Une histoire de famille fort instructive avec une inventeuse d’un appareil pour détendre les machoires.

February 8, 2012 on 11:01 am | In Non classé | Comments Off

Ce qui caractérise l’histoire de la toxicité des dents dévitalisées c’est le manque d’engagement sur le sujet des personnes qui ont été guéries en les faisant enlever alors que rien ne pouvait les guérir sinon. Peut-être que les personnes guéries ne veulent pas dire aux autres que maintenant elles portent des dentiers !!!! C’est ce qui expliquerait en partie que malgré le caractère extraordinaire de cette méthodologie pour retrouver la santé, elle est encore trop peu connue. Mais pourtant il y a parfois des exceptions et celle ci nous vient aujourd’hui d’une famille franco polonaise qui a récemment fait un communiqué de presse sur ce sujet. Félicitations à eux. Le communiqué parle aussi d’un petit appareil médical, fort intéressant pour le repositionnement des ATM: articulations temporo mandibulaires, ce qui concerne beaucoup de monde. On rencontre en effet fréquemment dans la population, des tensions des machoires que les dentistes pensent souvent n’être dues qu’à des problèmes occlusaux (des rapports des dents du haut avec celles du bas), mais qui en fait sont aussi souvent dues aux foyers infectieux de la bouche et donc aux dents dévitalisées. Ces tensions en elles mêmes sont susceptibles de provoquer des troubles de santé à distance et de les faire disparaitre peut parfois suffire à faire disparaitre ces troubles. La disparition de ces tensions demanderaient idéalement l’élimination des causes mais en attendant les dentistes mettent souvent des gouttières onéreuses alors qu’on peut facilement se traiter soi même en machant plusieurs fois par jour un petit bout de tuyeau qu’on positionne de telle sorte qu’on le mache en même temps à droite et à gauche. Cela se faisant tout en avalant sa salive. Ce sera plus précisément un tuyeau en plastique de la taille d’un tubulaire d’acquarium (voir en magasin d’acquariophilie). C’est un tel petit bout de tuyeau que le Dr J.G. Thomas donnait à tous ses patients ou presque quand il constatait une tension des machoires. Toutefois on peut aussi acheter le petit appareil Ora dont parle le texte suivant, qui est un peu plus sophistiqué encore, il faut bien l’avouer.

Communiqué de presse
le 8 février 2012

Intoxiqués par les dents dévitalisées
comme quarante millions de français

Selon Corinne Lepage, qui a compris depuis longtemps et avant beaucoup
d’autres politiciens, la folie du nucléaire, la dent dévitalisée est
« un grave problème de santé publique »

C’est une information essentielle mais pourtant trop peu connue. Elle est cachée, niée et persécutée par l’institution dentaire française, difficile à comprendre par le public et n’intéresse aucune corporation. Si on ajoute à cela des incitations financières pour les dentistes à dévitaliser les dents plus qu’ailleurs au Monde grâce à la bonne sécurité sociale française et les mutuelles pour rembourser les couronnes sur dents dévitalisées, on obtient alors le peuple le plus malade du Monde qui consomme ainsi le plus de médicaments. J’espère que l’histoire de ma famille vous fera comprendre la folie qui consiste à introduire la mort dans les organismes vivants par la dent dévitalisée. La France m’a accueilli jadis alors voici aujourd’hui mes remerciements.

-Je m’appelle Jerzy Sobczak, je suis polonais et quelqu’un de bon sens avant tout. J’étais quelqu’un de très colérique et ne savais expliquer cet état. Mon problème a disparu en enlevant une dent dévitalisée.

-Ma femme est Dr ès Sciences. Elle s’est penché sur les divers poisons classiquement connus aujourd’hui pour comprendre que leurs implications sont généralement moindres que celles dues aux dents dévitalisées. Elle a inventé un petit appareil baptisé Ora pour traiter les troubles musculo-squelettiques en remettant en place les articulations temporo- mandibulaires( voir la notice en P.J.).Elle était malade pendant des années et personne n’en trouvait la cause. Elle a été guérie en enlevant toutes ses dents dévitalisées, il y a déjà plus de dix ans. Aujourd’hui elle a 56 ans et depuis sa guérison, elle n’a plus coûté un centime à la sécurité sociale.

-Ma mère était asthmatique. Elle a enlevé sa dent dévitalisée et a guéri. Aujourd’hui elle a 82 ans, aucun des problèmes de santé, et cultive toujours son jardin.

-Ma belle-sœur, souffrait depuis cinq années de migraine, de douleur de dos, dorsales et cervicales et de dépression. Elle a enlevé ses dents dévitalisées. Aujourd’hui elle n’a plus besoin de soins pour la dépression et malgré l’arthrose elle a pu reprendre le travail.

-Mon fils Florent, avait une molaire cariée que sept dentistes français voulaient dévitaliser et refusaient d’extraire. Pour qu’il reste en bonne santé, j’ai du la faire extraire en Pologne car on y a bien plus conscience du problème des dents dévitalisées.

Tous ces faits peuvent être vérifiés évidemment.
Certes, nous avons maintenant des dentiers mais rien n’est plus précieux que la santé.

Avant d’être Dr es sciences, ma femme a servi pendant deux ans d’assistante à un médecin acupuncteur et phytothérapeute aujourd’hui à la retraite, le Dr J.G. Thomas à Grasse, qui conseillait à tous ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées et souvent aussi leurs dents de sagesse manquant de place. Elle a été témoin de centaines de guérisons de diverses maladies qu’aucun médecin n’avaient pu guérir auparavant car ils avaient oublié de prendre en considération le problème des dents dévitalisées que Mme Corinne Lepage estima un jour être une grave question de santé publique voir http://michel.raynaud.pagesperso-orange.fr/mem_clpg.htm

Pour en savoir plus: sur l’appareil Ora: www.ora-lora.com

sur la santé en rapport avec les dents dévitalisées:
www.sante-dents.com site contenant une centaine de témoignages vidéo de guérisons exceptionnelles après extractions de dents dévitalisées.

Contact presse :

Madame Bogumila Cyrulik
Tél. : 09 52 43 03 87
Mail : bogumila.cyrulik@free.fr

Les chroniques du Dr Darmon avec l’Ordre des dentistes.

December 28, 2011 on 6:01 pm | In Non classé | Comments Off

Les chroniques du Dr Darmon avec l’Ordre des dentistes. Le 21/01/2012 pourrait être une date cruciale pour la santé publique.

Texte un peu long certes mais peut-être essentiel pour la santé publique.

Introduction : J’ai demandé il y a déjà six mois au Conseil de l’Ordre des dentistes à pouvoir exercer à nouveau ma profession de dentiste. C’est ainsi que je dois être rejugé après une audience qui aura lieu à Marseille le 21 janvier 2012.
J’ai l’intuition que ce qui se passera à Marseille ce 21 janvier 2012 pourrait être crucial pour la santé publique de notre pays et ceux qui voudraient avoir la bonne idée de médiatiser cette histoire pour diffuser la vérité qu’elle recèle œuvreront ainsi pour la santé publique. Une bonne opportunité pour chacun de se faire du bon karma pour ceux qui y croient. Le président du tribunal est une juge non dentiste, ce qui est assez nouveau dans les procédures ordinales et me donne par conséquent toutes les chances d’être autorisé à exercer à nouveau. Elle sera toutefois assistée par un collège de dentistes dont certains ont déjà été mes précédents condamnateurs. Actuellement s’effectue un échange de courriers. Je vous fournis ici mon dernier courrier que j’ai toutefois un peu étoffé pour vous. Il pourrait intéresser plus d’un journaliste en recherche d’histoire de complot, comme vous allez le voir.

le 7 décembre 2011

Réponse au dernier courrier du Dr Bonardo en qualité de président du Conseil de l’Ordre des chirurgien-dentistes des Alpes Maritimes.

Madame la Présidente.

Je constate tout d’abord que le courrier précédent du Dr Bonardo omet de préciser l’essentiel de ce qui avait été demandé, à savoir, quels étaient les griefs reprochés nombreux et graves selon les termes de l’Ordre qui justifiaient un avis défavorable à ma reprise d’activité après environ sept années d’interdiction d’exercer.
D’autre part malgré le fait que je précise vouloir me conformer dorénavant aux bonnes pratiques de la profession telle que définies par l’Ordre, le Conseil de l’Ordre ne donne toujours pas d’avis favorable à ma reprise d’activité. J’en déduis donc qu’il maintient son avis défavorable initial.
D’autre part aucun commentaire n’est apporté sur les éléments mis dans le précédent courrier qui pourraient laisser penser qu’il est peut-être éthique de proposer aux patients malades, l’extraction de leurs dents dévitalisées, ce pourquoi je fus jadis condamné.
Mais par contre, le Président de l’Ordre justifie les sanctions prises à mon encontre dans un objectif de préservation de la santé publique. Je ne doute pas de la bonne foi du Dr Bonardo qui a pensé préserver la santé publique en œuvrant pour me faire interdire d’exercer. Puisqu’il n’aborde que ce sujet qui me semble pourtant un peu hors sujet, je vais donner quelques informations sur ce point afin que tout soit plus clair notamment les raisons pour lesquelles le Conseil de l’Ordre ne donne peut-être pas d’avis favorable à ma reprise d’activité.

Je fus interdit jadis d’exercer parce que de part ma pratique, j’appartenais à un petit courant de thérapeutes, qui est aujourd’hui encore minoritaire dans le monde et surtout en France. Ces personnes pensent que les dents dévitalisées même sans symptômes infectieux apparents pourraient intervenir grandement dans la dévitalisation des organismes et aussi dans de très nombreuses maladies. La dent dévitalisée est l’exception de la médecine moderne à une règle qui spécifie de ne pas conserver d’organes morts. La dent dévitalisée est en effet le seul organe mort que l’on a consenti conserver dans les organismes vivants car cela faisait énormément plaisir au public qui ainsi évitait l’extraction. En général, la règle en médecine est de se débarrasser de tout organe mort qui peut provoquer une septicémie en se gangrénant. Mais en extirpant les parties molles de la dent (la pulpe, ou le nerf en langage populaire) et en les remplaçant par de la pâte antiseptique, on s’est aperçu que le corps arrivait à accepter cette dent dévitalisée. Enfin apparemment, car certains soupçonnent la dent dévitalisée de provoquer toutes sortes de maladies même si elle ne présente aucune infection apparente juste autour d’elle. Ce sujet entre dans la théorie de l’infection focale. Ces personnes pensent par conséquent qu’il est éthique de proposer l’élimination des dents dévitalisées, au moins aux personnes malades ou fatiguées.
Dans la pratique, lorsque j’exerçais encore, j’informais mes patients des avantages et des inconvénients de la dent dévitalisée en insistant un peu c’est vrai sur les inconvénients car je pensais qu’il y en avait plus que des avantages. Certains patients convaincus acceptaient de faire enlever toutes leurs dents dévitalisées surtout s’ils étaient malades et certains le regrettaient parfois ensuite c’est vrai. Mais d’autres guérissaient grâce à cela de choses et d’autres et retrouvaient de la vitalité de façon étonnante.
Le sujet est donc complexe, on le voit et ne peut se résumer à dire en gros comme le dit le Dr Bonardo, et qui revient à dire: « la science a condamné cette pratique donc j’ai condamné le Dr Darmon qui l’a mise en application. » C’est une explication simpliste qui cache en fait une vérité bien plus complexe que je vais essayer d’expliquer ici car ses retentissements pourraient être très importants si on arrivait un jour à le comprendre.

Le sujet de la toxicité des dents dévitalisées fait polémique dans la profession dentaire depuis toujours et plus exactement depuis le début du vingtième siècle, car la dévitalisation des dents date environ de cette époque. Pourtant, la dévitalisation dentaire a été majoritairement admise comme un grand progrès de la dentisterie moderne qui a permis de conserver des dents qu’il aurait fallu sinon extraire quand la carie était trop avancée. Les personnes pensant qu’il faut extraire toutes dents dévitalisées remettent donc en question un dogme. La dévitalisation dentaire a aussi permis aux dentistes de passer de l’image d’arracheurs de dents à une image plus raffinée, celle de microchirurgiens bien plus conservateurs de dents qu’avant. Il est évident que lorsqu’on dévitalise une dent plutôt que de l’enlever, on conserve ainsi une dent et le patient en est toujours plus satisfait que si on doit lui ôter sa dent. Mais la question que ce sont posée aussi certains est de se demander si la santé n’en était pas alors gravement mise en danger, plus encore que si on extrayait une dent. Et ils n’ont pas fait que se le demander, ils l’ont même prouvé en guérissant des patients en enlevant leurs dents dévitalisées. Cela peut se comprendre car certaines études scientifiques montrent que ces dents même si elles ne font pas mal en bouche, sont remplies avec le temps de bactéries toxiques susceptibles de diffuser leurs toxines dans l’organisme et donc de le détruire à petit feu. Les dents dévitalisées ne sont donc pas des organes sains par définition. D’autres pensent et ils sont largement majoritaires, que le bénéfice de conserver une dent vaut bien de supporter quelques bactéries issues de ces organes morts putrides que sont les dents dévitalisées. Et ma foi ils ont le droit de le penser et répondent ainsi à une demande de la société qui va tout à fait dans ce sens. Le public veut garder ses dents à tout prix et ne veut pas vraiment en savoir plus car une bouche édentée lui semble plus grave encore. Il n’existe toutefois pas d’étude scientifique qui démontrerait que l’approche extractionniste est en contradiction avec les données actuelles de la science. Le dire serait un peu comme dire qu’il faut interdire l’acupuncture parce qu’il existe des études scientifiques qui montrent que cela fait prendre des risques à la santé publique en brandissant des études de soit disant experts allopathes qui l’affirmeraient. C’est un peu pourtant ce que semble faire le Dr Bonardo pour se justifier de ses précédentes actions visant à mon interdiction d’exercer, lorsqu’il cite des expertises dont on s’apercevrait que certaines ne veulent d’ailleurs pas dire grand chose si on y regardait de plus près. Toutefois, on pourrait aussi dire qu’il n’y a pas d’études scientifiques qui montrent que l’approche conservatrice, qui est très majoritairement appliquée en France, soit elle aussi en contradiction avec les données acquises de la science. Le problème n’est pas un problème de science mais de choix de société en quelque sorte. Une société qui majoritairement veut conserver des dents dévitalisées qu’elle pense être des dents mais qui en fait ne sont que des cadavres de dents. La profession dentaire répond ainsi avant tout à cette demande en estimant que même si ces dents sont un peu remplies de bactéries toxiques, ce n’est pas si grave que cela et que ma foi ce serait encore pire de perdre une dent, ce que majoritairement pense aussi le public d’autant plus que la technologie moderne a permis que ces dents dévitalisées ne fassent plus mal et ne présentent quasiment plus d’infection localement, enfin en apparence.
Ainsi, dans tous les pays modernes, la dent dévitalisée a eu un grand succès. Les dentistes qui dévitalisent les dents pourraient être appelés des thanatodentistes car les techniques de dévitalisations ressemblent plus aux techniques des embaumeurs qu’à une quelconque technique médicale. De même les personnes qui ont en bouche de dents dévitalisées pourraient être qualifiées de nécromangeurs car ils mangent avec des dents mortes. Évidemment l’approche extractionniste est un peu comme l’épine d’oursin dans le pied des thanatodentistes car il est un peu contrariant que certains dentistes guérissent des maladies graves, diverses et variées, en enlevant des dents dévitalisées. Certains prétendant même que la dent dévitalisée serait la première cause de cancers et de maladies graves de notre civilisation. Cela signifierait en quelque sorte que les patients ont été empoisonnés par leur dentiste. On comprend que certains puissent ne pas être très contents que cela se sache. Il y a donc toujours eu un combat pourrait-on dire entre ces deux approches et ce combat a toujours été plus ou moins gagné par les thanatodentistes car le public dans son immense majorité préfère cette option qui apparemment lui permet de conserver plus de dents. Néanmoins dans divers pays du monde, l’approche extractionniste a toujours été plus ou moins présente, avec ces moments de gloire parfois et ses moments plus difficiles où des dentistes notamment aux Etats-Unis se voyaient trainer devant les tribunaux par des rapports d’expertises de thanatodentistes qui les faisaient passer pour des fou furieux mutilateurs, tandis qu’eux mêmes traitaient en général l’approche conservatrice comme une folie morbide qui entrainait la santé de ceux qui possédaient des dents mortes vers la maladie et la mort. Et ce combat a eu lieu aussi en France et particulièrement dans notre département des Alpes Maritimes qui est la région de France la plus concernée par le sujet comme nous le verrons un peu plus loin. Dans certaines régions du monde, ces combats se sont un peu arrêtés et chaque camp respecte l’autre semble-t-il. C’est apparemment le cas de la Suisse et de l’Allemagne pour ne citer que ces deux pays. Et je sais qu’aux Etats-Unis, cela se calme aussi en ce moment. Sur mon précédent courrier se trouve d’ailleurs une attestation du directeur de la clinique Suisse Paracelsus qui atteste que les médecins et dentistes y exercent dans cet esprit et une étude réalisée par le Dr Lechner de Munich qui parle de toxicité de dents dévitalisées. Si on s’intéressait de plus près au Dr Lechner, on verrait bien qu’il applique aussi la politique extractionniste comme bien d’autres dentistes allemands. Cette façon de faire se fait donc en Suisse et en Allemagne sans que les dentistes qui l’appliquent soient embêtés par la justice car leur pratique est tout aussi défendable que celle de tout faire pour conserver des dents dévitalisées. On y estime que les patients ont le droit de choisir ce qu’ils veulent et que personne n’est fou de défendre une idée ou une autre. Si certains refusent de devenir des nécromangeurs, comme la majorité de la population actuelle de la civilisation occidentale, ce droit leur est donc accordé. Mais ce n’est pas le cas en France comme nous allons le voir. En ce sens l’article de loi qui spécifie que ce procédé est insuffisamment éprouvé, sur lequel le Conseil de l’ordre s’est appuyé pour me faire interdire d’exercer est totalement vrai, enfin totalement vrai en France. Car en France il n’existe qu’une infime partie de la profession dentaire qui s’intéresse à ce sujet et on peut donc dire qu’en France, cette pratique d’extraire les dents dévitalisées pour redonner la santé aux gens a été assez peu expérimentée. En ce sens les décisions prises jadis par le conseil de l’ordre sont donc en accord avec la loi, enfin d’une certaine façon. Effectivement, la dentisterie moderne notamment française, n’a pas beaucoup éprouvé cette méthodologie qui consiste à redonner la santé aux patients en leur enlevant leurs dents dévitalisées. Et le Conseil de l’ordre a sa part de responsabilité dans cette histoire comme nous allons le voir. Les universités dentaires ont aussi leur part de responsabilité d’ailleurs. L’explication est assez simple. Les universitaires de l’université d’odontologie sont aussi pour l’immense majorité des dentistes et eux aussi sont soumis à des impératifs économiques dictés par les demandes des patients. D’autre part, en France, l’acte le plus rentable pris en charge par la sécurité sociale et les mutuelles françaises, est la couronne sur dent dévitalisée. Par contre, les soins de carie pour conserver une dent vivante, sont à la limite de la rentabilité d’un cabinet dentaire. Je fus d’ailleurs jadis licencié d’un centre mutualiste de Cannes car je n’étais pas assez rentable de ne pas faire assez de couronnes sur dents dévitalisées, faisant tout pour garder les dents vivantes et incitant mes patients malades à enlever leurs dents dévitalisées. C’est une pratique très anticommerciale car les patients sont demandeurs de conserver leurs dents car ils ne comprennent pas que leurs dents dévitalisées risquent de détruire leur santé. Et s’ils acceptent, ensuite bien souvent ils vous le reprochent car ils ne se rendent pas compte de ce qu’ils ont évité. Mais par contre en regardant leur bouche, ils se rendent bien compte qu’il leur manque des dents. Les apparences sont donc très trompeuses. On ne peut soigner ainsi qu’un public éduqué ce qui demande parfois beaucoup d’efforts et ce serait plutôt le rôle de l’Etat que des dentistes seuls dans leur cabinet dentaire confrontés à des impératifs économiques et la concurrence des confrères qui leur disent qu’eux ils auraient pu leur sauver leurs dents. Bref la pression sociale fait qu’aujourd’hui emprunter cette voie extractionniste est un véritable parcours du combattant. On pourrait d’autre part qualifier la voie difficile extractionniste de bio dentisterie car bio signifie vivant, et il s’agit de ne laisser dans les bouches que des dents vivantes. Les dentistes universitaires, ont d’ailleurs aussi pris la voie de la thanato-dentisterie qui est aussi la voie de la facilité et ont donc fait à leurs patients ce que ces derniers voulaient majoritairement, c’est-à-dire devenir des nécromangeurs. Les universitaires n’ont donc pas été spécialement zélés à ce que l’université s’intéresse en quoi que ce soit à ce qui pourrait contrarier cette activité professionnelle qui fonctionnait correctement. Pourquoi approfondir le sujet de la toxicité de la dent dévitalisée puisque la population en était fort satisfaite car elle a aussi le mérite de lui éviter de perdre des dents, ce qui pourrait être considéré comme une mutilation plus grave encore qu’un petit empoisonnement. Le sujet est donc complexe on le comprend aisément. De fait, la pratique extractionniste des tenants de la bio dentisterie n’a pas été suffisamment expérimentée dans la profession dentaire, c’est vrai, surtout en France car aux États-Unis elle a été expérimentée sur des millions de personnes en fait. Dans les pays germanophones et anglophones, elle l’est actuellement à grande échelle. L’heure de gloire des théories extractionnistes fut entre les deux guerres, à une époque certes où les traitements endodontiques (de dévitalisation) n’étaient pas aussi perfectionnés qu’aujourd’hui, bien qu’aucun traitement endodontique ne puisse toutefois être considéré comme parfait.

L’histoire de mes problèmes avec le conseil de l’ordre a commencé lorsque j’arrivais dans la région après avoir travaillé en Bourgogne. Je suis est allé voir ce que faisait le fameux docteur J.G. Thomas de Grasse qui disait à tous ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées et que la profession dentaire de la région faisait passer pour un fou. Et c’est ainsi qu’en étudiant des centaines de cas de patients du Dr Thomas, je découvris la vérité sur le sujet. Les patients du Dr Thomas guérissaient vraiment mieux qu’ailleurs et son secret m’a-t-il dit est qu’il leur faisait enlever leurs dents dévitalisées. C’est ainsi que je fus convaincu à l’époque des théories sur l’infection focale qui incriminent les dents dévitalisées. Mais, on peut facilement le comprendre, le Dr Thomas était haï pourrait-on dire, par la majorité des dentistes de la région qui y voyaient un trublion à leur activité. Il n’était pas rare qu’un patient revienne chez son dentiste en expliquant que depuis que le Dr Thomas lui avait fait enlever l’onéreux bridge, par un autre dentiste, il avait guéri de sa maladie. Cela ne fait pas plaisir bien sûr de savoir qu’un autre dentiste défait des traitements que vous avez effectués. Néanmoins, comme moi même je fus convaincu du fait que les dents dévitalisées étaient mauvaises pour la santé, je me mis à appliquer aussi cette théorie.

Quand je voyais un nouveau patient qui se plaignait d’une affection quelconque, je lui expliquais que le mieux pour sa santé serait qu’il enlève toutes ses dents dévitalisées. Très souvent pour l’aider à être convaincu, je l’envoyais consulter le Dr Thomas qui finissait de le convaincre. Un jour cela se sut et un patient que j’avais envoyé chez le Dr Thomas se plaint après coup d’avoir fait enlever ses dents dévitalisées. Je travaillais alors chez un dentiste de Cannes le Dr Arbona. A la suite de cet incident il me licencia en m’expliquant qu’il en était désolé, qu’il aurait bien aimé me garder, mais que de telle pressions lui avait été faites dans ce sens par des membres du conseil de l’ordre que pour se protéger d’eux, il devait se séparer de moi, ce que je compris aisément. Je ne voulais pas qu’à cause de moi il ait des ennuis. Nous cessâmes ainsi notre collaboration dans les meilleurs termes qui soit. Heureusement je pus reprendre ensuite rapidement un cabinet sur Cannes. Je pus ainsi transférer ma patientèle et ne plus dépendre d’un employeur dentiste qui aurait pu se contrarier de ma pratique hors norme dans laquelle je persévérai. Il fut toutefois évident alors pour le conseil de l’ordre que je collaborais avec le Dr Thomas, la bête noire des dentistes de la région, celui qui avait l’outrecuidance de remettre en question leurs traitements de dévitalisation dentaire. C’est ainsi que je fus une première fois interdit d’exercer une année en l’an 2000 car soit disant, je faisais des traitements qui n’étaient pas en accord avec la science ou quelque chose dans le genre. Pendant cette première année d’interdiction d’exercer, je continuais mes recherches sur la dent dévitalisée, un peu comme l’inspecteur Collombo toujours à la recherche d’indices. C’est ainsi que j’appris que de part le monde de très nombreux médecins faisaient enlever les dents dévitalisées de leurs patients et ainsi les guérissaient mieux que tout. Dans cette recherche, je me rendis même en Suisse à la clinique Paracelsus pour continuer mon enquête sur les dents dévitalisées. J’avais entendu des choses fort intéressantes au sujet de cette clinique par l’américain le Dr Meinig avec qui j’entretenais des discussions téléphoniques et qui est aux Etats-Unis le grand défenseur de la théorie sur la toxicité des dents dévitalisées. C’est un ancien spécialiste de la dévitalisation dentaire qui fut même un cofondateur de l’association américaine des spécialistes en endodontie (la science de la dévitalisation dentaire). Il a retourné sa veste aujourd’hui si on peut dire et pense que toute sa vie il aurait mieux fait de dire à ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées plutôt que de tout faire pour les leur conserver et a même écrit un livre sur le sujet. Le titre est « rool canal, cover up » qui se traduit par « dent dévitalisée, ce qu’on vous a caché ». En Suisse, je découvris que toute une équipe de médecins et dentistes ne jurait que par le fait qu’il fallait enlever les dents dévitalisées. Je constatais que cette clinique recevait des patients des alentours certes mais aussi du monde entier et était connue pour ses guérisons exceptionnelles. Cette clinique utilisait aussi de multiples techniques de médecines naturelles qui était fort onéreuses et permettaient de facturer des honoraires que peu de français auraient pu payer. Je restais assez longtemps dans cette clinique qui m’ouvra ses portes aimablement pour que je puisse tout apprendre de leurs techniques après que je leur ai expliqué que j’étais dentiste et avais été interdit d’exercer pour les raisons que l’on sait. Ce sur quoi ils ne purent que compatir, faisant aussi eux même exactement la même chose. Je restais pendant quelques semaines avec le médecin le Dr Rau, directeur de la clinique, à le voir travailler comme je l’avais fait jadis avec le Dr J.G. Thomas, histoire de toujours en apprendre plus sur la santé. Un jour ayant suffisamment sympathisé avec le médecin, ce dernier m’avoua une chose fort intéressante. Il me dit que dans les pathologies graves, tout ce qu’ils faisaient dans cette clinique était négligeable si on ne faisait pas enlever les dents dévitalisées des patients. Bref, que faire enlever les dents dévitalisées était bien la mesure la plus efficace sur tout ce qu’ils faisaient dans cette clinique (phytothérapie, ayurvéda, acupuncture, homéopathie, ostéopathie, ozonothérapie, psychothérapie etc….) J’appris aussi un peu par hasard, que les habitants aux alentours de la clinique étaient aussi les habitants de Suisse qui étaient les moins malades en étudiant les chiffres de dépenses de santé de la Suisse. Ces informations se trouvent sur le site www.sante-dents.com du professeur Raynaud de l’Université des sciences de Toulon.

Lorsque je fus réautorisé à exercer après mon année sabbatique forcée, je continuais dans la même voie extractionniste. Je récidivais pourrait dire en quelque sorte le Dr Bonardo. J’obtenais des guérisons étonnantes sur toutes les pathologies et je filmais d’ailleurs des témoignages de guérison. Certains médecins qui les visionnèrent furent d’ailleurs fort surpris de telles guérisons qu’on ne voit pas me dirent-il avec la médecine actuelle. Ces témoignages sont mis sur le site www.sante-dents.com. . Mais cela se savait que je continuais dans cette voie et cela continuait à contrarier mes confrères thanatodentistes. Mais il n’y avait pas d’autres plaintes contre moi. Un peu plus tard, le président de l’ordre le Dr Bonardo déposa plainte contre moi pour le simple fait que j’avais envoyé un courrier au psychiatre responsable du problème des suicides dans la région PACA pour l’informer que de multiples patients à moi qui avaient fait jadis des tentatives de suicide, n’avaient plus envie de se suicider après avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. Je joignais au courrier les témoignages de ces patients avec leur photocopie de carte d’identité afin que tout puisse être vérifié. Ce courrier fut envoyé au Conseil de l’Ordre et le Dr Bonardo déposa plainte contre moi car selon lui je tentais de tromper un pauvre psychiatre qui aurait pu ensuite faire édenter inutilement ses patients. Il faut reconnaître que le Dr Bonardo était tout à fait logique avec lui même, un peu comme le furent d’ailleurs jadis les inquisiteurs qui brulaient les hérétiques qui remettaient en question les dogmes de la sainte église catholique. Toutes proportions gardées toutefois car le Dr Bonardo n’a jamais pensé à bruler autre chose que mon autorisation d’exercer. A la suite de sa plainte à cause de mon fameux courrier au psychiatre sur les suicides, je fus alors sanctionné de trois ans d’interdiction d’exercer. La sanction se transforma ensuite en interdiction définitive à la suite d’une plainte d’une patiente venue de Lyon se faire soigner ainsi, convaincue après coup par un confrère de Lyon que mes soins d’extractions de ses dents dévitalisées étaient une arnaque. Et cela malgré la présence du Dr Gilbert Crussol à l’audience qui me défendit en expliquant que lui même avait exercé jadis dans cet esprit extractionniste. Un esprit qui était conforté par de multiples études scientifiques et que lui même avait donné jadis des enseignements sur le sujet à de multiples dentistes et notamment à d’anciens présidents de Conseil de l’Ordre. Le Dr Crussol est en France un peu l’équivalent du Dr Meinig aux États-Unis car il fut le fondateur de la première association de spécialistes en endodontie de France. Mais cela n’empêcha pas la sanction d’interdiction d’exercer définitive par le Conseil National de l’Ordre pas plus que de citer la clinique suisse Paracelsus qui appliquait aussi cette philosophie de soins. Une sanction définitive qui d’ailleurs n’avait pas été prononcée en première instance et ne fut prononcée qu’en appel. Une petite faute de procédure que je n’avais pas envie de me ruiner à faire annuler en cour de cassation car le procès qui aurait était refait ensuite aurait abouti au même verdict de toutes façons et je n’étais pas très riche en plus. Je comprenais bien que ce procès cristallisait toute la colère d’une profession dentaire vis à vis d’une idée très dérangeante. Ce procès n’avait été instruit qu’à charge et la mauvaise foi de mes juges thanatodentistes avait été portée à son paroxysme, en se référant notamment à l’avis d’un spécialiste universitaire de la dévitalisation et à un collège de vieux dentistes académiciens qui toute leur vie avaient dévitalisé des dents sans s’intéresser à l’infection focale. Et encore pas pour ma première interdiction d’exercer à un an qui eu lieu l’année 2000. Cela revenait à demander à des fabricants d’amiante de faire un rapport sur la toxicité de l’amiante. Il était donc inutile de vouloir rejouer à nouveau cette pièce de théâtre qui m’avait déjà couté très cher d’un point de vue financier et où la fin était de toute façon écrite d’avance. J’acceptais alors la sentence en me disant, selon mes croyances, que dans une vie antérieure j’avais probablement été moi même un méchant inquisiteur et que je devais aujourd’hui le payer certainement. C’est plutôt ma mère qui fit une dépression à la suite de ce jugement, voyant son fils qui rentra jadis major primant après le concours de première année de médecine à Nice, finir ainsi prématurément et si lamentablement sa vie professionnelle. Je fus ainsi le premier dentiste de France à être condamné pour ce sujet et si cela s’est fait dans notre région, ce n’est pas un hasard comme vous l’avez déjà compris.

Il se trouve qu’historiquement le sud est de la France a été la région où cette voie extractionniste a été la plus explorée en raison d’un dentiste installé jadis à Cannes, le Dr Davo Koubi qui fut un premier défenseur de cette cause qu’il découvrit lors d’un voyage aux États-Unis. Il avait convaincu du bien fondé de ces théories, un médecin installé jadis à Grasse, le fameux Dr Thomas J.G.. Tous deux, conseillaient à tous leurs patients d’extraire leurs dents dévitalisées. Ils agissaient ainsi comme les médecins de la clinique Suisse Paracelsus et eux aussi étaient connus pour guérir mieux que tout le monde des maladies diverses et variées.
La présence du Dr J.G. Thomas à Grasse avait fait que quelques dentistes des Alpes Maritimes suite à son influence principalement, avaient adopté eux aussi cette philosophie de soins. Après mon interdiction définitive d’exercer, ces dentistes furent tous convoqués par le Conseil de l’Ordre des Alpes Maritimes présidé par le Dr Bonardo et parfois même sanctionnés et menacés que ces sanctions soient élevées au niveau de la mienne montrée en exemple. Le Dr Bonardo voulait évidemment éviter que cette idée dangereuse pour la santé publique ne prenne de l’expansion dans notre pays. C’est ainsi que par exemple le Dr Carabasse de Pégomas stoppa net cette pratique qu’il avait pourtant appliquée sur des centaines de patients depuis des années ainsi que le Dr X (*) de Nice tandis que le Dr Kloos de Cannes la tempérait suffisamment pour apaiser le Conseil de l’Ordre. Le Dr Kloos est un dentiste franco allemand qui a repris le cabinet dentaire du Dr Koubi et est lui même un adepte de la théorie focale. Il sait bien que cette théorie est très en vogue en Allemagne et qu’un ami et collègue à lui, le Dr Lechner l’applique à Munich depuis des années. Le Dr Kloos l’a appliqué pendant des années à Cannes aussi. Selon les termes du Dr Bonardo quand je discutais avec lui, c’était un allemand et il avait en quelque sorte le droit d’appliquer ce qu’on lui avait appris là bas alors que moi m’avait dit le Président Bonardo, je devais appliquer ce qu’on m’avait appris à l’université de Nice. On peut voir qu’il existe une logique qu’on ne peut nier toutefois dans l’esprit du Dr Bonardo.

Même un stomatologiste de Nice, le Dr Estrade qui participait à cette logique thérapeutique fut un jour menacé par un membre du Conseil de Ordre d’avoir des ennuis s’il persévérait dans cette voie et s’arrêta alors net lui aussi.

Mais le zèle du conseil de l’Ordre à protéger la santé publique en évitant la diffusion de cette idée alla même jadis jusqu’à tout faire pour empêcher que cette idée soit même débattue dans la profession médicale. Un peu avant d’être interdit définitivement d’exercer, je préparais un symposium sur le sujet de la toxicité des dents dévitalisées et y étaient invités à parler plusieurs dentistes et médecins de la région. Le projet fut envoyé comme il se doit au conseil de l’ordre. Tous ceux qui y été cités furent intimidés afin de s’abstenir d’y participer. Le Dr Marchisio de Monaco reçu un appel téléphonique d’un membre du conseil de l’ordre qui lui expliqua qu’il avait plus à perdre qu’à gagner à parler de ce sujet. Le professeur de la faculté de dentaire de Nice, le Dr Terestri était un spécialiste du sujet et avait même connu le stomatologiste le Dr Lepoivre éminent stomatologiste, chef de service de stomatologie d’un hôpital parisien, qui écrivit jadis un ouvrage sur le sujet qui justifiait l’extraction de toute dent dévitalisée chez un malade. J’aurais aimé que le Dr Térestri vienne en parler au symposium mais quand le Conseil de lOrdre l’informa de ce projet, il aurait très bien pu me téléphoner tout simplement pour me dire qu’il ne désirait pas y participer. Mais, il s’empressa de m’envoyer un recommandé précisant qu’il ne participerait pas de près ou de loin à ce symposium histoire de se couvrir auprès de ses confrères qui l’avaient sans doute menacés au cas où. Il savait bien que cela revenait à marcher sur des œufs et ne voulait surtout plus avoir de problème avec l’Ordre qui l’avait déjà rappelé à l’ordre jadis pour s’être exprimé dans les médias et s’être du même coup fait de la publicité. Quant-au médecin rhumatologue le Dr J.G. Thomas qui était le pilier dans la région de cette idée, il dut avec mon accord déposer plainte contre moi pour satisfaire son conseil de l’ordre et éviter une sanction. Cela afin de spécifier qu’il ne participerait pas à ce symposium et que son nom avait été mis sur le projet du symposium sans son accord. La plainte n’eut aucune suite bien sûr car le procureur fut informé qu’elle n’avait pour objectif que d’apaiser le conseil de l’ordre des médecins. Ce dernier avait exercé sur le Dr Thomas des pressions sur la recommandation du conseil de l’ordre des dentistes qui voulait éviter tout développement de cette connaissance. On pourrait croire, Madame La Présidente, lire un vrai roman politique où le Conseil de l’Ordre a œuvré de toutes ses forces pour étouffer une idée dérangeante. Mais en fait on sait bien que le Dr Bonardo n’agissait qu’en étant persuadé ainsi de protéger la santé publique, bien évidemment, cela va de soit.

C’est une idée en tout cas que j’ai bien compris que je devais abandonner de vouloir appliquer en France. Et si j’ai pris cette décision c’est parce que depuis sept ans que je suis interdit d’exercer, j’ai bien vu que cette idée n’avait aucun succès en France. Je n’ai eu de cesse d’informer la population française sur la gravité du sujet de la toxicité des dents dévitalisées que même une ancienne ministre de l’environnement Corinne Lepage qualifia jadis de grave question de santé publique. Et là, à mon grand étonnement, je n’ai rencontré quasiment personne qui s’y intéresse car pour la plupart ils ne peuvent croire qu’une noble institution comme la profession dentaire puisse occulter une vérité aussi grave. Si c’était vrai, cela se saurait, se disent-ils tous. Ainsi je n’ai rencontré que des politiciens que cela n’intéressaient pas, des journalistes qui y voyaient une loufoquerie de plus, des médecins qui ne se vexaient à l’idée que des dentistes puissent mieux soigner les malades qu’eux mêmes, des praticiens de médecine naturelles frustrés aussi de ne pouvoir enlever les dents dévitalisées eux mêmes et y voyant plutôt une façon de perdre des clients qui guériraient trop vite, des universitaires qui ne pouvaient imaginer qu’une université médicale occulte une vérité aussi importante, des dentistes qui ne voulaient pas perdre leur temps à expliquer que des dents qui ne faisaient pas mal pouvaient pourtant affecter la santé, des commerçants et des laboratoires pharmaceutiques qui n’y voyaient là rien à vendre, des organisateurs de congrès de bien être et de médecines naturelles qui n’y voyait là rien de très glamour car il s’agit de proposer d’enlever des dents en apparence même si ce sont des cadavres ce dents en réalité et ensuite en général de mettre des dentiers, d’écologiste qui ne s’intéressaient qu’à la pollution de l’environnement ne pouvant s’imaginer que la pire des pollutions vient souvent de l’intérieur, des scientifiques qui avaient peur de se voir supprimer leurs crédits de recherche pour avoir marché sur les plates bandes des dentistes, de dentistes holistiques qui ne pensaient qu’à ôter des amalgames au mercure et couronner d’or des dents dévitalisées ou à disserter sur les causes ésotériques des affections dentaires, des médecins ou naturopathes qui avaient bien compris que la première chose à faire pour guérir était de désempoisonner l’organisme mais oubliaient juste la principale source d’empoisonnement actuelle qui se trouve être la dent dévitalisée, de psychothérapeutes qui pensaient que tout venait du mental, de fonctionnaires en charge de santé publique qui se considéraient incompétents à se pencher sur tel sujet et qui y voyaient plus de problèmes pour leur carrière qu’autre chose, de patients qui sont tous à la recherche du médicament ou vaccin miracle plutôt que de vouloir adopter une démarche hygiéniste consistant tout d’abord à se débarrasser de dents empoisonnantes, et de chrétiens qui s’offusquaient qu’on puisse tuer des embryons par l’avortement mais ne voyaient pas de problème à tuer des dents même si l’Adam est pourtant au tout début de leur histoire de la vie (un peu d’humour ne fait jamais de mal…). Je me rappelle même avoir eu le président de l’Académie des Sciences au téléphone pour m’entendre dire que son dentiste lui avait dit que tout cela n’était que des bêtises et donc qu’il ne voulait pas en entendre plus. Eh oui tout le monde fait confiance à son dentiste sur ce sujet car il est le spécialiste de tout ce qui concerne les dents, celui qui a fait de longues études sur les dents, preuve en est qu’il sait mieux que quiconque, soulager nos souffrances quand on le consulte pour un mal de dents. Et puis ne dit-on pas des dentistes qui arrachent les dents : « menteur comme un arracheur de dents ». Quant-aux rares personnes qui arrivaient à être convaincus du problème, faisaient enlever leurs dents dévitalisées, ils étaient parfois déçus de ne pas guérir de tout immédiatement, comme si le fumeur allait retrouver immédiatement des poumons neufs en s’arrêtant de fumer après avoir encrassé ses poumons pendant des années. Toutefois, et c’est ce qui est extraordinaire et plein d’espoir, nombreux étaient ceux qui retrouvaient ensuite la santé plus que tout en faisant enlever leurs dents dévitalisées. Mais ils se sont en général plus préoccupés par la suite de leurs petits intérêts plutôt que d’informer véritablement leurs concitoyens sur ce qui les avait guéri. Il faut dire à leur décharge qu’ils ont vite remarqué la difficulté qu’il y avait à tenter de faire passer cette information qui implique en général ensuite de porter un dentier. Ceux qui ont effectué cette démarche en étant préalablement très malades et qui ont retrouvé ainsi la santé en sont fort satisfaits dans l’immense majorité des cas car cet inconvénient est bien peu à côté d’une grave maladie. Mais globalement, je n’ai rencontré que très peu d’intérêt pour le sujet car d’une certaine façon, tout est fait pour que cette connaissance ne se développe pas. Et cela dure depuis plus d’un siècle car il est très difficile pour le public de comprendre le lien entre ses dents qu’on lui dévitalise et les affections graves qui se déclenchent des années plus tard. Ainsi, la dent dévitalisée a pris une ampleur qui fait que huit ou neuf français sur dix en possèdent aujourd’hui et que tous sont persuadés que cela est bien mieux que d’avoir des dents en moins. J’ai ainsi constaté que j’étais tout à fait incompétent à passer ce message chez ceux qui en Europe ont le plus de dents dévitalisées comme une enquête personnelle me l’a montré et qui sont aussi comme par hasard, les plus malades d’Europe de l’Ouest. Il faudrait faire une campagne d’information colossale qui demande des moyens financiers colossaux que je ne possède pas. Une campagne qui pourrait conduire à ce que la population retrouve la santé. Et cela, j’en suis persuadé, bien plus que toutes les autres campagnes actuelles de prévention santé, sur les dangers de l’alcool, du tabac, de la drogue, de la malbouffe, des dépistages sur les différents cancers et autres maladies graves, des campagnes de vaccinations diverses parfois ruineuses et à l’utilité plus que douteuse et les sommes englouties dans a recherche médicales. Toutes ces actions qui depuis des années n’arrivent pas à infléchir les courbes de progression des maladies graves qui ruinent notre civilisation. Et cela serait très facile à prouver, il suffit comme je l’ai fait, d’enquêter sur les médecins qui ont fait enlever les dents dévitalisées de leurs patients et qui comme par hasard étaient ou sont connus pour mieux guérir que tout. Ayant toutefois constaté mon incompétence en tant qu’informateur sur ce sujet, je compte bien m’atteler à rentrer dans le rang et à soigner désormais comme le Dr Bonardo dès que j’aurais à nouveau le droit d’exercer. Certains pourraient trouver dommage que je me convertisse aux thèses des nécromangeurs mais cette information dérange tellement les dentistes du conseil de l’Ordre que je ne vois donc pas comment faire autrement compte tenu de leur pouvoir de me faire interdire d’exercer. Ils pourraient certes aussi concevoir que cette information, au lieu de les déranger, puisse les valoriser un jour. Cela dépend de quelle façon on regarde le problème, car ce sont aussi des dentistes qui pourront plus que tout, redonner la santé en enlevant des dents dévitalisées, C’est en tout cas ce qu’ont compris les médecins de la clinique Paracelsus qui attirent ainsi à eux de nombreux malades richissimes en les faisant passer chez leurs dentistes. Le paradoxe est qu’aujourd’hui les dentistes en France n’ont jamais autant dévitalisé de dents, notamment depuis les nouvelles mesures de remboursements des inlays cores et screw post (les pivots des dents à pivots) qui incitent encore plus qu’avant à dévitaliser des dents. Le Conseil de l’Ordre ne me semble d’ailleurs pas y avoir vu là un quelconque problème. Et comme par hasard, depuis, les cancers et les maladies graves ne cessent d’augmenter encore plus. Mais ce n’est peut-être qu’une simple coïncidence diront certainement le Dr Bonardo et tous ses amis du Conseil de l’Ordre.

Il existe d’autres coïncidences du même genre. Une lente et certaine destruction de la santé publique se produit depuis plus d’un demi siècle en France et notamment une augmentation constante des cancers. Certains pensent que c’est surtout depuis que la sécurité sociale dans le début des années cinquante a remboursé la couronne sur dent dévitalisée, incitant ainsi les dentistes à conserver bien plus de dents dévitalisées. Mais ce n’est peut-être qu’une simple coïncidence diront certainement le Dr Bonardo et tous ses amis du Conseil de l’Ordre.

Comme par hasard, c’est une génération plus tard, fin des années soixante dix, que les dentistes ont observé une augmentation considérable des problèmes orthodontiques sans se rendre compte qu’ils étaient surtout présents parmi les enfants de ceux qui possédaient des dents dévitalisées. Certains pensent que les problèmes orthodontiques sont une maladie génétique de défaut de croissance des os maxillaires due à un empoisonnement des os des maxillaires des parents porteurs de dents dévitalisées. Quand je vois des reportages sur les enfants pauvres d’Afrique ou d’Asie, dont les parents n’ont pas eu à l’évidence les moyens d’avoir des dents dévitalisées, je suis toujours étonné de voir leur dents parfaitement alignées alors qu’en France de plus en plus de petits enfants ont déjà très jeunes parfois les dents tordues.
Encore une coïncidence diront le Dr Bonardo et ses amis du Conseil de l’ordre. Certains pensent même que cette maladie génétique, les problèmes orthodontiques, n’est que la partie visible de l’iceberg des maladies génétiques pour lesquels certains recueillent des milliards alors qu’ils faudrait peut-être avant tout conseiller aux mères de faire enlever leurs dents dévitalisées avant de concevoir des enfants. Certes peut-être que le vue de leurs dentiers enlevés et laissés dans un verre d’eau avant de se coucher, par leur mari, risquerait de limiter aussi la quantité de maladies génétiques tout simplement en diminuant du même coup la natalité de notre pays. Mais c’est là encore un autre sujet (c’est juste encore un peu d’humour Madame La Présidente).

Mais il y a encore d’autres coïncidences qu’il serait bien de relever puisqu’on y est. Un éminent cancérologue allemand, le Dr Issels, qui était aussi responsable de la lutte contre le cancer par le gouvernement fédéral allemand, guérissait bien plus ses patients que ses collègues, et faisait enlever comme par hasard, toutes les dents dévitalisées de ses patients. C’était aussi le cas d’une éminente biologiste devenue naturopathe outre atlantique, feu Hulda Clark. Un cancérologue américain président de son association régionale de cancérologues est aujourd’hui un grand défenseur de la théorie extractionniste aux Etats-Unis. Son nom est sur un des rapports remis jadis au conseil de l’ordre. Encore une coïncidence diront le Dr Bonardo et ses amis du Conseil de l’Ordre.

Aujourd’hui, des milliards sont dépensées dans la recherche médicale et la maladie en général qui ruine notre civilisation et handicape lourdement notre économie qui de fait ne peut plus être compétitive. Des chiffres évaluent à environ 25 000 euros le prix du traitement d’un seul cancer. Je connais des histoires de cancers qui ont disparus juste en enlevant des dents dévitalisées, sans aucun autre traitement. Il y a plus précisément une histoire de cancer de l’estomac très grave qui affectait un médecin de la région qui guérit après que le Dr Kloos lui enleva toutes ses dents dévitalisées. Cette histoire fut même connue du doyen de la faculté de médecine de Nice de l’époque et d’un éminent chirurgien cancérologue de la clinique d’Arnaud Tzanck sans qu’elle n’ait aucune suite. C’est un cardiologue d’Antibes aujourd’hui à la retraite, le Dr Borelli, qui fut lui même sauvé d’une hépatite qui devait être mortelle par le Dr Davo Koubi, qui me la conta. Le Dr Koubi lui enleva une dent « parfaitement dévitalisée » m’a t il dit. Mais ce n’est peut-être qu’une simple coïncidence diront certainement le Dr Bonardo et tous ses amis du conseil de l’ordre.

Cette histoire fit le tour de la profession médicale à Antibes me dit-il. Il m’avoua toutefois ne jamais avoir parlé à ses patients des problèmes de dents dévitalisées, car ce n’était pas son affaire. Il ne voulait pas se mettre mal avec les confrères dentistes. Cette petite histoire résume un peu l’esprit qui prévaut très souvent en médecine vis à vis de ce sujet de la dent dévitalisée. Hormis quelques cas particulier comme certaines affections cardiaques où on fait systématiquement enlever les dents dévitalisées, on ne marche pas sur les plates bandes des confrères dentistes.

Le coût phénoménal de la maladie est un aspect des causes de la crise économique que peu de politiciens perçoivent. Une civilisation de malade ne peut être économiquement compétitive d’autant plus que ce sont les travailleurs qui financent la maladie. La bonne santé économique de l’Allemagne ou de la Suisse où la conscience de la toxicité de dents dévitalisées est plus développée est peut être aussi dépendante de la bonne santé de ses concitoyens.
Encore une coïncidence diront le Dr Bonardo et ses amis du Conseil de l’ordre.

Bon je m’arrêterai là pour les coïncidences mais quand j’entends ou plutôt je lis que le Dr Bonardo n’a agit en me faisant interdire d’exercer que pour protéger la santé publique, je me dis qu’il vaut mieux entendre cela qu’être sourd. La réalité est que le Dr Bonardo n’a fait que défendre une idée avec acharnement qui implique toute une profession, la profession dentaire, qui participe activement à un choix de société morbide qui l’entraine selon certains dans un gouffre. Je pense personnellement que chacun a certes le droit de défendre ses idées, même les plus perverses. Une idée perverse est une idée qui apporte un bénéfice à court terme mais qui à long terme apporte la souffrance, la maladie, la mort, la désolation et détruit la vie en fin de compte d’autant plus qu’elle est perverse. La dent dévitalisée rentre tout à fait dans cette catégorie et peu de personnes s’en sont rendue compte. Il n’y a bien sûr pas que la dent dévitalisée comme idée perverse que notre société a adoptée en pensant qu’elle constituait un progrès de civilisation. Elle fait pourtant partie selon moi du peloton de tête juste après l’idée de l’utilisation du nucléaire à des fins militaires et civiles. Le problème des amalgames au mercure très à la mode aujourd’hui et que je connais bien aussi me semble du pipi de chat à côté du problème des dents dévitalisées même si c’est aussi un problème, je ne le nie pas et je le sais bien pour en avoir enlevé des centaines jadis. Mais pourtant je ne suis nullement favorable à l’interdiction d’en poser en bouche pas plus que je suis favorable à l’interdiction de dévitaliser des dents, de vacciner les gens ou de leur prescrire toutes les drogues médicamenteuses possibles et je ne soutiens nullement tous ses fanatiques qui voudraient faire interdire ces pratiques qui ont aussi leur intérêt. Car je suis pour la liberté avant tout. Mais puisque l’Ordre des dentistes me refuse la liberté de redonner un corps sain à mes patients en leur enlevant leurs dents dévitalisées, je veux bien alors tout faire pour leur conserver leurs dents en les leur dévitalisant. Et qu’ils me remercient alors de leur avoir sauvé leurs dents et supprimé leurs douleurs de carie tout en leur ayant conservé leurs dents. Et quand ils auront mal au dos au mieux ou pire des cancers quelques temps plus tard, je leur dirai d’aller voir le rhumatologue ou le cancérologue car je ne suis en fin de compte qu’un dentiste qui ne fait donc que soigner des dents. Parce que si les dents dévitalisées donnaient le mal de dos ou le cancer, ça se saurait. Mais je respecterai aussi ceux qui pensent que les dents dévitalisées puissent donner de telles maladies car je pense que le respect des différences d’opinions est essentiel à la richesse d’une civilisation et à l’atteinte de la Vérité qui devrait en être son but ultime. Le seul problème dans toute cette affaire n’est donc pas en fait pour moi, que le Conseil de l’Ordre des dentistes ait défendu une idée, celle mise en pratique par la majorité des dentistes, mais qu’il ait aussi tout fait pour détruire l’idée concurrente minoritaire en prétextant ainsi protéger la santé publique. Une idée minoritaire dont certains pourraient prouver, que la santé de millions de personnes en dépend. Et qu’à défaut de promouvoir cette idée comme le rôle que lui a conféré l’Etat le lui aurait dicté en réalité, le minimum aurait été que le Conseil de l’Ordre la laisse au moins se développer sereinement. Et cela même si, il faut bien le reconnaitre, elle n’intéresse qu’une infime minorité de la profession tandis que l’immense majorité préfère rester des thanatodentistes et transformer la population en nécromangeurs en leur dévitalisant les dents car les gens ne se rendent pas compte qu’il s’agit dans cette pratique d’une transgression grave d’une loi de la vie qui consiste à introduire la mort dans les êtres vivants. Mais ma foi, si tel est le choix de la population, je veux bien être moi aussi le serviteur de cette dangereuse folie tout en espérant qu’un jour elle en prendra conscience. Mais peut-être que je me trompe et que ce que je pense être une dangereuse folie est en fait un grand progrès de notre science odontologique. Et si le Conseil de l’Ordre le croit encore après ce courrier, moi aussi je veux bien le croire. Je veux bien croire que tout ce que j’ai exprimé précédemment ne sont que des coïncidences sans fondements scientifiques et qu’il faut cesser dorénavant cette pratique dangereuse pour la santé de mes concitoyens qui consiste à leur proposer d’enlever leurs dents dévitalisées. Et j’ai déjà affirmé que je le ferai si le Conseil de l’Ordre m’autorisait à nouveau à exercer.

Mais alors pourquoi ne pas donner un avis positif à ce que je puisse à nouveau exercer. Et sinon quels sont les griefs si graves que j’ai pu commettre qu’il ne soit pas possible de le faire. Serait-ce ce simple courrier à un psychiatre que j’informais sur les rapports possibles entre les tendances suicidaires et les dents mortes. Ce courrier qui m’a valu trois ans d’interdiction d’exercer suite à la plainte du Dr Bonardo et pour laquelle Corinne Lepage avait fait un éloquent mémoire de défense où elle qualifiait ce procès de véritable chasse aux sorcières, mais qui n’a malheureusement pas servi à me sauver de l’interdiction d’exercer. Peut-être estimez vous que ce courrier justifie une interdiction à vie et que sept années ne suffisent pas à ma sanction. Il serait bien que vous précisiez tout cela ou bien donniez un avis favorable à ma reprise d’activité.

Veuillez donc répondre s’il vous plait à cette simple question Dr Bonardo: quels sont les griefs qui me sont reprochés qui justifient que vous ne donniez pas d’avis favorable au fait que je puisse à nouveau exercer comme dentiste après sept années d’interdiction d’exercer.

Voici une pensée qui pourrait apaiser mes confrères qui auraient pu se sentir éventuellement coupables après avoir lu mon exposé. Qu’ils sachent que ce n’est pas là mon objectif du tout et que je ne les juge absolument pas. En effet, conserver des organes morts dans la bouche, des dents dévitalisées pour être plus précis, est un choix de civilisation. La profession dentaire ne fait que répondre à une demande du public en fait, et elle n’a donc pas à se sentir coupable en quoi que ce soit. Moi même je ne me suis jamais senti coupable de le faire jadis à ceux qui insistaient pour que cela leur soit fait, malgré tout ce que je savais sur le sujet. C’est ce qui fait que de tous mes collègues, s’il y en avait un seul qui devrait se sentir coupable d’avoir dévitalisé des dents, ce devrait bien être moi même car je l’ai fait en toute conscience que j’empoisonnais ainsi mes patients à qui je le faisais. Mais je le faisais pourtant parce qu’avant tout je respectais leur choix que par incompétence je n’étais pas arrivé à faire changer. Et dans l’avenir je ne me sentirai pas non plus coupable en refusant d’enlever les dents dévitalisées des patients qui me le demanderaient parce que je ne ferai alors qu’obéir au Conseil de l’Ordre. Et pourtant, compte tenu de mes connaissances, je serai en fait le plus coupable de tous. Je sais bien que certains pensent que la dent dévitalisée pourrait bien être la première cause de cancers et que d’autres pensent que les morts par cancers aujourd’hui valent bien ceux occasionnés par la seconde guerre mondiale. Alors si un jour je passais devant un tribunal pour avoir dévitalisé des dents en toute connaissance de cause de tout cela que ce soit à Nice ou à Nuremberg qui sait ou ailleurs, je dirai à mes juges que je n’ai fait qu’obéir aux Ordres en dévitalisant mes patients ou leurs dents plutôt mais ça revient à peu près à la même chose. Ah, ça rappellera de bons souvenirs. Et après cette petite note d’humour, je finirai par une citation d’Aristote que je conseille de méditer aux membres du Conseil de l’Ordre qui pourraient avoir peur d’aborder sereinement ce sujet de la dent dévitalisée et qui voudraient continuer à m’interdire d’exercer. « Le courage est un juste milieu entre ce qui inspire la confiance et ce qui inspire la crainte ».

Dr Bruno Darmon drbrunodarmon@yahoo.fr

(*) J’ai mis le Dr X alors qu’initialement j’avais mis le nom du confrère dentiste. Mais celui ci appris peu après que son nom avait été cité et me téléphona affolé. Il me dit qu’il avait très peur que le Conseil de l’Ordre l’apprenne et le persécute à nouveau en l’accusant de se faire de la publicité. Afin de se couvrir il me fit même envoyer un courier de son avocat, que je garde précieusement d’ailleurs, pour bien spécifier qu’il n’était pas du tout d’accord avec mes idées, sous entendu sur la toxicité des dents dévitalisées, alors que c’est absolument faux et que cela pourrait se prouver facilement. Tout cela montre à quel point le Conseil de l’Ordre des dentistes mène une politique de terreur sur ce sujet en terrorisant, c’est tout à fait le mot juste, les quelques dentistes qui oseraient s’intéresser au sujet et qui par leur pratique extractionnistre prouveraient que la corporation dentaire est d’une certaine façon responsable à travers la dent dévitalisée, plus que beaucoup d’autres choses, des maladies graves que notre civilisation connait aujourd’hui. Si un jour un journaliste s’intéressait au sujet, je lui donnerai alors le nom de ce confrère pereux et il pourra vérifier la véracité de toute cette histoire. Ce serait d’ailleurs une bonne idée de le faire car de ce sujet dépend la santé de millions de personnes. Je suis presque certain que le confrère lui confirmerait alors qu’il a agit ici par peur. Mais si toutefois, il persistait encore à mentir, je présenterai alors au journaliste des patients que nous avons eu en commun et qui attesteront du fait que lui aussi jadis pronait à ses patients d’enlever leurs dents dévitalisées même si aujourd’hui il s’est arrêté de le faire à cause de la peur d’être interdit d’exercer.
Quoiqu’il en soit, le plus navrant pour moi dans toute cette histoire, ce n’est pas la persécution de l’Ordre. Ce dernier joue ma foi son rôle dans la grande comédie de la vie. Même Dieu laisse agir le tentateur Satan. J’imagine que cela est d’une certaine façon nécessaire à l’évolution de l’être humain qui doit ainsi comprendre quel est le bon chemin à prendre en devant décider de refuser de prendre le mauvais chemin prouvant par la même son degrè d’évolution. Eh bien d’une certain façon la dent dévitalisée est une tentation parmi tant d’autres qui peut faire prendre conscience aux êtres vivants, du danger qu’il y a à introduire en eux de la mort. Mais pour cela, Il faut bien des méchants dans l’histoire car sinon d’une certaine façon pourrait-on dire, ce ne serait pas rigoilo.. …. Ce qui est surtout navrant pour moi en réalité est que jusqu’à aujourd’hui toute cette histoire n’intéresse personne quasiment même si on pourrait prouver que c’est là que réside la première cause de maladies graves et de cancers en France. Tout comme dans un registre plus grave encore, il est navrant que le sujet du nucléaire n’intéresse que trop peu de monde en France alors que là dans le futur, c’est la vie elle même dans notre pays et sur la planète qui pourrait être remise en question par le nucléaire. Alors d’une certaine façon, je remercie le Conseil de l’Ordre des dentistes de percécurter cette idée car au moins il lui donne une certaine importance. Et c’est peut-être grâce à cette persécution qu’un jour les journalistes s’intéresseront au sujet car le public est assez friant aujourd’hui d’histoires de complots avec des méchants qui occultent une vérité dont dépend la santé de la population. On l’a d’aileurs vu dernièrement avec plusieurs scandales faisant intervenir des laboratoires pharmaceutiques. Alors peut-être que c’est grace à cette histoire de persécution que les gens finiront aussi par ouvrir les yeux sur le sujet puis ouvrir leur bouche pour demander à leur dentiste qu’il leur retire leurs dents dévitalisées. Alors ils reprendront le chemin de la santé, ce qui est le plus impoirtant ne l’oublions pas.

L’hiver serait-elle la saison idéale pour soigner le cancer ?

October 31, 2011 on 9:31 am | In Non classé | Comments Off

L’hiver serait-elle la saison idéale pour soigner le cancer ?

Un texte original qui remet certaines « certitudes » en question comme j’aime bien le faire, avec une certaine vision globale.

Après avoir expliqué dans un autre texte pourquoi Hildegarde de Bingen conseillait de se laver les dents à l’eau très froide pour éviter les caries, nous allons comprendre pourquoi vivre dans des appartements trop chauffés l’hiver n’est pas ce qu’il y a de mieux pour éviter des cancers.

Dans certains pays nordiques, on laisse parfois les bébés dehors l’hiver pendant un certain temps histoire de les renforcer. Ainsi on aura des adultes plus robustes, dit-on.

Des expériences thérapeutiques de cryothérapie sont faites pour des douleurs de type fibromyalgique. Les patients rentrent quelques minutes dans des chambres froides dont la température avoisine les – 60°c. Les jours qui suivent, ils se sentent bien mieux, leurs douleurs ayant disparues. Comment peut-on expliquer cela ? Le froid extérieur a créé une dynamique du sang des muscles qui sort vers l’extérieur pour réchauffer la peau agressée par le froid. Les toxines présentent dans les muscles en sortent avec le sang et seront éliminées par les reins qui sont les organes qui nettoient le sang. Comme par hasard, on sait en médecine chinoise, que le froid stimule la fonction rénale. C’est logique car il faudra alors éliminer les poisons véhiculés par le sang qui sont sortis des muscles à la suite du froid. Les muscles ainsi désintoxiqués seront alors moins douloureux un certain temps, le temps que les toxines y reviennent et irritent à nouveau les nerfs. On voit dans cet exemple que le froid peut donc avoir un effet thérapeutique. Nous allons voir maintenant que le froid modéré de l’hiver peut lui aussi avoir un effet thérapeutique. Cet effet sera lui aussi d’éliminer les toxines des organes par le mécanisme décrit précédemment mais en plus par un second mécanisme. Il s’agit de rallumer le feu intérieur. Ce feu intérieur qui permettra certes de produire de la chaleur afin de lutter contre le froid extérieur permettra aussi en même temps d’éliminer les poisons en les mobilisant.

Notre civilisation a introduit nombre de mauvaises habitudes qui ont contribué à nous intoxiquer. Mais en plus, certains autres progrès de civilisation empêchent l’organisme de se désintoxiquer. Il est évident qu’il est toujours mieux d’identifier tout cela puis de le corriger plutôt que de vouloir toujours trouver de nouveaux médicaments, même si peu s’y intéressent. Je suis toujours sidéré de voir avec quelle facilité les gens prennent des médicaments pour un oui ou pour un non sans se poser plus de questions que ça. Ils ne comprennent pas que cette attitude les fera finir avec des maladies graves, incontinent et sur un fauteuil roulant. Évidemment ce n’est pas le corps médical qui prescrit et vit de ses prescriptions qui les préviendra de ces risques. En général c’est même le contraire, tout est fait pour les conduire dans cette voie d’autant plus que le système de rémunération de la sécurité sociale incite à le faire. Les discours hygiénistes qui alertent de ce danger sont généralement au passage qualifiés de folie dangereuse. Mais quand on voit dans quel état de dévitalisation sont aujourd’hui les gens et l’augmentation phénoménale des maladies graves et des maladies génétiques, où est vraiment la folie, serait une question que nous ferions bien de nous poser un peu plus je crois.

Un organisme très empoisonné finit parfois par se cancériser. La solution logique pour soigner le cancer serait alors de commencer à éliminer les poisons et à revitaliser l’organisme. Notre médecine moderne pense surtout à tuer les cellules cancéreuses. Cette philosophie s’inscrit tout à fait dans une logique générale de notre médecine moderne qui est de détruire tous les mécanismes de l’organisme qui réagissent à un empoisonnement, car la cancérisation est aussi un tel mécanisme. Cette philosophie qui guérit aussi on ne peut le nier fabrique aussi au passage de plus en plus de grabataires énergétiques. Mais ils sont guéris…… Mais ils sont aussi grabataires. Il est donc peut-être intéressant d’explorer les autres voies plus naturelles de guérison, ce que nous allons faire pour l’une d’elle dans ce texte….

J’ai souvent expliqué que le fait de se débarrasser de ses dents dévitalisées, sources de toxines, était très probablement la meilleure chose pour se désempoisonner aujourd’hui. Mais parfois cela ne suffit pas à tout guérir, c’est évident même si cela permet nombre de guérisons que rien d’autre n’avait guéri (voir les vidéos témoignages de www.sante-dent.com) Eh bien, nous allons explorer ici une autre voie qui va dans ce sens de desintoxication-revitalisation. Elle consiste à utiliser le froid de l’hiver aussi incroyable que cela puisse paraître. Le froid déclenche une réaction thermique dans l’organisme, un feu intérieur pourrait-on dire. Ce feu correspond a une augmentation du métabolisme cellulaire dans l’objectif de fabriquer de la chaleur comme je l’ai déjà dit. Mais l’augmentation du métabolisme cellulaire va aussi permettre de mobiliser les poisons les plus profondément insérés dans les organismes, c’est à dire ceux qui rentrent jusque dans les cellules et dont la présence peut parfois déclencher un cancer. Comme c’est l’hiver que l’organisme a le plus besoin de produire de la chaleur, c’est aussi l’hiver que les poisons pourront aussi le plus être mobilisés et donc que les cellules empoisonnées pourront le plus être nettoyées. C’est pourquoi l’hiver est la saison idéale pour soigner le cancer.

Quand on étudie le cancer, on peut penser que le feu intérieur est un mécanisme que l’organisme tente lui même de mettre en place pour guérir du cancer. En effet, lorsqu’on analyse thermiquement les tumeurs cancéreuses, notamment avec des appareils de thermographie, on s’aperçoit qu’elles sont plus chaudes que le reste du corps. La production de chaleur se passe aussi apparemment dans les tumeurs cancéreuses.Il semble donc logique de favoriser des mécanismes qui vont dans ce sens d’autoguérison. C’est ce que veut faire le fait de déclencher un feu intérieur. Les réactions de l’organisme ne sont pas insensées et ont toujours un sens d’autoguérison, Il semble donc logique de s’en inspirer, ce que notre médecine est souvent loin de comprendre encore quand elle fait systématiquement tomber la fièvre et supprime la douleur par sa chimie antalgique. La fièvre est d’ailleurs aussi une manifestation d’autoguérison comme l’inflammation. Il est d’ailleurs plus que probable qu’à force de supprimer la fièvre et l’inflammation par des médicaments chimiques, on favorise alors à terme la cancérisation des organismes qui ne savent plus faire ni fièvre ni d’inflammation pour se débarrasser des poisons. Pour aller dans ce sens, j’ai aussi déjà vu des fièvres importantes se déclencher après des extractions de dents dévitalisées et des cancers guérir d’eux même dans la foulée, ce qui tendrait à confirmer l’assertion précédente.

A propos de traitement de cancer par la chaleur, des expériences intéressantes avaient été faites jadis en mettant notamment les patients cancéreux dans des saunas qui étaient très chauds et très longtemps. La quantité de cellules cancéreuses régresse. Il est donc à l’évidence intéressant que l’organisme se réchauffe en profondeur dans le cas de cancer.

Il existe une autre façon de déclencher une désintoxication par la chaleur, c’est de rallumer le feu intérieur. Il existe plusieurs façon de réaliser cela, le sport en est une par exemple, bien que faire du sport lorsqu’on est malade n’est pas toujours très conseillé par la médecine chinoise qui conseille plutôt de se reposer. La consommation de certains aliments et certains épices réchauffants en est une autre.

Il est aussi possible de vivre dans le froid pour rallumer le feu intérieur. Il ne faut certes pas avoir froid mais vivre dans le froid. Il est donc nécessaire d’être très couvert bien sûr. Il ne faut pas hésiter à empiler les couches de vêtements avec deux voire trois paires de chaussettes et pantalons, des gants et un bonnet sur la tête. Le visage lui reste au froid et on respire un air froid. Cela va informer la thyroïde, le thermostat du corps, d’augmenter le feu intérieur qui va « bruler » en profondeur les toxines accumulées au contact des cellules empoisonnées. Ce feu interne va alors permettre de désempoisonner les cellules ce qui peut participer à la guérison du cancer.

Malgré l’hiver, il n’est pas toujours suffisant de sortir dehors quelques heures pour que ce processus se réalise correctement même si cela fait toujours du bien d’aller un peu se revigorer au froid. Il faut carrément vivre dans des appartements froids à une température qui oscille autour 10 degrès, voire moins encore en faisant cela progressivement. Il faut éviter d’être trop extrême bien sûr car mourir de froid, ce n’est pas le but non plus… Au début ces conditions peuvent paraitre un peu rudes en venant d’un appartement chauffé mais au bout d’une semaine déjà on commence à ressentir les bienfaits de ce « traitement » naturel si on peut dire. Le visage se colore en rose, signe de bonne santé retrouvé et les zones ganglionnaires classiquement gonflées dans les cancers commencent à dégonfler, ça je l’ai déjà vu. Pour la suite je dois dire que c’est juste théorique car je n’ai jamais eu l’occasion de le vérifier mais j’imagine que tandis qu’une chaleur intérieure apparaît les douleurs associées au cancer diminuent et la tumeur elle même régresse, surtout si on a éliminé les causes donc enlevé notamment les dents dévitalisées bien sûr. Il n’est pas inutile non plus de faire tous les traitements naturels possibles notamment ceux conseillés par Hulda Clark. La chaleur interne élimine donc en profondeur les poisons du corps qui sont à l’origine de la cancérisation. Il n’est pas inutile de temps à autre de faire un sauna très chaud pour créer un contraste thermique, de se mettre le dos nu devant une cheminée ou mieux un poêle à bois pour stimuler les différentes fonctions organiques et de prendre aussi des bains et douches chaudes même si on peut finir par une douche froide. On s’alimentera aussi de plats chauds épicés avec poivre, gingembre et cannelle notamment, des épices réchauffantes qui permettent d’augmenter ce feu intérieur purificateur que l’on veut rallumer. Il faut savoir aussi que la céréale la plus réchauffante est l’avoine et que le blé réchauffe plus que le riz. Parfois lorsqu’on sentira ce feu revenir et qu’on aura chaud, on pourra même manger de la crème glacée, avec modération toutefois, ce qui créera une réaction de production de chaleur du corps. Attention si on en prend trop, car ça fera alors le contraire et on grelotera, ce qui n’est pas une bonne chose. Les agrumes ont aussi cet effet refroidissant, moindre toutefois. L’objectif n’est pas de refroidir l’organisme mais de rallumer un feu en profondeur à l’intérieur de l’organisme en faisant réagir l’organisme qui vivra dans une ambiance froide.

Le confort des appartements chauffés l’hiver est classiquement considéré comme un progrès de civilisation, un peu comme les médicaments chimiques et la dent dévitalisée d’ailleurs. Le chauffage domestique est pourtant un élément qui n’aide pas les organismes à se renforcer et à détruire les poisons qui sont profondément situés dans les organismes, ce qui doit se faire l’hiver. Un chauffage excessif des appartements peut donc être considéré comme un cofacteur cancérigène d’une certaine façon. Évidemment lorsqu’on ne chauffe pas les appartements on risque plus d’attraper des rhumes et de faire des maladies infectieuses du genre de celles qui donnent de la fièvre. Mais c’est justement aussi cela qui permettra de désintoxiquer l’organisme et d’éviter un cancer surtout si on ne les bloque pas ces petites maladies d’élimination avec des médicaments chimiques et des vaccins notamment. Une bonne fièvre peut soigner un cancer disait le célèbre naturopathe Passebecq.
Un bémol toutefois pour les personnes maigrichones qui généralement n’ont d’ailleurs pas de cancer mais sont plutôt déminéralisées et rhumatisantes et qui elles feraient mieux d’éviter de vivre dans le froid car il pourra les tuer au contraire de les guérir. C’est aussi le cas des personnes très âgées qui n’ont pas la même capacités à supporter le froid et à y réagir et qui pourraient peut-être guérir de leur cancer mais mourir de froid…. Mieux vaut pour ces personnes aller faire un tour à l’ile de la Réunion. Avec un peu de chance elle se feront piquer par un moustique porteur du chikungunya et la fièvre qui en résultera pourra guérir leur cancer si elles ont bien fait enlever leurs dents dévitalisées auparavant. Mais pour les cancéreux qui sont souvent bien en chair, sauf après les chimiothérapies qui leur détériore notamment le foie, vivre l’hiver dans le froid est en réalité revitalisant et désintoxiquant donc thérapeutique.

Si des personnes cancéreuses veulent expérimenter cette voie thérapeutique originale cet hiver, elles seront accueillies dans mon centre de revitalisation à la montagne où je vis à environ 10°c l’hiver mais ça peut aller jusqu’à 5°C quand il fait très froid. Le centre comprend un sauna et un poêle à bois mais aussi de multiples outils de revitalisations (appareils d’onde magnétiques pulsées notamment) et on y applique diverses thérapies naturelles. C’est en pleine nature dans un endroit magnifique, un vrai petit paradis frisco. Mais il faudra aussi enlever les dents dévitalisées car je doute que sinon cela suffise….. Pour les rhumatisants et maigrichons, mieux vaut attendre l’été pour venir faire un séjour dans mon centre de revitalisation.

Pour être un peu plus complet, je dirai que au contraire de l’hiver, l’été sera la saison pour la désintoxication superficielle. Pour augmenter alors sa vitalité, c’est la saison où on prendra plutôt des douches froides, des crudités, des glaces et des boissons fraiches. Exactement l’opposé de ce qu’il faut faire l’hiver pour là aussi créer un contraste revitalisant avec la température extérieure. L’été permet plutôt d’éliminer les poisons superficiels. Pour ne pas affecter ce processus, on évitera donc les climatiseurs l’été comme on évitera l’hiver les chauffages. Les personnes cardiaques devront toutefois éviter trop de chaleur l’été comme les rhumatisants trop de froid l’hiver car cela pourrait leur être fatal. On pourrait aussi disserter sur l’automne et le printemps mais là n’est pas le sujet. Je dirais juste que ce sont des saisons propices aux purges et aux cures de désintoxication comme la cure du foie par exemple que Hulda Clark aimait faire à ses patients cancéreux après leur avoir enlevé leurs dents dévitalisées.

Autre avantage. Avec ce régime revitalisant, où il n’y a ni climatisation ni chauffage, plus besoin de centrales nucléaires ……. car le chauffage l’hiver et la climatisation l’été sont ce qui consomme le plus d’électricité dans notre pays. Cela permettra aux générations futures de ne pas vivre dans des zones polluées par la radioactivité, pour des centaines de milliers d’années.

En ce moment de pré élections présidentielles, on n’entend beaucoup parler de politique. Quasiment aucun politicien ne se rend compte des graves problèmes de société engendrés par notre médecine moderne qui s’est éloignée des lois naturelles. Je tenais alors à vous dire que je soutenais la candidature de Corinne Lepage qui a bien compris qu’il n’y a rien de plus grave que le nucléaire qui apporte la mort au plus profond des cellules et qui a bien compris aussi que la dent dévitalisée qui est le seul organe mort introduit dans les organismes vivants, constitue « un grave problème de santé publique ».
Pour lire le texte de Corinne Lepage sur les dents dévitalisées, sur le site sante-dents.com voici l’adresse internet http://michel.raynaud.pagesperso-orange.fr/mem_clpg.htm

Bruno Darmon Dr en chirurgie dentaire
drbrunodarmon@yahoo.fr

Ostéoporose: Diphosphonates, les médicaments qui empêchent ensuite de guérir toutes les maladies en enlevant des dents dévitalisées.

September 3, 2011 on 2:37 pm | In Non classé | Comments Off

Ostéoporose: Diphosphonates, les médicaments qui empêchent ensuite de guérir toutes les maladies en enlevant des dents dévitalisées.

Quasiment tous les traitements de notre médecine moderne sont aussi des poisons avec des effets secondaires même si paradoxalement ils suppriment des maladies. Certes parfois les maladies peuvent tuer, et par conséquent alors, faute de mieux quand on ne sait rien faire d’autre, il est préférable d’empoisonner un peu l’organisme que de mourir. Les effets secondaires de nos médicaments poisons sont toutefois largement sous estimés et ils pourraient bien être une des premières causes de l’apparition des maladies graves, avec la dent dévitalisée. Il faudrait donc toujours rechercher des solutions naturelles sans effets secondaires. Parmi ces poisons qu’on appelle médicaments, il en existe une catégorie particulièrement perverse comme vous allez le constater. Ces sont les médicaments de la classe des diphosphonates ou bisphosphonates. Ce sont des médicaments utilisés aujourd’hui pour traiter l’ostéoporose, un mal qui n’est pas sans rapport avec le mal du siècle qui est le mal de dos. Car la douleur chronique du dos, souvent associée à une inflammation chronique est toujours associée à une lente déminéralisation du squelette. Le mal de dos est lui même souvent associé à une maladie grave en préparation car c’est dans le dos que se projètent les points d’acupuncture de commande des différents organes. Le mal de dos est donc loin d’être anodin.

L’os est un organe qui présente des manifestations de minéralisation et déminéralisation. Certaines cellules appelées ostéoblastes minéralisent l’os tandis que d’autres appelées ostéoclastes le déminéralisent. Des chimistes se sont aperçus que certaines molécules permettaient de supprimer quasiment la fonction ostéoclasique donc d’éviter à l’os de se déminéraliser. On tue en fait plus ou moins les ostéoclastes. Ces molécules luttent ainsi contre l’ostéoporose dans la logique de toute la médecine moderne qui est d’inhiber une fonction donc d’empoisonner l’organisme. Il y a une dizaine d’années ces molécules étaient présentées aux dentistes comme des médicaments miracles pour l’implantologie dentaire dans les cas où l’os est trop mou pour pouvoir y poser des implants. Mais depuis on y est revenu car on s’est aperçu que ces médicaments, s’ils permettaient effectivement d’augmenter la densité osseuse, empêchait aussi quasiment de poser des implants car l’os se comportait alors comme un os mort. Il pouvait alors s’infecter gravement à la pose d’un implant. Mais ce qui est aussi très problématique c’est qu’une simple extraction dentaire peut aussi entrainer la mort du patient qui aurait pris de tels médicaments. En effet, une infection osseuse terrible peut survenir à cause de l’os qui se nécrosera et cela se transformera en septicémie mortelle. On observait jadis cela après les traitements de cancers des mâchoires par irradiation qui provoquaient une ostéoradionécrose. Et bien maintenant depuis presque une dizaine d’années, nos bons pharmacologistes ont trouvé un médicament avec lequel on arrive à peu près au même résultat. On parle d’ailleurs de chimio ostéonécrose.

Le grand paradoxe diabolique dans ce cas, c’est que la plupart des problèmes rhumatologiques et donc des problèmes de mal de dos et de déminéralisation proviennent des dents dévitalisées, comme la plupart des maladies graves en fait. Donc, pour les résoudre vraiment, il faudrait enlever des dents et mettre des dentiers. C’est ce que notamment un rhumatologue a observé pendant une quarantaine d’années, sur des milliers de patients, le Dr JG Thomas, aujourd’hui à la retraite, à Grasse. Mais si le patient a pris une de ces médicaments diaboliques de la classe des diphosphonate, si on enlève la cause du problème, donc la dent dévitalisée, on prend carrément un risque mortel. Et cela même si le médicament a été arrêté depuis des mois ou des années parfois. Ce sont donc vraiment des médicaments qui empêchent de guérir toutes les maladies, le titre n’est pas une blague. Difficile de faire plus diabolique dans la catégorie des médicaments. Et pendant que les rhumatologues prescrivent de plus en plus ces médicaments poisons, ne sachant rien faire d’autre, les dentistes dévitalisent de plus en plus de dents, incités de le faire par des remboursements pervers de la sécurité sociale.

Pour traiter l’ostéoporose il existe plusieurs substances naturelles pour se reminéraliser mais qui bien sûr ne rentrent pas dans la logique pharmacologique moderne de remboursement par la sécurité sociale. C’est la prêle, des médicaments ayurvédique à base de corail, l’algue lithothame, le jus de citron dans lequel a trempé de la coquille d’oeuf, la poudre d’huitre POS ou de la nacre en solution, le silicium organique et la poudre de silice de Plocher, notamment. Il existe aussi un aliment particulier qui ressemble d’ailleurs à de l’os, c’est le céleri rave. On râpera le céleri rave très fin pour obtenir une bouillie puis on y versera du jus de citron que l’on laissera un peu agir, histoire de mobiliser les minéraux. Ensuite, on mélangera cette mixture avec de la crème fraiche par exemple car sans graisse, on ne peut pas bien reminéraliser. On obtiendra ainsi une crème alimentaire très reminéralisante.

C’est en lune croissante qu’il faudra de préférence se reminéraliser donc le consommer car c’est en lune croissante qu’on se construit tandis qu’en lune décroissante on se nettoie. C’est assez important d’en tenir compte notamment pour les plantes médicinales car si on essaie trop de se minéraliser en lune décroissante par exemple, l’excès de minéraux peut causer certains problème, d’obstructions, des calculs notamment.

La déminéralisation, avec le mal de dos, est un mal de plus en plus répandu dans notre civilisation occidentale. Huit français sur dix ont mal au dos. Les infections osseuses autour des dents dévitalisées ont ne grande part de responsabilité dans cette problématique. La solution diphosphonate me semble vraiment être une fausse bonne idée très dangereuse. Qui peut garantir qu’on ne devra jamais enlever une dent dans le futur ? Ces médicaments ont divers noms et se prennent debout avec un grand verre d’eau pour ne pas bruler l’œsophage tellement ils sont acides. Parfois les médecins disent à leurs patients que ce sont justes des vitamines pour renforcer leurs os. Selon certains témoignages que j’ai eu, même si ces médicaments arrêtent la perte de minéralisation de l’os, il n’est pas du tout sûr qu’ils rendent l’os plus solide car l’os casserait alors comme du bois mort au moindre choc. La solidité de l’os ne dépend pas que de son taux de minéralisation mais aussi de sa capacité à se déformer sans casser, ce que parait-il, les diphosphonates affecteraient. J’ai entendu des cas de personnes se cassant en plusieurs morceaux après une simple chute alors qu’elles avaient pris de tels médicaments. S’il y a des médicaments soit disant préventifs à éviter, je crois que ce sont bien ceux là mes chers amis. Voici quelques noms commerciales de diphoshonates
Didronel®, Osteodidronel® Bonefos®, Clastoban®, Lytos® Skelid® Aredia®, Ostepam®, Pamidrin®, Paminject® Fosamax® Actonel® Bondronat®, Bonviva® Zometa®, Aclasta®

Je pari que dans quelques années, ces médicaments vont être l’objet d’un scandale pire que celui du médiator.

Voici maintenant quelques petites anecdotes instructives pour la santé. Elles sont consécutives à des rencontres faites par hasard mais qui toutes peuvent être vérifiées, par un journaliste par exemple, car les personnes citées peuvent toutes être retrouvées.

Dernièrement j’ai une voisine qui avait mal à une dent et on la lui a enlevé. Il n’y a avait pas d’autres solutions, parait-il, selon le dentiste. Elle est morte de septicémie peu de temps après car elle était sous diphosphonate. Le mari, qui était par ailleurs infecte parait-il avec sa femme en veut au dentiste. Mais c’est au rhumatologue à la limite qu’il devrait en vouloir car le dentiste n’a fait que lui abréger ses souffrances…… Que le monde est injuste parfois…… .

En prenant le train dernièrement, une dame à la limite de la retraite s’assied à côté de moi. Nous parlons un peu durant le voyage. Elle a toujours travaillé pour l’hôpital public, dans les services hospitaliers des soins palliatifs plus précisément. C’est le service où les patients cancéreux en phase terminale arrivent pour y mourir le plus souvent. Depuis trente ans elle voit l’évolution de la situation sur le terrain, au delà des chiffres qui nous font croire que grâce à la médecine moderne on vit de mieux en mieux. C’est surtout vrai en fait pour le corps médical. Elle, ce qu’elle constate, c’est que de plus en plus de patients viennent mourir dans son service. Même si les patients demandent qu’on les laisse tranquilles, les médecins font tout pour les maintenir en vie parce qu’ils sont payés à l’acte. Eh oui, c’est souvent cela aujourd’hui dans la médecine, seul les actes donnent lieu à une rémunération. C’est vrai aussi à l’hôpital public. Il faut donc faire des actes. De plus en plus de patients jeunes arrivent dans son service alors qu’au début de sa carrière on n’y voyait plutôt des personnes âgées me dit-elle. Elle constate que la souffrance tout comme la quantité de malades ne cesse d’augmenter dans les hôpitaux et cela même si on ne cesse de construire des hôpitaux. Tous les services hospitaliers sont de plus en plus débordés, on se sait plus quoi faire des malades et des grabataires. Même les maisons de retraites sont débordés de grabataires, elles ont de plus en plus de mal à trouver du personnel.

Une connaissance aujourd’hui à la retraite travailla jadis dans la première entreprise qui fournissait en médicaments les pharmacie du département des Alpes maritimes. Il a vu la progression phénoménale de la consommation des médicaments durant ces cinquante dernières années. Quand je lui demande d’évaluer un peu par combien a été multiplié la consommation de médicaments dans le département ces cinquante dernières années, compte tenu que d’autres entreprises équivalentes ont du se développer pour fournir la demande de plus en plus importante, il évalue que la consommation a du être multipliée par mille en un demi siècle. Il exagère peut-être un peu je crois. Je constate aussi que dans notre société aujourd’hui, rares sont les personnes qui ne prennent pas de traitement médical après cinquante ans. Les français sont champions toutes catégories de la prise de médicaments. De plus de plus de jeunes aussi prennent régulièrement des médicaments. Ils ne se rendent pas compte qu’ils se droguent, ils croient se soigner. Ils feraient mieux quand ils sont malades de se coucher et de jeuner s’ils ne savent rien faire d’autre. Ils pourraient aussi boire de l’eau chaude avec du citron ou faire une infusion avec des herbes de Provence. C’est simple mais efficace.

En me promenant vers le port de Nice je découvre une boutique que je ne connaissais pas. C’est une boutique qui vend des huiles essentielles et des hydrolats de plantes principalement. Le propriétaire travaillait jadis dans un grand laboratoire de produits pharmaceutiques et était chargé des études sur l’efficacité et les effets secondaires des médicaments. On lui demandait systématiquement de truquer les études pour que les chiffres conviennent au laboratoire. Une pratique généralisée dans tous les grands laboratoires m’a-t-il dit. C’est une des raisons pour lesquelles il a démissionné pour se tourner vers la médecine des plantes. Il me parle d’un groupe d’infirmières d’un l’hôpital de Nice qui viennent se fournir régulièrement chez lui. Elles voient bien ce que produit la consommation de médicaments allopathiques sur les patients et elle ne veulent pas y toucher, si ce n’est pour les donner aux patients.

Les deux dernières herboristerie de Cannes ont fermées ces dernières années car les herboristes étaient très vielles et comme le diplôme d’herboristerie n’est pas reconnu en France, personne n’a pu reprendre les affaires. De moins en moins de personnes ont le réflexe de prendre des plantes médicinales qui n’auront pas d’effets secondaires, c’est à dire qui ne provoqueront pas une maladie plus grave que celle sensée être soignée comme le font quasiment tous les médicaments modernes.

Une connaissance venant passer ses vacances sur Nice est propriétaire d’un laboratoire d’analyse médicale dans une petite ville du Centre Est de la France, le trou du cul de la France comme il dit. Beaucoup de patients ont la C.M.U. et passent leur temps chez les médecins et dans son laboratoire pour faire et refaire inlassablement des analyses. Pour lui, comme tout est gratuit pour eux, ça les occupe me dit-il. Ce genre de comportement ruine la sécurité sociale et notre pays mais assure son enrichissement personnel. Comme à tous les membres du corps médical que je rencontre, je lui ai demandé si cela l’intéressait de comprendre pourquoi les dents dévitalisées pourrait bien être la principale cause des maladies et mal-être de tous ses patients. Mais lui aussi comme tous les autres, il s’en fout royalement. Pourquoi chercher quelque chose qui à terme ne pourrait éventuellement conduire qu’à diminuer ses revenus ?

La fille de mon beau père est pharmacienne et son mari tient un laboratoire d’analyse médicale. Le mari gagne tellement d’argent qu’elle a arrêté de travailler pour faire de l’humanitaire. Elle ouvre des pharmacies dans les pays en voie de développement pour y faire acheminer ensuite des médicaments chimiques. Il faut bien que les pauvres aussi soient empoisonnés, sinon ce ne serait pas juste… Il est très fier de sa fille qui elle même pense faire beaucoup de bien. Elle fait notamment la promotion de campagne de vaccination. Lui même était un sportif, très robuste et en très bonne santé, avec un cœur en excellent état. Un jour il a cassé sa tirelire pour mettre des implants dentaires en titane en prenant comme lui avait conseillé son dentiste des anti-inflammatoires après l’intervention pour être sûr de ne pas avoir de problème. Depuis il a des problèmes cardiaques et il doit prendre sans cesse des anticoagulants avec parfois des hémorragies internes assez problématiques. Mais c’est le hasard parait-il car comme c’est un ancien prof de fac, tout ce qui n’est pas validé par l’université n’a pas de valeur.

Ma grand mère à eu cent deux ans cet été, c’est la doyenne de sa maison de retraite. C’est elle qui m’a élevé et c’est la seule personne a qui j’ai enlevé toutes ses dents mortes sans même le lui demander. Comme elles ne lui faisaient pas mal, je la connais, elle n’aurait pas voulu. Comme c’était des bouts de racines qui trainaient dans la mâchoire, elle ne s’en est même pas aperçu..Elle râlait un peu lors de l’opération car elle trouvait que ça faisait long pour enlever juste une petite racine mais je suis arrivé à le faire quand même. On dit bien menteur comme un arracheur de dents, ce n’est pas pour rien. C’est la personne qui mange le plus mal que je connaisse. Elle mange du pain de mie blanc en sachet avec du pâté en boite puis du fromage et de la confiture au sucre blanc. Jadis, elle se vaccinait même tous les hivers contre la grippe. Mais quand elle était jeune, elle n’a pas été vacciné, et n’a jamais eu de dents dévitalisées, c’est vrai. Malgré tout ça, elle n’est quasiment jamais malade. A chaque fois qu’elle a un petit soucis de santé, elle appelle le médecin allopathe et avale tous ses médicaments chimiques sans hésiter. Il y a trois ans, elle a fait un tour à l’hôpital pour un petit mal de ventre que son médecin allopathe n’arrivait pas à résoudre. Les médecins lui ont donné des anxiolytiques car ils ont estimé que c’était du à une peur de mourir. Elle est ressortie de l’hôpital sans mal de ventre mais sur un fauteuil roulant. Selon le kinésithérapeute qui venait la voir ensuite et avec qui j’ai discuté, c’est assez courant m’a-t-il dit. Les personnes âgées rentrent en marchant à l’hôpital pour un petit bobo et en ressortent guéries mais sur un fauteuil roulant. Ah c’est la science….. En prime elle avait aussi perdu toute sa mémoire Elle ne me reconnaissait même plus. Je lui ai alors fait un nouveau dentier en faisant insérer par mon prothésiste des cristaux de cristal de Roche dans toutes les dents. Elle a vite retrouvé toute sa mémoire. Un jour elle l’a reperdu et je me suis aperçu que ma mère lui avait remis son ancien dentier car le nouveau lui faisait mal. J’ai alors retouché le nouveau dentier pour qu’il ne fasse plus mal et il lui a été remis. Elle a retrouvé à nouveau la mémoire. Même ma fille l’a nettement constaté. Comme nul n’est prophète en son pays, je ne suis arrivé à convaincre personne de ma famille de faire enlever leurs dents dévitalisées et ils sont tous malades de quelques chose à part la grand mère qui pourrait bien tous les enterrer et qui s’étonne d’ailleurs qu’ils soient tous un peu malades de quelque chose.

La femme de ménage de ma mère est originaire des Comores. Elle y retourne de temps en temps. En discutant avec elle elle s’étonne toujours de voir autant de personnes âgées grabataires en France tandis que dans son pays elles lui semblent toutes en forme et ne connaissent pas les fauteuils roulants. Il faut dire qu’il n’y a pas de sécurité sociale et de remboursement de médicaments aux Comores, et encore moins de dentistes qui dévitalisent les dents. Une autre aide soignante portugaise m’a dit à peu près la même chose pour le Portugal. Il paraît qu’en France, on a la meilleure médecine du monde, enfin c’est ce que j’entends souvent dire de nos médecins….

La clinique Paracelsius se trouve dans une petite région de Suisse où les personnes sont les moins malades de toute la Suisse, chiffres à l’appui consultables sur sante-dents.com. Le Dr Rau, le directeur de la clinique Paracelsius, connue pour ses guérisons assez exceptionnelles m’a avoué discrètement que tout ce qu’ils font dans sa clinique serait négligeables face aux pathologies graves si on n’enlevait pas aussi les dents dévitalisées des patients. C’est aussi ce que m’avait dit le Dr J.G. Thomas de Grasse, acupuncteur aujourd’hui à la retraite, lui aussi connu pour ses guérison exceptionnelles dans le sud de la France.

Un ostéopathe des bouches du Rhône que j’ai rencontré lors d’un stage avec Hulda Clark a subi une quinzaine d’injections dans ses trois dents dévitalisées enlevées, pour traiter les mémoires toxiques osseuses. C’est une technique pas encore vraiment connue en France, il faut déjà commencer par enlever les dents dévitalisées. Il m’a dit qu’il estime que cela lui a fait autant de bien que d’enlever ses dents dévitalisées.

Sept ans déjà que le Conseil de l’Ordre m’a interdit d’exercer pour avoir informé des patients qu’il serait bien pour leur santé d’enlever leurs dents dévitalisées. Je suis le premier dans ce cas en Europe dans le pays le plus malade d’Europe et celui qui possède aussi le plus de dents dévitalisée d’Europe comme par hasard. Je n’ai reçu aucun soutien de l’université dentaire de Nice dont j’ai contacté notamment les quatre derniers doyens, ni de tous les médecins que j’ai contacté, et encore moins de la justice qui aurait bien voulu m’envoyer aussi en prison pour la même raison en me faisant passer pour un fou qui mutile les patients. Mais bon, j’y ai échappé de justesse. Les quelques dentistes de la région qui faisaient de même ont tous été convoqués par le Conseil de l’Ordre des Alpes Maritimes qui leur a fait des menaces de subir le même sort que moi s’ils continuaient à enlever les dents dévitalisées de leurs patients pour « soit disant » leur redonner la santé. Alors aujourd’hui, ils refusent d’enlever les dents dévitalisées. Difficile d’accepter de perdre un métier où on gagne cinq à dix mille euros par mois pour guérir quelques patients. J’ai croisé dernièrement dans les rues de Nice le Président du Conseil de l’ordre qui avait organisé mon interdiction d’exercer et qui soutient toute la persécution de cette idée. Il rigolait de tout cela. Je lui ai demandé s’il croyait en Dieu et au karma car il risquerait d’avoir quelques conséquences fâcheuses selon moi à ce qu’il a fait et qui empêche des centaines de personnes d’accéder à la santé. Il a répondu que tout cela n’était que des bêtises pour lui, et d’ailleurs il n’y a aucun Dieu pour lui puisque nous descendons du singe disent les scientifiques.

Je discutais dernièrement avec un ami ami dentiste qui m’avouait que les derniers remboursements des inlays core (les pivots en langage courant), mieux remboursés encore que les couronnes, étaient une incitation terrible de la sécurité sociale à dévitaliser les dents. La couronne sur dent dévitalisée avec un inlay core est l’acte le plus rentable, et de loin, de toute la dentisterie, hormis les implants. Cela fait que ces dernières années, les dentistes n’ont jamais autant dévitalisé de dents. Mais personne ne fait le lien avec l’augmentation importante de toutes les maladies graves, du mal de dos aux cancers. Personne ne veut y croire, personne ne prend même le temps de vérifier si la plus grande cause de toute cette souffrance ne serait pas tout simplement comme je le crie depuis des années, ces seuls organes morts que notre civilisation a accepté d’introduire dans les organismes vivants. J’ai guéri des centaines de patients que personne ne pouvait guérir juste en enlevant leurs dents dévitalisées. Pour être plus crédible, j’en ai même filmé une centaine que j’ai mis sur internet sur www;sante-dents.com. Mais peu de gens s’y intéressent vraiment. Les malades sont en attente de la découverte du médicament miracle qui n’arrivera jamais. Alors la maladie ruine notre civilisation qui devient une civilisation de malades qui ne peut logiquement avoir qu’une économie malade. Les enfants naissent avec diverses maladies génétiques et notamment avec les dents tordues car leurs parents avaient des dents dévitalisées. Le seul secteur économique qui est en pleine expansion en France est l’aide aux personnes dépendantes.. Tant que la sécurité sociale peut payer, ça en occupe certains…..

Toutes ces histoires de dents dévitalisées, de chem trails, de vaccins, de gaz de shiste, de médicaments poisons, sont graves certes mais si un jour une centrale nucléaire venait à exploser, ce serait bien pire que tout encore, à part une bombe atomique évidemment. C’est une terrible vérité qu’on refuse pourtant de voir comme bien d’autres. Alors en France particulièrement on continue à construire des centrales nucléaires alors qu’il faudrait pourtant toutes les arrêter immédiatement, sinon environ trente millions de français pourraient bientôt mourir à cause de cela m’a encore dit la petite voix, histoire de mieux comprendre qu’il ne faut pas jouer à séparer les atomes, un peu comme il ne faut pas jouer à séparer le nerf de la dent, car « tu ne sépareras pas ce que Dieu a uni » nous avait-il dit dans la Bible.

J’ai découvert une nouvelle thérapie. Elle est tout à fait dans l’esprit de la voie de la vérité. Tous les jours je me répète que je suis un imbécile. Vous devriez essayer, ça à l’air de marcher sur moi, j’ai l’impression que chaque jour je le suis un peu moins. Je crois que tous les français devraient l’appliquer, au lieu notamment de penser qu’on a la meilleure médecine du monde, les meilleures centrales nucléaires du monde et d’autres conneries dans le même genre. La solution à notre connerie nationale serait certainement de commencer à la reconnaître.

Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire drbrunodarmon@yahoo.fr

Quelques enseignements du décès de David Servan-Schreiber.

July 31, 2011 on 10:12 am | In Non classé | Comments Off

Quelques enseignements du décès de David Servan-Schreiber

David Servan-Schreiber est mort dernièrement du cancer à l’âge de 50 ans. Ce sympathique et brillant neuro-psychiatre avait associé des solutions naturelles et des médecines douces pendant vingt ans aux traitements conventionnels. Il était déjà prédisposé à trouver d’autres solutions que la médecine chimique moderne, puisqu’il proposa jadis des traitements psychiatriques sans médicaments. En associant ses méthodes aux traitements conventionnels, il a vécu bien plus longtemps avec sa tumeur du cerveau que ce que la médecine moderne ne prévoit généralement. Mais il est quand même mort assez jeune toutefois.
Je ne sais certes pas s’il aurait vécu plus vieux sans les traitements conventionnels. Mais je sais qu’il existe pourtant aussi un cas un peu similaire de tumeur au cerveau d’un intellectuel qui remis aussi en question la médecine moderne, et refusa toujours les traitements conventionnels de radiothérapie notamment. Ce fut Ivan Illich, l’auteur de Nemesis médicale, considéré par certains comme un des plus grands penseurs prophétiques du vingtième siècle. Il critiquait notamment l’église catholique de ne pas s’indigner des essais atomique. Il vécut jusqu’à 76 ans avec sa tumeur au cerveau qu’il eut pendant moins de temps que DSS toutefois. Mais lui refusa toujours les traitements conventionnels de la cancérologie moderne.
Je sais que j’ai écrit à David Servan-Schreiber pour l’informer jadis du problème des dents dévitalisées mais je n’ai pas reçu de réponse.
Je sais que les cancers du poumons ont commencé a bien se développer dans le monde quand les grandes puissances ont commencé par leurs essais atomiques à mettre dans l’atmosphère des pollutions radioactives.
Je sais aussi que certains pensent que les cancers sont vraiment apparus quand on a introduit de multiples poisons dans notre civilisation et notamment les vaccins.
Je sais aussi que les cancers sont multifactoriels, qu’ils ont aussi souvent une cause psychologique, parasitaire ou bactérienne et d’autres empoisonnements. Que tous ces facteurs contribuent à affecter nos cellules, voire à les nécroser, ce qui pourrait expliquer beaucoup de choses comme le fait l’article http://dent.devitalisee.free.fr/?p=122.
Mais je sais aussi surtout ce que quasiment personne ne sait aujourd’hui dans le monde de la cancérologie en France. Que la première cause des cancers est très probablement la dent dévitalisée comme le démontrent les sites sante-dents.com et dent-devitalisee.com. C’est aussi ce que pense de plus en plus de scientifiques, de dentistes et de médecins à travers le monde même s’ils sont encore très minoritaires.
Mais je sais aussi si une centrale nucléaire venait à se fissurer près de chez vous, la dent dévitalisée ne serait alors que la seconde cause de cancers dans votre entourage.
Je sais aussi que bien souvent, la meilleure chose à faire pour arriver à soigner naturellement les cancers est d’enlever les dents dévitalisées. Cela n’est pas juste un savoir théorique mais le fruit d’un travail d’équipe avec des médecins holistiques pendant une dizaine d’années sur des centaines de cas médicaux où nous étions amenés aussi à voir des cancers. De grands thérapeutes comme le cancérologue allemand Joseph Issels ou la scientifique canadienne naturopathe Hulda Clark le savaient aussi.
Car je sais que la dent dévitalisée est une petite usine à toxines de putréfaction qui affectent toutes nos cellules et particulièrement celles qui sont reliées avec la dent par des rapports de résonance comme en parle un peu l’article à cette adresse http://dent.devitalisee.free.fr/?p=136.
Je sais que parfois en faisant des traitements conventionnels, qu’on peut estimer couter environ 25 000 euros par cancer à la société, on guérira certes le cancer mais à quel prix pour la vitalité. Et parfois comme le reconnaissent eux même les cancérologues, on mourra encore plus vite que si on n’avait pas fait ces traitements conventionnels qui utilisent parfois de la radioactivité qui n’est pas si éloignée de celle qu’on trouve aujourd’hui à Fukushima. Un élément qui pourrait d’ailleurs nous interpeller un peu comme le fait l’article http://dent.devitalisee.free.fr/?p=135. Peut-être qu’avec un peu d’humour on pourrait payer des vacances au Japon aux cancéreux plutôt que de les envoyer dans des centres de radiothérapie.
Je sais donc qu’il serait plus intéressant que tout cela soit débattu autour d’une table dans les médias face à tous les français. Les français qui ont le plus de dents dévitalisées d’Europe et aussi le plus de cancers, et dont les statistiques prévoient qu’un sur deux environ aura un cancer durant sa vie. Mais les conseils de l’ordre des médecins et des dentistes aiment bien persécuter discrètement, comme ils l’ont fait avec moi, ceux qui remettent en question leurs pratiques habituelles et leurs intérêts. Comme disait Georges Brassens, « Mais, les braves gens n’aiment pas que, l’on suive une autre route qu’eux. »

Une petite anecdote instructive pour finir. Parmi les différents domaines explorés par DSS, il n’a visiblement pas exploré la médecine de Hildegarde de Bingen qui disait du mal des poireaux qu’il considérait par contre lui comme d’excellents aliments pour la santé. Hildegarde de Bingen était une religieuse allemande qui a beaucoup participé au développement de la médecine par les plantes et qui se disait être inspirée par Dieu qui donc semble-t-il voudrait qu’on se soigne par les plantes.

Pour continuer dans la même voie avec des anecdotes instructives, j’ai rencontré dernièrement un vieux monsieur, ancien prêtre orthodoxe, qui dit avoir vu Dieu il y a presque 40 ans. C’était soit disant un être tellement lumineux qu’il devait se cacher les yeux quand il lui parlait en face, un peu comme quand on ne peut voir en face le Soleil. Le Soleil qui était d’ailleurs considéré comme un dieu par de nombreuses civilisations notamment par les égyptiens qui le nommaient Ra. On retrouve aussi Ra en hébreu dans de nombreux mots en rapport avec la divinité. Ce sont par exemple Rabbin (le sage de dieu), Torah (l’enseignement de dieu) et Orah (la lumière) par exemple.
Il y a aussi me mot eraim qui signifie la vie. Mais tous les mots en im sont des pluriels donc la vie est un pluriel. Nous n’avons donc pas une vie mais des vies. Le concept de réincarnation pourrait donc être contenu dans le mot lui même.

Ce vieux monsieur passe depuis presque cinquante ans un message qu’il a reçu à Ares qui est assez simple et qui dit de faire du bien et de réparer ses erreurs car Dieu ne pardonne pas. Il contient notamment une prière à faire régulièrement. Je me suis dit: «  ma foi, je vais essayer pour voir, sait-on jamais » et je l’ai faite. Je trouve qu’il se passe depuis d’étonnantes coïncidences positives dans ma vie et j’ai l’impression d’avoir compris des choses étonnantes aussi. Voici un exemple. Ares est un anagramme de Raes et le S de Raes est là comme pour stopper autre chose arrivé sept lettres avant car sept est le chiffre de l’homme et ce dernier fut trompé par Satan. Comprenne qui peut. Il faut bien que je vous fasse un peu des devinettes sinon ce serait trop simple.
Mais tout ce qui arrive est peut-être du pur hasard. Mais sait-on jamais si cela peut vous aider, comme cela m’a aidé à comprendre beaucoup de choses, je vous refile le tuyau, enfin la prière car je crois qu’elle est libre de droits d’auteurs…

Père de l’univers, toi seul est saint. Que règne sur nous ta sainteté. Pour que nous fassions ta volonté. Pour que nous recevions notre nourriture. Pour que nous puissions pardonner et recevoir pardon. Pour que nous résistions aux tentations et que soit abattu le malin. Pour que règne à jamais sur nous ta sainteté, ta puissance et ta lumière.

Bruno Darmon, docteur en chirurgie dentaire, drbrunodarmon@yahoo.fr

Les projections dentaires illustrées par une desesperate housewife.

April 30, 2011 on 6:20 pm | In Non classé | Comments Off

Petit cours sur les projections dentaires, illustré de l’explication de la maladie de Teri Hatcher, la belle brune de la série « Desesperate housewives »..

Dans la série, « les stars malades avec des dents dévitalisées », et après la cas d’Annie Girardot et de sa maladie d’Alzheimer http://dent.devitalisee.free.fr/?p=134 , voici l’explication probable de la maladie des épaules gelées de Teri Hatcher, une actrice de la série américaine « Desesperate housewives », photos à l’appui.

Tout est en tout, disent les enseignements ésotériques. On peut donc trouver dans chaque partie du corps, une représentation de tout l’organisme. C’est assez connu pour la plante des pieds, l’oreille, et les yeux. C’est donc logiquement vrai aussi pour la bouche. Chaque dent se projète non pas sur un organe, mais sur une zone, équidistante de la dite dent par des phénomènes de résonance. Ces connaissances ne sont pas issues de l’acupuncture à proprement parlé, car pour l’acupuncture, toutes les racines dentaires sont traversées par le trajet d’énergie de la fonction digestive, d’autres disent le méridien estomac. Donc selon l’acupuncture, on peut dire que toutes les dents sont reliées à l’estomac d’une certaine façon. Ce dont nous allons parler ici, sont plus des liaisons de résonance pourrait-on dire, un peu comme celles qu’on connait en iridologie, en réflexologie plantaire ou auriculaire.

L’organisme se divise en deux, le corps et la tête. Pour la réflexologie dentaire, on englobe en fait tête et cou, la tête étant reliée aux dents du haut et le cou aux dents du bas. Quand au corps, il se divise en deux, au niveau du diaphragme. Le thorax (en haut du diaphragme) est liée aux dents du haut et l’abdomen (en bas du diaphragme) est lié aux dents du bas. L’équivalent du diaphragme est représentée pour tête et cou, par la ligne d’occlusion dentaire qu’on prolonge à la base du crane.
Au niveau du diaphragme, se projètent les incisives tandis que les molaires se projètent au niveau des ceintures, scapulaire (épaules) pour les molaires du haut et pelvienne (les hanches) pour les molaires du bas. Et bien sûr entre incisives et dernières molaires se projètent, tout logiquement successivement les autres dents. En fait ici je résume car tout cela n’est pas si simple car il existe d’autres règles qui compliquent un peu la chose. Il existe notamment une règle qui dit que le haut domine le bas. Par conséquent, toutes les dents du haut peuvent aussi provoquer ce que provoquent les dents du bas. Les dents sont elles même sous la dominance de ce qui est au dessus donc le cerveau par exemple qui dans certains cas empêche des guérisons même si on a enlevé les dents dévitalisées et qui aussi impose sa latéralisation. Quand la pathologie psychologique est du côté droit par exemple, une colère chronique par exemple, même si la dent dévitalisée est à gauche, le problème se projètera à droite et inversement . Eh oui le mental est plus fort que tout. Mais dans la pratique c’est assez rare et la plupart des maladies, n’en déplaise aux psychothérapeutes, sont guéries sans leur aide par une bonne dentisterie holistique qui élimine notamment les dents dévitalisées et autre blocages énergétiques dentaires. Pour en revenir aux projections, les dernières molaires du bas se projètent vraiment à la racine des membres inférieurs, au niveau du périnée, de l’anus, du sexe. Les dernières molaires supérieures, les dents de sagesse du haut, se projètent vraiment tout au dessus des épaules. C’est, juste au dessous de l’endroit où se projètent les dernières molaires du bas, les dents de sagesse du bas qui elles se projètent à la base du cou. Je rappelle que très souvent il faut extraire les dents de sagesse car elles manquent de place, à cause notamment d’une alimentation trop carnée pendant la croissance. Pour être un peu plus précis encore, on pourrait dire que les molaires du haut se projètent globalement au niveau des épaules, les prémolaires au niveau de la poitrine. En fait j’ai déjà vu aussi une prémolaire du haut bloquer une épaule, mais en général pour les femmes notamment, ça se projète sur le sein. C’est pourquoi comme je l’ai écrit dans un texte précédent, on voit toujours dans un cancer du sein, une prémolaire du haut dévitalisée. Et bien avec une paralysie des bras due à des épaules gelées donc qui auraient un blocage d’énergie, on verra quasiment toujours une molaire dévitalisée.

Et il se trouve comme par hasard que Mme Teri Hatcher a les deux premières molaires du haut couronnées de couronnes en céramique donc très certainement dévitalisées comme 90 à 99% des dents couronnées, ça dépend des habitudes des dentistes.

Cela se voit sur deux photos:

http://www.fanpix.net/picture-gallery/teri-hatcher-picture-12220565.htm
où on voit les deux premières molaires supérieures

mais plus précisément celle ci où on voit la première molaire supérieure droite:

http://people.premiere.fr/Photos-people/PHOTOS-Teri-Hatcher-sourit-a-s-en-decrocher-la-machoire-pour-promouvoir-son-nouveau-site/%28gid%29/2314055

Sur la première photo c’est plus difficile certes, mais on voit quand même aussi sa première molaire gauche. Et que voit-on. On voit que la couleur de ces dents est bizarrement un peu différente des autres dents. Et on voit cela quand les dents sont en fait des couronnes en céramique donc des dents dévitalisées dans 90% des cas. Regardez bien les photos en les agrandissant avec votre zoom de « Affichage ». Et comptez les dents, les deux incisives, la canine, les deux prémolaires puis la première molaire. Et là, on voit, surtout avec un œil de dentiste certes, que la couleur de la dent n’est pas naturelle, qu’elle tranche un peu avec celle du reste de la denture. C’est parce qu’en fait c’est une dent en céramique très très probablement. Quand on, fait une dent en céramique, c’est très difficile de faire exactement comme les autres dents à tel point que pour avoir une incisive centrale parfaite, tout bon dentiste propose souvent de faire les deux incisives centrales en céramique au lieu d’une et même parfois carrément toutes les dents du haut en céramique pour avoir un sourire encore plus parfait, comme c’était le cas d’Annie Girardot. Mais ces bons dentistes, spécialistes de l’esthétique, oublient en général d’informer qu’on risque pour le même prix d’avoir en prime une maladie d’Alzheimer, ou une autre maladie grave. Ah c’est bêta non!. . A la vue des photos indiquées précédemment, il est donc hautement probable que Mme Hatcher possède ses deux premières molaires supérieures dévitalisées, d’où ses épaules gelées à tel point que son bras gauche est déjà presque paralysé. Mais bien sûr avant d’en arriver là, Mme Hatcher a commencé à avoir mal. Et qu’a-t-elle fait, après avoir fait confiance à son thanato dentiste (qui dévitalise les dents), elle a fait confiance à la médecine chimique et a pris de la cortisone http://people.plurielles.fr/news-people/teri-hatcher-frappee-par-une-maladie-paralysante-6406165-402.html. Tiens ce n’était pas le même médicament que Michael Jackson mais un peu dans la même catégorie, des médicaments qui ont pour objectif de supprimer la douleur ou l’inflammation qui cause de la douleur… La douleur qui est un signal d’alarme qui de plus essayait de restaurer l’énergie s’est donc transformée en absence d’énergie donc en froideur et paralysie grâce à la médecine chimique. Mais toutes les personnes qui ont une première molaire dévitalisée et prennent quelques antalgiques n’ont bien sûr pas de paralysie de l’épaule, tout comme tous les fumeurs n’ont pas de cancer du poumons. Cela arrive d’autant plus qu’on accumule les erreurs en faisant confiance à la médecine moderne et notamment à la chirurgie esthétique….. C’est ce que Mme Hatcher a fait, avec des injections de Botox http://people.premiere.fr/News-People/Teri-Hatcher-J-ai-eu-recours-au-Botox-et-je-le-referai-peut-etre/%28gid%29/2389417 qui est un petit poison à la mode chez les chirurgiens esthétiques. Le Botox est un « médicament » à base d’une toxine bactérienne, la toxine botulique. Cette toxine provoque d’ailleurs parfois une maladie qui se nomme le botulisme. Cette toxine peut paralyser les muscles notamment respiratoires et les personnes meurent alors asphyxiées par conséquent. Notre médecine moderne friande de poisons y a vu ici une bonne idée qui vous le comprendrez est en fait pour moi une fausse bonne idée. En injectant du Botox, cela permet en chirurgie esthétique, par la paralysie localisée occasionnée par l’injection, de supprimer une ride qui de fait se transforme en contracture permanente. Mais cette injection de Botox a bien sûr des répercussions sur l’ensemble du corps car tout est lié dans le corps et un produit qui paralyse un muscle quelconque, a aussi une action paralysante sur tous les autres muscles de l’organisme même si elle sera moindre certes que sur celui qui aura reçu l’injection de Botox. Cette action paralysante se fera d’autant plus qu’on a une dent dévitalisée. Les bactéries de la dent dévitalisée sécrètent d’ailleurs diverses toxines bactériennes aussi, certaines affectant la fonction douleur, c’est pourquoi on ne ressent plus de douleur malgré que toute dent dévitalisée puisse être considérée comme une infection chronique. On peut certes aussi s’empoisonner de diverses autres façons. J’ai entendu parler de paralysies de bras arriver avec des injections de vaccins dans le bras par exemple. C’était bien sûr pur hasard, partait-il ! Évidemment les médecins esthétiques ne se rendent pas compte du problème de cette méthodologie, tout comme les dentistes qui dévitalisent les dents ne se rendent pas compte des effets destructeurs des dents dévitalisées. Ils pensent eux aussi que parce que la dent ne fait pas mal localement et ne semble pas présenter d’infection localisée, elle n’aura pas de répercussions sur le reste de l’organisme. Très grosse erreur pourtant de manque de vison holistique car la dent dévitalisée pourrait bien être la principale cause de cancers et de maladies graves en France, énormément de faits vont dans ce sens.

En résumé, c’est très probablement le cocktail Botox, cortisone et molaires supérieures dévitalisées qui a produit à Mme Hatcher une grave paralysie de ses épaules. Elle pourra donc remercier pour cela son dentiste, son médecin allopathe et son chirurgien esthétique, qui j’en suis sûr, étaient animés de bons sentiments mais pas vraiment d’une pensée holistique malheureusement pour elle, un peu comme les ingénieurs du nucléaire de Fukushima, malheureusement pour les japonais.

Vu le relatif jeune age de Teri Hatcher et sa semble-t-il, grande vitalité, sa maladie serait probablement résolue en moins de deux en commençant par enlever ses deux dents dévitalisées. Si vous visionnez les témoignages vidéo du site sante-dents.com vous verrez de tels cas guéris en enlevant des dents dévitalisées. Toutefois si cela ne suffisait pas, il faudrait réaliser une petite injection dans chaque os des mâchoires pour traiter ses os intoxiqués par les dents dévitalisées, et insérer un petit cristal dans ses prothèses amovible au niveau de chaque dent remplacée et faire un peu d’acupuncture avec des aiguilles chaudes réservées aux pathologies articulaires. Et alors elle aura toutes les chances de guérir. Si quelqu’un veut le lui dire, il lui rendra service et à moi aussi parce que sinon ils vont la licencier de la série et moi je l’aime bien Desesperate Housewives avec Teri Hatcher. J’espère qu’elle rentrera en contact avec le courant de dentiste holistique américain qui se positionne assez clairement pour dire que toutes les dents dévitalisées affectent la santé, quelque que soit la qualité des produits mis à l’intérieur des racines, voir http://dent.devitalisee.free.fr/?p=128 même si ce sont des huiles essentielles, ce qui n’est pas encore tout à fait le discours du courant holistique dentaire français.

Cet exemple, parmi tant d’autres, est utile pour comprendre que la dent dévitalisée associée à la médecine chimique conduisent nos contemporains dans l’état dans lequel se trouve de plus en plus de personnes aujourd’hui dans notre civilisation, un état de dévitalisation précoce. Et oui, c’est ce qui arrive quand on oublie de respecter les lois de la nature……, et qu’on fait confiance à ceux qui les transgressent……, les médecins de la médecine chimique et les thanato dentistes (ceux qui dévitalisent des dents) et les chirurgiens esthétiques qui vous coupent aussi souvent des circuits énergétiques importants pour la vitalité. Cette voie conduira ceux qui la suivent à être de plus en plus désespérés sans aucun doute, comme le sera certainement notre desesperate housewife si elle n’enlève pas tout d’abord ses dents dévitalisées.

C’est une conséquence du manque de vision holistique, de vision globale pourrait-on dire. On agit localement sans penser aux conséquences à long terme et sans penser aux répercussion sur le reste du corps comme si les différentes parties du corps n’étaient pas liées. La vaccination est aussi concernée. On évite certes des maladies en vaccinant, on ne peut le nier. Certaines sont certes parfois mortelles, surtout si on ne connait rien aux médecines énergétiques et naturelles. Néanmoins, on fabrique ainsi un nombre considérables de dévitalisations qui conduisent en fin de compte à des situations plus dramatiques encore que si on n’avait pas vacciné. Évidemment les vaccinateurs diront que tout cela ne sont que des supputations qu’aucune étude scientifique ne prouve, on connait la chanson de ceux qui ne veulent voir. On pourrait faire la même critique au sujet de l’énergie nucléaire d’ailleurs mais nous resterons ici strictement dans le domaine médical.

En plus dans le domaine médical, une autre conséquence du manque de vision holistique de notre médecine est que généralement elle ne cherche même pas à comprendre le sens des symptômes. C’est comme si l’organisme ne possédait aucune intelligence et que les symptômes n’étaient que des dysfonctionnements à supprimer au plus vite, à coup de médicaments chimiques qui sont en fait de véritables drogues. Cette attitude qu’on pourrait elle aussi qualifier de manque de vison globale conduit les malades plus que tout dans des maladies graves. Notre médecine oublie trop souvent que certains symptômes sont des tentatives d’auto-guérison de l’organisme, qu’il faut savoir respecter. Je pense notamment à la fièvre et aux allergies mais on peut dire que quasiment tous les symptômes des maladies ont un sens d’auto-guérison. Les supprimer par des solutions naturelles qui vont véritablement guérir l’organisme n’est pas une mauvaise chose mais les supprimer par des produits chimiques qui vont bloquer les réactions naturelles de l’organisme comme cela se fait fréquemment, n’est pas la meilleure des choses à faire pour le long terme et la vitalité de l’organisme, même si dans certains cas d’urgence vitale, il vaut toutefois mieux le faire quand on ne sait rien faire d’autre. Tout n’est pas si simple et tout n’est pas tout noir ou tout blanc.

Ne pas prendre conscience de tout cela conduit déjà notre civilisation à une inévitable décadence tout comme ne pas prendre rapidement conscience de la folie du nucléaire pourrait conduire à la disparition de notre humanité. Bon, c’est un peu dommage, ma foi.

Dr Bruno Darmon drbrunodarmon@yahoo.fr

Radioactivité japonaise et radiothérapie française.

April 8, 2011 on 5:23 pm | In Non classé | Comments Off

Radioactivité japonaise: Une bonne occasion de s’interroger sur la radiothérapie en particulier et la cancérologie en général.

à lire après avoir vu cette vidéo
http://www.youtube.com/watch?v=pN7yFxwxktI&feature-player_embedded

Préambule.

Si je me permets dans ce texte de donner mon avis sur la cancérologie bien que je ne sois pas cancérologue, mais naturopathe et docteur en chirurgie dentaire, c’est que je me suis aperçu que dans ce domaine aussi, tout comme pour la dent dévitalisée dans la dentisterie, tout n’était pas très clair. Je ne suis pas non plus complètement étranger au monde de la cancérologie puisque j’ai exercé une dentisterie holistique pendant des années au sein d’une équipe médicale holistique, qui était parfois amenée à rencontrer des cancers. Juste par une certaine dentisterie holistique, ont été guéris des centaines de cas médicaux complexes que la médecine conventionnelle n’arrivait pas à guérir. J’en ai d’ailleurs mis une centaine en témoignage vidéo sur le site sante-dents.com. En visionnant ces témoignages, on pourrait tout d’abord comprendre qu’il n’y a quasiment aucun mal de dos chronique qui résiste à une bonne dentisterie holistique et que nombre de pathologies même graves peuvent parfois guérir seulement en faisant enlever les dents dévitalisées. Et pourtant quasiment personne en France, dans le monde médical, ne tient compte du problème des dents dévitalisées. Une ancienne ministre de l’environnement l’a pourtant qualifié de « grave question de santé publique » voir http://michel.raynaud.pagesperso-orange.fr/mem_clpg.htm. Cela prouve bien que même dans le domaine médical, il existe des vérités dérangeantes qui restent bien cachées et depuis longtemps. Je me permets donc aujourd’hui de partager avec vous une réflexion sur un sujet extrêmement délicat, la cancérologie moderne, en le traitant d’une manière dont quasiment personne non plus ne parle dans le monde médical. Le cancer est un sujet qui est extrêmement préoccupant et d’actualité. Presque toutes les familles françaises ont eu un rapport avec le cancer, tellement il est fréquent aujourd’hui dans notre pays. La mortalité du cancer sur ces dernières années, n’est pas si éloignée de celle d’une de nos guerres mondiales. C’est aussi une pathologie dont les traitements ruinent plus que tout notre système d’assurance maladie. Le nombre de personnes atteintes de cancer ne cesse d’augmenter, même si on prétend mieux les guérir qu’avant. Même une fois guéri, les récidives sont toutefois extrêmement fréquentes. Malgré toutes les recherches effectuées, on avoue ne pas vraiment connaître les principales causes du cancer. Des personnes nous répètent sans cesse que tout vient de la pollution, de l’alimentation et de la psychologie, mais ces explications ont aussi leurs limites. Quand on voit aussi l’état dans lequel se trouvent les personnes qui ont subi un traitement conventionnel du cancer, on ne peut pas en être pleinement satisfait même si elles sont considérées comme guéries. Il y a donc à l’évidence un problème quelque part et celui-ci ne sera pas résolu en s’interdisant de penser différemment de la pensée académique. Ce texte va remettre un peu en question les traitements conventionnels. Agir de la sorte est si délicat que les plus grands spécialistes du sujet, les cancérologues et plus généralement les médecins en exercice qui s’y risqueraient seraient assurés d’être rapidement interdits d’exercer par le Conseil de l’Ordre. Ceux qui l’ont fait ont d’ailleurs généralement été interdit d’exercer. Il faudrait pourtant maintenir le débat pour espérer obtenir un jour ce que tout le monde voudrait bien obtenir sur le sujet, c’est à dire la vérité sur la meilleure façon de soigner le cancer et sur les principales causes de cette maladie. Ce texte n’a pas la prétention de révéler totalement cela certes mais un peu quand même, en introduisant notamment une certaine dose de doute sur nos traitements actuels.

Introduction:

Le danger de la radioactivité est remis au devant de la scène avec l’accident de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima. Un danger que notre civilisation semblait avoir un peu oublié depuis l’accident de celle de Tchernobyl, il y a 25 ans, qui n’est d’ailleurs toujours pas définitivement résolu. On a préféré s’intéresser à des sujets environnementaux largement moins préoccupants comme le réchauffement planétaire et les autres pollutions en général. Le public apprend aujourd’hui que les centrales nucléaires peuvent rejeter des déchets qui resteront radioactifs des centaines voire des milliers d’années, que la radioactivité tue si elle est trop forte, et sinon donne des cancers et des enfants qui naissent terriblement malformés. La radioactivité est un produit de l’industrie nucléaire, même si elle existe aussi à l’état naturel dans le sol avec l’Uranium, mais à bien moindre dose. Il faut concentrer l’Uranium et lui faire subir divers traitements pour obtenir ces produits hautement radioactifs tel le Plutonium par exemple. Aucun poison chimique ne semble être aussi toxique que la radioactivité. Il existe bien des poisons chimiques qui tuent aussi certes, mais rien n’est comparable aux déchets radioactifs dans le temps. Leur toxicité persiste pendant des millénaires. Ils contaminent tout ce qui entre en contact avec eux et même s’en approche. Les fruits et légumes issus de terres radioactives seront radioactifs et la radioactivité persistera pendant des milliers d’années. La radioactivité est bien le poison suprême inventé par notre science. Si le diable existe, il n’aurait pas pu trouver une meilleure expression de son désir d’apporter durablement à l’humanité de la souffrance et de la mort, qu’en incitant les humains à diviser les atomes pour produire de la radioactivité. Diviser se dit d’ailleurs diabolein en grec. On peut donc dire d’une certaine façon que l’énergie nucléaire est diabolique.

Les centrales nucléaires représentent donc un danger considérable pour la vie sur Terre, surtout si elles venaient à se fissurer. Mais les plus grands ingénieurs japonnais avaient assuré à la population que leurs centrales nucléaires étaient à l’abri de tout accident et que l’industrie nucléaire ferait plus de bien que de mal. Les plus grands scientifiques russes avaient aussi assuré jadis la même chose pour la centrale nucléaire de Tchernobyl. Les japonais se rendent compte aujourd’hui que cette grande science du nucléaire se retourne en fin de compte contre eux aujourd’hui.

Malgré tout cela, certains sont encore aujourd’hui favorables à la production d’énergie nucléaire, car elle présente aussi certains avantages économiques. Ils nous entrainent ainsi vers des risques inconsidérés. Ils me font penser à de dangereux inconscients qui emmèneraient des enfants se promener au bord de la falaise, tout en leur donnant des bonbons. Et cela risque fort de continuer tant que la majorité de la population n’aura pas vraiment conscience de ce qu’elle risque, ce que l’accident nucléaire japonais pourrait bien l’aider à comprendre. Cet accident amène aussi logiquement à formuler la question suivante. Si dans la production énergétique, on comprend aujourd’hui qu’il existe une certaine forme de folie, pourquoi ne pas imaginer qu’il puisse en être de même dans un autre domaine qui utilise de la radioactivité comme la cancérologie.

Aussi paradoxal que cela puisse être, la radioactivité est en effet aussi un médicament de la cancérologie moderne. C’est même la base de la radiothérapie une branche de la médecine nucléaire, qui soit introduit des éléments radioactifs dans les tumeurs soit bombarde les tissus cancéreux de rayons ionisants qui sont tout à fait dans la catégorie des émissions radioactives. Aujourd’hui quand on prend conscience des dangers de la radioactivité, avec l’accident nucléaire japonais, une question vient alors légitimement. La médecine nucléaire qui soigne le cancer avec de la radioactivité ne risquerait-elle pas de faire plus de mal que de bien, elle aussi ?

On ne peut nier tout d’abord un paradoxe. Puisque la radioactivité est cancérigène, la radiothérapie qui soigne le cancer est aussi cancérigène. Elle peut donc être la cause de récidives des cancers qu’elle traite ainsi que de nouveaux cancers. En effet en touchant des cellules saines, les rayons pourraient les rendre cancéreuses. Certes, les nouveaux traitements de radiothérapie sont beaucoup plus précis qu’ils ne l’étaient jadis, mais on ne peut nier toutefois cet aspect problématique du traitement radiothérapique. On peut être étonné de ce paradoxe et en rester là en se disant que nos médecins savent ce qu’ils font en leur faisant aveuglément confiance. C’est d’ailleurs ce qu’ont fait majoritairement les japonais vis à vis de leurs grands ingénieurs du nucléaire qui appartiennent au pays le plus avancé technologiquement et scientifiquement du monde.

Mais il peut sembler aussi intéressant de comprendre, pourquoi notre médecine moderne utilise la radioactivité pour soigner les cancers, sait-on jamais, au cas où elle aussi aurait sa part d’inconscience, comme les grands ingénieurs japonais du nucléaire. Et cela, d’autant plus que dans ce domaine de la médecine non plus, il n’y a pas unanimité. Certains biologistes et médecins pensent en effet que la cancérologie moderne avec l’utilisation de la radioactivité notamment est une grave erreur.

La radiothérapie nécessite à l’évidence l’application d’une haute technologie associée à une grande science, celle du nucléaire. Mais cette grande science est-elle aussi associée à une grande conscience, telle est la question ? Car alors comme le disait Rabelais, « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». C’est une question qu’on peut d’autant plus se poser que le facteur argent intervient beaucoup dans ce domaine. La cancérologie moderne brasse en effet beaucoup d’argent. Les grosses machines à irradier sont très chères et donc les traitements remboursés par la sécurité sociale, très couteux. Et quand il y a beaucoup d’argent en jeu, on observe souvent que la conscience de certains a une fâcheuse tendance à s’obscurcir. C’est ce que j’ai eu l’occasion d’observer chez les dentistes fussent-ils grands professeurs ou éminents membres du Conseil de l’Ordre, quand il s’agit de parler de toxicité de la dent dévitalisée qui est, à travers la couronne sur dent dévitalisée, la plus grande source de leurs revenus. C’est ma foi très humain et on peut les comprendre. Inutile par conséquent de les juger, il est juste instructif d’en prendre conscience. Mais si l’argent est bien sûr un facteur déterminant dans certains choix de société donc aussi des choix médicaux et dentaires, ces choix sont toujours aussi dépendants de demandes particulières du public. La médecine et la dentisterie font d’une certaine façon ce que veut le public majoritairement. Si les médecins ont souvent prescrit beaucoup de médicaments c’est que la majorité des patients pensaient que le bon médecin devait prescrire beaucoup de médicaments. Le public a donc toujours sa part de responsabilités. Pour la dent dévitalisée, les dentistes répondent à une demande principalement esthétique et pratique du public. Les patients veulent conserver les apparences de ne pas être édentés et de ne pas porter de dentier, même si pour cela ils sont empoisonnés par des dents mortes ou dévitalisées, à un niveau dont il n’ont nullement conscience. Les dents dévitalisées pourraient bien représenter aujourd’hui la première cause de maladies graves et de cancers car elles représentent des usines à fabriquer des toxines de putréfaction en contact direct avec le sang. Dans la dent dévitalisée, on divise le nerf, en fait plus précisément le paquet vasculo-nerveux, du reste de la dent et là aussi comme dans le nucléaire, on pourrait dire que c’est diabolique en se référant à l’étymologie du mot. Mais comme la population n’est pas très enthousiaste à l’idée de faire enlever des dents et ne s’y intéresse pas vraiment, les dentistes ne s’y intéressent pas non plus. La population s’intéresserait plutôt à la pilule miracle qui va la protéger de toutes les maladies graves et prolonger la vie tout en conservant les causes de ses empoisonnements. L’idée est certes plus agréable que d’imaginer enlever des dents, ce qui en plus demande un certain courage. Mais le problème est que cette idée pourrait bien ne rester qu’une idée à jamais même si certains travaillent sur des produits qui le prétendent comme des hormones soit disant anti vieillissement ou des produits susceptibles de stimuler la fabrication des cellules souches. Pour la radiothérapie, c’est un peu différent que juste des considérations esthétiques, pratiques et de courage comme dans le cas des dents dévitalisées. L’utilisation de la radiothérapie en cancérologie est la conséquence logique d’une croyance particulière. On croit que la meilleure façon de soigner les patients cancéreux est de tuer les cellules cancéreuses. La radiothérapie est alors l’arme absolue dans la guerre contre le cancer puisqu’elle tue mieux que tout les cellules cancéreuses, fait régresser les tumeurs, voire même les fait disparaitre. Mais cette croyance est-elle pour autant une vérité, that is the question ?

Le principe de la radiothérapie est d’irradier les organes cancéreux. Comme les cellules cancéreuses sont plus fragiles que les cellules saines, ce sont elles qui meurent les premières. C’est un principe qu’on retrouve avec la chimiothérapie et avec l’antibiothérapie aussi d’ailleurs.
Mais en tuant des cellules cancéreuses, ce n’est pas comme si on tuait des bactéries, des parasites ou des virus, même si cette philosophie de soin peut elle aussi être contestée d’ailleurs. En tuant des cellules cancéreuses, c’est un peu comme si on se retournait contre notre propre biologie et plus précisément comme si on tuait une partie de nous. Les cellules cancéreuses ne sont certes pas des cellules normales, au sens où on entend le terme « normal », c’est à dire qui sont normalement présentes dans les organismes sains. Néanmoins, les cellules cancéreuses n’en sont pas moins pour autant des cellules humaines dont l’existence est tout à fait prévue par le génome humain. Notre science a en effet identifié des gènes qui prévoient la cancérisation des cellules. L’apparition des cellules cancéreuses est donc un mécanisme biologique.

Certains justifient l’approche agressive vis à vis des cellules cancéreuses en disant que notre système immunitaire agit de la même façon, qu’il détruit les cellules cancéreuses. Que si le cancer se développe, c’est parce que le système immunitaire est alors déficient. La radiothérapie suppléerait alors à ses déficiences. Il est plus probable en fait que notre système immunitaire, nous débarrasse plutôt des cellules mutantes mal-fichues et des cellules nécrosées, plutôt que des cellules cancéreuses. Effectivement lorsqu’il est déficient et qu’il ne peut plus se débarrasser des cellules mortes, des cancers peuvent bien plus se développer alors, pour d’une certaine façon, suppléer les déficiences du système immunitaire. Les cellules cancéreuses pourraient en effet, avoir pour fonction de cloisonner les cellules nécrosées que le système immunitaire n’auraient pu détruire, comme un autre texte de ce site http://dent.devitalisee.free.fr/?p=122 le développe plus. Le fonctionnement du système immunitaire contredit donc en fait plus la théorie de l’évolution darwinienne et ses soit disant mutations successives, qu’il ne justifie la radiothérapie.

Quand on sait que la biologie donc la nature a prévu le mécanisme de la cancérisation, il est logique de penser que cela a un sens, comme tout ce que produit la nature. C’est ce que certains ont essayé de comprendre.

Certains, comme le Dr Hamer, qui se sont penchés sur le sens des cellules cancéreuses ont émis l’hypothèse tout à fait cohérente, que ces cellules étaient en fait des cellules de secours qui apparaissaient pour effectuer une tache que les cellules normales ne pouvaient plus effectuer. Mais ces cellules de secours consomment beaucoup d’énergie. Le rythme cardiaque des cancéreux s’accélère comme en cas de fièvre. L’organisme peut rapidement s’épuiser. Si cet état perdure, le cœur peut lâcher. Même si ces cellules cancéreuses ont une raison, elles ne doivent toutefois pas rester trop longtemps par conséquent.

Les raisons de la présence des cellules cancéreuses peuvent être diverses même si le Dr Hamer s’est surtout intéressé aux causes psychologiques, et notamment aux destructions cérébrales visibles sur un scanner du cerneau, qui sont consécutives à des chocs psychologiques. Le Dr Hamer a établi de fort intéressantes relations entre les types de chocs psychologiques et les types de cancers. En dentisterie holistique, certains savent aussi qu’il existe des relations entre la localisation des dents dévitalisées et les différentes localisations des cancers. Puisque je trouve qu’on parle en ce moment beaucoup dans les médias du cancer du sein, le principal cancer de la femme, si quelqu’un est concerné autour de vous, vous constaterez que presque toujours, il possède une prémolaire du haut dévitalisée. Le Dr Hamer est un triste exemple d’un médecin qui fut interdit d’exercer pour avoir remis en question les traitements conventionnels. Il faut dire qu’il n’était pas très tendre dans ces ouvrages avec la cancérologie moderne en comparant les radiothérapeutes aux nazis qui irradiaient les juifs pour les rendre stériles et les produits de chimiothérapie au Zyklon B qui était utilisé dans les chambres à gaz. Mais ne croyez pas que dans cette histoire, je pense qu’il y a les méchants cancérologues qui irradient les gentils patients, tout comme je pourrais penser qu’il y a les méchants dentistes qui dévitalisent les dents aux pauvres patients qui auront ensuite des cancers. Je sais très bien que les gentils patients auraient très certainement agi exactement de la même façon s’ils avaient été à la place des cancérologues et des dentistes. Ces derniers ne font que répondre à une demande des patients et pensent bien faire pour la plupart. Il n’est donc pas question pour moi de juger ou pire de condamner qui que ce soit. Il serait toutefois intéressant qu’un peu de doute s’introduise dans le cerveau de toutes ces personnes. Des personnes qui en général pensent que les théories sur lesquelles s’appuie la cancérologie moderne sont des vérités incontestables sans l’ombre d’un doute. Mais le doute est important car il constitue le pont qui permet parfois de reprendre le chemin de la vérité, qui elle seule pourra nous sauver la vie, comme le disait en quelque sorte un certain Jésus qui se disait être « la voie, la vérité, la vie ». Évidemment le doute a aussi parfois l’inconvénient d’affecter la discipline, l’efficacité, le respect à l’autorité, donc tout ce qui permet d’avoir la meilleure productivité. Des valeurs qui, semble-t-il, étaient plus importantes que la vérité chez les japonnais qui ne sont pas très imprégnées des valeurs chrétiennes. Ils seraient plutôt imprégnées des valeurs du samouraï qui se fait harakiri s’il faillit à la mission que lui a donné son maitre en ne se montrant pas suffisamment fort; mission qu’il est pas pensable de remettre en question tellement la soumission à l’autorité est une valeur importante, enseignée depuis la plus tendre enfance. C’est peut-être cette façon de penser qui à contribué à ce qu’il y ait autant de centrales nucléaires au Japon et donc à une catastrophe humaine, on le voit aujourd’hui. Mais bon, en France, on ne pense pas samouraï et il y a aussi beaucoup de centrales nucléaires. Cette façon de penser me rappelle toutefois un peu notre système médical avec ses Conseils de l’Ordre qui assurent la discipline et un strict respect aux pratiques habituelles de la profession en interdisant d’exercer au nom de la science, tous ceux qui oseraient en douter. Une attitude qui elle aussi, pourrait avoir sa part de responsabilité dans la catastrophe médicale que vit aujourd’hui notre société. C’est en quelque sorte ce que pensait aussi une ancienne ministre de l’environnement, au sujet d’une polémique avec le Conseil de l’Ordre des dentistes sur le problème des dents dévitalisées « Ainsi, on le voit bien le débat est en réalité un débat de spécialistes qui justifie incontestablement une recherche scientifique mais certainement pas une sanction disciplinaire destinée à éviter le débat au grand dam de la santé publique en général » texte à l’adresse suivante: http://michel.raynaud.pagesperso-orange.fr/mem_clpg.htm.

Les pratiques de notre médecine moderne sont peut-être puissantes à court terme mais le philosophe autrichien Yvan Illich les qualifiait aussi de contre productives à long terme dans son ouvrage Nemesis médicale. Yvan Illich était considéré par certains intellectuels comme l’un des penseurs les plus importants et les plus prophétiques de la seconde moitié du XXe siècle. Il est l’auteur de très nombreux ouvrages sur de multiples sujets de société et pas uniquement sur la médecine. Illich mourut à 76 ans, d’un cancer qu’il refusa de soigner par la cancérologie moderne. Mais il vécut quand même une vingtaine d’années avec sa tumeur du cerveau, soit assez longtemps par rapport à beaucoup de patients soignés par la cancérologie moderne. Comme à l’époque il n’y avait pas trop de téléphones portables, et qu’Illich avait aussi une vraie démarche spirituelle, j’en déduis qu’il devait sûrement avoir au moins une dent dévitalisée à la mâchoire supérieure. L’Autriche, son pays natal, est entre parenthèse, le seul pays européen qui a inscrit dans sa constitution, l’interdiction de produire sur son sol, de l’énergie nucléaire.

Mais même si elles ont un sens, les cellules cancéreuses peuvent parfois aussi tuer le patient, il faut en être conscient. Dans certains cas extrêmes, il est alors salvateur de les éliminer, même avec la chimio et la radiothérapie si on ne sait rien faire d’autre, tout comme il peut-être salvateur de faire tomber une fièvre excessive ou de supprimer une allergie excessive par des médicaments chimiques quand on ne sait rien faire d’autre. Mais en voulant tuer les cellules cancéreuses, on risque aussi de détruire l’organe déjà malade du cancer. Si l’organe n’est pas essentiel à la vie, passe encore, mais si l’organe est vital, on risque peut-être plus de mourir non pas du cancer mais du traitement du cancer. Tout n’est pas si simple et tout n’est pas tout noir ou tout blanc.

Même si elles ont probablement un sens, les cellules cancéreuses ont donc aussi des comportements qui semblent très problématiques. Ils sont dus à certaines de leurs caractéristiques. Les cellules cancéreuses sont par exemple des cellules qui ne répondent pas à une propriété des cellules normales qui est l’inhibition de contact. Ce mécanisme permet de stopper la multiplication cellulaire lorsqu’un certain nombre de cellules s’est constitué. Les cellules rentrent alors en contact les unes avec les autres et arrêtent de se multiplier lorsqu’elles sont normales. Cela évite de provoquer des compressions qui pourraient être très problématiques. Les cellules cancéreuses n’observent pas cette règle d’inhibition de contact, ce qui les fait qualifier par notre médecine de folles ou d’anarchiques. Elles se multiplient parfois tellement qu’elles peuvent comprimer des organes avec des conséquences parfois très douloureuses, voire mortelles. Mais ces qualificatifs de folles ou d’anarchiques ne traduiraient-ils pas plutôt une incompréhension du sens des cellules cancéreuses. Ils sont aussi bien pratiques quand on n’en comprend pas le sens, pour mieux justifier leur destruction systématique. Ces cellules ont même apparemment une certaine logique biologique pourrait-on dire. De nouveaux vaisseaux sanguins se constituent d’ailleurs pour les alimenter dans un mécanisme qu’on nomme la néoangiogenèse que la cancérologie moderne dans sa logique aimerait bien stopper aussi d’ailleurs.

La raison de la présence des cellules cancéreuses est probablement que les cellules normales sont soit trop empoisonnées soit que ces cellules ne peuvent recevoir l’énergie dont elles ont besoin pour bien fonctionner. D’où l’idée de certains soit de désempoisonner l’organisme, soit de lui apporter de l’énergie par divers moyens, soit encore mieux, de faire les deux. Les différentes cures de désintoxications qui existent en naturopathie par exemple et l’élimination des dents dévitalisées rentrent bien sûr dans la catégorie des désempoisonnements. C’est tout à fait ce que faisait Hulda Clark, une biologiste canadienne. Parfois, il suffit juste d’enlever les dents dévitalisées pour que le cancer disparaisse de l’organisme suffisamment revitalisé, j’en ai déjà eu le témoignage. Pour apporter de l’énergie, le sujet est assez vaste aussi. C’est tout le domaine des médecines naturelles contrairement à la médecine chimique qui fatigue généralement les patients.

La cancérologie moderne voulant tuer à tout prix les cellules cancéreuses, est tout à fait dans la logique générale de la médecine moderne. La médecine moderne veut souvent et au plus vite, par une certaine violence biologique si besoin, éliminer tous les éléments qui participent de la maladie. Dans les infections par exemple on détruira donc les bactéries par les antibiotiques quitte à empoisonner un peu au passage le reste de l’organisme. Dans les douleurs on supprimera avant tout la douleur à coup d’antalgiques qui bloquent la production des enzymes de la douleur. Pour le courant naturopathique notamment, cette attitude générale est la principale cause de l’apparition des maladies graves, bien plus que toutes les pollutions dont on nous parlent généralement dans les médias comme le tabac, l’alcool, les pesticides, la sédentarité et la malbouffe. Certes dans certains cas, cette médecine sauve aussi des vies. Mais on s’empoisonnerait aussi plus en se soignant ainsi que par tout autre moyen. J’ai observé que les personnes qui présentaient des pathologies graves avaient généralement, outre le fait de posséder plusieurs dents dévitalisées, pris dans le passé assez facilement des médicaments chimiques pour soigner leurs petits maux. Ce sont des personnes qui en général, à la moindre douleur prenaient un antalgique par exemple, ou à la moindre allergie un antiallergique. Des médicaments chimiques que la médecine moderne prétend de plus en plus sans danger comme la plupart de ses médicaments. En fait, les effets secondaires de certains médicaments deviennent de plus en plus subtils à déterminer. A court terme, ils semblent ne pas entrainer de désagréments mais cela cache en fait les très gros désagréments qu’ils provoqueront dans le futur car ils bloquent toujours des réactions d’éliminations des poisons. On comprend alors qu’on pourrait qualifier d’une certaine façon ces médicaments chimiques de poisons. Nos spécialistes des médicaments chimiques disent généralement que tout est question de dose, que ce qui distingue un médicament d’un poison c’est que ce dernier est juste en plus grande quantité que le médicament. Mais même si cet aspect est vrai aussi pour certains médicaments issus de la nature, les effets empoisonnants de ces derniers sont généralement bien plus négligeables toutefois, sauf quelques exceptions, et ils ne sont présents que pour une minorité de produits naturels.

En cancérologie, et notamment avec la radiothérapie, il est encore plus évident que tout, qu’on utilise un poison, même si c’est un poison non pas chimique mais physique. Et là, il n’est pas question de dose. Même la plus infime dose de radioactivité va produire un effet toxique sur des cellules saines, même si la dose n’est pas toujours suffisante pour qu’elles se cancérisent. Lorsque les rayons traverseront les tissus, il y aura par exemple toujours production d’au moins un peu d’eau oxygénée H2O2 qui est un poison cellulaire, un peu comme les radicaux libres.

Quand on ne comprend pas le sens du cancer et qu’on ne peut en éliminer les causes, il est logique de vouloir empoisonner les cellules cancéreuses. D’autant plus que si on ne fait rien, les patients peuvent mourir dans d’atroces souffrances. La cancérologie est ici tout à fait dans la logique de tout le reste de la médecine moderne qui n’est pas insensée non plus et qui sauve des vies, on ne peut le contester. Mais peut-être ne faudrait-il réserver cette façon de faire, de tuer les cellules cancéreuses, qu’aux cancers qui provoquent des douleurs insupportables que rien ne sait supprimer, car cette vision de la thérapeutique a aussi ses limites. Même de jeunes et vigoureuses personnes décèdent parfois des cancers traités de cette façon. On l’a vu dernièrement avec Laurent Fignon et Bernard Giraudeau. Ceux considérés guéris se trainent ensuite souvent pour le reste de leur vie, si tant est qu’une récidive ne vient pas les emporter prématurément. Cette philosophie aboutit parfois à des choix thérapeutiques qu’il serait logique de trouver surprenants comme nous allons le voir tout d’abord par un exemple. Cet exemple est tout à fait d’actualité avec l’accident de la centrale nucléaire japonaise, qui a fait rappeler aux médias qu’il y a 25 ans il y a eu celui de Tchernobyl, bien plus près de nous en France.

En regardant un reportage télé dernièrement, j’y ai vu une personne se disant victime du nuage de Tchernobyl, qui selon elle lui avait provoqué un cancer de la thyroïde à cause de l’iode radioactif qui s’y trouvait. Aujourd’hui elle se faisait soigner son cancer de la thyroïde dans un hôpital français où lui étaient prodigués des traitements à base, tenez vous bien, d’iode radioactif, c’est à dire exactement le même produit que celui qui lui aurait provoqué son cancer de la thyroïde. Avec un peu d’humour je dirais que peut-être bientôt, pour effectuer ce genre de traitements il n’y aura même plus besoin de se rendre dans des centres de cancérologie. Il suffira de consommer des aliments importés du Japon, ou de rouler dans des voitures japonaises, ça fera faire des économies à notre sécurité sociale… Pour ceux qui aiment voyager ils peuvent déjà aller faire un séjour à Tchernobyl ou se baigner dans les eaux du Japon… Étonnement, les enfants de Tchernobyl qui développent des cancers à la suite de la radioactivité ne sont pas soignés par la radiothérapie, ni la chimiothérapie d’ailleurs. On leur donne des produits naturels revivifiants comme de la pectine de pomme par exemple. Les irradiés d’Hiroschima qui ont survécus consommaient eux aussi des produits naturels à base de soja lacto fermenté. Des études ont montré que levures réparaient les cellules endommagées. A croire que quand une région a subi un accident nucléaire grave, la population de la région n’est pas très fans de la médecine nucléaire mais plutôt de la médecine naturelle….
Et à propos, ne vous amusez pas à prendre de l’Iode pour rien, ça peut abimer les reins, entre autre.

Je trouve l’exemple de la personne soignée par de l’Iode radioactif est excellent pour s’interroger sur cette philosophie médicale qui est à ce point et de façon aussi évidente, de soigner le mal par le mal. Une philosophie qui a certes des côtés intéressants, on ne peut le nier. Quand on tue des cellules cancéreuses par la radiothérapie, celles ci arrêtent de se multiplier et donc de comprimer des organes ce qui provoquait de terribles douleurs parfois. Un mécanisme qui peut même présenter aussi un risque vital. Après une séance de radiothérapie, les tumeurs régressent et des douleurs disparaissent par conséquent. Des brulures apparaissent toutefois en général car les rayons brulent la peau au passage. Mais, on peut légitimement penser alors qu’on est sur le chemin de la guérison. La radiothérapie peut sauver des vies, je ne le conteste pas, tout comme le fait de faire baisser la fièvre par des drogues chimiques peut elle aussi sauver des vies quand la fièvre, qui a pourtant un rôle thérapeutique, dépasse un certain seuil. De même, supprimer certaines allergies peut aussi sauver des vies quand l’allergie se manifeste sous la forme d’un œdème de Quinck qui peut étouffer le patient rapidement. Pourtant les allergies sont aussi des solutions naturelles d’éliminations des poisons qu’il faut aussi savoir respecter plutôt que de les supprimer par des drogues chimiques. De même, la philosophie de la radiothérapie m’interpelle. Les écrits religieux auxquels j’attache aussi une certaine valeur, comme la Bible, oriente dans une voie exactement inverse, à savoir « surmonte le mal par le bien » (Romains 12:21). Ces traitements radiothérapiques qui tuent des cellules, fussent-elles cancéreuses, me semblent être tout à fait à la médecine moderne ce que la dévitalisation dentaire qui tue la dent est à la dentisterie moderne. Ils permettent certes de supprimer des cancers tout comme la dévitalisation dentaire permet de supprimer des douleurs dentaires, mais ils empoisonnent les organismes sans l’ombre d’un doute. La vie y gagne-t-elle vraiment à long terme ?

Il a existé jadis, un peu après le milieu du vingtième siècle, une grosse machine qui soignait le cancer, sans affecter la vie en quoique ce soit. Cela aurait pu plaire à notre médecine moderne qui aime bien les grosses machines. Cela fait plus scientifique, plus sérieux, que de juste utiliser des produits naturels ou de faire extraire des dents dévitalisées. Un ingénieur français ou plutôt franco italien, Antoine Prioré avait jadis fabriqué une machine à ondes électromagnétiques qui soignait des cancers sans empoisonner les organismes. Cette machine avait même la propriété de permettre aux fruits et légumes de rester frais bien plus longtemps et cela sans que les cellules en soient affectées comme c’est le cas avec les traitements de radioactivité qui sont utilisés dans l’industrie agroalimentaire, sauf pour les produits bio. Un grand politicien de l’époque a même tenté de promouvoir cette machine qui a subie une franche opposition des grands cancérologues de l’époque qui n’imaginaient autre chose pour soigner le cancer que de tuer des cellules cancéreuses. Cette machine amenait à l’évidence des ondes de vie pourrait-on dire en opposition aux ondes de mort qu’apporte la radioactivité.
La nature en général est pleine des solutions naturelles pour nous fournir des ondes de vies. Nos ancêtres avaient aussi certaines connaissances sur des formes comme les pyramides qui génèrent des ondes de vie et notamment lorsqu’elles surplombent les grottes qui peuvent alors servir de salles de régénération. A côté de chez moi au dessus de Nice, il existe une telle grotte, surplombée par une pyramide qui date du temps des templiers. Ces derniers y emmenaient les personnes malades pour qu’elles retrouvent la santé. Le simple fait d’y rester quelques heures régénère les malades, je l’ai constaté. Elle est très peu connue et il n’y a jamais personne contrairement aux centres de cancérologie où on se bouscule de plus en plus. Les ondes de mort ont semble-t-il plus de succès actuellement. C’est logique puisque les médicaments chimiques ont aussi plus de succès que les produits naturels. Notre société est donc tout à fait cohérente avec ses croyances que seule la science des scientifiques d’aujourd’hui peut guérir. Mais le résultat de cette croyance est qu’aujourd’hui le seul secteur d’activité qui embauche quasiment encore en France avec l’industrie nucléaire, est l’aide aux personnes dépendantes. Des personnes dépendantes qui en général ont fait aveuglément confiance à notre médecine scientifique et qui sont de plus en plus nombreuses. C’est logique, nous sommes aussi le pays européen qui s’est le moins intéressé aux médecines naturelles et où il y a le plus de centrales nucléaires et de dents dévitalisées.

Les cancérologues reconnaissent que dans les premières semaines qui suivent leurs traitements de chimiothérapie et de radiothérapie, on constate une mortalité qui est nettement supérieure à celle qui se serait produite sans leurs traitements. Les personnes fragiles ne supportant pas ces traitements sont éliminées rapidement. C’est comme une épreuve de passage car, sans traitements, pensent-ils, ces personnes fragiles seraient mortes de toutes façons, quelques temps plus tard. Leurs traitements permettent au moins de sauver ceux qui résistent à la chimiothérapie et la radiothérapie, se disent-ils. Ce raisonnement possède sa logique, et ses chiffres, on ne peut le contester. On se doit aussi de constater que les récidives de cancers sont fréquentes et que ces traitements fragilisent les patients. Les épreuves de passage sont alors de plus en plus difficiles à passer avec le temps. Les traitements radiothérapiques permettent certes aux personnes robustes de vivre un peu plus que si on ne faisait rien mais peut-être pas si longtemps que cela toutefois. On peut donc espérer une autre logique thérapeutique qui permettraient aux personnes fragiles de survivre elles aussi au cancer et à tous de vivre vraiment longtemps après un cancer.

Il semblerait que cette logique existe déjà, surtout si on élimine les causes des cancers. C’est ce que divers thérapeutes ont démontré. Des thérapeutes comme Hamer pour les cancers d’origine psychosomatique mais aussi Hulda Clark et Joseph Issels pour ceux plus d’origine somatique. Ces thérapeutes tentaient d’éliminer les causes des cancers et de les soigner par des médecines naturelles qui n’empoisonnent pas les organismes. Les cellules cancéreuses disparaissaient alors sans avoir besoin de les tuer. Ces thérapeutes ne guérissaient pas non plus tous leurs patients. Mais la médecine officielle ne guérit pas tous les cancers non plus. Seulement elle, est généralement excusée quand ses patients meurent. Mais quand un patient traité par des traitements alternatifs meurt, on veut généralement mettre en prison le thérapeute en le faisant passer pour un charlatan. Parfois il suffit juste qu’il ait émis des idées alternatives avec vigueur et passion comme ce fut le cas du Dr Hamer. « Mais les braves gens n’aiment pas que, l’on suive une autre route qu’eux » chantait Georges Brassens….

Si je peux sembler un peu critique sur la radiothérapie, et donc par analogie sur la chimiothérapie qui est dans la même ligne philosophique d’empoisonner l’organisme pour tuer des cellules cancéreuses, je ne nie pas non plus que ces techniques arrivent aussi à guérir des cancers. Mais cela ne signifie pas non plus qu’il n’existe pas des techniques meilleures encore pour soigner le cancer. Dans notre système actuel notamment de paiement des médecins en fonction d’actes bien codifiés, ces techniques n’ont toutefois que très peu de chance d’émerger à travers le système officiel. J’ai connu une personne qui allait vers la mort avec les traitements classiques de la cancérologie. Ses cancérologues eux mêmes lui dirent qu’ils ne pouvaient plus rien faire pour elle. La personne découvrit l’existence d’Hulda Clark et alla au Mexique se faire soigner par elle son cancer. Une des premières choses qu’elle lui fit, fut de lui faire enlever toutes ses dents dévitalisées. Elle guérit de son cancer et retrouva de la vitalité. Quand elle alla en informer ses anciens cancérologues, son histoire ne les intéressa visiblement pas du tout. Elle eu même quelques problèmes par la suite quand elle voulu faire connaître sa guérison et importer du Mexique les produits d’Hulda Clark. A propos du Mexique, j’ai entendu dire que la ville de Mexico de 20 millions d’habitants, vit actuellement une grande expérience d’introduction des médecines naturelles dans son système hospitalier, même pour la cancérologie. Il se pourrait bien qu’on s’aperçoive que les patients ressortiront des hôpitaux avec une bien meilleure vitalité qu’avec les médecine modernes, sans pour autant avoir plus de mortalité. Mais bon, il y a moins de cancers au Mexique qu’en France car les mexicains ont aussi rarement les moyens financiers de faire dévitaliser leurs dents cariées qui sont de fait souvent extraites.

Une des grandes différences de nos pays soumis à une épidémie de cancers par rapport aux sociétés primitives ou moins riches, qui ont bien moins de cancers, est que nos populations y possèdent généralement des dents dévitalisées, comme par hasard. Cela est essentiel et pourtant nos cancérologues l’oublient trop souvent. C’est peut-être pour ne pas trop contrarier leurs confrères dentistes.

Je précise aussi être bien moins critique sur la chirurgie qui élimine les tumeurs cancéreuses. J’y vois en effet une analogie avec l’élimination des dents dévitalisées qui permet de guérir nombre de patients. Mais de là à supprimer carrément les organes dans leur totalité parce qu’ils contiennent quelques cellules cancéreuses, susceptibles de métastaser, il y a toutefois une différence. Certes alors, il n’y a plus de cancer mais il n’y a plus d’organe non plus. Est-ce une guérison ou une mutilation ? Certes quand on coupe une jambe gangrénée, on sauve aussi la vie tout en mutilant le patient. D’une certaine façon, on peut penser qu’éliminer un organe cancéreux revient un peu à la même chose. Mais pourtant j’ai vu parfois des organes cancéreux qui devaient être enlevés par des cancérologues, guérir pourtant par d’autres méthodes, ainsi que des extrémités qu’on pensait gangrénées arriver à revivre par des techniques de médecines naturelles. Tout cela n’est donc pas si simple et me fait comprendre qu’avant de supprimer des organes, il faut bien réfléchir. Je n’ai jamais vu par contre une dent dévitalisée revivre car quand on sait ce qu’est une dent dévitalisée, c’est bien sûr impossible. Et c’est pourquoi malheureusement il n’y a pas d’autre solution que l’extraction pour se débarrasser de cet organe nécrosé. C’est avant de dévitaliser la dent qu’il aurait fallu réfléchir à tout faire pour la garder vivante. Supprimer chirurgicalement les tumeurs cancéreuses me semble donc être une bonne chose, si on arrive à supporter l’opération. Les coupes histologiques des tumeurs montrent en leur centre, la présence de tissu nécrosé. En éliminant la tumeur, on élimine de fait du tissu nécrosé par la même occasion. Le tissu nécrosé comporte des cellules mortes que les cellules cancéreuses de la tumeur tentaient probablement d’isoler du reste de l’organisme, afin de séparer la mort du vivant. Les cellules cancéreuses pourraient bien nous apprendre aussi que les mécanismes de la biologie veulent séparer la mort de la vie. Cela renforce l’idée d’éliminer les dents mortes ou dévitalisées pour la santé. Il est d’autre part important de savoir que la présence de cellules mortes dans l’organisme sera favorisée par la conservation des dents mortes ou dévitalisées en bouche. J’explique plus cela dans le texte à l’adresse suivante: http://dent.devitalisee.free.fr/?p=113 qui explique que la mort engendre la mort. On comprend alors pourquoi un éminent cancérologue allemand, le Dr Joseph Issels disait que les dents dévitalisées étaient hautement cancérigènes. Certains pensent même que ce serait aujourd’hui la première cause de cancers en France.

Lorsqu’on a découvert la radioactivité, il y a environ un siècle, certains pensaient qu’elle avait des vertus bienfaisantes pour la santé. On vendait de très nombreux accessoires contenant du radium, un produit radioactif qui est issu de l’uranium. On vendait des vêtements, sous vêtements, du dentifrice et même de l’eau minérale renforcée en radium. Même la médecine utilisait le radium. Il y a avait par exemple des laits dermatologiques au radium. L’américain Hermann Joseph Muller, déclara le premier en 1927 que le radium pouvait provoquer des cancers. On a alors commencé à arrêter d’utiliser la radioactivité en médecine, à part pour traiter les cancers. Mais on a vraiment pris conscience dans le monde des dangers de la radioactivité qu’après la bombe atomique d’Hiroshima semble-t-il puisque Muller n’eut le prix Nobel de médecine qu’en 1946. Malgré tous ces éléments, dans les années soixante dix, soit environ cinquante ans après la déclaration du Dr Muller, des médecins français utilisaient toujours de la radioactivité pour autre chose que les cancers. Des ORL par exemple utilisaient parfois toujours en France des mèches au radium censées déboucher le nez. Quand on sait cela, on comprend que certaines informations essentielles pour la santé mettent un certain temps pour arriver jusqu’en France, semble-t-il. C’est un peu comme le cas des dents dévitalisées dont personne ne parle en France alors qu’à l’étranger, dans les pays anglosaxons et germanophones notamment, il existe des courants importants de médecins et dentistes qui prônent l’élimination des dents dévitalisées.
Pour en revenir à la radioactivité, même les religieux en étaient friands. On peignait des statues de la vierge dans les églises avec de la peinture radioactive parce qu’elles étaient alors bien phosphorescentes dans la nuit. On vendait même des bijoux imprégnés de peinture radioactive. Certaines ouvrières qui peignaient ces bijoux humectaient le pinceau dans leur bouche. Elles ont eu des cancers de la langue. Merci, Pierre et Marie Curie, pour cette bonne découverte, ont-elles du pensé.
Aujourd’hui on sait bien que la radioactivité est dangereuse et à éviter. Pourtant depuis les tous débuts de la découverte de la radioactivité, on trouve logique de soigner les cancers avec de la radioactivité. Cela revient en quelque sorte à croire toujours que la radioactivité est bonne pour la santé. Ne serait-on pas encore une fois dans l’erreur, même si on fait cela depuis plus d’un siècle ? Depuis plus d’un siècle, les dentistes ont aussi sauvé des millions de dents en les dévitalisant. Pour cela, ils recourent aujourd’hui parfois à de la haute technologie comme les lasers. Ils pensent majoritairement que la dévitalisation dentaire représente un grand progrès médical. Pourtant tout un courant de dentisterie holistique étranger a compris qu’ils empoisonnent ainsi gravement leurs patients et préparent alors le terrain des cancers notamment. Il y a à l’évidence des erreurs qui durent parfois très longtemps, même dans le milieu médical.
Un élément dont ne me semble pas tenir compte la cancérologie moderne, est la distinction entre les cancers dont les causes persistent et ceux dont les causes ne persistent plus. Cette différence me parait pourtant assez importante.
La logique de tuer les cellules cancéreuses me semble relativement cohérente lorsqu’on ne peut éliminer la cause du cancer, que ce dernier progresse dangereusement, et qu’on ne sait pas appliquer de thérapies naturelles suffisamment efficaces. Le patient se retrouvera ensuite dans un état de délabrement important car il aura été empoisonné mais ces actions visant à tuer les cellules cancéreuses lui sauveront parfois la vie. C’est tout à fait comme pour tout le reste de la médecine chimique dans les cas d’urgence. Quand on ne sait rien faire d’autre, il vaut mieux empoisonner un peu le patient si cela peut lui sauver la vie. Mais cette possibilité me semble intéressante pour les personnes qui ne veulent faire aucun effort sur l’alimentation, ne veulent pas jeuner, qui continuent à s’exposer aux ondes des antennes relais par exemple, qui veulent conserver leurs dents dévitalisées, qui continuent à cuisiner avec de l’huile dans des casseroles en métal, qui ne veulent pas faire de psychothérapie pour dépasser leurs gros problèmes psychologiques et qui ne veulent pas entendre parler d’un autre philosophie de soins que tuer les cellules cancéreuses. La cancérologie moderne leur sauvera alors peut-être la vie pour un certain temps, s’ils sont suffisamment robustes. Mais s’il y a des récidives, ce qui en général ne manquera pas d’arriver si les causes persistent, ils deviendront de moins en moins robustes avec les traitements qui s’enchaineront. Le mieux si possible est donc d’éliminer les causes, puis d’aider ensuite l’organisme à se réparer sans l’empoisonner. Ce sera la solution qui permettra de vivre vraiment le plus longtemps, enfin si on arrive ainsi à faire disparaître les cellules cancéreuses, ce qui est possible et dont j’ai déjà eu le témoignage.

Il me semble donc intéressant d’identifier les causes du cancer, même si parfois les causes sont multiples. Quand la cause principale n’est à l’évidence plus présente, par exemple dans le cas de contamination radioactive passagère, il me semble inutile d’appliquer le protocole de tuer les cellules cancéreuses. Inutile donc d’irradier encore ceux qui ont été irradiés accidentellement. C’est la même chose quand la personne a arrêté de fumer, ou qu’elle a été soumise à de l’amiante dans le passé, et plus généralement dans toutes ces situations où la cause ne persiste pas. Si on applique un protocole qui tue les cellules cancéreuses, comme les causes ne sont plus là, le cancer disparaît en général assez bien, mais on épuise le patient. Très souvent l’organe cancéreux meurt, parfois pire le patient meurt. Les cancérologues disent alors que le cancer a été guéri mais que le patient n’a pas supporté le traitement.

Il y a aussi le cas le plus fréquent où les patients guérissent en conservant les causes, leurs dents dévitalisées par exemple, mais perdent généralement les organes qui étaient cancéreux par la chirurgie. Ils sont guéris mais mutilés. Les causes voudraient bien recancériser l’organe mais il n’existe plus. En général quelques années plus tard, les causes vont cancériser un autre organe car les toxines cancérigènes doivent bien aller quelque part ailleurs. Elle choisissent alors un autre organe. On parle alors généralement d’un cancer secondaire, en expliquant qu’il a du rester quelques cellules cancéreuses du cancer primitif, qu’on n’était pas totalement arrivé à éliminer, et qui ont métastasé.

Parfois certaines causes peuvent persister, et malgré tout, la cancérologie moderne qui tue les cellules cancéreuses sans enlever les organes, peut toutefois sauver la vie du patient. Je l’ai aussi constaté. Tout dépend en fait du niveau d’agressivité des causes qui ont provoqué le cancer et de la vitalité du patient. Le patient survit quand sa vitalité est suffisante pour supporter le traitement et la persistance des causes, mais plus suffisante pour que le cancer puisse se développer. Le patient est guéri en conservant ses organes mais il est dévitalisé. En général, le même cancer récidive dès qu’il le peut au même endroit quand la vitalité du patient remonte suffisamment pour que le mécanisme d’autoguérison cancer puisse à nouveau fonctionner. Mais cela prend aussi parfois des années. Le patient se traine, mais bon, il est guéri.

J’ai aussi vu une fois un patient qui m’a dit avoir retrouvé de la vitalité après sa première série de traitement cancérologiques. Le cancérologue était surpris car il était bien le seul de ses patients dans ce cas. J’ai expliqué au patient que ce n’était pas la chimio ni la radiothérapie qui lui avait fait retrouver de la vitalité mais l’élimination de ses dents dévitalisées, qu’il avait depuis une vingtaine d’années au moins. Mais, il n’était pas très convaincu. A la seconde série de traitements, il fut totalement épuisé. A la troisième série, il mourut. Moralité, certaines chimio-radiothérapie tuent encore plus vite que les dents dévitalisées.

Mais c’est comme tout, il y a les bons cancérologues et les mauvais cancérologues. Le mauvais cancérologue, il applique systématiquement les protocoles de radiothérapie et chimiothérapie sans prendre en compte la vitalité du patient. Le bon cancérologue lui, il tient compte de la vitalité du patient et va prescrire des traitements complémentaires de médecine naturelles pour limiter les effets secondaires des traitements conventionnels. Certes, il applique aussi les protocoles radiothérapiques et chimiothérapiques mais c’est un bon cancérologue, voilà tout. C’est un peu comme les bons et les mauvais dentistes français qui gardent de toutes façons les dents dévitalisées à leurs patients. Ce petit paragraphe, c’était un peu d’humour, pour ceux qui connaissent le sketch des humoristes, Les Inconnus, sur les bons et les mauvais chasseurs…

Parmi les différentes causes du cancer, il y a bien sûr celle à laquelle quasiment personne ne pense en France et qui est la dent dévitalisée. Mais même une fois enlevées, les dents dévitalisées laissent souvent des os imprégnés de poisons, dont font partie les N.I.C.O. ou cavitations, qui eux aussi seront cancérigènes. Ils le seront moins certes que les dents dévitalisées mais il faut quand même parfois en tenir compte. Très souvent la prise en compte de ces problématiques peut vous éviter la radiothérapie et la chimiothérapie, qu’il sera très difficile d’éviter sinon. Les médecines naturelles auront parfois beaucoup de mal à être suffisamment efficaces pour guérir un cancer si ces causes persistent dans l’organisme. Il est donc très regrettable que cette information ne soit pas plus connue.

Si la radiothérapie est sans l’ombre d’un doute toxique sachez que dans le domaine de la médecine nucléaire, les scanners sont loin d’être anodins non plus. Certes on est cette fois ci dans le domaine de l’imagerie et pas de la thérapie nucléaire. Mais un seul scanner total du corps correspond à la dose de radiation maximale admissible annuelle pour un travailleur de l’industrie nucléaire. Les scanners sont donc tout à fait contre-indiqués pour les travailleurs de l’industrie nucléaire, c’est mathématique, enfin, à moins qu’ils prennent une année sabbatique.

Je n’ai pas la prétention de tout avoir compris sur le cancer, de détenir la vérité sur le cancer ni d’avoir ni toutes les solutions, comme c’est le cas de certaines personnes même dans les milieux des médecines alternatives. Mais à la vue de certaines constatations que j’ai faites, je pense qu’il serait bien que ce sujet soit débattu dans les médias, de manière différente qu’il ne l’est aujourd’hui. Il serait intéressant que soit donnée la parole à ceux qui se positionnent différemment de la pensée académique sur les traitements conventionnels du cancer. Il a fallu attendre l’accident nucléaire du Japon pour que les médias informe vraiment le public français sur des dangers du nucléaire, ce que des alternatifs criaient depuis des lustres. Que faudra-t-il attendre pour le cancer. Ne suffit-il pas que 50 % des français soient statistiquement candidats au cancer et que tout un courant alternatif de médecine naturelle crie que les traitements de radiothérapie et chimiothérapie sont des erreurs qui de plus ruinent notre société. On peut continuer à croire que les personnes qui tiennent ce genre de discours sont des charlatans opposés au progrès de la science un peu comme on qualifiait en quelque sorte aussi, les militants contre le nucléaire de doux rêveurs utopistes. C’est un choix de société ma foi, mais c’est un choix que semblent regretter aujourd’hui un peu les japonais pour ce qui est du nucléaire.

Mais ce qu’on pourrait dire du cancer et des cellules cancéreuses, pourrait aussi se dire des traitements qui veulent à tout prix tuer les virus par exemple, que ce soit dans les hépatites ou même dans le sida. Dans certains pays de l’Est on traite même actuellement des infections bactériennes avec des virus thérapeutiques et on s’aperçoit que les gens se remettent plus rapidement ensuite qu’après un traitement antibiotique. Et pour les maladies à virus, il existe aussi une polémique et des personnes qui refusent les traitements chimiques, prennent uniquement des traitements naturels et qui se portent bien et même mieux que ceux qui prennent des antiviraux.

A une certaine époque il était courant que les enfants souffreteux soient envoyés dans la nature, en montagne voire, au bord de la mer. Mais aujourd’hui le médicament chimique voire radiologique est devenu un dieu, que la société vénère comme s’il allait lui apporter le salut. Un dieu que ses grands prêtres en blouse blanche prescrivent au nom de la science et que les plus riches mécènes de la planète subventionnent en étant persuadés de bien faire. Et plus le médicament est toxique, donc efficace dans la logique médicale actuelle, mieux il est remboursé par la sécurité sociale. Personnellement, je préfère plutôt vénérer Mère nature et ses produits naturels car je sais qu’elle possède toujours de meilleures solutions que celles qui sortent de l’industrie chimique. Certes je sais bien que la chimie médicale permet de guérir des maladies. Je sais même que parfois, quand on ne sait rien faire d’autre, elle peut sauver des vies. Mais aujourd’hui, en supposant que je ne connaisse aucune solution naturelle qui aurait permis de guérir une maladie donnée, je conseillerais alors le repos et le jeûne en général. Je suggèrerais aussi de continuer à chercher des solutions naturelles et en attendant, hormis les cas rares des urgences vitales, je conseillerais encore de garder sa maladie. Je sais en effet que le prix à payer ensuite, en effets secondaires, sera toujours trop cher. Il est évident qu’il vaut mieux être en bonne santé que malade mais si la maladie arrive, elle a toutefois un sens comme tout ce que produit la nature. J’ai vu par exemple, après des extractions de dents dévitalisées, de grosses fièvres arriver à guérir des cancers. La maladie constitue toujours une tentative d’autoguérison de l’organisme. La maladie tente de restaurer l’énergie de l’organisme et de préserver ses fonctions. Ce concept n’est pas enseigné dans nos facultés aujourd’hui, où on ne pense qu’à supprimer au plus vie les symptômes et en plus avec de la chimie. Traiter les maladies par la chimie aboutit toujours alors à des états de handicap énergétique, que bien sûr ceux qui la prescrivent ne reconnaitront jamais vraiment, tout comme ceux qui ont dévitalisé des dents ne reconnaitront jamais les dégâts souvent irréversibles que cela produit. C’est très humain et il faut juste en avoir conscience.

Le cancer est très probablement lui aussi une tentative de guérison de l’organisme. L’ignorance du sens des cellules cancéreuses, la croyance que les cellules cancéreuses sont à détruire à tout prix et l’inconscience de l’importance des effets indésirables des méthodes qui le permettent, aboutit parfois certains à émettre des idées que j’estime complètement folles. Devant l’augmentation terrible des cancers, certains médecins ont sérieusement émis l’idée de donner préventivement de la chimiothérapie douce aux personnes âgées en bonne santé. Cette idée est même reprise dans certains milieux de médecines naturelles qui y voient une bonne idée jamais appliquée par l’institution médicale et qu’ils nomment, la prévention active. Mais alors, pourquoi ne pas les irradier aussi préventivement en les envoyant faire un voyage thérapeutique à Fukushima sans les faire trop approcher de la centrale toutefois. Ainsi ce serait une radiothérapie douce en quelque sorte, qui pourrait s’appeler elle, pourquoi pas, la prévention radioactive……

Mais certains n’aiment visiblement pas trop qu’on débatte de ce genre de sujet. Une de leur stratégie classique est de nous répéter régulièrement que grâce à la science et notamment la médecine moderne, on vivra tous de plus en plus vieux puisque le nombre de centenaires augmente régulièrement. Il n’est certes pas faux que dans certaines situations pathologiques extrêmes, quand on ne sait rien faire d’autre, un médicament chimique peut sauver la vie d’une personne âgée, c’est vrai. Ensuite en général après, ses sphincters ne fonctionnent plus et il faut la mettre sur un fauteuil roulant. Mais si le nombre de centenaires grabataires augmente, de là à en déduire que dans le futur, tout le monde va bientôt devenir centenaire est tout à fait simpliste. On oublie que ces centenaires d’aujourd’hui n’ont pas connu pendant la phase de construction de leur organisme, leur jeunesse, certaines avancées contestables de la science et notamment de la médecine moderne. Ils n’ont connu, ni les dents dévitalisées dont le nombre a énormément progressé, ni les médicaments chimiques modernes dont la consommation a elle aussi énormément progressé ces dernières décennies. Aujourd’hui le cancer progresse tellement que les statisticiens prévoient qu’un français sur deux le rencontrera au moins une fois durant sa vie. Mais il y avait très peu de cancers au début du siècle. Nos centenaires d’aujourd’hui n’ont certainement pas ou très peu été irradié par conséquent par la radiothérapie. La plupart des centenaires d’aujourd’hui, ne furent pas non plus vaccinés pendant leur enfance. De plus en plus souvent aujourd’hui, nos centenaires avec leurs dentiers, voient étonnement mourir leurs enfants, voire leurs petits enfants, de cancers ou autres maladies graves. Leurs enfants n’ont pas de dentiers mais de belles couronnes sur dents dévitalisées et ils ont suivi tous les programmes de préventions toxiques: échographie, vaccins, fluor etc…. Rien ne peut donc dire que ceux qui auront connu toute cette médecine, et la dent dévitalisée pendant les premières années de leur vie vivront aussi vieux que nos centenaires d’aujourd’hui. Le prétendre est donc une tromperie scientifique car les échantillons de population d’aujourd’hui sont très différents de ceux du début du vingtième siècle. Quand on voit le nombre de maladies graves progresser sans cesse aujourd’hui et qu’on comprend comment fonctionne notre médecine moderne, et notamment la cancérologie moderne, on aurait même tendance à penser en fait que ce sera très exactement le contraire.

Mais bon, si quelques centrales nucléaires se fissurent aussi en France, toutes ces considérations seront tout à fait négligeables, j’en conviens, car nous serons tous mortellement irradiés de toutes façons. Mais bon, morts irradiés peut-être, mais avec une petite facture d’électricité, c’est apparemment le plus important pour certains.

Mais qu’un traitement de cancer coute environ 25000 euros à la société, personne ne semble trop s’en plaindre. Pourtant la maladie est quasiment ce qui ruine le plus notre pays, et le cancer est parmi les maladies, celle qui doit couter le plus cher à la collectivité. Et parmi les causes de cancers, la dent dévitalisée en est probablement la plus importante. C’est donc quand même un peu dommage de ne pas s’y intéresser même si les centrales nucléaires sont un sujet encore plus préoccupant.

Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire drbrunodarmon@yahoo.fr .

P.S.
Pour ceux qui douteraient que nous sommes tous liés sur la planète par le nucléaire notamment:
L’Institut français de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) a annoncé que des traces d’iode 131 ont été détectées dans des échantillons de lait français.
L’IRSN a découvert, dans une analyse effectuée le 25 mars en Loire-Atlantique, un taux inférieur à 0,11 Becquerels par litre (Bq/l) dans du lait. Il s’agirait bien d’iode 131 issu du nuage radioactif en provenance de la centrale nucléaire de Fukushima. Le lait ne doit habituellement contenir aucune trace d’iode 131.

La clef de la maladie d’Alzheimer d’Annie Girardot, très probablement.

March 16, 2011 on 1:12 pm | In Non classé | Comments Off

La clef de la maladie d’Alzheimer d’Annie Girardot, très probablement.

Quand je compare le sourire d’Annie Girardot du temps de sa carrière avec celui qu’elle avait après, j’ai de fortes présomptions sur l’origine de sa maladie d’Alzheimer. Je me dis alors que pour sa santé, il aurait mieux valu qu’elle n’ait pas les moyens financiers de refaire à neuf son sourire chez un dentiste. Ce dernier lui a en effet très probablement dévitalisé toutes ses dents de devant en haut, avant de les couronner de belles couronnes en céramique. La couronne en céramique est l’acte le plus rentable de la dentisterie traditionnelle, après les implants…..C’est plus pratique de dévitaliser avant de faire les couronnes, nous disaient certains enseignants de la fac…..

Voici son sourire naturel lorsqu’elle n’était pas malade: http://www.leparisien.fr/images/2011/02/28/1336273_giradot_650×300.jpg

Voici maintenant son sourire artificiel au moment de sa maladie d’Alzheimer. Avec un œil averti, on y voit des dents qui sont très probablement des couronnes en céramique donc des dents qui ont une très grande probabilité d’être dévitalisées dessous. Regardez bien les incisives et vous verrez qu’elles sont très différentes, les bords sont bien plus réguliers notamment…. Cela ressemble tout à fait à des couronnes en céramique.
http://static1.purepeople.com/articles/6/24/75/6/@/170297-annie-girardot-637×0-2.jpg

Cette remarque est à rapprocher du texte suivant: http://dent.devitalisee.free.fr/?p=124 qui témoignait de la disparition rapide d’une maladie d’Alzheimer après l’extraction de quelques dents dévitalisées.

Mais bon, dans cette solution pour Alzheimer, il n’y a aucun médicaments à vendre, juste des dents dévitalisées à enlever et à remplacer par des dentiers….. Dommage car ça n’intéressera aucune industrie.

Tiens au fait j’ai aussi guéri une grave perte de mémoire d’une personne très âgée, environ 100 ans. Elle ne reconnaissait même plus ses petits enfants. Cela est arrivé après deux semaines de prise de médicaments anxiolytiques. Ah ! ces bons médicaments qui nous fabriquent presque autant de légumes que les agriculteurs….. La dame a retrouvé la mémoire après que furent placés des cristaux dans son dentier. Là aussi, il n’y a pas de médicaments à vendre, il suffit de former son prothésiste au sujet et de lui fournir les cristaux. Dommage car ça aurait pu intéresser la recherche…

Comme tout ce que j’écris, je peux le prouver. Son arrière petite fille pourra vous le témoigner, par téléphone si vous lui laissez un numéro de tel fixe ou même de vive voix si vous venez la rencontrer sur Nice. Voici son email: m.sanson@hotmail.fr

Bruno Darmon Dr en chirurgie dentaire. drbrunodarmon@yahoo.fr

Nucléaire et dents dévitalisées. Deux sujets qui préoccupent Corinne LEPAGE.

March 15, 2011 on 7:14 pm | In Non classé | Comments Off

Nucléaire et dent dévitalisée, deux sujets qui préoccupent Corinne LEPAGE.

Le grand défi de notre temps n’est plus l’information à laquelle tout le monde peut avoir accès, mais le discernement entre les informations qui sont importantes et celles qui le sont moins. Dans le tumulte de voix inconscientes, que ce soit sur internet mais aussi dans le monde médico dentaire et politique, qui perdent régulièrement le public en leur mettant des bêtises dans la tête ou en les affolant sur des sujets de moindre importance, tout en oubliant les sujets essentiels de santé publique comme le nucléaire et les dents dévitalisées, je tenais à rendre hommage au discernement et à l’intelligence de l’avocate, ancienne Ministre de l’environnement Corinne LEPAGE. Elle s’exprime en effet encore aujourd’hui dans les médias, à l’heure du drame nucléaire japonais et depuis toujours pour la prise de conscience de la folie du nucléaire. Elle a aussi agi dans le passé pour la défense de la prise de conscience de la toxicité des dents dévitalisées. C’est ce que montre le texte fort instructif consultable à l’adresse suivante:
http://michel.raynaud.pagesperso-orange.fr/mem_clpg.htm
où elle qualifie le problème des dents dévitalisées de “grave question de santé publique”.

La science est un outil à double tranchant. Elle peut apporter beaucoup de confort matériel à l’humanité mais elle peut aussi lui apporter beaucoup de malheur, surtout si elle s’éloigne d’une certaine philosophie. Une philosophie qui est avant tout de respecter la vie avec notamment certaines règles que l’on peut trouver dans des écrits religieux. La science pourrait sinon alors éventuellement détruire la vie sur Terre. Il est essentiel d’en prendre conscience et les japonais risquent bientôt d’en prendre conscience de façon très concrète avec les accidents de leurs centrales nucléaires suite au dernier tremblement de terre tsunami. Il y a toujours un enseignement à tirer de la pire des situations. L’accident nucléaire japonais pourrait permettre à l’humanité de prendre conscience que même la civilisation technologiquement la plus avancée du monde n’est à l’abri de l’immense danger que comporte inévitablement l’industrie nucléaire. La France ferait bien d’en tirer rapidement des enseignements, elle qui a le plus de centrales nucléaires du monde par habitant.

Le nucléaire et la dent dévitalisée sont selon moi, deux fruits empoisonnés d’une science qui dans les deux cas a oublié de respecter la même loi « divine » exprimée notamment dans la Bible et qui dit très exactement « l’homme ne séparera pas ce que Dieu a uni ».

La science de la physique atomique réussit à fabriquer de l’énergie en séparant des atomes, plus précisément des noyaux d’atomes instables. Lors de cette séparation, un gaz pourrait-on dire, un éther comprimé plus exactement, que notre science n’a pas encore mis en évidence et qui se trouve au milieu des noyaux des atomes radioactifs, se libère tel un gaz, de masse (M), qui se libère dans une zone de moindre pression, à la vitesse de la lumière (C). Cela produit une énorme quantité d’énergie selon la loi E=MC2 plus précisément pour ceux qui se sont intéressés déjà au sujet. L’énergie se transforme en chaleur qui est ensuite transformée en électricité par la technologie. Jusque là ma foi, on pourrait penser que ce procédé est astucieux pour produire de l’électricité. Mais voilà, en agissant ainsi, en séparant les noyaux des atomes, on fabrique des déchets hautement radioactifs. Ces déchets vont émettre des énergies très puissantes sous forme de rayonnements dits ionisants, qui vont pouvoir pénétrer les organismes vivants au plus profond de leurs structures, jusque dans leurs chromosomes, en les déstructurant et en brulant tout au passage. Les cellules les plus robustes seront empoisonnées et se cancériseront éventuellement plus tard tandis que les cellules les plus fragiles vont immédiatement mourir. C’est d’ailleurs ce dernier point qui est exploité par la cancérologie moderne qui irradie les organismes pour tuer les cellules cancéreuses, plus fragiles que les autres. C’est d’ailleurs aussi le même principe pour la chimiothérapie, on empoisonne tout et les cellules cancéreuses plus fragiles meurent les premières. Il n’y a donc pas à s’étonner que les patients guéris ainsi présentent très souvent ensuite des récidives ou de nouveaux cancers et restent aussi très fatigués pour le reste de leur vie. Mais bon, si leur vie dure ensuite au moins cinq ans, ils sont considérés guéris par l’institution médicale, qui facture environ 25 000 euros à la société par traitement de cancer. Une institution qui ne s’est jamais intéressée aux traitements alternatifs bien moins onéreux, donc bien moins lucratifs pour elle et qui n’ont pas autant de désagréments, comme ceux de feu Hulda Clark par exemple. Hulda Clark était une biologiste (professeur d’Université) et naturopathe canadienne qui faisait entre autre enlever toutes les dents dévitalisées de ses patients et guérissait des maladies soi disant inguérissables, comme des cancéreux condamnés par l’institution. Pour cela, elle conseillait généralement d’arrêter tout traitement classique de chimio et radiothérapie. Eh oui, c’est vexant pour nos grands professeurs de médecine, je sais…. Elle n’a donc jamais intéressé l’institution médicale qui en plus lui a fait des procès pour exercice illégal de la médecine, ce qui l’a contrainte à émigrer au Mexique pour ne pas aller en prison. C’est aussi ce qu’ont fait plusieurs médecins et dentistes interdits aux Etats-Unis pour pouvoir continuer à exercer comme le Dr Hal Huggins. Le Dr Huggins était le précurseur mondial dans l’élimination des amalgames dentaires au mercure. Aujourd’hui il prône aussi d’enlever les dents dévitalisées ce qui lui permet ainsi de guérir parfois des cancers. Le Mexique avait aussi sur son sol, la clinique du Dr Issels, un éminent cancérologue allemand qui guérissait beaucoup plus de cancers que ses collègues et qui lui aussi faisait avant tout enlever toutes les dents dévitalisées de ses patients. Le Mexique est semble-t-il très sévère pour les kidnapeurs d’enfants mais très cool avec les personnes qui guérissent des cancers par des méthodes naturelles. C’est un peu le contraire de la France, si on se rappelle ce qui fut fait au Dr Hamer entre autres, qui passa deux années en prison en France juste pour avoir émis de nouvelles idées sur le traitement du cancer…..

Pour en revenir au nucléaire, les déchets radioactifs seront donc extrêmement toxiques et cela pour des durées qui se chiffrent en millions d’années, le temps que les atomes perdent totalement leur radioactivité. Pour vous donner un exemple concret des conséquences que cela peut produire, le dernier grand accident nucléaire qui a eu lieu, il y a 25 ans à Tchernobyl, a pollué la Biélorussie pour un million d’années a tel point que les enfants qui naissent aujourd’hui dans les environs de Tchernobyl ont déjà un cœur de vieillard à la fin de l’adolescence et ne vivront donc vraiment pas très vieux par conséquent. Et cela durera environ un million d’années. Le plus grand scientifique russe en physique atomique qui avait assuré au président russe de l’époque, Gorbatchev, que les centrales nucléaires étaient sans danger, s’est suicidé après l’accident nucléaire de Tchernobyl. L’avantage de l’accident de Tchernobyl, si je puis dire, est que Gorbatchev a alors tellement pris conscience de la folie du nucléaire qu’il a stoppé net toute nouvelle construction de centrale nucléaire russe et a engagé un programme de désarmement atomique de son pays. S’il n’avait pas été évincé ensuite du pouvoir, il aurait certainement dénucléarisé totalement ensuite son pays. Le nucléaire est à ce point dangereux qu’on comprend pourquoi des intelligences supérieures qui se sont exprimées à travers des écrits que l’on qualifie de religieux nous avaient d’une certaine façon averti sur le sujet en nous demandant de ne pas séparer ce que Dieu avait uni. Il y a eu d’autres avertissements mais ils sont moins connus. Même si la plupart des religieux se sont imaginés que ce commandement de ne pas séparer ce que Dieu avait uni, faisait référence au mariage qu’ils célébraient, il me semble être une évidence que ce commandement fait avant tout référence à ce que la nature a naturellement réuni. Les noyaux des atomes sont donc bien sûr directement concernés par ce commandement biblique. Le transgresser en séparant les noyaux d’atomes revient à se mettre en contradiction avec une loi biblique. Mais bien sûr ce genre de considération a peu de valeur dans une société majoritairement athée dont les croyances sont plutôt darwiniennes. Des croyances qui voudraient nous faire croire que la vie est apparue du néant et s’est développée par le hasard et par la disparition violente des formes de vies plus faibles. Une croyance qui d’une certaine façon a aussi influencé notre philosophie médicale moderne qui pense que la guérison ne peut passer que par une certaine violence qui consiste à détruire les bactéries et les cellules cancéreuse par exemple.

Notre civilisation a trouvé pratique de séparer les noyaux des atomes dans la technologie nucléaire car cela permet de récupérer beaucoup d’énergie dans une petit espace et somme toute assez facilement. Bref l’énergie nucléaire c’est pratique, ça permet de faire du chauffage électrique et d’avoir des cuisinières électriques ce qui consomme beaucoup d’électricité. Comme c’est pratique, cela permet aussi à certaines industries de réaliser de gros profits rapidement. On trouve alors toujours aussi des politiciens corrompus pour défendre le nucléaire, en nous expliquant généralement que nos scientifiques et nos ingénieurs maitrisent totalement cette technologie qui ne présenterait pas de risques notables. L’enseignement de la catastrophe nucléaire japonaise est à ce titre très instructive. Le Japon est en effet le pays au monde où la technologie est la plus sophistiquée et malgré cela, il n’a pas pu éviter aujourd’hui des accidents nucléaires qui sont de véritables catastrophes. Le nucléaire c’est donc pratique certes mais ça détruit la vie plus que tout et pour plus longtemps que tout et à terme cela pourrait rendre la Terre invivable pour des millions d’années. Le nucléaire, c’est donc proprement diabolique. C’est d’ailleurs même étymologiquement diabolique car le mot diable vient du grec diabolein qui signifie diviser ou séparer. Mais à part ça tout va bien…..
Mais tout cela ne sont que des mots et pour bien en prendre conscience je vous suggère vivement de visionner le film « la bataille de Tchernobyl » aux adresses suivantes:
http://www.dailymotion.com/video/x6xbsg_la-bataille-de-tchernobyl-15_news
puis http://www.dailymotion.com/video/x6xbys_la-bataille-de-tchernobyl-2-5_news
puis http://www.dailymotion.com/video/x6xc90_la-bataille-de-tchernobil-3-5_news
puis http://www.dailymotion.com/video/x6xci0_la-bataille-de-tchernobyl-4-5_news
puis http://video.planet.fr/video/iLyROoaft6tZ.html (je n’ai pas trouvé la dernière partie sur dailymotion)
et ensuite regardez ce petit film
http://videos.sortirdunucleaire.org/spip.php?article301
et lisez un peu cela http://www.sortirdunucleaire.org/index.php?menu=actualites&sousmenu=dossiers&soussousmenu=EPRrevelations2&page=index
pour comprendre que nos centrales nucléaires peuvent tout à fait rencontrer les mêmes accidents que celui de Tchernobyl .
Vous comprendrez alors que nos grands scientifiques médiatiques français sont bien le reflet d’une science insensée qui passe à côté des véritables dangers de l’humanité, quand elle ne tient pas compte de la folie du nucléaire.

De même, quand vous regarderez les films indiqués ensuite dans ce texte vous comprendrez que nos grands médecins français passent aussi aujourd’hui à côté des véritables solutions pour la santé de la population quand ils oublient de prendre en compte la problématique « dent dévitalisée ».

En effet, dans le registre séparations pratiques diaboliques, on trouve aussi la dent dévitalisée. Il n’y a pas qu’elle d’ailleurs car il y a aussi les O.G.M. où on s’amuse à séparer les gènes des plantes alimentaires notamment. On trouve aussi aussi nombre de médicaments de la médecine moderne qui se sont inspirés de la séparation chimique du principe actif des plantes médicinales. Mais il y a aussi et surtout la dent dévitalisée qui est encore bien plus grave que tout cela car en plus on introduit de la mort dans les organismes vivants. Au début du vingtième siècle, la science des dentistes a permis pour supprimer la douleur dentaire d’extirper le nerf de la dent, avec au passage les vaisseaux sanguins. On produit ainsi une dent dite dévitalisée ou morte. En agissant ainsi on sépare le tissu mou du tissu dur de la dent. On sépare donc ce que la vie, ou Dieu, c’est comme on veut, a uni naturellement. On transgresse donc la fameuse loi exprimée dans le paragraphe précédent. Mais en plus on transgresse une seconde loi implicitement contenue dans la Bible qui dit de ne pas mélanger la mort avec la vie. Il existe plusieurs passages sur le sujet mais le plus connu est le passage de la Bible où il est dit d’emmener les morts à l’Hadès et de ne pas les laisser au milieu des vivants. Tout ce qui est mort est soumis à des processus de putréfaction très toxiques pour les organismes vivants, c’est pourquoi ne serait-ce que d’un point de vue strictement biologique, la mort doit être séparée du vivant. La dent dévitalisée est la seule exception qui ait été faite à cette règle par notre médecine moderne, car la dent dévitalisée a eu depuis toujours beaucoup de succès auprès des patients, inconscients qu’ils étaient et sont en général toujours de l’effet destructeur de la dent dévitalisée sur la santé. En effet, la dent dévitalisée c’est pratique, c’est sûr, car ça évite d’extraire des dents, donc d’avoir des dentiers en général. Seulement voilà, ça dévitalise les organismes généralement plus que tous les autres poisons chimiques et ça pourrait bien être aujourd’hui la première cause de cancers et de maladies graves dans la civilisation occidentale. Les enfants dont les parents ont des dents dévitalisées auront les dents tordues, d’autres maladies génétiques et seront très dévitalisées. En France, on a le plus de dents dévitalisée d’Europe, huit français sur dix environ sont concernés, même les enfants et on y a aussi comme par hasard, le plus de malades, de mal de dos et de cancers d’Europe. Certains médecins qui se sont penchés sur le sujet pensent que la dent dévitalisée est un poison bien plus grave que toutes les autres empoisonnements dont on parle régulièrement dans les médias.
Bref, la dent dévitalisée, ça pourrait bien détruire plus que tout notre civilisation si le nucléaire ne la détruit pas avant. Mais à part ça tout va bien………

Mais tout cela ne sont que des mots et encore une fois pour bien en prendre conscience je vous suggère vivement de visionner les films aux adresses suivantes:
http://michel.raynaud2.free.fr/vds_darmon/bd_final_00.avi
http://michel.raynaud2.free.fr/vds_darmon/bd_final_01.avi
http://michel.raynaud2.free.fr/vds_darmon/bd_final_02.avi
http://michel.raynaud2.free.fr/vds_darmon/bd_final_03.avi
toutes ces vidéos issues du site www.sante-dents.com

Quand on prend conscience de tout cela, que peut-on faire ?
Sachez tout d’abord que dans les enseignements spirituels on y parle de karma que l’on pourrait traduire comme une conséquence juste de nos actes, même si parfois le rapport de cause à effet n’est pas toujours facile à comprendre et paraît même un peu mystérieux. S’il existe le karma collectif des peuples, il existe aussi le karma individuel.
Au sujet du nucléaire, je vous conseille donc de ne plus être complice d’une consommation électrique effrénée qui est le principal argument des politiciens pour la folle nucléarisation de notre pays. L’électricité ne doit être réservée qu’aux applications nobles qui d’ailleurs sont peu consommatrices (télé, ordinateur, éclairage) surtout tant que l’électricité française sera surtout d’origine nucléaire. Il faudrait donc éviter de la gaspiller pour le chauffage et la cuisine qui sont très consommatrices d’électricité. Je vous conseille aussi de participer activement à l’information sur le danger du nucléaire en soutenant le réseau « sortir du nucléaire » notamment. Ainsi vous protégerez la vie et par conséquent et pour des raisons qu’il faudrait développer mais qui sont assez mystiques, la vie vous protégera…. Au niveau national, il faudrait arrêter immédiatement toutes les centrales nucléaires quelles qu’en soient les conséquences car de toutes façons les conséquences qui résulteraient de ne pas les arrêter seraient encore pires. Lors d’un accident nucléaire, on s’est aperçu que certains résistaient mieux que d’autres. Ce sont certainement ceux qui ont le plus de vitalité. Et qu’est ce qui dévitalise surtout les organismes…. les dents dévitalisées bien sûr…. Il vaut donc mieux s’en débarrasser bien sûr….
Si un accident nucléaire devait survenir, les autorités conseillent de prendre de l’iode pour saturer sa thyroïde en iode non radioactif. Mais bon, si ça protège un peu la thyroïde, ça n’a aucun effet sur le Stromtium radioactif qui se fixe dans les os, ni le Césium radioactif qui se fixe dans les muscles, ni sur les autres radioéléments qui vont un peu partout. Il existe aussi un autre produit qui pourrait en partie inactiver la radioactivité et dont je parle dans le texte suivant : http://dent.devitalisee.free.fr/?p=109 . Hulda Clark avait remarqué avec ses appareils, qu’il inactivait le Polonium radioactif. C’est aussi un produit que j’utilise pour effacer les mémoires toxiques des dents dévitalisées quand les personnes restent toujours malades malgré les extractions de dents dévitalisées.
Mais bon, ne rêvons pas trop quand même car le mieux à faire, face à la radioactivité, est de partir le plus vite possible et le plus loin possible pour au moins un million d’années.
Au sujet des dents dévitalisées, il faut faire un peu la même chose. Les enlever au plus vite quelque en soit les conséquences car de toutes façons les conséquences qui résulteraient de ne pas les enlever seraient encore pires que de les garder. Il serait temps aussi de soutenir cette information qui est même persécutée par l’Ordre français des dentistes qui ne s’est pas gêné pour m’interdire d’exercer parce que je la mettais en application. Mais bon, c’est comme tout, il y a toujours un côté positif la dedans car grâce à cela, j’ai un peu plus de temps pour vous informer sur le sujet…..

Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire, drbrunodarmon@yahoo.fr

La preuve par l’image

February 23, 2011 on 8:43 am | In Non classé | Comments Off

« Le problème c’est que Darmon, dit que les dents dévitalisées nous empoisonnent, que ce serait pire que toute la chimie médicale même, mais 99,99% des dentistes, même ceux qui se disent holistiques, disent le contraire et 99,99% des médecins n’y prêtent même pas attention, alors que faut-il croire, on ne sait pas, on ne sait pas….. »
Dans ce monde de la sur-information, le véritable défi n’est pas d’obtenir des informations mais de discerner celles qui sont vraies et importantes des autres. Pour aider un peu votre sens du discernement, dans ce monde là, où les écrits saturent souvent nos neurones, j’ai pensé que des petites vidéos de témoignages seraient intéressantes. Ce sont des vidéos de personnes guéries par l’extraction des dents dévitalisées principalement. Je vous invite à les regarder, mais surtout à écouter ce que disent une centaine de personnes dont les témoignages ont en surpris plus d’un…. Voici les adresses des vidéos.

http://michel.raynaud2.free.fr/vds_darmon/bd_final_00.avi
http://michel.raynaud2.free.fr/vds_darmon/bd_final_01.avi
http://michel.raynaud2.free.fr/vds_darmon/bd_final_02.avi
http://michel.raynaud2.free.fr/vds_darmon/bd_final_03.avi

toutes ces vidéos issues du site www.sante-dents.com
Maintenant, si quelqu’un connait une méthode thérapeutique quelconque qui guérit et revitalise aussi bien, aussi vite et aussi définitivement des pathologies diverses, variées et graves comme celles qui sont décrites sur ces vidéos, il gagne un mois de vacances gratuites dans mon centre de revitalisation en pleine forêt, à la montagne.
http://centre-de-revitalisation.over-blog.com

Quand vous aurez regardé ces vidéos, regardez ensuite un film « La bataille de tchernobyl ». Il traite d’un problème plus grave encore, le nucléaire. Et alors vous trouverez que vos petits problèmes de pesticides, de nourriture bio, de gaz à effet de serre, de métaux lourds ou que sais-je encore, sont tellement insignifiants à côté….. Ce film découpé en cinq parties peut se voir gratuitement aux adresses suivantes:
http://www.dailymotion.com/video/x6xbsg_la-bataille-de-tchernobyl-15_news
puis http://www.dailymotion.com/video/x6xbys_la-bataille-de-tchernobyl-2-5_news
puis http://www.dailymotion.com/video/x6xc90_la-bataille-de-tchernobil-3-5_news
puis http://www.dailymotion.com/video/x6xci0_la-bataille-de-tchernobyl-4-5_news
puis http://video.planet.fr/video/iLyROoaft6tZ.html (je n’ai pas trouvé la dernière partie sur dailymotion)
et ensuite regardez ce petit film
http://videos.sortirdunucleaire.org/spip.php?article301
et lisez un peu cela http://www.sortirdunucleaire.org/index.php?menu=actualites&sousmenu=dossiers&soussousmenu=EPRrevelations2&page=index
pour comprendre que nos centrales nucléaires peuvent tout à fait rencontrer les mêmes accidents que celui de Tchernobyl .
Vous comprendrez alors que nos grands scientifiques médiatiques français sont bien le reflet d’une science insensée qui passe à côté des véritables problèmes de l’humanité, quand elle ne tient pas compte de la folie du nucléaire.
De même, nos grands médecins français passent aussi aujourd’hui à côté des véritables solutions pour la santé de la population quand ils oublient de prendre en compte la problématique « dent dévitalisée ».

Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire.

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