article d’un confrère

December 22, 2008 on 8:50 pm | In Non classé |

Un confrère a écrit un article très très intéressant que vous trouverez à l’adresse suivante: http://www.odenth.com/public/articles/Dents%20mortes.pdf Cet article est paru sur la revue d’une association de dentistes qui s’intéressent aux rapports entre les dents et la santé générale et notamment à la toxicité des amalgames au mercure.
Cet article confirme qu’il est éthique d’accepter d’enlever toutes les dents dévitalisées d’un patient consentant et remet donc totalement en question ma condamnation par le Conseil de l’Ordre qui fut justement à cause de cela. Le seul reproche que je fais à cet article, est qu’il ne va pas assez loin en ne mesurant pas toute l’importance du sujet car selon certains spécialistes, qui sur le terrain guérissent ce que les autres n’arrivent à faire, la dent dévitalisée n’est pas une pollution de plus parmi tant d’autres mais la principale cause de cancers et de maladies graves en France et dans le monde occidental. Au cas où l’article disparaitrait de l’adresse internet précédente, je vous le joins en format texte, car je ne sais faire autrement, bien moins présenté donc que l’article originel que je vous conseille donc de consulter plutôt que de lire le texte qui suit et qui ne sert , je le rappelle, qu’au cas où l’article de l’adresse http://www.odenth.com/public/articles/Dents%20mortes.pdf disparaitrait.
Pour l’anecdote, je connais bien l’auteur de cet article et il n’est pas pour enlever systématiquement les dents dévitalisées. Il n’y a pas si longtemps je lui ai amené une patiente dans un état grave et il était urgent d’enlever certaines dents dévitalisées mais il a refusé car il ne les avait pas testé toxiques selon ses méthodes de tests. J’ai alors du me rendre chez un autre confrère qui a accepté de suivre mes directives et il a enlevé les dents que l’auteur de cet article refusait d’enlever. Je possède en effet d’autres méthodes de tests que lui. Cela a sauvé la vie de la patiente. Je serai toutefois toujours reconnaissant à ce confrère auteur de cet article, car c’est lui qui m’a enlevé jadis, la plupart de mes dents dévitalisées. Mais il a fallu que j’insiste un peu car même pour moi, un confrère convaincu, il ne voulait pas vraiment le faire…. Même si sur certains points je ne suis pas d’accord avec ce confrère qui est plus “bridge” que moi qui suis plus pour “les prothèses amovibles”, j’ai toutefois beaucoup d’estime pour lui et je reconnais que c’est le premier en France à avoir écrit un texte qui amène de l’eau au moulin qui préoccupe ce site.

Les dents “mortes”
Les dents “mortes”Les dents “mortes”

Récemment un de nos confrères a été condamné à la radiation à vie de l’ordre des chirurgiens-
dentistes et une lourde peine financière lui a été infligée pour avoir extrait plusieurs dents
dévitalisées. Le patient, consentant dans un premier temps, était revenu sur sa décision et
accusait le praticien de coup et blessures volontaires. Les experts du tribunal et le conseil de
l’ordre s’étaient basés sur les acquis de la science qui actuellement nient toute pathogénie
d’une dent dévitalisée présentant un traitement endodontique correct.
Dans notre travail quotidien nous nous trouvons en permanence avec un pied en prison
chaque fois que nous dévitalisons une dent saine ou si nous enlevons une dent morte.
L’article suivant basé sur les travaux de scientifiques réputés essaye de procurer des
arguments aux confrères qui cherchent une orientation biologique et holistique.

Regard
critique
sur
lestraitements
endodontiques
et
les
dents
mortes

En dentisterie universitaire nous avons appris à conserver des dents infectées ou mortifiées
avec des traitements endodontiques. Certaines écoles préconisent même – sans fondement
scientifique -la dévitalisation de dents vivantes si la carie est un peu profonde ou si on
envisage de couronner une dent saine.
Remarque à ce sujet :
Pour les actes « soins de la pulpe et des canaux », le texte de la convention précise que « La
nécessité
médicale
doit
être
validée
scientifiquement
». C’est pourquoi des clichés
radiographiques pré-et postopératoires sont exigés. (Extrait du texte de la Convention
dentaire Nationale 2006)
Les intercesseurs des traitements endodontiques affirment que ces traitements sont sûrs s’ils
réussissent. Le critère de la réussite est la preuve radiologique (cliché rétro-alvéolaire). Avec
les antibiotiques et les différents désinfectants on assure avoir banni tout risque d’une
infection quelconque. Toute perturbation à distance provenant de dents dévitalisées semble
donc être exclue.

Les praticiens d’orientation biologique par contre constatent assez souvent que leurs tests
énergétiques indiquent une pathogénicité plus ou moins importante provenant de dents
mortifiées ou dévitalisées. La radio rétro-alvéolaire ne semble pas être suffisante pour juger
une éventuelle action perturbatrice ou toxique d’une telle dent. Des bactéries peuvent survivre
dans les dents traitées et des toxines peuvent être distillées.
Au début du 20ème siècle la théorie de l’infection focale a joué un rôle dominant en médecine
et on enlevait sans hésitation les dents mortes si on les soupçonnait d’être responsable d’une
perturbation à distance.

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Mais avec l’amélioration des traitements canalaires et la percée des antibiotiques depuis les
années 1950, la position du corps médical envers des dents dévitalisées a entièrement
changée.
Ces dernières années, les progrès étonnants concernant l’identification microbiologique et la
possibilité de retrouver l’origine de bactéries dans la sphère bucco-dentaire ont de nouveau
réveillé l’intérêt à l’infection focale. (Debelian et al)
Plusieurs travaux scientifiques prouvent aujourd’hui que certaines pathologies systémiques
sont effectivement causées par des bactéries bucco-dentaires.

Pathologies systémiques causées par des microorganismes bucco-dentaires

Debelian et al., (1994). Systemic diseases caused by oral microorganisms. Endod. Dent. Traumatol.
10:57-65.

Pathologies systémiques causées par des bactéries oraux

Systemic Diseases Caused by Oral Infection
Xiaojing Li,1,* Kristin M. Kolltveit,1 Leif Tronstad,2 and Ingar Olsen1
Department of Oral Biology1 and Department of Endodontics,2 Faculty of Dentistry, University of Oslo,
Oslo, Norway

Dissémination dans le sang par anaérobies et champignons

Debelian et al . ( Debelian, G. J., I. Olsen, and L. Tronstad. 1998. Anaerobic bacteremia and fungemia
in patients undergoing endodontic therapy: an overview. Ann. Periodontol. 3:281-287)

Se pose donc la question sur la présence de bactéries dans les canaux dentinaires de dents
dévitalisées.
Est-ce que l’on doit supposer que la plupart ou toutes les dents dévitalisées sont infectées ?
Est-ce que des dents dévitalisées peuvent engendrer des pathologies systémiques dû à leur
dépôt bactérien?
Est-ce que les toxines produites par ces bactéries (endotoxines) peuvent engendrer des
inflammations ?
Vous trouverez quelques réponses à ces questions dans la littérature suivante :

Invasion bactérienne dans les tubulis dentinaires de dents vivantes et avitales humaines

Bacterial Invasion into Dentinal Tubules of Human Vital and Nonvital Teeth; Journal of Endodontics,
Vol. 21, No. 2, pp.70-73, 1995

1Shigetaka Nagaoka, DDS,PhD, 1Youichi Miyazaki, DDS, Hong-Jih Liu, DDS, PhD, 1Yuko Iwamoto,
DDS, 2Motoo Kitano, DDS, PhD, and 1Masataka Kawagoe, DDS, PhD

1Department of Operative Dentistry and Endodontology and 2Department of Oral Pathology,
Kagoshima University Dental School, Kagoshima, Japan

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Les analyses ont démontré: Ayant laissé une cavité dentaire non obturée pendant
150 jours, les dents vivantes ne présentaient que 1,1% de tubulis dentinaires infectés
pendant que les dents avec traitement canalaire avaient 39% de tubulis infectés par
des bactéries.

Dent vivante Dent avec traitement endodontique

Par conséquent: Les odontoblastes dans les tubulis dentinaires d’une dent vivante
créent une barrière physiologique contre une invasion bactérienne.

Dans la dent morte, par contre, ce rôle des odontoblastes se perd puisqu’ils
dégénèrent, et cela permet aux bactéries de pénétrer dans les tubulis.

La désinfection du système canalaire est-elle donc possible ?

De nombreux chercheurs ont travaillé sur ce sujet sensible :

« Le challenge de la désinfection du système canalaire »

Blum, Michailesco, and Abadie. (1997). J. Endod. 23:583.

« La désinfection chimique est-elle suffisante? »

Moritz et al., (1997). Lasers Surg Med. 21:221-226.

Le canal central d’une racine dentaire est toujours entouré de plusieurs millions de
tubulis dentinaires en trois dimensions qui permettent une infiltration bactérienne et
fongicide. En plus on sait qu’il existe souvent un deuxième canal dans une racine
sans parler des nombreux canaux collatéraux. Dans une radio de contrôle rétro
alvéolaire on ne voit que rarement l’obturation de tous les canaux. Et sur le plan
juridique la dentisterie universitaire parle d’un traitement réussi si on constate un
canal obturé par racine.

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Peut-on satisfaire ce challenge cliniquement à travers de désinfections chimiques

Moritz et al., (1997). J. Am. Dent. Assoc. 128:1525-1530

La stérilisation d’un canal radiculaire ne peut jamais être atteinte puisque le diamètre des
canaux latéraux et des tubulis dentinaires est beaucoup trop petit pour l’accès des instruments
ou pour une irrigation avec des solutions désinfectantes.

Sur l’image en
microscopie
électronique on
trouve les
bactéries (taches
blanches) dans la
masse dentinaire
et les tubulis
inaccessibles à la
désinfection :
Même des tests in vitro montraient que malgré la meilleure désinfection plus que 50% de la
dentine examinée restait infectée. (Vahdaty and coll. : Endod. Dent. Traumatol., 1993)

Anaérobies pénètrent obligatoirement dans les couches dentinaires profondes.

Ando N. and Hoshino E. (1990). International Endodontics Journal 23:20-27.

Dans les couches profondes de canaux radiculaires on a découvert des bactéries à 0,5-2mm de
distance de la barrière canalo-dentinaire. Il est fort probable que ces bactéries émigrent dans la
région péri-apicale et y créent des complications.

Echecs de traitements endodontiques et leur origine

1Louis M. Lin, BDS, DMD, PhD, 1Joseph E. Skribner, DDS, and 2Peter Gaengler, DDS,
PhD
1Department of Endodontics, University of Medicine
And Dentistry of New Jersey, Newark, N.J. and
2Department of Conservative Dentistry, Erfurt
Medical Academy, Erfurt, Germany
Journal of Endodontics (1992)18:625-627.

Les analyses cliniques de 236 échecs endodontiques ont démontré que 157 dents (= 67%)
étaient envahies de bactéries. Ceci prouve que la cause principale des échecs en endodontie
est la présence et la persistance de bactéries dans les canaux et la région péri canalaire.

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Est-ce que la radio rétro-alvéolaire montre réellement ce qui se passe dans et
autour d’une dent mortifiée ou dévitalisée ?

Pour la dentisterie universitaire, les experts médicaux et pour la sécurité sociale une radio
rétro-alvéolaire irréprochable est le seul et unique critère d’appréciation pour une dent
dévitalisée. Pourtant les différentes études prouvent que jusqu’à 97% des dents dévitalisées et
« correctement » obturées présentent des infections chroniques.

Analyses radiologiques et histologiques sur des apex dentaires de morts.

Green et al., (1997). Radiographic and histological periapical findings of root canal treated teeth in
cadaver. Oral Surg. Oral Med. Oral Pathol. Oral Radiol.Endod.83:707-711.

Sur les 19 racines examinées que 5 (=26%) montraient aucune singularité radiologique, mais
présentaient quand même des signes inflammatoires à l’examen histologique.

Lin et al., (1992). Journal of Endodontics 18:625-627.

Samuel Seltzer, B.A., D.D.S.

Department of Endodontology, School of Dentistry,
Temple University, Philadelphia, PA
Journal of Endodontics (1999)25:818-822
(1999)25:818-822.

Cette étude montre aussi que plus que la moitié des échantillons présentaient des inflammations péri-
apicales chroniques, dont certaines apparaissaient que 30 mois après la dévitalisation. Certains
auteurs affirment que seulement 7% des dents dévitalisées cicatrisent sans réaction inflammatoire.

(Brynolf : Odontol.Rev. 1967)

57% des racines examinées présentaient des dépassements de la pâte d’obturation canalaire ce qui
provoque régulièrement une réponse inflammatoire. Il constate que le foramen apical principal ne
correspondait que rarement avec l’apex radiologique de la dent.

Brisman, Brisman and Moses (2001). JADA 132:191-195.

Ces études mettent en cause la fiabilité des seuls diagnostiques radiologiques pour juger
l’inoffensivité des dents dévitalisées. La radio retro-alvéolaire ne peut jamais prouver la stérilité d’une
dent.

Les toxines et les bactéries qui se développent dans et autour d’une dent dévitalisée
ne sont pas visibles sur la radio.

Voici un exemple clinique du Dr J. Lechner (www.dr-Lechner.de) (www.totezaehne.de)

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Après
extraction
de la 11 on
découvre
une dent
foncée
brunâtre qui
laisse
apparaître
des
protéines
nécrotiques.
La dent 11 montre une bonne obtura-
tion canalaire sans signes particuliers
Après
extraction
de la 11 on
découvre
une dent
foncée
brunâtre qui
laisse
apparaître
des
protéines
nécrotiques.
La dent 11 montre une bonne obtura-
tion canalaire sans signes particuliers
Cet exemple prouve encore une fois que la plus belle couronne céramique et le cliché radio
parfait cachent le plus souvent une invasion massive de bactéries et toxines.

La présence et la quantité de toxines autour d’une dent morte peuvent-elles être
prouvées scientifiquement ?

C’est le Prof. B. Haley de l’université de Kentucky qui a développé un test intra buccal semi
quantitatif qui facilite beaucoup les examens du praticien : le Toxicity Prescreening Assay
(TOPAS). Ce test a récemment reçu sa certification CE/EU et est donc reconnu et disponible
en Europe. (www.dr-lechner.de/produkte) (www.topas-toxine.com)

Avec une pointe de papier on absorbe les toxines qui se trouvent dans le sulcus papillaire de la
dent à examiner. (www.altcorp.com/affinitylaboratory/topas.htm)


Pendant une minute on laisse la pointe de papier dans le sulcus.

Le sulcus devrait être sec et ne doit pas saigner.

Puis on trempe la pointe à papier dans un flacon qui contient un liquide indicateur.

Après 5 min. on compare l’intensité du liquide jaune avec un tableau.

Plus le liquide est jaune foncé plus de toxines provenant de bactéries des canaux
dentinaires diffusent dans le sulcus papillaire de la dent examinée.
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Le résultat du test indique indirectement l’intensité de la toxicité de la dent et son action
pathogène sur le système général. Il peut servir à éclairer le patient avec des arguments
scientifiques et faciliter ainsi la décision pour une extraction éventuelle.

(Voir également l’article « De quelques réflexions à propos des dents dévitalisées »
du Dr N. Stelling dans Autredent 49)

Les recherches des différents auteurs cités ci-dessus ont montré que jusqu’à 97% des dents
dévitalisées, malgré leurs traitements endodontiques apparemment bien réussis, étaient
envahies de bactéries et toxines apparaissant parfois que plusieurs mois après le traitement
canalaire. Puisque l’on ne veut pas mettre en cause la bonne foie des praticiens qui, malgré la
difficulté de l’acte, essayent toujours de réaliser un traitement canalaire parfait et conforme
aux acquis de la science universitaire et aux recommandations de l’ANDEM, il doit bien
exister une faille dans le système.
Dans mon travail de médecin-dentiste holistique, je suis assez souvent confronté à un
problème de conscience grave : une dent dévitalisée obturée dans les règles de l’art dentaire
signale une pathogénicité aux tests énergétiques, et le bilan informatisé avec le système de test
SkaSys indique la présence de Thioaether, Mercaptan, Cadavérine etc.

Parmi les multiples hypothèses, on pourrait retenir une
explication anatomique : Si on découpe la ou les racines
d’une dent extraite, ce qui par curiosité m’arrive souvent,
on découvre parfois que les canines, la deuxième
prémolaire, les racines mesio-buccales des molaires
supérieures, ou la racine mésiale des molaires inférieures
possèdent un deuxième canal. Je dois également rappeler
les multiples ramifications des canaux au niveau des
apex, ce qui est bien connu. La médecine dentaire
universitaire et le protocole de l’Agence Nationale pour
le Développement de l’Evaluation Médicale (1996) ainsi
que les experts de la Sécurité Sociale classent pourtant
une obturation canalaire en appréciation « succès » s’il y
a un canal obturé par racine.


Depuis 1998 pourtant, il est scientifiquement reconnu que 90% des molaires
supérieures possèdent un quatrième canal dans la racine mésio-buccale. Mais
l’odontologie officielle considère jusqu’à ce jour qu’une telle molaire soit
parfaitement traitée dès que trois canaux sont correctement obturés.

Cela signifie que, jusqu’à lors on doit considérer 90% des molaires supérieures
dévitalisées comme des porteurs massifs de bactéries et de toxines même si elles
semblent parfaitement bien obturées et que le contrôle radiologique soit sans soupçon.

Cela prouve que depuis longtemps l’enseignement scientifique en endodontie ne
correspond plus du tout aux réalités cliniques et biologiques.
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En regard de la particularité anatomique de chaque dent, nous sommes portés à apprécier les
traitements canalaires avec un oeil un peu plus critique.
La contradiction entre le diagnostic clinique d’une dent dévitalisée basé sur l’unique
appréciation d’une radio rétro-alvéolaire et notre diagnostic issu de tests bioénergétiques sème
souvent le doute dans la conscience d’un thérapeute holistique. Les travaux scientifiques cités
ci-dessus nous encouragent à faire plutôt confiance à notre ressenti et aux réponses que le
patient nous fournit à travers les tests énergétiques. Néanmoins ceci ne nous autorise pas à
extraire une dent morte sans avertissement, renseignement éclairé sur les conséquences,
information sur les alternatives au traitement proposé et consentement écrit du patient. Même
en prenant toutes les précautions possibles, la juridiction actuelle penchera toujours pour la
dentisterie universitaire et le patient traumatisé si ce dernier revient sur sa décision.
Comme pour l’amalgame, nous avons encore un long chemin devant nous pour faire connaître
et reconnaître la toxicité des nombreuses dents mortes.
De notre côté de dentistes énergéticiens nous pouvons donner l’exemple en renonçant aux
dévitalisations inutiles et en prenant toutes les précautions pour garder une dent cariée
vivante. Si en présence d’une pulpite irréversible ou d’une gangrène nous tenons absolument
à conserver une dent pour de multiples raisons médicalement ou humainement justifiées, nous
devons informer le patient que le traitement canalaire envisagé ne pourra pas garantir la
stérilité absolue de cette dent et que dans un futur plus ou moins certain elle risque de se
révéler comme foyer infectieux ou champ perturbateur portant atteinte à la santé générale du
patient.

DR. Hubert KLOOS
13, Boulevard Carnot
06400 CANNES

(Commentaire Tampon Indéterminée
vierge)
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