Le procès du 19 Juin 2006

June 8, 2006 on 5:05 pm | In Le procès du 19 Juin |

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Le procès du 19 Juin 2006.
( Après ce texte est mis en Mai 2009 un autre texte, “le problème des juges en France”)

Je suis passé en appel de correctionnelle à Aix-En-Provence le 19 Juin 2006, à 14 heures, pour avoir enlevé plusieurs dents dévitalisées à un patient. Le patient (le fameux patient R.B.) était pourtant lui-même demandeur d’une telle intervention, après certes que je l’y ai encouragé comme je le faisais toujours. Après mon intervention, il est rentré chez lui en Suisse malgré mes recommandations car en pleine phase de cicatrisation difficile. Les dentistes qu’il a vu là bas lui ont alors brossé un tableau catastrophique de son état. Évidemment pour des confrères inconscients de la toxicité des dents dévitalisées, enlever de bonnes dents dévitalisées est une mutilation. Les confrères l’ont convaincu par conséquent que tout cela était une arnaque et qu’en plus mes extractions avait été mal réalisées. Je l’avais averti de ce risque mais pas suffisamment visiblement. J’ai souvent rencontré cette attitude dès qu’un confrère conventionnel pouvait donner son avis sur mon travail surtout si j’avais enlevé ses bonnes dents dévitalisées avec les couronnes qu’il avait placées au dessus. Ces même confrères qui n’ont jamais rien guéri à part les dents (car on apprend rien d’autre en Université) alors que mes soit disant mauvaises interventions ont guéris des centaines de personnes de maladies soit disant incurables. Si vous voulez en avoir un petit échantillon vous pouvez toujours visionner les vidéos du site www.sante-dents.com

Mais quand beaucoup de confrères disent tous la même chose à un patient, il n’est pas évident de croire le seul qui dit le contraire. C’est ce qui s’est passé pour ce pauvre patient qui en plus a été soigné ensuite d’une façon assez discutable. En rajoutant la haine qu’il a nourrie en croyant mes confrères, et des croyances farfelues (que j’analyse dans un autre texte du site), il a eu ensuite quelques problèmes de santé. Mais tout cela n’est malheureusement pas de ma faute car des personnes comme lui et qui ont eu notamment le même tableau post opératoire, j’en ai eu plusieurs et tout s’est bien passé car ils m’ont fait confiance jusqu’au bout et m’ont laissé assurer le suivi post opératoire.

Dans cette affaire, le conseil de l’Ordre m’a déjà condamné à un an d’interdiction d’exercer car il estimait que ces bonnes dents dévitalisées n’auraient pas du être extraites. Ma foi, il aurait pu de même me condamner ainsi au moins plusieurs centaines de fois car j’ai fait la même chose à des centaines de patients pendant presque une dizaine d’années, dont 90% ont été pleinement satisfaits, 5% restent circonspects et 5% regrettent c’est vrai car après coup ils ne voient pas de différence sur leur état de santé alors qu’ils voient qu’il leur manque des dents. Il n’y a pourtant à ce jour aucune autre thérapeutique de maladies graves qui donne autant de résultats positifs. Et pourtant même les 5% de mécontents ont sans le savoir évité divers problèmes de santé. Sur ces derniers 5%, moins de 1% m’ont fait un procès ou se sont plaints. Et à chaque fois ils ont été instrumentalisés par mes confrères de l’Ordre pour bien prouver que j’étais un fou dangereux. N’importe quel statisticien honnête diraient que les fous dangereux sont ces dentistes qui oublient de voir que l’immense majorité des patients qui enlèvent leurs dents dévitalisées, guérissent de maladies toutes plus incroyables les unes que les autres. Et que le vrai miracle est que moins de 1% de gens s’en plaignent dans un tel contexte d’opposition et d’apparences trompeuses (pertes de dents). Mais aujourd’hui, c’est une coalition d’ignorants qui fait le plus entendre sa voix et le procès du 19 juin 2006 n’est que l’aboutissement des voix de cette coalition de l’obscurantisme.

Au début, j’ai mis le texte écrit avant l’audience et à la fin le texte après l’audience. Comme on est après l’audience maintenant, le texte à la fin me semble plus intéressant même si j’ai toutefois laissé celui avant l’audience ici.

Texte avant l’audience.

Ce procès en appel fait donc suite à la condamnation dont je fus l’objet en Mars 2005. Vous pouvez ici consulter un article sur cette affaire, paru dans le journal local.
Cette pratique n’étant selon le Conseil de l’Ordre, pas en accord avec les données acquises de la science. En plus, le patient a été soigné gratuitement (il disait ne pas avoir d’argent mais a fait plusieurs implants au tarif suisse ensuite …), est reparti chez lui en Suisse et n’est pas revenu à ses rendez vous, ni ne m’a même téléphoné, donc n’a pas respecté certaines précautions post-opératoires que j’aurais pu lui rappeler, est resté plus d’un mois sans suivi post opératoire, d’où certains petits problèmes passagers et d’autres plus ou moins imaginaires et dont il se trompe de toute façon sur l’origine, et ment pire qu’un arracheur de dents sur moi notamment en racontant que je l’aurais drogué pour lui arracher ses dents sans son consentement, totalement cru dans son délire malgré des preuves du contraire par des experts qui se sentent probablement remis en question dans leur pratique quotidienne vis-à-vis des dents dévitalisées et qui sont loin d’être experts sur les rapports entre les dents dévitalisées, l’os infecté et la santé. Et enfin il dit après coup avoir été manipulé par une secte démente arracheuse de dents. Les mensonges et les délires que racontent ce monsieur sont énormes mais comme il est soutenu par les experts et le Conseil de l’Ordre, condamnation en première instance à Grasse: Un an et demi de prison applicable si non paiement de 70 000 euros (amende et dommages et intérêts) et interdiction à vie d’exercice.
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Je vais vous expliquer le fond de toute cette histoire conflictuelle de dents dévitalisées avec la profession, bien qu’il soit probable que vous l’ayez déjà comprise. C’est un sujet qui contrarie beaucoup certains de mes confrères, je dois l’avouer et alors, ils aiment bien me faire passer pour un fou dangereux. Alors maintenant, je vais vous donner mon analyse personnelle.
Les dentistes sont loin d’être des scientifiques et leur première motivation est d’abord de faire plaisir à leurs patients. Certains dentistes académiciens qui en France ont eu à donner dernièrement à cause de moi, leur avis sur les dents dévitalisées ont voulu avant tout faire plaisir à la majorité des confrères plutôt que d’aborder avec un esprit scientifique des publications scientifiques. Ils n’ont donc pas soutenu l’approche que j’avais des soins dentaires
Maintenant je vais vous raconter en deux mots mon parcours universitaire pour que vous compreniez un peu mieux ce qui m’a amené à cette démarche originale de soins.
J’ai effectué deux années de préparation scientifique après le bac, intégrées à une école d’ingénieur. Deux années qui m’ont donné de solides bases scientifiques. J’étais admis à continuer en école d’ingénieur, mais j’ai préféré me réorienter vers les études médicales. Après la première année de tronc commun médecine dentaire à l’Université de Nice, où cinq à six cents étudiants se présentent, j’ai réussi major primant, c’est-à-dire major de ceux qui ne redoublaient pas. J’ai choisi dentaire alors qu’à l’époque encore, les meilleurs étudiants allaient en médecine tandis que les plus mauvais faisaient dentaire. J’ai préféré faire dentaire surtout après avoir vu la quantité de travail que mon frère devait réaliser en deuxième année de médecine, alors qu’en plus le petit frère avait une bien meilleure mémoire (il me gagnait toujours largement au jeu Mémory par exemple). Pour les études de médecine, il faut avoir une très bonne mémoire je vous assure et ça n’a jamais été mon point fort.
J’avais en plus déjà fait deux années de préparation scientifique, épuisantes qui demandent beaucoup de travail. De plus j’avais une santé moyenne (à cause surtout de mes dents dévitalisées en bouche, et mon alimentation, mais je ne le compris que plus tard), qui me fit m’intéresser aux médecines naturelles car les traitements antibiotiques fréquents m’épuisaient de plus en plus. Bref, je ne me sentais pas de me lancer dans des études de médecine longues et difficiles, où il faut faire en plus des gardes de nuit. Par facilité, j’ai donc choisi dentaire, mais en plus comme j’allais très souvent chez le dentiste et que je m’étais intéressé à diverses réflexologies (plantaires et auriculaire), j’ai eu l’intuition que la clef de ma santé se trouvait peut-être dans ma bouche, sans en savoir plus que ça.
Avec mon frère qui m’a parlé tous les jours pendant ses études de sa passion, la médecine, et des amis étudiants, nous avons organisé en parallèle avec nos études, et pendant cinq années, une école privée pour les étudiants de Nice, pour les préparer efficacement et à peu de frais (à côté d’un cours privé très onéreux), au concours de fin première année de médecine dentaire. Cela s’appelait les « Concours Blancs Major », 400 étudiants y participaient et j’y étais responsable des matières scientifiques. J’ai enseigné en plus en parallèle, la biochimie dans une école privée qui préparait à ce concours de première année, à qui nous faisions d’ailleurs aussi concurrence avec nos Concours Blancs Major.
Peut-être que tout cela m’a aidé à mieux comprendre les travaux scientifiques, notamment du biochimiste Boyd Haley, sur la toxicité des dents dévitalisées.
En fin d’étude, j’ai été primé par le Conseil National de l’Ordre à Paris, à un concours de déontologie médicale organisé au niveau national pour récompenser le sens éthique des étudiants. Dans l’histoire de la fac de Nice, c’était arrivé une seule fois avant moi qu’un étudiant soit primé, à l’époque où j’ai passé ce concours.
Après avoir compris le problème des dents dévitalisées, mon sens éthique, reconnu par l’Ordre national si je puis dire, me dictait d’informer sur ce sujet que j’estimais éminemment important pour la santé publique. J’écrivais des articles, et je faisais tellement de prosélytisme qu’un jour j’ai même distribué des prospectus à mes collègues dentistes. Cela pour tenter de les sensibiliser au sujet, et qu’ils prennent ainsi conscience du sujet. Un sujet que d’autres dentistes connaissaient mais dont ils se gardaient bien de parler ouvertement. J’étais vraiment crédule de penser que c’était une bonne idée d’agir ainsi. J’ai même tenté d’organiser un symposium sur la toxicité des dents dévitalisées. Je l’avais d’ailleurs intitulé Symposium sur la toxicité relative des dents dévitalisées. Cela a déclenché un peu de remous. Un médecin a été convoqué par son ordre et lui a fait des menaces. Un dentiste aussi s’est désisté et a aussi été convoqué pour intimidation par l’Ordre, et un enseignant de l’université n’a pas osé s’y exprimer de peur d’avoir des problèmes. Il en avait déjà un peu eu auparavant.

Bref mon histoire de dents dévitalisées avec la profession dentaire en France, et notamment dans les Alpes Maritimes, c’est un peu l’histoire d’un conflit sur la façon de concevoir la dentisterie. Ce sont deux visions qui s’opposent. L’une veut conserver les dents à tout prix et l’autre veut conserver la santé à tout prix. Je ne prétends d’ailleurs pas qu’une vision soit meilleure qu’une autre car certaines personnes peuvent considérer que de perdre des dents et avoir un dentier (une prothèse partielle amovible) est ce qu’il y a de plus horrible dans la vie, et préfèreront plutôt alors avoir une santé médiocre. Mais la vision que je défends, celle de faire passer la santé avant tout me semble tout aussi respectable. Pas mieux mais aussi respectable et juste plus en accord avec ma sensibilité car moi-même, ai eu à souffrir de problèmes de santé à cause de dents parfaitement dévitalisées et personnellement l’idée du dentier ne me posait aucun problème. Mais le problème est que les partisans de la vision de tout faire pour conserver les dents ont utilisé la science comme paravent à ce que plus tard on appellera très certainement un abus de pouvoir aux conséquences immenses sur la santé publique. Et cela ne me semble pas honnête. Ce n’est pas parce qu’ils parlent tous d’une même voix et sont au Conseil de l’Ordre qu’ils détiennent la vérité. Malheureusement pour eux, la vérité est plus proche de l’investigation scientifique que du vote démocratique ou des hiérarchies de la profession telles que celles qu’on trouve dans le conseil de l’Ordre. Et malheureusement pour moi, l’union fait la force même si c’est peut-être l’union de l’ignorance et du côté obscur de la force. Excusez moi ce langage un peu irrespectueux, mais n’oubliez pas que ces gens que je traite aujourd’hui ainsi, m’ont enlevé du jour au lendemain ma profession (j’ai du abandonner mon cabinet dentaire le jour même où j’ai ouvert le courrier de la décision du Conseil National de l’Ordre, sans même pouvoir finir de soigner mes patients en cours). Après qu’ils m’aient au préalable interdit un an, à 41 ans, j’ai été interdit d’exercer « à vie », au prétexte que ce que je faisais n’était pas en accord avec les données acquises de la science. Autant de jugements entachés d’un manque évident d’impartialité tout autant que des expertises malveillantes qui ne visent en fin de compte qu’à conforter les pratiques des dits experts ou de leurs amis. Le plus grand danger est que des juges à priori impartiaux, ne fassent qu’entériner de telles décisions ordinales ou de telles expertises, en se laissant influencer par des apparences, sans réfléchir par eux-mêmes. Les avocats ont l’habitude de dire que ce sont en fait les experts qui déterminent le jugement et qu’ensuite les juges ne font que suivrent les experts. Des juges influencés aussi par leur propre dentiste en qui ils font toute confiance, et qui avec son assurance pleine de (soi disant) connaissances, leur dira que tout ça ce n’est que des bêtises et que les dents dévitalisées qu’il produit ne font aucun mal à l’organisme. C’est tout à fait ce qui s’est déjà produit en premier instance et pourrait très bien se reproduire en appel. Et cela risque d’autant plus de se produire que vous resterez sans rien faire pour renforcer cette information qui n’est encore en France, qu’au stade embryonnaire. Une information qui bien plus que beaucoup d’autres comme vous le constaterez lorsque vous prendrez connaissance de l’intégralité des informations contenues sur ce site et notamment les vidéos, est cruciale pour la santé de millions de personnes en France. Et ce n’est pas parce que je suis dentiste que je l’affirme car plusieurs médecins l’affirment aussi et non des moindres. Des médecins qui sont connus pour guérir bien des pathologies inguérissables par ailleurs.
Pour excuser encore une fois ma qualification injurieuse d’ignorants, imaginez vous aussi à 41 ans, non seulement être au chômage, sans aucune indemnité de licenciement ni aucune allocation chômage, sans un sou d’économie mais juste diverses dettes (je n’ai pu vendre mon cabinet à la pratique originale dans la précipitation de l’interdiction d’exercer), et qu’en plus on vous empêche de retrouver un emploi, alors que vous redonniez chaque jour la santé à des personnes, en enlevant des dents dévitalisées. Des personnes malades qui avaient essayé de multiples autres choses avant et qu’en plus tous les scientifiques qui se sont penchés sur le sujet vous confirment que votre démarche est éthique. Je suis presque sûr que vous utiliseriez un terme encore plus injurieux qu’ « ignorants». Mais je veux bien aussi assumer un terme pire pour moi-même car il fallait vraiment aussi que je sois d’une crédulité incroyable pour distribuer des prospectus sur la toxicité des dents dévitalisées à mes collègues, en pensant qu’ils pourraient ainsi remettre en question leur pratique. Lorsqu’un jour, un patient manipulé par des dentistes conventionnels est venu se plaindre, il est devenu l’outil idéal pour me détruire professionnellement. Mes collègues de l’Ordre ont pu alors me faire passer pour un fou qui mutilait les patients en désaccord avec la science, en leur enlevant de bonnes dents, pour soi disant m’enrichir en faisant ensuite des prothèses. Évidemment les dizaines de patients guéris de choses et d’autres en enlevant simplement des dents dévitalisées apparemment saines, ne les intéressaient nullement.
Il était donc presque normal qu’à mon tour et par ce texte, je vous démontre aujourd’hui que ces mêmes personnes, qui prétendent aujourd’hui qu’en soignant ainsi, je ne suis pas en accord avec la science, ne sont en rien de brillants esprits scientifiques mais en fait les défenseurs d’une vision de la dentisterie et d’une vision seulement qui bien que respectable elle aussi ne peut prétendre être la seule vision à avoir le droit d’exister. Ce serait alors une forme d’intolérance aux retentissements importants pour la santé publique.
J’avais bien demandé au Conseil de l’Ordre, qu’une véritable commission d’enquête indépendante du milieu dentaire, composée de vrais scientifiques, se penche sur ce sujet et étudie les publications scientifiques sur les dents dévitalisées. Mais ils s’en sont bien gardés évidemment, car ils auraient eu trop peur que des conclusions dérangeantes puissent en émerger.
En tout cas, voilà comment quelques personnes d’une institution qui a sa raison d’être par ailleurs, le Conseil de l’Ordre, ont essayé en France, de tuer une idée pleine d’espoir pour la santé de millions de personnes, dans le pays européen qui est aussi celui qui possède le plus de dents dévitalisées, le moins de dentistes qui enlèvent des dents dévitalisées, mais aussi le plus de consommation de médicaments, le plus de malades et le plus de cancers comme par hasard, et où la couronne sur dent dévitalisée est l’acte le plus rentable remboursé par la sécurité sociale, les mutuelles et la CMU.
Cette histoire de dents dévitalisées dépasse complètement la profession dentaire, notamment en France. Et par la teneur scientifique des données qui prouvent la toxicité biochimique et microbiologique des dents dévitalisées sur le reste de l’organisme, et par le caractère évidemment culpabilisant de toutes ces données pour des dentistes qui ont dévitalisé des dents toute leur vie et ont surtout gagné de l’argent en mettant ensuite de couronnes dessus. Voire même, en dévitalisant des dents parfaitement saines pour y placer plus facilement des bridges dessus, ce qui est une pratique inconsciente encore courante dans la profession. Même si, j’aurais donc des raisons d’en vouloir à certains collègues, je sais aussi que je ne peux leur en vouloir. En effet je comprends que si ce sont très certainement d’honnêtes personnes sincères, ils sont aussi scientifiquement parlant, et médicalement parlant, des gens dépassés par toute cette histoire de dents dévitalisées. Une histoire qui les propulse sans même qu’ils s’en rendent compte, au cœur d’une affaire médicale d’empoisonnement gigantesque pour la santé de millions de personnes. Même si je suis d’accord pour reconnaître évidemment que la dent dévitalisée fait plaisir aux patients et leur rend aussi des services en leur évitant l’extraction, la dent dévitalisée est très probablement une des principales causes de maladies graves et de cancer, au moins aussi importante que les causes psychologiques, la pollution, l’amiante, les pesticides, les erreurs alimentaires, le tabac et l’alcool. Moins grave toutefois que la pollution radioactive due à l’explosion d’une centrale nucléaire, qui persiste pendant des millions d’années. Mais qu’y a-t-il de plus grave pour la santé que la radioactivité, même si on l’utilise paradoxalement pour traiter les cancers…
La population, un jour, sera à même de comprendre facilement tout cela car la dent dévitalisée n’est pas juste une petite cause de maladies comme il en existe de nombreuses. Elle intervient souvent comme cofacteur déterminant dans de toutes les pathologies de notre civilisation. Par conséquent, de plus en plus de médecins prendront aussi conscience que les dentistes leur seront indispensables pour les aider à traiter les maladies graves en éliminant les sources d’empoisonnement que d’autres dentistes auront mis en bouche pour garder envers et contre tout les dents et pour faire plaisir à une population peut-être inconsciente des conséquences de tels actes.
Une nouvelle branche de la dentisterie (la dentisterie holistique pourrait-on l’appeler) se développera alors chez les dentistes, un peu comme est apparue la parodontologie (le traitement des maladies dues au tartre), il y a déjà quelques années. Mais aussi incroyable que cela puisse paraître, cette branche sera en fait probablement, au 21ème siècle, la spécialité médicale qui possèdera le plus la capacité de guérir les patients atteints d’affections médicales (et non dentaires), graves lorsque les autres traitements auront échoués. Et ce n’est pas moi qui l’affirme mais des médecins qui l’ont constaté sur des milliers de patients. En effet, lorsque j’ai discuté avec le Dr Rau en Suisse, dans la clinique Paracelsus, chez qui je suis allé passé une semaine pour apprendre leurs techniques particulières, voici ce qu’il m’a avoué. « Dans les pathologies graves, si on ne fait pas enlever les dents dévitalisées, toutes nos autres techniques médicales sont négligeables et cela dans tous les domaines ». La clinique Paracelsus est très orientée médecines naturelles et est connue internationalement (dans un milieu assez aisé notamment car les prestations sont assez onéreuses) pour guérir des cas inguérissables selon la médecine conventionnelle. La clinique Paracelse a vu passer des milliers de patients. Cela confirmait ce que me disait le Dr J.G.Thomas de Grasse qui s’intéressait aussi au même sujet, pour lequel les patients venaient de partout en France, pour guérir des cas dits inguérissables, tout comme feu le Dr Davo Koubi, chirurgien dentiste, le faisait jadis à lui tout seul dans son cabinet dentaire en n’intervenant que sur les dents et en obtenant des résultats surprenants sur des pathologies qui avaient résistées aux traitements conventionnels.

Texte écrit après l’audience.

Récapitulatifs des audiences dans l’affaire M. R.B. contre le Dr Bruno Darmon.

Le premier procès à Grasse avait été somme toute assez classique. Le juge se moquait de moi. Pour qui me prenais-je donc ? Un Gallilé des temps modernes qui croit avoir raison sur toute l’institution. Et puis si le Conseil de l’Ordre m’avait condamné et qu’un expert avait confirmé que cette théorie très personnelle au Dr Darmon n’était en rien scientifique, je n’allais pas moi et mon petit diplôme le convaincre du contraire et les témoignages de patients guéris venus à la barre n’y changèrent rien, ni les dossiers qui confirmaient mes dires. Ma foi, il avait une certaine logique même si il était évident qu’il ne voulait pas voir que le Conseil de l’Ordre avait beaucoup de chance de ne pas être impartial dans cette histoire.

Dans la seconde audience du 19 juin, il m’a semblé ce fut très différent comme vous allez le voir en lisant mon histoire.

J’avais un peu mieux préparé ma défense que la première fois. Je n’avais informé aucun patient de venir me soutenir, leurs attestations suffisaient. Inutile de trop en faire car le temps est court parait-il en appel de correctionnel.

Quatre professionnels étaient là.

Pour l’appel, il fallait que je me décarcasse un peu plus, notamment en faisant venir témoigner des personnes un peu importantes dans le domaine scientifique et dentaire.

C’est ce que je fis

-Un prof. de fac de science, un physicien, qui s’était penché sur le sujet en scientifique et avait réalisé un petit dossier avec des publications scientifiques prouvant qu’aucune dent dévitalisée ne peut être considérée comme saine et donc qu’il n’est pas fou de proposer ou d’accepter de les enlever. Il comparait la dent dévitalisée à une petite pollution radioactive. Il témoignait qu’il avait aussi fait un site internet pour diffuser cette idée qu’un directeur de Recherche Honoraire au CNRS, biologiste, soutenait aussi d’ailleurs.

-Un dentiste qui avait vu le patient après mes extractions et qui l’avait trouvé dans un état normal de patient ayant subi des extractions multiples.

-Un ancien spécialiste d’endodontie qui avait fait mille kilomètres pour venir témoigner, le Dr Crussol, qui s’était penché sur les études scientifiques mondiales sur le sujet et était bien au courant de tout ce courant qui aux Etats-Unis prône l’extraction systématique des dents dévitalisées. Il informa la Cour, des études médicales réalisées sur le sujet jadis à la clinique Mayo aux Etats Unis. La seule grande étude médicale au monde sur le sujet de la toxicité des dents dévitalisées, réalisée de façon très scientifique en plus. Le Dr Crussol avait en plus donné des cours sur ce sujet à des présidents de Conseil de l’Ordre et avait en conclusion qu’ils ne voulaient rien savoir sur ce sujet qui remettait trop en question leur exercice.

-Il y avait enfin un expert professionnel auprès de la Cour d’Appel, le Dr P., dont la profession était justement d’effectuer des expertises. Il démontra bien que certes M. R.B. avait eu toute une ribambelle de conséquences fâcheuses après les interventions mais que cela ne pouvait m’être imputé. M. R.B. s’étant en effet non seulement soustrait aux soins post opératoire, et avait même selon le dentiste qu’il avait consulté juste après moi, refusé tout traitement antibiotique. Pendant un mois il avait laissé se développer une infection avant de commencer à être vraiment pris en charge et on avait fermé sa petite communication avec un simple lambeau de gencive, mais un an et demi plus tard.
Bref tout ce qui lui était arrivé ensuite n’était pas la faute du Dr Darmon. Son attestation est mise à la fin de ce texte en annexe.

En face de moi, il y avait une procureur qui semblait très tolérante. Selon elle ma foi, si les patients sont d’accord pour faire enlever leurs dents dévitalisées, pourquoi pas ? Selon elle, « si les gens ont un cancer et veulent se soigner par les plantes et mourir parce qu’ils refusent leur chimiothérapie, c’est leur droit », personne n’a à être condamnés ici. C’était déjà une marque de tolérance vis à vis de la phytothérapie à la limite. A la limite aussi, dans sa logique si les gens voulaient même se faire enlever toutes leurs dents vivantes en parfait état car ils préféraient un dentier, pourquoi pas. Rien n’était condamnable ici dans la mesure où tout le monde était d’accord et que ça se passait bien. C’était une grande tolérante en quelque sorte. Personnellement si un patient était venu me voir pour enlever des dents en parfait état que j’estimais ne pas devoir enlever, je me serai senti coupable de le faire et j’aurais refusé, même si c’est mon patient qui me le demandait. Mais ce n’est que mon avis ma foi. Le seul petit problème pour elle, était ici que ça ne s’était pas bien passé ensuite. Donc le fait d’enlever des dents que l’institution considérait bonne ne lui posait à elle à la limite pas de problème. C’était très étonnant car c’est sur ce point que l’Ordre principalement m’avait condamné et c’est bien pour cela qu’on considérait que j’avais en quelque sorte mutilé mon patient. C’est d’ailleurs uniquement pour cela que l’expert, le Prof. B., avait estimé que Mme L., la copine de M R.B. avait aussi été mutilée alors qu’elle n’avait eu aucun problème post opératoire. Mais pour la procureur ce n’était pas vraiment le problème. Le problème était tout ce qui était arrivé ensuite au patient. Et visiblement nous ne sommes pas arrivés à lui faire accepter qu’il y avait certes une relation entre mon intervention et ce qu’il lui était arrivé ensuite mais que cela n’était pas de ma faute mais plutôt à la négligence du patient après l’intervention. Il y a une différence entre “après que” et “à cause de “. Quant-à l’éventualité d’aborder des notions assez subtiles comme “il a vécu sa croyance” ou d’autres choses tout aussi subtiles, il n’était même pas question de les aborder ici. S’en eut été trop.

Quant au président du tribunal, une brave dame d’un certain age, qui avait l’air vraiment gentille d’ailleurs. Elle aussi le problème n’était pas vraiment d’enlever des dents dévitalisées ou non. Le problème semblait surtout d’en avoir enlevé sept d’un coup et à une heure tardive et aussi comme la procureur, qu’ensuite le patient ait eu divers problèmes. Il lui paraissait en plus totalement farfelu que d’enlever de telle dent puisse soigner quoique ce soit et il lui semblait dès le début très raisonnable que le conseil de l’Ordre m’ait interdit à vie pour faire croire cela aux patients. Je lui demandais d’ailleurs si elle voulait entendre notre défense où si j’étais déjà condamné dès le début. Puis sans lui laisser le temps de répondre, on ne sait jamais, je lui suggérais d’écouter les divers intervenants avant de me juger.

Afin de bien montrer le comportement partial du Conseil de l’Ordre à mon égard, je lui contais qu’il m’avait jadis condamné à trois ans d’interdiction d’exercer juste pour avoir envoyé un courrier à un psychiatre pour l’informer que j’avais observé que des patients n’avaient plus envie de se suicider après avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. « Alors comme ça vous enlevez des dents et hop, ils ne sont plus dépressifs » (sous entendu à qui voulez vous faire croire cela, Monsieur le Charlatan).
Actuellement un professeur de psychologie assez connu et qui a écrit un best seller, a beaucoup de succès en expliquant qu’il améliore des dépressions avec une technique qui consiste à faire fixer par le patient un objet qu’il oscille de droite à gauche. Une technique qu’il appelle l’EDMR je crois. Heureusement pour lui, qu’il ne doit pas passer entre les mains de ma brave dame juge.
Au lieu de trouver le Conseil de l’Ordre un peu sévère en m’interdisant trois ans pour un simple courrier, cette brave dame trouva dès le début que le Conseil de l’Ordre protégeait ainsi très bien la population d’un charlatan qui prétendait enlever des dépressions suicidaires en enlevant simplement des dents dévitalisées. La simple idée que ce put être vrai ne sembla même pas pouvoir l’effleurer. Je compris dès le début que la tâche serait rude voire impossible.
Et en plus quelqu’un qui enlève sept dent à la fois, là elle m’aurait condamné tout de suite à la perpétuité d’interdiction d’exercer. En fait le Conseil de l’Ordre avait somme toute été assez indulgent en ne me condamnant qu’à un an d’interdiction d’exercer.

Car c’était là tout le problème pour elle. Elle s’imaginait qu’enlever une dent c’était déjà dur à supporter, mais sept à la fois, ma bonne dame, voyez vous ça ? Et en plus sans assistante et à une heure tardive, comme le précisait bien l’expert pour qui cela ne semblait pas conforme aux bonnes pratiques. Pour elle c’était surtout cela le problème. J’aurais enlevé dix bonnes dents dévitalisées en dix fois, en matinée, cela n’aurait posé aucun problème pour cette brave dame juge, je vous assure. Mais sept en même temps à une heure tardive, alors là c’était condamnable.

On lui expliqua que les extractions multiples ne sont certes pas une pratique très courante dans les cabinets dentaires mais existent (des attestations en attestait d’ailleurs). Mais rien ne sembla pouvoir influer sur son opinion sur le sujet et la simple idée de se faire enlever autant de dents lui était insupportable. L’expert lui-même avait confirmé que de faire cela sans assistante ne relevait pas des règles de l’art. Plus de la moitié des praticiens français travaillent sans assistante donc s’ils ont des extractions multiples à faire, et qu’ils le font, ils sont donc condamnables selon cette brave dame.

Bref, dans cette audience et on oubliait que tout le problème était ou non:
1/ Est-il condamnable d’enlever des dents dévitalisées apparemment bonnes à un patient qui le demande.
2/ Est-il condamnable d’assumer des conséquences post opératoires si le patient se soustrait aux soins alors qu’après les soins il était dans l’état normal d’un patient ayant subi des extractions multiples.
3/ Est-il condamnable de faire des communications bucco-sinusales.

La réponse à la question 3 était bien sûr non, tous les spécialistes qui enlèvent des dents soudées à l’os savent que cela peut arriver et se gère très bien.
La réponse à la question 2 avait été agglomérée dans l’expertise pour dire que j’étais condamnable.

Selon le juge, l’expert nommé par le tribunal, ne pouvait qu’avoir raison. Même s’il ne m’avait jamais entendu ni convoqué, et avait pris pour argent content tout les dire du plaignant même les plus rocambolesques. Le plaignant qui nous ré-expliqua que je l’avais drogué, que j’avais trahi le serment d’Hippocrate et d’autres choses sans aucun rapport avec le sujet.
Le plaignant R.B. nous fit un numéro qui relèva plus de l’art dramatique que du témoignage de faits. Disant qu’il avait fallu prendre de l’os de son os pariètal du crâne pour reconstituer le bon os que j’avais enlevé comme un boucher (en fait, ses greffes d’os avaient uniquement été réalisées pour faire des implants, ce qui se fait souvent en implantologie, mais s’il avait réalisé comme prévu des prothèses amovibles avec des dents en céramique qui nécessitent un peu plus de hauteur que les dents en résine, il n’y aurait eu aucun besoin de greffes d’os, la communication bucco sinusale ayant été fermée par simple lambeau de gencive). Et les dames juges et procureurs qui l’écoutaient était sous son charme et le plaignaient car il parait qu’il ne pouvait plus chanter car ses cordes vocales s’étaient infectées.
Il était effectivement à plaindre mais le problème était que ce n’était pas à cause de moi mais de tout un ensemble de circonstances auxquelles j’étais étranger (sa haine, ses choix et le suivi post opératoire très discutable) et que c’était le sujet des débats puisque c’était mon procès.

Il demandait un million 600 milles euros de dommages et intérêts car il fallait rembourser les implants faits au tarifs suisse plus tout le manque à gagner professionnel car bien sûr depuis il ne pouvait plus travailler. Au début de l’histoire il nous avait raconté qu’il n’avait pu prendre ses antibiotiques car il n’avait pas assez d’argent pour les payer car en Suisse ce n’était pas remboursé puis ensuite que sa carrière florissante avait été brisé à cause de moi. C’était donc vraiment du n’importe quoi, mais plus c’était gros et plus cela avait l’air de marcher sur les dames juges et procureur. Mon avocat a expliqué ensuite que tout cela était un délire du plaignant mais ne réussit pas à convaincre le tribunal tombé sous le charme du plaignant qui parlait tellement bien même si ce qu’il disait était du n’importe quoi et était en contradiction totale avec les faits.
Le procureur reconduisit les réquisitions de la première condamnation disant qu’il n’y avait aucun doute de causalité entre mon intervention et les problèmes ultérieurs que ce pauvre Monsieur avait subi et le président du tribunal remis sa décision au 9 Octobre. Comme je n’avais jamais eu de condamnation auparavant et que les dames juges et procureur avaient à l’évidence du cœur, elles n’évoquèrent pas le fait de donner de la prison ferme, mais ma culpabilité ne faisait aucun doute pour elles m’a-t-il semblé. Le Conseil de l’Ordre et l’expert me condamnait d’ailleurs, ce qui était bien la preuve de toute façon que j’étais coupable.

Si la Cour m’avait jugé dans l’instant, je n’ai aucun doute qu’elle m’aurait condamné à être interdit d’exercer et aussi à un an et demi de prison avec sursis. Des années à faire des études, à approfondir mes connaissances, à guérir des centaines de personnes inguérissables et hop en un claquement de doigt, à nouveau interdit d’exercer parce qu’un comédien nous fait un numéro en disant des bêtises auxquelles il croit d’ailleurs sincèrement puisqu’on les lui a soufflé dans l’oreille et qu’un expert officiel le croit totalement, surtout que ça l’arrange bien car je remets en question un dogme.

Pour la procureur pourtant, le problème était non pas que j’avais enlevé des dents dévitalisées qui n’aurait pas du l’être mais que j’en avais enlevé sept d’un coup à une heure tardive et qu’ensuite le patient avait eu tant de problèmes.

Que voulez vous que je puisse répondre. Des gens venait me voir de partout et à chaque fois je leur enlevais de très nombreuses dents très rapidement pour leur éviter de multiples aller retour et concentrer les actes pour pouvoir plus rapidement effectuer des prothèses comme cela se fait souvent. C’était d’ailleurs aussi ainsi pour ce Monsieur Suisse. Mais pour sa bouche, la juge ne pouvait concevoir qu’on puisse le faire.

Et ceux qui venaient dire le contraire ne pouvaient être que des amis, donc ils ne pouvait être impartiaux, fussent-ils prof de fac de sciences, expert professionnel auprès de la Cour d’Appel, spécialiste d’endondontie ayant donné des cours d’endodontie à divers présidents du Conseil de l’Ordre et dentiste qui avait vu le plaignant quelques jours après et attestait qu’il se portait très bien à l’époque et ne se plaignait pas de ce qu’il avait subi.

L’expert de l’affaire nommé par le tribunal, lui était impartial même s’il ne m’avait jamais entendu et avait cru comme une vérité tout ce que lui avait raconté M R.B. et que l’avocat prouvait facilement que ce fut des délires que rien ne prouvait et même que certains éléments pouvaient être prouvés comme étant des mensonges flagrants. Mais rien n’y faisait
Le plaignant avait charmé la juge et la procureur.

Contre la méchanceté, on peut faire et le pire des méchants peut parfois changer quand il comprend mais là, que voulez vous faire. La présidente du tribunal n’était même pas méchante, tout comme la dame procureur d’ailleurs, c’était même à l’évidence deux braves dames mais deux braves dames qui en plus avaient du coeur car comme je n’avais jamais eu de condamnation, même si j’avais fait selon elle quelque chose d’assez condamnable, elle ne voulaient que me mettre du sursis. Mais voilà selon moi, j’avais l’impression qu’elles n’avaient pas les qualités intellectuelles requises pour siéger dans la cour d’un tribunal, d’appel en plus.
Et c’est là tout le problème de la justice française. Il ne sert à rien de vouloir réformer les institutions tant qu’on ne changera pas le recrutement des juges et des procureurs. Des gens qui sortent d’une petite école, celle de la magistrature, et à qui on remet des pouvoirs d’une importance phénoménale pour notre société alors que leurs capacités intellectuelles à l’évidence ne sont pas à la hauteur d’une telle responsabilité. L’exercice du jugement n’est pas une fonction administrative comme une autre. D’ailleurs dans la bible, il est inscrit « tu ne jugeras pas ». Il y a probablement une raison à cela car le jugement peut plus que beaucoup de chose détruire une société. Et pourtant notre société se comporte avec le jugement comme si c’était une action administrative comme une autre en la remettant, non pas aux personnes qui ont prouvé des capacités intellectuelles bien supérieures à la moyenne comme par exemple, les personnes sortant des grandes écoles, les personnes élues par le peuple (ce qui se fait aux Etats-Unis par exemple), les personnes qui ont prouvé dans leur vie qu’elles avaient eu un comportement exemplaire, notamment dans la justice comme cela se fait en Angleterre. Ce sont juste des exemples qui me viennent comme ça. Eh bien non, notre société française remet le pouvoir suprême de juger à des personnes qui ont réussi un petit concours administratif somme toute assez banal, pas plus côté qu’un IUT ou qu’un BTS et assez mal payé de telle sorte qu’il n’y a pas foule d’ailleurs pour le tenter et que n’importe quel bachelier ou presque peu réussir.

Et après ça n’allait pas chercher plus loin pourquoi des affaires d’Outreau vous en trouverez à la pelle en France. Et cela détruit notre société plus que beaucoup d’autres choses. Et c’est là tout le problème car leurs jugements reviennent à de la loterie tintée d’émotionnel la plupart du temps. Comment voulez vous donc que des choses éminemment graves et déterminantes pour l’avenir de notre société soient jugées par de telles personnes. Les prisons sont pleines d’innocents, j’en suis maintenant convaincu. Et je comprends aussi pourquoi c’est en France que les médecines alternatives sont le plus persécutées. Les juges français suivent les recommandations d’experts d’une médecine qui se délecte à tuer la concurrence notamment la naturopathie avec une facilité déconcertante, en la faisant passer pour du charlatanisme auprès de juges qui n’ont pas les capacités intellectuelles pour comprendre que tout cela revient plus à une guerre de chapelle qu’autre chose. Ils sont ainsi manipulés car ils n’arrivent pas à avoir une vision globale sur le sujet. Et on ne peut les en blâmer car le sujet est très complexe et il est si facile de faire passer qui on veut pour un fou dangereux quand on étale des titres universitaires auprès de juges qui ne peuvent qu’en être impressionnés.

Et ce système, c’est notre société qui l’a mis en place elle même. Il a des conséquences qu’on aurait du mal à imaginer. Pour rester dans le domaine médical par exemple, la compagnie d’assurance des médecins ne peut plus assurer certaines spécialités car les juges donnent des indemnités faramineuses dès qu’un patient se plaint dans certains domaines. La mort ou la quasi mort de la médecine naturelle en France en est une des conséquences aussi. Mais je sais que peu de personnes en ont conscience car ils croient que la médecine naturelle ne se résume qu’à l’ostéopathie et l’homéopathie.

Ce genre de folie de justice rend ensuite la société incapable de corriger éventuellement d’autres folies qui pourraient passer en face des juridictions. Des folies que le jugement aurait alors éventuellement pu corriger en dernier recours, s’il avait été remis à des personnes qui auraient eu à l’évidence plus de bon sens que le citoyen de base. Et ça fait des affaires d’Outreau à la pelle.

Ici, dans mon cas, une information dont dépend la santé de millions de personnes va peut-être encore être condamnée en me condamnant à la prison et en m’empêchant d’exercer en France, tout simplement parce qu’un juge trouve émotionnellement trop insupportable de se faire enlever sept dent à la fois et qu’un procureur n’arrive pas à comprendre que ce qui est arrivé ensuite au patient, n’était pas de ma faute puisqu’il s’était soustrait à tout contrôle post opératoire pendant une certaine période et n’a nourri que de la haine à mon égard, alimenté par toute une série de manipulations de mes confrères de dentisterie conventionnelle que le plaignant a cru sans aucun discernement. Et le tout mis en plus à sa sauce délirante.

Il n’y a plus qu’à en rire…. Et c’est donc soit l’assurance du corps médical qui va enrichir ce Monsieur, soit les contribuables français à travers un système d’indemnisation des victimes mis en place par notre état. Et cela même pour de riches suisses qui ont les moyens de faire huit implants au tarif suisse, ce que seule une infime quantité de personnes en France auraient eu les moyens de faire. Un système mis en place quand les condamnés comme moi sont insolvables. Et je parie à cinq contre un que c’est ce qui va arriver s’il n’y a pas un miracle. Mais comme je crois aux miracles, tout est possible…

Et vous chers confrères de l’assurance médicale ou chers contribuable, selon le choix du juge, en plus vous allez payer d’une certaine façon, le riche Monsieur Suisse qui aura réussi à se faire passer pour la victime d’une secte démente des arracheurs de dents, comme il le dit sur son site internet. Car moi de toutes façons, je n’ai pas les moyens de le payer.

Dans la convention internationale des droits de l’homme il est inscrit que chacun a le droit d’être jugé par un tribunal impartial. Mon tribunal était impartial ici cela ne fait aucun doute car ces juges contrairement à ceux du Conseil de l’ordre n’avaient pas dévitalisé des dents saines toute leur vie pour faire des bridges. Mais il faudrait sans aucun doute rajouter en plus à la Convention des droits de l’homme : Par un jury qui aura en plus fait la preuve d’une façon ou d’une autre qu’il avait un peu plus de bon sens et de capacités intellectuelles que le citoyen moyen qui arrive à réussir un petit concours administratif de seconde catégorie, ce qui est le cas de tous nos juges en France. Et alors on évitera bien des drames dans notre société.

Mais bon en attendant, on fera avec.
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Annexe : L’expertise d’un expert qui a daigné m’entendre avant de rendre ses conclusions (contrairement à l’expert sur lequel s’est basé toute la procédure correctionnelle) et que j’ai certes payé pour cela. J’ai supprimé les noms des experts diligentés par le tribunal ainsi que celui-ci, car il ne s’agit pas de blâmer ici qui que ce soit ni de faire de pressions sur qui que ce soit parce qu’il m’aurait soutenu. Je précise que quand cet expert relate des faits ils peuvent être prouvés.

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Docteur P.
CES National de Médecine Légale
DU de Réparation du Dommage Corporel
DU de Traumatologie Sportive
Expert près la Cour d’Appel

Je soussigné, Docteur P. , médecin légiste, expert près la Cour d’Appel, certifie avoir pris connaissance, à la demande de Monsieur DARMON Bruno, de différents documents médicaux dont 2 rapports d’expertise réalisés le 09/02/2001 par le Professeur B. et le 08/12/2005 par le Dr A..

- La lecture de ces différents documents amène plusieurs commentaires -

1°- Concernant le consentement éclairé du patient :

- Avant les extractions dentaires multiples du 19/03/1997, le patient avait discuté à plusieurs reprises avec le Dr DARMON et l’avait consulté le 17/03/1997 pour mise en place d’un pansement provisoire.
- Le Dr DARMON n’avait pas manqué de lui faire part de ses théories et il apparaît évident que lors de la séance du 19/03/1997, il avait donné son accord pour les extractions multiples de dents dévitalisées.
- Le 17/03/1997, le Dr DARMON a réalisé des empreintes ; c’était bien dans le but de mettre en place des prothèses amovibles.
- La notion d’état semi comateux qui aurait altéré ses facultés de décision apparaît peu crédible compte tenu de l’utilisation d’une anesthésie locale ; il était toujours possible d’arrêter les extractions.
- La confiance que le patient portait au Dr DARMON semblait peu altérée puisqu’il l’a reconsulté pour une nouvelle extraction le 28/03/1997 (ce qui n’apparaît pas dans le rapport du Dr A).

2°- Concernant l’absence de suivi post-opératoire :

Le patient a reconsulté sans difficulté le Dr DARMON le 28/03/1997, soit 9 jours après les extractions multiples. D’autre part, il a été averti de l’existence de communications bucco-sinusiennes qui auraient été prises en charge s’il n’avait pas regagné la SUISSE rapidement.

2° - Concernant les complications :

- Il est fait état de complications hémorragiques et de « saignements majeurs ».
Nous noterons que le patient n’a pas fait appel à un médecin en urgence et n’a pas été hospitalisé. A notre connaissance, il n’a pas été prescrit de traitement ni de bilan de l’hémorragie.
- Concernant les complications infectieuses de la communication bucco-sinusienne, il est noté dans le certificat du Dr F. du 22/03/1997, que le patient a refusé un traitement antibiotique.
Un scanner réalisé le 16/04/1997, soit 3 semaines après les extractions montrait une polysinusiste surtout maxillaire. Cette constatation devait requérir dans un premier temps une antibiothérapie adaptée puis, en fonction de l’évolution, une prise en charge chirurgicale de la sinusite et une fermeture de la communication bucco-sinusienne.
Cette intervention n’a eu lieu que le 03/07/1998 soit 15 mois après les extractions. C’est ce retard de prise en charge des complications qui est responsable des troubles phoniatriques allégués mais également des manifestations anxio-dépressives liées à la chronicisation des problèmes infectieux.

En conclusion :

- Il n’est pas possible de retenir l’absence de consentement éclairé. Il apparaît bien que le patient était en accord avec la théorie du Dr DARMON qui consistait à pratiquer l’extraction de toutes les dents dévitalisées.

- Il n’est pas possible de retenir l’absence de suivi post opératoire puisque le patient avait été averti du risque de complications sinusiennes et qu’il a quitté rapidement, après les soins, la région du chirurgien-dentiste.

- Il n’est pas possible d’imputer au Dr DARMON les conséquences des complications infectieuses sinusiennes qui auraient pu être traitées rapidement en évitant les séquelles liées à leur longue évolution de plus d’un an.

Certificat remis à la demande de Monsieur DARMON pour servir et valoir ce que de droit.

Quelque part, le 13/06/2006

Docteur P.

Procès du 19 juin, suite et fin.

La décision de la Cour d’appel d’Aix est tombée le lundi 9 Octobre 2006. Ma condamnation est de cinq années d’interdiction d’exercice de la Chirurgie dentaire. je suis donc condamné à vie plus cinq ans… à être interdit d’exercer car j’avais déjà été condamné à vie par le conseil de l’ordre. Mon plaignant doit percevoir environ 120 000 euros. Je ne me suis pas pourvu en cassation, c’est trop cher, pour pouvoir éventuellement aller à la Cour Européenne des droits de l’homme et faire condamner la France pour opprimer une thérapeutique qui est pratiquée ailleurs en Europe , en Allemagne, en Suisse allemande et notamment dans une clinique de Suisse allemande, la clinique Paracelse, ce que le Conseil de l’Ordre savait très bien alors qu’il m’a condamné et qualifiait pourtant mes actes de gravement contraire à l’honneur et la probité de la profession, le fait de faire exactement la même chose. Le fait d’affirmer des absurdités a visiblement du poids au pays du manque de discernement des juges.

Les mensonges évidents du plaignant (soi disant non consentant (soit disant drogué) malgré des témoignages du contraire, ayant soi disant fait une hémorragie (sans aucune preuve) , les manques de respect des soins post-opératoires, le fait évident qu’il était consentant et très informé, et que la théorie était respectable, n’ont pas suffi a démontré le caractère hystérique de cette plainte.
Pourtant cela avait été attesté à la barre par :
-Un dentiste qui avait reçu le patient quelques jours après mon intervention et le trouvait alors dans l’état normal d’un patient ayant subi des extractions multiples.
-Le fait qu’il était revenu se faire extraire encore une dent après les premières extractions où soit disant il n’était pas consentant.
-Un éminent dentiste (ex enseignant), le Dr Gilbert Crussol, au courant des travaux internationaux sur le sujet de la toxicité des dents dévitalisées, même sans symptomatologie, venu exprès de Paris, et de l’absence de caractère fautif quant à la création d’une communication bucco sinusale ou d’ extractions multiples.
-un prof de fac de science venu attester du caractère scientifique, de la théorie toxique des dents dévitalisées.
-un expert officiel auprès de la Cour d’appel faisant bien la démonstration de mon absence de responsabilité dans toutes les suites dommageables qui ont eu lieu.
- les dizaines de témoignages écrits de guérisons après élimination de dents dévitalisées présentées par mon avocat.

Eh bien tout cela n’a pas réussi à convaincre Madame la juge qui s’en est tenu au compte rendu de l’expert désigné par la justice qui ne m’a jamais vu ni entendu et qui a considéré que la théorie du rapport entre la santé et des dents dévitalisées apparemment saines était opsolète et donc que tous les désagréments survenus ensuite au patient m’étaient imputables. Le même expert qui avait d’ailleurs aussi rendu un rapport qui m’enfonçait pour l’amie du plaignant qui sur ses conseils s’était aussi plainte après coup, tandis qu’elle n’avait eu aucun ou quasiment aucun désagrément post opératoires. Preuve en est que l’élément essentiel du jugement négatif de l’expert à mon encontre, résultait dans le fait d’enlever des dents dévitalisées en vue d’améliorer la santé.

Ce jugement ne m’étonne même pas car c’est ce que j’avais ressenti dès le début de l’audience. Il était inconcevable pour la juge de se faire enlever sept dents à la fois. Ne serait-ce que pour ça elle me condamnait déjà et tout le reste devenait négligeable pour elle. Mais les extractions multiples ne sont en rien une faute Madame Le juge, nous vous l’avons dit et redit et fait dire par un dentiste même. Mon intuition s’est confirmé par la suite quand le plaignant a usé de tout son charme dans une plaidoirie totalement délirante dont il est un expert et qui fonctionne toujours très bien sur des personnes qui n’ont que très peu de discernement, mais qui ne marcherait jamais sur des personnes qui ont un peu de bon sens.

Je dois avouer que dans le rôle de victime, c’est un champion. Un champion qui n’en est d’ailleurs pas à son premier coup puisque c’est un premier procès il y a dix ans l’a déjà enrichi. C’est ce qui lui avait permis de payer d’ailleurs ses onéreux implants. La juge a donc alloué une provision de 120 000 euros à ce Monsieur, professionnel des procédures judiciaires. Des milliers de personnes ont effectué la même démarche de faire enlever leurs dents dévitalisées, certains ont même eu des communications bucco sinusales et les ont géré en accord avec leur dentiste car ce n’est en rien une faute professionnelles, sont honnêtes et ont eu à peine de quoi se payer un dentier. Et ce Monsieur qui a eu de quoi se payer d’onéreux implants au tarif suisse, grâce à un premier procès, va en plus percevoir maintenant une somme que peu de personnes arriveront à gagner en France après toute une vie de travail honnête. Et cette somme sera payée par l’assurance des dentistes, c’est-à-dire tous les dentistes qui cotisent à la MACSF. Ma foi ce sont des dentistes conventionnels qui l’ont au début manipulé pour lui faire croire qu’il avait été mutilé. D’une certaine façon, c’est donc juste que ce soit eux qui paient même si j’imagine qu’ils en seraient révoltés s’ils l’apprenaient. Qu’ils s’arrangent donc avec leur conseil de l’Ordre qui a renforcé tout cela….

Le grand point positif dans toute cette affaire c’est qu’elle a produit un bon article dans le journal « La Provence » le 10 octobre et que maintenant un journaliste de la télé s’intéresse au sujet grâce à cet article. Il est probable, l’avenir nous le dira, et cela me fait déjà rire, que cette personne qui à ma connaissance, a le plus la haine contre le courant de dentistes qui enlèvent les dents dévitalisée (dont elle s’estime être une victime d’une secte d’arracheur de dents), soit un jour en fait la personne qui en aura fait le plus la promotion, bien involontairement toutefois. Il aura alors à mon sens mérité son argent mais uniquement pour cette raison et pas pour celle qui aura été jugée au tribunal.

Cela pourrait bien se passer ainsi que cela ne m’étonnerait pas car la presse adore couvrir les évènements quand il y a du négatif. Des morts, de la souffrance, bref du négatif. Notre société en est friande. Il faut dire et la presse le sait bien et lui donne ce qu’elle veut.

Que des milliers de patients guérissent de façon spectaculaire en enlevant des dents dévitalisées, n’intéresse pas vraiment la presse depuis des années. Il faut dire qu’elle ne fait que traduire le manque d’intérêt de la médecine pour ce sujet. Mais qu’un patient s’en plaigne et se présente comme une victime du sujet (alors qu’il n’est qu’une victime de lui-même), pourrait cette fois ci intéresser la presse. Une victime qui en fin de compte va gagner plus d’argent qu’il n’en aurait gagné autrement de toute sa vie sur le dos du corps médical. Ma foi ainsi va la vie.

Quant à moi, je persiste et signe dans mon engagement sur la toxicité des dents dévitalisées même si une brave (surtout car elle ne veut pas m’envoyer en prison) juge confirme un jugement qui m’empêche d’exercer mon art parce qu’elle ne supporte pas l’idée qu’on puisse enlever sept dents à la fois. Un art qui me permettait de mieux guérir mes patients et leur amener une alternative rare à la médecine des poisons. Des connaissances qui correspondent à des tonnes d’heures et des années d’études, ré-annihilées en un instant par une juge qui ne pouvait supporter l’idée qu’on puisse se faire enlever sept dents à la fois. Je dis ré-annihilées en fait car le Conseil de l’Ordre était déjà passé par là mais la juge aurait pu délivrer un jugement contradictoire qui aurait pu être intéressant éventuellement pour me permettre de redonner la santé à des centaines de personnes qui sont des échecs de notre médecine.

Des faits qui n’intéressent pas grand monde jusqu’à aujourd’hui alors qu’on dépense de milliards de dollars ou d’euros (600 milliards par an sur notre planète) pour consommer des médicaments qui détruisent l’espèce humaine à petit feu. Ainsi va la vie dans les choix d’une civilisation qui s’est éloignée du sens sacré de la vie qui est une autre façon de nommer la spiritualité. Car la spiritualité c’est aussi de tout faire pour préserver la vie en sachant qu’elle est l’œuvre d’une création intelligente et non du hasard tel qu’on l’entend aujourd’hui. Une médecine spirituelle ne peut être une médecine qui prétend soigner durablement en faisant le choix d’empoisonner la vie elle-même. Lorsqu’on prendra alors conscience de cela, nous changerons nos choix et nous commencerons alors à protéger les alternatives à la médecine des poisons, au lieu de tout faire pour les détruire. Nous prendrons conscience que ces alternatives sont nos plus grandes richesses car elles visent à préserver ce que nous avons de plus cher c’est-à-dire notre santé. J’ai confiance que cela arrivera. Plus vite cela arrivera, plus vite la santé de la population s’améliorera durablement
Comme il existe d’autres dentistes qui font un peu comme moi, je dirigerai vers eux les personnes qui s’adresseront à moi sur ce sujet notamment grâce aux sites internet. Et n’étant plus autorisé à exercer la chirurgie dentaire, mais étant aussi assez expert en médecines naturelles, qui ne peuvent être considérées comme de la médecine à proprement parlé, j’ouvre début 2007 un centre de thérapies naturelles que je nomme Dhavantari. Ce centre démontrera encore j’en suis sûr, l’intérêt des thérapies naturelles associées à l’élimination des dents dévitalisées, même sur les pathologies graves où échoue notre médecine moderne. Il n’était pas question que j’abandonne d’aider des malades à retrouver la santé à cause de quelques personnes qui ont condamné inconsciemment une idée dont dépend la santé de millions de personnes. En plus cela fera un chômeur de moins.

Procès suite et fin , fini en novembre 2008
Le plaignant a gagné environ 126 000 euros qui lui ont été payé par l’assurance responsabilité professionnelle des dentistes.

Pour l’anecdote, je connais des personnes à qui des dentistes ont dévitalisés de nombreuses dents saines pour les couronner ensuite plus facilement, juste parce qu’elles n’étaient pas très belles. Parfois ces personnes elles-mêmes ne s’en rendaient pas compte et c’est le dentiste qui leur a fait remarquer qu’elles n’étaient pas très belles. Ensuite ces personnes ont développé diverses maladies plus ou moins graves d’ailleurs et leur vie en a été gravement affectée parfois. J’en connais une, c’est un vrai roman je vous assure. Elle avait la malchance d’être riche et de faire aveuglément confiance à ceux qui ont un diplôme et l’autorisation d’exercer la chirurgie dentaire. Même si ces personnes faisaient un procès, il est plus que probable que ces personnes n’auront jamais le moindre centime d’indemnités… car ce qu’elles ont subi est une pratique courante de la profession. Par contre ce monsieur qui a eu plusieurs dents dévitalisées enlevées, méticuleusement, sans qu’aucun bout de racine ne reste, en enlevant méticuleusement l’os intoxiqué autour des racines comme le conseillent les dentistes holistiques américains et allemands, en faisant toutefois deux petits trous dans les sinus qui ont été ensuite refermés par un simple lambeau de gencive, ce qui est un aléas thérapeutique et non pas une faute thérapeutique, et qui était bien sûr plus que informé sur le sujet et évidemment consentant, se retrouve avec 126 000 euros de la part d’un organisme français d’assurance. Incroyable non.
Cela m’amène à un second texte :

Le problème des juges en France.
Si les dentistes constituent un problème à travers le problème de la dent dévitalisée, les juges me paraissent être un problème encore plus grave, et je vais expliquer pourquoi. Un problème qui n’est pas sans lien avec celui de la dent dévitalisée et plus généralement de toute la médecine naturelle qui a été particulièrement détruite en France.
La fonction de juge n’est pas une fonction comme une autre fonction dans la société. Si on pouvait imaginer une hiérarchie des fonctions de la société, la fonction de juge serait au dessus de tout. Tout simplement car le juge a le pouvoir de mettre en prison tout le monde et d’interdire ou d’autoriser ce que bon lui semble. Il peut même donner une décision en désaccord avec une loi. Il est donc plus puissant que le politicien qui a été élu démocratiquement, et que n’importe quel diplômé de la plus prestigieuse grande école qui soit. Étant donné la puissance de la fonction de juge, il me parait normal que cette fonction devrait être tenue par les personnes qui ont prouvé qu’elles étaient les plus sages, les plus intelligentes et les plus conscientes de la société étant donné le pouvoir colossal dont elles disposent. Eh bien il se trouve qu’en France ce n’est pas exactement cela et c’est même très loin de l’être comme vous allez le comprendre.
Afin d’accéder à certaines fonctions dans notre société, il existe plusieurs voies certes mais la voie la plus classique est le système scolaire dans sa globalité, c’est-à-dire de la maternelle jusqu’à l’obtention du diplôme professionnel ou universitaire ou autre. Le système scolaire possède certes la fonction de transmettre des connaissances, mais ce n’est pas son unique fonction. Parmi les autres fonctions du système scolaire, dont la sociabilisation des élèves par exemple, on peut dire que le système scolaire est aussi un système dont le rôle est de sélectionner les élèves en fonction de leur intelligence. Cela commence d’ailleurs dès l’école primaire avec les notes et finit par les concours. Évidemment on peut critiquer ce système certes, et certains l’ont fait d’ailleurs, tels les écoles Montésori et Frenet mais il n’empêche qu’au jour d’aujourd’hui, nous ne possédons aucun autre système de grande envergure que le système scolaire pour classer l’intelligence des membres de la société. En fait je dirais, pour classer un certain type d’intelligence.
Il existe en effet d’autres formes d’intelligence. Des formes qui ne sont pas moins importantes que celle qui est quantifiée par notre système scolaire mais qui ne peuvent être quantifiées aussi facilement. Il existe l’intelligence sensitive par exemple, certains l’appellent aussi l’intelligence émotionnelle. C’est une intelligence plus féminine si je puis dire, plus yin diraient les chinois. Cette intelligence qui n’est pas moins importante que la première ne peut se mettre en évidence que dans la vie réelle et absolument pas sur une feuille d’examen. Elle est essentielle pour les rapports humains par exemple. C’est elle qui fait que certains élèves qui n’étaient pas spécialement classés très intelligents par le système scolaire finissent en fait à de meilleurs postes. Les artistes par exemple sont en général bien plus pourvus de cette forme d’intelligence ainsi que les bons psychothérapeutes, mais aussi les politiciens car il en faut aussi pour arriver à se faire élire. Mais si ensuite ces politiciens n’ont pas l’autre intelligence, ça pourra poser certains problèmes à ceux dont ils ont la responsabilité…
Tout cela fait qu’en fait notre système d’évaluation de l’intelligence actuel est très imparfait j’en conviens. Seulement voilà, à ma connaissance, nous n’avons pas mieux. Si nous voulons utiliser notre système scolaire pour attribuer des postes de responsabilité essentiels dans la société comme la fonction de juge, alors il faudrait faire avec les informations qu’il nous fournit plutôt que faire sans.
Dans certains pays, la fonction de juge ne s’acquiert pas par diplôme mais par un vote démocratique ou par nomination par le pouvoir (aux Etats-Unis par exemple), ailleurs les juges sont nommés certes mais uniquement par et dans le pouvoir religieux, ailleurs ils sont sélectionné parmi les avocats qui ont montré le plus de talent durant leur carrière (en Angleterre par exemple). En France les juges deviennent juge part un diplôme. Comme je l’ai dit au début, la fonction de juge n’est pas une fonction comme les autres. C’est plutôt une fonction suprême si on peut dire. Étant donné qu’en France nous avons décidé que les juges accéderaient à cette fonction par le système scolaire, ce qui aussi est discutable mais nous n’en discuterons pas ici, il peut sembler normal alors qu’à fonction suprême on place les élèves qui ont l’intellect le plus suprême. Logique non ! Eh bien nous allons voir que c’est loin d’être le cas et même que les juges sont recrutés parmi les éléments relativement moyens de notre système de sélection scolaire. Er c’est là que réside l’erreur fatale de notre civilisation. Nous avons remis le pouvoir suprême, celui de juger, entre les mains de personnes à l’intelligence moyenne. Pour le démontrer je vais faire un petit rappel sur les différents cursus scolaire. Dans notre civilisation, les meilleurs élèves se dirigent sans aucun doute vers le Bac scientifique S, qui avant s’appelait Bac C. Les enseignants savent bien que c’est aussi dans ces sections scientifiques qu’ont trouve aussi les meilleurs élèves dans le domaine de la littérature et de la philosophie par exemple car un très bon élève est en général très bon partout. Comme on remarque que la science et notamment les mathématiques sont si complexes que seuls apparemment les cerveaux les plus intelligents y comprennent quelque chose, on a crée d’autres sections plus faciles où ces matières scientifiques complexes sont de bien moindre importance voir carrément absentes. Ce sont toutes les autres sections. En général, les meilleurs élèves des meilleures sections, les sections scientifiques, ont accès aux grandes écoles, un système mis jadis en place par Napoléon Bonaparte, en vue de former les cadres de la nation, que ce soit les grands ingénieurs, les hauts fonctionnaires, les chefs des armées à travers l’école polytechniques, les grands professeurs d’universités et les grands scientifiques à travers l’école normale supérieure et même les cadres de la nation à travers l’ENA par exemple. Ce sont les élèves que j’étiquèterai les élèves de première catégorie. Un peu au dessous, on trouve la deuxième catégorie, les moins grandes écoles, les écoles accessibles aux préparations scientifiques avec l’option biologie, les ingénieurs agronomes, les vétérinaires, les grandes écoles de commerce, les IUT, les écoles d’ingénieur de seconde catégorie, les universités de science et de médecine.
En fait depuis plusieurs années, s’opère un certain changement inquiétant à mon sens, c’est que cet ordre n’est plus tout à fait respecté et on voit se diriger de plus en plus les meilleurs cerveaux non pas vers les préparations scientifiques aux grandes écoles mais vers les universités médicales. J’y reviendrai.
Mais quoiqu’il en soit ces formations de première et deuxième catégories, plutôt scientifiques dans notre civilisation qui s’enorgueillit d’être une civilisation scientifique ne sont pas accessibles à ceux qui par le système de sélection scolaire actuel n’ont pas prouvé qu’ils possédaient la plus grande intelligence. Alors que font-ils ceux là. Ne pouvant accéder aux formations prestigieuses qui demandent des aptitudes à comprendre la science, ils se retournent vers les universités de lettres, de psycho et de droit, les BTS et les concours de catégories inférieures, comme les formations paramédicales par exemple. C’est ce que j’étiquèterai les élèves de troisième catégorie.
Il y a ensuite ceux qui n’ont pas réussi à avoir leur bac, qui obtiennent des C.A.P., et des diplômes divers et variés, que je qualifierai de la quatrième catégorie. Et ainsi de suite on peut aussi parler de la cinquième catégorie etc, mais cela ne présente plus d’importance pour le sujet que je traite ici.
Certains éléments des catégories au nombre plus élevé auront d’ailleurs à terme parfois des salaires supérieurs à ceux des catégories au nombre moins élevé. Cela pour diverses raisons qui ne sont pas le sujet ici, si ce n’est une raison qui ‘intéresse plus particulièrement et que j’ai déjà in peu évoqué. On observe en effet qu’aujourd’hui, de plus en plus de très bons élèves se détournent de formations à priori plus prestigieuses pour se diriger vers d’autres plus lucratives, devenues de fait plus prestigieuses dans un monde où le salaire est souvent la plus grande marque de prestige. Pour être plus clair, on observe que de plus en plus de cerveaux se dirigent vers les carrières médicales qui sont bien connus pour générer aujourd’hui de gros profits dans un système où de plus en plus de grands ingénieurs sont au chômage malgré que dans le passé, ils furent de bien meilleurs élèves que les médecins de jadis. Il faut dire que même des bacs scientifiques mention très bien se retrouvent parfois dans des industries où le chômage guète, tant notre pays devient déficient dans sa production industrielle. Par contre comme notre système de santé est subventionné par la sécurité sociale et qu’il y a de plus en plus de malades grâce notamment à la dent dévitalisée, les profits de ce secteur sont assurés, enfin tant qu’il y aura la sécurité sociale pour rembourser les soins. Car après, ce sera une autre histoire….Toutefois, le fait que les meilleurs cerveaux de notre société soient attirés pas les carrières médicales est encore ici un symptôme d’une société de malades. Mais ce n’est pas le sujet de ce texte, qui est le cas des juges.
Les juges eux, d’où sortent-ils. Ils sont issus sans l’ombre d’un doute de la troisième catégorie à travers une école de la magistrature accessible par la fac de droit. La catégorie qui comprend des élèves du même niveau intellectuel sensiblement que les infirmières et les paramédicaux en général, les BTS, les avocats, (dont certains finissent pourtant président de la république), les huissiers , et tous les métiers issus de la fac de droit, et de lettre. Loin de moi le fait de penser que ces personnes sont des imbéciles, ce n’est pas là le propos. Mais il est aussi évident que ces personnes n’ont pas prouvé par notre système scolaire qu’elles étaient les personnes les plus intelligentes non plus. Notre système scolaire étant comme je l’ai déjà dit, et jusqu’à preuve du contraire, le seul système de sélection que nous ayons de l’intelligence. Et si pour les infirmières, les avocats, les huissiers, les fonctions administratives diverses etc… , cela n’a pas trop d’importance, cela devient terrible pour la société, et je pèse mes mots, lorsque des questions subtiles et complexes se présentent devant les cours de justice où s’exerce le pouvoir suprême.
L’affaire d’Outreau, cette pseudo affaire de pédophilie où il n’y avait en fait pas de pédophiles, que la France a connu dernièrement en est un des exemples les plus frappants mais certainement pas le plus grave en terme conséquence. L’histoire de ce procès a eu me mérite de montrer à la population que nos juges actuels peuvent d’une part détruire la vie de bien des gens mais aussi ont bien le pouvoir suprême. En effet, même lorsqu’ils font une erreur monumentale, ils n’ont droit à aucune condamnation lorsqu’eux-mêmes sont à leur tour jugés pour ces erreurs. Les juges qui ont jugés le juge d’Outreau savent très bien en leur fort intérieur qu’ils ont probablement agi bien souvent ainsi eux aussi dans le passé. Un avocat connu, Maitre Colard, en s’exprimant sur le sujet dans le journal “Nice Matin” disait d’ailleurs que des affaires équivalentes à l’affaire d’Outreau, il y en avait presque tous les jours en France. L’affaire d’Outreau n’est en fait que la partie visible d’un terrible iceberg qui ronge notre nation avec des jugements absurdes, disproportionnés et irresponsables bien souvent et qui sont de reflet d’un manque flagrant d’intelligence de ceux qui les donnent. Les décisions de justice sur des sujets complexes sont bien plus souvent le reflet de la conscience moyenne de la population que de la vérité ou de la justice. Une fois j’ai d’ailleurs vu par hasard à la télé s’exprimer un juge qui avait écrit un livre dans lequel il expliquait avoir conscience de son incapacité à juger compte tenu de sa formation et de ses connaissances et donc qu’en conséquence il refusait d’assumer la fonction que l’état voulait lui octroyer. Le simple fait d’avoir cette conscience est en fait un signe qu’il était bien plus apte à juger que les juges actuels qui n’ont même pas conscience de cela. C’est comme si moi, docteur en chirurgie dentaire, je me permettais de croire que je peux opérer quelqu’un à cœur ouvert. J’ai conscience que je ne possède pas cette compétence et en conséquence je ne le fais pas. Le plus grand problème de la justice n’est pas le manque de juges ou quoique ce soit d’autre, mais leur intelligence moyenne.
Et c’est là que réside pour moi le plus grand problème de notre société.
Notre société n’a pas mis les plus grands cerveaux aux fonctions suprêmes, mais mis à la place des cerveaux de troisième catégorie, sur une échelle qui en compte toutefois six ou sept. En écrivant cela je pense à l’échelle de Richter des tremblements de terre. Car cette incongruité si je puis dire amène dans notre société divers séismes qui à terme conduisent à son effondrement, tout comme l’effondrement d’un édifice après un tremblement de terre. Évidemment ça aurait pu être pire encore, on aurait pu recruter les juges parmi ceux qui n’ont même pas eu leur BAC mais bon, je crois que vous avez saisi le problème toutefois.
Que peut-on faire maintenant.
En attendant de corriger ce problème en intégrant une école de magistrature particulière aux Concours aux grandes écoles et en donnant un salaire à la hauteur de leur intelligence à ces élèves, il faudrait en urgence agir en enlevant immédiatement tout pouvoir aux juges actuels, sans bien sûr leur enlever les fonctions pour lesquels ils sont aptes, c’est-à-dire instruire un dossier d’instruction et toutes les fonctions actuelles des juges. Toutes sauf la fonction suprême, celle de juger. Fonction qui ne devra être réservée qu’aux juges issus d’une grande école de la magistrature accessible par les concours aux grandes écoles scientifiques. Ceux qui jugeront seront aidés dans leur tache par les juges actuels qui sortent de l’école de la magistrature actuelle et qui seront à ceux qui jugent ce que les infirmières sont aux médecins en quelque sorte, c’est-à-dire des assistants.
Mais en attendant que cette fonction soit assurée par les juges issus des grandes écoles donc des élèves de première catégorie, si on retire aux juges actuels le pouvoir de juger, nous allons manquer cruellement de juges.
On peut alors très bien recruter des juges par un autre moyen que le système scolaire. Notre société est pleine de sages intelligents qui ont prouvé à la société par leurs actes, leurs capacités humaines et leur conscience bien au dessus de la moyenne et qui feraient d’excellents juges aptes à juger. Il y a plein de cerveau de la première catégorie à la retraite ou au chômage aujourd’hui. Nous pourrions donc les recruter par dossier. Mais les personnes qui seraient chargées de recruter de telles personnes doivent elles aussi avoir fait preuve sans l’ombre d’un doute, de capacités intellectuelles hors du commun.
Même si le système que je propose ici n’est absolument pas exempt de failles, c’est certain, il me semble évident qu’il ne peut qu’être moins pire que notre système actuel de recrutement des juges. Un système de recrutement tellement pervers qu’aucune réforme de la justice qui ne prendrait en considération cet élément, ne pourra aboutir à une justice juste. Et quand la justice n’est pas juste, il ne peut y avoir de paix dans une nation. La paix étant l’état dans lequel tout peut se construire et se réparer dans notre société. Sans justice, c’est la destruction lente mais assurée de notre société. C’est d’ailleurs ce qu’il se passe depuis des années comme nous allons le comprendre avec l’exemple de la santé publique.
Si ce problème du recrutement des juges apporte de multiples problèmes à notre société, problèmes divers et variés qui sont hors sujet ici, il faut bien comprendre aussi qu’il est lié aussi incroyable que cela puisse paraitre avec le fait que les français sont le peuple le plus malade d’Europe. Nos concitoyens sont soumis depuis des années à un lavage de cerveau très important sur la médecine conventionnelle. Les médecines non académiques ont depuis des années l’image de médecines charlatanesques. C’est une image qui arrange bien les intérêts financiers des représentants de la médecine traditionnelle et de l’industrie chimique pharmacologique car elle permet de détruire facilement la concurrence. Et cette destruction se réalise d’autant plus facilement que les juges qui dans les faits mettre en prison ceux que la médecine académique classifie de charlatans dangereux, sont eux-mêmes au niveau de conscience moyen de la population. Ce sujet ne pourrait être correctement jugé que par des cerveaux bien plus intelligents que la moyenne, si je puis dire. Des cerveaux qui sont à même de comprendre toutes les subtilités qui rentrent ici en ligne de compte et toutes les conséquences qu’il y a à détruire la médecine naturelle. Je l’ai bien vu quand j’y ai été confronté avec ma problématique dents dévitalisées face à des juges. J’ai eu en face de moi des personnes qui n’avaient pas les qualités intellectuelles pour comprendre toutes les subtilités du sujet. J’aurais bien voulu être jugé par des personnes très intelligentes mais je n’en ai personnellement pas rencontré dans les tribunaux. Et malheureusement on trouve peu de telles personnes parmi la population actuelle des juges. C’est bien pourquoi, compte tenu d’un article de loi sur l’exercice illégal de la médecine notamment, les juges ont méthodiquement entériné des décisions destructrices pour la médecines naturelles, des décisions que les experts médicaux de la médecine officielle leur ont généralement fortement suggéré dans une attitude hégémonique propre à toute corporation qui veut détruire la concurrence. Il y aurait quantité d’histoire pouvant illustrer ces propos. C’est ce qui a conduit lentement mais surement à ne laisser au peuple français quasiment qu’une seule alternative pour se soigner, celle de s’empoisonner ou de se faire opérer par la médecine conventionnelle. Et voilà comment ensuite on obtient alors une civilisation de grabataires et d’handicapés. A l’article de loi qui stipule que chacun doit être jugé par un tribunal impartial, ce qui ne fut d’ailleurs même pas le cas avec le Conseil de l’Ordre, il faudrait rajouter aussi par un tribunal dont le ou les juges ont fait la preuve d’une manière ou d’une autre qu’ils possédaient une intelligence supérieure à la moyenne.
Vous comprenez maintenant pourquoi traiter de ce sujet du recrutement des juges n’est pas ici hors sujet par rapport au sujet de la dent dévitalisée. Si aujourd’hui la méthodologie qui redonne la santé en enlevant les dents dévitalisée a été condamnée en France, et donc qu’à cause de cela il vous sera très difficile de trouver à côté de chez vous un dentiste qui acceptera d’enlever vos dents mortes putrides de votre corps, c’est d’une certaine façon à cause de tout ce qui est écrit ici. Des juges à l’intelligence bien supérieure à la moyenne auraient au contraire énoncé un jugement intelligent qui par exemple aurait dit que compte tenu des droits de l’homme qui donnent le droit à chaque être humain de vivre dans un corps sain, chaque patient a le droit de vouloir se débarrasser de ses dents dévitalisées que tant d’études ont prouvé pleine de bactéries toxiques donc malsaines. Et donc que chaque dentiste a le droit d’accéder à sa demande sans être pour autant en contradiction quelconque avec l’éthique de sa profession. Et cela même si ce n’est pas une pratique courante dans la profession, notre société se devant de protéger les libertés d’expression et d’agir minoritaires car ce sont elles qui sont souvent les gardes fous de nos erreurs ainsi que les creusets où se forgent bien souvent des progrès de notre société. Bref, ils auraient pu dire de telles choses intelligentes et cela malgré le jugement précédent d’un conseil de l’ordre à l’évidence corporatiste et partial qui avait condamné une telle attitude. Cela aurait permis dans une certaine mesure de promouvoir cette méthodologie qui pourrait apporter la santé à des millions de personnes.
Je vais maintenant m’analyser ici avec mon système de classement. Dans mon système de classement, je ne faisais pas partie de la première catégorie, celle des élèves les plus intelligents. Je me rappelle d’ailleurs qu’en terminale C, j’étais parmi les élèves moyens de la classe et que je ne pouvais pas accéder à la prestigieuse préparation scientifique Math Sup du lycée Masséna. J’aurais pu accéder éventuellement à Math Sup Bio. Dans ma classe il y avait de très bons élèves qui normalement aurait du avoir une mention Très Bien ou au moins Bien au bac, alors que moi, d’intelligence moyenne je ne pouvais espérer qu’une mention Assez Bien au maximum. Vous allez bientôt comprendre pourquoi je vous raconte tout ça, patience…
Par rapport aux très bons élèves je n’étais pas aussi bons pour diverses raisons dont une qui est que j’étais, et je suis toujours d’ailleurs un peu particulier. Ce genre d’élève qui va toujours chercher la petite bête et qui veut comprendre même les choses inutiles pour passer son bac. J’avais en effet horreur d’appliquer des formules que je ne comprenais pas en profondeur, que je ne pouvais démontrer par moi-même, même si cela ne présentait aucun intérêt pour les examens, et même au contraire que cela ralentissait mon acquisition de connaissances. J’avais une assez mauvaise mémoire en plus et donc il fallait que je comprenne vraiment quasiment toutes les formules que j’appliquais. Il fallait que je sache retrouver toutes les formules car je ne voulais en apprendre aucune par cœur. Il existait par exemple certaines formules qui nous étaient fournies classiquement lors des examens de mathématiques donc il ne servait à rien de les apprendre par cœur et encore moins de savoir les redémontrer d’autant plus que c’était assez complexe. Eh bien moi, je voulais quand même comprendre comment on pouvait retrouver ces formules, ce qui était totalement inutile à priori. Mais si pour beaucoup de formules j’arrivais à en comprendre le sens et la logique, pour certaines, je n’arrivais pas à comprendre d’où elles pouvaient bien sortir. Une fois un professeur finit par m’expliquer comment retrouver certaines formules, ce qui était totalement inutile pour passer le bac car elles nous étaient systématiquement fournies. Lors des épreuves du bac, je fus comme prévu moyen dans toutes les matières et eu mon bac C avec la mention Assez Bien. Mais cette année là, l’épreuve de mathématique fit scandale. Pour la première fois et en contradiction avec toutes les habitudes où les formules classiques trigonométriques étaient fournies, cette fois ci ces formules essentielles à l’épreuve n’avaient pas été fournies. Cela fit un scandale certes, on parla même que le rectorat allait envisager de refaire cette épreuve mais le rectorat ne fit rien car ma foi ce n’était pas si grave que cela, les résultats au bac n’ayant aucune importance pour les admissions dans les diverses préparations ou écoles scientifiques, qui se font uniquement sur le dossier de terminale. J’imagine que les professeurs furent alors plus conciliants que d’habitude lors des sessions de rattrapages pour les élèves qui avaient raté leur bac à cause de cette épreuve de math. Comme personnellement, je n’apprenais rien par cœur sans le comprendre en profondeur, cela ne me gêna nullement car je retrouvais par moi-même ces formules essentielles lors de l’épreuve. J’eus comme à l’habitude une note moyenne à l’épreuve de math. Mais comme toute la classe se planta à cette même épreuve, et que le coefficient de math était très élevé dans cette section, les meilleurs élèves eurent la même mention que moi, c’est-à-dire Assez Bien. Cela me fait dire que j’ai un cerveau de la deuxième catégorie mais atypique. Dans les situations classiques, je ne fais rien de mieux que les autres et nombreux sont même ceux qui font mieux que moi. Mais lorsque la situation est atypique, alors parfois je trouve des solutions que les meilleurs cerveaux n’arrivent pas à trouver car j’ai un fonctionnement atypique. D’ailleurs dans le reste de ma vie, même scolaire cela s’est souvent vérifié. Pour vous donner un autre exemple de comment fonctionne mon cerveau, lorsqu’on faisait de la physique nucléaire, tandis que les meilleurs élèves savaient déjà maitriser toutes les transmutations et les calculs associés, je me demandais pourquoi les électrons se situaient sur des couches spécifiques qu’on appelle des orbitales avec certaines règles et pourquoi les protons les attiraient et pourquoi les noyaux instables comprenaient plus de neutrons et pourquoi et pourquoi encore, autant de questions totalement inutiles pour avoir son bac. Des questions que se posent généralement les enfants… Mais des questions qui répondaient à un besoin essentiel qui était de comprendre comment fonctionnait l’univers, quitte à bien moins réussir mes examens. Mes centres d’intérêt étaient bien sûr en accord avec cette façon de fonctionner. Quand la plupart sont intéressés par savoir comment installer l’électricité dans leur maison, moi je m’intéressais plutôt à comprendre d’où provenait cette électricité et comment fonctionnaient les centrales nucléaires pour produire cette électricité. Evidemment des années plus tard, tandis que les autres savaient réparer l’électricité de leur maison, moi je ne le savais toujours pas. Mais je crois avoir compris des choses que la plupart des gens trouveraient totalement inutiles pour la vie quotidienne.
Au niveau médical, c’est un peu pareil, quand la plupart des personnes prennent leurs médicaments sans se poser trop de questions, moi il faut que je comprenne comment fonctionne la médecine que j’utilise. C’est ainsi que j’ai appris que les molécules de l’allopathie sont pour la plupart des inhibiteurs enzymatiques qui par conséquent paralysent nos enzymes. Je crois même avoir compris le fonctionnement intime de l’homéopathie (voir texte « la médecine des poisons »). Ce n’est pas inintéressant car nombre des personnes qui s’intéressent aux médecines douces et ont compris le danger de l’allopathie, prennent de l’homéopathie sans vraiment en comprendre le fonctionnement, si ce n’est qu’ils connaissent la théorie des semblables de Hahnemann. Mais se sont-ils posés vraiment la question du mécanisme intime de l’homéopathie. Jamais la plupart du temps. Avec mon texte, ils verront que peut-être l’homéopathie n’est pas si anodine que les homéopathes voudraient bien nous faire croire. Et cela même si l’homéopathie rend parfois de grands services, et sauve même des vies. mais lorsque les personnes sont en état d’épuisement énergétique, il semble que la solution ne soit pas l’homéopathie qui utilise l’énergie du patient pour ramener la santé.
Vous comprenez maintenant pourquoi ma vie professionnelle était en accord avec le reste. Quand il s’agissait de faire ce que tout le monde savait faire, je n’étais pas spécialement le plus brillant et peut-être un peu moins que les autres. Mais quand il s’agissait de réaliser des choses hors norme, alors parfois j’y arrivais quand personne n’y arrivait. Il m’est par exemple une fois arrivé d’améliorer l’état d’ une sclérose en plaque bien mieux que tous les super médecins et thérapeutes de médecine douces de Genève que la patiente avait consulté auparavant. Cela sans même enlever une dent dévitalisée, la patiente les ayant déjà fait enlever des années auparavant sur les conseils d’un médecin suisse. C’était avec une méthode de dentisterie énergétique que j’ai inventé, j’en parle dans un autre texte. Mais c’est comme pour les extractions de dents dévitalisées, ça n’intéresse pas grand monde, car c’est trop hors norme et aucun laboratoire n’a de profits à faire. Par contre quand il s’agissait de dévitaliser parfaitement des dents, j’y arrivais rarement alors que certains collègues faisaient cela très bien. Le problème est que quand j’enlevais ces dents parfaitement dévitalisées qu’ils avaient faites, les patients guérissaient aussi….

J’ai parfois réalisé aussi des actions hors norme face à l’injustice. Lors de mes études de médecine, nous avions avec mon frère et un autre étudiant, monté un cours privé qui s’appelait les « Concours Blancs Major » où nous préparions les élèves au concours de première année de médecine. En première année, lorsque les étudiants arrivent du lycée, ils sont un peu perdus par l’Univers de la faculté et en pratique on s’apercevait que pour qu’ils réussissent leur concours, il leur était presque toujours nécessaire de passer par un cours privé qui coutait très cher. Seuls les enfants de « riches », si je puis dire, réussissaient, même s’il y avait bien sûr des exceptions. Cela me paraissait un peu injuste. Nous avions donc monté une structure d’enseignement qui employait des élèves uniquement, les « concours blancs major », qui se révéla en fait plus efficace que les cours privés onéreux de l’avis même des élèves ? C’était un concept totalement original pour l’époque, unique en son genre en France. Un concept qui coutaient aussi environ vingt fois moins chers, ce qui le rendait accessible à absolument tous les étudiants de première année qui le souhaitaient. Très rapidement, les trois quarts des étudiants de première année, soit environ 400 étudiants, fréquentèrent ces cours privés qui durèrent cinq ou six années, le temps de ma scolarité environ. Les enfants de riches ne furent plus avantagés et ce furent les vrais meilleurs cerveaux qui réussirent alors au concours de première année. Comme quoi on peut parfois faire mieux que certaines structures le font pour vingt fois plus cher, juste en pensant différemment. C’est exactement ce que je pense aujourd’hui de notre médecine. On pourrait soigner mieux les gens pour un budget au moins vingt fois moindre que celui d’aujourd’hui. Il faut juste penser différemment et savoir qu’il n’y a pas que les grosses machines très chères qui peuvent guérir. Une simple aiguille d’acupuncture qui coute moins de un euro est parfois plus efficace. Il faut juste savoir où la mettre, mais tout cela s’apprend.
Au début de cette période universitaire où je m’occupais des concours blancs, je m’aperçus aussi rapidement que assez souvent, des élèves moyens réussissaient au concours de médecine, tandis que d’autres meilleurs échouaient. Je compris que c’était à cause d’un système de sélection qui permettait de tricher très facilement. Toutes les épreuves comportaient exclusivement des QCM des questions à choix multiples où il faut cocher des cases tout simplement si je puis dire. Ce système permet de tricher très facilement dans la mesure où on s’entraide avec les élèves d’à côté ou de devant ou de derrière. Pour éviter cela il aurait suffit de juste changer l’ordre des QCM d’un élève à l’autre de telle sorte que l’élève d’à côté, de devant ou de derrière, n’ai pas le même ordre des questions. C’était simple et c’est ce que nous faisions d’ailleurs dans les épreuves du concours blancs major. Pourtant aucun professeur de la fac ne le faisait alors que cela aurait permis que seuls les meilleurs étudiants réussissent et non les tricheurs. Alors je fis quelque chose que personne ne me demandait d’ailleurs de faire. J’ envoyais une lettre anonyme à tous les professeurs de première année de médecine, me revendiquant comme le représentant du syndicat des étudiants de première année de médecine en les informant que tous les étudiants étaient scandalisés du mépris qui leur était porté à cause de ce système de notation qui permettait très facilement aux tricheurs de réussir le concours de première année de médecine. La formulation a probablement du les toucher car les professeurs instaurèrent l’année même le système de copies avec des ordres différents dans les questions, de telle sorte de limiter la tricherie. Un système qui avait toujours lieu encore à la fin de mes études à la fac de médecine de Nice.
En fait tout le monde savait que ce système permettait de tricher très facilement, les professeurs notamment qui ne sont pas des imbéciles. Mais tout le monde s’en foutait car bien sûr préparer plusieurs modèles d’épreuve donne un peu plus de travail que de n’en préparer qu’un seul. Pour la dent dévitalisée et les dentistes c’est un peu pareil. Beaucoup d’universitaires savent en fait que la dent dévitalisée, c’est un grave problème. Ils savent aussi que le fait qu’il existe une pratique courante de dévitaliser des dents saines pour faire des bridges ou même des couronnes, est une pratique assez fréquente mais plus que discutable. Mais personne n’en parle trop dans la profession, c’est un peu tabou. Lorsque les travaux sur la terrible toxicité des dents dévitalisées sont arrivés à la connaissance des universitaires, quasiment tout le monde a fait comme s’il ne les avait pas vus. C’est un peu comme pour l’exemple précédent. Et s’ils ont réagi ainsi, c’est parce que prendre en considération de telles découvertes, c’est embêtant si je puis dire. Il va falloir repenser et remettre en question tout un système bien confortable. Allons, laissons faire les choses comme elles sont, ce n’est pas si mal, surtout pour notre porte monnaie. Et puis si ça se savait, que dirait-on de notre profession ? Que nous avons empoisonné plus que l’industrie chimique, plus que l’industrie de tabac et de l’alcool. Non, c’est mauvais pour notre image, mieux vaut ne pas voir tout cela et oublier au plus vite ces informations trop dérangeantes. C’est exactement ainsi qu’ont du réagir tous les dentistes universitaires ou autres qui ont eu jadis accès à l’information sur la toxicité des dents dévitalisées et qui ont bloqué l’information. Et cela restera ainsi tant que l’opinion publique ne sera pas informé de ce scandale. Seulement voilà dans la vie, il y a toujours des emmerdeurs comme moi, Dieu bénisse ces emmerdeurs. Des empêcheurs de tourner en rond, qui crient sur les toits ce que personne ne veut ébruiter. J’ai même voulu organiser à Cannes, un symposium sur la toxicité des dents dévitalisée pour les médecins et les dentistes. Mais les éventuels intervenants se sont désistés devant les menaces qu’ils ont reçues dont certaines de leur conseil de l’ordre directement. Alors, ces empêcheurs de tourner en rond, ces lanceurs d’alerte, on essaie bien sûr de les faire taire. On les ruine en les interdisant d’exercer donc en les mettant à la porte de la profession. Mais voilà, le problème c’est que parfois, ils rentrent à nouveau par la fenêtre. Cet ouvrage, c’est un peu ma fenêtre mais aussi aujourd’hui une fenêtre d’espoir pour votre santé. Sachez l’ouvrir pour faire à nouveau rentrer une lueur d’espoir dans votre vie (oh que c’est mignon cette allégorie….).
J’ai toujours eu des actions plus ou moins originales que personnes ne me demandait de faire dans un contexte normal si je puis dire. Notre société par exemple, ne demande pas aux dentistes de soigner des maladies autres que celles des dents et des mâchoires. Eh bien pourtant, ce qui m’intéressait le plus n’était pas de faire ce que tout le monde savait faire, à savoir boucher faire des trous dans la bouche et les boucher ensuite. Je préférais de loin faire ce que personne ne savait faire, qui n’intéressait quasiment personne et que le public avait beaucoup de mal à comprendre comme soigner diverses maladies en soignant les dents par exemple. C’est ce qui m’a conduit à m’intéresser au problème des amalgames au mercure puis des dents dévitalisées et plus généralement de toute une dentisterie énergétique avec diverses découvertes que j’ai faites et qui constituent aujourd’hui un phénoménal outil thérapeutique qui arrive bien souvent à guérir ce qu’aucune médecine autre ne peut guérir.
Je vais maintenant un peu analyser la catégorie de cerveaux de mes collègues dentistes, notamment ceux qui m’ont jugé du Conseil de l’Ordre en me condamnant à l’interdiction d’exercer pour avoir enlever des dents dévitalisées à des personnes qui étaient d’accord toutefois. Selon le système scolaire, leur cerveau se classe comme le mien dans la seconde catégorie. Mais cette catégorie peut toutefois se diviser en deux tranches au moins au niveau du concours de première année de médecine. Les meilleurs étudiants qui réussissaient au concours faisaient à l’époque où j’ai passé mon concours, médecine tandis que les derniers du classement faisaient en général dentaire, parce qu’il n’avait pas le choix. Ce n’est plus vrai maintenant. Mais cela était encore plus vrai les années précédentes, et des années bien avant pour accéder au diplôme de dentiste, il ne fallait pas passer par le concours de première année de médecine mais par une école privée, assez chère donc accessible uniquement aux enfants de riches si je puis dire. Je pourrais aussi dire aux cerveaux de troisième catégorie dont les parents étaient assez riches pour leur faire obtenir des professions aux revenus équivalents à ceux de la seconde catégorie. Où trouve-ton encore ces dentistes qui sont tous à la retraite aujourd’hui. On ne les trouve encore que dans l’académie nationale des dentistes, à qui par exemple l’Ordre a demandé de se prononcer sur la problématique dent dévitalisée.
A la fin de la première année de médecine, je finis major des non redoublants et troisième au concours sur une centaine d’élèves admis, ce qui me permet de me classer dans la première tranche de la seconde catégorie. Evidemment comme je ne fais rien de ce qu’on pourrait attendre de moi, j’ai choisi de faire dentaire et non médecine à la grande surprise générale car les meilleurs étudiants choisissent bien sûr de faire de la médecine pour sauver des vies. C’est bien plus prestigieux, que de se cantonner à boucher des trous dans les dents toute leur vie. Les derniers du classement comme d’habitude furent obligés de faire des études de dentaire et devinrent dentistes.
Aujourd’hui et dans leur immense majorité, les dentistes et les membres représentants de la profession dentaire que ce soit le Conseil de l’Ordre ou même l’Université considèrent que de proposer d’enlever les dents dévitalisées est une erreur. Il est important que vous sachiez cher lecteur que ces personnes là ont des cerveaux qui rentrent dans la catégorie de la seconde tranche du second groupe. Et que même s’ils sont nombreux à dire cela, il existe des cerveaux de la première catégorie, des vrais scientifiques, comme le professeur Boyd Haley aux États-Unis qui pensent que même les dents dévitalisées apparemment sans symptômes peuvent gravement empoisonner l’organisme ou comme le professeur Raynaud en France, qui pensent que la dent dévitalisée aujourd’hui est très probablement la première cause de cancers et de maladies graves. C’est ce que pensent aussi des médecins comme le Dr Thomas en France et tous les médecins de la clinique Paracelsius en Suisse, qui pensent aussi que parmi toutes les thérapeutiques de médecine naturelles, l’élimination des dents dévitalisées est la technique la plus efficace qui soit pour la plupart des maladies chroniques. Toutes ces personnes ont prouvé par leur cursus scolaire qu’elles étaient plus intelligentes que les dentistes. Et l’avis d’un cerveau intelligent vaut plus parfois que l’avis de milliers d’autres qui le sont moins, surtout si en plus l’information qu’ils pourraient reconnaitre comme vraie éventuellement les culpabilise terriblement.
C’est donc des cerveaux de la seconde tranche de ma catégorie qui à l’époque étaient présents dans les conseils de l’ordre qui m’ont condamné au prétexte que ce que je faisais n’était pas en accord avec les données acquises de la science. Ils n’ont même pas pris la peine de demander leur avis sur le sujet à de vrais scientifiques indépendants, alors même que certains médecins et scientifiques estiment que la dent dévitalisée est une des premières causes de cancers et de maladies graves en France. Ils ont par contre demandé un avis éclairé à l’académie de chirurgie dentaire, composée entre autre de cerveaux de troisième catégorie à la retraite. Et cela tandis qu’un peu plus tard d’autres cerveaux de troisième catégorie me condamnaient dans des cours de justice à cause de cette problématique de dents dévitalisées. Je dus en effet subir aussi un procès au vrai tribunal (celui dont je parle dans le texte précédent), si je puis dire, car le premier n’était qu’une mascarade, où tout était joué d’avance puisque la dernière fois, c’est le conseil de l’ordre qui déposait plainte contre moi et me jugeait aussi.
Lors de mon procès au vrai tribunal, le tribunal correctionnel de la cour d’appel à Aix, se trouvaient le Professeur Raynaud, enseignant à l’Université des sciences de Toulon, passé lui par math sup math spé, et les concours aux grandes écoles, cerveau de première catégorie sans aucun doute, qui avait rédigé un rapport qui justifiait le caractère scientifique et donc éthique selon les critères demandés par l’Ordre, de la démarche d’enlever les dents dévitalisées. Il y avait aussi présent le Dr Crussol, qui fut président de l’association des dentistes spécialistes en dévitalisation qui avait même donné des cours à des présidents du Conseil de l’Ordre sur le sujet. Il soutenait lui aussi ma position aujourd’hui. Il y avait aussi un expert médecin qui confirmait bien que tout ce qui était arrivé ensuite comme problème au patient était certes arrivé après mes actes mais absolument pas à cause de mes actes ce qui est très différent. Il y avait aussi un dentiste qui confirmait que le patient était tout à fait consentant dans cette démarche et qu’il allait bien l’ayant vu quelque jours après, puisque j’étais absent. La logique mathématique était sans l’ombre d’un doute de mon côté mais je crois que tout cela fut bien au dessus de ses capacités de compréhension de ma juge. Cette vieillie dame avait toutefois du cœur et donc de l’intelligence sensitive, et ne m’envoya pas en prison pensant plutôt j’imagine que ma place aurait du être en hôpital psychiatrique à la limite. J’étais en effet sincère dans ma « folie » puisque je lui avais expliqué que moi-même j’avais fait jadis enlever mes dents dévitalisées pour les mêmes raisons que celles qui me faisaient aujourd’hui me présenter devant elle aujourd’hui. Ce que j’avais d’ailleurs fait aussi à des centaines de patients qui ne s’en été pas plaints. Elle ne tenu pourtant compte que de l’avis de son expert. Un expert qui d’ailleurs n’avait jamais demandé mon avis sur le sujet et qui lui avait fait un rapport disant que tout cela ne relevait que d’une théorie obsolète qui n’avait plus lieu d’être et qu’en conséquence, enlever des dents dévitalisée qui ne présentaient aucune infection en apparence, et même avec le consentement du patient, relevait par conséquent de la mutilation. Bref, tout à fait l’expression de la pensée académique de la majorité des dentistes. Je fus donc condamné en théorie mais en pratique ce fut l’assurance dentaire donc tous les dentistes de France qui furent condamnés à payer une somme colossale (environ 130 000 euros) au plaignant, un ressortissant Suisse qui entre parenthèse n’a jamais payé un centime d’impôt à l’Etat Français. Un monsieur apparemment sincère dans son changement d’avis puisqu’il se fit dévitaliser d’autres dents par la suite. Un monsieur qui avait aussi une immense intelligence sensitive et notamment dans la mise en scène de sa pseudo tragédie. Cela toucha tellement le cœur de la juge qu’elle lui fit gagner plus d’argent en un instant qu’il n’aurait pu en gagner de toute sa vie par son travail. C’est une indemnisation bien supérieure par exemple à celle des pauvres gens d’Outreau qui ont passé trois ans pour rien en prison et tout cela juste pour avoir eu quelques dents enlevées avec quelques aléas thérapeutiques qui arrivent parfois. Cette indemnisation colossale avait été suggérée par tous les experts dentistes qui s’étaient penchés sur le dossier et qui bien sûr dévitalisent quotidiennement des dents. J’imagine qu’ils pensaient sûrement ainsi à travers cette condamnation financière, me faire chèrement payer ma remise en question de ce qu’eux-mêmes réalisaient quotidiennement. Il n’y avait en effet pas de raison que l’assurance indemnise étant donné que les actes qui avaient été réalisés n’étaient pas des actes autorisés officiellement par la profession donc pas indemnisables par l’assurance. Mais comme disent les védas (écrits religieux indiens), le dharma protège celui qui protège le dharma (traduction : la voie protège celui qui protège la voie) et je n’eus pas à payer cette indemnisation colossale ni aucune prison à faire. Ce furent donc les dentistes, donc aussi ceux qui ont suggéré cette colossale indemnisation, qui durent la payer à travers leurs cotisations d’assurance responsabilité professionnelle.
Il y a quand même une justice sur cette Terre…… enfin parfois…. Ce qui est sûr, c’est que toujours, justice divine il y aura. Et c’est pourquoi malgré tout ce qui m’arrive et m’arrivera, et qui en apparence me défavorise, je reste serein et confiant. Et comme un guerrier de lumière, pacifique, que j’essaie d’être le plus souvent, je continue à diffuser ma lumière sans chercher à m’opposer ni à nuire à ceux qui veulent l’occulter et qui aux yeux de Dieu sont j’imagine, plus à plaindre qu’à condamner.

Je finirai ma démonstration que les juges français possèdent une intelligence moyenne, pour ne pas dire médiocre, donc inapte à juger des situations complexes sortant de la norme, par l’analyse d’un exemple de l’actualité du 8 Juin 2009. Le jugement par le Conseil d’Etat à l’encontre de Monsieur Serge Dassault. On l’appellera M. D. pour faire comme c’est écrit dans le jugement que l’on peut trouver à l’adresse internet notée en bas de texte. En résumé, ce jugement a condamné M. D. pour avoir donné de l’argent à des électeurs.

Le Conseil d’Etat est la plus haute juridiction administrative française. La Section du contentieux du Conseil d’Etat, qui a rendu le jugement est en plus une des formations les plus solennelles de la juridiction. On pourrait donc supposer que les juges qui ont rendu ce jugement sont donc parmi les plus sages de la juridiction française. Et pourtant, comme nous allons le voir, ces juges ont eux aussi des cerveaux dans la moyenne de la population française, comme dans toutes les juridictions. Preuve en est que dès que le sujet est un peu subtil, philosophiquement parlant, le niveau intellectuel moyen de nos juges ressort avec une évidence flagrante, alors qu’un esprit plus évolué aurait à l’évidence édicté un jugement différent. Enfin c’est en tout cas ce que je pense et c’est ce que je vais essayer de vous démontrer au risque de me ridiculiser bien sûr.

Pour résumer l’histoire de ce monsieur D., c’est l’histoire d’un monsieur qui, distribuait son argent, aux électeurs de sa commune. Comme il fut élu, son concurrent se plaignit au Conseil d’Etat que cela avait du influencer les votes et que selon le code électoral, l’élection devait être annulée. Le Conseil d’Etat lui donna raison en annulant l’élection et condamna en plus monsieur D. à un an d’inégibilité.

Je trouve que dans le genre jugement absurde, il eut été difficile de faire pire. Mais évidemment c’est subtil à comprendre et c’est pourquoi les juges se sont plantés encore une fois, comme ils se sont plantés pour moi, par exemple, avec l’histoire des dents dévitalisées.

Analysons donc un peu tout cela avec un regard qui va essayer d’être philosophe.

M D est condamné pour avoir donné son argent à des électeurs de sa commune. Dans ce monde d’égoïsme, où chacun ne pense généralement qu’à lui-même, la plus haute juridiction de l’Etat condamne donc quelqu’un qui partage son argent avec d’autres qui en ont moins. Évidemment, diront certains et probablement dans la moyenne intellectuelle de la population, « oui mais c’est intéressé, c’est pour que les autres votent pour lui ».

Et je réponds, oui, et alors, mais ce n’est pas condamnable. Je connais aussi plein de politiciens qui font des tas de choses pour que les électeurs votent pour eux, au lieu de défendre leurs idées politiques. Ils se font beaux, mettent sur leurs listes des personne charismatiques, mettent en avant des personnes qui ont plus de charme que de cervelle, ou font même des promesses qu’ils ne tiennent pas ensuite et usent bien sûr de multiples stratagèmes pour arriver au pouvoir. Cela leur permet d’être élu à la place d’autres même si leurs idées sont en fait assez éloignées de celles des électeurs. C’est paradoxal, mais c’est ainsi. Évidemment après on a des décisions politiques qui ne représentent pas tout à fait la pensée de la majorité du peuple.

Parfois on voit des politiques accomplir des actes pour s’enrichir personnellement ou détourner de l’argent pour alimenter les caisses de leur parti politique. Évidemment là c’est du classique pour un juge lorsque l’affaire lui est présentée. Mais dans le cas que nous analysons ici, qu’un individu donne son argent, c’est tellement original que la situation submerge à l’évidence les capacités intellectuelles des juges. Et comme toujours, lorsque cela les dépasse, ils condamnent. Ici c’est à la raison que cela aurait pu « affecter la libre détermination des électeurs ». Mais mes chers juges, tout peut affecter la libre détermination des électeurs alors. Évidement, le code électoral pour éviter certains abus de grands partis riches et permettre aux petits partis de faire entendre leurs idées minoritaires, a eu l’idée de limiter les dépenses de campagnes. On entend ainsi restreindre la liberté d’utiliser son argent pour des affiches politiques notamment tout en donnant à chacun un temps de parole raisonnable dans les médias. On pense ainsi éviter un certain monopole de la pensée qui serait préjudiciable à la démocratie en limitant le pouvoir de l’argent. Une démocratie qui est riche du débat d’idées et de sa diversité d’idées. Personnellement je trouve toujours délicat de limiter la liberté pour quelque raison que ce soit dans la mesure où on ne nuit à personne, mais ici c’est vrai, ça se discute. Mais dans le cas que nous étudions ici, celui de M D. il s’agit de dons d’argent à des particuliers, c’est totalement différent, il ne s’agit pas de prendre par l’argent le monopole du débat d’idées.

La condamnation de M D. est d’autant plus absurde ici que chacun sait bien que l’électeur est toujours seul et isolé du regard d’autrui dans l’isoloir (par définition) face à son bulletin de vote. Et donc que lorsqu’il vote, il le fait toujours avec la plus grande liberté qu’il puisse avoir, si tant est que nous avons une certaine liberté ou un certain libre arbitre en ce bas monde. Évidemment, nos votes électoraux sont influencés par diverses choses. L’objectivité de nos opinions politique est évidemment impossible, et tout vote est le fruit d’une démarche qui ne peut qu’être subjective par définition et soumise à de multiples influences toutes plus ou moins discutables mais qui indiscutablement modèlent nos opinions avant le vote. Un film sur l’écologie deux jours avant une élection, un débat où un leader politique s’est ridiculisé, un look ou une tête qui nous plait moins qu’une autre plus sympathique etc.. Et oui , c’est la vie et chacun utilise ses atouts pour se faire élire, c’est ça la liberté de la démocratie. Bien sûr on pourrait en parler et faire un débat sur le sujet pour voir en quoi la démocratie n’est pas toujours le système politique idéal pour que la meilleure décision électorale émerge des élections ni même la décision électorale la plus représentative de la pensée politique profonde du peuple. On pourrait imaginer par exemple un système électoral où seuls pourraient voter ceux qui ont réussi à un examen quantifiant un minimum de capacités intellectuelles et de savoir politique. Ou plus simplement, leur faire passer un examen qui montrerait aussi qu’ils se sont penchés sur les divers programmes politiques pour choisir leur bulletin de vote en toute connaissance de cause. Mais c’est là un tout autre sujet et ce n’est pas le sujet d’ici. Et faute de cela par conséquent, ma foi, dans la mesure où le jeu électoral n’empiète par sur la liberté d’autrui et se fait dans la non violence, il est normal que chacun utilise ses atouts car c’est la règle du jeu de la démocratie. Chacun a le droit de faire ce que bon lui semble pour que les électeurs votent pour lui. Les beaux et belles se font beaux et belles, les sympathiques se font sympathiques et les malins usent par leur esprit pour manipuler les électeurs. Et pourquoi pas, les riches se font généreux même si c’est excessivement rare. Et c’est la vie. Imaginer que tous les électeurs votent selon leurs aspirations politiques profondes qui seraient le fruit d’une longue et mure réflexion politique, consécutive à une grande maturation intellectuelle et philosophique serait d’une naïveté inouïe. Eh bien c’est ce que nos juges du Conseil d’Etat semblent penser en condamnant ce pauvre monsieur D. car donner son argent à ses électeurs peut se voir « comme ayant pu affecter la libre détermination des électeurs ». Mais alors messieurs les juges, il faut condamner aussi pourquoi pas pour aller dans la même absurdité, tous les hommes qui invitent les femmes au restaurant en vue de devenir l’élu de leur coeur. En fait il faudrait condamner tous ceux qui utilisent leur argent pour influencer quoi que ce soit. Évidemment dans un monde idéal, je veux bien concevoir que seul l’esprit devrait déterminer nos choix politiques et que l’argent ne devrait pas compter pour influencer quoi que ce soit. Et même que l’argent ne devrait pas exister en fait. Mais pour l’instant dans ce bas monde, l’argent existe encore et vouloir interdire de l’utiliser comme bon nous semble, surtout quand cela ne fait de mal à personne et même fait des heureux est complètement absurde. Non vraiment messieurs les juges, vous faites preuve d’un tel vide philosophique ici qu’il faudrait qu’il soit étudié collectivement dans toutes les écoles de la République et fasse débat dans tous les médias. Ceci afin que cette étude serve de prise de conscience à notre nation toute entière pour réformer le recrutement des juges afin de sauver notre nation de vos jugements trop souvent plus absurdes les uns que les autres dès que la situation est un tant soi peu originale et demande un peu plus de profondeur philosophique qu’une situation banale. Car vous édictez alors des jugements qui détruisent notamment toutes les initiatives originales et en fin de compte vous détruisez à petit feu toute possibilité d’évolution de notre civilisation en y créant aussi toujours plus d’injustice alors que normalement vous devriez être les ultimes remparts de la justice. Mais pour que justice puissent être énoncée par nos juridictions, encore faudrait-il que ceux qui l’énoncent notamment dans les plus hautes juridictions, aient un peu plus de plomb dans la tête que la moyenne de la population. Et c’est là tout le cœur du problème que ce jugement met ici en évidence dès qu’on l’analyse un tant soi peu avec le regard du philosophe.

Ce jugement est un peu à mettre dans le même registre que ce qui s’est passé pour mon histoire des dents dévitalisées que j’arrachai pour redonner la santé. On n’a jamais vu ça, un dentiste qui guérit des maladies et évite des suicides en enlevant des dents dévitalisées, ma bonne dame. Cela ne peut être qu’une arnaque et ne peut être que condamnable avait pensé des juges français. Eh bien ici, quand un individu se montre généreux dans notre société, les juges français aussi le condamnent tellement c’est anormal.

Le cas de ce Monsieur D. est en plus je trouve fort intéressant à analyser. Ce monsieur bien qu’il ait travaillé toute sa vie est surtout l’héritier d’une immense fortune accumulée par son père Marcel Dassault, le célèbre fabriquant de matériel militaire. Un nom prédestiné à faire du matériel militaire notamment des chars (d’assaut, ah ah !) d’autant plus que le prénom était lui aussi assez guerrier (m’harcelle pas comme ça). Eh bien ce monsieur a décidé de donner sa fortune directement à d’autres qui manquent visiblement d’argent. Quand on voit ce que certaines associations humanitaires font des dons, notamment celles qui font de la recherche médicales , je me dis que ma foi, donner directement son argent à ceux qui sont proches de nous, n’est pas si insensé que ça quand on veut faire du bien autour de soi. C’est un acte de générosité extraordinaire je trouve, un acte qu’infiniment peu de personnes riches sont capables de réaliser dans leur vie. C’est un acte très religieux je dirai même, car donner aux personnes qui manquent c’est une forme d’empathie avec l’autre mise en pratique. La personne qui a réalisé un tel acte devrait en être très fière et nous en tant que nation devrions la citer en exemple plutôt que la condamner. Je connais peu de personnes qui seraient capables de donner leur argent à d’autres personnes que leurs enfants par exemple alors que le partage est un élément clef d’une société plus humaine. Si la plupart de l’humanité vit dans la misère, c’est aussi que les plus riches ne veulent pas partager leur fortune. 20% de l’humanité possède 80% des richesses. Et parmi ces 20%, il y en a encore seulement 20% qui possède encore 80% des richesses. Notre civilisation moderne est un modèle d’injustice mathématique dont nous devrions avoir honte quand on sait toute la souffrance qui résulte de cette injustice. Mais parfois, dans ce monde cruel de non partage, un individu a une prise de conscience et décide de partager son argent. Et devant un tel acte de générosité exceptionnel, que fait la justice française ? Elle le condamne. Quelle justice d’inconscients vraiment !

Pour voir le jugement aller sur http://www.conseil-etat.fr/ce/jurispd/index_ac_ld0938.shtml
Et pour le communiqué de presse du jugement sur http://www.conseil-etat.fr/ce/actual/index_ac_lc0923.shtml

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