Une croyance imprégnée de la croyance darwinienne. Ce savoir se manifeste très souvent essentiellement dans une direction et une seule. Il est essentiel de le savoir.
Ce sont des experts d’une médecine qui a adopté plus ou moins consciemment d’ailleurs, certaines croyances sur la santé. Mais avec une autre vision de la santé, cela pourrait remettre beaucoup en question leur suprématie et pourrait même en faire paradoxalement, les premiers responsables de la plupart des maladies graves que notre civilisation connaît aujourd’hui même s’ils rendent bien sûr beaucoup de services à la population et sauvent aussi des vies. Il est important d’en avoir conscience car eux-mêmes n’en ont pas toujours conscience.
Parmi les croyances actuelles de notre médecine consécutive à la croyance darwinienne, il y a généralement et majoritairement que:
- Les médicaments que l’homme a créé par sa chimie sont supérieurs à ceux issus de la nature.
- Les médecines qui empoisonnent, brûlent, et tuent ce qui nous gène sont supérieures à celles qui aident à réparer nos cellules et aux processus naturels d’auto-guérison, quitte à être s’il le faut en contradiction avec ces derniers.
- Rechercher les causes est moins important que de supprimer les symptômes.
- La meilleure solution pour guérir notamment de maladies graves est d’absorber des médicaments synthétiques ou d’utiliser une haute technologie issue de la science moderne et non des ethnomédecines ancestrales.
Si ces croyances vous conviennent, alors gardez-les. Sinon, changez-en.
Evidemment pour pouvoir s’affranchir de ces croyances et arriver à aider différemment les personnes malades, il est aussi nécessaire de posséder un certain savoir en médecines naturelles. Il ne suffit pas toujours de dire de se coucher, de se mettre à la diète, de se reposer et de prendre des tisanes pour guérir, surtout de maladies graves, même si très souvent pour nombres d’affections bénignes, cela suffirait. Il est toutefois important de le rappeler. La médecine chinoise et ayurvédique sont aussi des sciences qui demandent beaucoup d’études aussi et possèdent aussi des médicaments complexes mêmes s’ils sont faits à partir de produits naturels.
Les praticiens des différentes médecines naturelles conscients du caractère empoisonnant de la médecine moderne ne possèdent pas toujours suffisamment de savoir pour pouvoir résoudre efficacement les maladies graves ni les urgences médicales. Cela renforce alors la population dans ses croyances en la suprématie de médecine moderne.
En plus, et depuis longtemps d’ailleurs cette dernière a tout fait pour empêcher l’émergence des thérapies alternatives qui pouvaient la concurrencer. Les Conseils de l’Ordre le plus souvent les présentaient, comme des pratiques charlatanesques à des tribunaux qui entérinaient généralement les rapports d’expertises allant dans ce sens et condamnaient les praticiens de médecine naturelle en pensant ainsi protéger la population.
Les tenants de la médecine des poisons sont logiques avec leurs croyances. Puisque pour eux la vie est un combat, ils font la guerre à la concurrence qu’ils considèrent être une ennemie, surtout pour leurs revenus d’ailleurs. Ils se serrent les coudes pour bien faire passer leurs ennemis pour de dangereux personnages auprès des juges, dès qu’ils le peuvent.
Mais dans cette guerre comme dans bien d’autres, il se pourrait que ce soit les civils, ici les patients, qui en soient en fait les premières victimes. Les maladies graves n’ont jamais été aussi fréquentes dans la population et cela ne se voit pas dans les pays qui ont conservé une médecine traditionnelle à base de plantes notamment et qui ne dévitalisent pas les dents, même si certains connaissent aussi les inconvénients de la misère qui elle aussi amène son lot de problèmes certes.
Les rapports qu’entretient particulièrement en France, la médecine moderne avec les médecines naturelles est véritablement un rapport de guerre. Evidemment ceux qui remettent en question la médecine moderne ne sont pas tués, mais ils vont souvent en prison je vous assure et tout est fait pour les interdire d’exercer leur art. Je connais un peu le sujet car j’en suis un exemple. Si on analysait les pratiques de mes confrères dentistes avec une vision de la conscience de la toxicité des dents dévitalisées, il y en a alors beaucoup qui devraient être interdit d’exercer compte tenu du fait que j’ai été interdit d’exercer. Et c’est d’ailleurs bien pour cela que c’est moi qui ait été interdit d’exercer pour avoir accepter d’enlever des dents dévitalisées pour redonner la santé. En agissant ainsi, ils se confortent alors dans l’idée que dévitaliser des dents parfaitement saines comme c’est une pratique courante dans la profession pour faire des bridges, n’est en rien un acte qui nuit au patient.
Et oui, en France aujourd’hui, il y a une guerre faite aux médecines alternatives. Celui qui s’aventurerait à prétendre guérir une maladie grave hors des sentiers battus et pire en faisant arrêter un traitement médical des tenants de la médecine des poisons serait immédiatement conduit en prison s’il avait un peu trop de succès dans ses propos. Ce sont des règles du jeu que nous avons-nous même établi. Car cela est en France impensable en dehors de la chimie et de la technologie moderne. Et même si on faisait la preuve que cela était possible, on irait quand même au bûcher et peut-être encore plus vite. Il existe tellement de personnes qui ont intérêt d’une façon ou d’une autre à ce que se maintienne cette croyance en la suprématie de la chimie médicale et de la médecine moderne, que tout est fait pour empêcher l’émergence d’une croyance qui pourrait la remettre en question. Et cela fonctionne particulièrement bien en France qui est le pays d’Europe qui prend le plus de médicaments synthétiques, et largement car c’est environ trois fois plus que les autres pays européens. Il faut dire que les français ont aussi le plus de dents dévitalisées d’Europe, trois fois plus aussi environ selon mon enquête. Merci la sécurité sociale française et les mutuelles qui remboursent si bien les couronnes sur dents dévitalisées….
Compte tenu du niveau effrayant de maladies graves qui existent en France aujourd’hui, aider à l’émergence d’une telle conscience pourrait donc bien être une des œuvres humanitaires les plus urgentes et importantes pour la santé de la population française.
Il existe au cœur de l’Europe en Suisse allemande, une clinique privée que j’ai visitée en détail, la clinique Paracelsus, qui guérit des maladies graves uniquement par des médecines naturelles. Elle est intouchable par la législation européenne car elle est protégée politiquement par des autorités de santé d’un canton suisse et des juges qui la rendent inattaquable par la médecine conventionnelle. On comprend bien ici le rôle déterminant des juges. Ce sont eux qui peuvent plus que tout détruire ou renforcer une nouvelle médecine en la laissant libre ou en la muselant. Et cette clinique prône avant toute chose d’éliminer les dents dévitalisées et la plupart des traitements issus de la chimie médicale. Elle distribue même des prospectus à ses patients expliquant qu’elle conseille d’enlever toutes les dents dévitalisées et cela pour tout le monde. Elle emploi une dizaine de dentistes qui exercent dans cet esprit.
Non seulement cette clinique guérit en totale contradiction avec la médecine académique actuelle mais en plus on l’a laisse exercer librement. En France, avec les juges, les experts actuels et les lois actuelles, elle n’aurait pas tenu une année. Mais dans le canton d’Appenzell en Suisse, elle existe depuis de nombreuses années et a déjà guéri des milliers de personnes qui étaient des cas dits inguérissables pour notre médecine actuelle. Cette clinique a pourtant adopté des croyances radicalement différentes de celles de notre médecine moderne. Et le canton suisse d’Appenzell dans laquelle elle exerce est celui où les gens sont les moins malades de toute la Suisse. Vous le comprendrez mieux sur le site www.sante-dents.com .
C’est plus qu’étonnant je trouve, c’est prodigieusement extraordinaire. Cette clinique est un exemple concret d’une structure médicale qui n’est pas soumise aux règlementations européennes limitatives en matière de santé, puisque la Suisse ne fait politiquement pas partie de l’Europe. Si on se penchait sur ce cas, l’exemple de cette clinique pourrait bien être la clef de la santé de millions de personnes d’Europe. Enfin, pourrait s’il y avait un miracle dans le domaine de la prise de conscience sur la santé naturelle. Je me suis permis ici quelques superlatifs mais ils sont justifiés je vous assure car cet exemple pourrait bien être la clef du plus grand problème de société en France qui est aujourd’hui la santé.
Aujourd’hui, des pathologies toutes plus graves et inguérissables surgissent et notre médecine est de plus en plus incompétente pour les résoudre. On peut alors tout au mieux droguer les gens pour leur éviter de trop souffrir. Souvent notre médecine ne sait dire qu’une seule chose, c’est que des chercheurs cherchent et fondent beaucoup d’espoir sur la recherche génétique notamment. Car bien souvent quand on ne sait pas soigner, on dit que c’est génétique, sous entendu que personne d’autre ne peut soigner.
C’est souvent n’importe quoi même si parfois c’est vrai et que le vrai génétique ne pourra se soigner que par la médecine génétique et des cellules souches génétiquement modifiées notamment. Mais dans la plupart des cas, où notre médecine s’avoue vaincu, il existe des alternatives qui peuvent guérir. Il est important de le savoir car en croyant notre médecine officielle, on pourrait bien souvent se résigner à tort. Et même lorsque la maladie est vraiment génétique, il existe toute une panoplie de médecines douces qui peuvent encore améliorer le confort et faire que le handicap est parfois plus facile à supporter.
Aujourd’hui un nombre de plus en plus important de maladies restent sans réponse avec notre médecine chimique et les plus grands des spécialistes et les plus grands professeurs de cette médecine chimique n’y pourront rien s’ils n’acceptent pas de modifier certaines de leurs croyances sur la façon de redonner la santé et s’ils n’acceptent pas d’explorer un autre monde, celui de la médecine énergétique et naturelle par exemple. Il est important que vous patient vous le sachiez car c’est un espoir fabuleux pour vous de le savoir.
Dans certains cas, vous pourriez voir les plus éminents des professeurs, ils pourront moins bien vous soigner que n’importe quel petit thérapeute énergéticien qui aura été formé à certaines techniques de réflexologie dentaire par exemple ou d’ayurvéda aussi par exemple ou d’ostéopathie ou d’acupuncture ou de phytothérapie ou de ceci ou de cela aussi éventuellement car on pourrait prendre d’autres exemples. Cela peut paraître incroyable je sais, mais j’insiste un peu car il est important que vous en ayez conscience et que vous, malades, vous continuiez à chercher à guérir et que vous ne vous résigniez pas à ce que vous auraient dit les grands professeurs d’une médecine qui a certaines croyances qui sont je le pense souvent discutables. Cela est, je l’ai souvent constaté, le plus grand obstacle à votre guérison. Vous êtes en général hypnotisés par les titres de grands professeurs de médecine et alors vous n’allez pas explorer d’autres univers de médecine alternative parce que vous croyiez qu’alors personne d’autre ne peut rien non plus, puisque eux qui sont de grands professeurs ne peuvent rien.
Ce sont les grands professeurs d’une médecine mais pas de la médecine, sachez le. Et s’ils sont à la place qu’ils occupent c’est que la majorité de la population a aussi adopté leurs croyances dans un système démocratique, qui fait que c’est la majorité qui décide. Mais lorsque les choix décidés démocratiquement aboutissent à l’état de délabrement sanitaire dans lequel notre société se trouve aujourd’hui, il serait peut-être intéressant d’écouter aussi un peu les courants minoritaires, je crois.
Parfois mes patients me disaient qu’ils avaient tout essayé et que j’étais alors leur dernière chance. On fait rarement enlever des dents qui ne font pas mal quand on n’a pas essayé avant de multiples autres solutions. Mais alors je disais bien à mes patients que ce n’est pas parce que je n’arriverais pas à les soigner que personne d’autre ne le pourrait. Il fallait qu’ils continuent à chercher même si je leur donnais des pistes parfois pour les y aider. Et parfois, ces pistes pouvaient plus être du domaine de la spiritualité que du domaine de la médecine. Je travaillais avec de multiples correspondants de médecines naturelles. Il m’est même arrivé d’envoyer des patients chez un prêtre exorciste qui exerce dans une église à Nice, tout ce qu’il y a de plus officiel d’ailleurs et en accord avec l’évêché. Savez vous d’ailleurs que selon le code pénal français, la prière du prêtre et l’exorcisme est un des rares cas où il n’y a pas exercice illégal de la médecine. Sinon un simple conseil de naturopathe peut être considéré en France comme de l’exercice illégal de la médecine. Et nos bons juges appliquent la loi bien souvent, en suivant les bons conseils des experts de la médecine des poisons.
Dans divers domaines de médecine alternative, si on ouvre un peu les yeux, on trouve des personnes qui étaient soi disant condamnées ou des cas inguérissables et qui ont guéris parce qu’ils ont acceptés de penser différemment de la pensée académique et sont sortis des sentiers battus. Sortir des sentiers battus demande toutefois du discernement et n’est pas sans risques non plus. C’est à vous de voir si vous faites confiance à votre discernement. Je vous conseille quand même d’écouter tous les avis possibles, même ceux de la médecine des poisons avant de choisir. Ce sera déjà une preuve d’une certaine ouverture d’esprit.
Mais peut-être que les croyances actuelles de notre médecine moderne vous satisfont pleinement. Alors tout va bien, ne changez rien. Mais si ces croyances ne vous satisfont pas totalement, alors libre à vous d’en changer même si cela demande bien sûr des efforts.
S’il existe une loi de l’évolution darwinienne, il existe aussi selon certains enseignements mystiques une loi de l’évolution constituée de neuf étapes. Cette loi d’évolution à neuf étapes peut éventuellement vous aider à changer vos croyances alors la voici :
1- On vit ce qu’on croit
2- On croit ce qu’on voit
3- On voit ce qu’on veut
4- On veut ce qu’on aime.
5- On aime ce qu’on comprend.
6- On comprend ce qu’on est.
7- On est ce qu’on fait.
8- On fait ce qu’on pense.
9- On pense ce qu’on vit.
Et si le dernier « vit » est mieux que le premier, alors on peut dire qu’on a évolué. Selon cette théorie, pour arriver à évoluer, c’est-à-dire à changer sa vie en mieux, donc guérir si on est malade et que rien jusqu’à présent n’est arrivé à nous guérir, il faut peut-être adopter d’autres croyances semble-t-il ? A moins que votre état vous satisfasse et alors, ne changez surtout rien. Mais si vous changez de croyance, il est probable que vous vivrez ensuite autre chose puisque qu’on vit ce qu’on croit nous dit cet enseignement. Mais encore faut-il y croire…
Et pour remettre en question ses croyances, il faut donc ouvrir aussi les yeux puisqu’on croit ce qu’on voit nous dit aussi cet enseignement. Mais encore faut-il y croire encore une fois…
Je vous suggère de télécharger à partir de www.sante-dents.com, les six heures de témoignages d’une centaine de patients qui témoignent avoir vécu diverses guérisons après avoir enlevé des dents dévitalisées et de bien les voir. Peut-être que cela peut contribuer à changer vos croyances sur les dents dévitalisées, dans un premier temps. Mais peut-être que j’ai engagé une centaine d’acteurs pour tourner ce film, qui sait ? Eh oui le défi de notre civilisation, ce n’est plus d’obtenir de l’information, on en est même saturé. Le défi est de savoir discerner celle qui est intéressante de celle qui nous pollue l’esprit. Eh bien bon courage dans cette aventure qui n’est pas prête de finir.

Dans la logique de croire en Dieu, il est logique de croire alors dans les écrits religieux du monde. Sauf bien sûr ceux qui croient que c’est juste leur Dieu le vrai et que les autres sont ringards. Mais soyons logique, pourquoi Dieu aurait-il oublié certains peuples. Il est donc plus que probable, si on croit en Dieu, qu’il ait répandu son message d’amour, à plusieurs, voire toutes les civilisations.
Certains écrits religieux tels les védas en Inde, parlent alors d’une civilisation qui avait semble-t-il une science bien supérieure à la notre. Et avec cette science allait de pair une science médicale, l’ayurvéda, qui d’une certaine façon était un enseignement des dieux, et plus précisément du Dieu Dhavantari pour votre culture.
Si on croit en Dieu, il est donc logique alors d’orienter aussi notre recherche vers cette médecine ancestrale et de tenir compte de tous ses acquis. De la même façon, l’acupuncture est un enseignement du ciel, que même les hébreux utilisaient (je vous l’expliquerai un jour mais ce serait trop hors sujet ici). En occident, divers personnages en relation avec Dieu dont une des plus célèbres est Hildegarde de Bingen, apporta beaucoup à la phytothérapie que l’on peut donc considérer être aussi un enseignement de Dieu.
Mais si on ne croit pas en Dieu, mais en Darwin. Il est alors logique de penser que nos ancêtres étaient de simples demeurés sortis des cavernes, ayant découvert seuls les bases de la civilisation. La médecine des ancêtres ne pouvait donc qu’être une médecine primitive et il est donc inutile de s’y attarder et d’en tenir compte. Les enseignements de ces médecines ancestrales n’ayant pas de valeur, il faut faire des recherches scientifiques modernes qui elles seules ont de la valeur. On développe alors une médecine qui ne tient nullement compte des enseignements religieux et mystiques. Et c’est d’ailleurs ce que nous avons fait majoritairement en occident.
Encore une fois on voit que nos croyances ont des répercussions sur bien des choses et sur la suite de nos comportements, même nos comportements médicaux.
Et vis-à-vis du cancer notamment.
Si on n’est pas croyant, il existe somme toute une certaine logique à penser qu’il est une bonne idée de tuer les cellules cancéreuses. Mais si on est croyant, réfléchissons un peu. Le cancer est un mécanisme codé génétiquement, donc prévu dans nos chromosomes au plus profond de nous. Le cancer est donc un mécanisme prévu par Dieu. Il a donc une utilité car si la nature dans la pensée darwinienne s’oriente au hasard, comment croire que Dieu aurait prévu le cancer dans sa création sans que cela ait une quelconque utilité. Vouloir lutter contre des virus venus d’ailleurs, même en croyant en Dieu, à la limite ça peut se comprendre. Mais vouloir lutter contre le cancer revient en fait à vouloir lutter contre une des créations de dieu puisque le cancer est prévu dans nos chromosomes.
Certes vous allez me dire, oui mais le cancer tue. C’est vrai mais peut-être que sans cancer, la personne serait morte bien avant. Le cancer pourrait être vu comme une ultime tentative de l’organisme de réaliser une action qui ne peut l’être avec des cellules normales. Les cellules n’ont alors que la possibilité de se cancériser pour pouvoir accomplir leur tâche. Evidemment cette modification cancéreuse n’est pas très économe en énergie et si elle dure un peu trop, l’organisme épuisé mourra. Mais il mourra généralement de l’épuisement énergétique consécutif au cancer et non du cancer lui-même. Le cancer peut aussi tuer et dans des souffrances assez importantes parfois. Les tumeurs compriment les nerfs, alors ça fait mal et alors on est bien content de se débarrasser du cancer, c’est vrai et même si c’est par la chimie ou des rayons ou de la chirurgie. Mais c’est parce qu’on ne sait pas faire mieux, enfin c’est la version officielle…. Le cancer est probablement l’ultime maladie d’auto guérison de notre organisme mais comme toutes les maladies d’auto guérison, parfois il peut tuer si on ne le gère pas comme il se doit. Une crise d’allergie tout comme une trop grosse fièvre peuvent elles aussi tuer on le sait, même si on sait aussi que ce sont des systèmes de défense donc d’auto guérison.
Voyez vous toutefois la différence essentielle qu’introduit cette conception de la naturopathie. Car dans ce cas, vouloir détruire les cellules cancéreuses serait alors une mauvaise voie. La bonne voie serait de rétablir les conditions de vie faisant que l’organisme n’a plus besoin de transformer ses cellules normales en cellules cancéreuses pour accomplir une quelconque tache. Et cette différence est essentielle car actuellement toute notre cancérologie moderne influencée par la pensée darwinienne, ne pense qu’à une chose, détruire les cellules cancéreuses, c’est-à-dire l’œuvre de Dieu.
Oui mais me direz-vous, bien souvent ainsi on sauve des vies. Et pourquoi alors sauve-t-on des vies ainsi ? C’est vrai certes que parfois, des vies sont sauvées ainsi. C’est sûr que quand on coupe l’organe cancéreux ou qu’on détruit les cellules cancéreuses, il n’y a plus de cancer et donc plus de mécanisme fut-il naturel qui épuise l’organisme ou qui comprime certaines structures par la croissance de la tumeur. Et que par certains aménagements, on peut faire parfois que les fonctions détruites dans cette lutte contre le cancer, ne sont pas si vitales que cela et que le patient survit alors. Mais survit plus que vit, est bien souvent le mot le plus adapté. Et c’est là tout le problème. La lutte contre le cancer aboutit bien souvent à fabriquer ensuite des personnes mutilées et handicapées d’une façon ou d’une autre, et qui auront à la sortie vieilli de plusieurs années, énergétiquement parlant. Mais peut-on faire mieux ? C’est là toute la question. Evidemment, la plupart de nos bons médecins pensent que non car sinon notre science le saurait. Ils pensent que notre science médicale actuelle faite de publications scientifiques et de colloques par exemple ne peut être que la meilleure expression de la vérité médicale du moment. Et pourtant on l’a bien vu avec les dents dévitalisées, ce n’est pas vrai. Notre science actuelle s’est depuis longtemps adaptée à des lois dont la loi du marché et des profits fait partie. Notre science médicale s’est aussi adaptée aux croyances populaires et à ses désirs majoritaires. On le voit aussi avec les dents dévitalisées que les patients veulent majoritairement garder. Notre science en fin de compte ne trouve que ce que la société est majoritairement prête à acheter. Notre science médicale est plus aujourd’hui le fruit de divers consensus que de vérité à proprement parlé. Les gens veulent qu’on tue leurs cancers tout en gardant leurs dents dévitalisées et sans rien changer à certaines habitudes, alors ma foi notre science médicale cherche les meilleurs moyens de tuer les cellules cancéreuses tout en leur conservant leurs dents dévitalisées et leurs mauvaises habitudes. Le jour où une partie suffisamment importante de la population croira qu’il est aussi possible de soigner le cancer autrement et même mieux, alors la science cherchera dans d’autres voies. Certes idéalement la science devrait être l’expression de la vérité mais pourtant dans le domaine médical, on en est encore assez éloigné, il faut s’en rendre compte. N’en soyons pas dupe. Notre science médicale est actuellement le fruit de divers consensus qui permettent de ne pas trop contrarier certains et certains intérêts. Pour que notre science se rapproche de la vérité de laquelle elle devrait être très proche, il faudrait commencer à établir un certain respect vis-à-vis de ceux qui apportent de nouvelles idées, bref il faudrait déjà avoir une attitude de non violence et non pas les mettre en prison en les faisant passer pour de dangereux apprentis sorciers. Et là notre société doit comprendre aussi que ceux qui vivent grassement de ce système ne seront pas ceux qui laisseront facilement ce système être remis en question. L’exemple de la dent dévitalisée est éloquent. Tous les grands professeurs de dentaire que j’ai rencontré et qui ont dévitalisé des dents toute leur vie font tout pour entretenir une désinformation sur ce terrible sujet. Notre société doit comprendre pour sa survie que ce doit être des personnes indépendantes, des philosophes, des scientifiques par exemple qui doivent se positionner sur le sujet des dents dévitalisées car il est inutile d’attendre des dentistes qui ont dévitalisé des dents toute leur vie, fussent –ils des grands professeurs qu’ils se remettent en question sur ce sujet. Eh bien pour la cancérologie actuelle et plus généralement pour la médecine moderne, ce sera pareil évidemment. Sortons de cet état d’hypnose collective dans lequel nous nous sommes mis nous même en idolâtrant des individus qui n’ont pas lieu de l’être. Eux aussi la plupart du temps comme vous et moi, ont d’abord pour objectif vivre dans un certain confort matériel. Le problème n’est pas là mais il est plutôt qu’ils utilisent pour cela des moyens discutables qui sont loin d’être empreints de spiritualité…. Et inutile de leur en vouloir, vous auriez fait probablement de même à leur place. Ne soyez donc pas crédule au point de penser que parce qu’ils s’occupent de la santé, ils sont obligatoirement des saints. Je vous rappelle qu’une des premières actions du Conseil de l’Ordre français des médecins fut de dénoncer les médecins juifs aux autorités nazies, ou quelque chose dans le même genre. C’est donc à notre société de créer des contre pouvoirs pour éviter le monopole d’une médecine et d’une dentisterie qui agit plus souvent qu’on ne pourrait le croire comme un système qui est à son service plus qu’au service de la société, même s’il ne faut pas non plus tomber dans l’excès inverse de penser exagérément cela. Nombre de nos médecins et dentistes sont aussi de braves gens qui veulent avant tout redonner la santé à leurs patients. Mais bon, souvent à condition que cela ne remette pas leur train de vie en question…. Et c’est là tout le problème car le système est tel aujourd’hui que trop de choses sont faites pour inciter certaines pratiques et pas d’autres. Mais les faits sont là et ils sont suffisamment nombreux aujourd’hui pour que notre société s’aperçoive qu’il existe ici un problème de taille dont il faut qu’elle s’occupe rapidement. Il y a vraiment péril en la demeure aujourd’hui dans ce domaine…. Ouvrez les yeux et organisez vous sinon vous allez tous finir chimiothérapisés et irradiés. Pour l’instant les statisticiens ont prévu que ce ne sera que 50% des français qui y auront droit…. Quelle folie mes amis…..
La croyance en Dieu, s’oppose aussi à l’acharnement thérapeutique. Pour le non croyant, l’athée, le darwinien, après la mort il n’y a plus rien. Et ce rien, ce néant, est logiquement terriblement angoissant. Il est donc logique de s’accrocher désespérément à la vie avec acharnement même. L’athéisme conduit notre médecine à tenter de maintenir en vie de personnes qui sont pourtant dans un état de déchéance tel que leur vie serait ensuite à la limite une souffrance s’ils arrivaient à en réchapper. C’est l’acharnement thérapeutique. Mais dans la croyance en Dieu, qui va logiquement de pair avec l’immortalité de l’âme qui serait bien plus nous que notre enveloppe charnelle, il n’est pas si angoissant que cela de mourir.
Certes notre existence ici bas à un sens, celui d’évoluer grâce à des enseignements du vécu sur Terre. Il n’y a donc pas à mettre fin à sa vie prématurément. Mais si notre véhicule, notre corps, ne nous permet plus de pouvoir obtenir ces enseignements, d’autant plus qu’il devient une source de souffrance permanente, à quoi bon dépenser une énergie inconsidérée à essayer de prolonger une existence qui n’a alors plus de sens. Autant utiliser cette énergie pour nourrir des enfants qui meurent de faim, à la limite. Et cela d’autant plus que tous les enseignements mystiques de religions nous disent que nous sommes tous liés et que nous sommes tous un. Supprimer la souffrance d’un enfant dans un pays du tiers monde revient donc à diminuer la souffrance de l’entité humanité donc notre souffrance personnelle d’une certaine façon mystique.
Mais si Dieu n’existe pas, ces enseignements mystiques n’ont pas de valeur et alors ce qui compte c’est d’abord nous. Et pour réduire le chômage, on peut alors penser à la limite qu’on peut fabriquer des mines anti-personnelles qui vont mutiler des enfants ailleurs dans le monde. Quelle importance si grâce à cela, nous français on vit un peu plus confortablement. Et c’est d’ailleurs une politique que la France a tenu pendant des années en étant le plus grand vendeur d’armes au monde par habitant et notamment de mines anti-personnelles. La France qui est en Europe occidentale, comme par hasard, le pays où les concepts d’une certaine laïcité ont le plus imprégné la société. Des concepts de laïcité particuliers qui ont conduit à éliminer tout enseignement religieux de l’école républicaine alors qu’ils auraient très bien pu protéger l’instruction religieuse dans sa diversité.
On voit donc que l’athéisme, et un de ces produits qui est notre laïcité, a des conséquences sur nos choix de vie même si on peut aussi être un humaniste athée et aussi développer une philosophie athée, où on peut aussi considérer que de mutiler des enfants en vendant des mines anti-personnelles ne nous fera pas de bien à long terme car c’est vraiment infecte de toutes façons même si dieu n’existe pas. La philosophie athée peut aussi conduire à des comportements nobles certes avec les peuples dans la misère, mais c’est un peu plus difficile je pense surtout si on est soi même en manque d’objets.
Dernièrement j’ai vu une étude à la télé qui montrait que quand on se sentait observé, on avait un comportement plus digne en général. Dans certaines entreprises, ils ont donc installé des caméras un peu partout pour cela. Quand on croit en un Dieu omniprésent et omniconscient, on croit qu’on est donc en permanence observé. On sait que si on fait des bêtises, il le saura et qu’un jour il risque de nous le ressortir histoire de nous faire comprendre que ce n’était pas bien. Certains appellent cela le karma. Cela paraît peut-être un peu niais certes, mais c’est sûr qu’alors on adopte un comportement plus digne.
Nos croyances en Dieu ou en Darwin ne sont donc pas sans conséquences sur toute une série de choix dans la vie. C’est très important d’en prendre conscience, car certains peuvent ainsi prendre conscience qu’en faisant certaines choses, et notamment en médecine car c’est ici le sujet, ils sont alors en contradiction totale avec leurs croyances religieuses. Cette prise de conscience pourrait bien faire qu’alors ils pourraient ne plus vouloir les faire ou chercher des solutions plus en accord avec leurs croyances. Dans toute une série de choix de vie autres que médicaux d’ailleurs, on pourrait voir que croire en Dieu ou ne pas y croire a des répercussions diverses. Mais je laisse ces sujets forts intéressants à d’autres car ici je ne me concentrerai que sur la médecine.
Dans le domaine médical, la croyance en Dieu nous rend plutôt plus aptes à croire que ce qui existe naturellement, est mieux que ce qui est artificiel. Cela a donc des incidences par exemple dans un domaine qui est à la limite de la médecine, l’obstétrique. L’obstétrique c’est la partie de la médecine qui s’occupe de faire naître les enfants. Si on croit en Darwin, alors à la limite, quel intérêt de faire naître les enfants par un petit orifice. Autant faire mieux que la nature. Autant faire une péridurale pour ne rien sentir et faire une petite incision dans l’utérus, qui s’appelle la césarienne, pour sortir le bébé sans difficulté. Mais il se trouve que ce risque de césarienne commence à être reconnu (cf site internet « pratiques de santé ») et qu’il ne faut pas s’étonner si le bébé aura un peu moins de vitalité ou une jaunisse après qu’on aura empoisonné sa mère avec des anesthésiques.
Mais si on croit en Dieu, naître naturellement ne peut-être que mieux et on évitera alors les apports d’une science humaine qui en jouant aux apprentis sorciers, risque peut-être de créer des problèmes qu’avec notre science humaine on n’imagine pas. Et si en plus on respecte certaine lois de Dieu, comme la pesanteur tout simplement, et qu’on évite la fréquentation de grandes maisons pleines de blouses blanches qui vous allongent sur le dos et vous demande de pousser comme une malade, il est sûr que le bébé n’aura pas besoin d’être tiré avec des forceps qui déformeront son crâne car il glissera en descendant grâce à son poids tout simplement. C’est ce que font les femmes africaines. Si un homme se tient derrière la femme en la tenant sous les bras et appuie sur ses os iliaques en haut des fesses sur les deux côtés, avec ses genoux, le bébés sortira bien plus facilement (témoignage d’une de mes patientes qui a accouchée avec son gendre, sa fille alors que la tête du bébé était tellement énorme que tout le monde voulait lui faire une césarienne).

Je reconnais toutefois qu’un bon écologiste athée pourrait penser que la nature a mis de millions d’années à produire certaines choses et que l’homme ne peut pas avec sa science récente faire mieux. J’apporte ici un contre argument à ce que je dis moi-même. C’est volontaire, c’est pour développer votre esprit critique. Néanmoins cela est une vision qui d’une certaine façon remplace Dieu par la mère nature. Si la nature est vue comme une amie alors à la limite on pourrait se rapprocher de la vision du croyant tout en étant athée mais dans le darwinisme, la nature est vue comme la matrice de la vie certes mais une matrice imprégnée de lutte donc de violence et c’est là tout le problème.
Je tenais aussi à parler d’un sujet qui est très à la mode l’été, les coups de soleil. On les accuse d’être la cause de mélanomes, ces cancers de la peau très fulgurant et mortels et on suggère à tout le monde des crèmes solaires protectrices. Mais en fait il pourrait bien se faire que ces mêmes crèmes soient toutes cancérigènes tout en protégeant de l’excès de soleil qui lui aussi est cancérigène. Cela semble compliqué mais je m’explique. Les crèmes protectrices réfléchissent les rayons du soleil et en ce sens elles évitent une brûlure cancérigène. Mais les substances qui les composent sont des poisons et ces poisons rentrent dans les cellules de la peau et les empoisonnent. Les cellules de la peau ont donc plus de chance de se cancériser car tout poison risque de cancériser des cellules. Toutefois il est probable qu’il vaille mieux mettre de la crème chimique sur la peau que de ne rien faire en restant au soleil. Mais le mieux est de se mettre un peu à l’ombre sous un parasol et de s’enduire la peau d’huile ou de beurre de karité comme le font les africains. Personnellement j’utilise de l’huile de coco dans laquelle j’ai mis des fleurs de lavande. La lavande violette est idéale pour les rouges coups de soleil. Ainsi je renforce ma peau et je la nourris de telle sorte qu’elle soit résistante au soleil de l’été. Evidemment je ne tente pas le diable et je vais à la plage avec un parasol et un chapeau. Ainsi je peux rester toute la journée à la plage sans prendre de coup de soleil. Et je ne m’expose surtout jamais tant que le Soleil est trop haut. En ayurvéda, on enseigne que si son ombre est plus courte que sa taille, il faut éviter de sortir. Evidemment si on veut absolument s’exposer au Soleil à ces heures qui agressent notre peau, peut-être est-il un moindre mal de mettre des crèmes solaires probablement cancérigènes dont on est sûr par contre qu’elles diminuent la fertilité même si leur caractère cancérigène ne sera pas reconnu avant des années c’est évident.
Dans un premier cas, celui du choix de la vie, on renforce les cellules vivantes qui en se restructurant vont se guérir ou éviter d’être malades. Dans le second cas on réfléchit les rayons du soleil mais avec des produits chimiques qui empoisonnent toujours un peu.
Ce que je voudrais dire aux croyants particulièrement, c’est que ces choix empoisonnant ne sont pas en accord avec leurs croyances, qu’ils le sachent. Ces choix sont en accord avec la croyance que la vie est un combat pour la survie aux dépends de la vie des plus faibles. Ces choix sont d’une certaine façon, des choix darwiniens et en les suivant, ils sont en désaccord avec leurs croyances en Dieu.
Certes Dieu enseigne à se protéger et l’hygiène à tous les peuples, mais même l’hygiène selon la conception divine n’implique pas d’utiliser des poisons mais de l’eau avant tout.
Plus généralement toute médecine qui s’oppose aux mécanismes de la vie ne peut être une médecine en accord avec Dieu. Les anti-inflammatoires, les antalgiques, les antihistaminiques les antidépresseurs, les antihypertenseurs, etc.. et tous les médicaments qui bloquent les enzymes de l’organisme sont des choix qui s’opposent à la croyance en Dieu par conséquent. C’est vrai qu’en phytothérapie on parle aussi de plantes anti-inflammatoires, antalgiques etc… mais elles agissent différemment des médicaments synthétiques. On ne peut pas dire qu’elles détruisent nos systèmes biologiques comme on peut le dire des médicaments de synthèse.
Alors maintenant, je veux bien comprendre que dans certains cas, la médecine des poisons nous rende bien service. Mais il faut savoir que si elle nous rend service, c’est parce que nous avons oublié la médecine de Dieu ou de la nature et qu’alors dans notre ignorance, nous devons bien nous résigner à nous empoisonner pour éviter de trop souffrir, sachant que les conséquences de telles actions ne seront jamais dépourvues d’effets secondaires nocifs. Il ne faut donc pas pour autant se mettre à idolâtrer cette médecine des poisons comme nous le faisons un peu trop à mon goût en tuant comme nous l’avons fait trop souvent les approches alternatives qui vont-elles dans le sens de la vie et non du combat contre la maladie.
Il est vrai qu’aujourd’hui compte tenu de l’ignorance qui existe sur les médecines sans poisons, que nous aurions du mal à nous passer des médecines des poisons. Mais si nous enlevons tout d’abord le pouvoir aux Conseils de l’Ordre et aux juges de massacrer cette médecine, peut-être qu’au bout de quelques années, le pays pourra reprendre une voie différente que celle de fabriquer à la chaîne des handicapés. Mais c’est un choix qui ne pourra pas se faire, je pense, sans une prise de conscience du danger de la médecine des poisons et des idées darwiniennes et athées en général, et du fait que ces idées ont imprégnées à l’insu des croyants tous les aspects de notre médecine moderne.
Si les darwiniens veulent prendre des médicaments chimiques pour supprimer leurs symptômes, enlever les nerfs des dents pour supprimer à n’importe quel prix cette ennemie, qui est la douleur et irradier leurs cellules cancéreuses, je comprends tout à fait car eux sont ici en accord avec leurs croyances nihilistes qui pensent que la vie est apparue du néant. Evidemment avec un regard plus mystique on pense que le danger de ces théories nihilistes est aussi d’aboutir au néant, c’est-à-dire à l’anéantissement et peut-être qu’alors il serait souhaitable qu’ils modifient leurs croyances. Le rôle des croyants qui pensent que nous sommes tous liés est d’essayer de leur ouvrir les yeux. Le prosélytisme est donc logiquement une démarche de croyant et présenter le prosélytisme comme une faute est démoniaque diraient les croyants.
La plupart des croyants croient que nous avons été créé et à l’existence d’une âme immortelle qui se détache du corps physique après la mort et va au ciel, plus ou moins haut selon son degré d’évolution. Là elle y rencontre les anges puis se réincarne ensuite tant qu’elle n’aura pas compris que seul l’amour compte.
Et oui je sais, tous ses scientifiques qui ont mis à jour des fossiles, des hommes préhistoriques qui n’avaient pas tout à fait la même tête que nous, qui utilisent les datations au Carbone 14 ou d’autres isotopes radioactifs avec leurs appareils sophistiqués pour dater des chaînons de la grande chaîne de l’évolution. Et que tout cela prouve bien soi disant que l’homme descend du singe. Comment peut-on croire raisonnablement en Dieu à notre époque scientifique ?
Non mais sans blague les darwiniens ou néodarwiniens, diraient les croyants, vous croyez vraiment que par quelque hasard de rayons cosmiques et de sélection naturelle l’homme s’est transformé tout seul à partir d’une amibe, en passant par un poisson qui est sorti de l’eau avec ses petites papates qui lui ont poussé et qu’ensuite il s’est mis à courir puis que des mamelles sont apparues pour que sa femelle puisse allaiter ses petits, puis qu’il s’est mis à grimper aux arbres puis un jour en sortant de la savane, comme il a du se redresser pour voir au dessus des herbes, il s’est mis à marcher sur deux pattes et est devenu un homme et qu’alors dans le même temps son larynx s’est élargi et qu’il a pu se mettre à parler. Et que c’est d’ailleurs pour ça, que maintenant il a mal au dos, parce qu’il marche debout. Non mais sans blague vous croyez à cette histoire abracadabrante. Avez-vous un peu étudié la génétique pour voir toute la complexité de la fabrication d’une seule protéine sachant qu’il en faut des centaines différentes en même temps pour fabriquer le moindre organe et qu’en plus il existe des systèmes de régulation qui font que dès qu’une protéine mute elle est détruite afin que la cellule soit préservée dans son identité, ce qui est une contradiction totale avec les théories darwiniennes. Même de très sérieux scientifiques remettent tout ça en question. Un éminent mathématicien de l’académie française des sciences, le Prof Schuztenberger, s’est penché sur cette théorie il y a quelques années. Il l’a considère mathématiquement parlant comme tellement improbable que le soi disant âge de l’Univers n’y suffirait pas pour qu’elle ait la moindre chance de s’être réalisée.
Mais du temps de Darwin cette génétique n’existait pas, alors certes les spéculations qu’il a avancées pouvaient difficilement se contredire grâce à la science de l’époque. Mais aujourd’hui, les scientifiques qui persistent à maintenir de telles absurdités me font penser aux dentistes qui persistent à ne pas vouloir voir le danger des dents dévitalisées. Ils ne voient que ce qui les arrange pour ne pas se rendre ridicule après coup d’avoir enseigné de telles absurdités dans leur jeunesse.
Quand au Big Bang, ne vous êtes-vous jamais demandé ce qu’il y avait une seconde avant le big bang. Du rien pensent certains. C’est ça oui. Mettez-moi un kilo de rien chère madame et combien vous dois-je ? Comment peut-on raisonnablement croire en de telles inepties, même si on pense entendre l’écho de ce soit disant Big bang que des enseignements mystiques expliquent bien différemment. Quand pendant des années on a professé de telles théories, pas étonnant qu’on ait du mal à accepter de reconnaître ensuite leur côté absurde. Surtout quand en plus on est payé pour enseigner de telles inepties.
C’est un peu comme avec les dents dévitalisées et les professeurs dentistes qui ne veulent pas reconnaître un côté empoisonnant aux dents dévitalisées. Car la population est tellement heureuse de garder ses dents dévitalisées en bouche qu’on ne va quand même pas commencer à expliquer aux étudiants que ça pourrait bien être une des plus grandes cause de cancer. Il n’est pourtant pas nécessaire d’avoir fait de longues études pour comprendre que garder une éponge remplie de bactéries toxiques en contact avec le sang, ça ne doit pas être ce qu’il y a de mieux pour la santé. Car c’est cela une dent dévitalisée et un peu de bon sens suffit pour comprendre cela.
C’est ce même bon sens qu’il faut pour comprendre que Darwin a complètement déliré dans sa théorie et que les scientifiques qui l’ont adopté n’ont en rien adopté une théorie scientifique mais une théorie hystérique. Mais maintenant ils sont un peu coincés pour faire marche arrière parce que les scientifiques aussi connaissent l’orgueil et ont du mal à reconnaître leurs erreurs. Et cela d’autant plus que les plus grands défenseurs de l’autre théorie créationniste, sont les religieux. Et c’est derniers n’ont pas toujours été les plus zélés à défendre la science dans l’histoire du monde. Ils auraient même plutôt eu tendance à allumer des contre feux, si vous voyez ce que je veux dire…
Je me demande d’ailleurs parfois pourquoi j’écris tout ça. Qui s’intéresse aux idées aujourd’hui. Notre société matérialiste attache aujourd’hui tellement plus de valeur aux objets qu’aux idées. Avec ce système de valeur, elle risque d’être encore loin aujourd’hui de comprendre les raisons qui font que nous sommes de plus en plus malades.

Nos médecins devraient répondre à trois besoins. Conserver la santé, soigner les maladies et prolonger la vie. Mais à vrai dire la formation des médecins occidentaux ne fournit pas vraiment les connaissances pour maintenir les gens en bonne santé tant qu’ils ne sont pas malades, si ce n’est sortir des évidences du genre ne pas fumer ou ne pas manger trop de viande par exemple ou manger plus de fruits et légumes. Et ce qui n’arrange rien, cette fonction n’est pas vraiment payée. Et bien pour les dentistes, c’est pareil. Tout le monde sort des évidences du genre brossez vous les dents. Et même là encore parfois on fait le choix de tuer en pensant faire de la prévention lorsqu’on demande d’utiliser des dentifrices au fluor.
Le fluor, ce produit est tellement toxique que les bactéries en meurent lorsqu’elles l’ingèrent. On pense alors que le fluor rend les dents plus résistantes à la carie. D’une certaine façon c’est vrai puisqu’il pénètre dans les dents et que les bactéries qui en mangent meurent. Mais d’un autre côté on sait aperçu que les dents fluorées ressentaient moins la carie et qu’elle se développait ensuite sans douleur jusqu’au nerf et donc que quand ça faisait mal, il n’y avait plus que le choix de dévitaliser la dent. Voilà un très bon exemple d’une conséquence du choix de tuer. A court terme, c’est vrai qu’on obtient des résultats intéressants car il y a un peu moins de carie, mais à long terme le résultat est encore pire. C’est comme le règne de la terreur, ou la guerre. C’est vrai qu’à court terme, ça peut avoir quelques avantages et faire se calmer un peu les terroristes mais à long terme c’est une catastrophe pour la santé des populations et la voie qui aboutit à la paix est plus la non violence qu’autre chose.
Eh bien c’est tout à fait ce que je pense de la médecine. La médecine non violente est celle qui à long terme apporte la santé. Mais la médecine non violente, c’est aussi tout un art. Un art qui n’est pas beaucoup enseigné dans un système universitaire qui a fait le choix de faire la guerre à la maladie. C’est plutôt du côté des médecines naturelles qu’il faudrait chercher. L’acupuncture, la phytothérapie, la cristallothérapie, l’aromathérapie, les massages, la naturopathie, et les médecines indienne et chinoise sont de bons axes de recherches par exemple. Il serait temps de favoriser leur introduction en France, en commençant tout simplement par arrêter de les opprimer. Il faudrait édicter des mesures efficaces que je vous laisse imaginer et qui assouplissent notamment vraiment le concept d’exercice illégal de la médecine pour ces médecines qui n’utilisent aucun poison donc ne présentent de toute façon aucun danger.
Certains moyens de diagnostic ne font pas exception à la règle de la médecine des poisons. On dit d’ailleurs qu’ils sont invasifs, c’est-à-dire possèdent un caractère empoisonnant, contrairement aux méthodes de diagnostic non invasives. Les radios brûlent un peu les tissus, les échographies font bouillir l’eau des tissus les plus aqueux comme les yeux et pourrait bien être la cause de besoin de lunettes chez les tout petits, les biopsies agressent les tissus et donneraient un coup de fouet au cancer selon les naturopathes, les injections de produits radioactifs ne sont pas anodines on se l’imagine et stimuleraient les cancers.
Et oui notre médecine veut voir et savoir mais il faut aussi en payer le prix même si elle estime que le bénéfice est bien supérieur au prix à payer. Et c’est vraiment un sujet qui devrait être discuté par notre société car ce sont des sujets de société très préoccupants. Mais les gens s’intéressent plus aux objets qu’aux idées, alors il n’est pas facile de remettre en question des idées majoritaires, j’en sais quelque chose, à mes dépends d’ailleurs. Et puis comme toujours il est difficile de discuter avec des personnes qui ont utilisé depuis longtemps une technique et d’essayer de leur faire accepter un côté iatrogène culpabilisant qui a parfois des proportions qui sont loin d’être négligeables. Et cela est d’autant plus culpabilisant que d’autres médecines ou d’autres façons de concevoir la santé pourraient l’éviter.
En chine pendant longtemps on ne faisait pas d’échographie et pourtant il n’y avait pas d’enfant mongolien. Evidemment les techniques utilisées pour l’éviter choqueraient le public occidental mais le fait de savoir que pour détecter une anomalie de temps en temps on empoisonne tous les autres enfants pourrait nous faire reconsidérer les échographies.
Même chez le dentiste, le test de vitalité au froid peut provoquer des fêlures dans l’émail, tout comme les détartrages aux Ultra sons faisant que le tartre revient encore plus vite là où l’instrument a été passé.
Et sans compter sur le traumatisme psychologique de certains tests comme le test du sida ou l’annonce d’un cancer. Des naturopathes pensent que le plus dangereux dans le sida est le test du sida justement à cause du traumatisme psychologique qui en résulte. Ca se discute.
Finissons sur les vaccins, histoire de faire un tour plus complet des médecines des poisons qu’on pourrait aussi appeler les médecines de civilisation.
Le vaccin est un petit poison fait de germes toxiques atténués et fait donc partie aussi à ce titre de médecine des poisons. Les vaccins sont censés stimuler notre immunité. A entendre nos chercheurs, les vaccins constituent presque le plus grand espoir de l’humanité pour supprimer les maladies et le public y est bien conditionné. Eh oui c’est bien la preuve que Dieu n’existe pas sinon c’est sûr qu’il nous aurait fait sortir du ventre de notre mère vacciné. Mais pourtant depuis le temps qu’on vaccine à tort et à travers, de nouvelles maladies ne cessent d’apparaître et presque tout le monde semble patraque. Le choix de vacciner est encore un choix dans la logique darwinienne qui pense que la science de l’homme doit protéger l’organisme des maladies de la nature grâce aux vaccins. Et en plus ça fonctionne il parait. Quoique certains le remettent même en question et leurs arguments semblent très cohérents aussi. Mais encore faudrait-il un peu écouter leurs arguments et s’intéresser aussi à leurs idées. Mais les médecins qui en parlent un peu trop sont tous interdits d’exercer.
Personnellement, je veux bien croire que les vaccins évitent des maladies spécifiques, dans une logique parallèle à celle classique de la médecine des poisons. Mais dans quel état ressort-on ensuite. Je connais tellement d’histoires de catastrophes post vaccinales que je pense qu’il y a de quoi se poser des questions, surtout quand je constate l’inaptitude des institutions médicales en général à se remettre en question. J’aurais un peu tendance maintenant à faire plus confiance à mon intuition qu’à leurs soit disant certitudes scientifiques. Va savoir pourquoi…
Concernant les effets secondaires des vaccins, la iatrogénicité comme on dit, nos médecins nient trop souvent l’évidence. Je me rappelle d’un article sur le journal local de ma région, « Nice Matin », qui décrivait un enfant atteint de maladie grave et rare. La mère avait noté que les premiers symptômes étaient apparus le lendemain même d’une vaccination. Mais un grand professeur s’empressait d’affirmer que ça n’avait rien à voir. Cela me rappelle mon doyen de la fac de dentaire qui m’affirmait qu’on avait prouvé que les dents dévitalisées ne provoquaient aucune maladie.
Autant d’affirmations impossibles à prouver et qui pourtant trouvent souvent un écho bienveillant auprès du public parce que le public est d’une ignorance importante sur la santé. Non seulement il n’a pas vraiment les moyens d’avoir suffisamment d’informations mais surtout il est dans un état d’hypnose vis-à-vis des grands professeurs de la médecine des poisons.
Il serait temps chers patients, que vos regardiez un peu autour de vous, la quantité de personnes mal fichues qui pourtant ont fait confiance à la médecine des poisons. Je sais que ce n’est vraiment pas évident de comprendre que c’est à cause de cette médecine et je sais bien aussi que nos médecins possèdent plus d’un tour de passe passe dans leur sac qui leur permettent de sauver des vies en urgence et de supprimer bien des douleurs. En ce sens ils rendent aussi bien des services à la population.
Mais commencez aussi par ouvrir votre esprit sur autre chose si vous voulez guérir, lorsque la médecine des poisons atteint ses limites.
Je vais vous témoigner de mon expérience personnelle en tant qu’ex malade. La médecine des poisons m’a déjà sauvé la vie et je ne peux donc que lui en être reconnaissante. Malgré ce qu’elle pourrait penser, je ne l’attaque nullement ici. Je crois que la médecine de poisons ne fait que répondre aux attentes d’une société qui veut ce genre de médecine. Elle est d’ailleurs très utile en sauvant de nombreuses vies, c’est indéniable. Mais elle possède aussi ses limites et ses inconvénients, voilà tout. Mais les autres médecines aussi ont leurs limites même si elles ont moins d’inconvénients c’est sûr.
Un jour j’en ai eu vraiment marre d’être éternellement fatigué et d’avoir toujours mal au dos et des tas de petits mots qui revenaient sans cesse. Alors je me suis intéressé à autre chose car si la médecine des poisons était il est vrai arrivé à me sauver une fois la vie à la suite d’une grosse crise d’asthme, elle était impuissante à me faire retrouver une certaine vitalité.
Alors j’ai fait remplacé mes amalgames par des composites, j’ai fait enlever mes dents dévitalisées, je me suis intéressé à la naturopathie, la médecine chinoise, l’ayurvéda, et toutes sortes de médecines. J’ai fait le tour de pas mal de religions et de « sectes » soi disant et je suis devenu végétarien (sans viande ni œufs ni poisson). J’étais alors dans un tel état de délabrement physique qu’il fallait absolument trouver ailleurs les solutions car aller régulièrement chez le kiné, être toujours malade ou prendre sans cesse des médicaments, cela ne me réjouissait pas vraiment. Un jour suite à un empoisonnement alimentaire, j’ai eu une crise cardiaque et quelques aiguilles d’acupunctures que je me suis plantées m’ont sorti de là alors que j’étais à deux doigts d’y rester. Le lendemain mes reins étaient bloqués par le poison qui s’en éliminait et j’étais à deux doigts de la dialyse et quelques aiguilles m’ont aussi sorti de là. Se les planter dans le dos tout seul s’était plus difficile mais j’y suis arrivé. J’avais souvent des allergies voire même de l’asthme. Un jour j’avais une telle crise d’asthme que j’allais m’étouffer et il a suffit de vomir, comme je l’avais appris en ayurvéda, pour la faire disparaître dans la minute. Une autre fois, il a suffit que je me plante des aiguilles d’acupuncture. Tout cela m’a montré qu’il n’y a pas que la médecine des poisons pour résoudre même les urgences. En prenant une tisane que je me suis confectionné, mes allergies ont fini par disparaître. Mes dernières douleurs de dos ont disparues en me faisant des injections dans les os de ma mâchoire, qui avaient eu des dents dévitalisées. Jadis j’avais tellement mal au dos que la vie me paraissait très douloureuse. Quand je courais, un mal de genou me faisait boiter.
Aujourd’hui je n’ai plus mal au dos ni nulle part, et aucune maladie, même si je ne fais aucun sport ni aucun yoga. Avant j’étais obligé de courir et transpirer pour me sentir bien car ainsi j’éliminais mes toxines. Parfois je me plante des aiguilles d’acupunctures avant de m’endormir. J’ai retrouvé une bonne énergie même si la médecine des poisons a toutefois laissé des traces. Si dès le début de ma vie je l’avais évité, j’aurais bien sûr encore plus d’énergie. Mais c’est ainsi. Ce qui est sûr c’est qu’aujourd’hui j’ai acquis un savoir suffisant pour me passer de la médecine des poisons, mais je sais aussi que notre population ne pourra pas s’en passer de si tôt.
Pour finir sur la vision déiste de la vie, on pourrait aussi penser que la maladie est un don de Dieu qui permet ainsi à l’organisme de se désintoxiquer et de s’auto-réparer. Surtout dans ses premières phases c’est-à-dire les maladies d’hyperfonctionnements qui sont souvent aussi des maladies d’élimination. Il faut donc savoir les respecter voire les recréer même pour soigner parfois des maladies d’hypofonctionnement.
Il existe certes aussi dans la maladie une seconde phase qui est la traduction d’une destruction de l’organisme. Ce sont les maladies d’hypofonctionnement. Cette seconde phase peut certes parfois arriver lorsqu’une infection se développe un peu trop et détruit carrément l’organisme. Il est donc aussi important de tenir compte de cette phase et de ne pas continuer dans certaines erreurs qui lui permettraient de dégénérer et d’arriver aux en destructions organiques.
Mais des maladies plus graves et des états de dévitalisations peuvent aussi arriver d’autant plus vite qu’on s’oppose à la première phase par la médecine des poisons. Tout cela n’est pas si simple, je sais.
Mais la première phase qui est la traduction d’un mécanisme de défense doit être reconnue comme telle, car il faut savoir qu’en la combattant avec des poisons, on s’oppose aux mécanismes d’auto-guérisons qui se mettront d’autant mieux en place qu’on met au repos l’organisme et notamment le système digestif. Si en plus on l’aide en éliminant du corps tous les poisons et par les médecines qui sont en accord avec le corps, il me semble alors qu’on est sur le meilleur des chemins pour retrouver la vitalité.
Quand je vois autour de moi la quantité de personnes chroniquement fatiguées, je crois que c’est un chemin que semble avoir un peu trop souvent oublié aujourd’hui notre société en n’empruntant un peu souvent celui des poisons. Il m’a donc semblé plus qu’utile de le rappeler.
Dr Bruno Darmon
Petit complément écrit le 18 aout 2006
Afin d’illustrer une contradiction entre la médecine des poisons et la médecine en accord avec Dieu, je vais vous donner un exemple simple. Dernièrement nos chercheurs aux neurones dévoués à la médecine des poisons se sont aperçus en prospectant dans le milieu marin qu’il existait là aussi des sources de médicaments très intéressant. On pouvait par exemple extraire du cartilage de requin un excellent (enfin dans leur logique) médicament anti-cancer et que d’un crustacé on pouvait obtenir un médicament antalgique mille fois plus antalgique que la morphine. Génial non (enfin dans leur logique). Ces deux exemples sont intéressants car dans la religion juive, qui autorise la consommation de poisson, Dieu met toutefois des limites à cette consommation. Le grand public connaît peu cette interdiction alors qu’il connaît bien l’interdiction du porc pour cette religion comme pour la religion musulmane d’ailleurs. Une interdiction où même Dieu accepte de la lever s’il n’y a rien d’autre à manger et qu’on meurt de faim (intéressant si on développe car le même raisonnement pourrait bien être tenu pour toute chair animale générateur d’ammoniaque lors de son catabolisme, pour accréditer le végétarisme que prône la religion hindouiste). Mais revenons aux poissons. Dieu accepte donc que les juifs mangent du poisson mais pas de crustacés (ni de fruits de mer) et uniquement les poissons à écailles. Donc pas de requin qui n’a pas d’écailles. Et pourquoi à votre avis ?
Les crustacés sont aux poissons un peu ce que le porc est au herbivores. Ils se nourrissent des déchets de la mer. Le porc peut se nourrir même d’excréments. Quand aux requins ce sont des poissons qui n’ont pas de système rénal, ce qui fait que leur chair est empoisonnée par l’ammoniaque que les reins sont normalement chargés de transformer en urée et d’éliminer dans l’urine. Il est bien connu d’ailleurs des pécheurs que la chair de requin est assez immangeable sauf si on lui fait subir un traitement particulier en la faisant sécher longtemps auquel cas l’ammoniaque s’élimine probablement. C’est ce que font certains connaisseurs dans les pays nordiques. Mais comme ils ont Thor comme Dieu (dieu Wiking), on peut aussi imaginer qu’ils ont tord.
Dans cet exemple on comprend que notre médecine a découvert dans la mer deux médicaments très puissants à partir de produits que le Dieu des juifs interdit carrément de consommer car on peut supposer qu’il les considère très probablement comme des poisons. Poisons pour Dieu et médicaments pour nos bons médecins de la médecine moderne des poisons qui a adopté depuis longtemps la politique de détruire les mécanismes de la vie dont la douleur et le cancer font bien sûr partie. Intéressant non ! Voici donc dans cet exemple, une contradiction évidente entre notre médecine moderne et les enseignements religieux.
Autre petit complément.
La médecine des poisons ne rend pas toujours malade et parfois on observe que bien plus tard ses effets pervers notamment sur les enfants. On pourrait alors croire que les poisons n’en sont pas vraiment. Voici pourtant des caractéristiques que les poisons donneront lorsqu’ils ne provoquent pas de maladie. Les premières conséquences sont : fatigue, perte de force, déminéralisation, perte de facultés organique diverses (baisse de la vision etc..), perte des cheveux et fragilité en général.
L’obésité des petits enfants dont on pense qu’elle est due à l’alimentation est en fait très souvent une conséquence de médicaments poisons ingérée parfois pendant la grossesse de la mère. La graisse sert en plus à diluer des poisons. Mais dans certains cas, l’organisme empoisonné sera trop maigre, si le foie a été très altéré. Cela dépend des organes qui auront été empoisonnés.
Les enfants ayant subi un traitement de médecine des poisons seront plus petits que leurs parents et moins forts aussi. Il y aura divers signes (cheveux plus fins, peau plus fines, ongles et os moins solides notamment, ou bien excès de poids quand l’organisme a suffisamment d’énergie pour diluer les poisons dans de la graisse).
Les enfants présenteront aussi une puberté plus précoce. En effet l’organisme ayant subi un empoisonnement donc la médecine des poisons sait (enfin c’est du domaine du savoir inconscient des cellules) qu’il ne vivra pas très vieux et donc en conséquence, le cycle de la vie sera accéléré de telle sorte que la personne pourra concevoir le plus rapidement possible avant de décéder. Une puberté précoce va d’ailleurs de pair avec l’arrêt prématuré de la croissance.
Les parents empoisonnés auront plus de filles. En effet la vie empoisonnée fabrique alors des filles car dans un contexte d’empoisonnement, elle cherche à produire plus d’enfants puisque les enfants mourront plus jeune. Et il suffit d’un seul homme pour ensemencer de nombreuses femmes donc en cas de forte mortalité, il est logique que la vie produise alors plus de filles.
Les enfants soumis à la médecine des poisons auront bien sûr une vitalité moindre. Ils seront souvent fatigués.
Voici donc des éléments qui sont les conséquences d’une médecine des poisons même si on n’observe pas de maladies. On peut très bien être empoisonné sans avoir aucune maladie. Cela n’est absolument pas un signe de bonne santé car bien sûr on vivra moins vieux et avec moins de vitalité. A la limite les maladies qui pourraient arriver doivent être alors considérées comme des bénédictions car elles sont là pour tenter de désempoisonner l’organisme. Mais les parents (généralement ignorants) de tels enfants s’empressent généralement d’appeler le médecin qui à coup de quelques poisons supprimera les symptômes de la maladie et fera en sorte de maintenir alors l’état de sous vitalisation de l’enfant.
Ces indices sont intéressant à connaître car évidemment dans l’autre sens ils permettent de déterminer ce qui est ou non un poison, et notamment pour les aliments.
Je ne vais pas traiter ici de l’alimentation des poisons mais vous donner juste un exemple que je connais personnellement. Depuis une quarantaine d’années environ, une mode s’est introduite notamment chez les homéopathes et d’autres naturopathes de dire que le lait de vache est une mauvaise chose. Il est vrai que les vaches absorbent aujourd’hui beaucoup d’antibiotiques et pesticides et que le lait d’aujourd’hui n’a pas la même valeur nutritive que du bon lait sain de vache non empoisonnée. Il faudrait aussi écrire un livre sur l’agriculture des poisons mais c’est encore un autre sujet. La philosophie des poisons a bien imprégné notre société athée comme vous le voyez. Mais revenons en au lait. En plus le lait chauffé à Ultra Haute température (U.H.T.) ou mis en poudre pour les bébés, n’a bien sûr pas les mêmes qualités nutritionnelle et peut à la limite être considéré comme un poison. Mais le bon lait frais ou mieux cru et bio, c’est autre chose. Et ce n’est pas pour rien que la vache est sacrée en Inde. C’est parce que le lait est considéré comme un aliment divin et Krishna est souvent représenté comme se délectant de laitages. Mais une mode est apparue de dire que le lait de vache c’est uniquement pour les petits veaux. Et cette mode est apparue dans les milieux alternatifs de santé qui par ailleurs ont aussi des prises de consciences intéressantes. Mais pour le lait, je crois qu’ils se trompent vraiment. Et dans ma famille il y a eu un enfant qui fut nourri bébé et toute son enfance au lait de soja sur la recommandation d’un homéopathe. Et cet enfant a eu une puberté extrêmement précoce. Il avait au moins quatre années d’avance sur les autres enfant de la famille. Et c’est le seul qui fut nourri au lait de soja. Etonnant non ! Cela irait dans le sens de dire que c’était alors un poison.
Personnellement quand je prends du lait de soja, je sens tout de suite que ce n’est pas bon pour moi et le fait que le soja soit à éviter est confirmé par diverses sources un peu mystique certes parfois. Aujourd’hui, j’ai la conviction que le soja et notamment le lait de soja, n’est pas un bon aliment. Je sais bien que les chinois en consomment beaucoup sous forme de germes et de tofu. Là c’est moins grave que le lait de soja mais ce n’est pas idéal non plus. Les indiens ne consomment pas ce soja que les chinois consomment et ils pensent même que c’est un mauvais aliment.
Pour les enfants en tout cas, je vous recommande de ne pas substituer le lait de vache par du lait de soja. Je suis persuadé que c’est une erreur. Mais prenez si possible du bon lait bio demi écrémé, cru ou sinon pasteurisé. Ajoutez-y un peu de sucre bio et mettez le tout dans un biberon en verre et pas en plastique toxique. Et surtout ne le chauffez pas aux micro-ondes. Et si vous voulez vraiment éviter le lait de vache, il existe du lait d’amande et d’avoine (qui se fait si facilement avec des flocons d’avoine) et qui me semble préférable et de loin au lait de soja.
Voilà quelques conseils pour les petits. Mais rappelez vous que le Dieu des juifs a aussi dit : « Tu ne mangeras pas le veau dans le lait de sa mère » Cela signifie en gros que si on mange des laitages, il faut éviter les viandes (et du poison, ce qui est d’ailleurs précisé dans d’autres enseignements juifs) . Donc un enfant qui boit du lait ne doit pas manger de viande ou de poisson, sachez le, et surtout pas au même repas. C’est bien sûr valable pour tout le monde. S’il y a viande ou poisson au repas, pas de yaourt ni de fromage ni aucun laitage au même repas. A moins que vous pensiez que tout ça (Dieu et le reste) ne sont que des bêtises puisque notre médecine moderne ne l’a pas validé. Et alors inutile d’en tenir compte. Prenez vos yaourts et votre fromage avec vos viandes et poissons et quand vous aurez un cancer prenez des médicaments naturels à base d’aillerons de requin et si vous avez mal les derniers antalgiques à partir de crustacés. Vous verrez bien ce que ça donne….
Autre petit complément sur la médecine des poisons pour les accouchements.
Il existe un poison que j’utilisais quotidiennement lorsque j’exerçais la chirurgie dentaire. C’était l’anesthésie. En bloquant l’énergie du système nerveux, elle permet d’opérer sans douleur. Mais il n’empêche que c’est aussi un poison. Idéalement il aurait fallu faire de l’acupuncture ou de la sophrologie, c’est vrai, mais l’anesthésie c’est tellement pratique que ma foi, je l’utilisais comme tout le monde. J’étais assez original comme ça pour ne pas en rajouter. Mais personnellement je me suis fait enlever une dent sans anesthésie et je me fais toujours soigner les dents sans anesthésie depuis déjà un certain temps.
Mais aujourd’hui il est une mode d’utiliser l’anesthésie pour les accouchements. Une anesthésie qui passe inévitablement dans le bébé qui en subira des conséquences terribles parfois, sachez le. On se demande ensuite pourquoi les enfants font des crises d’asthmes par exemple ou d’autres problèmes par la suite. Tout comme la césarienne qui est pire, la péridurale est donc aussi une technique de la médecine des poisons, sachez-le.
Complément du 11 Sept. 2006. Terrorisme médical non violent.
Ce samedi 9 sept. 2006, j’ai lu une information intéressante sur le journal local Nice Matin et je vais en faire une analyse originale mais très instructive je pense, dans l’esprit de la médecine des poisons.
Il y était écrit qu’un éminent scientifique de notre région (Alpes Maritimes, France), venait de faire une découverte pleine d’espoir dans son laboratoire de Sophia Antipolis sur la dépression.
Il s’était aperçu que des souris à qui on enlevait une petite partie du cerveau était moins dépressives, de même que des souris à qui on enlevait un gène qui servait j’imagine à fabriquer cette même partie du cerveau. Des souris génétiquement modifiées disait l’article. Il aurait plutôt fallu dire je pense, des souris génétiquement mutilées en fait.
La découverte de ce scientifique est intéressante à plusieurs titres. Tout d’abord, elle montre qu’en enlevant quelque chose de normalement présent dans le corps, on peut soigner une maladie. C’est très intéressant je trouve.
A partir de là on pourrait penser soit que la nature est mal faite puisqu’en enlevant un gène on soigne une maladie, soit qu’il y a quelque chose qu’on n’a pas vraiment compris sur le sens des maladies.
La première remarque est dans la logique de l’athéisme darwinien. C’est celle globalement de notre médecine chimique qui s’est éloignée de la nature et qui en extrapolant en arrive à penser que l’homme peut faire mieux que ce que la nature a produit en modifiant génétiquement l’espèce pour supprimer des maladies, ce qui tendrait à prouver que Dieu n’existe pas.
La seconde vision (celle de dire qu’on n’a pas tout compris) se rapproche plus d’une création intelligente qu’il faut essayer humblement de comprendre au lieu de vouloir faire mieux. Et cela avec la certitude de faire pire si on modifie ce qui existe déjà, d’autant plus qu’on enlève quelque chose, ici un gène ou une partie du cerveau. Le raisonnement est ici le même que celui de ceux qui luttent contre les OGM d’ailleurs.
Dans la première logique, on pourra alors aussi un jour enlever les gènes du cancer dès le stade embryonnaire et alors plus de cancer pour le reste de la vie.
Des recherches sont d’ailleurs probablement effectuées dans ce sens, car effectivement on sait qu’il existe des gènes qui servent à cancériser la cellule. Génial n’est-ce pas, ou démoniaque, va savoir….
La démarche du scientifique cité dans l’article du journal, en amputant un gène de la souris est donc dans la logique d’une recherche médicale qui cherche à détruire les cellules cancéreuses. Ici on cherche à détruire les cellules susceptibles de provoquer la dépression.
Lorsqu’on ne voit la maladie que comme une erreur de la nature qu’il faut au plus vite corriger, on ne peut trouver cette recherche qu’extraordinaire. Mais lorsqu’on a une autre vision du sens de la maladie, on ne peut trouver cette recherche qu’hystérique.
Cette recherche me rappelle un peu une méthode utilisée en psychiatrie dans le milieu du vingtième siècle qui s’appelait les lobotomies. Les personnes vraiment très dépressives voire pire notamment agressives étaient parfois lobotomisées. Le chirurgien rentrait un scalpel dans le cerveau et coupait du tissu neural dans le lobe frontal. Et ensuite les personnes semblaient redevenir heureuses et non violentes. Evidemment il y avait quelques inconvénients car les patients ressemblaient immédiatement à des zombies, c’est-à-dire perdaient des facultés intellectuelles qui faisaient qu’ensuite ils étaient carrément très lourds si vous voyez un peu ce que je veux dire. Il leur manquait alors de façon évidente, une certaine dose de conscience. Ce n’est pas le genre de personnes à qui vous auriez confié votre enfant ensuite par exemple.
La dépression est un sujet qui me tient un peu plus à cœur que les autres maladies car c’est à cause de ce sujet que je fus jadis interdit à trois ans d’interdiction d’exercer par le Conseil de l’Ordre, qui ensuite transforma cette interdiction à vie lorsqu’un patient se plaignit un peu plus tard d’extractions de dents dévitalisées ayant été convaincu par un confrère que c’était en fait une arnaque.
J’avais écrit au psychiatre responsable dans ma région du problème des suicides qui devient de plus en plus préoccupant en France et qui est la première cause de mortalité chez les jeunes. Le courrier comportait notamment des témoignages de plusieurs de mes patients aux tendances suicidaires qui m’avaient témoigné ne plus avoir envie de se suicider après que je leur ai enlevé leurs dents dévitalisées. J’invitais juste le psychiatre à se pencher un peu sur cette observation.
Et bien juste à cause de ce courrier et sans aucune plainte d’aucun patient, les chers notables du Conseil de l’Ordre des Alpes Maritimes déposèrent plainte contre moi pour cet acte délictueux et ceux de Marseille me condamnèrent à trois ans d’interdiction d’exercer.
Qu’un scientifique enlève des gènes ou une partie du cerveau à une souris afin que celle-ci soit moins dépressive, et la communauté scientifique et les médias, tombent en extase, mais que je sorte des patients de dépression suicidaire en enlevant des dents dévitalisées fit tomber sur moi tout d’abord l’opprobre de mes confrères et ensuite n’intéresse personne, pas même le psychiatre concerné.
Notre société encense visiblement ceux qui amputent ou veulent amputer le cerveau et condamne parfois ceux qui enlèvent la pourriture. Quel paradoxe.
Pour en revenir aux recherches citées dans le journal Nice matin, je vais vous dire encore une fois pourquoi personnellement je les trouve hystériques.
Les maladies ont un sens et lorsqu’on les supprime abusivement, on aboutit toujours à des états d’handicaps divers. Les patients lobotomisés ne sont certes plus dépressifs mais ne sont plus non plus véritablement des êtres humains possédant toutes leurs capacités.
L’exemple de ce que provoque la lobotomie ne doit pas être très loin de ce que pourrait obtenir le scientifique s’il continuait à chercher dans le sens que nous rapporte le journal.
La dépression comme toute les maladies, a un sens, et ce sens est un sens qui a quelque chose à voir avec le sens de l’existence d’une certaine façon.
La dépression est une maladie qui comme toute les maladies se met en place lorsque notre vie n’est pas en accord avec le sens de notre vie d’être humain. Dans la dépression, on est triste, on peut pleurer, se replier sur soi même, voire tenter de se suicider. La dépression traduit une souffrance intérieure, mentale, qui peut elle aussi provoquer un mal physique parfois mais pas toujours. Une douleur physique, comme un mal de dos, peut aussi mener à la dépression.
La dépression est là car quelque chose de subtil ne va pas dans notre existence et que cela nous rend malheureux. En ce sens la dépression joue le rôle d’un signal d’alarme en quelque sorte afin de transformer notre vie, ou bien apprendre à accepter avec philosophie ce qu’on ne peut changer en ouvrant son esprit en conséquence afin de voir différemment notre réalité. Tout pourrait en fait être vue comme une opportunité intéressante d’évoluer, même si parfois c’est un peu plus difficile c’est vrai.
D’une certaine façon, on peut dire que l’homme est un être humain, justement aussi parce qu’il a la capacité notamment de déprimer, même si les animaux peuvent aussi déprimer d’ailleurs.
Car en déprimant, l’homme peut alors évoluer en remettant en question son existence, du moins s’il veut sortir de la dépression. En fait il peut aussi, et malheureusement le fait un peu trop souvent, choisir la voie de la médecine des poisons et supprimer la dépression par des antidépresseurs.
On s’aperçoit alors qu’il perd aussi certaines fonctions subtiles comme la mémoire. Les antidépresseurs constipent aussi d’ailleurs. Information très intéressante, vous allez voir pourquoi. En médecine chinoise la dépression est un trouble de l’élément Métal qui est lié à la fonction Elimination du gros intestin. On peut soigner la dépression par une purge par exemple pour refaire fonctionner le gros intestin. Je discutais jadis avec une célèbre herboriste de Cannes qui s’étonnait en m’expliquant qu’une plante assez connue pour la dépression, le millepertuis, et régulièrement utilisée aujourd’hui pour la dépression (même si la pharmacologie moderne a tenté dernièrement de la faire interdire en France) était pourtant selon elle efficace pour les constipations. C’est en tout cas ce qu’elle avait appris jadis dans ses études d’herboristerie.
Il est intéressant de voir que les médicaments actuellement utilisés pour la dépression produisent l’effet inverse, c’est-à-dire la constipation, comme d’ailleurs nombres d’autres médicaments. On peut donc dire que les antidépresseurs chimiques font déprimer au sans énergétique du terme en tout cas. Peut être que les patients sont moins tristes certes mais d’un point de vue global, ils sont plus déprimés encore et si cela ne se manifeste pas par de la tristesse, cela se manifestera par la perte de fonction cognitives ou intellectuelles à commencer par la perte de la mémoire.
Evidemment, de dire que les médicaments antidépresseurs fabriquent des dépressions, c’est un peu comme de dire que les médicaments actuels contre le cancer fabriquent des métastases cancéreuses et sont donc cancérigènes. C’est un peu comme de dire que de dévitaliser des dents fait plus de mal que de bien en quelque sorte. C’est tout le langage de la médecine naturelle qui alerte sur le danger d’une médecine qui s’est un peu trop éloignée de la nature et des lois naturelles et ça ne plait pas trop ni aux psychiatres, ni aux cancérologues, ni aux dentistes.
La dépression en médecine chinoise est aussi reliée à une période de la vie, et plus précisément à la vieillesse (entre l’age adulte et l’age de la mort). C’est la période où l’être humain ne dispose plus de toutes les capacités physiques qui lui permettent d’être concurrentiel sur le marché du travail si je puis dire. C’est l’age de la retraite. Mais comme il peut encore être actif, et le veut, il déprime en cas d’inactivité. C’est donc la période idéale pour l’aide aux plus jeunes, notamment aux petits enfants et éventuellement au bénévolat si on en a les moyens.
Si l’homme déprime, c’est par conséquent que quelque part, il se sent inutile. Aux personnes qui ne manquait de rien et qui n’avait plus de dents dévitalisées mais qui déprimaient encore, je leur conseillais souvent de faire du bénévolat dans des œuvres caritatives. C’est l’idéal pour aborder ensuite sereinement l’age de la mort qui est par contre l’age associé à la peur et où l’antidote est cette fois ci la spiritualité.
Quand on sent l’énergie de vie s’éteindre, qu’il est rassurant de se tourner vers Dieu et de se préparer à le rencontrer lui ou ses anges, lorsque l’heure de la mort arrivera.
D’une certaine façon, la dépression est une incitation à s’intéresser aux autres et la peur une incitation à s’intéresser à Dieu ce qui en fin de compte n’est pas si différent. Dans les langues sémitiques, Dieu est associé d’ailleurs au préfixe El ou Al (dans Elohim ou Allah). Or El et Al se retrouvent aussi dans le latin Alter qui veut dire l’autre, ou dans le pronom Il ou Elle qui fait référence aussi à l’autre. L’autre, celui dont on parle mais qui n’est pas là avec nous dans la discussion. Aimer l’autre c’est donc aimer Dieu en quelque sorte.
Dépression et peur ont donc un intérêt certain pour l’évolution de l’être humain.
Les médicaments antidépresseurs sont déjà un peu démoniaques je trouve, mais les médicaments anxiolytiques (anti-peur) le sont encore plus car c’est la peur de la mort qui nous pousse souvent le plus à rechercher dieu et la voie, la vérité qui peut, comme le disait Jesus, nous amener à la vie éternelle, donc au vrai sens de la vie, celui d’atteindre l’immortalité. C’est en tout cas ce qu’enseigne les religions. Supprimer la peur artificiellement est donc une démarche démoniaque. Une drogue provoque un peu d’ailleurs cette absence de peur, c’est la cocaïne. Certains utilisaient cette substance pour la donner aux militaires avant le combat. En France pendant la guerre de 14-18, faute de cocaïne, on donnait aux militaires de l’éther qui était mélangé au vin, sans bien sûr le leur dire. L’alcool fait aussi un peu cela bien sûr tout comme il supprime aussi la dépression. Pour info quand on a trop bu d’alcool, il faut boire de l’huile et des plantes qui remettent le foie en place mais le mieux est quand même de s’abstenir de trop boire d’alcool, ne l’oublions pas.
Tandis que les médicaments psychiatriques finissent à la limite par faire oublier à l’homme qui il est, le service désintéressé et la spiritualité auraient à l’inverse pour objectif de lui rappeler qui il est vraiment. Probablement un acteur des mondes mythiques de l’évolution venu interpréter son rôle dans la grande comédie de la vie. Un rôle dont le seul objectif est d’évoluer et dont la seule clef à la réalisation de cet objectif est l’amour.
Et la dépression est une des maladies qui permet d’initier cette démarche, si on le veut bien évidemment, car chacun possède bien sûr son libre arbitre.
En se mettant au service des autres, on transmute cette énergie qui fabrique la dépression, en énergie utile pour la société, tout comme en s’intéressant à Dieu, on transmutera l’énergie de peur en spiritualité.
Dépression et peur sont donc très utiles vues sous cet angle, et en plus nous incitent à améliorer notre compréhension du sens de l’existence.
Dans le cas des patients qui sortaient de graves (puisque suicidaires) dépressions en enlevant leurs dents dévitalisées, cette démarche leur permettait de comprendre avant tout que leur organisme vivant n’était pas fait pour comporter des organes morts, en l’occurrence ici des dents dévitalisées. Certes ils auraient pu opter pour les médicaments antidépresseurs et finir probablement leur existence avec une maladie d’Alzheimer. Mais ils ont opté pour une autre voie car ils faisaient confiance intuitivement à leur bon sens qui les avait conduit à s’intéresser aux médecines naturelles. C’est ainsi qu’ils avaient découverts cette polémique qui existe sur les dents dévitalisées et qu’alors ils avaient décidé de se débarrasser de leurs dents dévitalisées.
Plus généralement chaque maladie pourrait être là pour nous inciter à rechercher la cause d’une erreur que nous avons commise et nous faire reprendre le bon chemin de la vie. Et cela avant d’aboutir à un handicap qui lui aussi d’ailleurs à une utilité, celle d’inciter à s’intéresser encore plus à la spiritualité probablement. L’age de la mort (la grande vieillesse) est d’une certaine façon, un handicap physiologiquement prévu par la vie d’ailleurs probablement pour cet objectif.
Certains préférerons face aux maladies, ne pas se poser de questions et continuer comme avant en supprimant les symptômes avec en plus une médecine qui possèdent des effets secondaires redoutables qui aboutissent d’ailleurs souvent aux handicaps.
La planète aussi a ses maladies, ses fièvres (canicules) et ses frissons de froid (glaciations) quand elle est malade et veut se nettoyer pour retrouver la santé.
Et cela est la même chose au niveau de la société malade et lorsqu’on ne veut pas le comprendre et qu’on masque les symptômes, on peut aboutir à des handicaps aussi . Il n’est pas un hasard pour moi que le peuple d’Europe occidentale qui s’est le plus engagé dans une démarche laïque qui a exclu l’enseignement religieux de l’enseignement de la république en y introduisant la pensée athée, soit aujourd’hui le peuple qui possède le plus de dents dévitalisées, qui prend trois fois plus d’antidépresseurs que les autres européens, où la médecine naturelle est la plus en retard et la plus condamnée par les juges, qui est aussi le peuple qui par ses actions internationales est le plus en désaccord avec les lois de la vie (plus grand producteur d’énergie nucléaire et d’armements par exemple) et dont l’activité économique est en voie d’être la plus handicapée d’Europe occidentale.
Tout est lié et l’homme a toujours le libre arbitre de prendre une direction ou une autre. Une direction qui le rapproche de la spiritualité et une autre qui l’en éloigne. Evidemment ensuite il doit en assumer les conséquences, et personnellement, je pense que les conséquences des choix spirituels sont bien plus radieux que ceux des autres choix.
Je lisais ce matin du lundi 11 sept. 2006, dans Nice Matin le résumé d’une allocation du pape qui mettait en garde l’occident contre l’erreur de croire que la science et la technologie allait résoudre tous nos problèmes et toutes nos maladies, notamment le Sida. Je suis sur ce point tout à fait d’accord avec lui et je dirais même qu’on serait encore plus inspiré d’identifier toutes les folies que notre science et notre technologie moderne ont développées avant de vouloir en développer encore de nouvelles. Les gigantesques sommes qui sont aujourd’hui dépensées dans la recherche médicale et scientifique seraient aujourd’hui à mon sens bien plus efficacement investies dans le développement de la spiritualité et la suppression de la vraie misère, celle des sans logis par exemple.
Evidemment parfois il y a aussi des dérapages. C’est aussi je sais, au nom d’une certaine spiritualité, qui justifie la violence, que certains ont effectué un gigantesque attentat terroriste un 11 septembre aussi quelques années jour pour jour avant l’écriture de ce texte qui pourrait sembler être une forme de terrorisme médical s’il n’était exempt de violence.
A ce propos, j’ai trouvé un traitement simple pour calmer la colère des dirigeants américains qui ont fait ensuite tant de dégâts en Afghanistan et en Irak suite à cet attentat. Il suffit de se tenir bien droit et de faire deux tours sur soi même…. (humour).
C’est je pense par un évident manque de spiritualité que l’homme, fils du dieu vivant, accepte aujourd’hui de conserver en bouche des dents mortes sans en mesurer à sa juste valeur les désastreuses conséquences. Et c’est aussi par un évident manque de spiritualité qu’aujourd’hui quasiment personne en France ne défend cette cause et ne s’émeut du fait qu’on la persécute.
Cette recherche scientifique hystérique manifestée par le désir de vouloir modifier nos gènes ou notre cerveau pour soigner les dépressions, ce désir de la cancérologie moderne de vouloir absolument toujours tuer les cellules cancéreuses, ce désir de notre dentisterie moderne de vouloir toujours dévitaliser les dents pour les conserver envers et contre tout, ce désir de notre médecine moderne de vouloir supprimer tous les symptômes des maladies et même d’empêcher leur apparition par tous les vaccins possibles et inimaginables, tout cela ne sont somme toute que des petits démons de notre civilisation moderne. Je pense personnellement que c’est à la source qu’il faut s’intéresser, à la source du mal si je puis dire qui est la déspiritualisation progressive de notre société.
Mais tout ça n’est que mon avis ne l’oubliez pas et ce qui est le plus intéressant est de vous faire votre propre avis par vous-même.
Complément à la médecine des poisons.
Ce lundi 16 octobre alors que je regardais le journal de la santé, j’ai été assez impressionné par une info. Le chiffre d’affaire de l’industrie du médicament a été multiplié par trois depuis 1990 soit en une quinzaine d’années. C’est véritablement sidérant je trouve. Lors de cette émission était présent un grand patron de l’industrie du médicament qui tentait de nous rassurer sur l’innocuité des médicaments en citant les rares exemples qui avaient conduits à des retraits de médicaments à cause de leurs effets secondaires catastrophique : Le distilbène et le Vioxx et peut être un autre je ne sais plus, je n’ai pas regardé toute l’émission. A part, ces quelques exemples, pour lui, tous les autres médicaments étaient vraiment sans dangers et tout était fait d’ailleurs pour rechercher à diminuer les effets secondaires. Les médicaments n’étant fait que pour guérir, les quelques effets secondaires semblaient somme toute négligeables.
Evidemment, pas un mot de la polémique sur le fait que les médicaments synthétiques sont suspectés d’être les plus grands fabricants de maladies graves. Il faut dire que les deux journalistes du journal de la santé, très sympathique il faut l’avouer, sont aussi des représentants de la médecine des poisons et que l’essentiel de ce qu’ils ont appris durant leurs études de médecine fait partie de la médecine des poisons justement. Quand on ne sait rien faire d’autres, on ne va quand même pas scier la branche sur laquelle on est assise. C’est le cas de l’immense majorité des praticiens d’ailleurs. En regardant l’émission il ne faisait aucun doute que l’industrie pharmaceutique moderne était au service du bonheur de l’humanité et pouvait nous garantir une absence de danger de l’utilisation de ses produits, certes en sachant bien qu’elle voulait bien sûr avant tout gagner de l’argent, comme toute industrie qui se respecte, cela va de soit.
Personne ne semblait s’étonner qu’en une quinzaine d’années, le chiffre d’affaire de cette industrie avait été multiplié par trois, ce qui pourtant est proprement sidérant.
En fait, selon le courant naturopathique notamment, la plupart des médicaments synthétiques (donc à peu près tout sauf les plantes médicinales et quelques autres) sont toxiques. Mais cette toxicité est si perverse qu’il est très difficile au public et même aux médecins de s’en rendre compte. Je vais vous raconter un exemple très instructif qui va probablement un peu vous éclairer dans ce sens. C’est le cas du Rohypnol. Je dirais même l’histoire incroyable du Rohypnol. J’ai eu vent de cette histoire ne lisant tout simplement le journal Local Nice Matin du 14 juin 2000.
Le Rohypnol, un somnifère de la famille des Benzodiazépine, possédait des effets secondaires redoutables. Je dis possédait car je crois qu’il a été aujourd’hui retiré du marché mais je n’en suis même pas sûr, il faudrait que je vérifie. Ce qui est sûr, c’est qu’il a fallu une mobilisation de six cents cinquante neuf médecins, psychologues, etc…pour une pétition nationale, pour que la toxicité du Rohypnol soit enfin pris en compte par les autorités sanitaires. C’est ce que dit l’article du journal. Et s’il y a eu une telle mobilisation, c’est aussi parce que les médecins en avaient marre d’être sans cesse sollicités par les toxicomanes qui voulaient toujours renouveler leur ordonnance car ce médicament leur faisait un effet assez sympa, un peu comme une drogue. Mais ici, le comble était que c’était remboursé en plus par la sécurité sociale.
Alors s’il a fallu une telle mobilisation pour le Rohypnol, je vous laisse imaginer la difficulté qu’il y aurait à faire retirer d’autres médicaments dangereux, qui en plus ne causent aucun désagrément au corps médical. A moins que leur toxicité soit si évidente telle le Vioxx qui fabriquait à la pelle des infarctus ou le Distilbène qui fabriquait des enfants mutilés à l’évidence. Mais pour tous les autres médicaments qui sont cancérigènes, diabétogènes etc… sachez que jamais avec notre système actuel, ils ne seront reconnus comme les plus grands pourvoyeurs de maladies graves. Pire même on nous fait croire qu’ils sont sans danger histoire d’éviter que nous ayons l’idée de nous intéresser aux méthodes hygiénistes ou aux médecines naturelles. Quand on voit ce qu’il a fallu mobiliser comme énergie pour retirer le Rohypnol, alors même que le corps médical oeuvrait pour cette reconnaissance de toxicité, je pense qu’on peut un peu mieux prendre conscience de la gigantesque difficulté à identifier le caractère empoisonnant des autres médicaments de la médecine des poisons. Et quand en plus toute une corporation comme les dentistes s’oppose à une information comme la toxicité des dents dévitalisées, on imagine facilement la difficulté qu’il peut y avoir à faire reconnaître une telle toxicité.
Notre société prend décidemment beaucoup le chemin de la médecine des poisons. Voici un autre exemple qui le confirme encore.
Pendant le mois de septembre 2006, a été décerné le prix Nobel de médecine, a un scientifique qui travaille sur l’ARN qui sert à exprimer les gènes du cancer. L’ARN est un sous produit de l’ADN, le constituant de nos chromosomes, qui intervient dans la synthèse protéique c’est-à-dire ici dans le cas qui nous intéresse, la transformation d’une cellule saine en cellule cancéreuse. Les travaux de ce scientifique ont pour objectif d’empêcher l’expression de tels ARN donc d’empêcher le cancer d’apparaître. Cela me rappelle un peu le scientifique qui coupait un bout du cerveau des souris pour leur enlever leur dépression. Les plus grandes autorités scientifiques récompensent donc les démarches visant à détruire les fonctions de la vie, l’œuvre de Dieu diraient les religieux et vont donc tout à fait dans le sens de la médecine des poisons sans chercher à comprendre le sens du cancer. Une médecine dont les industries pharmacologiques ont multiplié par trois leur chiffre d’affaire en une quinzaine d’années, tandis que la quantité de maladies suit une progression a peu près similaire. Et cela est logique et sera ainsi tant que notre civilisation n’entamera pas une réflexion sur le sens empoisonnant de cette médecine qui vise à détruire la vie, dont la fonction ARN n’est qu’une des multiples expressions.
Comme on le voit, tout est fait pour orienter la population vers la médecine des poisons. Le discours des fabricants de médicament, celui des médecins, et même le choix du prix Nobel de Médecine. Et même souvent la justice comme vous pourrez le voir dans mon dernier jugement par la justice (celui du 9 oct. 2006), inclus dans le texte du procès du 19 juin, qui lui aussi encourage la médecine des poisons en condamnant le fait d’enlever des dents dévitalisées donc des poisons pour améliorer la santé. Lorsque l’esprit d’un juge n’est pas imprégné par la spiritualité, il n’y a rien d’étonnant à ce qu’il rende des jugements qui eux aussi vont dans le sens de la destruction de la vie. Comment lui en vouloir quand même les membres du jury du prix Nobel récompensent de telles orientations. Notre monde scientifique me semble bien s’éloigner du sens de la vie depuis quelques années. Dernièrement j’ai appris qu’un grand guide spirituel indien était décédé. C’était le guide d’amis : Brihaspati et Vrinda, qui tiennent un centre qui enseignait l’ayurvéda dans le Sud Ouest, avant que les autorités les obligent à cesser leur activité. Ce sont eux qui m’ont appris cette nouvelle. Je mets ici la lettre que je leur ai répondue car elle traduit ma vision de certains aspects de notre science actuelle et constitue une bonne conclusion à ce texte.
Chers amis Cannes le 5 Novembre 2006
J’ai été très touché d’apprendre la disparition de Sripada Maharaja. J’imagine qu’il doit être heureux là où il est maintenant. Grâce à vous et Martine Levha, j’avais eu la chance de rencontrer plusieurs fois ce grand maitre et même la chance de faire un stage avec lui. Sa sagesse, sa gentillesse, son savoir, sa compassion et bien d’autres qualités rayonnaient de son être. Il avait aussi beaucoup d’ouverture d’esprit et était assez intrigué semble-t-il par mon action pour la prise de conscience du problème des dents dévitalisées, sans toutefois avoir totalement accroché, j’ai l’impression, sur son immense importance selon moi. Une de ses dernières actions, de vouloir réunir la science et la spiritualité lors d’un congrès à Rome auquel participèrent d’ailleurs plusieurs prix Nobel, participe je crois plus que tout à tenter de redonner à notre monde une bonne direction afin de supprimer les souffrances qu’il subit aujourd’hui. Des souffrances qui sont souvent les conséquences d’erreurs d’une science déspiritualisée qui ne veut ou ne peut encore voir les dégâts terribles que cela peut occasionner sur la santé de notre monde.
En effet, sans même parler des armes atomiques terribles que la science a permis de fabriquer, la science prétend faire mieux que le créateur en manipulant les gènes des semences agricole. La science prétend pouvoir assurer notre bien être énergétique en destructurant les atomes et en fabriquant ainsi de la radioactivité susceptible d’empoisonner notre écosystème pour des millions d’années. La science prétend soigner en empoisonnant les mécanismes biologiques comme elle le fait avec l’allopathie bien souvent. La science ou plutôt son petit frère, la technologie fabriquent les ustensiles de cuisine en métal ou des fours à micro-ondes qui nous intoxiquent. C’est aussi la science de l’homme vivant qui prétend pouvoir conserver sans risque, des organes morts dans les organismes (les dents dévitalisées). Autant d’erreurs qui à terme se retournent contre la santé. Et pourtant cette science déspiritualisée ne veut ou ne peut l’entendre car ces informations dérangent des soucis d’apparences propres à une population soucieuse plus de paraître et de pratique, que d’être, signe même d’un manque de spiritualité.
A côté de cette science despiritualisée qui ne fait rien pour identifier ces dangers, il existe quelques spiritualistes qui eux travaillent vraiment pour la santé donc la vie donc Dieu.
C’est ce que vous, Brihaspati et Vrinda faites avec tant de persévérance depuis des années et je vous en rends hommage, en enseignant l’ayurvéda qui est l’alternative de choix à cette médecine des poisons dont l’allopathie est souvent une bonne représentante. Une action pour laquelle l’Etat français par l’intermédiaire de sa justice, vous persécute au lieu de vous rendre hommage. Signe encore une fois de la confusion mentale engendrée par le manque de spiritualité. Mais comment pouvoir identifier toutes ces erreurs sur le long terme quand à court terme elles semblent n’apporter que des bénéfices, comme c’est le cas pour les OGM, l’énergie nucléaire, la médecine allopathique, les casseroles en métal, les fours à micro-ondes et la dent dévitalisée, et même la consommation de chaire animale? Seule une démarche spirituelle pourrait permettre à la population et sa science de changer de direction, de se positionner correctement sur ces sujets essentiels et de se mettre véritablement au service de la vie donc de Dieu. Une démarche spirituelle empreinte d’humilité vis à vis de la création qui nous la ferait respecter, en respectant des règles évidentes, qui incluent la notion que la vie vient de la vie comme est d’ailleurs le titre d’un des ouvrages de Sripada Maharaja. Et donc que la vie telle que le créateur l’a conçu, est à respecter comme toute création avec une grande humilité.
Il n’est donc pas question de chercher par la science, à manipuler la vie (les OGM), à destructurer sa matière (l’énergie nucléaire), à inhiber ses fonctions enzymatiques (l’allopathie), à tuer ses animaux pour les manger (le carnivorisme), à empoisonner nos cellules par des ions métalliques ou des micro-ondes (des casseroles en métal ou fours à micro-ondes) ou à introduire de la mort dans les bouches (les dents dévitalisées). Autant de comportements qui comme vous le savez, mettent gravement en danger la santé sur le long terme, donc la vie.
Mais comment le comprendre sans démarche spirituelle, car le matérialisme se laisse illusionner par les apparences et la vision à court terme. C’est bien pourquoi ce grand sage qu’est Sripada Maharaja avait compris l’importance de spiritualiser la science en commençant par réunir des grands scientifiques (prix Nobel) autour de lui et en les faisant s’interroger sur Dieu et le sens de la vie. C’est ce qu’il fit au congrès de Rome qu’il organisa récemment et qui donna naissance à un ouvrage. Que son action, qui est aussi à mon sens l’action essentielle à effectuer à notre époque, soit couronnée de succès. Que notre science se rende compte des erreurs qui aujourd’hui par manque de spiritualité conduisent notre monde à des souffrances importantes et s’attache avant tout à les identifier. Ainsi les sommes gigantesques dépensées stupidement à explorer l’Univers, à rechercher de nouvelles armes destructives mais aussi de nouveaux médicaments chimiques qui empoisonnent, de nouvelles espèces génétiquement modifiées, de nouvelles armes atomiques notamment contre le cancer, de nouvelles centrales nucléaires, à rembourser des traitements médicaux et dentaires nocifs à long terme, pourraient être mieux utilisées à supprimer la misère et à construire des logements pour les plus démunis et les nourrir aussi à leur faim. Ainsi soit-il.
Mes amitiés.
Dr Bruno Darmon
Fin .
Annexe : article du web
http://www.destinationsante.com/fr_depeche.php?id_rubrique=108&id_article=22670&cat=1
Cancers pédiatriques : gare aux effets secondaires à distance
[24 août 2007 - 08:55]
Si la majorité des cancers pédiatriques sont aujourd’hui curables, les jeunes malades doivent toutefois bénéficier d’un suivi attentif à long terme. Comme vient de le montrer une nouvelle étude néerlandaise, ils sont en effet particulièrement exposés à « de sérieux problèmes de santé » à l’âge adulte.
Surtout ceux « qui ont été traités par radiothérapie » a constaté le Pr Huib Caron, d’Amsterdam. Avec son équipe, il a suivi près de 1 400 patients âgées en moyenne de 25 ans et qui avaient souffert d’un cancer durant l’enfance.
Résultat, trois sur quatre rapportent encore ce que l’auteur considère comme des « effets secondaires ». Lesquels paraissent donc avoir la capacité de survenir à distance. Les plus courants sont les « troubles orthopédiques », mais Caron cite également l’apparition de nouvelles tumeurs (affectant un autre organe), l’obésité, l’infertilité, les troubles cognitifs, psychosociaux, neurologiques ou endocriniens.
D’après son travail, les patients qui ont souffert de cancer des os, de leucémie ou de certains cancers du rein – la tumeur de Wilms - seraient les plus exposés à ce type d’effets secondaires. Autant de bonnes raisons pour les suivre de près. Et sur le long terme, donc.

dentisterie holistique

August 20, 2006 on 1:02 pm | In dentisterie holistique | No Comments

La dentisterie holistique.
La dentisterie holistique est comme son nom l’indique une dentisterie qui essaie d’avoir une vision globale de l’être humain et donc prend en compte les retentissements des soins dentaires sur la santé générale.
Pour beaucoup de confrères, la dentisterie holistique revient à enlever les amalgames au mercure. Pour d’autres c’est comprendre en quoi le psychisme a provoqué telle ou telle pathologie.
Chacun a un peu sa définition de la dentisterie holistique et c’est à vous de juger celle qui vous semble la plus intéressante.
Ma vision de la dentisterie holistique intègre inévitablement le concept d’infection focale donc de toxicité de dents dévitalisées. Mais la dentisterie holistique ce n’est pas que cela bien sûr. La dentisterie holistique c’est aussi d’enlever tout ce qui est amalgames dentaires. La dentisterie holistique c’est aussi de remplacer les dents absentes avec des matériaux non métalliques. La dentisterie holistique c’est aussi d’enlever bien souvent des dents de sagesse trop loin au fond de la bouche qui même si elles ne font pas mal créent des problèmes de santé car elles se situent dans des zones où elles ne devraient pas être à cause de nos bouches devenues trop petites par notre alimentation dégénérée et les dents dévitalisées de nos géniteurs. La dentisterie holistique, lorsqu’on ne veut pas enlever les dents dévitalisées, c’est au moins de ne pas mettre de pâtes d’obturations toxiques dans les racines, avec des anti inflammatoires par exemple. Ni de mettre des visses appelées screw post car il existe un effet de pointe qui est toxique. Ou au moins, il faut aplanir la pointe avant de mettre la visse. La dentisterie holistique c’est aussi traiter les cicatrices en bouches qui créent des blocages énergétiques (en les brûlant tout simplement) et traiter les cavitations des os maxillaires. Parfois il faut rouvrir la gencive et gratter l’os, parfois il suffit d’injecter des produits particuliers pour restructurer l’os et y enlever les mémoires toxiques. J’ai d’ailleurs découvert un produit étonnement efficace à injecter dans les zones d’ostéoses toxiques et les cavitations. Il s’agit d’un produit principalement constitué d’oxyde de silice traité par l’énergie libre et vendu par Plocher en Allemagne. Mais il faut l’injecter au bon endroit, là où l’os est resté toxique sinon ça ne sert à rien. J’ai aussi eu l’idée d’insérer des cristaux de cristal de roche dans les prothèses amovibles pour redonner à la dent prothétique en résine, l’énergie vibratoire cristalline propre aux dents naturelles. J’ai parfois obtenu aussi des résultats très intéressants grâce à cette technique. Ce sont deux petits outils supplémentaires à la dentisterie holistique que j’ai découvert et qui font maintenant partie de ma panoplie de dentisterie énergétique.

Par contre, tout ce qui concerne les rapports entre les dents et le père, la mère voire la grand-mère ne m’intéressent pas trop je dois l’avouer. Tout comme les maladies psychiques qui donnent des maladies dentaires particulières. Ce qui m’intéresse plus est de soigner les dents et qu’ensuite cela guérisse diverses maladies même psychiques, même s’il est certes intéressant aussi de comprendre pourquoi on a eu telle ou telle maladie dentaire car on n’a rien sans raison et l’alimentation n’explique pas tout. Pour certains, la dentisterie holistique consiste surtout à injecter de l’eau de mer (isotonique de quinton, dans les vestibules (joues) ou de l’ozone). La dentisterie holistique peut pour certains nécessiter de posséder des outils de diagnostics qui sortent des outils classiques de la dentisterie conventionnels. Pour enlever les dents dévitalisées et les amalgames, ce n’est pas nécessaire, on peut s’en passer. Pour localiser les cavitations, il existe un appareil vendu aux Etats-Unis qui s’appelle le Cavitat. C’est un appareil d’échographie adapté à la bouche. C’est un outil de plus de la dentisterie holistique, mais j’ai enlevé de nombreuses cavitations sans jamais posséder cet appareil. Certains utilisent des appareils de morathérapie ou équivalent (végatest par exemple). D’autres mesures les courants électriques entre chaque amalgame et la langue. D’autres mesurent le courant électrique entre la gencive et une main. D’autres font des tests de kinésiologie, d’autres utilisent le RAC (un test en prenant le pouls). Bref, il existe bien des façons de faire des diagnostics en dentisterie holistique et ce qui compte est d’arriver à guérir des patients. Et c’est là la principale force de la dentisterie holistique, c’est qu’elle arrive à guérir des patients que la médecine n’arrive pas à guérir. Et la raison en est simple, c’est que la dentisterie holistique nettoie les bouches de perturbations qui causent des maladies à distance. La dentisterie holistique est donc une médecine des causes et en cela elle est plus efficace bien souvent que les médecines qui ne traitent que les symptômes sans s’intéresser aux causes. Il est même certain pour moi que la dentisterie holistique sera une nouvelle branche médicale pleine d’espoir pour la santé de millions de personnes. Les dentistes pratiquant la dentisterie holistique seront des aides indispensables aux médecins. C’est bien ce qu’ont compris le Dr J.G. Thomas à Grasse et ceux de la clinique Paracelsus, en Suisse allemande et qui leur permet d’obtenir des résultats surprenants sur la santé de leurs patients. Si on étudiait vraiment ces deux cas, on s’apercevrait qu’aujourd’hui en France, on aurait plus besoin de dentistes holistiques (qui acceptent de prendre en compte pleinement le concept d’infection focale donc de toxicité des dents dévitalisées) que de médecins pour guérir des millions de personnes atteintes d’affections chroniques. Cela peut paraître incroyable mais vous verrez que c’est vrai si vous avez le temps de vous pencher sur toutes les informations de ce site et de son cousin www.sante-dents.com
En conclusion je vous dirai donc : Intéressez vous à la dentisterie holistique, car à moins que votre dentition soit totalement parfaite et n’ai jamais eu aucun soin, c’est probablement une clef essentielle de votre santé …
Fin

Publications scientifiques

July 9, 2006 on 3:16 pm | In Publications scientifiques | No Comments

Ce texte constitue un aspect scientifique du traitement du sujet de la toxicité des dents dévitalisées, au sens de publication scientifique. Medline est un site internet américain qui met en ligne de multiples résumés de publications scientifiques. Son adresse est http://www.ncbi.nlm.nih.gov . Ce site est référencé par l’INSERM, le grand organisme de recherche médicale française, ce qui prouve son sérieux. Grâce à Medline, les chercheurs du monde entier peuvent accéder facilement à des publications scientifiques. Pour voir ce qui existe sur le sujet des dents dévitalisées, il suffit après avoir accéder à Medline de choisir Pubmed dans le registre en haut à gauche puis dans GO TO de taper root canal and focal infection, ce qui signifie dent dévitalisée et infection focale. Vous trouverez alors quelques publications intéressantes. Mais pour vous faciliter le travail j’en ai sélectionné quelques unes.
Voici donc quelques publications scientifiques intéressantes pour accréditer le fait de faire enlever toutes les dents dévitalisées.
Il n’existe toutefois pas énormément de publications scientifiques sur Medline dont les résumés sont disponibles. Il est souvent inscrit : » no abstract available » ce qui signifie que malheureusement dans ce cas, il est nécessaire de commander la publication scientifique par la voie classique sans pouvoir utiliser internet même pour voir le résumé de la publication. Celles qui ont été trouvées toutefois sur Medline par internet me semblent suffisantes pour accréditer le fait qu’il est cohérent de vouloir faire enlever toutes ses dents dévitalisées et cela même si on n’est pas malade, tout simplement dans un objectif de prévention. Et donc encore plus si on est malade bien sûr.

Les publications scientifiques de Medline sont classées par date dans l’ordre de la plus récente à la plus ancienne. C’est logique car ce qui est le plus récent a toujours le plus de valeur, dans la logique scientifique. Les résumés sont toujours en anglais, c’est ainsi. C’est la langue de la science au niveau international. Alors sortez vos dictionnaires, je n’ai fait qu’un résumé en français, c’est déjà ça.
A l’heure ce texte est écrit, la publication la plus récente est de Novembre 2005. Elle explique qu’une infection de la dent dévitalisée peut être radiologiquement indétectable et qu’elle constitue un mécanisme de défense en vue d’empêcher la diffusion des bactéries au reste de l’organisme. Diffusion qui se réalise d’ailleurs lorsque la santé de l’hôte est moins bonne. Les dents dévitalisées peuvent alors affecter la santé générale avec le temps. On ne peut par l’endodontie que minimiser cela.

Voici le résumé de la publication que vous pourriez vous aussi trouver facilement sur Medline avec votre simple ordinateur:

1: Ned Tijdschr Tandheelkd. 2005 Nov;112(11):416-9. Related Articles, Links


[Local and potential systemic consequences of endodontic root infection]

[Article in Dutch]

Wu MK, Wesselink PR.

Cariologie Endodontologie Pedodontologie van het Academisch Centrum Tandheelkunde Amsterdam. m.wu@acta.nl

In root infections, bacteria are present not only in planktonic cells but also in biofilms, which are more resistant to host defence mechanisms and disinfectans. Apical periodontitis, which may be radiographically undetectable, may develop or persist as a host defence mechanism to prevent the systemic spread of bacteria and their by-products to other sites of the body. The risk of spreading microorganisms and septic emboli is present especially in compromised hosts; furthermore, long-standing inflammation may have systemic effects and affect general health. Effective procedures should be developed to minimize the burden of root infection.


Regardez aussi une publication de Juillet 1998. Elle explique que 26 patients possédant des dents dévitalisées asymptomatiques donc apparemment saines selon les critères de la dentisterie actuelle, ont été analysées avec des techniques modernes d’investigations scientifiques. Il a été retrouvé dans toutes les dents dévitalisées étudiées, des bactéries anaérobies (les plus dangereuses généralement car elles se développent dans l’organisme sans avoir besoin d’oxygène et produisent alors avec le soufre qu’elles consomme à la place de l’oxygène généralement des résidus soufrés très toxiques). Bactéries qui furent d’ailleurs retrouvées dans 31 à 54% des cas dans le sang.

On voit ici que toutes les dents dévitalisées lorsqu’elles sont correctement analysées sont des niches de bactéries toxiques mais que cela ne peut se voir par le dentiste puisque pour lui en général, c’est ce qui est actuellement enseigné en Université, seules les dents dévitalisées qui font mal ou présentent une image d’infection à la radiologie, sont infectées.
Effectivement on pourrait aussi dire que dans 48 à 69 % des cas, dans cette expérience, les bactéries ne se détectent pas dans le sang. Cette observation qu’on pourrait penser optimiste est toutefois à mettre en parallèle avec deux autres informations.
La première sera trouvée sur internet en allant voir les travaux du grand biochimiste Boyd Haley, en tapant boyd haley root canal sur le moteur de recherche google par exemple. Le premier texte est un témoignage qui cite un article du Dr Meinig qui raconte une expérience édifiante. Une dent dévitalisée est broyée et mise en solution dans de l’eau. Par un système de filtration un filtre Bekefeld, on sépare l’eau des bactéries. Cette eau est injectée à un lapin qui tombe malade et meurt en cinq jours, ce qui prouve que même sans bactéries les dents dévitalisées sont très toxiques, à cause des toxines bactériennes justement.

La deuxième information sera aussi trouvée sur internet sur le site de l’éminent docteur Issels, à issels.com
Elle a d’ailleurs été traduite dans le site www.sante-dents.com au chapitre TEXTES, sur le Dr Issels. Elle rapporte une expérience faite sur une dent dévitalisée traitée. On introduit dans la dent de l’iode radioactif et on retrouve cet iode radioactif dans la tyroïde un peu plus tard. Cela prouve que l’iode est sorti de la dent dévitalisée, même sans passer par les canaux dentaires du bout de la racine. L’iode radioactif comme le font les toxines, on peut donc le supposer, traverse la dentine ou l’ivoire du corps de la dent, en passant donc par les canalicules ou tubulis dentinaires.

Ces deux dernières informations montrent par conséquent que toutes les dents dévitalisées peuvent libérer dans le sang des toxines, même lorsqu’on ne retrouve pas de bactéries dans le sang en provenance des dites dents dévitalisées.

Voici le résumé de la publication :


1: Ann Periodontol. 1998 Jul;3(1):281-7.
Related Articles, Links


Anaerobic bacteremia and fungemia in patients undergoing endodontic therapy: an overview.

Debelian GJ, Olsen I, Tronstad L.

Division of Endodontics, Dental Faculty, University of Oslo, Norway. gilbertd@odont.uio.no

Oral focal infection, a concept neglected for several decades, is a subject of controversy. Recent progress in classification and identification of oral microorganisms has renewed interest in focal infection. The aim of this study was to use phenotypic and genetic methods to trace microorganisms released into the bloodstream during and after endodontic treatment back to their presumed source–the root canal. Microbiological samples were taken from the root canals of 26 patients with asymptomatic apical periodontitis of single-rooted teeth. The blood of the patients was drawn during and 10 minutes after endodontic therapy. Microorganisms in blood were collected after anaerobic lysis filtration and cultured anaerobically on blood agar plates. The phenotypic methods used for characterization and tracing of microorganisms in blood and root canals were: biochemical and antimicrobial susceptibility test, SDS-PAGE of whole-cell soluble proteins, and gas chromatography of cellular fatty acids. Phenotypic data were verified by DNA restriction patterns and corresponding ribotypes of the root canal and blood isolates by using a computer-assisted system fro gel analysis. All root canals contained anaerobic bacteria. The frequency of bacteremia varied from 31% to 54%. The microorganisms from the root canal and blood presented identical phenotype and genetic characteristics within the patients examined. These characteristics differed between patients. The present study demonstrated that endodontic treatment can be the cause of anaerobic bacteremia and fungemia. The phenotypic and genetic methods used appeared valuable for tracing microorganisms in the blood back to their origin.


Voici encore une publication suisse aussi assez intéressante de Fev. 75.
Elle parle des résections apicales. C’est une technique dentaire qui consiste à sectionner le bout de la racine de la dent. Le bout de la racine est l’endroit où l’infection de la dent dévitalisée commence généralement, sauf si elle présente un problème de tartre, bien sûr, mais que les dents vivantes peuvent aussi présenter. Certains dentistes disent qu’eux, avec cette technique, ils peuvent éviter d’extraire les dents dévitalisées tout en éliminant le problème focal qui est surtout la conséquence selon eux de l’extrémité de la racine.

Or voici ce que nous dit cette publication scientifique.
Elle dit que dans le cas de maladie focale, la résection apicale (de la dent dévitalisée sous entendue) n’est pas la bonne solution pour se débarrasser du foyer infectieux et que la solution doit être plus radicale. Cela sous entend bien sûr lorsqu’on lit le texte de Issels ou de Meinig, l’extraction de la dent dévitalisée au minimum associée de préférence à l’élimination de l’os qui se trouve autour de la dent et qui est aussi lui même imprégné de toxines et de bactéries.

Voici le résumé de la publication :

1: SSO Schweiz Monatsschr Zahnheilkd. 1975 Feb;85(2):190-204. Related Articles, Links


[Apicoectomy and focal diseases]

[Article in French]

Held AJ.

The so-called focal infections are today considered to be polyetiologic manifestations, in which there is a summation of various aggressions. Bacterial products, toxic or antigenic substances originating from different foci are but one of the elements susceptible of unleashing the disease. This explains why there are so many foci and so few results after their elimination. Scientific evidence shows that the histologic result of an apicectomy is considerably worse than the radiological evidence might lead to believe. Inflammation may persist for years before it disappears. Radiographs are therefore only a coarse criterion for judging results of healing. When facing a disease caused by focal infection, the possible foci should be eliminated quickly and as radically as possible.


Déjà avec juste ces trois publications, on peut justifier que scientifiquement parlant, vous avez le droit de demander à ce que toutes vos dents dévitalisées vous soient enlevées, même celles qui apparemment ne présentent pas d’infection car selon des publications scientifiques elles comportent toutes de dangereuses bactéries qui diffusent leurs toxines dans l’organisme. Et rien d’autre que l’extraction au minimum et mieux, l’élimination de l’os intoxiqué autour, peut supprimer cette intoxication qui ne peut pas être bonne pour la santé. Le dentiste ne peut pas vous refuser votre demande en prétextant qu’il n’y aurait rien de scientifique à faire cela.

Mais il existe d’autres publications intéressantes. Ne nous arrêtons pas en si bon chemin.
En voici une qui explique qu’il existe en ce moment un regain d’intérêt pour la théorie de l’infection focale bien que peu de travaux scientifiques s’y intéressent vraiment. En France, à part quelques rares dentistes et médecins, personne ne s’y interesse d’ailleurs . A en croire même les différentes condamnations du Conseil de l’Ordre français à l’encontre du Dr Bruno Darmon, on pourrait presque penser que c’était une théorie qui ne reposait sur aucune base scientifique voire presque une théorie propre au Dr Darmon et à quelques illuminés dans son genre.
Qu’il n’y ait que peu de publications scientifiques sur le sujet se comprend car aucun laboratoire n’a un quelconque intérêt là dedans. Il n’y a rien à gagner en terme financier et donc aucun budget privé n’est investi dans de telles recherches. L’article conclue d’ailleurs en disant que des recherches supplémentaires seraient nécessaires. Et il a raison mais qui voudra les financer. Les dentistes ne s’y intéressent pas vraiment car ça risquerait d’amener une trop grande culpabilité et les laboratoires n’ont rien à gagner. Des recherches très approfondies avaient été réalisées à la clinique Mayo aux Etats-Unis jadis par d’éminents médecins, dentistes et biologistes, sur les dents dévitalisées et les maladies guéries en les extrayant, mais seule une petite quantité de dentistes et de médecins américains s’y sont intéressés. Et en plus certains font courir le bruit qu’ils auraient édenté des millions de personnes pour rien soi disant. Il faut dire que les patients sont tellement contents qu’on leur sauve leurs dents grâce à la dévitalisation dentaire que personne ne veut voir toutes les maladies que ça occasionne ensuite. Et oui c’est la politique à court terme, mais ensuite lorsque des maladies graves arrivent, non seulement il reste les dents dévitalisées, mais aussi les yeux pour pleurer car tout n’est pas toujours réversible en enlevant les dents dévitalisées. C’est comme le fumeur qui s’arrête de fumer le jour où il sait qu’il a un cancer des poumons. Parfois ça ne suffit pas…

Voici en tout cas la publication dont nous venons de parler :


1: Int Endod J. 2000 Jan;33(1):1-18.
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Root canal treatment and general health: a review of the literature.

Murray CA, Saunders WP.

University of Glasgow Dental School, Glasgow, UK.

REVIEW: The focal infection theory was prominent in the medical literature during the early 1900s and curtailed the progress of endodontics. This theory proposed that microorganisms, or their toxins, arising from a focus of circumscribed infection within a tissue could disseminate systemically, resulting in the initiation or exacerbation of systemic illness or the damage of a distant tissue site. For example, during the focal infection era rheumatoid arthritis (RA) was identified as having a close relationship with dental health. The theory was eventually discredited because there was only anecdotal evidence to support its claims and few scientifically controlled studies. There has been a renewed interest in the influence that foci of infection within the oral tissues may have on general health. Some current research suggests a possible relationship between dental health and cardiovascular disease and published case reports have cited dental sources as causes for several systemic illnesses. Improved laboratory procedures employing sophisticated molecular biological techniques and enhanced culturing techniques have allowed researchers to confirm that bacteria recovered from the peripheral blood during root canal treatment originated in the root canal. It has been suggested that the bacteraemia, or the associated bacterial endotoxins, subsequent to root canal treatment, may cause potential systemic complications. Further research is required, however, using current sampling and laboratory methods from scientifically controlled population groups to determine if a significant relationship between general health and periradicular infection exists.


En voici une autre qui parle d’un problème rhumatologique qui durait depuis 16 ans et qui a disparu après l’extraction de dents bien dévitalisées qui apparemment (selon les critères de la dentisterie moderne) étaient saines.
Voici la publication
1: Clin Exp Rheumatol. 2002 Jul-Aug;20(4):555-7.

16-year remission of rheumatoid arthritis after unusually vigorous treatment of closed dental foci.

Breebaart AC, Bijlsma JW, van Eden W.

Department of Ophthalmology, University of Amsterdam, The Netherlands. acb@euronet.nl

This report describes a remission of rheumatoid arthritis (RA) of 16 years duration, apparently caused by the extraction of endodontically well-treated, healthy looking teeth. The only clue that the teeth were contributing to the disease pathogenesis in this case of RA was that the patient was able to reproducibly induce severe attacks of arthritis after prolonged, heavy pressure on some of his teeth treated with root canal fillings. After extraction, a small pus layer was found to cover the apices of the clinically healthy looking teeth. The rheumatoid factor (RF) became negative and the patient remained symptom free for the next 16 years. The possible connections between micro-organisms in closed dental foci under constant pressure and the chronicity and exacerbations of RA are discussed.


En voici une autre qui parle de dents dévitalisées qui peuvent être infectées sans que cela se voit à la radiologie dentaire. Or selon le dentiste, le seul critère qui existe pour voir si une dent dévitalisée qui ne fait pas mal, est infectée est la radiologie dentaire. Or cette publication dit que la radiologie est insuffisante, que la dent essaie d’empêcher la diffusion des bactéries mais que si elle n’y arrive pas cela aura des retentissements sur la santé générale. Cliniquement parlant, la dentisterie moderne ne dispose donc d’aucun élément de diagnostic fiable pour pouvoir affirmer qu’une dent dévitalisée n’est pas une source d’infection.

Voici le résumé sur Medline de la publication dont on vient de parler/ [Local and potential systemic consequences of endodontic root infection]

[Article in Dutch]

Wu MK, Wesselink PR.

Cariologie Endodontologie Pedodontologie van het Academisch Centrum Tandheelkunde Amsterdam. m.wu@acta.nl

In root infections, bacteria are present not only in planktonic cells but also in biofilms, which are more resistant to host defence mechanisms and disinfectans. Apical periodontitis, which may be radiographically undetectable, may develop or persist as a host defence mechanism to prevent the systemic spread of bacteria and their by-products to other sites of the body. The risk of spreading microorganisms and septic emboli is present especially in compromised hosts; furthermore, long-standing inflammation may have systemic effects and affect general health. Effective procedures should be developed to minimize the burden of root infection.


Ces publications sont donc assez intéressantes. Mais si le poids des mots est intéressant, il est probable que seul le choc des images vous fera véritablement prendre conscience de toute la dimension de ce grave problème de conservation en bouche de dents dévitalisées. Car pour cela aucun mot ne serait assez puissant. Et nous avons ici la chance de disposer d’une centaine de témoignages vidéos percutants pour mieux nous faire prendre la mesure de ce problème. Les témoignages vidéos présents sur ce site ont donc une valeur inestimable surtout quand on regarde l’argent qui est englouti dans la recherche médicale pour rémunérer des centaines de chercheurs dont les découvertes n’arrivent pourtant pas à enrayer l’augmentation inéluctable des cancers et des maladies graves. Eh bien que croyez vous qui fut fait à celui qui nous apporta en France ces témoignages vidéos de valeur inestimable pour faire prendre conscience de l’immense importance de ce sujet dont dépend la santé de millions de personnes. Il fut interdit d’exercer à vie par ses confrères dentistes de l’Ordre pour soi disant protéger la population.

Ces publications en tout cas feront de vous quelqu’un à qui il sera ensuite difficile de faire croire que les personnes qui prônent l’extraction de toute dent dévitalisée, sont des personnes qui sont en désaccord avec les données acquises de la science.

rajout du 28/12/2006
Voici maintenant un texte récupéré sur internet qui provient du laboratoire pharmaceutique américain Phend. Un laboratoire de produits naturels qui prétend apporter des solutions naturelles pour les graves problèmes de santé. Un laboratoire qui informe parallèlement du problème de l’infection focale dentaire qui inclus les problème des dents dévitalisées. Ce qui est intéressant dans cet article est qu’il récapitule un ensemble extrêmement important de publications qui font le lien entre des infections dentaires et des pathologies d’ordre général.

Selon l’article que je ne traduirais pas ici, les infections dentaires ont des causes diverses qui comprennent notamment : les cavitations (nico), les infections parodontales (periodontal infections) et les dents mortes (dead teeth). Il en existe encore d’autres mais ce n’est pas le sujet ici. Il est de plus précisé que les dents mortes, qu’elles soient traitées ou non, restent infectées, étant donné qu’il est impossible de les stériliser. En français on dit habituellement dent nécrosée lorsque la dent morte n’est pas encore traitée par un dentiste mais est morte par un choc ou la carie la plupart du temps, et dent dévitalisée lorsque la dent morte est traitée par un dentiste. Le terme dead teeth englobe donc les deux concepts c’est à dire dent nécrosée et dent dévitalisée. L’article dit donc qu’il est impossible de stériliser une dent dévitalisée qui constitue par conséquent un foyer infectieux.

Comme on le voit il existe de très nombreuses publications scientifiques qui font le lien, par conséquent entre dents dévitalisées et toutes sortes de maladies. Le grand problème aujourd’hui est que la médecine n’en tient pas compte la plupart du temps et surtout s’il s’agit de dents dévitalisées qui apparemment ne possèdent aucun critère d’infection académique c’est-à-dire notamment douleur ou image radiologique d’infection. Des critères qui selon divers scientifiques, dont par exemple le professeur Boyd Haley (voir vidéo sur le site www.sante-dents.com) , ne permettent nullement de garantir l’absence d’infection. La logique du principe de précaution demanderait donc d’éliminer toutes les dents dévitalisées, au moins dans les pathologies graves. Et cela d’autant plus que cette élimination se révèle dans la pratique extrêmement importante car ce n’est pas donc une petite mesure de plus dans la panoplie thérapeutique. Un cancérologue allemand qui veillait à faire cela soignait 37% de plus de cancers que ses collègues. Imaginez un chercheur qui découvrirait un médicament qui peut soigner 37% de plus de cancer. Il obtiendrait sûrement le prix Nobel de médecine. Eh bien ici, quasiment aucun médecin, notamment en France, ne s’intéresse à cette information qui a pourtant de nombreuses références scientifiques. Les raisons de cela sont des raisons qui ne mettent à l’évidence pas en priorité la santé. Ce serait plutôt soit l’ignorance pure, soit pour maintenir une harmonie morbide au sein du corps médico-dentaire. Une harmonie soutenue par le désir d’apparence d’une clientèle de patients, qui est souvent effrayée à l’idée de faire arracher des dents et de porter ensuite un dentier. Voici la raison principale de la terrible ignorance qui sévit sur ce sujet de la toxicité des dents dévitalisées. Une raison que la vidéo présente sur ce site, du témoignage d’un médecin cardiologue, permet je pense en partie de comprendre.

Voici maintenant le texte anglais récupéré sur internet. Il n’a rien d’essentiel pour le lecteur lambda, c’est pourquoi je ne me suis pas fatigué à le traduire, bien qu’il soit toutefois intéressant. Il peut être par contre très intéressant pour le chercheur à la recherche de références scientifiques sur le sujet. Mais comme tous les scientifiques lisent l’anglais, il était donc inutile de le traduire.

THE DANGERS OF FOCAL TEETH INFECTIONS

INTRODUCTION
In recent years there has been a reawakening of the dangers of oral infections and their potential disastrous effects on systemic health. Dead and infected teeth are often treated ‘conservatively’ in modern dentistry by performing a treatment called Root Canal Therapy. As dentists we are indoctrinated that it is better to save a tooth at any cost - although the real costs to individual health and the society at large are usually totally overlooked by the teaching institutions. This may at first seem surprising considering that dentistry is touted as a health providing profession. On the other hand, if the dental profession were to accept the reality of Focal Infection (and the potential sources of this oral infection), we would have to reassess some of the fundamental treatment concepts being taught and practiced in dentistry. Root Canal Therapy must surely be one of the prime candidates for this reassessment.
With the resurgence of an interest in this area, there is also a blatant resistance by the dental profession of the reality of Focal Infection Theory. Both the Australian Dental Association and the universities have stated that Focal Infection is a concept dating back 150 years and one, which has been disproven by recent research. This supposed research has never been cited by either the Australian Dental Association or the universities.
This attitude flies in the face of published scientific research some of which is even published in the dental journals. In 1996 the Journal of Periodontology devoted a whole issue to this subject relating periodontal disease to a variety of systemic diseases which included coronary heart disease, diabetes and low birth weight babies.
Quintessence International is one of the most highly respected dental journals in the world. They state in 1997:
“The detrimental effect of focal infection on general health has been known for decades. Chronic dental infections may worsen the condition of medically compromised patients.” (335)
As is common in these sorts of debates the dental authorities will mention research which is 100 years old - in this case the work of people like Billings, Rosenow and Price - and claim that because it is old research it is no longer relevant. They completely ignore the research which is more current. Interestingly all of the research conducted by Dr Weston Price in the 1920’s is fully supported by the recent literature.
It is well accepted in the profession that any form of oral surgery will produce a bacteremia and that this may cause infections in susceptible tissues, especially the heart. What is less accepted is that other sources of sepsis exist in the mouth. These include:
* periodontal infections
* NICO lesions
* dead teeth
Dead teeth are impossible to sterilise and remain infected whether treated with Root Canal Therapy or not. Aside from the actual infective organisms and their by-products a dead tooth also is a source of necrotic tissue breakdown products.
The substances that are spread from such a focus of course include the bacterial, viral and fungal organisms that survive in such foci. It will also include the endotoxins produced by anaerobic organisms in the foci. (354-361) Current research indicates that other toxins produced by anaerobic organisms are also released into the body - these include hydrogen sulphide products and methyl mercaptans, both of which are highly poisonous products. (362-385)
What this means of course is that a dental focus of infection may not only infect other tissues but also poison the body with a variety of toxins. Professor Boyd Haley from Kentucky University has recently demonstrated the presence of these toxins and has developed techniques to test for them. (You can visit Prof Haley’s site at http://www.altcorp.com/oralartc.htm/)
Distribution of organisms and their toxins throughout the body is by various routes: (341-353)
• blood circulation through out the body
• lymphatic distribution locally and then to blood stream
• retrograde axonal transport - transport along nerve fibres and back to the brain.
In 1951 the problem of focal infection was discussed at length in the Journal of the American Dental Association. -Mechanism of Focal Infection J Am Dent Assoc Vol 42 June 1951
DEFINITIONS
“A Focus of infection has been defined as a circumscribed area infected with micro-organisms which may or may not give rise to clinical manifestations.
A Focal Infection has been defined as sepsis arising from a focus of infection that initiates a secondary infection in a nearby or distant tissue or organs.”
The article states clearly that “The concept of focal infection in relation to systemic disease is firmly established” and that “The origin of many toxic or metastatic diseases may be traced to primary local or focal areas of infection”.
This article also states that there are two major mechanisms of focal infection:
a) an actual metastasis of organisms from a focus
b) the spread of toxins or toxic products from a remote focus to other tissues by the blood stream.
Once the infection passes the abscess area about the tooth:
a) they may multiply in the blood setting up an acute or chronic septicaemia.
b) they may be carried live to a suitable nidus where they infect the surrounding tissue.
c) they may produce a slow but progressive atrophy with replacement fibrosis in various organs of the body.
The authors continue to show a relationship to allergic / immune reactions:
The bacteria at the focus may undergo autolysis or dissolution. Some of the products of this dissolution, diffusing into the blood or lymph , may sensitise in an allergic sense, various tissues of the body.”
“A later diffusion of these products on reaching the sensitised tissue may call forth an allergic reaction.”
Considering that the above article was published in 1951, it may be claimed in the late 90’s that this too is old research. For this reason the first section of references associated with the this article are taken mainly from the last 40 years of Medline data bases after combining the search requests ‘focal infection’ and ‘dentistry’.
Henig and Eliezer state in their paper “Brain Abscess following Dental Infection”:
“The elimination of infection from human tissue is a necessary goal based on fundamental biological principles. It is even more essential in an environment in which the natural defence mechanisms of the body are unable to function. Such an environment is the root canal of a tooth.” This statement is published in the Journal of Oral Surgery in 1978. Although the authors believed at the time that it is possible to sterilise a tooth (since disproven) their statement underlies the basic principles of Focal Infection Theory.
What is most interesting from this search is the number of reviews of the literature which have been done in this time. Some of the latest being in 1997.
Published case reports include the following disease states as being directly related to Oral infections:
• Mediastinitis
• Maxillary sinusitis
• Cavernous Sinus thrombosis
• Pharyngeal Cellulitis
• Cardiac Problems
• Necrotising Fascititis
• Necrotising Mediastinitis
• Superior Orbital Fissure Syndrome
• Proptosis
• Opthalmoplegia
• Light Reflex Interference
• Blindness
• Endopthalmitis
• Lung Abscess
• Aspiration Pneumonia
• Brain Abscess
• Meningitis
• Acute Hemiplagia
• Psychotic episodes
• Metastatic Paraspinal Abscess
• Gasarion Ganglion
• Trigeminal Neuralgia
• Endocarditis
• Septicemia
• Myocardial Infection
• Deuodenal Ulcers
• Splenic Abscess
• Leg abscess
• Blood disorders
• Immune reactions
• Inflammatory Bowel Disease
• Low birth weight
• Infertility
• Deaths
• Toxic Shock
• Arthritis
• Rheumatic changes
• Infection of artificial joint prosthesis
• Kidney Damage
• Brain Tumors
• Trigeminal Neuralgia
• Atypical Facial Pain
In other words all areas of the body may be effected by the presence of infected foci in the mouth. It has been relatively easy for the medical profession to distinguish particular micro-organisms in an infection and relate them to the oral flora. It is only recently that we have tests, which can demonstrate low molecular weight toxins, which are produced by these organisms.
Interestingly Dr Weston Price in the 1920’s was able to demonstrate the effects of the toxins although he was not then able to identify or isolate them - his research, I believe, is as relevant today as it was when he wrote it.
It is not my intention to do a formal literature review of focal infections, but merely to present you with a list of references, which of themselves validate the reality of focal infection from dental origins. It is my hope that the dental profession will acknowledge this reality and reassess certain treatment concepts, which currently disregard the published literature. All references are available in Medline.
This article was written by Robert Gammal BDS. FACNEM(Dent).
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2565 patients with infections of odontogenic origin are reported. In only 34,8% of the cases the correct diagnosis was established. Purulent inflammations of the submaxillar area mostly occurred (49,9%) followed by the pharyngeal area (19,9%). Early signs of the spreading of the inflammation must be the indication to send the patient to the hospital to avoid complications.
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In this article some of the theoretical possibilities arising as a result of focal infection are discussed. Rheumatic fever is discussed as an example of a disease in which a number of possible mechanisms may act to produce tissue damage at a target area. The mechanisms examined are direct dissemination of organisms from the focus to the target area, the induction of L-phase bacteria, and toxic damage to target tissue. Host-mediated tissue damage by hypersensitivity or auto-immune mechanisms is considered as well.
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Catamnestic surveys of 371 children who suffered from abscesses during the past ten years (1965 to 1974) showed that type and location of the abscesses and their incidence in the various age groups are typical and differ from those of abscesses in adults. These results are discussed and compared with the data found in the literature.
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A case of pulmonary nocardiosis associated with primary nocardial infection of the oral cavity in a compromised host is presented. Nocardia asteroides, an aerobic, gram-positive, branching, filamentous fungus, was demonstrated in the sputum and in pathologic specimens from gingival sulci stained by Gram’s method and the acid- fast method Kinyoun. The organism was identified in cultures made on Sabouraud’s glucose agar. Marked clinical improvement was noted when the patient received high dosage of sulfisoxazole diolamine (8 to 12 Gm. per day) for a prolonged period of time (9 to 12 months). Because of an apparent relative increase in the incidence of nocardiosis and a paucity of information on the subject in the dental literature, this article is timely.
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The aetiology, diagnosis and treatment of peripheral facial nerve palsy are discussed. Four cases of facial nerve palsy following dental procedures are reported. Following a revision of the world literature during the last 23 years, the 25 cases of facial nerve palsy documented are analysed and divided into four groups on the basis of aetiology, speed of onset and recovery and modes of treatment suggested.
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A 48-year-old woman underwent root canal treatment of the upper left lateral incisor and lower right second premolar. Close to the conclusion of the endodontic treatment she complained about headaches. Later on, because of aggravation of her condition, with headaches, fever, malaise, Weakness, and numbness of the right limbs, she was admitted to the hospital. The disease progressed to an epileptic state, with appearance of a right hemiparesis. A brain scan and carotid arteriogram revealed the presence of a mass occupying the left parietal space. Craniotomy disclosed an abscess containing yellow pus from which Streptococcus viridans was cultured. After thorough surgical cleansing of the area, removal of the bone for decompression, and treatment with ampicillin the patient improved gradually and slowly regained the mobility of her right side.
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The bacterial species found in pus aspirated from brain abscesses in two patients were typical of those found in dental sepsis. Subsequently apical-root abscesses were demonstrated in the upper jaws of both patients. This evidence strongly suggests that these cerebral abscesses were secondary to dental sepsis which could have spread from the teeth to the frontal lobes by several possible antaomical pathways.
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Described is a case of a cavernous sinus involvement due to minor dental infection. The early dental diagnosis and treatment reversed the course of cavernous sinus thrombosis.
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The data supplied by analysis of more than 1 000 patients pointed to the wide range of the causal factors, the role of focal infections of the upper respiratory and digestive tracts and the mechanisms that interfere in the determinism of the bronchopulmonary suppurative syndrome, the septic particles migrating as a rule along the bronchogenic route.
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A short survey of the relevant literature is followed by the description of the clinical course of a thrombophlebitis of the cavernous sinus. In this case, the initial focus was an infection of a canine which caused thrombophlebitis via the anterior facial vein. The healing must be attributed to the immediate application of broad spectrum antibiotics and removal of the primary focus.
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There is a high morbidity and mortality associated with brain abscesses in children with congenital cyanotic heart disease. A case is reported here which implicated an endodontically treated primary molar in the etiology of a brain abscess in a boy with congenital cyanotic heart disease.
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A 46-year-old man developed symptoms of a chronic progressive uveitis in his right eye aproximately one week after a dental procedure. The patient’s intraocular inflammation was not diminished by massive treatment with topical and systemic corticosteroid therapy or intravenously administered adrenocorticotropic hormone. The inflammatory process progressed to an overt endophthalmitis during a period of three weeks and the eye eventually required evisceration. A pure culture of Peptostreptococcus intermedius was isolated from the eye. The most likely source of this organism was hematologic transport following a dental procedure.
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Orbital cellulitis usually begins as an infection of the paranasal sinuses. While a small percentage of cases are of dental origin, these usually involve the maxillary teeth. In the case reported here orbital cellulitis originated from an infection in the mandible and spread through the pananasal sinuses, deep facial circulation, and orbital tissues, resulting in unilateral blindness. Principles of management and possible pathways for the spread of the infection are discussed.
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We recovered capnocytophaga, a gram-negative anaerobe implicated in the pathogenesis of periodontal disease, from two patients with a history of dental infections. Neutrophils from both patients failed to acquire the asymmetric shape characteristic of normal neutrophils. Fluorescein staining of the patients’ living neutrophils remained diffuse and patchy instead of showing the normal pattern in which the fluorescence is swept into the rear of the cell. The locomotion of one patient’s neutrophils in vitro was less than 50 per cent of that of normal neutrophils, and migration of this patient’s neutrophils into dermal abrasions was reduced, although phagocytosis and nitroblue tetrazolium reduction were normal. All abnormalities of neutrophil morphology and function disappeared after eradication of the capnocytophaga infections. Sonicates and culture medium of capnocytophaga contained a dialyzable substance that caused normal neutrophils to behave like neutrophils obtained from the infected patients.
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Three patients with parapharyngeal cellulitis arising from dental infection were seen by the Medical Service over a period of ten months. Respiratory distress and/or pharyngeal discomfort prompted all patients to seek medical aid. The extent of infection within the parapharyngeal space, the potential for life-threatening complications, and the significance of the dental lesions were not appreciated initially in all cases. Despite early antibiotic therapy, one patient died and one incurred severe neurologic sequelae. Early recognition, use of antibiotics effective against anaerobic bacteria, and prompt surgical drainage are mandatory to prevent considerable morbidity and mortality. Control of the airway is the most important therapeutic maneuver leading to a favorable outcome.
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A patient with alcoholic cirrhosis had multiple episodes of sepsis with Klebsiella pneumonia. Repeated searches for the source of infection finally revealed the organism in the root of a tooth. Evidence indicated that this site was the primary source of infection. The importance of dental infections in alcoholics and the difficulty in diagnosing those infections are emphasized by this case.
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Fever
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Three patients with fever and malaise, one of whom also had joint pains, were extensively investigated before their condition was attributed to dental sepsis. Each patient recovered fully after appropriate dental treatment. Dental sepsis should be added to the list of possible causes of pyrexia of ndetermined origin, and a routine dental examination should be carried out in each case.
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Three patients with prolonged unexplained fevers were ultimately found to have deep-seated dental infection. After initial examination failed to elicit symptoms or signs of dental infection, and extensive in-hospital evaluation was nonproductive, dental consultation with roentgenograms provided the diagnosis. All three patients underwent dental extractions with periapical or peridontal debridement; following a brief postoperative febrile period, all three responded with defervescence, without subsequent recurrence of fever. These cases emphasize the importance of periapical and peridontal infection as causes of fever of obscure origin. The pathogenesis, characteristics and bacteriology of periapical abscess are discussed.
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The pertinent features of life-threatening complications of dental infections have been briefly reviewed with particular emphasis on the alterations of the clinical features of these conditions induced by antibiotic therapy. The clinician who deals with dental infection must exercise a high index of suspicion to consistently abort the development of these complications, especially when treating debilitated patients or individuals with compromised immune functions.
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Three cases are reported in which there was a worrisome association between dental work and an infected total hip replacement. The patients had long asymptomatic intervals subsequent to Implantation of prosthetic hip joints. After dental procedures, infections became apparent in these hips. Such infections carry an enormous and crippling morbidity. The potential complications of transient bacteremia in the patient with a cardiac valvular prosthesis are appreciated and the importance of prophylactic antibodies for dental work in such patients is well known. Although we emphasize that there is no proof that the infections in our patients were metastatic from the mouth, the sequence of events is suggestive. We recommend prophylactic antibiotics for dental work in the Patient with a total hip replacement.
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Necrotizing fasciitis is a relatively uncommon severe soft tissue infection that is characterized by rapid widespread superficial fascial necrosis with undermining of surrounding soft tissue. Recent advances in anaerobic culture techniques have allowed identification of anaerobic organisms, which are now considered to have a vital role in the pathogenesis of this soft tissue infection. Therapy requires both rapid institution of a high level of antibiotics and a radical surgical incision and drainage procedure. All of the aerobic and anaerobic organisms isolated in the reported case of necrotizing fasciitis arising from a periapically infected mandibular third molar demonstrated in vitro sensitivity to penicillin.
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Two patients with splenic abscess were successfully treated. In one patient, Streptococcus viridans, possibly arising in a dental abscess, led to inflammatory left upper quadrant signs. An exploratory laparotomy was performed, and the spleen, being found enlarged, was removed. The other patient showed no peritoneal signs. Laparotomy was done for pyrexia of unknown origin, and the removal of a normal-sized spleen was elected on the suspicion of lymphosarcoma. The spleen was abscessed, apparently because of old infarcts. A high index of suspicion is important in diagnosis, and selective angiography, not used in these two patients, is recommended.
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L’avis de l’Université.

July 9, 2006 on 3:05 pm | In L'avis de l'Université | No Comments

Rencontre avec le doyen de la faculté de chirurgie dentaire de Nice.


J’ai tenté de multiples fois d’interpeller l’université de Nice sur ce sujet épineux de la toxicité des dents dévitalisées mais le sujet ne les intéresse visiblement pas, on pourrait même dire qu’il ne veulent pas en entendre parler. Voilà toutefois ce que le hasard m’a permis d’obtenir .

La dernière fois que je me suis rendu à Nice, ce qui est pourtant assez rare maintenant, j’ai rencontré par hasard l’actuel doyen de la faculté d’odontologie de Nice.

Je l’avais contacté jadis par téléphone et lui avais envoyé un dossier en désespoir de cause car c’est tout ce qu’il m’avait laissé comme possibilité au téléphone. Il m’avait dit texto : si c’est pour entendre la même chose que ce que disait Koubi, je ne veux même pas en entendre parler ». Bref il ne voulait même pas me recevoir, c’était clair. Pourtant je le connaissais un peu. Lorsque j’étais étudiant et qu’il n’était pas encore doyen, nous avions eu de bons rapports d’enseignant à élève. C’est un Monsieur fort sympathique. Mais malgré qu’il se rappelait de moi, il ne voulait nullement me recevoir. Il m’autorisa toutefois à lui envoyer un dossier. Il ne répondit toutefois jamais à mon courrier et quand je lui retéléphonais pour avoir son avis, il me dit juste qu’il n’avait pas réussi à ouvrir mon DVD sur son ordinateur. Je lui expliquais alors de le lire sur un lecteur DVD tout simplement. Depuis, je n’eus plus jamais de ses nouvelles.

Mais alors que ce matin du 8 Juillet 2006 je me promenais sur le Cours Saleya à Nice, et que je le vis en train de faire son marché, je ne pus résister à l’envie de le saluer après notre entretien téléphonique trois années auparavant. C’est ce que je fis d’ailleurs, tout en ajoutant la suite bien sûr c’est-à-dire en lui demandant l’avis de l’Université sur les dents dévitalisées et en le titillant un peu en lui disant que l’Université ne me semblait pas vraiment se positionner sur le sujet. Et sa réponse fut fort intéressante c’est pourquoi j’ai voulu la rapporter sur le site.

Tout d’abord il me dit que contrairement à ce que je disais, l’Université se positionnait sur le sujet en suivant d’ailleurs l’avis de l’OMS (l’Organisation mondiale de la santé) et que des études scientifiques avaient montré que les dents dévitalisées ne provoquaient aucune maladie.

Voici ce que je pense de ce qu’il m’avait dit ici. Comment peut-on prouver que quelque chose, comme les dents dévitalisées, ne donne aucune maladie. C’est très difficile, voire impossible à réaliser. La seule chose qu’on pourrait raisonnablement effectuer par une méthodologie scientifique, ce serait éventuellement de prouver que quelque chose comme les dents dévitalisées est toxique et sinon de pouvoir douter de leur toxicité si rien ne peut être prouvé. Là à la limite on est cohérent. Mais affirmer pouvoir prouver que les dents dévitalisées ne donnent aucune maladie compte tenu de la complexité du sujet est carrément surréaliste. Les maladies peuvent se déclarer des années après la mise en place de la dent dévitalisée et ne pas disparaître après avoir éliminé la dent dévitalisée, même si la dent dévitalisée en est la principale cause. Il faut vraiment être spécialiste du sujet dans le domaine de l’énergétique dentaire (une science encore très ésotérique et non enseigné à l’Université) pour le savoir sans jamais pouvoir en être sûr toutefois. C’est dire la complexité du sujet. Il n’empêche qu’il n’a pas hésité à m’affirmer qu’on avait prouvé scientifiquement que les dents dévitalisées ne donnaient aucune maladie. Bref, je trouvais que c’était vraiment du n’importe quoi. Il eut été difficile d’être plus de mauvaise foi. Mais bon, je ne tenais pas trop à le vexer et j’énonçais une autre affirmation histoire de continuer à voir comment il réagirait. Je lui dis que pourtant existaient des études très sérieuses qui montraient des guérisons en enlevant des dents dévitalisées pourtant saines.

Il me reprit tout de suite en me rétorquant qu’une dent dévitalisée ne peut être saine, histoire de bien pointer du doigt mon ignorance. Il accrédita d’ailleurs une autre étude scientifique que je lui citais, disant qu’on avait effectué des prélèvements sur de multiples dents dévitalisées asymptomatiques et qu’on y retrouvait toujours des bactéries anaerobies (très toxiques) à l’intérieur. Il trouva ce résultat de recherche tout à fait évident mais cela ne signifiait pas pour autant selon lui que les dents dévitalisées pouvaient provoquer des maladies bien qu’il affirmait qu’une dent dévitalisée ne pouvait être saine.

En suivant son raisonnement une dent dévitalisée est malsaine (puisqu’elle ne peut être saine) mais ne peut provoquer aucune maladie. On peut bien sûr imaginer qu’il sous entendait que c’est peut-être malsain mais pas suffisamment pour donner une maladie et que le rapport bénéfice/malsain était toutefois positif. Ma foi ça se défend tout à fait je suis d’accord. Beaucoup de personnes préfèreraient garder leurs dents dévitalisées même si on leur expliquait à quel point ça abime leur santé. Il n’y a qu’a voir le nombre de personnes qui continuent à fumer malgré les campagnes d’information sur les méfaits du tabac. Mais l’autre point de vue se défend aussi. Donc tout le monde a raison et pourquoi ne pas tolérer qu’alors chacun a le droit de faire ce qu’il veut.

Mais peut-être, le doyen pensait-il que c’est malsain comme les excréments par exemple mais que cela ne peut donner aucune maladie, comme les excréments. Ma foi pourquoi pas, mais enfin, la petite différence est que les excréments sont dans le tube digestif fait pour ça et que les bactéries toxiques dans les dents dévitalisées sont en contact avec le sang et juste sous le cerveau. Mais on peut aussi imaginer qu’il sous entendait que l’intérieur de la dent dévitalisée est certes malsain mais que ça reste à l’intérieur. Ne voulant pas le vexer je ne faisais pas références aux études montrant que de l’iode radioactif traverse les dents dévitalisées, obturées pourtant des deux cotés, tout comme peuvent le faire les toxines bactériennes. Mais alors il m’aurait sûrement répondu “qu’il y a tant de choses toxiques qu’on ne pourrait alors rien faire”. Je connais bien ce genre de réponse qui permettent d’éviter la véritable investigation scientifique. Il me fallait donc que je me contente de sa réponse. Mais on peut la comprendre car je reconnais que compte tenu de la formation actuelle universitaire qui ne possède aucune approche énergétique comme l’acupuncture par exemple, il peut être difficile à comprendre qu’une dent qui ne donne pas de problèmes locaux puisse donner des problèmes à distance. La médecine occidentale a d’ailleurs mis un certain temps à reconnaitre le lien entre le psychisme et les maladies somatiques par exemple et pourquoi serait-ce différent pour les maladies odontosomatiques. Cela risque même d’être bien plus difficile à faire reconnaitre car toute une profession s’y oppose et le public a du mal à croire qu’une dent qui ne fait pas souffrir, qui lui sert à sourire et manger puisse en fait être son plus grand poison. C’est vraiment diabolique ne trouvez-vous pas ?.

Dans le cas de la gangrène, il est vrai qu’un pied gangréné peut infecter tout l’organisme mais cela commence par faire mal au pied avant que la gangrène ne se diffuse et qu’alors il faille couper le pied pour sauver la vie. Si on raisonne donc avec la dent dévitalisée comme on raisonne avec un organe quelconque en train de se gangréner, le raisonnement tenu par le doyen est cohérent. Mais la dent dévitalisée est un cas très particulier qu’on ne connait nulle part ailleurs en médecine. On tue un organe pour supprimer la douleur. En supprimant la douleur, on effectue certes un acte médical mais en tuant un organe et en y remplacant la matière putrescible par une pâte antiseptique, cela ressemble plus au travail d’un thanathopracteur ou d’un empailleur. En dévitalisant la dent, on enlève effectivement le paquet vasculo nerveux qui est la fracion la plus putrescible de la dent et on la remplace ensuite par une pate médicamenteuse qui évite justement les réactions locales d’infection. Il faut donc accepter de raisonner différemment dans ce cas très particulier qu’est la dent dévitalisée et auquel aucun autre acte médical ne ressemble vraiment.
Mais aucun raisonnement de toute façon, même le plus extraordinaire, ne remplace l’expérimentation et c’est pourquoi sur un autre site (www.sante-dents.com), j’ai fourni à son concepteur une centaine de témoignages vidéos de guérisons de diverses maladies qui n’avaient en apparence rien à voir avec les dents, après avoir enlevé des dents dévitalisées “en apparence” saines.

Quant à mes soi disant études selon le doyen, il emettait de sérieux doutes sur leur aspect scientifiques même si elles étaient publiées dans le site américain Medline référencé par l’INSERM, le grand organisme d’Etat de recherche médical avec le CNRS. .

Il affirma d’ailleurs qu’aucune étude n’avait été faite sur des milliers de patients dans des conditions scientifiques. Là il avait en partie raison, du moins en France. Mais je lui rétorquais que dans la région, il devait bien y avoir des milliers de personnes qui avaient été guéries en enlevant des dents dévitalisées par divers dentistes mais bien sûr ce n’était pas scientifique selon ses critères et cela n’avait aucune valeur à ses yeux. Tout comme la forte polémique sur le sujet dans les milieux dentaires germanique et américain n’avait elle aussi aucune valeur à ses yeux non plus.
“Nul n’est plus aveugle que celui qui ne veut voir”, lui dis-je.
Je lui expliquais aussi qu’il y avait eu des études scientifiques sur le sujet aux Etats-Unis (à la clinique Mayo) il y a longtemps mais qu’aujourd’hui peu de monde s’intéressait au sujet avec toutefois quelques scientifiques de renom. D’une part, car aucun laboratoire n’était intéressé à financer de telles études car il n’avaient rien à y gagner et d’autre part, car les dentistes étaient totalement réticents à s’aventurer sur ce terrain glissant qui contrariait tout le monde dans la profession. Il me répondit que tout ça c’était du n’importe quoi bien sûr et la discussion qui ne dura que deux ou trois minutes se termina de façon assez brusque car il partit pour selon ses termes « ne plus perdre son temps ».

Voila donc tout ce que j’ai pu obtenir de l’institution universitaire dentaire des Alpes Maritimes sur le sujet. Un peu de mauvaise foi exprimée sur un ton d’énervement et d’impatience, le tout en maximum deux ou trois minutes, entre deux stands de fruits et légumes. Désolé encore de vous avoir fait perdre deux ou trois minutes de votre précieux temps M Le doyen. Merci aussi pour votre confraternité et votre compassion à mon égard pour le fait que j’ai perdu mon travail à cause de cette polémique interne à notre profession et de quelques personnes du Conseil de l’Ordre aveuglées par l’orgueil et le pouvoir et qui ont bien préparé le terrain pour me faire envoyer derrière les barreaux, tandis que chaque jour ou presque je redonnais la santé à des personnes soi disant inguérissables en enlevant des dents dévitalisées. Et cela alors que chaque jour des dentistes dévitalisent des dents parfaitement saines car c’est plus facile pour faire des bridges, ce que personne ne déconseille officiellement aujourd’hui. Merci encore pour ces deux ou trois minutes de votre temps précieux, et cela alors que dans la région des Alpes Maritimes, votre région, bien plus qu’ailleurs en France, des milliers de personnes ont guéri de maladies graves grâce à cette démarche d’enlever les dents dévitalisées (ce que beaucoup d’enseignants savent d’ailleurs à la fac de dentaire de Nice). Une démarche qui selon les médecins et dentistes qui l’ont conseillée et effectuée est considérée comme touchant le plus grand problème de santé publique dans le monde civilisé, c’est-à-dire les dents dévitalisées. Et cela alors qu’en France, le problème de la maladie et des dépenses de santé sont aujourd’hui considérées par certains experts comme les plus grands problèmes de notre pays. Mais je sais que vous avez des excuses et c’est pourquoi je ne vous en veux pas. Mais excusez moi aussi de ne pas avoir été convaincu par votre argumentation et de continuer à tenter d’informer ceux qui veulent entendre mon argumentation. Car je souffre parfois de voir tant de souffrance que quelques extractions de dents dévitalisées pourraient souvent éviter, bien plus que des milliards qui sont consacrés à une recherche médicale et une médecine si couteuse qu’on en est réduit à laisser dormir dans la rue certains de nos concitoyens. Et cela sans même parler de la misère du monde. Le fait de passer cette information peut donc être considérée, je trouve, comme une des plus importantes oeuvres humanitaires aujourd’hui en France, compte tenu du fait que cette information est encore au stade embryonnaire.

Eh bien cher concitoyen, quand vous comprendrez que ces grands professeurs qui ont dévitalisé des centaines de dents ne veulent pas entendre parler que cela pourrait éventuellement intervenir comme cofacteur dans les pathologies médicales, je crois que vous aurez fait un grand pas. Et j’espère que ce que je viens de vous rapporter de ma brève discussion avec le doyen de la faculté dentaire de Nice, vous en fera un peu prendre conscience. Il n’était d’ailleurs pas le premier doyen que j’avais essayé d’intéresser au sujet. Les trois autres doyens précédents de Nice avaient été contactés sur le même sujet. Le premier, m’avait dit en me recevant dans son bureau, qu’ici on enseignait à bien dévitaliser des dents donc qu’on allait quand même pas enseigner que cela pouvait donner des maladies. Quand un jour je le rencontrai à nouveau par hasard dans la rue pour lui faire état de mes nouvelles découvertes sur le sujet, notamment qu’un canton suisse qui avait adopté en grande partie cette politique extractionnistre vis-à-vis des dents dévitalisées était bizarrement celui qui avait le moins de malade de toute la Suisse, il me répondit qu’il devait y aller car il n’avait pas le temps.

Le second doyen consentit à écrire que si les patients voulaient enlever leurs dents dévitalisées, ma foi pourquoi pas s’ils étaient bien informés sur les conséquences, sans s’intéresser plus que ça au sujet. Quant au troisième dont je rencontrai par hasard son ancienne secrétaire dans la rue et qui me donna alors ses coordonnées, lorsque je le contactais, il n’exerçait plus et était à la retraite. Il ne voulait même pas en entendre parler, s’étant lancé dans une démarche spirituelle. Je lui répondis alors que la spiritualité, science consacrée à Dieu, impliquait selon moi de s’intéresser aussi à ce qui pouvait alléger les souffrances des êtres humains, les créatures de Dieu justement, surtout si cela concernait des millions d’entre elles et qu’en plus de part ses connaissances et ses fonctions fussent-elles des fonctions passées, il avait de fait une certaine responsabilité dans cette histoire qu’il le veuille ou non. Mais je parlais en vain semble-t-il car je n’eus plus de réponse malgré un courrier qui reprécisait ma pensée.

J’espère encore une fois cher concitoyen, que cela vous aidera encore plus à comprendre ce que je vous ai déjà expliqué. Les dentistes fussent-ils des universitaires et aux plus hautes fonctions, ne veulent pas entendre parler de toxicité de dents dévitalisées. Et ceux qui en ont déjà un peu conscience, comprennent bien vite qu’ils n’ont pas intérêt à en parler publiquement s’ils ne veulent pas perdre leur place et avoir des problèmes avec leur hiérarchie (cf. courrier de l’universitaire hospitalier sur « chronique de la persécution d’une idée » ).

Inutile donc d’attendre de l’Université qu’elle s’intéresse au sujet, tout comme le Conseil de l’Ordre ou l’Académie de Chirurgie dentaire. Et si vous leur posez la question, la réponse que vous avez le plus de chance d’obtenir sur ce sujet est que tout cela n’est que des bêtises, histoire de vous décourager d’en savoir plus. Dans l’avenir toutefois, je pense qu’ils s’y intéresseront plus, forcés de le faire par une pression qui viendra de l’opinion publique si cette dernière prend conscience du gigantesque problème des dents dévitalisées. Ils ne pourront alors faire autrement que de dire que compte tenu de l’incertitude scientifique qui existe sur le sujet, il peut être raisonnable de penser que le fait d’éliminer toutes les dents dévitalisées pourraient contribuer à améliorer la santé, même si le fait de produire des dents dévitalisées amène aussi évidemment des avantages sur l’extraction de la dent. Ils admettront donc que les deux attitudes conservatoire et extractionniste sont valables toutes les deux et que c’est au dentiste et à son patient correctement informé de choisir ce qu’ils désirent effectuer sur ce point d’un commun accord. On aura alors fait un grand pas dans la tolérance sur une idée dont dépend la santé de millions de personnes. Mais pour l’instant encore, nul n’est plus aveugle que celui qui ne veut voir…

C’est ainsi et inutile de leur en vouloir car il est plus que probable que vous auriez réagi de la même façon à leur place. Imaginez qu’on vous demande de considérer éventuellement que ce que vous avez fait à des centaines de personnes a probablement contribué à leur fabriquer des maladies toutes plus graves les unes que les autres alors que vous pensiez que vous leur aviez rendu service. Comment auriez vous réagi à votre avis ? Il y a d’ailleurs, je le sais, de multiples autres sujets, probablement aussi graves et polémiques que les dents dévitalisées et où la médecine réagit exactement de la même façon pour des raisons analogues et refuse de considérer certains éléments subtils qui remettent gravement en question certaines pratiques médicales que le grand public croit être des grands progrès de notre civilisation. Et je suis sûr que si j’en parlais, la plupart d’entre vous, même les plus alternatifs serez étonnés car la santé, c’est un sujet sur lequel je me suis assez penché je crois. Et puis il n’y a pas que la médecine. D’autres secteurs de notre société agissent aussi de la même façon en refusant de voir certaines vérités un peu trop contrariantes. Normal dans une société « scientifique » où le concept de Dieu est souvent si éloigné de notre esprit qu’il fait même rire quand on l’évoque, sous entendu, qu’il est dépassé et ringard à la vue des données scientifiques récentes issues du darwinisme par exemple. Mais lorsque le concept de Dieu ou de la spiritualité plus généralement n’existent plus suffisamment dans les esprits, celui du profit, du carrièrisme ou de la reconnaissance à n’importe quel prix est souvent prompt à le remplacer. Mais j’ai assez à faire avec les dents dévitalisées alors excusez moi de ne pas faire état ici de tout ce que je sais de très discutable dans le domaine de la santé notamment. A chaque fois d’ailleurs c’est à peu près le même mécanisme. Les apparences sont trompeuses et le public tellement conditionné qu’il faut être assez téméraire pour affronter une vérité subtile. Inutile donc de blâmer particulièrement mes confrères dentistes, même si ce sont d’éminents universitaires. Et cela d’autant plus que c’est probablement eux qui un jour pourront, plus que tous les autres thérapeutes, vous redonner la santé ou y participer de façon déterminante en tout cas. Ils pourront vous permettre alors peut-être de vous affranchir de vos médicaments qui vous empoisonnent aussi inévitablement à petit feu et d’opérations chirurgicales qui ont toujours un aspect un peu mutilant. Cela constitue pourtant souvent les seules alternatives que notre médecine actuelle peut vous proposer car c’est quand même mieux que rien la plupart du temps…
Mais peut-être qu’avant de retrouver la santé, on pourrait aussi éviter de la perdre. Malheureusement, je pense que ce n’est pas vraiment en écoutant ces mêmes personnes issues de la matrice académique qu’on obtiendra les informations les plus intéressantes pour éviter de perdre la santé. Mais enfin, ce n’est que mon avis.
Regarder la vidéo sur l’énergétique dentaire du site www.sante-dents.com et vous comprendrez mieux toute la dimension de ces dernières affirmations.

Réponse au diffamateur

June 16, 2006 on 10:38 pm | In Réponse au diffamateur | No Comments

Il existe deux personnes (au moins) qui me diffament sur internet. La première est une dentiste qui a écrit un livre sur une dentisterie holistique à elle, ce que je respecte mais qui qualifie la mienne de dentisterie mutilatoire. Quelle nous montre donc une centaine de cas médicaux complexes qu’elle a guéri avec sa dentisterie holistique à elle (comme sur www.sante-dents.com) et après on en rediscutera.
Il y a aussi un patient et le texte qui suit en traite.
Le cas du patient R.B. qui me diffame largement sur internet et m’envoie en correctionnelle.

Texte qui intéressera sûrement les adeptes des romans en général, et psychologiques en particulier, mais assez peu intéressant d’un point de vue strictement médical vis à vis de l’infection focale et des dents dévitalisées, si ce n’est pour ceux qui veulent approfondir les raisons de l’absence de diffusion de cette thérapeutique pourtant extrêmement efficace paradoxalement.

Ce monsieur R.B. a réalisé un site qui me diffame tellement et diffame tellement le courant de dentisterie qui s’intéresse à l’infection focale et prône l’extraction des dents dévitalisées qu’il m’était impossible de ne pas répondre.

Non pas que je désire ici attaquer ce monsieur mais c’est surtout pour expliquer les raisons qui font qu’aujourd’hui ce monsieur peut avoir une influence regrettable sur votre santé.

Toutefois aussi incroyable que cela pourrait vous paraître je vous conseille d’aller aussi voir son site que vous trouverez facilement, car si après avoir lu ce qu’il raconte et lu ce que je raconte, vous êtes plus d’accord avec ce qu’il dit, alors je vous le dis tout net : Ne faites surtout pas enlever vos dents dévitalisées.

Ce monsieur est un menteur manipulateur de la pire espèce. Il est l’outil idéal des forces de l’ombre pour perdre les éventuels prétendants à se faire enlever la mort de la bouche sachant que le meilleur atout des forces de l’ombre est le manque de discernement des humains. Ils croient autant un fou qui crie n’importe quoi pour faire peur que des études et preuves sérieuses et des gens sérieux qui parlent du problème des dents dévitalisées , un sujet qui pourraient redonner la santé à des millions de personnes. Lui même est surtout un imbécile manipulé par les thanato dentistes et d’une certaine façon il croit à ce qu’il raconte même si il n’hésite pas à mentir pour exagérer ses dires. En une quinzaine années d’exercice à guérir des centaines de patients soi disant inguérissables de la médecine je n’ai eu que trois plaintes, ce qui de l’avis d’un confrère est étonnement faible compte tenu du risque que représente cet exercice qui s’oppose à la pratique de toute une profession. A chaque fois cette plainte était fortement suggérée au patient par un confrère. Pour vous donner une image de ce monsieur dans la vie courante, ce monsieur est une grande folle, exagérant tout, dont une des premières passion est de brosser les cheveux des femmes, un hypersensible qui croit le dernier qui parle et qui laisse largement submergé son bon sens par ses émotions et les apparences. C’était donc l’imbécile idéal des forces obscures pour tenter de détruire cette cause qui va dans le sens de la préservation de la vie.


L’analyse du cas de M R.B. est assez intéressante pour les personnes qui s’intéressent aux mécanismes psychopathologiques, ce qui entre nous, je trouve, est bien plus passionnant que de parler de dents dévitalisées même si aussi actuellement dans la population française, les problèmes consécutifs aux dents dévitalisées sont plus lourds de conséquences en termes épidémiologiques et statistiques que ceux consécutifs aux problèmes psychologiques. Pourtant dans les milieux de médecine alternative que j’ai un peu fréquentés, on croirait que toutes les maladies viennent du psychisme aujourd’hui.

Tout d’abord, sachez que Monsieur R.B. est un brave Monsieur, il n’est pas question ici de le blâmer, et s’il me demandait encore de le soigner je le ferai bien volontiers. Pour l’instant, je doute toutefois que ça arrive… C’est un artiste lyrique dont les qualités artistiques de chanteur étaient indiscutables. Il avait du talent à mon avis. C’est un artiste à n’en pas douter et il a aussi le sens du spectacle. M R.B. est aussi quelqu’un de très sensible, je dirais même d’hypersensible. Lorsqu’il a pris conscience jadis du problème des dents dévitalisées, il a été littéralement horrifié de savoir qu’il possédait en bouche des usines à toxines pleine de bactéries toxiques. Il avait lu un article sur médecine nouvelle, qui expliquait tout l’empoisonnement que faisaient les dents dévitalisées. Comme il savait que ce sujet m’intéressait aussi, il m’a questionné à de multiples reprises. J’ai répondu à ses questions en confirmant bien sûr ce qui était écrit par le Dr J.G. Thomas et le Dr Agnès Koubi sur l’article du journal qu’il avait lu, respectivement médecin rhumatologiste et stomatologiste. Il confirme d’ailleurs cela dans un de ses textes mis sur internet.

Un jour, il prend rendez vous à mon cabinet et vient avec une amie qui l’admirait beaucoup et faisait un peu tout ce qu’il voulait, Mme Y.L. Plus de trois ans plus tard, il eut d’ailleurs l’idée de lui faire porter plainte contre moi, histoire de montrer qu’il n’était pas tout seul dans cette croisade. Aujourd’hui il raconte que plus d’une cinquantaine de patients auraient porté plainte contre moi. Je vous assure qu’il délire complètement ici. Malheureusement pour la plainte de Mme Y.L., c’était un peu trop tard juridiquement parlant et la plainte fut irrecevable.

Il avait convaincu son amie Y.L. qui avait une maladie grave, de faire enlever ses dents dévitalisées. Evidemment je confirmais que ses dents dévitalisées pouvaient intervenir comme facteur aggravant voire déterminant dans sa pathologie. J’enlevais ainsi à cette dame toutes ses dents dévitalisées, comme je l’avais déjà fait à des très nombreuses personnes avant elle et le fit d’ailleurs ensuite à d’autres très nombreuses personnes après elle. Le travail d’extraction fut assez facile et j’enlevais d’ailleurs de multiples dents dévitalisées en une séance. Elle en fut si contente se sentant si bien dans les jours suivants que son contentement a fini de motiver M R.B. En supposant qu’elle eut été totalement insatisfaite, comment expliquer qu’il se serait alors laissé soigner par moi ? Il nous dit pourtant qu’elle aussi aurait été mutilée… En tout cas à l’époque elle avait l’impression de se sentir beaucoup mieux.

Quelques jours plus tard, je réalisais de même sur M R.B. dont une dent qu’il aurait fallu dévitaliser mais que nous avions alors convenu d’extraire, dans la logique de prévention focale. L’intervention fut toutefois un peu plus longue que son amie car dans son cas, les dents étaient quasiment toutes soudées à l’os. Cela arrive parfois avec les dents dévitalisées. Le dentiste qui dévitalise les dents peut parfois utiliser lors du traitement des produits chimiques agressifs qui tuent des parties du ligament alvéolo-dentaire (le ligament qui relie la dent à l’os de la mâchoire). La dent se soude alors à certains endroits avec l’os et lorsqu’on l’enlève, il arrive alors des arrachements osseux. Les extractions sont d’autant plus difficiles que les dents dévitalisées sont plus cassantes que les dents vivantes. Bref ce n’est pas facile à réaliser mais j’ai fait cela des centaines de fois. Rien n’est grave car c’est de l’os mort en fait et ainsi il part de lui même. Maintenant je vais être encore plus technique mais dans ce cas, cela me parait nécessaire si vous avez pu être défavorablement influencé par ses propos.
En plus ce Monsieur était très perfectionniste sur l’esthétique. Il m’a semblé que s’en était même limite pathologique. Il voulait absolument des prothèses amovibles avec des dents en céramique aussi grandes que ses anciennes dents alors que normalement on met les dents qu’on peut compte tenu de la place dont on dispose. Il fallait alors ménager suffisamment d’espace pour pouvoir positionner des dents en céramique pour obtenir l’esthétique idéale que certaines personnes recherchent en prothèse amovible. Ce sont des détails techniques de prothèse dentaire. Il faut donc éliminer encore un peu plus d’os au niveau du collet de la dent extraite. Evidemment si ensuite on veut faire des implants, il faut éviter de le faire. Il faut donc savoir ce que l’on veut avant et s’y tenir. Quant aux arrachements osseux involontaires, parfois ils produisent même des communications entre la cavité buccale et les sinus. Là c’est plus gênant car si on ne fait rien les aliments passeront dans les sinus et pourront parfois provoquer une infection du sinus. Il faut donc agir mais pas toujours le jour même de l’intervention car en fonction de la taille de la communication, celle ci peut se fermer toute seule. Il faut donc effectuer une prescription médicale anti-infectieuse, attendre, surveiller et donner des conseils du genre ne pas se moucher en exerçant ainsi une pression qui pourrait expulser le caillot. On surveille tout régulièrement en étant près à intervenir au cas où. Généralement, la communication se ferme toute seule sinon si elle est petite, on fait ce qu’on appelle un lambeau de rotation de la gencive, qui permet avec la gencive de refermer la communication. Si la communication est plus importante, ce qui peut aussi arriver, il faut en plus faire une petite greffe d’os. Le chirurgien maxillaire à qui j’adressais mes patients pour fermer ce genre de rares petites conséquences post opératoires, prenait un petit bout d’os à l’intérieur de la bouche, dans la mâchoire du bas, vers le menton, sous anesthésie locale pour fermer de telles communications. Mais durant mon exercice, cela est arrivé une seule fois qu’un patient aurait pu en avoir besoin et en plus il ne l’a pas fait car il est resté avec sa prothèse qui obturait très bien et suffisamment selon lui sa communication bucco sinusale. C’est d’ailleurs ce qui se passe dans les cancers de la bouche et plus précisément des cancers qui touchent le palais qui est enlevé en partie. Les chirurgiens laissent persister une communication bucco sinusale qui est ensuite obturée par la prothèse dentaire amovible (le dentier), et cela ne pose aucun problème médical. Tout cela sont des petits désagréments qui sont sans commune mesure sur la santé avec la toxicité des dents dévitalisées qui sont je le rappelle très cancérigènes pour un éminent cancérologue allemand, le Dr Issels, qui fut expert dans le programme de lutte contre le cancer du gouvernement allemand et fondateur du premier hôpital européen d’immuno-cancérologie et guérissait 37 % de plus de cancers que ses collègues. Mais enfin on peut toujours croire M R.B…

Pour en revenir à ses communications bucco sinusale, l’une s’est fermée semble –t-il seule et l’autre a été fermée par un simple lambeau de gencive, alors qu’une grosse communication nécessite une greffe osseuse. Mais cela s’est fait plus d’un an après mon intervention. Pourquoi donc avoir laissé si longtemps ainsi ce monsieur ?


Mais que s’est-il donc passé alors sur ce patient qui l’a rendu autant malade par la suite de ses communications bucco sinusales, car il semble effectivement qu’il ait été malade ensuite.

Eh bien je vais tenter de vous l’expliquer.
Les psychologues s’intéressent beaucoup à une forme d’intelligence qu’ils appellent l’intelligence émotionnelle, en complément de l’intelligence analytique, c’est à dire celle qui permet de déterminer en partie le quotient intellectuel ou Q.I. Selon mon analyse ce monsieur, qui j’ai l’impression a un Q.I. normal d’ailleurs, et donc est loin d’être un imbécile de ce côté a aussi une intelligence émotionnelle surdéveloppée. Il est tellement intelligent d’un point de vue émotionnel pourrait-on dire que son analyse des évènements a été obscurcie. Lorsqu’il a pris conscience du problème des dents dévitalisées, il fallait que l’élimination de ces poisons se fasse tout de suite, d’autant plus qu’il avait divers problèmes de santé. Il ne pouvait supporter l’idée de rester une semaine de plus avec des cadavres putrides dans le corps qui étaient susceptibles d’intervenir dans ses problèmes de santé divers. Mais lorsqu’il est rentré à Genève, pour affaire, alors qu’il était en pleine forme m’a-t-il dit, mais en phase de cicatrisation encore très fraîche, et qu’il est allé consulter un dentiste traditionnel car il possédait une alvéolite sur une des extractions, comme cela peut arriver parfois, ce dernier lui a détruit le moral. Le dentiste lui a en effet brossé un tableau apocalytique de ce qu’il s’était passé dans sa bouche après avoir vu la radio panoramique qu’il n’a pas manqué de lui montré et qui montrait des dents parfaitement dévitalisées selon les critères radiologiques. Ce certificat n’est pas présent sur internet mais sur le dernier rapport d’expertise que seul les avocats, les experts et les juges auront en main.

Le dentiste lui a dit textuellement puisque c’est écrit dans son attestation:

« Je ne peux me passer de faire part ici de l’effarement que j’ai ressenti …L’alibi des extractions et de l’ablation de tissus osseux soi disant infectés qui justifieraient les dévastations relève d’une conception très particulière et personnelle de la pathologie générale et dentaire qui ne trouve nullement de justification scientifique. (tiens lui aussi c’est un scientifique semble-t-il croire NDLR).Je n’hésite pas à définir de criminelle une telle attitude thérapeutique. ».


D’autres pensent que de dévitaliser des dents saines pour faire plus facilement des bridges, comme le font beaucoup de confrères, est criminel. C’est une question d’appréciation, mais en tout cas pas une vérité unanimement reconnue…

En tout cas, comment voulez-vous qu’avec une telle appréciation, un monsieur hypersensible comme M R.B. en ressorte vivant. Il l’a psychologiquement tué.

Mais en plus, si ce dentiste a peut-être manqué de psychologie (mais qui n’en a jamais manqué), je ne remets pas une seule seconde en doute, sa sincérité. Ce dentiste qui toute sa vie a fait tout son possible pour conserver les dents dévitalisées de ses patients, n’a très certainement jamais enlevé de sa vie une dent dévitalisée solidement implantée comme il les a vues sur la radio panoramique pré extractionnelle du patient. Des dents qui de plus ne faisaient pas mal. L’objectif de redonner la santé ainsi, tout comme pour la plupart des dentistes de Genève était surréaliste. D’après une petite enquête que j’ai réalisé, ce concept me semble en effet très ignoré dans ce canton suisse. Ce canton est d’ailleurs comme par hasard, celui de suisse où les personnes consomment le plus de médecine de toute la Suisse et donc logiquement où ils sont les plus malades. Et donc on peut fortement le supposer, les moins bien soignés. Le tableau des dépenses de chaque canton suisse de 2003 et 2004 est d’ailleurs sur l‘autre site, avec l’attestation de la clinique Paracelsus.

J’avais évidemment mis en garde M R.B. contre ce genre de risque classique mais son intelligence émotionnelle a semble-t-il submergé son intelligence analytique et il a subi ici le choc psychologique de sa vie dont plusieurs années après il ne s’est visiblement toujours pas remis.

Et cela d’autant plus que cette analyse apocalytique de sa bouche a été confirmée par d’autres praticiens et éminents professeurs, ignorants tout autant les rapports entre les dents dévitalisées et la santé, lorsqu’ils ont regardé sa radio panoramique.


Monsieur R.B. a donc été persuadé qu’il avait été victime d’un monstre qui l’avait mutilé sciemment. Evidemment M R.B. aurait peut-être du se demander dans quel intérêt je l’aurais sciemment mutilé car en plus je l’avais fait gratuitement. J’ai du passer plus d’une dizaines d’heures à m’occuper de lui, gratuitement croit-il, parce qu’il m’avait amené une bonne patiente. Quand on sait que la perception d’honoraire d’un cabinet dentaire est en moyenne de 50 à 150 euros par heure, je vous laisse faire le calcul de ce que j’avais consenti à offrir à ce monsieur qui m’avait parlé de son dénuement financier et auquel j’avais été sensible, bien que j’avoue que je ne le fus pas toujours pour tout le monde car c’est souvent des histoires. Je ne suis en rien un saint qui veut travailler gratuitement, même si parfois il m’arrivait de le faire dans des situations où j’estimais que la limitation financière ne doit pas être un obstacle au fait de retrouver la santé. Mais tous mes confrères font de même, je vous assure. Je me demande d’ailleurs encore aujourd’hui comment ce monsieur a ensuite réussi à faire des implants si onéreux.

Mais ce n’est pas le plus intéressant, car ce patient est sincère j’en reste persuadé. Mais aussi il croit avoir été très crédule pour selon lui s’être fait berné de la sorte. Il le dit plusieurs fois en des termes équivalents. Et comme dans sa logique, il a honte de s’être fait berné à ce point, quand on connaît un peu ce monsieur, il devient évident qu’il ne peut l’admettre. Son égo en serait trop affecté. Nous avons tous un égo plus ou moins développé rappelons le, il n’est pas question de stigmatiser ici ce monsieur plus que nécessaire. Son égo a alors trouvé la solution. Il se raconte une histoire abracadabrante qu’il finit d’ailleurs peut-être par croire sincèrement. Il raconte que je lui aurais enlevé ses dents sans son consentement en le droguant. Evidemment comme il n’y avait pas de témoins et qu’à l’époque comme la majorité des praticiens français, je travaillais sans assistante au fauteuil, c’est sa parole contre la mienne. Et il a un tel talent de persuasion qu’il est arrivé à faire croire cela à un Procureur de la République en lui racontant je crois bien (en tout cas il m’en avait menacé), que je faisais partie d’une secte (ce qui était en partie vrai à l’époque d’ailleurs et ce que le procureur a du vérifié). J’imagine que cela a du être croustillant pour le jeune juge qui m’a convoqué jadis (vu la façon dont il m’a traité à l’époque) et qui y a sûrement vu ici une histoire croustillante. Imaginez vous, un dentiste dans une secte qui drogue ses patients pour leur arracher toutes leurs dents. C’est une histoire extraordinaire pour un jeune juge habitué à la banalité de la délinquance ordinaire. D’autant plus qu’un ministre de la santé de l’époque avait fait passer des circulaires dans les tribunaux, d’être particulièrement sévère dans toutes les affaires de sectes. Et que les affaires de sectes, en France, ça ne court pas les rues à vrai dire. Comme en plus le Conseil de l’Ordre m’avait condamné dans cette affaire pour le fait d’avoir réalisé des traitements en déssaccord avec la science, le dossier était assez étayé pour aller en correctionnelle. Et j’y suis d’ailleurs encore aujourd’hui. Si le procureur avait su que le dit Monsieur était en fait un ami proche du gourou de la même « secte » que la mienne (incroyable non), il aurait peut-être été moins zélé.

Mais comme toujours, ou du moins parfois en tout cas, dans ma vie, Dieu ou le hasard, appelez le comme vous voulez, me donne un petit coup de main. Ce Monsieur R.B. qui a un goût prononcé pour le spectacle a fait un site internet pour exposer au monde entier sa bouche et vivre ainsi ce qu’il pense être le rôle de sa vie, le défenseur des pauvres dents dévitalisées face à une méchante secte démente d’arracheurs de dents, tout en prenant aussi le rôle de la victime de la secte des arracheurs de dents, qui selon lui, ne doit pas être très différente de la secte de l’O.T.S. qui a défrayé la chronique jadis, puisqu’il en fait une comparaison dans un de ses documents sur internet. Et dans cette comédie dramatique qu’il nous joue sur internet, tout en la vivant sincèrement d’ailleurs dans son esprit, je n’en doute pas, il raconte des détails intéressants et vrais en les mélangeant toutefois à d’autres de son invention, étant donné qu’il ne peut avoir été aussi bête que cela pour s’être fait berné de la sorte. Et voici ce qu’il nous dit dans un de ses entretiens avec un médecin qu’il rapporte sur son site.

« alors que je n’avais pas donné mon accord pour des extractions multiples ».

« puis je suis tombé dans un état prolongé de semi-inconscience, comme drogué ».

« après 4 heures d’inconscience dues aux excès outrecuidants d’anesthésie: réveil vers minuit, et non pas une dent extraite… mais 8 dents arrachées d’un seul coup ».

Donc M R.B. veut nous faire croire d’abord qu’il aurait subi ses extractions sans son consentement, ce qu’il a d’ailleurs fait croire aussi au procureur de la république qui a ainsi instruit l’affaire. Mais voici aussi ce qu’il nous apprend dans le même courrier :
« Je vous rappelle que j’ai enduré vaillamment quatre heures et demie consécutives d’extractions, effectuées d’une seule traite (7 dents)(7 ou 8 il faudrait savoir , mais quand on aime on ne compte plus… NDLR) par un vrai boucher tortionnaire qui m’a presque démis la mâchoire dans sa rudesse bovine. J’ai supporté un nombre infernal de piqûres assénées profondément et sans ménagement dans le palais ainsi qu’un peu partout dans la bouche. Je n’ai pas bronché; ce faisant, je crois avoir fait preuve d’un certain courage et d’une résistance que peu auraient réussi à démontrer. »

Et avec ça il veut nous faire croire qu’il était inconscient de ce qu’il lui arrivait. Le plus rigolo est que le procureur l’a cru et ne m’a pas cru du tout quand je lui expliqué que tout cela n’était qu’un délire de ce monsieur. Normal évidemment, car j’étais dans une secte… Une observation que j’ai souvent constaté dans le passé. Mais chers juges et avec tout mon respect, permettez moi de vous rappeler que les premiers chrétiens que les romains donnaient à manger aux lions étaient appelés les membres de la secte du nazzaréen. Plus proche de nous, les personnes qui se nourrissaient dans les magasins d’alimentation biologiques étaient traités de secte aussi il n’y a pas si longtemps. Et que des sociologues qui se sont penchés sur le phénomène des sectes pensent que leur prétendu dangérosité, à part visiblement ce qui s’est passé dans quelques exceptions, la fameuse secte de l’OTS, est un mythe.

En plus, le Monsieur raconte que je lui aurais pris des empreintes. Les confrères de bonne foi comprendront. Pourquoi prend-t-on des empreintes selon vous. Pour faire une étude de cas prothétique quand on sait qu’on va enlever de nombreuses dents et éventuellement pour réaliser des prothèses immédiates si on le décide alors. On ne fait pas d’empreinte si on ne veut pas réaliser de prothèse. Il était donc évident qu’un travail prothétique se préparait et comme avant il avait toutes ses dents, il était évident qu’il était prévu d’en enlever plusieurs car pour une seule molaire en moins comme il prétend qu’il était convenu, on ne fait pas de prothèse immédiate après extraction. Les experts honnêtes comprendront…


Eh oui, l’égo obscurcit parfois la conscience et alors il permet de dévoiler les mensonges….

La démonstration évidente de ce mensonge, est d’ailleurs confirmé par d’autres pièces du dossier mais non présentes sur le site internet. Il avait en effet déclaré devant témoins lors d’un repas amical, qu’il avait décidé de faire enlever toutes ses dents dévitalisées, tout comme il n’a jamais parlé de cela au dentiste et médecin qu’il a consulté ensuite. Cette idée ne lui est apparue d’ailleurs que bien plus tard.

On peut aussi supposer d’autres mensonges. D’ailleurs, ce ne sont pas que des suppositions car il se contredit encore une fois. Dans ce même courrier, il prétends :

« Pour la forme, je précise quand même, qu’avant de bénéficier “accidentellement” des “soins” du Dr Darmon lors d’un passage à Nice pour des raisons professionnelles, ma santé était non seulement excellente, mais florissante. ».

alors que dans une autre pièce qui est le courrier d’un de ses avocats, courrier qu’il met d’ailleurs sur son site internet, ce dernier dit à la fin: Est-il besoin de préciser que lesdits problèmes digestifs et autres aspects mineurs de la santé de mon client n’ont bénéficié d’aucune amélioration depuis les extractions..

C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il avait demandé à subir l’extraction de ses dents dévitalisées car tout ce qu’il avait essayé auparavant pour résoudre ses problèmes de santé avait échoué. Il voulait donc enlever ses dents dévitalisées pour essayer encore quelque chose. Evidemment je n’allais pas l’empêcher d’accéder à sa demande avec mes croyances sur le sujet de la toxicité des dents dévitalisées. Je l’ai même conforté dans ses choix d’autant plus que c’est un choix que je proposais à nombre de mes patients. Mais comme toujours, rien n’est jamais garanti car la santé dépend de bien nombreux facteurs et les poisons sécrétés par la pensée sont parfois pire que ceux sécrétés par les dents dévitalisées.

D’autre part, et comme dit le proverbe : « qui ment un oeuf ment un bœuf » ou quelque chose dans le genre, je ne sais plus (il faut bien un peu d’humour aussi…). On peut donc facilement imaginer que l’histoire de ce monsieur est truffée de mensonges. Mais comme je ne peux les prouver néanmoins, je ne m’étalerais pas dessus. Toutefois je reste persuadé que ce monsieur est sincère, en grande partie. Mais aussi que c’est un cas qui relève plus de la psychiatrie ou de l’art dramatique ou d’un mélange des deux, que de la dentisterie. Je me suis donc ici improvisé psychiatre, le temps de ce texte seulement je vous rassure.

Ce monsieur ne voulant pas assumer la responsabilité de sa « bétise » a inventé toute une histoire abracandabrante qu’il a fini par croire, une histoire entrecoupée de croyances absurdes que nous allons analyser et qui d’une certaine façon peuvent être instructives.

Pour finir sur l’analyse de mes extractions. Avez vous déjà fait extraire une dent bien implantée, par un dentiste. Je vous assure que pour arriver à extraire plusieurs dents bien plantées en une seule séance, il faut éviter de faire mal au patient sinon il n’accepte jamais d’en faire enlever d’autres après avoir fait enlever la première. En fait d’une certaine façon et avec un autre regard plus analytique, ce monsieur me fait un compliment car je lui aurais enlevé huit dents bien implantées sans qu’il s’en aperçoive même. Certaines personnes ont parfois des histoires d’extraction d’une seule dent qui étaient tellement épouvantables que l’idée d’en enlever huit d’un coup leur paraît inconcevable. Comme certains chirurgiens dentistes rodés aux extractions difficiles et multiples, c’est une pratique que j’effectuais couramment, avec le consentement du patient bien sûr car comment pourrait-il en être autrement d’ailleurs, bien évidemment ? A moins de les attacher à leur fauteuil. Mais ça il n’en a pas parlé…


Maintenant, nous allons reprendre la partie la plus intéressante de ce cas c’est à dire l’analyse psychologique.

Je reste persuadé d’ailleurs que c’est d’une clef psychologique que dépend la compréhension de toute cette histoire de dents dévitalisée et d’infection focale pour la population aussi d’ailleurs. Alors en fin de compte, l’analyse psychologique du cas de M R.B. est somme toute utile même pour enlever vos dents dévitalisées.

M R.B. croit très sincèrement qu’il a été mutilé. Mais M R.B. a des excuses certes et je le comprends. Quand des professeurs de médecine, et de dentaire vous confirment que cette théorie d’infection focale est une grande escroquerie mutilatoire, il n’est pas évident de ne pas être ébranlé dans ces certitudes. M R.B. malgré son empressement à vouloir enlever rapidement ses dents dévitalisées n’avait visiblement pas assez réfléchi et était effectivement d’une grande crédulité vis à vis de l’être humain, comme il le dit d’une certaine façon, mais peut-être pas vis à vis de ce qu’il croit toutefois.

Mais comment aurais-je pu le savoir car il avait reçu de multiples informations sur le sujet, avait lu un article notamment, était allé voir un médecin qui le lui avait confirmé, avait eu son amie qui avait subi une intervention équivalente et en était fort satisfaite ensuite. En plus c’était un Monsieur qui se vantait de savoir beaucoup de choses sur les médecines douces (c’était un expert en élixirs floraux qui sont des médicaments très subtils et naturels utilisés dans des psychothérapies naturelles. Il se prétendait même être l’expert de Genève sur le sujet m’avait dit quelqu’un qui le connaissait). Il semblait aussi avoir les pieds sur terre. Comment aurais-je pu savoir qu’à l’intérieur du cerveau de ce monsieur, existait une girouette qui allait lui faire croire ensuite le premier dentiste qu’il rencontrerait qui le retournerait comme une crêpe contre moi et qu’il manquerait ainsi à ce point de discernement comprenant qu’il est évident que des gens qui font quotidiennement des dévitalisations dentaires n’allaient pas lui confirmer qu’il avait bien fait de se faire enlever ses dents dévitalisées.

Et cela l’a détruit tout comme certaines croyances absurdes qu’il avait comme celle de ne pas devoir prendre d’antibiotiques lorsqu’on a certaines infections, qui peuvent alors se diffuser au reste de l’organisme et effectuer des destructions, surtout quand on ne sait rien faire à la place, ce qui est souvent le cas de beaucoup de personnes dans les milieux de médecines douces. Des personnes qui par ailleurs ne possèdent pas suffisamment d’outils efficaces dans leur panoplie thérapeutique pour enrayer une infection sans antibiotiques, même si je reconnais aussi que dans certains cas on peut s’en passer et qu’en France on prend bien trop d’antibiotique qu’il ne le faudrait d’ailleurs. Le slogan de l’assurance maladie « les antibiotiques c’est pas automatique » nous le rappelle d’ailleurs.

Il y a aussi d’autres croyances qui n’ont pas arrangé le mental de M R.B. C’est d’ailleurs ce que je vais analyser grâce à ses propres éléments qu’il met lui même sur internet.


Voici une croyance absurde de M R.B. tel qu’il l’exprime d’ailleurs dans une autre pièce: «


N’oublions pas cette phrase du Professeur C. : “En extrayant leurs dents, on tue - symboliquement - les gens!”

Et de terminer sur cette réflexion - ô combien édifiante - du professeur Branemark, fondateur et concepteur de l’implantologie orale moderne (implants dentaires en titane) :

“On perd en premier lieu ses dents, puis l’os, puis toute confiance en soi.”

»


Ce sont des phrases qui effectivement tuent les personnes qui comme des éponges absorbent tout ce qui est dit et à qui il manque visiblement un certain discernement.

Oui je veux bien croire comme le dit le professeur C. que certains patients se sentent symboliquement tués lorsqu’ils perdent leurs dents et c’est bien ce qui fait tout le succès du maintien de la dent dévitalisée sur l’extraction malgré des évidences biologiques focales. Mais Monsieur C. oublie semble-t-il aussi qu’ils sont biologiquement empoisonnés lorsqu’on les leur dévitalise…. Il tient le discours classique de la dentisterie traditionnelle qui veut absolument tout faire pour conserver les dents en opposition avec la dentisterie holistique qui veut tout faire pour conserver la santé, quitte à extraire des dents.

Mais ce qui tue biochimiquement les patients, cher confrère, et cela attesté par de multiples études scientifiques, et même si cela vous n’avez pas envie de le voir comme l’immense majorité des confrères qui dévitalisent quotidiennement des dents et comment vous en blamer, ce sont les dents dévitalisées et les redoutables toxines qu’elles émettent. Oublier cet aspect de la question revient à être démagogue d’une certaine façon car bien sûr les personnes ignorantes des subtilités toxicologiques perverses sont toujours contentes que leur dentiste leur conserve leurs dents même dévitalisées.

Pour l’anecdote, un professeur C., dentiste à Paris, faisait il n’y a pas si longtemps une conférence au congrès dentaire de Nice sur les dents dévitalisées. Je l’ai contacté pour essayer de le sensibiliser au sujet de l’infection focale mais il n’a jamais eu le temps de me retéléphoner.

Quant à la maxime du professeur Branemark, qui est un grand implantologiste, il faut la relativiser, ce que visiblement M R.B. ne semble pas faire. Et dans le genre maxime tape à l’œil, je peux aussi vous en faire une à ma sauce et la voici d’ailleurs:
En faisant dévitaliser ses dents on perd d’abord la vitalité de ses dents, puis celle du reste de son organisme.

C’est d’ailleurs ce que pense tout le courant de dentisterie holistique qui prône par conséquent l’extraction des dents dévitalisées.

Un courant que Monsieur R.B. appelle la « secte démente des arracheurs de dents » histoire d’essayer de vous manipuler chers internautes comme il a manipulé le Procureur de la République et d’autres car il sait qu’une des façons les plus faciles aujourd’hui de manipuler l’opinion, française notamment, est d’utiliser le terme secte pour faire peur aux gens.

Mais M R.B. a préféré croire que :
« Au delà de l’aspect purement physique, ce comblement osseux aurait comme finalité principale de me restaurer ma dignité (cf. phrase du prof. Branemark citée plus haut) » tel qu’il le dit dans une pièce présente dans son site.


Il faut aussi avouer que les phrases de C. et Branemark sorties de leurs contextes dans un esprit manquant de discernement peuvent faire certains dégâts. Voilà d’ailleurs ce que ça a donné sur celui de M R.B.

dixit lui même d’ailleurs.

« En extrayant vos dents par anticipation, vous perdrez tout à la fois, d’un seul coup, et vous risquez fort d’y laisser prématurément votre santé physique et émotionnelle, voire votre métier et votre carrière (suivant le degré d’invalidité imputable au désastre, ce qui fut malheureusement mon cas). »

ou bien : «
Au delà de l’aspect purement physique, ce comblement osseux aurait comme finalité principale de me restaurer ma dignité (cf. phrase du prof. Branemark citée plus haut)

»

Evidemment quand on adopte la croyance que sa dignité humaine dépend de la quantité apparente d’os dans ses mâchoires, cela peut perturber lorsqu’on a subi des extractions difficiles.

Personnellement je rapproche plus le maintien de la dignité de l’être humain du maintien de sa vitalité et de sa santé. Mais encore une fois, tout est question de croyance et si c’était sa croyance, il l’a effectivement vécu et il a eu un sentiment de perte de sa dignité. Et j’en suis vraiment désolé pour lui mais ce n’est pas ma faute, c’est à cause de croyances absurdes sorties de leur contexte, qu’il a intégré tel quel dans son cerveau qui manquait un peu beaucoup de discernement.

Il est vrai que pour beaucoup de personnes, perdre des dents leur fait perdre un peu de leur dignité, c’est vrai, que la prothèse amovible peut aussi leur redonner d’ailleurs, même si certains préfèreront les implants car la prothèse amovible a parfois une image un peu dégradante c’est vrai. Les avantages et les inconvénients de la prothèse amovible avaient aussi été envisagés, malgré ce qu’il dit aujourd’hui sans pouvoir le prouver encore une fois.

Mais ici le sujet de la dignité est encore une manipulation de plus car le cas est différent. Ce monsieur était consentant et ces extractions étaient réalisée dans un objectif de santé, il faut le rappeler car sinon, évidemment on ne peut comprendre.

Vous avez bien sûr le droit de croire ce monsieur R.B. ou de croire le Dr Issels dont j’ai parlé précédemment et de tout le courant de médecins, dentistes et scientifiques qui s’intéressent à l’infection focale. C’est à vous de voir, et peut-être ma foi qu’il a raison, je ne prétends pas détenir la vérité. Ce qui est sûr c’est que c’est sa vérité, et qu’il a expérimenté sa croyance, tout comme je constate que de multiples patients qui ont expérimenté la croyance qu’enlever les dents dévitalisées redonne la santé, et l’ont d’ailleurs retrouvé. L’argument classique des détracteurs est d’ailleurs de dire que tout cela n’est qu’un effet placébo. Regardez les vidéos et faites vous votre opinion par vous-même car ma foi c’est peut être un effet placébo (étymologiquement : je plais ou je fais plaisir) mais alors un sacré effet placébo, je trouve personnellement. En tout cas pour le patient R.B. il me semble qu’il y ait eu un effet nocébo (étymologiquement : je nuis) après avoir entendu certains avis de confrères sur les extractions de dents dévitalisées qu’il avait subi. C’est un peu comme quand on apprend qu’on a un cancer ou le sida, généralement…


Depuis des années, je me passionne pour la philosophie et les enseignements mystiques des religions. On y enseigne que l’on vit généralement nos croyances.

On peut changer ses croyances lorsqu’on adopte une démarche de raison qui est d’étudier les faits de manière scientifique, c’est à dire en ouvrant les yeux sur la réalité donc en voyant ce qui est et non ce qui paraît être. Les dents dévitalisées ne sont pas des dents même si elles paraissent l’être. Ce sont des cadavres de dents en réalité biologique, sachez le. C’est bien aussi pour que vous voyiez la réalité que quelques témoignages vidéos (une centaine) vous ont été mis sur ce site car comme le dit M R.B. une image vaut mieux que mille mots. Et je me permets de rajouter, une centaine de témoignages vidéo de guérisons vaut mieux que mille photos de sa bouche partiellement édentée aussi, je crois. Des photos qui traduisent encore une fois plus son goût du spectacle et du drame que son discernement scientifique.


Mon enseignant d’acupuncture m’expliquait aussi que contrairement aux traitements chimiques qui forcent la nature des choses bien souvent, selon la tradition chinoise, le traitement d’acupuncture pouvait être inhibé si le patient n’y croyait pas. Le mental étant plus fort que tout, et l’acupuncture elle même s’y soumettait en médecine énergétique respectueuse des croyances du patient.

Maintenant attention vous pouvez aussi y croire et ne pas guérir. Mais le problème selon mon enseignant ne venait pas alors de l’acupuncture mais de l’acupuncteur.

N’importe quel psychologue occidental d’ailleurs pourrait confirmer comment on peut se rendre malade par son mental.

M R.B. l’avoue d’ailleurs lui même dans une pièce: «

« Ce qui m’a descendu, c’est de constater la perte quasi-totale de la région osseuse concernée par les extractions, la tromperie perfide dont j’ai été l’objet, et les mensonges en cascade que j’avais gobés tout cru. »

pièce qui reprend d’ailleurs ses croyances: «

Cette réflexion du professeur Branemark (concepteur des implants au titane) est on ne peut plus édifiante:

“On perd en premier lieu ses dents, puis l’os, puis toute confiance en soi.”

Eh bien moi, j’ai perdu tout à la fois!

»

Le patient reconnaît lui même avec une honnêteté qu’on ne peut que constater ici, que ce qui l’a « descendu » selon ses propres termes, c’est son propre mental influencé par ses croyances et l’analyse de ce qu’il a vu de son image dans un miroir, donc les apparences.

Monsieur R.B. qui a accepté certaines croyances de confrères opposés à la théorie de l’infection focale, les a effectivement vécu.
Tandis que des centaines de patients que je connais, ont vécu des améliorations extraordinaires de leur santé, je le réaffirme et peux le prouver. Les témoignages vidéos n’en sont qu’une partie.

Alors qu’une communication bucco sinusale normalement gérée ne donne jamais aucun problème grave, eh bien lui a vécu toute une série de problèmes abracadabrants. Problèmes accrus par la haine qu’il a nourrie à mon encontre en pensant que j’étais un sinistre personnage (ce qui ressort bien de tous ses écrits), et qui a bien rempli sa vie semble-t-il jusqu’à présent. Afin de mieux me diffamer, il a contacté la presse, écrite, télévisuelle, a réalisé un site internet qui raconte en détail son histoire en mélangeant des faits et des inventions.

Moralité, la haine, ce n’est pas bon pour la santé et rappelons le message de Jésus qui est qu’il faut apprendre à aimer ses ennemis (car quelle performance y-a-t-il à aimer juste ses amis). Une pensée qu’il ferait bien de méditer…

Ensuite, il a passé son temps à consulter des médecins, faire établir des attestations et faire des psychothérapies en vue d’être sûr de gagner ensuite un pactole d’argent en justice contre moi. Les conclusions de certaines des attestations sont toutefois instructives sur cette histoire.


Voici celle du Dr J. présent sur son site avec le nom du médecin :

Attestation:

Par la présente, je confirme avoir eu cinq entretiens de psychothérapie de soutien avec M. R.B. Ces entretiens ont eu lieu en date du 29/12/97 et des 2, 5, 8 et 13/01/1998.

M. R.B. a consulté sur la base de conseils du Centre LAVI, suite à une problématique et des séquelles émotionnelles liées à des extractions dentaires multiples vécues comme traumatisantes.

Les honoraires pour ces séances se montent à 750.- CHF.

————

Le centre LAVI (rigolo comme nom pour cette histoire de dents mortes) avait bien compris que le principal problème de M R.B. vis à vis de ses dents était d’ordre psychologique confirmé par le psychiatre comme vécu comme traumatisante. Mais elles n’ont été vécues comme traumatisante qu’après coup, après que les dentistes traditionnels soient passés par son cerveau et y aient fait tourner la girouette qui s’y trouvait. Et c’est là tout le problème.


L’attestation du Docteur D. L est aussi instructive.


Je soussigné certifie avoir traité du 8 septembre 1998 au 13 novembre 1998 Monsieur R.B. pour un état dépressif majeur réactionnel à l’agression chirurgicale dentaire dont il a été l’objet en date du 19 mars 1997. Il existe en effet une relation de causalité suivie entre cette agression et le sentiment perçu par Monsieur R.B. d’effondrement narcissique de la personnalité et ce d’autant plus que ses capacités vocales, son métier en l’occurrence, ont été altérées après cette intervention inopportune.


On remarque que le Dr L. psychiatre affirme que son patient a subi une agression chirurgicale alors qu’il n’était pas là pour le constater. Une attitude qu’on retrouve chez bien des experts et qui traduit les capacités de M R.B. de convaincre de sa bonne foi, les médecins consultés. Tous les experts qu’il a vu n’ont jamais même voulu ensuite me parler une seule fois au téléphone tellement il les a convaincu que j’étais un monstre.

On le voit aussi sur l’attestation d’un autre psychiatre qu’il a aussi consulté et avec lequel il a fait une longue thérapie et qui écrit textuellement :

M R. souffre d’un état de stress post traumatique avec modification durable de sa personnalité consécutif aux faits suivant :
Monsieur R. a été victime sous narcose et sans son consentement, d’un arrachement massif de nombreuses dents…

Cette attestation n’est pas sur le site mais sur une dernière expertise.

Que ce psychiatre certifie que M R soit psychologiquement déglingué à la suite de tout ça, je le comprends, mais qu’il affirme que son patient ait subi sous narcose donc en état d’inconscience, des extractions dentaires, traduit les importantes capacités manipulatrices de Monsieur R.

Imaginez vous, un psychiatre, spécialiste de la pensée qui arrive à se laisser persuader de cela au point de l’écrire sur un certificat sans remettre le moins en doute la parole de son patient au risque de s’en rendre ridicule.

M R. possède sans aucun doute des capacités artistiques qui dépassent celles du chant lyrique. Et j’ai effectivement beaucoup de soucis à me faire devant un juge contre un tel monsieur qui n’hésitera pas à me faire passer pour le pire des individus si cela peut aussi lui rapporter beaucoup d’argent en dommages et intérêt. Exercice qu’il a déjà réussi une première fois et dans le passé j’imagine le connaissant mieux aujourd’hui, puisqu’il s’est déjà enrichi ainsi lors d’un premier procès, m’avait-il raconté où il s’est aussi fait passer j’imagine pour une victime.

Mais tout cela n’est pas le plus grave pour moi. Qu’un patient manipulateur, victime professionnelle, et psychologiquement désorienté par toute cette histoire de conflit interne dans la profession dont il est d’une certaine façon victime, il faut bien l’avouer, mais victime de ce conflit d’idées uniquement, essaie de gagner une grosse somme d’argent (qui sera d’ailleurs payé par un fond d’indemnisation alimenté par les contribuables français car je suis insolvable), peut se comprendre et même s’excuser.

Mais plus grave encore est l’expertise qui traduit une évidente ignorance des données scientifiques sur le sujet d’une part et une évidente partialité. L’expert affirme : « l’extraction des dents dévitalisées sans lésion dento-parodontale associée , sans pathologie apicale visible et sans symptomatologie locale avérée ne relève que d’une théorie personnelle sans aucune base scientifique démontrée ».

Evidemment, si on croit cet expert, je suis condamnable et c’est ma théorie personnelle. C’est me faire beaucoup d’honneur en quelque sorte, mais c’est faux, ce n’est pas moi qui ai compris cela. Je n’ai fait que reprendre ce que des scientifiques ont démontré. Des scientifiques comme Boyd Haley ou d’autres scientifiques qui s’expriment tout simplement dans de nombreuses publications scientifiques et aussi d’éminents médecins comme Issels (voir le site www.sante-dents.com). Alors ça change tout. Mais qui croire ?

Et même en supposant que l’expert ait raison sur tous ces scientifiques qui disent eux que les dents dévitalisées sans symptomatologie peuvent très bien empoisonner, il commet une preuve de manque d’impartialité.

Si on enlève les dents dévitalisées et qu’ensuite on gère correctement le post opératoire, alors tout se passe bien. Mais là le patient a laissé se développer des infections sinusales, en restant sans traitement pendant un mois en baignant dans sa haine alors que ces infections sinusales auraient pu être correctement gérées s’il était tout simplement revenu me voir comme cela était prévu. L’expert m’attribue alors une série de problèmes consécutifs, qui n’ont rien avoir avec l’extraction de dents dévitalisées.

L’expert confond donc deux concepts bien distincts qui sont « après que » et « à cause de ». Le premier concept n’étant pas condamnable tandis que le second l’est évidemment. Et comme il sait bien que les juges débordés par trop d’affaire de justice, dans la plupart des cas ne font généralement que suivre les conclusions des experts, ce monsieur, pense ainsi finir le sale travail que les dentistes du Conseil de l’Ordre ont déjà bien commencé avec moi et l’idée naissante en France de la toxicité des dents dévitalisées. Mais bon, les juges peuvent aussi se rendre compte de la partialité évidente de l’expertise. Lors de l’audience toutefois, ils semblaient la prendre comme parole d’évangile.

Et dites moi encore après ça que je suis paranoïaque……


Aujourd’hui un de mes plus grands souhaits est que ce monsieur retrouve une paix du mental, mais pas au prix d’une arnaque de l’Etat français et notamment de son système d’indemnisation des victimes qui fonctionnerait car je suis insolvable. Ce serait une injustice flagrante pour des centaines de personnes qui ont fait enlever leurs dents dévitalisées et ont payé avec leur argent leur prothèse amovible même si la sécurité sociale y a certes participé. Ils n’en ont pas profité pour autant pour se faire passer comme des victimes. Ou alors il faut aussi que l’Etat français indemnise ces braves gens honnêtes de la même façon que ce Monsieur suisse R.B. qui sinon aurait juste le droit d’être indemnisé lui et non les autres, parce ce que lui est psychologiquement dérangé. Sa paix du mental reviendra quand il acceptera de voir la vérité en face tout d’abord et qu’il comprendra les subtilités de toute cette affaire. J’espère que ce texte l’y aidera. S’il était revenu me voir avec un bon esprit, sa sinusite aurait été réglée rapidement sans s’étendre, d’autant plus qu’il aurait accepté de prendre des antibiotiques, car en plus il a refusé d’en prendre. En plus j’aurais lavé son sinus avec des dilutions tiédies d’hydrolats de plantes anti-infectieuses comme le thym, le laurier et d’autres adaptés à la fonction respiratoire comme l’hydrolat de pin que je possède toujours dans mon cabinet dentaire et qui m’ont permis déjà de régler en une séance des sinusites post chirurgicales aigues.

Ensuite j’aurais fermé ou fait fermer la communication bucco sinusale par un collègue stomatologiste de Cannes.

Ensuite je lui aurais réalisé une prothèse en plastique qui ne l’aurait pas gêné. J’ai déjà fait cela à des artistes lyriques qui en ont été fort satisfaits. Certains en témoignent d’ailleurs sur les vidéos du site et par écrits.

Et cela lui aurait coûté infiniment moins cher en terme de santé et d’argent. Cela était la voie de la raison. Mais le choix de ce Monsieur a été celui de la voie de la haine contre moi. Il en a subi par conséquent les conséquences. C’est le karma immédiat diraient les bouddhistes.

Après le souhait que ce Monsieur retrouve un jour ses esprits, je souhaite juste que ce monsieur ne vous influence pas au point que vous aussi, vous vous détourniez d’une voie dont dépend très certainement votre santé, comme la plupart des personnes malades. Une voie que tout un courant de dentistes et de médecins dans le monde, défend aujourd’hui et qui selon eux et des scientifiques qui le renforcent serait aujourd’hui une des clefs essentielle de la santé de millions de personnes.

Vous pensez peut-être qu’avec ce que j’ai écrit ici, le juge ne peut qu’être d’accord avec moi. Oh, comme vous connaissez mal la justice alors…

Le jugement sera favorable ou pas encore une fois en fonction de ce qu’il y a de prédominant dans le cerveau du juge.

L’intelligence émotionnelle du juge laissera-t-elle suffisamment de place à l’intelligence analytique. Rien n’est moins sûr, je vous assure, surtout quand un expert a sciemment truqué le jeu. Je pourrais alors lui dire que moi aussi à cause de ce Monsieur R.B., ma vie professionnelle a été détruite, et que j’ai des petits enfants qui aiment leur père et ne veulent pas le voir aller en prison parce qu’un patient se plaint qu’on lui ait enlevé des dents. Que cela somme toute, même si c’est une théorie folle que des dents dévitalisée puissent altérer la santé, n’est pas si grave que cela. Chaque année des millions de personnes souffrent de maladies, décèdent à cause d’erreurs médicales diverses et il existe de multiples dentistes qui dévitalisent fréquemment des dents saines que d’autres estiment alors devenir des poisons. Et pourtant personne ne condamne tout ce monde parce que l’erreur est humaine et ils n’avaient pas voulu mal faire, ils étaient sincères tout comme on ne peut douter que je l’étais, même si c’était peut-être une folie. Toutefois on pourrait aussi croire que ce ne l’est pas. De très nombreux patients ont témoigné être satisfaits de mes soins, attestation écrite à l’appui. Et dans le doute, normalement, la justice devrait s’abstenir de condamner, c’est bien connu. Une enquête de police a d’ailleurs été réalisée sur moi. Sur 20 patients à qui il a été demandé à tous s’ils voulaient déposer plainte contre moi, tous ont refusé et sur 20 patients, 19 se sont dits pleinement satisfaits de mes soins. Un sur vingt a dit qu’il n’avait pas vraiment d’avis sur ce qui avait été fait ou allait être fait, je ne sais plus, et se demandait si ce n’était pas en fin de compte une arnaque ou un terme dans le genre. C’est ce qui est souvent le cas quand les améliorations de santé obtenues après les extractions ne sont pas assez rapides pour être flagrantes, et qui est d’ailleurs dur à gérer.

Tout ça mérite bien mathématiquement parlant par conséquent une note de 19 sur 20 en quelque sorte. Il faut bien que je me remonte un peu le moral aussi, en utilisant l’humour car je dois avouer que moi aussi avec tout ce qui m’arrive, je ne l’ai pas toujours eu.
Mais dans certains enseignements mystiques, il paraît aussi que tout a sa raison même si j’ai encore du mal à le comprendre.


Avant de finir, je vais vous donner une petite information qui va vous faire comprendre pourquoi il serait déplacé de ma part de penser du mal de mes confrères qui dévitalisent les dents. Car moi-même avec tout ce que je sais sur les dents dévitalisées, je serais peut-être le plus condamnable de tous. En effet, j’ai eu parfois à dévitaliser des dents à certaines personnes pour respecter leur choix car elles refusaient de les extraire. C’était des cas où la dévitalisation restait la seule solution alors pour supprimer une souffrance parfois atroce de pulpite (inflammation du nerf). Je n’étais en effet pas arriver à les convaincre du danger des dents dévitalisées. Ces personnes en plus, en avaient d’autres et se trouvaient en bonne santé. J’ai respecté leur choix car j’ai alors considéré que dans l’urgence, il était meilleur que de conserver une dent qui fait mal. Le doute m’assaille toutefois aujourd’hui car je suis bien loin encore de n’avoir que des certitudes. Peut-être aurais-je du refuser tout simplement de les soigner alors et les laisser souffrir jusqu’à qu’elles me supplient de leur enlever leur dent ? Mais il est très probable aussi, qu’elles seraient alors allé voir le confrère qui était à l’autre coin de la rue et qu’elles auraient de toutes façons fini par avoir leur dent dévitalisée, c’est presque sûr. Je leur ai toutefois aussi dit que si un jour elles étaient malades, il fallait qu’elles se rappellent qu’elles avaient en bouche une redoutable petite usine à toxines.

Réponse à l’A.A.E (Américan Association of Endodontists)

June 10, 2006 on 6:34 pm | In Réponse à l'A.A.E | No Comments

La position de la plus grande organisation au monde d’endodontistes, l’AAE (Américan Association of Endodontists) sur la problématique des dents dévitalisées cassée à la Brice de Nice.

(endodontistes signifie dentistes spécialistes de la dévitalisation dentaire)

Site internet aae.org

L’AAE est sans conteste la plus grande organisation mondiale de dentistes, spécialisés dans la dévitalisation des dents. Le Dr Meinig qui aujourd’hui crie sur tous les toits qu’il faut enlever toutes les dents dévitalisées, fut d’ailleurs un des cofondateurs de cette association dans les années trente.

Tous les dentistes savent dévitaliser des dents certes mais il existe aux Etats Unis depuis longtemps et aussi maintenant en Europe, des spécialistes de la dévitalisation qui ont approfondi le sujet et qui grâce à un savoir faire très certainement supérieur à celui de la moyenne des dentistes arrivent à conserver plus de dents dévitalisées. En effet parfois les dents dévitalisées s’infectent et se mettent à faire mal et il faut par conséquent les extraire. Pour éviter cela, une spécialité s’est donc développée afin de tout faire pour pouvoir conserver les dents dévitalisées.

En parallèle avec le développement de cette spécialité, s’est développé aux Etats-Unis, un courant de dentistes qui prônent que toutes les dents dévitalisées sont toxiques et qu’il faut les enlever. Ce courant existe aussi d’ailleurs dans les pays germanophones.

Cela fait polémique bien sûr car tout le monde pense avoir raison. Personnellement je pense qu’il serait une preuve de sagesse de notre profession que ces deux approches puissent coexister sans heurt, car le plus important est de laisser les patients décider de ce qu’ils veulent faire de leur corps, quitte à ce qu’ils acceptent de laisser le dentiste décider pour eux s’ils lui font confiance.

Aujourd’hui aux Etats Unis, cette polémique a pris une telle ampleur, que l’AAE n’a pu y rester indifférente et elle donne au public sa version de tout cela sur son site internet : aae.org
En France, le discours du Président du Conseil de l’Ordre des Alpes Maritimes était de dire que c’était la théorie du Dr Darmon. Ma foi jusqu’à présent, ça a fonctionné et personne ne lui a dit qu’il était ridicule et c’est moi qu’on a condamné.
Personnellement en étudiant le site de l’aae et notamment sur la réponse à la grosse polémique sur les dents dévitalisées qu’il y a aux Etats-Unis, je m’attendais à un discours qui dise par exemple que les dents mal dévitalisées peuvent effectivement donner de multiples maladies, mais que bien dévitalisées, cela n’en donnait aucune. Je m’attendais aussi à ce que l’AAE nous le prouve en nous montrant des publications avec des cas de patients qui avaient des maladies graves à cause de dents mal dévitalisées. Des maladies qui ont ensuite disparues par un retraitement endodontique parfait. Un retraitement dont on sait par ailleurs que s’il est parfaitement exécuté il permet d’éviter une infection locale qui se traduit par d’éventuelles douleurs de la dent dévitalisée, ou d’autres signes cliniques d’infection comme une inflammation de la gencive, voire du pus qui peut d’ailleurs se propager aux alentours.

Eh bien rien de tout cela. L’AAE est incapable de nous apporter la moindre preuve qu’un retraitement endodontique parfait ait pu guérir une grave maladie à distance de la bouche.

Mais pire encore, l’AAE nie purement et simplement tous les travaux scientifiques qui font un lien entre les dents dévitalisée et maladie.

Ma foi c’est une technique comme une autre… un peu comme celle du président de l’Ordre des Alpes Maritimes à mon égard. Parfois plus c’est gros et plus ça marche. Je le sais bien puisque j’ai un patient qui raconte des choses énormement absurdes et qu’un juge a cru, alors pourquoi ne pas utiliser cette politique aussi pour discréditer l’ensemble des travaux sur la toxicité des dents dévitalisées. C’est en tout cas le choix qu’a fait l’AAE, de nous prendre pour des imbéciles, et jusqu’à présent ça marche alors pourquoi ne pas continuer. Je vais d’ailleurs vous prouver tout cela.

Le site comporte de nombreuses publications scientifiques pour mieux dévitaliser les dents certes mais la seule préoccupation de cette association est de mieux dévitaliser les dents afin qu’elles ne s’infectent pas ou ne fassent pas mal et donc qu’on soit alors obligé de les extraire.

Le fait qu’elles puissent participer à une quelconque maladie est qualifié de mythe. Et nous allons voir quels sont les arguments qu’ils avancent pour nous démontrer en quoi cela est un mythe. Vous y trouverez des arguments risibles et je vais vous expliquer pourquoi dans ce texte.

Je vous suggère d’ailleurs d’aller vérifier par vous même sur leur site.

Il faut aller voir à rechercher un endodontist (find an endodontist en anglais)
Puis après cliquer sur « Myths about root traitement canal »

Vous obtiendrez alors le texte que je trouve risible qui est la seule argumentation que la plus puissante organisation au monde de spécialistes de la dévitalisation dentaire peut nous fournir pour répondre à la polémique sur les dents dévitalisées.

Vous pouvez aussi cliquer sur Tooth Illustration.
Vous obtiendrez un schéma d’une dent.

La chambre pulpaire, c’est là où se trouve le nerf et les vaisseaux sanguins aussi appelé le paquet vasculo nerveux, celui là même qu’on enlève lors de la dévitalisation dentaire. Et dans la dentine, les petits traits à peine perceptibles ce n’est pas juste un effet de dessin pour colorier la dentine, c’est la représentation des tubulis dentinaires.

Selon les défenseurs de la théorie de l’infection focale, ce sont les tubulis dentinaires qui constituent la niche indésinfectable dans laquelle les bactéries anaerobies se développeront et excréteront ensuite dans le sang leurs redoutables toxines.

Les tubulis dentinaires étant microscopiques, l’aae n’a pas jugé utile de les signaler sur son schéma. Mais les tubulis dentinaires sont aussi un des talons d’achille du meilleur des traitements endodontiques, il faut le rappeler.
Comme le schéma représente toutefois une dent en coupe, et les structures visibles à l’œil nu, l’aee n’a pu omettre toutefois de mettre sur le schéma un second talon d’achille de l’endodontie, les canaux accessoires. Sur son schéma, elle indique deux canaux accessoires mais dans la réalité, il y en a bien plus généralement. Ce sont des petits canaux qui comportent aussi nerfs et vaisseaux sanguins. Généralement, ils se trouvent au bout des racines mais pour les dents avec plusieurs racines (certaines prémolaires et les molaires) ils peuvent aussi se situer dans la furcation c’est à dire dans la dentine qui relie les différentes racines de la dent. Une information qui n’apparaît pourtant pas sur ce schéma de dent.
Comme ces canaux accessoires ne peuvent quasiment jamais être aussi obturés, et donc qu’ils sont le siège de putréfaction, on comprend pourquoi notamment pour les dents pluriradiculés (avec plusieurs racines), la résection apicale (le fait de couper chirurgicalement le bout de la racine), ne permet pas d’éliminer tous les canaux accessoires susceptibles de constituer des réservoirs d’infection de taille macroscopique.
Et cela sans même parler des réservoirs d’infection de taille microscopique que sont les tubulis dentinaires, qui resteront toujours présents même sur les dents monoradiculées ayant subi une résection apicale.

Maintenant, je vais vous traduire le texte qui répond à la polémique sur la toxicité des dents dévitalisées et les nombreuses publications scientifiques sur le sujet.

Myths about root canal treatement.

Les mythes sur le traitement de canal de racine (la dévitalisation dentaire).

Première remarque:
Les américains sont un peu plus subtil que les français, je trouve, ils ne parlent jamais de tuer ou dévitaliser une dent. Il disent uniquement traiter un canal de racine. Ailleurs ils font volontairement la confusion entre une dent dévitalisée et une dent naturelle. Au dessous de Tooth illustration, on peut aussi cliquer sur Value of a natural tooth, qui prône les avantages de conserver une dent dévitalisée que l’aae estime être une natural tooth donc une dent naturelle. La mauvaise foi n’a pas de limite semble–t-il … Evidemment dans leur logique une dent naturelle est à opposer à une dent artificielle c’est à dire une dent prothétique c’est à dire soit une dent sur une prothèse amovible soit un implant. Mais la réalité biologique est qu’ils confondent un cadavre de dent, ce qu’est en réalité une dent dévitalisée, avec une dent que la nature à produit c’est à dire une dent vivante, ce qui est le vrai sens de naturel. Mais comme aux Etats Unis (comme dans le monde occidental d’ailleurs), la mode est au naturel, il était astucieux d’exploiter cette mode pour mieux manipuler l’opinion, ce que l’aae ne se prive nullement de faire ici même.

Voici donc maintenant la traduction du texte risible qui prétend ainsi ridiculiser le courant de pensée qui prône l’extraction des dents dévitalisées. Il est traité dans la seconde vérité.

Il y a en fait trois textes et on les trouve exactement à l’adresse suivante : http://www.aae.org/patients/mythsrootcanal/. Les second et troisième textes sont censés répondre au mythe de la toxicité des dents dévitalisées qui donne des maladies du reste du corps.

Le second texte renvoie à la fin sur des publications scientifiques censées accréditer tout cela mais qui en fait affirment mais ne prouvent rien.

Si vous souhaitez les textes originaux en anglais je vous les ai conservé après les traduction au cas où l’aae changerait de politique après le 25 mai 2006 (date où je les ai téléchargé) et se rendait compte de leur ridicule et décidait alors en plus de cacher ces ridicule réponses.


Et voici la traduction en français. Je mets mes commentaires entre parenthèse avec NDLR à la fin.

Second texte :
En vérité, (je vous le dis NDLR) le traitement de canal de racine est une procédure sûre et efficace. (eh bien on attend les preuves…NDLR)

Des études de recherche exécutées dans les années 1930 et les années 1940 et ceux conduites en années postérieures n’ont montré aucun rapport entre la présence des dents traitées endodontiquement (de dents dévitalisées NDLR) et la présence de maladie. (Plus nier l’évidence que cela aurait été difficile NDLR). Au lieu de cela, les chercheurs ont constaté que les gens avec des remplissages de canal de racine risquaient moins d’être malades que les gens qui n’avaient pas eu.

(Effectivement c’est vrai d’une certaine façon mais ce n’est pas le sujet. C’est donc encore une tentative de manipulation mentale. Je m’explique. L’aae fait ici référence à la pulpotomie qui est une technique de dévitalisation ancestrale (toujours utilisée couramment pour les dents de laits d’ailleurs et encore par quelques vieux dentistes pour toutes les dents). La pulpotomie consiste à enlever la pulpe de l’intérieur de la couronne dentaire, en momifiant ensuite celle dans les canaux des racines donc sans véritablement traiter les canaux de racines pourrait-on dire.
Il est aussi possible ici que l’aae fasse référence à la nécrose dentaire qui peut survenir comme conséquence à la carie profonde qui n’est pas traitée ou mal traitée en laissant de la carie dessous. Les bactéries se développent alors encore plus facilement dans la pulpe que dans le cas de pulpotomie ou au moins la pulpe des racines est imprégnée de formol que les bactéries n’affectionnent pas trop. Mais cela n’a rien à voir avec le mythe que l’aae était censé détruire ici. Son discours est une véritable tromperie. NDLR)

Au cours des dernières années, cependant, un très petit nombre de dentistes et de médecins (sous entendu des marginaux… et sous entendu si on est plus nombreux c’est bien la preuve qu’on a raison NDLR) a prétendu que les dents qui ont reçu un traitement, de canal de racine (un traitement endodontique) contribuaient à la présence de maladies et d’affections de l’organisme. Cette revendication est basée sur la recherche périmée exécutée par docteur Weston Price de 1910-1930 (et celles d’autres scientifiques, médecins et dentistes bien plus récemment, quelle mauvaise foi de l’oublier ! NDLR). Sa recherche a déclaré que les bactéries prises au piège dans les dents pendant le traitement de canal de racine peuvent causer presque n’importe quel type de maladie, incluant l’arthrite, la maladie de coeur, la maladie de reins et d’autres.

La présence de bactéries dans des dents et la bouche est un fait accepté depuis plusieurs d’années. Mais la présence de bactéries ne constitue pas une infection et n’est pas nécessairement une menace à la santé d’une personne. Des bactéries sont présentes en permanence dans la bouche et les dents, même dans les dents qui n’ont jamais eu de caries ou d’autre affection. (C’est bien sûr vrai en partie mais cela n’a rien à voir avec le sujet. C’est d’ailleurs aussi faux en partie car on s’intéresse aujourd’hui aux conséquences à distance des poches parodontales. Mais les bactéries de la bouche dont parle ici l’aae, est ce qu’on appelle la bonne flore. On trouve aussi une telle flore dans le colon, et elle a même une grande importance mais ce n’est pas ici le sujet encore une fois. L’aae mélange sciemment la flore utile faite de bactéries aerobies en contact avec ce qu’en biologie on appelle le milieu extérieur car non baigné par le sang, avec la flore toxique faite de bactéries anaerobies présentes dans les dents dévitalisées et qui elles sont en rapport avec le milieu intérieur et donc le sang dans lequel elles déversent des toxines redoutables. Ce sont vraiment des arguments pour ignorants et on ne peut excuser l’aae encore une fois de confondre elle même ces deux concepts. C’est encore une fois une évidente tentative de manipulation mentale. NDLR)

Des tentatives plus récentes de reproduire la recherche de docteur Price et vérifier son exactitude ont échouées (Ah bon ! où et quand ? NDLR). Les chercheurs croient maintenant que les découvertes précédentes devaient avoir été causées par des mauvaises conditions d’hygiène et les techniques de recherche imprécises qui étaient communes dans la première partie 19ième siècle. (et les travaux récents du professeurs Boyd Haley, chef d’un département de biochimie, qui ne reproduisent pas certes exactement les travaux de Price mais sont encore plus scientifiques, c’est pour les chiens peut-être… NDLR)

Ces études plus récentes soutiennent la vérité (en vérité je vous le dis… mais jamais ne nous le démontre… NDLR) que nous annonçons aujourd’hui c’est à dire que les dents qui reçoivent le traitement approprié endodontique ne causent pas de maladie. (c’est ça…)

Et troisième texte :

(Ce texte répond bien sûr au courant des dentistes holistiques qui disent que le mieux est de ne pas garder de dents dévitalisées en bouche. NDLR)

(Troisième) Vérité. Sauver vos dents naturelles si possible, est la meilleure option . (C’est bien sûr vrai mais ce n’est pas le sujet car dent naturelle et dent dévitalisée ce n’est pas la même chose même si l’aae voudrait nous le faire croire par cette technique de manipulation mentale encore une fois. L’aae est encore hors sujet ici.NDLR)

Rien ne peut complètement remplacer votre dent naturelle (c’est vrai que le fait d’avoir un dentier n’est pas toujours aussi confortable que d’avoir une dent dévitalisée qui ne fait pas mal, mais encore une fois ce n’est pas le sujet mais un argument qui occulte plusieurs aspects de la science qui s’appellent la biologie et la toxicologie NDLR). Une dent artificielle peut parfois faire que vous éviterez certains produits alimentaires. La conservation de vos propres dents est donc importante pour que vous puissiez continuer à aimer la large variété de produits alimentaires nécessaires pour maintenir l’équilibre nutritif approprié dans votre régime. (faut pas exagérer quand même, avec un dentier bien réalisé on peut manger de tout. Et sinon pour ceux qui voudraient casser des noisettes avec leurs dents et ne le pourraient plus avec leur dentier, il existe des casses noisettes pour information. En lisant cet argument, je me suis vraiment écroulé de rire… L’aae mélange tout. Il est vrai que des personnes édentées ou qui ne supportent pas leur appareil dentaire, peuvent ensuite avoir des problème pour manger de tout et notamment des crudités et de la viande non hachée. Mais bon, en rappant suffisamment les crudités, ces personnes peuvent contourner le problème quand même. Et puis au 20ième siècle est apparu le mixeur, mais l’aae semble s’être arrété sur les connaissance de la fin du 19ième siècle semble-t-il encore une fois. NDLR)

Le traitement endodontique, avec la restauration appropriée, est une façon rentable de traiter des dents avec la pulpe endommagée et est d’habitude moins cher que l’extraction et le placement d’un pont ou un implant. (c’est parfois vrai en termes financiers notamment pour une seule ou deux dents dévitalisées en bouche. Mais c’est souvent faux aussi car lorsqu’il y a plusieurs dents dévitalisées, c’est moins cher de tout enlever et de faire un dentier que de toutes les couronner, voire pire faire de grands bridges. L’aae oublie de dire aussi que tous les dentistes disent qu’il faut toujours couronner les dents dévitalisées, ce qui limite un peu son argument commercial. Encore une fois l’aae oublie de parler des conséquences des dents dévitalisées sur la santé et nous sort des arguments de commerçant et nous explique que son produit est moins cher que la concurrence qui veut enlever les dents dévitalisées NDLR).

Le traitement endodontique a aussi un très haut taux de réussite. Beaucoup de dents avec un canal de racine traité durent toute la vie. (C’est vrai, mais le seul petit problème est que les dents avec un traitement de racine réduisent aussi la vie et en font une vie de souffrance, et c’est le sujet ici que se refuse malheureusement à traiter l’aae alors qu’elle prétendait démonter un mythe, celui de l’infection focale, ou de la toxicité des dents dévitalisées NDLR).

Le placement d’un bridge ou d’un implant exigera bien plus de temps dans le traitement et peut aboutir à de nouvelles procédures aux dents adjacentes et des tissus de soutien. (c’est vrai car la plupart des dentistes qui font des bridges dévitalisent aussi les dents piliers et font souvent des faux moignons en plus (des inlays cores). Quand aux implants dentaires, il faut souvent faire des greffes d’os et des soulevés de sinus, d’ou l’intérêt entre autre de ne faire que de la prothèse amovible. NDLR)

Des millions de dents bien traitées endodontiquement (dévitalisées, il faudrait le dire une fois quand même NDLR) servent des patients dans le monde entier, des années et des années après le traitement. Ces dents saines (facile à dire mais jamais prouvé NDLR) aident des patients à mâcher efficacement, à maintenir leur sourire naturel et augmentent leur plaisir de vie. Par le traitement endodontique, les endodontistes et des dentistes dans le monde entier permettent aux patients de tenir leurs dents naturelles pour le temps d’une vie (et d’être malades et mourir prématurément, c’était le sujet je le rappelle et l’aae ne nous a apporté pourtant aucun argument valable pour nous prouver le contraire. Les arguments qu’elle nous apporte s’adressent vraiment aux ignorants. L’aae n’a visiblement pas l’intention, comme le conseil de l’Ordre en France d’ailleurs, de rentrer dans un débat de spécialistes. Et elle a bien raison car il pourrait bien en ressortir que la dent dévitalisée est une des plus grandes causes d’empoisonnement du vingtième siècle NDLR).

Fin.

L’association des endodontistes américains n’a ici absolument pas une attitude scientifique. Elle aurait plutôt ici une attitude de commercant. Elle affirme détenir des vérités sans jamais pouvoir nous le prouver et en se gardant bien de parler des études scientifiques récentes qui prouvent le contraire de ce qu’elle avance, tout en apportant de la confusion dans le sujet en apportant des informations vraies certes, mais hors sujet. On pourrait presque dire que c’est de la manipulation mentale.

Voilà ce qu’elle aurait pu dire si elle avait au moins adopté une attitude honnête. Je suis sûr qu’avec mon texte je vais peut-être arriver à vous convaincre de garder vos dents dévitalisées d’ailleurs.

« Les dents dévitalisées rendent de multiples services. Il est vrai qu’il existe des études scientifiques qui montrent que les meilleures des dents dévitalisées peuvent provoquer toutes les maladies possibles et inimaginables. Mais il existe aussi des études scientifiques qui ne sont pas arrivé à prouver que certaines dents dévitalisées étaient toxiques. Dans le doute nous préférons penser qu’il serait alors dommage de les extraire. Nous pensons que le risque en vaut la peine, même si la mode aujourd’hui est le principe de précaution. Mais la mode, vous savez, ça passe.

Nous pensons effectivement que les avantages de la dent dévitalisée au niveau esthétique, masticatoire et du confort, restent supérieurs dans la plupart des cas à l’extraction de la dent et son remplacement par un dentier. Il y a bien sûr quelques exceptions qui sont reconnues par certains médecins dans des cas très particuliers (endocardite d’Ossler par exemple et d’autres encore).

Toutefois, si cela est notre intime conviction, nous ne pouvons honnêtement vous le prouver.

En retraitant parfaitement une dent nous ne sômmes jamais arrivé à améliorer une maladie grave comme un cancer par exemple, même si nous pensons qu’une dent bien dévitalisée provoque certainement moins de maladies à distance qu’une dent mal dévitalisée.

Par conséquent, c’est à vous de faire votre choix et de prendre le moins pire, pourrait-on dire. Mais vous devez sûrement connaître des tas de gens qui ont des dents dévitalisées et sont pourtant en bonne santé. Donc, même si c’est vrai, ce ne doit donc pas être trop grave quand même de garder des dents dévitalisées. Il faut tout relativiser.

Si vous choisissez de conserver vos dents dévitalisées comme nous pensons que c’est le mieux (surtout que c’est grâce à cela que nous vivons), nous les endodontistes seront alors les plus aptes de tous les dentistes à vous les faire conserver en bouche en vous dévitalisant vos dents le plus parfaitement possible, tout en sachant que le traitement endodontique parfait qui éliminerait tout matière putride n’existe pas, soyons honnête.

Pour le reste, c’est-à dire les maladies qu’elles peuvent éventuellement causer, encore faudrait-il que ce soit prouvé par l’académie des sciences ou de médecine. Personnellement nous n’en savons rien et ne voulons rien en savoir car cela ne nous regarde pas. C’est le job des médecins, éventuellement des scientifiques mais pas le nôtre. Le nôtre c’est de vous conserver vos dents, car nous sommes dentistes, et mettez vous bien ça dans la tête. Et dentiste comme son nom l’indique c’est celui qui soigne les dents. Si vous avez des problèmes de santé allez voir votre médecin et arrêter de nous parler de ça car ça ne nous regarde pas. Et si vous voulez vous plaindre de quelque chose adressez vous aux autorités car enfin, c’est quand même eux qui sont responsables de la santé publique. Alors c’est eux qui devraient être rendus responsables de toute cette histoire de toxicité des dents dévitalisées si elle est vraie, non mais. Nous on ne fait que ce qu’on nous a appris à l’université. Alors maintenant circulez, y’a rien à voir de plus.

Maintenant, si vous voulez avoir des dents bien dévitalisées, prenez vite rendez-vous avec un des membres de notre association au lieu de vous faire dévitaliser vos dents par les dentistes normaux car des études scientifiques montrent qu’aujourd’hui la majorité des dents dévitalisées par eux sont mal dévitalisées. Les dentistes qui font cela utilisent des produits anti-inflammatoires (hydrocortisone par exemple) dans les obturations de racine pour masquer l’excès de pourriture qu’ils y laissent. Escusez nous ce langage un peu cru mais parfois il faut bien appeler un chat un chat.
Les dentistes non spécialistes empêchent ainsi par des anti-inflammatoires, que l’organisme réagisse par une l’infection à l’excès de pourriture qu’ils laissent. Faut dire que ce n’est pas facile de bien dévitaliser des dents.

Alors si certains scientifiques pensent que les dents bien dévitalisées donnent plein de maladies à distance avec le peu de pourriture que nous on laisse dedans, je vous dis pas ce que les dents mal dévitalisées doivent provoquer. Nous les endodontistes, sommes en fait des limitateurs de pourriture, en quelque sorte et grâce à nous les gens sont certainement moins malades que si on leur laisse un maximum de pourriture dans leurs dents dévitalisées comme le font nos collègues non spécialistes bien souvent.

Donc venez vite vous refaire traiter par un spécialiste comme nous, toutes vos dents dévitalisées antérieurement par un dentiste non spécialiste du sujet. Evidemment ça vous coûtera environ dix fois plus cher, mais la santé n’a pas de prix, n’est-ce pas ?

Mais toute cette histoire de maladie à distance des dents dévitalisées, ce n’est que des hypothèses on vous le rappelle. Des hypothèses que défendent certes de nombreux éminents scientifiques mais des hypothèses quand même. Des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèses, des hypothèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèses ….

A partir de maintenant imaginez vous la marionnette de Geoges Bush aux guignols de l’info de Canal +. Personnellement c’est ce à quoi m’a fait penser les arguments de l’aae.

La vérité c’est la notre la vraie, d’ailleurs on a écrit vérité (truth en anglais) au début de chacun nos chapitres ce qui démontre bien que toute cette histoire de maladies provoquées par les dents dévitalisées est un mythe. Et si on l’a écrit c’est que c’est vrai. Alors que les autres, les arracheurs de dents dévitalisées, sont des menteurs. D’ailleurs on dit menteur comme un arracheur de dent. Vous le savez bien ça, c’est bien la preuve que c’est nous qui disons la vérité et pas les autres. Et comme autre preuve, en France, qui est bien connue comme étant le pays le plus intelligent du monde et qui a la meilleure médecine du monde puisque presque tout le monde est soigné, ils ont interdit d’exercer un dentiste qui disait le contraire. C’est bien encore une preuve irréfutable que c’est nous qui avons raison.

Donc en conclusion, nous les endodontistes, si une dent dévitalisée vous fait mal et que votre dentiste veut vous l’arracher, venez vite nous voir et nous, on arrivera sûrement à vous la sauvez, c’est sûr.
Fin.

Si l’aae avait écrit quelque chose dans ce genre, elle aurait au moins fait la preuve d’une certaine honnêteté. Une honnêteté qui personnellement fait que je respecte le choix de conserver ses dents dévitalisées. Je peux très bien comprendre que des personnes préfèrent prendre des risques pour leur santé et avoir moins de vitalité que d’avoir un dentier.

Le seul problème est que d’un autre côté on soit un peu moins tolérant vis-à-vis de ceux qui pensent le contraire et c’est là tout le problème.

Personnellement quand je dévitalisais des dents aux personnes qui refusaient catégoriquement que je les leur enlève alors qu’il n’y avait plus que cette solution pour supprimer leurs douleurs atroces, je les prévenais qu’ainsi je les empoisonnais un peu et qu’avec le temps cet empoisonnement pouvait conduire à leur faire perdre leur vitalité et à de très graves maladies. Mais que s’ils voulaient prendre un tel risque, c’était leur droit bien que je ne les y encourageais nullement. Mais avec du recul je pense que je me suis peut-être trompé d’attitude et que j’aurais du refuser de les soigner s’il refusaient que j’enlève leur dent. Moi même ne suis pas un exemple comme vous le voyez.

Fin.

Annexe : Voici maintenant et pour finir, les deux textes originaux en anglais présents sur le site de l’AAE pour soi disant détruire un mythe. Ma foi avec certaines personnes ça doit marcher, c’est sûr. Avec un certain R.B. ça a d’ailleurs très bien fonctionné jusqu’à présent.

Truth—Root canal treatment is a safe and effective procedure.

Research studies performed in the 1930s and 1940s and those conducted in later years showed no relationship between the presence of endodontically treated teeth and the presence of illness. Instead, researchers found that people with root canal fillings were no more likely to be ill than people without them.1,2

Over the past several years, however, a very small number of dentists and physicians have been claiming that teeth that have received root canal (endodontic) treatment contribute to the occurrence of illness and disease in the body. This claim is based on the outdated research performed by Dr. Weston Price from 1910-1930. His research stated that bacteria trapped in the teeth during root canal treatment can cause almost any type of disease, including arthritis, heart disease, kidney disease, and others.

The presence of bacteria in teeth and mouth has been an accepted fact for many years. But presence of bacteria does not constitute “infection” and is not necessarily a threat to a person’s health.3 Bacteria are present in the mouth and teeth at all times, even in teeth that have never had a cavity or other trauma.

More recent attempts to copy the research of Dr. Price (and to check its accuracy) have been unsuccessful. Researchers now believe that the earlier findings may have been caused by poor sanitation and imprecise research techniques that were common in the early 1900s.1

These more recent studies support the truth we report today—that teeth that receive proper endodontic treatment do not cause illness.

Truth—Saving your natural teeth, if possible, is the very best option.

Nothing can completely replace your natural tooth. An artificial tooth can sometimes cause you to avoid certain foods. Keeping your own teeth is important so that you can continue to enjoy the wide variety of foods necessary to maintain the proper nutrient balance in your diet.

Endodontic treatment, along with appropriate restoration, is a cost-effective way to treat teeth with damaged pulp and is usually less expensive than extraction and placement of a bridge or an implant.

Endodontic treatment also has a very high success rate. Many root canal treated teeth last a lifetime.

Placement of a bridge or an implant will require significanly more time in treatment and may result in further procedures to adjacent teeth and supporting tissues.

Millions of healthy endodontically treated teeth serve patients all over the world, years and years after treatment. Those healthy teeth are helping patients chew efficiently, maintain the natural appearance of their smiles and enhance their enjoyment of life. Through endodontic treatment, endodontists and dentists worldwide enable patients to keep their natural teeth for a lifetime.


Fin

Qui suis-je.

June 10, 2006 on 5:58 pm | In Qui suis-je ? | 1 Comment

Je m’appelle Bruno Darmon, je suis l’auteur des textes de ce site et je réside dans le Sud Est de la France près de Nice et Cannes. Mon seul titre officiel est docteur en chirurgie dentaire. Je suis tout d’abord un thérapeute de médecines naturelles qui possède aujourd’hui de multiples outils de médecine naturelles et une maison en montagne pour recevoir et soigner les personnes malades (voir http://centre-de-revitalisation.skyrock.com) qui possède un sauna et de multiples appareillages. Les outils que je maitrise permettent de résoudre la plupart des problématiques de santé sans avoir besoin de recourir à une médecine moderne chimique ou chirurgicale aux terribles effets secondaires mais dont très peu de personnes ont semble-t-il conscience, pour leur plus grand malheur.

J’ai obtenu mon diplôme de docteur en chirurgie dentaire après être rentré major primant au concours de première année de médecine de Nice, et j’ai exercé la dentisterie une quinzaine d’années, jusqu’en 2004. Mais ce qui m’a toujours le plus intéressé est de pouvoir guérir toutes les maladies, pas uniquement celles des dents et donc de faire de la médecine en fait. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait en quelque sorte. Je faisais en fait plus précisément de la médecine énergétique que j’associais à de la dentisterie énergétique ou holistique. Vous pouvez d’ailleurs remplacer le terme de médecine énergétique par médecine douce ou médecine naturelle si vous comprenez mieux ainsi. Cela m’a permis de guérir des centaines de personnes de maladies graves parfois et en tous cas de maladie que la médecine ne pouvait guérir. Si j’ai choisi de faire des études de dentaire, alors qu’à l’époque seuls les plus mauvais étudiants du concours de première année de médecine choisissaient cette voie, c’est que j’ai eu l’intuition que les études de médecine serait un piège où je perdrai mon temps à apprendre des tas de choses inutiles pour ce que je voulais faire c’est-à-dire une médecine qui n’empoisonnerait ni mutilerait personne. Une médecine naturelle qui de toute façon n’est pas enseignée aujourd’hui dans les universités de médecine.

Dès le début de mes études, j’ai aussi eu l’intuition que la clef de la santé de beaucoup de personnes et de la mienne en particulier se trouvait plutôt dans la bouche qu’ailleurs, compte tenu de mes nombreux passages chez le dentiste et de ma santé boiteuse lorsque j’étais jeune. Pour toutes ces raisons, je me suis dirigé vers les études de dentaires et non vers celles de médecine. C’est d’ailleurs ce que je conseillerai de faire à toute personne dont l’objectif est de vouloir guérir les malades car d’une certaine façon aujourd’hui, la clef de la santé de millions de personnes se trouve plus entre les mains des dentistes et des médecines douces que des médecins de la médecine chimique allopathique voire homéopathique, aussi incroyable que cela puisse paraitre . C’est un peu pour montrer cela que j’ai mis une centaine de guérisons de maladies diverses en témoignage vidéo sur le site www.sante-dents.com. Et c’est d’ailleurs parce que la population ne le comprend pas qu’elle est aujourd’hui si malade.

Après mes études officielles, je me suis intéressé à toutes sortes de médecines naturelles ainsi qu’à une dentisterie qu’on pourrait appeler la dentisterie holistique car elle s’intéresse aux rapports entre les dents et la santé dans son ensemble. J’ai rencontré de multiples dentistes qui étaient connus pour guérir des maladies grâce à cette dentisterie et ils m’ont gentiment transmis leur savoir, car cette dentisterie n’est pas enseignée en université dans la mesure où elle remet en question certaines pratiques et dérange donc certains enseignants. Les institutions en général donc l’université aussi, préfèrent souvent maintenir une certaine harmonie en leur sein plutôt que de s’intéresser aux informations dérangeantes et révolutionnaires. C’est pourquoi il est rare qu’on trouve les informations les plus intéressantes dans les institutions, c’est ainsi. Cela ne veut pas dire non plus que les institutions n’ont pas leur intérêt aussi mais plutôt qu’il faut savoir qu’elles ont aussi leurs limites que certains groupes minoritaires dépassent généralement car ils ont généralement plus de liberté d’action. Parmi les dentistes exceptionnels qui m’ont transmis leurs enseignements il y eut le Dr J.P.Galiano (un précurseur sur les amalgames, aujourd’hui interdit d’exercer à vie), le Dr davo Koubi (aujourd’hui décédé), et le Dr Landwerllin aujourd’hui retraité pour n’en citer que quelques uns. Des dentistes qui face aux pathologies chroniques guérissaient mieux que ce que les médecins savaient faire et pas juste des beaux parleurs ou écrivains qui n’avaient jamais guéris personnes comme par exemple certains qui s’expriment sur internet contre mon discours sur les dents dévitalisées et qui se disent les représentant de la dentisterie holistique. C’est avec eux et grâce aussi à des médecins exceptionnels comme le Dr J.G. THOMAS (à la retraite aussi aujourd’hui) que j’ai compris beaucoup de choses et notamment que moins on avait en bouche d’amalgames dentaires, de dents dévitalisées, de dents incluses ou trop loin au fond de la bouche comme c’est souvent le cas des dents de sagesse, et mieux on se portait. Et c’est pour avoir informé mes patients de cette réalité, notamment sur les dents dévitalisées, que le Conseil de l’Ordre des dentistes m’a interdit d’exercer à vie en juin 2004 pour selon lui un manquement grave à l’éthique. C’est bien sûr eux les dentistes qui ont effectué cet abus de pouvoir qui ont réalisé ainsi un manquement grave à l’éthique mais c’est bien connu : « la raison du plus fort est toujours la meilleure ». Et pour l’instant c’est moi qui suis interdit d’exercer tandis qu’ils continuent probablement à dévitaliser des dents saines pour faire des bridges, et en tout cas dévitaliser des dents sans informer leurs patients des terribles risques qu’ils leur font prendre pour leur santé. Ils taisent aussi une information dont dépend rien qu’en France la santé de millions de personnes qui pourraient retrouver la santé si on leur enlevait leur dents dévitalisées. Mais à part ça, rien de grave…

Pour l’anecdote, quelques années auparavant, à la fin de mes études de dentaire, ce même Conseil de l’Ordre m’avait attribué un prix après un concours national organisé par lui-même sur l’éthique. Concours qui récompense chaque année cinq ou six étudiants sur toute la France qui effectuent une bonne dissertation sur l’éthique. C’est rigolo non… enfin sauf pour moi… Pour moi la vraie éthique comprend l’information des patients sur la réalité empoisonnante de certains traitements dentaires et cela même si ça contrarie la profession. L’harmonie sans vérité est une forme de trahison en fait. En ne voulant pas affoler la population avec la réalité empoisonnante des dents dévitalisées, on la conduit en fait au précipice.

J’ai aussi assez vite compris que notre médecine moderne, même si elle permettait de soigner, de supprimer des souffrances et de sauver des vies on ne peut le nier, avait aussi de terribles effets secondaires qui à terme, j’en suis aujourd’hui persuadé, représentent en fait une cause essentielle de maladies graves et de handicaps de notre civilisation, voire la principale cause (après les dents dévitalisées) bien plus que toutes les pollutions dont on nous parle couramment et dont parlent couramment les écologistes par exemple, même si c’est important aussi on ne peut le nier.

Même si la dentisterie holistique représente un formidable outil thérapeutique, elle n’est évidemment pas suffisante pour répondre à toutes les demandes thérapeutiques. J’ai donc acquis d’autres outils de médecine naturelle. J’ai appris l’acupuncture de l’école Lavier, un génie, dentiste français à l’origine qui était allé apprendre l’acupuncture dans les monastères de Taïwan et en avait rapporté une acupuncture extrêmement efficace. L’école Lavier ne fait aucune publicité pour avoir des élèves, dans la pure tradition de l’acupuncture. C’est le maitre qui décide un jour de proposer cet enseignement aux élèves qui se présentent à lui. J’ai eu cette chance d’accéder à cet enseignement que l’on m’a proposé de suivre un jour. L’acupuncture actuelle en Chine selon Lavier n’est aujourd’hui qu’une version peu efficace de la vraie acupuncture qui avait été préservée à Taiwan, car c’est là et seulement là selon lui qu’elle avait été épargnée de la folie destructrice et meurtrière de la révolution culturelle de Mao Tsétoung qui fit décapiter les vrais maitres d’acupuncture (50 000 environ) qu’elle estimait ne pas être assez au service du peuple. On décapita ainsi la vraie acupuncture qui fut remplacée en Chine par une acupuncture de seconde zone qui n’avaient pas reçu cet enseignement essentiel juste transmis de maitre à élève et qui aujourd’hui diffuse en occident une acupuncture peu efficace qui la déconsidère par conséquent. C’est cette acupuncture de Taiwan qui m’a jadis sauvé la vie alors que je fis une crise cardiaque ou une crise d’asthme. C’est cette acupuncture qui m’a permis de relever en une séance une fois une personne qui avait eu un accident vasculaire cérébrale et pouvait à peine marcher. C’est cette acupuncture qui m’a permis de guérir bien des choses bien souvent et il y a peu d’urgences médicales que je ne peux traiter aujourd’hui avec mes aiguilles d’acupuncture que j’ai quasiment toujours sur moi.

Mais cela ne suffisait pas et j’ai aussi acquis en partie d’autres outils thérapeutiques fort intéressants comme la phytothérapie, l’aromathérapie (les huiles essentielles) dont je ne vais pas ici vanter les mérites car ce sont des médecines assez connues aujourd’hui.

Je ne refuse pas non plus certaines avancées technologiques modernes. Je dispose en effet aussi d’un appareil d’ozonothérapie, ce qui est fort intéressant je vous assure, ainsi qu’une chi machine, d’appareils d’onde magnétique pulsées et d’ionisation, et d’autres appareils encore.

J’ai aussi acquis des connaissances dans le domaine de la chromothérapie. C’est une médecine étonnante sur tout ce qui touche au cerveau. Il m’est souvent arrivé de supprimer en une seule séance des dépressions graves juste en mettant des lunettes de couleurs dans un certain ordre sur les yeux. Mais le cas le plus incroyable que j’ai guéri avec la chromothérapie, je vais vous le raconter maintenant et moi-même j’en fus étonné. C’est un patient qui était aussi un ami thérapeute d’ailleurs, qui s’est un jour retrouvé à l’hôpital après un grave accident qui l’a mis dans le coma quelques jours. En sortant du coma, et encore une dizaine de jours après il avait perdu totalement la mémoire. Il ne reconnaissait plus ses proches et ne savait d’ailleurs même pas où il était et pourquoi il y était même si on le lui avait déjà expliqué. Bref son cerveau était dans un sale état. Un jour j’allai le voir à l’hôpital comptant bien le soigner, en amenant quelques outils thérapeutiques. Après deux heures de chromothérapie, il eut très mal à la tête. Je lui appliquais alors le complexe d’huiles essentielles que je venais de lui faire, après lui avoir fait boire le complexe d’hydrolats que je lui avais aussi concocté. Puis miracle, il me reconnu, me demanda ce qu’il faisait ici, ce que je lui expliquai et il retrouva sa tête immédiatement totalement et définitivement. Il sortit alors de l’hôpital quelques jours plus tard. La chromothérapie, est vraiment un outil formidable, je vous assure, pour tout ce qui touche au cerveau et cela pourrait éviter bien des traitements de psychiatrie qui détruisent les cerveaux. C’est d’ailleurs un psychiatre, le Dr Agrapa qui le premier en France a fait de la chromothérapie et grâce à cela évitait à ses patients tous les médicaments chimiques. Il serait temps que les autres psychiatres s’y intéressent.

Je me suis aussi beaucoup intéressé à l’Ayurvéda, la médecine traditionnelle indienne. J’ai fait plusieurs stages d’Ayurvéda avec différents enseignants. L’Ayurvéda est une science médicale tellement vaste que je pense que toute ma vie, j’en apprendrai sur le sujet. La chromothérapie fait d’ailleurs partie de l’Ayurvéda.

Je me suis aussi intéressé à la naturopathie que l’on pourrait qualifier de médecine naturelle occidentale s’intéressant principalement aux corrections alimentaires. Toutefois aujourd’hui j’estime que les connaissances de l’Ayurvéda sont bien supérieures à la naturopathie et je suis un fervent adepte du végétarisme indien (sans viande ni poisson ni œufs mais avec laitages) même si je peux aussi expliquer aux non végétariens ce qu’il leur faut faire pour rester en bonne santé.

Je me suis aussi intéressé à la chronobiologie pour comprendre notamment qu’il faut enlever les dents dévitalisées, en lune décroissante, et l’après midi, exactement le contraire de ce qu’on faisait à la fac où on opérait toujours les patients le matin.

Je me suis aussi intéressé à certaines techniques de méditations fort efficaces pour se soigner soi même. Des méditations qui constituent un yoga de l’esprit en quelque sorte. Des techniques que j’enseigne parfois à mes patients.

Je suis aussi un chercheur dans le domaine médical des médecines naturelles et notamment de ce qui touche à la dentisterie holistique et notamment au traitement des mémoires laissées par les dents dévitalisées extraites. En effet, si enlever les dents dévitalisées est souvent le traitement le plus efficace de la dentisterie holistique et des médecines douces en générale, il reste encore souvent dans l’os qui entourait les dents, une certaine toxicité résiduelle qui continue à empoisonner l’organisme. Je me suis donc penché passionnément sur ce sujet et j’ai trouvé des solutions originales et efficaces dont certaines injections dans les gencives. Des techniques si efficace qu’une fois elles ont permis d’améliorer un cas de sclérose en plaque sur lequel tous les thérapeutes de Genève était passés auparavant sans arriver à l’améliorer autant que ces techniques particulières. C’est ce que m’a témoigné la patiente et que j’ai d’ailleurs constaté en la revoyant. Le patient avec qui j’ai le plus travaillé sur ses mémoires de dents dévitalisées m’a témoigné que ce traitement lui avait fait autant de bien que le fait d’avoir enlevé ses dents dévitalisées. Intéressant non.

Une de ces techniques est d’ailleurs la cristallothérapie dentaire.
La cristallothérapie, qui fait partie aussi de l’Ayurvéda. En portant des pierres au cou, au poignet et même en les scotchant avec un sparadra sur certains points d’acupuncture ou en face des organes malades tout simplement, on peut soigner de façon très efficace surtout quand ce sont des pathologies de manque d’énergie. Et c’est ainsi ensuite que j’ai découvert une cristallothérapie dentaire. Je m’explique. Les dents possèdent une structure cristalline (d’hydroxyapatite plus précisément) et lorsqu’on fait des prothèses dentaires, amovibles notamment, c’est ce qui est le mieux pour la santé pour remplacer les dents absentes, les dents sont soient en résine soit en céramique. Ces deux matériaux n’ont pas de structure cristalline pouvant transmettre à la loge dentaire une énergie que les dents vivantes cristallines transmettent. La solution est donc d’insérer dans les prothèses, au niveau des dents plus exactement, des cristaux. Les personnes trouvent alors leur prothèse bien plus facile à supporter. Souvent même ils ne veulent plus l’enlever car ils sentent qu’elle leur fait du bien. Une patiente dont le mari est thérapeute et analyse les énergies avec un appareil qui s’appelle l’antenne de Lecher m’a dit que son mari avait constaté que ses corps énergétique se recentraient dès qu’elle portait sa prothèse avec cristaux, ce qui n’était pas le cas avec son ancienne prothèse, elle aussi en plastique coulé mais sans cristaux. Dernièrement un ancien patient m’a téléphoné car il avait un problème au coude, des fortes douleurs. Il se frictionnait aux huiles essentielles, avait consulté plusieurs fois un célèbre acupuncteur de ma région après en avoir consulté un autre avant, avait vu ostéopathes et kiné, mais rien n’y faisait de très efficace. Comme il se rappelait que jadis je l’avais soigné de choses diverses et variées lorsque personne n’était arrivé à le soigner, il revint me voir pour son coude. Je plantais alors une aiguille d’acupuncture dans un endroit précis de sa gencive et la douleur au coude s’atténua fortement. Avec d’autres informations j’en déduisis que sous cette gencive il y avait encore un bout d’os pourri à cause de son ancienne dent dévitalisée aujourd’hui extraite, mais qui aujourd’hui lui affectait le coude. Je lui dis alors qu’il fallait comme dans le passé faire une piqure dans l’os sous sa gencive. Une piqure qui je le lui rappelai, l’avait jadis guéri de multiples choses d’ailleurs. Mais à vrai dire, ces piqures font un peu mal, je dois l’avouer, pas toujours toutefois. J’ai compris certaines choses aujourd’hui pour diminuer la douleur mais au début quand je les faisais ça faisait assez mal je dois l’avouer. Alors il ne fut pas très chaud pour cette nouvelle piqure et me demanda si je n’avais pas encore une autre solution par hasard. Alors je lui proposai de mettre des cristaux dans sa prothèse. La semaine suivante quand nous nous téléphonâmes il n’avait quasiment plus mal à son coude et depuis il en est suffisamment satisfait du résultat pour ne rien faire d’autre. Et en plus il n’avait plus mal au cou non plus. Intéressant non ! Toutefois je pense qu’en vieillissant quand son énergie baissera encore, les problèmes reviendront probablement et qu’il sera obligé de faire mes fameuses piqures s’il voudra alors guérir.

Le traitement des os malades des mâchoires après extraction des dents dévitalisées est un domaine médical qui représente un espoir gigantesque pour la santé de millions de personnes, sachez le. Et ceux qui s’imaginent qu’ils pourraient enlever la toxicité résiduelle dans les os des mâchoires par de l’homéopathie par exemple, ou autre chose, plutôt qu’agir directement localement dans les os des mâchoires, se trompent et induisent les patients dans l’erreur et la perte de temps voire de leur vitalité quand ils les font toucher à l’homéopathie notamment qui baisse l’énergie globale des patients pour guérir, je le rappelle (voir texte « médecine des poisons » ou « médecine et énergie »).

Voici encore un autre outil intéressant que j’ai plus ou moins découvert. Les cautérisations de gencive, voire de cicatrices de la peau avec un simple instrument de métal chauffé. C’est une technique dont j’ai eu l’idée après un séminaire de dentisterie holistique où on enseignait de brûler les gencives avec un laser pour traiter les blocages d’énergie consécutifs aux cicatrices de gencives après extraction des dents. Comme je n’avais pas de laser ni l’intention d’en acheter, car c’est un outil très onéreux, j’ai eu l’idée de simplement bruler la gencive avec un instrument métallique chauffé à la flamme, lorsque j’identifiais une cicatrice toxique. Grace à cela j’ai une fois redonné la vue à un œil totalement aveugle, c’est vous dire la puissance de la technique quand l’indication est bien posée. Je me suis aussi aperçu que bruler les cicatrices de la peau est aussi très efficace quand elles bloquent l’énergie. On brule bien sûr juste le ou les points où l’énergie est bloquée. C’est bien plus efficace que toutes les autres techniques qui existent aussi sur le traitement de cicatrice que certains neuralthérapeutes et ostéopathes connaissent bien d’ailleurs.

J’ai aussi eu l’idée d’un implant révolutionnaire mais qui en n’est encore que juste au stade de l’idée car je ne possède pas encore le financement pour le développer. C’est un concept tout à fait original et révolutionnaire qui serait un progrès important dans le domaine de l’implantologie mais je ne vous en parlerai pas plus ici désolé. J’espère juste que d’en parler ici me fera venir les financements nécessaires pour développer ce projet.

Je me suis intéressé aussi aux médecines que je qualifierais d’électriques. Il s’agit de médecines utilisant les courants faibles. Je possède d’ailleurs un appareil étonnant d’efficacité utilisant l’électricité statique et divers autres appareils utilisant le courant continu et les ondes magnétiques pulsées notamment, j’en ai déjà parlé. Mais l’appareil à électricité statique me semble être ce qu’il y a de plus efficace en général. Toutefois, ces médecines électriques m’ont donné l’idée d’un appareillage qui pourrait apporter de l’énergie électrique ou des ondes magnétiques pulsées thérapeutiques dans les zones dentaires d’os affectées par les anciennes dents dévitalisées, encore une fois pour traiter les mémoires. C’est un appareil que je suis encore en train de mettre au point et de tester donc je vous en dirai plus, plus tard mais cela semble assez prometteur. Il suffira de mettre son appareil en place dans la bouche devant la télé le soir et d’allumer un petit boitier qui transmettra aux zones d’extraction dentaire des ondes magnétiques pulsées qui soigneront les mémoires des dents dévitalisées.

Que vous dire d’autre sur mes thérapeutiques. Je m’intéresse aussi aux thérapeutiques par les aimants, par les élixirs de fleurs et même aux arts divinatoires.

Tout ce qui touche aux thérapeutiques naturelles m’intéresse en général tandis que j’informe toujours du danger des médecines chimiques et des opérations chirurgicales, qu’on peut presque toujours éviter lorsqu’on maitrise correctement les médecines naturelles. On peut même éviter parfois des greffes d’organes, je vous assure. Mais bon pour pouvoir croire cela, encore faut-il sortir de l’état d’hypnose collective dans lequel la majorité de la population se trouve actuellement pour notre médecine moderne. Une médecine moderne qui est aussi le plus grand pourvoyeur de maladies graves, de grabataires et d’handicapés, à cause de ses terribles effets secondaires. Le jour où notre civilisation ouvrira les yeux sur cette réalité, elle fera un grand pas en avant pour sa vitalité. Tout comme elle fera un grand pas en avant lorsqu’elle se rendra compte que les dents dévitalisées l’empoisonnent encore plus que tout, bien plus généralement que tout ce qui est communément dit par les médias et les médecins notamment, enfin tant que les centrales nucléaires n’auront pas explosé….. Dieu nous en préserve.

Dr bruno Darmon

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