médecines et énergie

July 29, 2007 on 9:41 am | In médecines et énergies |

Médecines et énergie. (texte écrit fin Mars 2007 et complété en juillet 2007)
Vision globale de la maladie et des différentes médecines en fonction de la notion d’énergie.

Résumé du texte.
La maladie est devenu un gigantesque problème de société, vu le nombre d’handicaps et de maladies graves même chez de personnes de plus en plus jeunes, parce qu’on ne sait jamais vraiment intéressé aux effets secondaires redoutables de certaines médecines. Pourtant peu y croient vraiment en France et pas les médias en tous cas. Certains penseurs nous en avaient avertis depuis longtemps mais on ne les a pas entendus, surtout en France. Si on analysait le fonctionnement de nos médecines modernes d’un point de vue énergétique, on comprendrait pourquoi cela se produit. Toutes les maladies sont des manques d’énergie et les bonnes médecines apportent de l’énergie au corps tandis que les autres lui en enlève pour faire disparaître les maladies. C’est le cas de l’allopathie bien souvent ou de l’homéopathie aussi même si cette dernière renforce aussi les mécanismes d’auto guérison. L’allopathie est plus adaptée aux urgences alors que l’homéopathie est plus adaptée aux pathologies chroniques. Mais toutes deux enlèvent de l’énergie à l’organisme. Pourtant ces deux médecines apportent aussi beaucoup de services et sauvent tous les jours de nombreuses vies. Le mieux pourtant si on le pouvait pour soigner les maladies serait soit de renforcer le terrain soit d’apporter la vibration énergétique qui fait défaut soit de libérer les barrages énergétiques ou un peu des trois. C’est ce que font certaines médecines énergétiques. L’élimination des dents dévitalisées agit d’ailleurs des trois façons décrites précédemment.

Une même maladie pourra être causée par différentes causes. En médecine énergétique, il s’agira de ramener de l’énergie là où elle fait défaut. C’est ce qui fait dire qu’avec les médecines énergétiques, on soigne plutôt le malade que la maladie. Cela implique que les médecines énergétiques nécessitent souvent de la part du thérapeute, la maîtrise d’outils de diagnostic énergétique qui parfois peuvent s’objectiver par des instruments de mesure scientifiques tels les instruments de Morathérapie, l’AMSAT, le Vegatest, et divers appareils propres à la bioélectronique dite « de Vincent » du nom du professeur français qui en a posé les bases. Il existe aussi d’autres appareils. Parfois les outils de diagnostic sont dans un domaine plus ou moins subtil voire mystérieux et ne peuvent pas s’objectiver par des instruments scientifiques. Je pense par exemple au RAC (réflexe auriculo cardiaque) ou à la kinésiologie voire à l’utilisation du pendule.
Tout cela constituent des outils de diagnostic classiquement utilisés mais pas obligatoirement. L’interrogatoire, l’auscultation et la palpation sont aussi des outils de diagnostic énergétiques qui sont parfois les seuls à être utilisés. Je pense par exemple aux acupuncteurs ou aux médecins ayurvédiques qui utilisent toutefois aussi souvent l’écoute des pouls qui est une discipline très subtile aussi.
Quoiqu’il en soit, les médecines énergétiques possèdent une méthodologie différente d’une série de recettes où à telle maladie on applique tel traitement. Il est donc rarement possible de donner le même médicament ou effectuer le même traitement pour la même pathologie. La réussite du traitement dépend donc plus des qualités thérapeutiques du thérapeute que d’un protocole même idéal qui serait réalisé en vue du traitement de telle ou telle maladie. Mais en contrepartie de cette complexité, les médecines énergétiques permettront souvent de réussir à améliorer la santé des patients et leur vitalité, là où les autres médecines auront échoué. En ce sens elles constituent un gigantesque espoir médical qui pour se concrétiser nécessitera plus de former des thérapeutes énergéticiens que de rechercher le médicament miracle qui permettra de guérir telle ou telle maladie qui aura été diagnostiqué par des analyses diverses mesurant la quantité de tel ou tel élément, du sang par exemple. Mon Maître d’acupuncture avait l’habitude de dire qu’ « il n’y a pas d’échec de l’acupuncture mais juste des échecs des acupuncteurs ». On est assez éloigné ici, de l’esprit de la recherche médicale moderne qui est de rechercher le traitement type qui pourra être appliqué par le dernier des abrutis à des millions de personnes atteintes d’une maladie donnée et surtout qui pourra être mis dans une boite pour être vendu. Eh bien non, là il s’agira plutôt de soigner chaque patient différemment et cela même s’ils sont tous atteints de la même maladie. Le traitement sera à chaque fois différent et parfois il ne nécessitera aucun médicament susceptible d’être vendu. On comprend donc pourquoi les médecines énergétiques intéressent peu une logique de concentration de profits qui influence un peu trop souvent je trouve, la recherche médicale actuelle. Une logique qui d’un autre côté, il faut le reconnaître, a aussi un intérêt médical que ne possèdent pas les médecines énergétiques. Ce serait certes vraiment idéal d’avoir un médicament pour chaque maladie. Dans certains cas, cela a d’ailleurs été réalisé dans le passé et les antibiotiques par exemple ont permis de soigner assez facilement diverses infections qui auparavant provoquaient d’effroyables mortalités. Mais c’est dans certains cas, et pour des maladies plus complexes aujourd’hui, cette vision des traitements me semble atteindre ses limites.
Les deux approches sont plus à voir comme complémentaires, je pense, et je préfère donc plus le terme de médecines complémentaires qu’alternatives par conséquent, même si parfois il existe des contradictions évidentes dans leurs approches et qu’alors le terme « alternatives » serait plus juste. En effet, dans un cas on s’attachera absolument à soigner la maladie alors que dans l’autre, celui des médecines énergétiques, on préférera parfois que la maladie ou plutôt les éléments associés à la maladie comme les cellules cancéreuses, les bactéries et les virus et divers symptômes persistent, du moins un certain temps et dans une certaine mesure, car tout cela a un sens. On se contentera plutôt de renforcer l’énergie du patient car sinon on risque de mettre le patient dans un état d’invalidité ou pire de le voir décéder alors que la maladie elle aura été guérie paradoxalement. C’est la classique maxime qui reflète toute l’absurdité d’une logique qui ne tient pas compte de facteurs énergétiques: « la maladie a été guérie par la médecine mais le patient est décédé car il n’a pas supporté le traitement ».

Le texte proprement dit :

Ce texte n’est pas si simple à comprendre, je l’avoue. C’est même probablement un des plus complexes et cela même si j’ai essayé de le simplifier au maximum. Je l’ai même résumé pour ceux qui ne désiraient pas approfondir le sujet. On est à la limite du sujet des dents dévitalisées sans être toutefois hors sujet comme vous allez le voir. L’intérêt principal de ce texte est qu’il vous permettra de comprendre un peu mieux le sens de la maladie en général et comment agissent les différentes médecines (dont l’élimination des dents dévitalisées, fait aussi partie) par rapport au concept de l’énergie. Vous aurez alors une vision globale de ce que vous serez amenés à utiliser en cas de maladie. Cela vous sera alors très utile car peu de thérapeutes me semblent posséder cette vision globale, chacun appliquant généralement ses recettes dans son coin et exprimant à ses patients ses croyances. Des croyances généralement limitatives qui n’incitent pas le patient à rechercher toutes les solutions qui pourraient lui faire retrouver le chemin de la santé et dans certains cas, ne le mettent pas en garde non plus contre les effets secondaires terribles de certaines médications, surtout lorsqu’elles sont utilisées un peu trop souvent ou sont associées à la présence de dents dévitalisées. Il est donc important que soient délivrées certaines connaissances sur le sujet de la santé, et aujourd’hui particulièrement, car la santé constitue aujourd’hui un vrai problème de société. Et à juste titre car de plus en plus de gens sont malades, ce qui ne devrait pas être, si notre civilisation qui ne connaît ni la guerre, ni la famine, ni vraiment la misère, avait fait les bons choix. Et particulièrement de bons choix médicaux car nous allons faire comprendre que ce qui est devenu aujourd’hui un problème de société majeur, c’est-à-dire la santé, pourrait bien être la conséquence principalement de choix médicaux ayant des effets secondaires dont on n’a jamais vraiment mesuré l’impact négatif. Des philosophes modernes se sont déjà exprimés sur cette façon de voir sans qu’on les ait vraiment pris au sérieux, notamment en France. Je pense par exemple à l’ouvrage « Némesis médicale » de l’autrichien Ivan Illich, philosophe connu dans son pays (un peu l’équivalent de notre Bernard Henry Levy français) qui fit scandale dans son pays lors de sortie en 1975 ou de l’ouvrage du Lucien Sfez « la santé parfaite » ou des divers ouvrages de tout le courant naturopathique français notamment (Marcheseau, Passebecq etc…) qui fustige les terribles conséquences de notre médecine moderne qui s’est éloignée de la nature. Des ouvrages qui en France n’ont jamais vraiment réussi à déclencher de vraie polémique jusqu’à présent, en tout cas au point que les médias s’emparent du sujet et que de vrais débats de société soient organisés sur ce thème. Il serait vraiment temps que nos intellectuels français se saisissent du sujet avant qu’il soit prévu que 100% des français aient un cancer…Mais les médias nous inquiètent plutôt sur les dangers du tabac, de l’alcool (sauf du vin car c’est l’exception française), des drogues, des pesticides et des produits chimiques dans notre vie, de l’invasion des barbares des cités de banlieues, de l’insécurité grandissante, des pédophiles, du terrorisme, du retour de la pensée archaïques religieuse anti darwinienne donc antiscientifiques selon elles, et des sectes en général, et dernièrement du réchauffement de la planète et de la détérioration de notre écosystème (de l’écologie) en général, ou que sais-je encore, la grippe aviaire ou les épidémies en tout genre. Et en attendant, les maladies graves prospèrent en toute discrétion sans qu’existent aucune vraie polémique ni débat de société dans les médias qui donne la parole à des représentants de la pensée hérétique (comme moi par exemple, mais je ne suis pas le seul). Eh bien je prétends que tout ce que traite couramment les médias depuis un certain temps, pour nous mettre en garde, est infiniment moins important que ce que je vais traiter ici, et dont je traite plus généralement dans ce site. Et cela même si je ne prétends pas non plus que le tabac, l’alcool, la violence, les problèmes écologiques et le reste, ce soit ce qu’il y a de mieux pour la santé et sans danger en général.
Les naturopathes et plus généralement les contestataires de la pensée académique médicale qui essaient d’apporter des alternatives sont envoyés assez souvent en prison ou interdits d’exercer dans une indifférence quasi générale alors qu’ils représentent en fait un gigantesque espoir pour la santé de la population. Et cela notamment en France, alors que dans certains pays voisins comme la Suisse par exemple, les naturopathes sont carrément protégés par la loi, notamment vis-à-vis de l’exercice illégal de la médecine. La population suisse a semble-t-il compris que nos praticiens conventionnels utilisaient un peu trop souvent cet article de loi auprès de juges crédules, non pas pour protéger la population mais pour supprimer la concurrence tout simplement. De là à penser qu’en France, la persistance d’une grande crédulité sur ce point est la raison principale pour laquelle c’est le pays qui possèdent le plus malades et de malades graves notamment d’Europe, il n’y a qu’un pas.
La croyance que nous avons la meilleure médecine du monde est bien ancrée dans les cerveaux de nos concitoyens même si la plupart se traînent avec des maladies chroniques en prenant quotidiennement leurs médicaments et qu’il est prévu par les statisticiens que la moitié des français aura un cancer dans leur vie, sans compter toutes les autres maladies graves qui ne cessent de progresser de façon effarante. Mais pour la population, la raison est à rechercher ailleurs que dans notre médecine. Alors les gens continuent à lui faire aveuglément confiance en étant persuadés que la recherche médicale et pharmaceutique en particulier, finira par trouver les solutions au cancer et à toutes les maladies d’ailleurs. En France, les personnes prennent donc généralement leurs médicaments chimiques sans se poser la moindre question sur les éventuelles conséquences dramatiques qu’ils encourent pensant qu’ils ne peuvent de toutes façons rien faire d’autre et donc qu’ils ne pourront pas trouver ailleurs que dans leurs boites de pilules, un meilleur rapport bénéfice/risque. Et ce n’est pas totalement faux non plus car la médecine naturelle a tellement était détruite en France particulièrement qu’il est effectivement aujourd’hui très difficile de trouver de bonnes alternatives bien souvent. Et ils sont aussi très généreux avec la recherche médicale, car ce sont de braves gens ces français, je sais.
Ah, tout cela me fait rêver je dois dire quand je me rappelle l’énergie que je devais développer personnellement pour arriver à convaincre mes patients de faire enlever des dents dévitalisées qui ne présentaient aucune douleur ou et effectuer d’autres thérapeutiques originales, comme opérer des cavitations non douloureuses, faire des cautérisations et des piqûres un peu douloureuses, pour qu’ils retrouvent la santé ou la préserve. Sans compter l’énergie que je devais développer ensuite pour gérer leurs reproches s’ils n’étaient pas guéris rapidement. Cela m’a d’ailleurs amené aussi à développer toute une panoplie de thérapeutiques naturelles permettant d’optimiser l’action de l’élimination des dents dévitalisées et des thérapeutiques originales de dentisterie énergétique que j’avais développées. Un ensemble de thérapeutiques qui m’a bien souvent permis de guérir des pathologies soit disant inguérissables, dont par exemple une maladie d’Alzheimer assez avancée quand même ou d’autres pathologies du même niveau de gravité (polyarthrite rhumatoïde notamment). Sans compter des patients cancéreux qui faisaient l’étonnement de leurs cancérologues face à une efficacité de leurs traitements conventionnels qu’ils avaient rarement rencontrés sur les autres cas. Pas toujours suffisant toutefois, certains sont morts malgré tout. Et tout cela sans un centime de sponsorisation de personne. Et au lieu de me donner une médaille du mérite pour ces travaux qui pourront se révéler plein d’espoir pour la santé de millions de personnes (cf. la centaine de témoignages vidéos de guérisons sur www.sante-dents.com car ce ne sont pas que des mots) quand mes confrères dentistes commenceront à s’y intéresser, on m’a puni à être interdit d’exercer. Plus précisément interdit d’exercer à vie par le Conseil de l’Ordre et ensuite à cinq années par la justice pénale, ce qui fait de façon humoristique, à vie plus cinq ans. Eh oui, la vie est pleine de paradoxes et il vaut mieux en rire.
Le caractère gigantesque de la problématique de santé actuelle n’est pas une vue de l’esprit mais est confirmée par des chiffres qu’apporte d’ailleurs entre autre, l’article de ce site : « Réflexions sur l’Abbé Pierre ». Pour ne donner qu’un chiffre, depuis l’après guerre et notamment depuis le développement de notre médecine moderne, les maladies graves doublent environ tous les quinze ans. Et cela particulièrement depuis la prise en charge par la sécurité sociale de la couronne sur dent dévitalisée dans le début des années cinquante. Phénomène qui s’est encore accéléré ensuite d’ailleurs avec les mutuelles et la CMU (« Ne vous inquiétez pas, ça ne va quasiment rien vous coûter ma brave dame avec votre bonne mutuelle. On va vous traiter toutes les dents et faire de belles couronnes dessus… ». Dans ce cas on évite généralement de dire on va vous tuer ou vous dévitaliser toutes vos dents, on dit qu’on va les traiter). On voit bien par ailleurs que le vieillissement de la population n’est pas une explication suffisante à l’augmentation faramineuse des maladies graves (ce que confirme un professeur du CNAM, le conservatoire national des arts et métiers, dans l’autre article du site déjà cité) puisqu’elles touchent aussi une population de plus en plus jeune. Comme tous les problèmes commencent par l’ignorance, les problèmes de santé pourraient donc bien être la première conséquence de certains manques de connaissance que ce texte va un peu essayer de combler.
Pour bien fonctionner, l’organisme nécessite de posséder une quantité suffisante d’énergie mais plus précisément aussi des quantités suffisantes de chaque type d’énergie. Chaque fonction de l’organisme (digestive, respiratoire, circulatoire, hépatovésiculaire etc…) nécessite en effet un type d’énergie particulier, une fréquence vibratoire pourrait-on dire, pour fonctionner correctement. Si on pouvait analyser le spectre (graphique des fréquences par un spectrographe qui est un appareil utilisé par les astrophysiciens) des fréquences vibratoires émises par un corps en bonne santé, il est probable que cela ressemblerait au spectre solaire. Cela ressemblerait aussi au spectre de la lumière blanche, c’est-à-dire la lumière qui comporte en elle toutes les autres couleurs. La mauvaise santé correspondrait à un spectre où certaines vibrations sont plus faibles qu’elles ne le devraient. Pour permettre de retrouver la santé, il est nécessaire de retrouver bien sûr le niveau énergétique de la fonction qui manque d’énergie. L’organisme humain comme tous les organismes biologiques, possèdent des mécanismes d’auto guérison qui permettent donc à la fonction malade de retrouver son niveau d’énergie quand cela est possible. Cela est très important à comprendre. Les mécanismes d’auto guérison peuvent être silencieux certes mais s’expriment en général par des symptômes qu’on peut appeler réactionnels et qui sont le plus souvent la fièvre, la douleur, l’inflammation, les mécanismes de l’allergie, la transpiration, l’augmentation du rythme cardiaque, et l’hypertension notamment, bref tout ce qui se manifeste par un excès d’une fonction de l’organisme. Parfois les mécanismes d’auto guérison n’arrivent pas à suffire pour guérir. Il est alors important d’intervenir si on veut guérir. Il existe trois « bonnes » façons qui seront plus développées ultérieurement mais en gros il s’agit :
1/ Soit de redonner plus d’énergie à tout l’organisme.
2/ Soit de redonner à l’organisme la vibration qui lui fait défaut. La vibration défaillante va alors rentrer en résonance avec ce qu’on lui présente et se remettre au bon niveau.
3/ Soit enfin, de libérer le flux de l’énergie circulante afin que la fonction déficiente soit à nouveau réalimentée correctement en énergie.
Ces trois façons sont qualifiées de bonnes car elles n’ont pas d’effets secondaires indésirables. Les effets secondaires indésirables sont la conséquence d’un manque d’énergie et s’expliquent par d’autres façons de soigner.
Il existe en effet aussi pour soigner, la possibilité de rabaisser l’énergie globale de l’organismes ou d’une ou plusieurs autres fonctions. On effectue des transferts d’énergie d’une certaine façon. Le spectre se rapprochera à nouveau d’un spectre harmonieux de santé même si cela a été aux dépends de l’énergie globale. C’est le domaine des médecines des poisons.
Il y a aussi la possibilité d’apporter à l’organisme la substance qui lui fait défaut sans chercher à faire rentrer en résonance la vibration défaillante correspondante. C’est le domaine des substituts hormonaux (par exemple l’insuline délivrée aux diabétiques).
Ces méthodes n’amènent pas des guérisons à proprement parler même si elles rendent aussi des services inestimables et sauvent de nombreuses vies tous les jours. Mais comme elles possèdent aussi des effets secondaires indésirables, je ne les qualifie toutefois pas de bonnes méthodes. Et je m’explique, car ici dans l’esprit de « bonne », il y a l’idée de permettre un jour au malade de s’affranchir de toute médecine et de retrouver un état de vitalité important sans maladies. Bref de retrouver la santé.
Toutes les maladies viennent d’un manque d’énergie d’une façon ou d’une autre. Même les excès d’énergie (fièvre, rougeur, etc..) cachent un manque d’énergie. Même lorsqu’on meurt d’excès de chaleur (canicule par exemple), c’est à la limite que l’organisme ne possède pas assez d’énergie pour gérer cet excès de chaleur par le mécanisme de transpiration. Alors il vaut mieux se rafraîchir certes (donc éliminer de l’énergie), faute de mieux. Et même lorsqu’un os se casse, c’est souvent qu’il n’y avait pas suffisamment d’énergie à cet endroit, ce qui a produit une fracture. Fracture qui aura d’autant plus de mal à se réparer que le manque d’énergie persistera. Même les infections sont dues à un manque d’énergie de l’organisme qui n’arrivera pas à enrayer une invasion de germes qui ont pour fonction de nettoyer ce qui est passé au dessous d’une certaine énergie. En ramenant correctement l’énergie qu’il faut, là où il faut, et avec plus d’efficacité au bon moment (en tenant compte de la chronobiologie), on peut donc guérir en théorie toutes les maladies. Et en pratique, on en guérit bien plus que ne pourraient le penser certains, qui n’ont appris la médecine que sur les bans d’une université qui ne s’est depuis longtemps intéressé qu’à la médecine des poisons. C’est très intéressant à savoir alors que beaucoup de personnes croient de façon limitée qu’on ne pourra guérir certaines maladies que lorsqu’on aura trouvé le médicament synthétique qui correspond à la dite maladie. Croyance qui est généralement renforcée par les représentants de la pensée académique et de tout un système qui a mis ses principaux espoirs thérapeutiques dans la commercialisation de molécules pharmaceutiques. Cette croyance est probablement le plus grand frein, en France notamment je pense, à la santé de la population. J’en ai déjà parlé mais c’est si important qu’il n’est pas inutile de le répéter. Dans les maladies génétiques toutefois, tout cela est bien plus complexe et nécessitera des thérapies « énergétiques » particulières appelées thérapies géniques. Des thérapies qui sont plus actuellement du domaine de la recherche d’ailleurs même si les thérapies énergétiques existantes permettent quand même d’améliorer l’état des patients atteints de maladies génétiques mais pas de les guérir à proprement parlé. Mais souvent cela suffit à ce que leur vie et leur longévité soient satisfaisantes. Mais l’élimination des dents dévitalisées et la prise de conscience des effets secondaires de notre médecine moderne, constitue aussi une prévention importante aux maladies génétiques, comme nous le comprendrons plus loin dans ce texte et dans ce site en général. Il ne faut pas l’oublier.
Il faut comprendre que dans la vision énergétique de la maladie, la maladie apparaît lorsque l’énergie d’une fonction de l’organisme passe au dessous d’un certain seuil d’énergie.
Il existe deux types de symptômes associés à la maladie. Les symptômes que j’ai déjà qualifié de réactionnels (fièvre, douleurs, allergie, augmentation de la pression sanguine et du rythme cardiaque notamment) et les symptômes que je qualifie aussi de destructionnels car ils correspondent à la détérioration plus ou moins importante de notre organisme (destruction des structures organiques, paralysies en tout genre etc..).
Après un certain âge, la quantité globale de l’énergie disponible diminue. Des manques d’énergie qui ne donnaient auparavant pas de symptômes sont alors mis en évidence. Avec l’âge, on voit apparaître plutôt des symptômes de type destructionnel tandis qu’enfant on a plutôt des maladies de type réactionnel qui traduisent plus d’énergie vitale (énergie yang).
C’est toutefois à l’age adulte qu’on est normalement le plus robuste et qu’on a le plus d’énergie car les différentes fonctions de l’organisme ont atteint leur maturité (maximum d’énergie yin).
Les maladies possèdent généralement plus ou moins les deux types de symptômes d’ailleurs, c’est-à-dire réactionnels et destructionnels. La maladie dans son expression réactionnelle a pour objectif de remonter le niveau d’énergie de la fonction malade pour la réparer donc guérir le patient et éviter par conséquent l’apparition de symptômes destructionnels. Par exemple, une inflammation en dilatant les vaisseaux sanguins sert à apporter des éléments de défense contre les germes qui pourraient détruire des organes. C’est un peu pareil pour la fièvre d’ailleurs.

L’expression réactionnelle est incluse dans ce qu’on peut appeler plus généralement, les mécanismes d’auto guérison. Ils pourront d’ailleurs d’autant plus se mettre en place qu’on supprimera les causes de la maladie et qu’on remettra l’organisme dans les meilleures conditions.
Parfois les mécanismes d’auto guérisons ne suffisent pas toutefois à supprimer les maladies. Il faut alors avoir recours à diverses médecines. Mais il est préférable si possible d’utiliser des médecines qui ne contrarient pas les mécanismes d’auto guérison et mieux encore préservent l’énergie de l’organisme. Ce sont les médecines dites naturelles ou en accord avec le corps en opposition avec les médecines que j’appelle médecines des poisons (pour en savoir plus lire « la médecine des poisons « sur le site www.dent-devitalisee.com).
Si les symptômes donc les maladies en quelque sorte ont un rôle thérapeutique par l’auto guérison qui y est associée, les maladies ne sont pas non plus sans inconvénients et sans danger. C’est évident, car leur persistance peut aboutir à des destructions aussi. Parfois elles peuvent même tuer. C’est un paradoxe qui fait qu’il vaut mieux ne pas être malade mais que parfois il vaut mieux rester malade de certaines maladies que de supprimer la maladie par certains moyens non naturels. Les allergies par exemple sont de bons moyens d’expulser des poisons. Il ne faut quasiment jamais les supprimer par les médecines des poisons, sauf dans certains cas d’urgence particulières comme l’œdème de Quinck qui fait s’étouffer. Le sport est aussi une bonne façon d’expulser les poisons qui sinon pourront être contenus dans des graisses disgracieuses que l’organisme fabriquera pour se protéger des dits poisons. Mais parfois quand on est trop faible, et déjà très maigre, le sport peut trop fatiguer et il vaudra mieux s’en abstenir même pour éliminer des poisons. Parfois il vaut mieux utiliser des poisons comme des antibiotiques qui empoisonnent les cellules et tuent les plus fragiles c’est-à-dire les cellules bactériennes. Et cela quand on ne peut rien faire d’autre (c’est souvent ça le problème) pour éviter une destruction d’organes par des bactéries toxiques. Un exemple bien connu en médecine est l’angine à streptocoques béta hémolytiques. Ce type d’angine peut avoir des conséquences graves car ces germes vont alors dans les articulations ou les valves cardiaques et faire de graves destructions.
Tout est complexe et dépend de divers facteurs. C’est le sens clinique du praticien conscient de la gravité de la maladie et de l’état du malade qui permettra de savoir s’il faut intervenir ou pas. Car dans ce domaine, notamment la médecine d’urgence, l’erreur peut être fatale. Une petite allergie peut ne pas être soignée par la chimie, c’est même préférable, mais une allergie de type œdème de Quink est une urgence car le patient peut mourir étouffé rapidement. J’en ai déjà parlé d’ailleurs. Il vaut alors mieux utiliser un petit poison que voir mourir le patient c’est évident.
Il existe deux façons de mourir. Soit sans maladie, quand le niveau énergétique de l’organisme atteint un niveau trop faible. C’est la mort de vieillesse par exemple, mais elle peut aussi arriver avant d’être vieux. On s’éteint alors comme une petite bougie qui n’a plus de cire. Soit on peut mourir de maladie. La mort se passe alors comme une chaîne qui se casse parce que son maillon faible a cédé. Dans ce second cas, les médecines qui abaissent le niveau d’énergie de l’organisme (allopathie et homéopathie comme nous allons le voir), sont mieux que de ne rien faire car elles évitent la mort et cela même si dans l’idéal, il est toujours préférable d’utiliser des médecines qui n’abaissent pas le niveau d’énergie de l’organisme. On peut mourir aussi d’une troisième façon en fait, d’une longue maladie qui a fini par épuiser énergétiquement l’organisme.
Compte tenu du fonctionnement énergétique de la machine organisme, il existe en gros, j’en ai déjà parlé au début du texte, trois bonnes façons de supprimer la maladie sans altérer l’énergie de l’organisme. Sinon il y a aussi la médecine de poisons qui à terme aura certains inconvénients (pour en savoir plus le texte « la médecine des poisons » même si j’en parle aussi un peu à la fin de ce texte).
Parmi les bonnes façons qui seront classées en trois catégories, il n’est pas rare d’ailleurs que face à des pathologies chroniques ou des pathologies destructionnelles, l’application de ces médecines face réagir l’organisme et produisent donc des symptômes réactionnels. La fièvre, la douleur, la rougeur, la diarrhée, les nausées (voulant dire au corps qu’il faut vomir) par exemple peuvent revenir, ce qui est le signe que le corps a réactivé ses mécanismes d’auto guérison et qu’il est en train de se nettoyer des poisons qui sont la cause de la pathologie chronique. C’est important à savoir car sinon cela pourrait aboutir à une inquiétude du patient qui pourrait consulter un praticien conventionnel qui stoppera les symptômes par la médecine de poisons. La guérison de la pathologie chronique sera alors entravée. Pour donner un exemple que je voyais fréquemment, il n’était pas rare qu’après une bonne séance d’acupuncture, des dents (malades) se mettent à faire mal par exemple. Des fièvres pouvaient se déclarer aussi.
Parmi les trois « bonnes » façons de supprimer les maladies, la première façon est d’augmenter l’énergie globale. On parle alors de renforcer le terrain. C’est tout le domaine de la naturopathie notamment. On augmente la quantité globale de l’énergie disponible dans toutes les fonctions de l’organisme, soit en augmentant les apports d’énergie, soit en nettoyant l’organisme ce qui doit d’ailleurs être fait en priorité (cf. texte « médecine des poisons »). Comme on remonte alors la quantité globale d’énergie dans tout l’organisme, on remonte aussi par conséquent l’énergie de la fonction affectée que l’organisme peut alors mieux réparer par ses mécanismes d’auto guérison. Si c’est suffisant, la maladie guérit. Renforcer le terrain est le domaine de la diététique, de la gymnastique, du yoga et du chi kong, du sauna et du hammam, des purifications en général (purge, lavements ou hydrothérapie du colon, vomitifs par exemple) et de l’hygiène vitale en général (jeûner, marcher dans la nature, faire du sport, toucher les arbres, manger bio, manger des graines germées, respirer du bon air, etc…), des techniques médicales non spécifiques : amaroli, oléation, magnétothérapie, ozonothérapie, suroxygénation, méditation, médecine de l’habitat etc…
La vieillesse fait au contraire diminuer l’énergie du terrain ce qui fait que des maladies apparaîtront étant donné que l’énergie de diverses fonctions descendra au dessous du seuil de la santé.
La seconde façon est d’apporter à la fonction malade, la vibration énergétique spécifique qui lui manque. Ainsi on remonte l’énergie de la fonction malade qui alors passe au dessus du seuil de la maladie. Cela peut se faire soit directement soit indirectement par réflexologie. C’est le domaine des médecines énergétiques en générale : phytothérapie, huiles essentielles, élixirs de fleurs, chromothérapie, musicothérapie, acupuncture, massages, cristallothérapie, magnétisme, cataplasme de plantes et d’argile, thermothérapie, ondes magnétiques pulsées, les réflexologies auriculaire, plantaire, faciale etc….
La troisième façon est de libérer la circulation de l’énergie. On enlève pour cela les barrages énergétiques.
La circulation de l’énergie étant libérée, les fonctions sont alors mieux alimentées en énergie. C’est le domaine de la psychologie, l’ostéopathie, la chiropraxie, des massages et du traitement des cicatrices chirurgicales notamment. Le flux de l’énergie ainsi libéré va alors mieux alimenter la fonction malade. Son niveau d’énergie repassera au dessus du seuil de la maladie et ce sera encore la guérison.
En fait chacune des thérapies de ces trois catégories, appartient aussi un peu aux deux autres catégories, car tout est en tout.
Dans les cas graves, il faut souvent agir sur les trois aspects de l’apport de l’énergie c’est à dire, renforcer le terrain, ré-energétiser la fonction malade spécifique et débloquer la circulation de l’énergie. Il n’est pas mauvais d’associer les bonnes choses, donc les bonnes thérapies. Au contraire, c’est recommandé.
L’élimination des dents dévitalisées en particulier et la dentisterie énergétique en général, agit clairement des trois façons décrites précédemment. Premièrement, en nettoyant le corps d’un poison qui diffuse des toxines bactériennes et des bactéries toxiques, on renforce le terrain qui sera moins intoxiqué. Deuxièmement, en éliminant un poison qui bloque par action réflexologique, un organe spécifique à distance, on permet à ce dernier de retrouver la vibration vitale dont il a besoin pour bien fonctionner. Troisièmement enfin, en éliminant un barrage à la circulation de l’énergie, cela libère la circulation de l’énergie qui resterait bloquée sinon au niveau de la bouche.
L’élimination des dents dévitalisées en particulier et la dentisterie énergétique en générale agit donc clairement des trois bonnes façons qu’il existe d’apporter de l’énergie, mais surtout elle constitue une médecine des causes. C’est pourquoi encore une fois, elle se révèle souvent supérieures aux autres thérapeutiques qui n’agissent plutôt que d’une seule façon ou n’éliminent pas les causes. Il n’y a qu’à voir la centaine de témoignages vidéos du site www.sante-dents.com et d’explorer un peu tous les faits qui sont consignés dans ce site pour s’en convaincre.
Vis-à-vis de l’énergie, que font les deux grandes médecines des poisons que connaissent généralement les occidentaux et les français en particulier, c’est-à-dire les médecines allopathique et homéopathique (cela est plus détaillé dans le texte « la médecine des poisons ») ?
La médecine homéopathique, par les poisons à très petite dose (ou dose homéopathique) qu’elle délivre, stimule les mécanisme d’auto guérison. Elle provoque généralement au début du traitement une augmentation des symptômes avant de guérir, car c’est une médecine énergétique. En ce sens c’est très bien. Mais comme elle utilise aussi des poisons même à très petite dose voire même juste l’empreinte des poisons laissée dans des supports (eau ou sucre), elle abaisse aussi en quelque sorte la quantité globale d’énergie en présence dans l’organisme. Pour reprendre l’image de la chaîne et ses maillons que sont les différentes fonctions de l’organisme, on peut dire qu’elle renforce le maillon faible en prenant l’énergie du reste de la chaîne. L’homéopathie a comme intérêt de ne pas provoquer d’autres maladies en soignant une maladie donnée, comme le fait l’allopathie. Mais à terme elle aura comme répercussion si on y a recours un peu trop souvent, à la désenergétisation de l’organisme. On obtiendra un organisme guéri toutefois c’est-à-dire en fait sans maladie, mais qui à terme pourra manquer de vitalité. En utilisant régulièrement l’homéopathie, on mourra alors en bonne santé certes (c’est déjà ça) mais plus tôt qu’il ne l’aurait fallu car les fonctions vitales s’arrêteront faute d’énergie, que les maladies (dans leur expression réactionnelles) auraient voulu en fait reconstituer. Je connais une histoire terrible d’un homéopathe qui soignait systématiquement son fils à l’homéopathie dès qu’une maladie se présentait. Un jour son fils adolescent ne s’est pas réveillé car il est mort dans son sommeil, sans aucune maladie. A force de supprimer ses maladies qui avaient notamment pour objectif de désintoxiquer son organisme, les poisons ont bloqué les fonctions et notamment la fonction cardiaque et le cœur s’est arrêté. Et oui la maladie a un sens et il n’est jamais anodin de vouloir systématiquement la faire disparaître car ce serait alors « nier le soi » plus que soigner. Il aurait mieux valu qu’il le mette à diète et le laisse au lit se reposer et se guérir par lui même. Dans certaines techniques de médecines naturelles, on recrée d’ailleurs des maladies pour en soigner d’autres plus graves. C’est la technique de l’abcès de fixation par exemple mais on peut aussi créer une irritation de la peau en regard avec un organe malade. L’irritation de la peau contribuera à soigner l’organe sous jacent. L’homéopathie étant bien moins agressive que l’allopathie elle sera préférable dans les situations de chronicité car elle permet de stimuler les mécanismes d’auto guérison.
Quand à l’allopathie, hormis pour quelques exceptions, les poisons à grosse dose qu’elle administre généralement par ses inhibiteurs enzymatiques détruisent les enzymes vitales. Ce sont les anti-douleurs, anti-fièvres, anti-tension, anti-allergique, anti-ceci et anti-cela qu’elle utilise pour supprimer les symptômes associés à des germes ou des poisons qui attaqueront alors d’autres organes. En terme énergétique cela revient à supprimer l’excès d’énergie de la fonction malade. Dans le cas des anti envahisseurs (antibiotiques, la chimiothérapie ou radiothérapie), l’allopathie s’attaque aux agents envahisseurs en empoisonnant l’organisme. Les agents envahisseurs meurent certes car ils sont plus fragiles que les cellules saines de l’organisme, mais tout l’organisme est empoisonné aussi par la même occasion. En terme énergétique tout cela revient aussi à désénergétiser l’organisme.
Mais plus précisément pour reprendre l’image de la chaîne, cela revient dans le cas des inhibiteurs enzymatiques à protéger (et non renforcer comme le fait l’homéopathie) le maillon faible en affaiblissant un autre maillon (et non tout le reste de la chaîne comme le fait l’homéopathie). Par exemple en soignant une inflammation avec l’allopathie vous pourrez avoir mal à l’estomac mais avec l’homéopathie vous ne déséquilibrez aucun organe en particulier mais affaiblissez tout l’organisme. Le maillon qui est affaiblit par l’allopathie est plus essentiel car plus proche du cœur du système en plus, mais plus robuste toutefois. L’image de la citadelle avec différentes enceintes protégeant son cœur, serait d’ailleurs ici plus adaptée.
En soignant certaines maladies bénignes par l’allopathie, on en fabrique de très graves. Mais diront les allopathes, on évite aussi des complications aux maladies qui auraient pu être très graves elles aussi. Et ils ont raison mais ce qui aurait été le mieux est de soigner les maladies sans fabriquer des maladies encore plus graves et cela les bonnes médecines naturelles peuvent le faire. Mais ça ils ne savent pas le faire car il ne l’ont pas appris et c’est là tout le problème, et quant à ceux qui le savent ils se sont arrangés pour les faire disparaître méthodiquement avec la complicité d’une loi célérate, celle de l’exercice illégale de la médecine, pour soi disant protéger la population.
Dans le cas des anti envahisseurs (antibiotiques notamment) toutefois, le maillon faible est protégé mais en affaiblissant toute la chaîne cette fois ci car les antibiotiques empoisonnent toutes les cellules et pas spécifiquement celles d’une fonction définie.

L’avantage de l’allopathie sur l’homéopathie est qu’elle agit beaucoup plus vite car ne nécessite pas d’attendre la mise en place des mécanismes d’auto guérison. De plus elle est beaucoup plus simple à utiliser. A telle pathologie correspond tel médicament. Elle est donc préférable dans les situations d’urgence. Si l’allopathie a des avantages sur l’homéopathie, l’allopathie a aussi des inconvénients que l’homéopathie n’a pas. Elle abîme progressivement les mécanismes de défense et d’auto guérison et favorise ainsi l’apparition de maladies toujours plus graves comme le cancer ou les métastases ou d’autres maladies graves qui traduisent une profonde pénétration des agents intoxiquant (poisons et germes) au cœur même de l’organisme. Au bout d’un certain temps, apparaissent les maladies graves. La médecine envisage alors souvent comme solution la chirurgie pour éliminer les organes irrécupérables, fabriquant alors des mutilés et coupant au passage avec le bistouri des circuits énergétiques. Evidemment bien souvent aussi la chirurgie sauve des vies et répare des situations inextricables. Mais il est certain aussi à la vue d’informations qui sont encore malheureusement trop peu connues, qu’elle est bien trop souvent utilisée qu’elle ne le devrait (comme l’allopathie et l’homéopathie). Afin d’éviter d’arriver trop vite à ces états graves, il est souvent déconseillé d’associer divers médicaments allopathiques ce qui renforce leur toxicité ou de les associer à un poison fréquemment utilisé qui est l’alcool. Associer les mauvaises choses n’est généralement pas une bonne idée au contraire d’associer les bonnes choses.
(Tiens on entend de ne pas associer la cigarette et la pilule. Dans quelle catégorie classez-vous donc la pilule contraceptive qui pourrait bien être une cause de cancer du sein à mon avis ?)
Lorsque les fonctions organiques sont détruites, l’allopathie ne peut que fournir éventuellement des substituts aux substances que l’organisme ne sait plus fabriquer par lui-même (hormones en général telle l’insuline notamment ou d’autres hormones) ou des appareillages (fauteuil roulant, lunettes, appareils de dialyse etc…) ou des greffes d’organe par exemple. Ce sont en quelque sorte des prothèses. Certaines prothèses ont plus ou moins de toxicité. Un bras en moins par exemple ne donne pas de maladie mais un bras greffé nécessitant la prise régulière de médicaments anti-rejets qui sont immunosuppresseurs peut favoriser des maladies par conséquent. Certaines prothèses par contre ne sont en rien toxiques. Au contraire même certaines sont carrément vitales (appareil de dialyse). D’autres comme certaines prothèses amovibles dentaires ou les cannes sont utiles pour l’énergie car elles lui permettent de mieux circuler en rétablissant une certaine architecture. Dans le cas des hormones (médicaments prothèses), l’inconvénient est que l’organisme voyant ainsi lui être apporté des substances qui lui manquent, se met encore moins à les fabriquer lui-même. Phénomène bien connu de feed-back négatif. Cela rend dépendant le malade de ses médicaments à tel point que s’il les arrêtait brusquement il pourrait en mourir, surtout s’il n’est pas aidé par les médecines énergétiques. S’administrer soi même ses hormones ne pourra de plus jamais être aussi bien que si c’est le cerveau qui en commande l’administration naturellement inconsciemment. Les médecines naturelles essaieraient au contraire de stimuler l’organisme à fabriquer à nouveau ses propres hormones, ce qui est bien mieux si tant est qu’elles y parviennent. Si on prend des hormones de substitution, ses descendants seront notamment les descendants de quelqu’un qui possédaient un organe qui ne fonctionnait quasiment plus et seront alors prédisposés à être eux aussi dépendant des mêmes substituts hormonaux que leur géniteur. Ainsi se renforce encore plus le cortège des maladies génétiques. Il y a obligatoirement des inconvénients à prendre des hormones de substitution même s’il y a aussi des avantages évidents qui améliorent la vie du patient, voir peuvent la lui sauver quand on ne sait rien faire d’autre. Prendre des hormones de substitution n’est pas mal par conséquent mais il faut savoir qu’il peut exister mieux, si tant est que l’organe qui fabrique la dite hormone n’est pas totalement détruit et donc qu’on peut le refaire fonctionner.
Tout cela est complexe je sais mais les explications trop simplistes qui veulent tout mettre dans des cases bonnes ou mauvaises, ne sont pas arrivées jusqu’à présent à apporter des solutions à la gigantesque problématique actuelle de société moderne que représentent les problèmes de santé. Il serait donc temps de voir qu’il y a du bon certes dans nos médecines habituelles remboursées par la sécurité sociale mais qu’il y a aussi du mauvais, en en mesurant vraiment les conséquences.
Dans le cas de l’homéopathie et l’allopathie, la vie du malade est toutefois améliorée à court terme. On sait bien qu’avec l’allopathie on sauve tous les jours la vie de nombreux malades. On sait aussi qu’avec l’homéopathie, on guérit tous les jours nombre de maladies chroniques. Et je dirai même aussi qu’avec la dévitalisation dentaire on supprime tous les jours des douleurs de dents qui auraient pu sinon se faire suicider des patients à la limite. C’est ce qui a fait tout le succès de ces médecines bien sûr et toute leur utilité. Mais la disparition des maladies se fait alors ici aux dépends de l’énergie de l’organisme ne l’oublions pas. C’est un paradoxe qui fait qu’à terme parfois (mais pas toujours bien sûr) les choses pourront se révéler pires que si on n’avait rien fait ou plutôt qu’on avait fait d’autres choix car souvent il faut bien faire quelque chose. L’apparition en grande quantité de nouvelles maladies, de maladies graves et de handicaps pourrait bien être une des premières conséquences de l’utilisation trop fréquente des médecines des poisons. C’est même une certitude pour moi. Lorsque j’enlevais des dents dévitalisées, je ne donnais quasiment jamais d’homéopathie, ni d’allopathie, afin de mettre de mon côté toutes les chances de guérison des maladies à distance car la bonne énergie, on n’en a jamais trop.
Il est donc toujours préférable de choisir si on le peut, des médecines qui ramènent de l’énergie et non en enlève à l’organisme. Et c’est de ne pas avoir fait ce choix qui est en train de nous conduire en occident en général et en France en particulier, à une civilisation d’handicapés. Le nombre de personnes qui souffrent du mal de dos (huit français sur dix), de douleurs diverses et d’autres maladies qui les handicapent plus ou moins est hallucinant. Dix pour cent de la population active (les personnes en age de travailler) est déjà reconnue et indemnisée comme personne handicapée. Et les maladies graves et les handicaps ne cessent d’augmenter de façon effroyable. Il y a véritablement péril en la demeure. Trop peu de personnes même dans le monde politique abordent ce sujet qui est pourtant aujourd’hui un sujet majeur de société. Ce qui coûte le plus cher à notre pays ce n’est pas le chômage, ni la précarité, ni la violence, c’est la maladie devenu premier budget de la nation. Et pourtant aucun candidat à l’élection présidentielle n’en a parlé vraiment en 2007, enfin de ce que j’ai entendu. La raison est que les politiciens comme la majorité des français d’ailleurs ne connaissent pas les solutions qu’il faudrait mettre en place. Ils ne comprennent même pas pourquoi on en est arrivé à cet état catastrophique qui sort totalement des clivages droite-gauche. Il est nécessaire de comprendre que cela ne se serait pas produit avec des médecines qui ne prennent pas le risque de réduire l’énergie de l’organisme. Des médecines qui ont été régulièrement attaquées par les conseils de l’ordre en invoquant soit le charlatanisme dangereux pour la population (je connais bien la chanson) soit l’exercice illégal de la médecine. Des médecines en plus défavorisées car elles ne sont pas remboursées. Les praticiens accrédités ne sont donc pas incités commercialement à les pratiquer. Tout notre système a donc encouragé d’une façon ou d’une autre, jusqu’à présent, la destruction de connaissances et de pratiques permettant de préserver ce que nous avons de plus précieux, c’est-à-dire la santé.
C’est toujours bon à savoir, je crois, si on veut commencer à inverser la tendance. Et inutile de chercher à ce que les allopathes, les homéopathes et les dentistes qui dévitalisent des dents vous confirment cette façon de voir. Faut pas rêver quand même…. Enfin ça pourrait aussi arriver quand même, faut pas désespérer…

Dr Bruno Darmon

P.S. Je rajoute une info que je viens d’avoir au journal de la santé de ce mardi 3 Avril 2007. Une enquête a été faite sur les grandes villes du monde où il fait le mieux vivre en terme de santé c’est-à-dire où on est le moins malade. Paris arrive en trente septième position je crois et Bagdad en dernière position. Mais ce qui est le plus intéressant est que c’est Zurich qui arrive en tête du Palmarès. Et savez vous quelle est la grande ville la plus proche de la seule clinique en Europe qui dit explicitement à tous ces patients qu’il faut enlever toutes les dents dévitalisées, la clinique Paracelse et cela depuis une vingtaine d’années à des milliers de patients, eh bien c’est Zurich aussi comme par hasard. Intéressant comme coïncidence.

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