Anatomie dentaire incompatible avec dévitalisation parfaite.

February 6, 2009 on 2:28 pm | In Non classé | Comments Off

Anatomie endodontique complexe, donc dévitalisation parfaite impossible.
Ce texte est un plutôt pour les scientifiques, ceux qui veulent toujours des explications scientifiques, vous savez….
Ici c’est pour montrer que compte tenu de l’anatomie dentaire interne (endodontique) de la première molaire du haut, les techniques de dévitalisation parfaites sont impossibles, la plupart du temps.
Voici donc une publication scientifique récente qui s’intéresse à l’anatomie de l’intérieur des dents, l’anatomie endodontique. Elle va dans le sens que des dents ont la plupart du temps une anatomie trop complexe pour être correctement dévitalisées. Ici c’est avec un deuxième canal mésiovestibulaire(à l’avant et à l’extérieur) présent dans 80% des cas nous dit l’article pour la première molaire du haut. La présence de ce deuxième canal implique toujours nous dit aussi l’article, des communications avec le premier canal « Les communications entre les deux canaux ont été trouvées dans tous les échantillons ». Ce que ne dit pas la publication mais que tous les dentistes savent, c’est qu’il est alors impossible lorsqu’on dévitalise, de pouvoir désinfecter et obturer correctement de telles anatomies, les communications ici plus précisément, sans fabriquer de foyer infectieux. Mais on peut aussi le comprendre même lorsqu’on n’est pas dentiste quand on sait que les traitements endodontiques (de dévitalisation) sont effectués avec des instruments longitudinaux uniquement, car cela ne peut être fait autrement de façon pérenne. Il existe en effet une autre technique avec de la chaux mais dans le temps, elle se dissout et disparait, et les bactéries reviennent inéluctablement.
Bref avec cet article, quand on sait lire entre les lignes, on comprend notamment pour la première molaire du haut, que la première molaire du haut dévitalisée deviendra tôt ou tard inévitablement un bouillon de culture dans 80% des cas. Et cela indépendamment des tubulis dentinaires, ces petits canaux microscopiques de la dentine ou ivoire, qui sont encore un autre problème, et qui de toute façon même avec une anatomie de la dent la plus simple possible et la plus facile à obturer feront toujours de la dent dévitalisée une éponge putride avec le temps dans 100% des cas..
Encore une publication qui confirme donc que même avec le plus parfait des traitements endodontiques, pour la première molaire maxillaire, vous avez une grande chance, 80 % plus exactement, d’avoir tôt ou tard une grosse niche putride dans la bouche, si la dent est dévitalisée. Mais bon à vrai dire le problème pour convaincre du problème de la toxicité des dents dévitalisée est plus humain que scientifique et même avec toutes les preuves possibles les confrères ne voudront pas voir qu’en dévitalisant des dents ils empoisonnent la population tout comme en général les gens ne veulent pas entendre parler d’extraction pour guérir et donc souvent de dentier ensuite sauf éventuellement lorsqu’ils sont à l’article de la mort. Et encore.. Et aucune publication scientifique ne changera cela. Je me demande donc même pourquoi j’ai encore écrit un article sur le sujet à la sauce scientifique……
Vous pourrez trouver cet article à l’adresse suivante sur un site professionnel : http://www.dentisfuturis.com/modules/news/article.php?storyid=962
Attention, les termes sont un peu professionnels (donc complexes eux aussi) car c’est tiré d’une revue professionnelle, je le rappelle. Parfois c’est même un peu mal formulé je trouve mais bon j’ai laissé tel quel. Il y avait quelques fautes d’orthographes sur l’original que j’ai corrigé ici toutefois.

Voici l’article corrigé au cas où il disparaitrait de l’adresse précédente.
Les données suivantes concernant la racine Mesio Vestibulaire des premières molaires maxillaires ont été analysées. Le type de canaux radiculaires, la prévalence d’isthmes, la prévalence de connexions intercanalaires, la présence de canaux d’accessoires, la présence de boucles et le nombre de foramen apicaux.
Les résultats de cette étude ont montré que le deuxième canal Mésio Vestibulaire (MV2 ) est présent dans 80 % des échantillons et des MV2 indépendants dans 42% de ces cas.
Lorsqu’ils sont présents, les MV2 ont fusionné avec le MV1 dans 58% des cas. Les communications entre les deux canaux ont été trouvées dans tous les échantillons et avec isthmes dans 71% des cas. Ces communications et isthmes étaient respectivement de 42% et 54% des cas dans le 1/3 coronaire, et à 59% et 79% des cas dans le tiers médian et 24% et 50% des cas dans le tiers apical. Un seul foramen apical a été constaté dans 37% des échantillons, deux foramen apicaux étaient présents dans 23% des cas, avec trois ou plus foramens apicaux survenant dans 40% des échantillons.
Conclusion. L’anatomie des canaux Mesio Vestibulaires s’est révélée complexe: une incidence des canaux radiculaires, isthmes, canaux accessoires, delta apicaux et boucles a été trouvé sur cette racine.

Root canal morphology of the mesiobuccal root of maxillary first molars: a micro-computed tomographic analysis
Authors: Somma, F.1; Leoni, D.1; Plotino, G.1; Grande, N. M.1; Plasschaert, A.2
Source: International Endodontic Journal, Volume 42, Number 2, February 2009 , pp. 165-174(10)

La source du mal

January 2, 2009 on 12:50 pm | In Non classé | Comments Off

La source du mal.

Notre médecine moderne comme tous les domaines de la société est imprégnée d’une logique commerciale. Ma foi, cela tout le monde en a à peu près conscience. Le problème est qu’à peu près tout ce qui sort de cette logique commerciale est écarté, voire combattu si des intérêts sont carrément mis en danger et cela même la santé de millions de personnes pourrait être améliorée grâce à ces dites informations. Cela trop peu de personnes en ont conscience en général car sinon ça changerait. Pour illustrer ces propos par quelques exemples, pendant des années, l’ostéopathie et les ostéopathes ont été combattus par la médecine, et avant eux les homéopathes et les acupuncteurs. Des domaines qui ont fini par plus ou moins s’imposer grâce au succès qu’ils ont eu auprès du public. Mais si ces grandes disciplines médicales ont fini par gagner leurs lettres de noblesse, ce n’est pas le cas de bien d’autres disciplines qui sont tuées dans l’œuf avant de pouvoir obtenir une reconnaissance du public. Non pas qu’elles ne soient pas efficaces voire extraordinaires même parfois, mais elles sont peut-être un peu compliquées à accepter par le public ce qui fait que seule une minorité de patients s’y intéresse. Restant alors très minoritaires, il leur est assez facile de se faire massacrer par une corporation médicale qui ne se comporte pas plus noblement que se comporterait une entreprise commerciale qui défend avant tout ses intérêts, et donc détruit la concurrence avec l’aide d’un article de loi qui s’appelle l’interdiction d’exercice illégal de la médecine ou simplement avec l’interdiction d’exercer signifiée par les Conseils de l’Ordre si ceux qui appliquent ces méthodes trop concurrentielles sont des diplômés. Ce système, Conseil de l’ordre et justice, qui à l’origine est sensé protéger les patients se retourne en définitive contre la santé publique dans les faits. Je peux prendre des exemples concrets. L’ozonothérapie, une thérapeutique utilisant l’ozone qui revitalisent les tissus en les suroxygénant, très peu connue en France et pourtant très efficace, même si elle n’a jamais été remboursée par la sécurité sociale, a été combattue par la médecine et nombre de médecins ozonothérapeutes ont été interdits d’exercer. Mais c’est aussi ce qui arrive encore à certains homéopathes s’ils ont le malheur d’exprimer leurs avis sur certains traitements chimiques. Le Dr Gardenal pour ceux qui connaissent l’histoire, en a fait les frais dernièrement, elle qui n’était pas très motivée pour conseiller à ses patients la cancérologie moderne. On ne compte plus non plus comme interdits d’exercer, ces médecins qui se sont opposés aux vaccinations. La liberté d’expression n’est pas de règle dans le milieu médical…. ni même les débats sur la place public, ou plutôt les médias, pour tout ce qui remet en question les dogmes modernes médicaux qui sont présentés comme des vérités absolues, elles mêmes reflet du progrès incontestable sauf par des marginaux et des méchantes sectes dont il faut se méfier, c’est bien connu….. C’est d’ailleurs comme un progrès incontestable qu’est présentée la dent dévitalisée par la profession, un progrès qui a permis de sauver de millions de dents. Eh oui c’est vrai en plus mais en rajoutant aussi que cela a permis de créer aussi des millions de maladies graves et de cancers. Une vérité peut en cacher une autre encore plus importante… Et cela est vrai dans nombre de domaines de la médecine moderne. Les vaccins en sont aussi un bon exemple. Certes ils évitent les maladies pour lesquelles on vaccine mais tout comme pour la dent dévitalisée, lorsqu’on se penche sur le sujet avec un œil critique et une vision globale, il n’est pas si sûr que cela que leur bilan soit globalement positif.
« Après tous les vaccins, je me rappelle que mon enfant a eu des infections qui ont été soignées par antibiotiques, comme cela se doit évidemment car il n’y a pas d’autres solutions, puis comme il était de plus en plus fatigué, alors on a fait des examens médicaux et les médecins ont découvert une leucémie. Oh là là incroyable non, et heureusement qu’on a la sécurité sociale en France et le meilleur système de santé du monde…. ». Cette réflexion de gentille, de brave personne, me rend avant tout triste. Et je suis encore plus triste de voir la vie d’enfants gâchée par tant de crédulité chez ces personnes qui se disent les aimer et qui croient encore que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes dont notre médecine fait partie. Ces braves gens qui empoisonnent leurs enfants avec la certitude qu’ils n’ont fait que le mieux qu’il puisse y avoir et qui ne s’imaginent pas une seconde qu’ils ne sont que les pantins de la Matrix. J’aime bien ce terme de Matrix en référence au film du même nom que je vous conseille vivement de voir d’ailleurs. Un film dont le nom fait référence à une matrice qui en mathématique représente un outil d’organisation élaboré de multiples données. La Matrix médicale est effectivement élaborée tel un système redoutablement organisé. Mais organisé d’une organisation sans conscience qui en fin de compte conduit surtout à empoisonner, manipuler et exploiter les braves gens, en achetant au passage la caste médicale pour mieux renforcer la médecine des poisons qui est très probablement sous la haute gouvernance du prince des ténèbres qui se nourrit de vibrations de souffrance comme vous et moi nous nourrissons des aliments. Mais tout cela sert d’une certaine façon à l’évolution des uns et des autres. Combien faudra-t-il de souffrances à ces braves gens pour qu’enfin ils se réveillent de leur léthargie et comprennent que leurs cotisations sociales servent avant tout à engraisser cette bête immonde matricielle qu’ils ont laissé se développer par leur propre bêtise d’une certaine façon, en commençant en général en se rendant complice par leur passivité du meurtre de la liberté d’expression, notamment dans le domaine médical. Et ne croyez pas que c’est par la violence vis-à-vis de la caste médicale ou de qui que ce soit que la problématique se résoudra car alors cela ne ferait que renforcer la puissance des forces démoniaques qui d’une certaine façon il est vrai, œuvrent pour protéger la vie en encourageant même s’il le faut, les expressions les moins conscientes de cette vie à s’autodétruire entre elles. Après tout ce sérieux, il faudrait un peu d’humour… Connaissez-vous la prière du dentiste ? C’est « Mon Dieu, prothésez-nous », car c’est avec les prothèses notamment les couronnes sur dents dévitalisées que les dentistes gagnent le plus d’argent… Un humour tout à fait adapté d’ailleurs au sérieux du discours précédent.
Mais revenons à nos moutons c’est-à-dire à nos vaccins qui évitent certaines maladies. C’est comme toute l’allopathie qui il est vrai a sauvé tant de vie mais d’un autre côté nous fabrique une civilisation de grabataires et d’handicapés et dégénère l’espèce humaine en affectant son patrimoine génétique. Mais bon à part ça, rien de grave…. Eh oui une vérité peut en cacher une autre bien plus terrible, et cela est d’autant plus terrible qu’il existe des solutions alternatives dans les médecines naturelles qui n’ont pas ces effets secondaires terribles. Mais ce sont des solutions qu’il faut arrêter de tuer dans une attitude hégémonique que notre civilisation aime bien adopter notamment dans le domaine médical. Il serait alors nécessaire d’accepter de remettre en question ce que l’on pense être des vérités incontestables en commençant par laisser s’exprimer ceux qui les contestent justement et non pas en les opprimant comme c’est fait aujourd’hui. Le vrai progrès commence par une attitude de non violence vis-à-vis de ceux qui expriment des idées qui dérangent certains. Il est certes facile pour une majorité de faire taire une minorité par la force, par des sanctions notamment, comme ça a été le cas pour moi avec les dents dévitalisées, ou comme c’est le cas pour ces médecins qui remettent en question le bien fondé des vaccinations ou de la radiothérapie ou la chimiothérapie en cancérologie par exemple, mais c’est pourtant là que commence l’atteinte à la liberté d’expression. Et la liberté d’expression est la première marche de l’escalier de l’évolution de notre civilisation, car c’est d’elle que nait le débat d’idée dont peut émerger une certaine expression de la vérité. « Au début était le verbe….. » pour rappeler cette phrase de la Bible. Alors bien sûr ceux qui attentent à la liberté d’expression ont aussi leurs arguments et je les rappelle. « Ah oui ! Mais si on laisse dire n’importe quoi, les gens vont être perdus et la santé c’est trop important pour jouer à ça, alors on se doit de faire taire ces voix discordantes qui ne conduiraient en fait qu’à plus de morts et de souffrances. » C’est sur ce genre de théorie qu’on a construit des systèmes totalitaires et enfermé des gens dans des goulags. C’est sur ce genre de théorie perfectionniste que notre médecine moderne est devenue elle-même un système totalitaire en fait, car c’est ce qu’elle est aujourd’hui aussi incroyable que cela puisse paraitre. Et la première chose à faire pour sortir de cet état que je qualifie d’hystérique est d’édicter des lois pour protéger cette liberté d’expression, et cela même dans le domaine médical. Car à interdire de dire des bêtises on en est arrivé en fait tout à fait au résultat inverse c’est-à-dire à un système médical qui est d’une certaine façon une gigantesque bêtise qui ruine notre civilisation tout en produisant toujours plus de malades. Pour approfondir un peu sur la liberté d’expression je vais peut-être vous choquer car je ne suis pas vraiment politiquement correct mais la liberté d’expression implique pour moi le droit de défendre même les théories les plus absurdes sans être en quoi que ce soit pénalisé même dans son travail notamment. Pourquoi vouloir opprimer les négationnistes par exemple qui nient les camps de concentrations de la dernière guerre et même de vouloir édicter une loi comme certains y pensent pour punir les négationnistes. Je connais bien un rabbin qui dit que ce qui était arrivé pendant la dernière guerre mondiale aux juifs est le juste résultat d’un éloignement de ce peuple des lois de dieu. Que d’une certaine façon ils ont eu ce qu’ils méritaient. Une sorte de karma en quelque sorte. Eh bien même si ce rabbin vit en Israël, ce n’est pas parce qu’il dit ça qu’on le persécute. Pour lutter contre le négationnisme, Il suffit juste d’informer sur les faits pour ridiculiser ceux qui en niant les faits se ridiculisent d’eux-mêmes. Pour aller encore plus loin et finir, je dirais que même les discours racistes et qui prônent la haine ne doivent ni être punis et empêchés d’être exprimés. On ne supprime pas le racisme en empêchant son expression et en le punissant par les tribunaux, au contraire même, je pense qu’ainsi on le favorise. On ne supprime le racisme qu’en développant la conscience que nous sommes tous frères et sœurs et créatures de Dieu fait avant tout pour aimer son prochain, ce que les religions font d’ailleurs. Mais pour en revenir à nos moutons c’est-à-dire à la démonstration que notre médecine actuelle a eu jusqu’à présent une attitude hégémonique revenons-en à certains faits. Ont été aussi souvent emprisonnés, les guérisseurs en général, les magnétiseurs aussi, les rebouteux, les naturopathes surtout s’ils déconseillent à leurs patients les médicaments chimiques prescrits par les médecins, les découvreurs de médicaments qui sortent d’une certaine logique commerciale. Les exemples ne manqueraient pas. Même celui qui a apporté la macrobiotique en France, qui est aussi une façon de s’alimenter pour rester en bonne santé, Georges Oshawa, fut jadis traduit devant les tribunaux par le Conseil de l’Ordre de médecine. Jadis du temps du gouvernement de Pétain, ce furent tous les médecins juifs qui furent interdits d’exercer par le Conseil de l’Ordre. Plus récemment ce fut le Dr Hamer qui remis en question la cancérologie moderne qui passa trois années dans les prisons françaises. Mais le reste du monde ne manque pas d’exemple. Une scientifique canadienne, Hulda Clark qui remet en question aussi depuis des années la médecine conventionnelle est condamnée à l’emprisonnement aux Etats-Unis et a due s’exiler au Mexique où elle a ouvert un centre de médecine alternative. Centre dans lequel elle fait d’ailleurs enlever les dents dévitalisées de ses patients…Mais il y en a tellement d’autres exemples moins connus aussi, si vous saviez. Si vous êtes malade et en recherche d’autres solutions que celles apportées par notre système médical, il est important que vous en soyez conscient car c’est peut-être en cherchant hors des sentiers battus que vous trouverez vos solutions. N’espérez pas de la corporation médicale qu’elle vous apporte des solutions qui représentent un concurrence pour elle. Actuellement, c’est le règne de la chimie médicale bien souvent qui peut se mettre en boite et se vendre facilement. Une chimie qui a aussi d’une certaine façon plus ou moins détruit la médecine des plantes en s’arrangeant pour que le diplôme d’herboristerie ne soit plus reconnu en France et que seule les pharmacies soit habilitées à délivrer des plantes, ce qu’elles ne font quasiment pas car cela sort d’une certaine logique commerciale, renforcée par les bons remboursements de la sécurité sociale pour tout ce qui est chimique. Le grand problème est que si la chimie médicale soigne d’un côté, elle pourrait bien être la première cause des maladies graves qui apparaissent ensuite. La conscience de la toxicité des dents dévitalisées fait partie évidemment de ces informations méconnues et inappliquées qui pourraient constituer une aide considérable à la guérison des patients. Cet hégémonisme de la médecine actuelle sur certaines informations est d’autant plus dommageable que la maladie est devenue un fléau qui ruine notre société tant sur le plan humain que économique d’ailleurs, alors que certaines informations méconnues voire sciemment occultées permettraient de résoudre en grande partie nombre de problèmes, probablement bien plus que les sommes faramineuses récoltées pour le Téléthon par exemple. Le jeu en vaudrait donc la chandelle. Seulement voilà, ces informations très minoritaires donc très fragiles, et qui devraient idéalement être protégées pour le bien être de la population, sortent d’une certaine logique commerciale et demanderaient aussi souvent de la part des patients une certaine remise en question de leurs croyances. Ces remises en questions sont d’autant plus difficiles à effectuer que la population est conditionnée à croire que seule la science moderne est apte à trouver des solutions aux maladies et que c’est là que réside le seul espoir à avoir. Si vous lisez ce texte, il est probable que vous n’êtes pas dans ce cas, néanmoins il n’est pas inintéressant d’analyser et de décortiquer même pourquoi certaines informations importantes restent largement méconnues et inemployées. J’utiliserai pour cette tache l’étude du cas de la toxicité des dents dévitalisées mais cette analyse vaut aussi pour nombre d’autres informations précieuses non exploitées par la médecine. On comprendra alors pourquoi dans le domaine médical, le « si c’était vrai ça se saurait » est très souvent faux aujourd’hui dans notre société. Cette analyse a d’autant plus de valeur qu’elle n’est pas juste théorique mais illustrée de nombre de faits réels que j’ai croisés dans mon action d’information sur la toxicité des dents dévitalisées durant des années.
Pour expliquer en très résumé ce qui va être développé ici, je citerai une phrase de la Bible : « on ne peut servir Dieu et Mammon » qui signifie qu’on ne peut avoir pour priorité de servir la vie et ses propres intérêts financiers, il faut choisir. D’une autre façon on pourrait aussi dire que c’est parce que l’homme s’est éloigné de la spiritualité, qui en premier lieu lui permettrait de comprendre que tous les humains sont frères et sœurs. Et d’une certaine façon, à un niveau subtil qui est difficilement accessible aux non croyants, comprendre que servir l’autre c’est aussi se servir soi même. Aujourd’hui la croyance généralisée est plutôt issue de la croyance darwinienne dans la lutte pour la sélection naturelle ce qui revient à croire que la vie est un combat contre les autres pour survivre. Cette croyance n’est pas indépendante de celle que la seule préoccupation à avoir est de servir ses propres intérêts. Toute action qui remettrait par conséquent en question ses intérêts est à combattre, même si elle présente un intérêt pour la collectivité. Lorsqu’il s’agit des intérêts d’un groupe, on parle alors de corporatisme. La médecine n’échappe pas à cette forme de pensée corporatiste. Mais parfois il peut s’agir aussi d’une information qui ne présente aucun intérêt pour aucune corporation et donc qu’aucune corporation n’a à gagner à ce que la nouvelle information soit connue, même si le bien être de l’humanité entière pourrait être amélioré. Dans ces cas, le rôle des lois, du gouvernement et des médias sont alors essentiels si tant est que les médias effectuent correctement leur rôle c’est-à-dire d’informer et de mettre véritablement en exergue les informations précieuses afin que la population soit informée. Mais encore faut-il que la population soit apte à comprendre tout l’intérêt de ces dites informations, ce qui est encore une autre paire de manche. Nombreuses sont les informations trop spécialisées pour être comprises à leur juste valeur par le grand public. La médecine est un particulièrement bon exemple de cela avec son charabia médical. Le grand public s’en remet alors aux spécialistes, et on les comprend. Et avec une confiance d’autant plus aveugle que c’est le domaine médical. Domaine qui est considéré comme particulier par la population, comme si les acteurs du système médical s’étaient affranchis des bassesses humaines. La population a une forme d’admiration quasi hypnotique vis à vis de la médecine. Le système de remboursement mis en place y est pour beaucoup. Lorsqu’on consulte ces personnes, elles nous rendent service et en plus on ne paie pas en quelque sorte. Cela les rend particulièrement sympathiques, c’est vrai. En plus tout le monde sait que les études médicales sont des études particulièrement difficiles. Les médecins bénéficient d’un capital sympathie qu’on ne rencontre quasiment nulle part ailleurs dans la société. Si les pompiers peut-être aussi…C’est comme si la société pensait que nos médecins (et nos dentistes aussi) étaient au delà des considérations mercantiles qu’on peut rencontrer dans les autres domaines de la société. Elle pense donc plus qu’ailleurs, que comme la santé est un domaine sacré, c’est : « si c’était vrai ça se saurait ». Ce texte va vous démontrer au contraire qu’en fait dans la médecine, c’est peut-être pire qu’ailleurs et en tout cas ce n’est pas mieux. Les spécialistes de la santé ont aussi dans leur tête les croyances que la vie est un combat contre les autres, que la seule préoccupation à avoir est de servir ses propres intérêts et que toute action qui remettrait en question ses intérêts est à combattre, même si elle présente un intérêt de la collectivité. Et face à un public sous hypnose, la tache laissant le public dans l’ignorance d’informations essentielles mais anti commerciales est assez facile tandis que la tache qui consiste à diffuser une information nouvelle qui n’est pas aidée par le système médical ou pire qui est combattue est extrêmement difficile. Et c’est là tout le problème. Mais le jeu en vaut la chandelle car je pense que c’est justement d’une certaine façon à cause de cette problématique d’hypnose collective que notre société est particulièrement malade aujourd’hui.
Toute information qui remet en question les intérêts de la corporation médico dentaire a peu de chance d’émerger grâce au tandem Conseils de l’ordre et les experts médicaux auprès des tribunaux. Il suffit alors d’y adjoindre des juges qui ont un pois chiche dans la tête, et ce n’est pas ce qui manque avec le système de recrutement actuel des juges, pour que le système pervers fonctionne à la perfection. Évidemment en théorie, le Conseil de l’ordre est là pour protéger la population ignorante de dérives charlatanesques et il est vrai que parfois cela est effectivement fait. Mais étant donné que le Conseil de l’Ordre est constitué de personnes sans spiritualité particulière, dans les faits, la protection des intérêts corporatistes est encore bien plus souvent réalisée.
On entend aujourd’hui souvent incriminer les pollutions environnementales, alimentaires et toute cette chimie qui a imprégné notre mode de vie, comme la cause principale de nos maladies. Cela est même à la mode chez certains médecins qui se découvrent une âme d’écologistes en ne faisant d’ailleurs que répéter ce que les vrais écologistes disaient depuis des années. De façon étonnante, leur discours a peut-être plus de poids car étant médecin ils bénéficient du capital sympathie de la population vis à vis de tout le système médical. Mais certains sont eux-mêmes parfois dans leur pratique quotidienne de fervents adeptes de la médecine moderne chimique des poisons qui empoisonne encore plus que tout ce qu’ils dénoncent. Selon moi la cause principale des maladies graves et des cancers aujourd’hui est plus à rechercher dans notre médecine moderne et notre chirurgie dentaire qu’ailleurs et je vais en partie expliquer pourquoi ici, même si le texte « la médecine des poisons » l’explique encore plus.
Dans une logique mercantile, la médecine va nécessiter des produits à vendre si elle veut s’enrichir. On va donc rechercher des produits à vendre, des produits médicaux qui peuvent se fabriquer en masse de préférence, comme l’industrie chimique peut le faire par exemple. En plus ces produits vont fabriquer des clients nouveaux en les soignant d’un côté tout en les empoisonnant de l’autre, ce qui ma foi n’est pas pour déplaire à la logique mercantile. Les examens inutiles, couteux et toxiques mais remboursés par la sécurité sociale, sont nombreux aussi. Par contre lorsque certaines solutions ne rentrent pas dans cette logique mercantile, ils n’intéressent pas la médecine. Prenons un exemple simple, le jeune, c’est-à-dire le fait de s’arrêter de manger pendant un ou plusieurs jours, en renouvelant régulièrement si besoin. Le jeune est souvent la méthode la plus simple pour retrouver la santé. Ce n’est toutefois pas toujours suffisant je vous l’accorde mais pourtant aussi, bien plus souvent qu’on ne le pense surtout lorsqu’on n’a plus de dents dévitalisées. Évidemment, le jeune ne fait rien vendre et ne rentre pas dans la logique commerciale de notre système médical. Il suffit de rester chez soi en se reposant et d’arrêter de manger en buvant éventuellement des tisanes. Eh bien connaissez-vous beaucoup de médecins qui vous en ont parlé ? Personnellement la première fois que j’en ai entendu parler, c’est en fréquentant une secte… Une secte qui prône notamment la non violence et dont la fréquentation m’a aussi valu d’être persécuté jadis (prison, menaces de retirer les enfants à leur mère qui a aussi failli perdre son emploi de fonctionnaire etc…). Décidément, j’aime bien me mettre dans des situations d’être persécuté semble-t-il. Je pourrais vous en raconter d’autres mais bon ça serait un peu hors sujet. Il faudra plutôt que j’en parle à mon psychiatre….
Pour en revenir au jeune, c’est-à-dire au fait d’arrêter de manger un certain temps, eh bien sachez qu’il existe encore bien d’autres exemples de méthodes thérapeutiques efficaces qui ne rentrent pas dans la logique commerciale de la médecine moderne et qui passent de la même façon aux oubliettes.
La médecine va surtout rechercher des produits qui ont un certain côté pratique même si les effets secondaires peuvent être terribles pour la santé à long terme. Terribles mais bien sûr très subtils à mettre en évidence. Des produits qui répondent aussi aux attentes d’un public qui ne veut pas remettre en question ses habitudes et souvent même s’arrêter un peu de fonctionner le temps de se rétablir. Un public qui bien sûr ne va pas faire le lien entre les dit produits et les maladies qui arrivent ensuite à cause des dit produits et cela d’autant plus qu’au début, les apparences sont trompeuses. Au début, il y a une certaine satisfaction à bénéficier de tels produits, un peu comme le drogué est satisfait au début de ce que lui apporte sa drogue. Drogues qui le mettent dans un état de dépendance encore plus grand vis à vis du système médical. On augmente ainsi en plus la masse de clientèle. Tout cela en s’assurant que le patient ne s’aperçoive jamais des immenses effets pervers des produits qui lui sont fournis. On parle tout au plus d’effets secondaires. Quant à ceux qui essaieraient de lui faire prendre conscience de la perversité de ces produits, malheur à eux. Les prisons françaises comptent ou ont comptés nombres de naturopathes ou membres de sectes qui ont osé remettre en question les traitements médicaux chimiques, chirurgicaux, de chimiothérapie, vaccinaux, de radiothérapie et les examens toxiques divers grâce à la triade démoniaque : Conseil de l’Ordre, expert auprès des tribunaux et juge avec un pois chiche dans la tête appliquant sans en mesurer les conséquences néfastes pour la population, l’interdiction d’exercice illégale de la médecine ou de la pharmacie et tuant ainsi du même coup la liberté d’expression qui devrait être un fondement de notre civilisation.
On peut facilement comprendre que la dent dévitalisée entre tout à fait dans la catégorie des produits commerciaux qui s’intègrent totalement dans la logique mercantile. Au début, elle ne présente que des avantages. Le patient n’a plus mal et il conserve sa dent. Ensuite c’est l’argument idéal pour vendre le produit le plus rentable de la dentisterie, c’est-à-dire la fameuse couronne dentaire qui protègera la dent dévitalisée de la fracture inévitable sinon, due à la dessiccation de cette dernière. Ensuite la dent dévitalisée apportera nombre de maladies donc des clients à l’industrie médicale qui donc ne va pas s’en plaindre, surtout que les clients sont conditionnés à recevoir les médicaments issus de la recherche médicale scientifique, qui va soi disant résoudre leur problème. L’idée d’enlever des dents pour retrouver la santé ne rentre pas vraiment dans les concepts classiques. Il faudrait donc beaucoup de courage à un médecin ou un dentiste pour informer de la toxicité des dents dévitalisées. Il se mettrait à dos la corporation des dentistes et en plus aurait du mal à faire accepter cette vision à des patients en attente du médicament miracle et dominé par les apparences notamment les apparences consécutives à l’extraction dentaire. Mais pourtant il existe de tels médecins même s’ils sont très rares.
Mais la dent dévitalisée n’est pas le seul exemple de produit médical qui rentre dans cette logique. Mais excusez moi de ne pas vraiment parler ici des autres exemples quand le public a déjà tant de mal à comprendre le problème dent dévitalisée qui pourrait bien être la première cause de cancers et maladies graves en France et dans le monde occidental, même avant les vaccins et l’allopathie en général. Enfin jusqu’à ce que nos centrales nucléaires fuient un peu trop.
Il serait tentant de penser après la lecture de ce texte, que la médecine est imprégnée par une logique mafieuse. Ce n’est pas totalement faux mais ce serait un peu trop simpliste aussi car la vérité est que le public est coresponsable de cet état de faits. Le public a laissé faire, a laissé trahir Dieu par ses religieux, a laissé tuer Dieu par ses scientifiques pour ériger Darwin en enseignant suprême des mécanismes de la vie, a choisi la chimie de l’homme sur celle de la nature en laissant tuer les herboristeries par les pharmacies, a choisi de léguer totalement le pouvoir sur sa santé, son bien le plus précieux, au corporatisme médico-dentaire. Le public a mis au sommet de la hiérarchie sociale, représentée la justice selon les enseignements religieux, ceux qui n’ont à l’évidence pas, ne serait-ce que par les critères de sélection universitaires, les capacités d’assumer une telle fonction. Bref le public n’a pas à stigmatiser la corporation médicale plus qu’une autre corporation. Donnez le pouvoir à une chaine commerciale de détruire la concurrence, de s’enrichir en empoisonnant les clients sans que personne n’ait le pouvoir de dénoncer ce fait, et n’importe quelle organisation agira de la sorte. Eh bien les membres de la corporation médico-dentaire ont tout simplement agit comme la plupart des autres corporations auraient agi. Ils n’ont rien fait de pire. Ils ont juste profité d’un système pervers qui était à leur avantage et qui leur a permis de s’enrichir avec la bénédiction et l’adulation de la population en plus. Tout ça parce que souvent ils sauvent aussi des vies et suppriment la douleur sans que nous ayons en plus à les payer ou en étant totalement remboursé grâce à des mutuelles, ce qui revient au même à peu près. Évidemment en terme d’image, ça aide c’est sûr… Puisque la place de Dieu était libre, ils l’ont alors occupé tout simplement avec la bénédiction de la population. Pourquoi résister à une telle tentation, surtout quand Dieu n’existe pas, que seuls existent les plaisirs ici bas et qu’après moi le déluge…. C’est le diable qui doit bien rigoler de tout ça, tandis que Dieu doit en pleurer. Mais cela n’empêche pas Dieu et Diable d’aller boire un verre ensemble au bistrot du coin comme de vieux copains et collègues qu’ils sont en fait car ils travaillent tous deux pour le même cause, aussi incroyable que cela puisse paraitre, l’évolution de la conscience. Mais ça c’est encore une autre histoire, bien qu’elle ne soit pas inintéressante à analyser un peu ici.
Le diable fait à l’évidence partie du monde angélique et lorsqu’on analyse un peu les écrits religieux, on s’aperçoit qu’en fait il ne fait jamais lui-même de mal. Il se contente de suggérer aux humains d’en faire eux mêmes, ne serait-ce qu’au début en suggérant à Adam et Eve de croquer la fameuse pomme du jardin d’Eden, ce que Dieu leur avait interdit de faire. Vous voyez, même Dieu a laissé au Diable la liberté d’expression car il estime, j’imagine, que la lui en priver ne serait surement pas la meilleure des choses à faire.
Vous pensez probablement que tout ce que je développe dans ce texte est une vision trop négative de l’être humain en général et de notre médecine en particulier et que tout ce que je dis n’est que très théorique en fait. Eh bien sachez que ce que j’ai écrit ici je l’ai vécu d’une certaine façon et c’est cette histoire que je vais vous conter maintenant.
Moi aussi je croyais alors que j’étais jeune dentiste que la seule préoccupation des médecins et des dentistes était de soigner les patients. J’étais d’une crédulité incommensurable. Lorsque j’ai compris l’immense implication de la dent dévitalisée dans la pathologie, j’ai fait nombres d’actions pour informer le corps médical et mes confrères dentistes. Vers la fin de mon exercice, j’ai même voulu organiser à Cannes, un symposium sur la toxicité des dents dévitalisées en envoyant au préalable, comme il est d’usage, le programme du symposium au Conseil National de l’Ordre. Ce dernier a alors exercé des pressions, carrément des menaces même parfois, sur ceux qui devait y participer afin qu’ils annulent leur participation. J’ai baigné une bonne partie de ma vie dans le bain de la médecine. Dans ma propre famille, il n’y a médecin, pharmacien et propriétaire de laboratoire d’analyse médical. Durant mes études, j’ai baigné dans un bain d’étudiants en médecine à travers mon frère, médecin. Ah, j’en ai contacté des médecins, et des pharmaciens et des dentistes pour les informer de cette fabuleuse histoire porteuse d’espoir pour la santé de millions de personnes. Lorsque j’exerçais à Cannes, j’ai contacté peut-être presque tous les médecins de la région, notamment ceux qui affichaient une pratique un peu différente de l’allopathie, pour des séminaires gratuits dans mon cabinet où je leur présentais les résultats étonnants de l’extraction des dents dévitalisées. Je démarchais d’abord par téléphone. Bien que le séminaire fut gratuit et que je leur proposais de découvrir un nouvel outil extraordinaire pour mieux soigner leurs patients, j’arrivais à peine à en faire venir 10% environ. 90% n’étaient même pas intéressés bien que ce soit moi-même Dr en chirurgie dentaire qui leur présentait l’info, avec tous les arguments possibles, c’est-à-dire qu’un médecin de la région avait adopté l’attitude de faire enlever les dents dévitalisées de ses patients, que grâce à cela il guérissait nombres de patients soi disant inguérissable, qu’à l’étranger, se développaient des courants de dentistes qui guérissaient en enlevant les dents dévitalisées. Eh bien malgré ces arguments, seul 10% des médecins voulaient en savoir plus. Pourquoi auraient-ils cherché quelque chose qui a priori ne leur rapporterait pas d’argent alors qu’ils étaient déjà débordés de travail. Lors de mon séminaire, je passais les nombreuses vidéos de patients qui guérissaient de maladies graves, juste en enlevant les dents dévitalisées. J’avais même un cas d’Alzheimer qui avait retrouvé toute la mémoire en une quinzaine de jours après cinq extractions. Je présentais nombre de cas de patients fatigués chroniques, cardiaques, rhumatisants notamment qui avaient vu tous les grands spécialistes et qui avaient guéris juste après l’extraction de leurs dents dévitalisées, ainsi que les études scientifiques qui justifiaient d’enlever les dents dévitalisées. Je m’y suis probablement très mal pris même si j’en ai bien soigné ensuite certains d’entre eux, des médecins et certains m’ont bien envoyé un patient ou deux. Mais la plupart, y voyaient surtout une concurrence et une humiliation. Celle d’avoir fait de longues années d’études et de savoir que la clef de la santé de leurs patients résidaient plus entre les mains du dentiste que des leurs et de leurs médicaments. Et ne pensez pas qu’avec les praticiens de médecines douces cela était mieux. J’ai soigné les femmes de deux ostéopathes qui ont guéri si vite de leur mal de dos, que l’un et l’autre se sont bien gardés de m’envoyer des patients car ils ont bien compris que cela les concurrençait trop. J’ai bien trouvé un ostéopathe très connu dans sa région qui en plus est un enseignant. Il m’a envoyé son ami d’enfance et quelques uns de ses élèves qui étaient eux même des thérapeutes, mais jamais aucun patient. Les élèves ont tous guéris eux, leur famille qu’ils m’avaient emmenés mais aucun ne m’a jamais envoyé le moindre patient. Je représentais une trop forte concurrence pour leur commerce. Certains médecins m’ont toutefois envoyé quelques patients. Je me rappelle alors d’une histoire où le patient avait demandé l’avis d’un éminent professeur de la fac qui bien sûr avait déconsidéré la technique puis était revenu voir le médecin pour lui exprimer son mécontentement de l’avoir envoyé me voir. D’autres patients se plaignaient aussi aux médecins de ce que je leur proposais, c’est-à-dire d’enlever des dents qui ne faisaient pas mal. Les médecins ont vite compris qu’ils ne pouvaient m’adresser leurs patients juste comme cela mais qu’ils devaient aussi renforcer mon action afin de convaincre le patient de passer à l’acte. Et tout ça bénévolement bien sûr car « time is money ». La seule récompense aurait été la guérison du patient. Ils ont vite arrêté de m’envoyer des patients. J’ai même raconté dans le site internet l’histoire d’un médecin qui avait été sauvé par l’extraction d’une dent dévitalisée, à cause d’une hépatique qui devait le tuer. Un ami médecin à lui avait été guéri d’un cancer de même gravité aussi par l’extraction de toutes ses dents dévitalisées. Son ami biologiste d’un laboratoire d’analyses médicales lui avait témoigné de guérisons de maladies très graves et soi disant incurables par l’extraction de dents dévitalisées. Pensez vous qu’aucun d’entre eux ait jamais parlé à un seul de ses patients du problème des dents dévitalisées. Jamais de la vie, ni même le doyen de l’époque de la fac de médecine qui était au courant de l’histoire extraordinaire et n’a jamais rien fait pour enseigner ce nouveau concept à l’Université. Certes les médecins veulent guérir leurs patients, cela ne fait aucun doute. Mais l’égo humain fait qu’ils veulent les guérir sans que cela les dévalorise ou les dérange d’une quelconque façon et en plus il faut que ça rapporte quelque chose. Bref, ils sont comme tout le monde ici bas. A ma connaissance, il n’y a eu en France que deux médecins qui ont eu le courage et l’humilité de parler de se sujet avec enthousiasme à leurs patients et cela pendant des années avec persévérance, sans en retirer un quelconque bénéfice matériel. Certes les patients guéris les mettaient ensuite sur un piédestal et je ne suis pas sûr qu’ils leurs expliquaient ensuite toujours que leur guérison était surtout due à l’élimination des dents dévitalisées. C’est le Dr J.G. Thomas de Grasse et Feu le Dr Loizillon à Pont St Esprit auxquels il faut rendre hommage. A moi personnellement, le Dr J.G. Thomas m’a avoué que si ces patients n’enlevaient pas leurs dents dévitalisées, ses traitements fonctionnaient dix fois moins. Tout comme le Dr Rau le directeur de la clinique Paracelsius en Suisse Allemande (une clinique très réputée en Suisse), qui m’a avoué que s’il ne faisait pas enlever les dents dévitalisées de ses patients, tous les fabuleux traitements de sa clinique ultra chic de médecine douce étaient négligeables face aux pathologies graves. Mais les patients eux étaient laissés dans une certaine ignorance de l’importance de cette information. Ils guérissaient certes après leur passage dans la clinique mais ils avaient fait tellement de traitements qu’il leur était difficile de savoir qu’en fait c’était l’élimination des dents dévitalisées qui constituait le traitement déterminant de leur guérison, même si je ne veux pas dire non plus que les autres traitements étaient inutiles, loin de là. Mais c’est juste qu’ils étaient secondaires par rapport à l’élimination des dents dévitalisées, selon l’aveu même du médecin Directeur de la clinique, qui voyait bien la différence de résultats entre les patients qui acceptaient de faire extraire leurs dents dévitalisées et les autres. Mais cela n’était pas trop précisé aux patients bien sûr car alors les médecins auraient perdu leur aura d’excellents médecins. Pour les patients, les dentistes employés dans la clinique ne faisaient que suivre les directives des médecins qui leur demandaient d’enlever les dents dévitalisées qui représentait un traitement parmi tant d’autres. Pour les patients, c’était aux médecins et à leurs traitements surtout qu’ils devaient leur guérison et les médecins se gardaient bien de les contredire, tous vivant dans de luxueuses villas et conduisant de luxueuses voitures grâce à la célébrité qu’ils avaient acquise par leurs résultats obtenus grâce surtout aux dentistes qui travaillaient pour eux. Au moins avaient-ils eu l’intelligence de collaborer avec des dentistes pour guérir mieux leurs patients. J’ai passé une semaine entière dans la clinique Paracelsius en Suisse dont le directeur le Dr Rau a eu la gentillesse de m’accueillir comme pour une semaine porte ouverte. C’est vrai que j’y ai vu des personnalités du monde entier venir se faire soigner et être contents des résultats étonnants qu’ils y avaient obtenus. La réputation de la clinique s’étend à tout le Nord de l’Europe en plus de la Suisse et même aux Etats-Unis d’où viennent de riches personnes pour se faire soigner. Personne de France toutefois. Quand je demandais pourquoi, le directeur m’a répondu qu’il ne prospectait pas sur la France, c’était inutile. Les français sont trop enfermés dans leur croyance qu’ils ont la meilleure médecine au monde et croient trop en la médecine conventionnelle, chimique, des poisons, de la mutilation, des rayons. Il ne faisait que confirmer ce que je savais déjà, que les français sont les plus abrutis du monde dans le domaine des médecines naturelles c’est bien pourquoi ils prennent trois fois plus de médicaments qu’ailleurs et ont presque deux fois plus de cancers qu’ailleurs. Et cela tandis que les médias leur martèlent qu’ils ont la meilleure médecine du monde, remboursée en plus par la sécurité sociale et que les médecines alternatives ne sont que des solutions charlatanesque. Les remboursements de la sécurité sociale sont souvent l’élément déterminant pour motiver les médecins et les dentistes d’appliquer une thérapeutique donnée ou inversement de tenter de détruire une thérapeutique donnée lorsqu’elle n’est pas remboursée et que seul certains courageux l’appliquent. En orientant les remboursements de la sécu dans le bon sens d’ailleurs, ils pourraient constituer un accélérateur de la santé publique et faire en sorte que la caste médicale devienne à l’inverse de ce qui est aujourd’hui, un réel moteur de la santé publique comme cela devrait logiquement être. Mais très souvent, c’est l’inverse qui est fait puisqu’aujourd’hui ce n’est que la chimie qui empoisonne en gros qui est subventionnée par la sécu. En 2002, la sécu a même incité les dentistes à dévitaliser encore plus de dents en remboursant les ancrages intracanalaire (screw post et inlay core). Les dentistes se sont alors mis à dévitaliser encore plus qu’ils ne l’ont jamais fait, surtout à ceux qui ont de bonnes mutuelles car ils ne paient rien de leur poche en quelque sorte. Le système médical a atteint une telle perversité que je conseillais même à mes patients de ne pas avoir de mutuelle car d’une certaine façon cela incite à consommer des produits remboursés qui ont trop d’effets secondaires toxiques en même temps que cela incite à ne pas s’intéresser aux bonnes solutions thérapeutiques qui sortent de la logique actuelle du système médical. Quasiment tout ce qui va dans le sens de la vraie santé n’est pas ou très peu remboursé actuellement ou donne lieu à des dépassements d’honoraires qui ne sont pas remboursés par les mutuelles car ils sont à la limite du hors la loi.
Évidemment encore une fois c’est le discours inverse qu’on entend généralement. Payez bien vos cotisations d’assurance maladie, prenez des mutuelles pour être mieux soigné, faites vous vacciner et dépister par nombres d’examens onéreux mais remboursés, donnez pour la recherche, emprisonnez vite les charlatans de naturopathes ou autres, bêêêêêêêêêê….. Tandis que la caste médicale subventionnée par la sécurité sociale donc l’argent des travailleurs se vautre dans le luxe. Mais bon tout ça on le sait, enfin plus ou moins c’est sûr, surtout moins pour la population et le Dr Rau, le Directeur de la clinique, qui ne faisait aucune prospection pour sa clinique en France le savait bien aussi en économisant son énergie vis-à-vis de la France. Mais bon, je le comprends totalement, ce n’est pas aux suisses de sauver les français de leur bêtise. C’est aux peuples eux-mêmes de se libérer de leur propre bêtise, je le sais bien, tout comme je pense que chaque humain est son propre messie, son propre sauveur et qu’il doit évoluer avant tout, plus qu’attendre que les autres le sauvent, fussent-ils même qu’ils viendraient d’une autre planète. Mais pour critiquer un peu le Dr Rau et tous les médecins de la clinique Paracelsius, ils se gardaient bien semble-t-il de révéler que parmi tous les traitements qui étaient effectués dans leur clinique, le plus essentiel de tous était l’extraction des dents dévitalisées, ce qu’à moi il m’a avoué. Car alors son pouvoir sur les patients en aurait été bien moindre évidemment. Toute la considération de la guérison en serait revenue aux dentistes d’une certaine façon et évidemment pour l’égo, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux. Encore une fois, la toxicité des dents dévitalisées était considérée comme accessoire à la guérison de milliers de patients de la clinique Paracelsius alors qu’en fait de l’aveu même des médecins, elle en était l’élément déterminant. Un élément déterminant qui pourrait représenter un espoir pour des millions de personnes malades ou risquant de le devenir, si tant est qu’elles en avaient conscience. Ce à quoi la clinique aurait pu participer encore plus si l’égo des médecins avait été plus absent. Et c’est là tout le problème. J’ai passé aussi une semaine environ avec Hulda Clark à apprendre ses connaissances particulières sur le traitement des maladies où la destruction des parasites comporte une place prépondérante. Cela se fait notamment avec un appareillage qu’elle a développé qui s’appelle le Zapper, qui émet dans le corps des hyperfréquences. Un appareil électronique qui tue les parasites, bactéries et virus en les faisant exploser lorsqu’ils sont mis en résonnance par son Zapper. Seulement voilà ce qu’elle ne dit pas dans ses livres et que l’on apprend quand on analyse les guérisons de ses patients et aussi les échecs obtenus, c’est que pour les patients très malades, elle se garde bien d’appliquer d’abord ce fameux zappeur car alors il tue peut être les parasites mais les patients avec. La première thérapeutique qu’elle applique en fait aux personnes très malades consiste à enlever les dents dévitalisées et à donner des plantes médicinales et des huiles essentielles. Le patient retrouve alors de la vitalité et alors seulement elle peut se permettre de tuer les parasites et autres germes toxiques avec le Zapper. Pourtant si Hulda Clark, éminente scientifique révolutionnaire, je l’accorde, parle certes de l’élimination des dents dévitalisées dans ses ouvrages, ce passage n’est pas spécialement mis en évidence plus qu’un autre alors qu’encore une fois je suis sûr qu’elle sait très bien que c’est là que réside la thérapeutique essentielle de son arsenal thérapeutique, bien plus en tout cas que l’appareil qu’elle commercialise et qu’elle a semble-t-il inventé, le Zapper. Or c’est le Zapper qui était le plus mis en avant dans sa formation à laquelle j’ai assisté au printemps 2007. Si je n’avais pas été présent lors de ce stage pour pointer du doigt le problème « dents dévitalisées », les participants au stage, ils me l’ont avoué ensuite, n’auraient pas vraiment compris que cela avait tant d’importance. Encore une fois ici, cette information essentielle était noyée au milieu d’informations de bien moindre importance, ce qui ne favorise pas sa connaissance même par les thérapeutes en recherche de solutions alternatives.
Tant que la population n’aura pas conscience que des milliers de patients sont guéris mieux que tout parce que leurs dents dévitalisées sont extraites, le sujet n’aura pas l’importance qu’il mérite. Et c’est là un grand dommage pour la santé publique que l’importance de cette information soit même d’une certaine façon cachée par ceux là même qui l’exploitent.
La vérité qui devrait être énoncée après la guérison du patient est que le thérapeute est surtout meilleur que parce qu’il ne fait qu’appliquer une connaissance (l’élimination des dents dévitalisées) qui elle est meilleure que le reste des connaissances que la médecine possède aujourd’hui. Mais bon ça n’a pas vraiment arrangé mes affaires puisque j’ai été interdit d’exercer à cause de cela, c’est un comble. Le comble du comble dans tout cela et dont il est important que la population prenne conscience, est que ceux qui passent le moins l’information, voire les pires opposants à ce fabuleux espoir pour la santé de millions de personnes sont en fin de compte ceux là même qui ont pour mission dans notre société de redonner la santé aux personnes malades, c’est-à-dire les membres du corps médical. Les pires des pires étant bien sûr les dentistes conventionnels qui y voient là une culpabilité insurmontable où la seule alternative réside à détruire l’idée. Ce qu’ils ont réussi à faire avec une certaine réussite d’ailleurs jusqu’à présent il faut l’avouer.
Et c’est sans compter les dentistes qui se disent holistiques et qui se délectent à détruire l’info car eux aussi n’ont rien à y gagner puisque comme les autres leur plus grand revenu vient de la couronne sur dent dévitalisée. Mais en fait la majorité n’y comprennent rien tout simplement et préfèrent perdre les gens avec des détails d’occlusion, de gouttière, d’huile essentielle, d’homéopathie, d’acupuncture buccale, leur enlever leurs couronnes en céramique pour en mettre d’autre en matériau moins dur, de focaliser sur la toxicité des métaux notamment du mercure des amalgames, de leur parler des rapports entre leurs dents et leur psychisme, de dent de la mère, de la grand-mère, de la colère ou que sais-je encore.
Le corps médical me semble en fin de compte représenter la plus grande opposition à la diffusion de cette idée que des scientifiques et des médecins estiment être la thérapeutique la plus efficace face au cancer et aux maladies graves, celle d’enlever des dents dévitalisées. Mais ici je vais aller encore plus loin dans ma vision négative de l’être humain, sachant très bien que l’on voit le monde tel qu’on est (cf. texte « the one » sur ce site). Peut –être qu’aujourd’hui je suis négatif et que je profite de cet état de négativité pour exprimer ce que je suis en train d’écrire qui même si cela constitue une vision très négative, n’en est pas moins une vision constructive. Ras le bol de ce pseudo-spiritualisme qui ne veut voir que le positif. La vérité possède des côtés positifs et négatifs et les deux sont constructifs car c’est la vérité qui fait grandir même si cette vérité possède des côtés sombres comme chacun de nous en possédons aussi. Des côtés sombres que nous devons aussi explorer pour notre évolution. Je continue donc dans l’exploration du côté sombre du corps médical en explorant celui là même des dentistes qui enlèvent ou enlevaient jadis les dents dévitalisées car ils avaient compris que c’était bien souvent la clef de la santé de leurs patients. Même eux qui avaient compris que les dents dévitalisées étaient des poisons terribles les enlevaient sans dire que la raison était justement parce que c’était des dents dévitalisées. Ils préféraient souvent laisser planer un mystère qui sous entendait qu’ils possédaient une connaissance quasi ésotérique dont ils auraient été les seuls détenteurs afin bien sûr que les patients les adulent, on connait la musique. Et nombreux sont tombés dans ce piège de l’égo, et se sont d’ailleurs enrichis grâce à cela. D’ailleurs, ces dentistes n’enlevaient en général par toutes les dents dévitalisées. Ils se contentaient d’enlever les une ou deux les plus toxiques, qu’ils déterminaient par certains tests. Tests que moi aussi je sais faire si je veux et je le fais d’ailleurs si les patients le veulent mais après les avoir informés que ce n’est pas la meilleure solution. La meilleure solution médicale étant d’enlever toutes les dents dévitalisées. Les patients guérissaient ensuite, moins bien certes que s’ils avaient tout enlevé, mais ils guérissaient suffisamment pour que le dentiste puisse ensuite en retirer toute leur admiration. Le résultat était qu’ensuite les patients conseillaient à leurs amis malades, non pas de faire enlever leurs dents dévitalisées, mais d’aller voir leur dentiste exceptionnel qui les avait guéri d’une maladie face à laquelle le corps médical était resté impuissant. Et ils ne pouvaient faire autrement car les dentistes n’expliquaient pas que d’enlever toutes les dents dévitalisées aurait été la meilleure chose à faire. Lorsque quelques années plus tard le patient revenait avec une autre maladie, ils continuaient de la sorte, le guérissaient en sachant qu’il reviendrait plus tard pour une autre maladie puisque il lui restait des dents dévitalisée encore en bouche. J’ai connu au moins deux dentistes qui agissaient ainsi et qui grâce à cette méthodologie se sont enrichis. Les patients étaient en fin de compte manipulés pourraient-on dire même si cette manipulation était certes bien moins grave que celle de dentistes qui dévitalisent des dents saines pour faire des bridges, la majorité des dentistes je le rappelle. Au pays des aveugles, les borgnes sont rois. Bien sûr si la pathologie était vraiment très grave, genre cancer, là ils proposaient d’enlever toutes les dents. Mais jamais vraiment en attaquant le concept de dent dévitalisée mais plutôt en expliquant que ces dents empoisonnaient le patient sans vraiment dire pourquoi, si ce n’est qu’elles étaient infectées selon eux. Ma foi ils avaient probablement raison car c’est ainsi qu’ils ont évité les ennuis avec les confrères nécro-dentistes (les dentistes qui dévitalisent les dents) que je ne suis pas arrivé à éviter, tout en arrivant à s’enrichir et à passer comme d’exceptionnels dentistes. Mais le problème c’est que pendant toutes ces années où ils ont guéris des tas de patients, l’idée de la toxicité des dents dévitalisées n’a pas beaucoup avancé dans la tête du public. Pour les patients miraculeusement guéris, ils l’avaient été grâce au fabuleux dentiste, ce qui était très bon pour l’égo et les finances de ce dernier certes mais pas vraiment très bon pour la cause en quelque sorte. D’une certaine façon, les patients n’avaient pas vraiment conscience qu’ils avaient été guéris grâce au fait qu’ils avaient été débarrassés de ce qui pourrait bien être la première cause de cancers et de maladies graves chez des millions de personnes, c’est-à-dire la dent dévitalisée. Leur expérience de guérison si extraordinaire soit elle pour eux n’était en réalité pas le résultat d’un médecin ou d’un dentiste exceptionnel mais d’une idée exceptionnelle qui aurait pu bénéficier à des millions de personnes qui souffrent stupidement de ne pas la connaitre tandis que des milliards sont stupidement dépensés dans la recherche médicale. Pensez-vous par conséquent que l’attitude même adoptée par ces dentistes était une manifestation de l’amour ou une manifestation de leur égo ?
Évidemment je ne parle ici même pas de ceux qui carrément essayent de détruire l’idée (les membres du Conseil de l’Ordre qui se sont sali dans cette histoire) et dont les actions ne sont pas si éloignées que cela d’un crime contre l’humanité quand on voit les conséquences morbides de la dent dévitalisée. Ceux là ont un taux d’inconscience tel que le sonder ne m’intéresse même pas ici. Ils sont un peu comme ces nazis du procès de Nuremberg qui ne faisaient que dire qu’ils n’avaient faits qu’obéir aux ordres. Non je parle de ces dentistes et ces médecins qui savaient que le grand problème était la dent dévitalisée mais qui guérissaient leurs patients sans vraiment le leur dire. Sans vraiment leur dire que c’est là que résidait la plus grande thérapeutique et non dans un savoir quelconque qu’ils auraient été seuls à posséder en raison de compétences trop importantes pour être du domaine des autres. Car tout cela est faux car il n’est en rien compliqué de redonner la santé en enlevant les dents dévitalisée, il faut juste enlever les dents dévitalisées, et je dirais quelques petits détails pas si compliqués que ça pour optimiser les résultats thérapeutiques. Le plus compliqué se passe entre les deux oreilles. C’est là que le dentiste qui a dévitalisé nombre de dents doit accepter l’idée que maintenant s’il veut guérir il faut qu’il fasse exactement le contraire de ce qu’il a fait maintes et maintes fois en général, c’est-à-dire agir pour conserver des dents dévitalisées.
Mais mon histoire est somme toute assez banale dans le domaine médical où la maladie fait vivre nombre de gens qui n’ont pas vraiment intérêt à ce que la quantité de malades diminue. On ne compte plus les histoires de persécutions d’idées qui auraient pu représenter un progrès médical considérable si elles ne remettaient pas en question des intérêts établis. Et toujours avec le trio démoniaque : conseil de l’Ordre, expert médecin ou dentiste auprès des tribunaux et juge avec un pois chiche dans la tête qui ne fait qu’entériner ce que les premiers ont fortement suscité pour mieux détruire la concurrence. Et tant que la population aura la crédulité de croire que cela n’est pas possible, que la santé est un sujet trop précieux et grave pour que des êtres humains qui en plus ont prêté serment, et soignent tous les jours des patients puissent agir de la sorte, alors cela durera, et c’est la vie.
Tiens dernièrement j’ai prospecté du côté de la recherche médicale. J’ai gardé une certaine crédulité encore semble-t-il. Il se trouve qu’un colloque ouvert au grand public était organisé par le pôle santé mis en place par le gouvernement pour faire de notre région, la région PACA, un pôle de compétitivité dans le domaine de la recherche médicale au niveau national. Nombre de chercheurs et de représentants des grands organismes de recherche médicale étaient donc présents à la fac de médecine de l’Université de Nice en automne 2008 pour présenter l’état des recherches dans le domaine médical. Alors j’y suis allé avec mes petits prospectus sur les dents dévitalisées en me disant que tous ces pauvres chercheurs qui cherchent sans trouver grand-chose seraient peut-être intéressés de trouver ici une information qui pourrait redonner la santé à des millions de personnes. J’ai assisté à tout le séminaire. Lors du séminaire étaient présentés des nouvelles technologies pour mieux tuer les cellules cancéreuses notamment. Des découvertes qui bien sûr peuvent se commercialiser car de l’aveu même d’un directeur d’une école de doctorants, de chercheurs, il est essentiel de rendre rentable les chercheurs afin que l’industrie puisse les embaucher. Encore une fois c’est la logique économique qui prime. Rien n’est fait pour inciter à développer des solutions qui ne rentrent pas dans une certaine logique commerciale. J’ai quand même distribué mes tracts à ceux à qui je pouvais le faire et je les ai laissés sur une table bien en évidence pour tout le monde. Plusieurs mois après aucun chercheur ne m’a contacté. Évidemment, suis-je bête, il n’y a aucun produit à vendre dans mon information…..
Tiens ça me fait penser que j’ai envoyé il n’y a pas si longtemps encore un prospectus à tous les fonctionnaires du ministère de la santé et qu’aucun non plus ne m’a répondu…. Ah ces fonctionnaires. S’ils font une bêtise ils sont punis mais qu’ils fassent rien ou quelque chose de bien, leur rémunération ne change pas. Alors pourquoi prendre des risques….
Dernièrement j’ai encore passé deux heures à mettre des commentaires instructifs sur un site internet français de médecines naturelles assez connu, qui m’a parfois laissé en mettre, histoire de faire un peu de pub pour les dents dévitalisées au passage. Tous mes commentaires ont encore une fois été enlevés. Même dans le domaine des médecines douces, et de ceux qui se disent s’attaquer à l’attitude hégémonique de la médecine conventionnelle, on adopte aussi une attitude hégémonique vis-à-vis d’une information qui ne met pas en valeur directement le site et les personnes qui l’animent car évidemment le jour où cette information sera reconnue à sa juste valeur il est probable, mais rien n’est sûr certes, que je serai un peu réhabilité.
Mais si explorer le côté obscur des autres est toujours intéressant, il est encore plus intéressant d’explorer son propre côté obscur. Parfois j’explore le mien et ce n’est pas inintéressant non plus. Et si on explorait un peu le votre. Peut-être que vous aussi, vous connaissez une information dont dépend la santé ou le bien être de certaines personnes voire de millions de personnes et dont vous savez que la plupart des personnes n’en ont pas conscience. Sachez alors que c’est ici une chance que vous avez. Mais alors qu’allez vous faire de cette chance car faire du prosélytisme pour cette information risquera de ne pas être si facile que cela et constituera bien souvent une action bénévole, voire qui pourra vous couter de l’argent. Et alors que ferez vous, choisirez-vous le choix confortable de continuer à n’agir que pour ce qui vous rapporte de l’argent ou choisirez-vous au contraire d’en perdre en quelque sorte pour diffuser une idée dont vous pensez que le bien être des autres dépend. Eh bien sachez aussi que la deuxième option est une manifestation de l’amour, que le prosélytisme pour une idée nouvelle est une manifestation de l’amour. Même si je ne suis pas toujours d’accord avec les idées qui sont véhiculées, j’ai toujours eu beaucoup de respect et même d’admiration pour ces personnes qui militent pour une idée à laquelle ils croient, qu’elle soit politique, religieuse ou autre. Et cela d’autant plus qu’ils n’ont aucun intérêt mercantile particulier mais dont ils pensent qu’elle permettra aux autres de mieux vivre s’ils en prennent connaissance. Et plus l’idée est difficile à faire passer, plus elle est risquée pour leurs intérêts, plus elle se heurte à des intérêts puissants ou des croyances limitatives de la population, plus ils ont du mérite à essayer de la faire passer. Ce sont généralement ces personnes qui participent à l’accroissement de la conscience de l’humanité et sont j’en suis sûr les plus proches de Dieu. Car aujourd’hui, c’est surtout de conscience dont l’humanité a besoin. L’amour sans conscience est comme un bel arbre fruitier que l’on arrose et dont on prend soin avec beaucoup d’attention mais en manquant d’intelligence à cause d’une certaine sensiblerie. A tel point qu’on n’ose pas le couper un peu. Alors il devient si grand et si haut que ses fruits ne peuvent plus être récoltés et qu’en fin de compte ils pourrissent sur les branches sans que personne ne puissent en bénéficier. La médecine est une discipline d’amour par essence car en principe elle veut supprimer les souffrances humaines et donc préserver la vie, c’est-à-dire l’œuvre de Dieu. Mais notre médecine est aujourd’hui comme cet arbre mal taillé où on laisse trop se développer les branches qui éloignent par conséquent les fruits de la population qui pourrait en profiter. Ces branches s’appellent « Abus de pouvoir du Conseil de l’Ordre », «incitation à la médecine des poisons », « chasse aux médecines naturelles » notamment. On investit dans notre médecine une énergie colossale à mauvais escient. Chaque année en France par exemple, la santé coute à l’état français, 3000 euros par habitant, plus qu’aucun autre domaine d’investissement de l’état. Mais toute cette énergie dépensée dans cette entreprise d’amour manque si cruellement de conscience que les fruits pourrissent sur les branches et qu’en fin de compte, la population connait presque plus de souffrances et de maladies qu’elle n’en a jamais connue et cela avec même des retentissements génétiques bien sûr. La véritable crise aujourd’hui n’est pas la crise économique ou financière mais la crise de conscience. Crise de conscience dans le domaine de la santé particulièrement qui aboutit à obscurcir des informations essentielles à la santé publique. Les croyants qui participent donc à l’amélioration de la conscience sur ces sujets polémiques de santé sont donc probablement même plus proches de Dieu que ceux qui ne font que prier pour qu’il intervienne tandis qu’eux-mêmes ne font pas grand-chose pour leur prochain, attendant uniquement que Dieu agisse. C’est là une mauvaise compréhension de la pensée divine je pense, car Dieu, les anges et toute la compagnie divine ne veulent avant tout qu’une chose pour nous, c’est que nous intégrions cette compagnie et que nous agissions avant tout. Et seul notre niveau d’amour véritable, c’est-à-dire d’amour avec conscience, qui permettra d’agir dans le véritable amour, le permettra.
Mais que faut-il faire alors devez vous vous dire… Si je suis sûr aujourd’hui de quelque chose c’est que sur ce sujet je n’ai rien à vous dire car si vous cherchez dans votre tête, je suis certain que vous allez trouver. C’est au fond de vous, de votre esprit que notre créateur a mis une étincelle divine qui ne demande qu’à s’épanouir tandis que votre penchant égoïste et mercantile ne veut qu’une chose au contraire, c’est l’éteindre, pensez-y aussi. Explorez vous aussi votre côté obscur au lieu de refuser de le voir. Puis je dirais même, aimez le lui aussi et ne vous jugez pas pour cela car c’est ainsi qu’un jour vous pourrez vous transformer.
En conclusion et pour ne pas rester sur une vision trop pessimiste de l’être humain, je voudrai vous dire que je pourrais aussi écrire un article qui s’intitulerait « la source du bien » et qui en prenant l’exemple de la médecine et des dents dévitalisées en particulier, montrerait en quoi l’être humain est une créature formidable qui a toujours essayé de soutenir les médecines naturelles et de passer l’information sur la toxicité des dents dévitalisées. Peut-être d’ailleurs qu’un jour je l’écrirai cet article, mais pour l’instant il m’a paru plus urgent d’écrire celui là. Le mental négatif qui est chargé de détecter ce qui ne va pas doit chronologiquement être utilisé avant celui qui est chargé de voir ce qui va bien. C’est une question de survie, c’est ainsi. En plus la société et les médias nous donnent un peu trop cette image que dans la médecine tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mon article se veut donc rééquilibrant sur ce point. Il serait donc un peu inutile que j’en rajoute en écrivant encore un article sur tous les aspects positifs de notre médecine et de notre civilisation. On sait bien que nos médecins sont formidables et surtout nos dentistes, et c’est bien pour cela qu’on leur confie notre bouche.

article d’un confrère

December 22, 2008 on 8:50 pm | In Non classé | Comments Off

Un confrère a écrit un article très très intéressant que vous trouverez à l’adresse suivante: http://www.odenth.com/public/articles/Dents%20mortes.pdf Cet article est paru sur la revue d’une association de dentistes qui s’intéressent aux rapports entre les dents et la santé générale et notamment à la toxicité des amalgames au mercure.
Cet article confirme qu’il est éthique d’accepter d’enlever toutes les dents dévitalisées d’un patient consentant et remet donc totalement en question ma condamnation par le Conseil de l’Ordre qui fut justement à cause de cela. Le seul reproche que je fais à cet article, est qu’il ne va pas assez loin en ne mesurant pas toute l’importance du sujet car selon certains spécialistes, qui sur le terrain guérissent ce que les autres n’arrivent à faire, la dent dévitalisée n’est pas une pollution de plus parmi tant d’autres mais la principale cause de cancers et de maladies graves en France et dans le monde occidental. Au cas où l’article disparaitrait de l’adresse internet précédente, je vous le joins en format texte, car je ne sais faire autrement, bien moins présenté donc que l’article originel que je vous conseille donc de consulter plutôt que de lire le texte qui suit et qui ne sert , je le rappelle, qu’au cas où l’article de l’adresse http://www.odenth.com/public/articles/Dents%20mortes.pdf disparaitrait.
Pour l’anecdote, je connais bien l’auteur de cet article et il n’est pas pour enlever systématiquement les dents dévitalisées. Il n’y a pas si longtemps je lui ai amené une patiente dans un état grave et il était urgent d’enlever certaines dents dévitalisées mais il a refusé car il ne les avait pas testé toxiques selon ses méthodes de tests. J’ai alors du me rendre chez un autre confrère qui a accepté de suivre mes directives et il a enlevé les dents que l’auteur de cet article refusait d’enlever. Je possède en effet d’autres méthodes de tests que lui. Cela a sauvé la vie de la patiente. Je serai toutefois toujours reconnaissant à ce confrère auteur de cet article, car c’est lui qui m’a enlevé jadis, la plupart de mes dents dévitalisées. Mais il a fallu que j’insiste un peu car même pour moi, un confrère convaincu, il ne voulait pas vraiment le faire…. Même si sur certains points je ne suis pas d’accord avec ce confrère qui est plus “bridge” que moi qui suis plus pour “les prothèses amovibles”, j’ai toutefois beaucoup d’estime pour lui et je reconnais que c’est le premier en France à avoir écrit un texte qui amène de l’eau au moulin qui préoccupe ce site.

Les dents “mortes”
Les dents “mortes”Les dents “mortes”

Récemment un de nos confrères a été condamné à la radiation à vie de l’ordre des chirurgiens-
dentistes et une lourde peine financière lui a été infligée pour avoir extrait plusieurs dents
dévitalisées. Le patient, consentant dans un premier temps, était revenu sur sa décision et
accusait le praticien de coup et blessures volontaires. Les experts du tribunal et le conseil de
l’ordre s’étaient basés sur les acquis de la science qui actuellement nient toute pathogénie
d’une dent dévitalisée présentant un traitement endodontique correct.
Dans notre travail quotidien nous nous trouvons en permanence avec un pied en prison
chaque fois que nous dévitalisons une dent saine ou si nous enlevons une dent morte.
L’article suivant basé sur les travaux de scientifiques réputés essaye de procurer des
arguments aux confrères qui cherchent une orientation biologique et holistique.

Regard
critique
sur
lestraitements
endodontiques
et
les
dents
mortes

En dentisterie universitaire nous avons appris à conserver des dents infectées ou mortifiées
avec des traitements endodontiques. Certaines écoles préconisent même – sans fondement
scientifique -la dévitalisation de dents vivantes si la carie est un peu profonde ou si on
envisage de couronner une dent saine.
Remarque à ce sujet :
Pour les actes « soins de la pulpe et des canaux », le texte de la convention précise que « La
nécessité
médicale
doit
être
validée
scientifiquement
». C’est pourquoi des clichés
radiographiques pré-et postopératoires sont exigés. (Extrait du texte de la Convention
dentaire Nationale 2006)
Les intercesseurs des traitements endodontiques affirment que ces traitements sont sûrs s’ils
réussissent. Le critère de la réussite est la preuve radiologique (cliché rétro-alvéolaire). Avec
les antibiotiques et les différents désinfectants on assure avoir banni tout risque d’une
infection quelconque. Toute perturbation à distance provenant de dents dévitalisées semble
donc être exclue.

Les praticiens d’orientation biologique par contre constatent assez souvent que leurs tests
énergétiques indiquent une pathogénicité plus ou moins importante provenant de dents
mortifiées ou dévitalisées. La radio rétro-alvéolaire ne semble pas être suffisante pour juger
une éventuelle action perturbatrice ou toxique d’une telle dent. Des bactéries peuvent survivre
dans les dents traitées et des toxines peuvent être distillées.
Au début du 20ème siècle la théorie de l’infection focale a joué un rôle dominant en médecine
et on enlevait sans hésitation les dents mortes si on les soupçonnait d’être responsable d’une
perturbation à distance.

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Mais avec l’amélioration des traitements canalaires et la percée des antibiotiques depuis les
années 1950, la position du corps médical envers des dents dévitalisées a entièrement
changée.
Ces dernières années, les progrès étonnants concernant l’identification microbiologique et la
possibilité de retrouver l’origine de bactéries dans la sphère bucco-dentaire ont de nouveau
réveillé l’intérêt à l’infection focale. (Debelian et al)
Plusieurs travaux scientifiques prouvent aujourd’hui que certaines pathologies systémiques
sont effectivement causées par des bactéries bucco-dentaires.

Pathologies systémiques causées par des microorganismes bucco-dentaires

Debelian et al., (1994). Systemic diseases caused by oral microorganisms. Endod. Dent. Traumatol.
10:57-65.

Pathologies systémiques causées par des bactéries oraux

Systemic Diseases Caused by Oral Infection
Xiaojing Li,1,* Kristin M. Kolltveit,1 Leif Tronstad,2 and Ingar Olsen1
Department of Oral Biology1 and Department of Endodontics,2 Faculty of Dentistry, University of Oslo,
Oslo, Norway

Dissémination dans le sang par anaérobies et champignons

Debelian et al . ( Debelian, G. J., I. Olsen, and L. Tronstad. 1998. Anaerobic bacteremia and fungemia
in patients undergoing endodontic therapy: an overview. Ann. Periodontol. 3:281-287)

Se pose donc la question sur la présence de bactéries dans les canaux dentinaires de dents
dévitalisées.
Est-ce que l’on doit supposer que la plupart ou toutes les dents dévitalisées sont infectées ?
Est-ce que des dents dévitalisées peuvent engendrer des pathologies systémiques dû à leur
dépôt bactérien?
Est-ce que les toxines produites par ces bactéries (endotoxines) peuvent engendrer des
inflammations ?
Vous trouverez quelques réponses à ces questions dans la littérature suivante :

Invasion bactérienne dans les tubulis dentinaires de dents vivantes et avitales humaines

Bacterial Invasion into Dentinal Tubules of Human Vital and Nonvital Teeth; Journal of Endodontics,
Vol. 21, No. 2, pp.70-73, 1995

1Shigetaka Nagaoka, DDS,PhD, 1Youichi Miyazaki, DDS, Hong-Jih Liu, DDS, PhD, 1Yuko Iwamoto,
DDS, 2Motoo Kitano, DDS, PhD, and 1Masataka Kawagoe, DDS, PhD

1Department of Operative Dentistry and Endodontology and 2Department of Oral Pathology,
Kagoshima University Dental School, Kagoshima, Japan

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Les analyses ont démontré: Ayant laissé une cavité dentaire non obturée pendant
150 jours, les dents vivantes ne présentaient que 1,1% de tubulis dentinaires infectés
pendant que les dents avec traitement canalaire avaient 39% de tubulis infectés par
des bactéries.

Dent vivante Dent avec traitement endodontique

Par conséquent: Les odontoblastes dans les tubulis dentinaires d’une dent vivante
créent une barrière physiologique contre une invasion bactérienne.

Dans la dent morte, par contre, ce rôle des odontoblastes se perd puisqu’ils
dégénèrent, et cela permet aux bactéries de pénétrer dans les tubulis.

La désinfection du système canalaire est-elle donc possible ?

De nombreux chercheurs ont travaillé sur ce sujet sensible :

« Le challenge de la désinfection du système canalaire »

Blum, Michailesco, and Abadie. (1997). J. Endod. 23:583.

« La désinfection chimique est-elle suffisante? »

Moritz et al., (1997). Lasers Surg Med. 21:221-226.

Le canal central d’une racine dentaire est toujours entouré de plusieurs millions de
tubulis dentinaires en trois dimensions qui permettent une infiltration bactérienne et
fongicide. En plus on sait qu’il existe souvent un deuxième canal dans une racine
sans parler des nombreux canaux collatéraux. Dans une radio de contrôle rétro
alvéolaire on ne voit que rarement l’obturation de tous les canaux. Et sur le plan
juridique la dentisterie universitaire parle d’un traitement réussi si on constate un
canal obturé par racine.

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2222

Peut-on satisfaire ce challenge cliniquement à travers de désinfections chimiques

Moritz et al., (1997). J. Am. Dent. Assoc. 128:1525-1530

La stérilisation d’un canal radiculaire ne peut jamais être atteinte puisque le diamètre des
canaux latéraux et des tubulis dentinaires est beaucoup trop petit pour l’accès des instruments
ou pour une irrigation avec des solutions désinfectantes.

Sur l’image en
microscopie
électronique on
trouve les
bactéries (taches
blanches) dans la
masse dentinaire
et les tubulis
inaccessibles à la
désinfection :
Même des tests in vitro montraient que malgré la meilleure désinfection plus que 50% de la
dentine examinée restait infectée. (Vahdaty and coll. : Endod. Dent. Traumatol., 1993)

Anaérobies pénètrent obligatoirement dans les couches dentinaires profondes.

Ando N. and Hoshino E. (1990). International Endodontics Journal 23:20-27.

Dans les couches profondes de canaux radiculaires on a découvert des bactéries à 0,5-2mm de
distance de la barrière canalo-dentinaire. Il est fort probable que ces bactéries émigrent dans la
région péri-apicale et y créent des complications.

Echecs de traitements endodontiques et leur origine

1Louis M. Lin, BDS, DMD, PhD, 1Joseph E. Skribner, DDS, and 2Peter Gaengler, DDS,
PhD
1Department of Endodontics, University of Medicine
And Dentistry of New Jersey, Newark, N.J. and
2Department of Conservative Dentistry, Erfurt
Medical Academy, Erfurt, Germany
Journal of Endodontics (1992)18:625-627.

Les analyses cliniques de 236 échecs endodontiques ont démontré que 157 dents (= 67%)
étaient envahies de bactéries. Ceci prouve que la cause principale des échecs en endodontie
est la présence et la persistance de bactéries dans les canaux et la région péri canalaire.

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5

Est-ce que la radio rétro-alvéolaire montre réellement ce qui se passe dans et
autour d’une dent mortifiée ou dévitalisée ?

Pour la dentisterie universitaire, les experts médicaux et pour la sécurité sociale une radio
rétro-alvéolaire irréprochable est le seul et unique critère d’appréciation pour une dent
dévitalisée. Pourtant les différentes études prouvent que jusqu’à 97% des dents dévitalisées et
« correctement » obturées présentent des infections chroniques.

Analyses radiologiques et histologiques sur des apex dentaires de morts.

Green et al., (1997). Radiographic and histological periapical findings of root canal treated teeth in
cadaver. Oral Surg. Oral Med. Oral Pathol. Oral Radiol.Endod.83:707-711.

Sur les 19 racines examinées que 5 (=26%) montraient aucune singularité radiologique, mais
présentaient quand même des signes inflammatoires à l’examen histologique.

Lin et al., (1992). Journal of Endodontics 18:625-627.

Samuel Seltzer, B.A., D.D.S.

Department of Endodontology, School of Dentistry,
Temple University, Philadelphia, PA
Journal of Endodontics (1999)25:818-822
(1999)25:818-822.

Cette étude montre aussi que plus que la moitié des échantillons présentaient des inflammations péri-
apicales chroniques, dont certaines apparaissaient que 30 mois après la dévitalisation. Certains
auteurs affirment que seulement 7% des dents dévitalisées cicatrisent sans réaction inflammatoire.

(Brynolf : Odontol.Rev. 1967)

57% des racines examinées présentaient des dépassements de la pâte d’obturation canalaire ce qui
provoque régulièrement une réponse inflammatoire. Il constate que le foramen apical principal ne
correspondait que rarement avec l’apex radiologique de la dent.

Brisman, Brisman and Moses (2001). JADA 132:191-195.

Ces études mettent en cause la fiabilité des seuls diagnostiques radiologiques pour juger
l’inoffensivité des dents dévitalisées. La radio retro-alvéolaire ne peut jamais prouver la stérilité d’une
dent.

Les toxines et les bactéries qui se développent dans et autour d’une dent dévitalisée
ne sont pas visibles sur la radio.

Voici un exemple clinique du Dr J. Lechner (www.dr-Lechner.de) (www.totezaehne.de)

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Après
extraction
de la 11 on
découvre
une dent
foncée
brunâtre qui
laisse
apparaître
des
protéines
nécrotiques.
La dent 11 montre une bonne obtura-
tion canalaire sans signes particuliers
Après
extraction
de la 11 on
découvre
une dent
foncée
brunâtre qui
laisse
apparaître
des
protéines
nécrotiques.
La dent 11 montre une bonne obtura-
tion canalaire sans signes particuliers
Cet exemple prouve encore une fois que la plus belle couronne céramique et le cliché radio
parfait cachent le plus souvent une invasion massive de bactéries et toxines.

La présence et la quantité de toxines autour d’une dent morte peuvent-elles être
prouvées scientifiquement ?

C’est le Prof. B. Haley de l’université de Kentucky qui a développé un test intra buccal semi
quantitatif qui facilite beaucoup les examens du praticien : le Toxicity Prescreening Assay
(TOPAS). Ce test a récemment reçu sa certification CE/EU et est donc reconnu et disponible
en Europe. (www.dr-lechner.de/produkte) (www.topas-toxine.com)

Avec une pointe de papier on absorbe les toxines qui se trouvent dans le sulcus papillaire de la
dent à examiner. (www.altcorp.com/affinitylaboratory/topas.htm)


Pendant une minute on laisse la pointe de papier dans le sulcus.

Le sulcus devrait être sec et ne doit pas saigner.

Puis on trempe la pointe à papier dans un flacon qui contient un liquide indicateur.

Après 5 min. on compare l’intensité du liquide jaune avec un tableau.

Plus le liquide est jaune foncé plus de toxines provenant de bactéries des canaux
dentinaires diffusent dans le sulcus papillaire de la dent examinée.
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Le résultat du test indique indirectement l’intensité de la toxicité de la dent et son action
pathogène sur le système général. Il peut servir à éclairer le patient avec des arguments
scientifiques et faciliter ainsi la décision pour une extraction éventuelle.

(Voir également l’article « De quelques réflexions à propos des dents dévitalisées »
du Dr N. Stelling dans Autredent 49)

Les recherches des différents auteurs cités ci-dessus ont montré que jusqu’à 97% des dents
dévitalisées, malgré leurs traitements endodontiques apparemment bien réussis, étaient
envahies de bactéries et toxines apparaissant parfois que plusieurs mois après le traitement
canalaire. Puisque l’on ne veut pas mettre en cause la bonne foie des praticiens qui, malgré la
difficulté de l’acte, essayent toujours de réaliser un traitement canalaire parfait et conforme
aux acquis de la science universitaire et aux recommandations de l’ANDEM, il doit bien
exister une faille dans le système.
Dans mon travail de médecin-dentiste holistique, je suis assez souvent confronté à un
problème de conscience grave : une dent dévitalisée obturée dans les règles de l’art dentaire
signale une pathogénicité aux tests énergétiques, et le bilan informatisé avec le système de test
SkaSys indique la présence de Thioaether, Mercaptan, Cadavérine etc.

Parmi les multiples hypothèses, on pourrait retenir une
explication anatomique : Si on découpe la ou les racines
d’une dent extraite, ce qui par curiosité m’arrive souvent,
on découvre parfois que les canines, la deuxième
prémolaire, les racines mesio-buccales des molaires
supérieures, ou la racine mésiale des molaires inférieures
possèdent un deuxième canal. Je dois également rappeler
les multiples ramifications des canaux au niveau des
apex, ce qui est bien connu. La médecine dentaire
universitaire et le protocole de l’Agence Nationale pour
le Développement de l’Evaluation Médicale (1996) ainsi
que les experts de la Sécurité Sociale classent pourtant
une obturation canalaire en appréciation « succès » s’il y
a un canal obturé par racine.


Depuis 1998 pourtant, il est scientifiquement reconnu que 90% des molaires
supérieures possèdent un quatrième canal dans la racine mésio-buccale. Mais
l’odontologie officielle considère jusqu’à ce jour qu’une telle molaire soit
parfaitement traitée dès que trois canaux sont correctement obturés.

Cela signifie que, jusqu’à lors on doit considérer 90% des molaires supérieures
dévitalisées comme des porteurs massifs de bactéries et de toxines même si elles
semblent parfaitement bien obturées et que le contrôle radiologique soit sans soupçon.

Cela prouve que depuis longtemps l’enseignement scientifique en endodontie ne
correspond plus du tout aux réalités cliniques et biologiques.
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En regard de la particularité anatomique de chaque dent, nous sommes portés à apprécier les
traitements canalaires avec un oeil un peu plus critique.
La contradiction entre le diagnostic clinique d’une dent dévitalisée basé sur l’unique
appréciation d’une radio rétro-alvéolaire et notre diagnostic issu de tests bioénergétiques sème
souvent le doute dans la conscience d’un thérapeute holistique. Les travaux scientifiques cités
ci-dessus nous encouragent à faire plutôt confiance à notre ressenti et aux réponses que le
patient nous fournit à travers les tests énergétiques. Néanmoins ceci ne nous autorise pas à
extraire une dent morte sans avertissement, renseignement éclairé sur les conséquences,
information sur les alternatives au traitement proposé et consentement écrit du patient. Même
en prenant toutes les précautions possibles, la juridiction actuelle penchera toujours pour la
dentisterie universitaire et le patient traumatisé si ce dernier revient sur sa décision.
Comme pour l’amalgame, nous avons encore un long chemin devant nous pour faire connaître
et reconnaître la toxicité des nombreuses dents mortes.
De notre côté de dentistes énergéticiens nous pouvons donner l’exemple en renonçant aux
dévitalisations inutiles et en prenant toutes les précautions pour garder une dent cariée
vivante. Si en présence d’une pulpite irréversible ou d’une gangrène nous tenons absolument
à conserver une dent pour de multiples raisons médicalement ou humainement justifiées, nous
devons informer le patient que le traitement canalaire envisagé ne pourra pas garantir la
stérilité absolue de cette dent et que dans un futur plus ou moins certain elle risque de se
révéler comme foyer infectieux ou champ perturbateur portant atteinte à la santé générale du
patient.

DR. Hubert KLOOS
13, Boulevard Carnot
06400 CANNES

(Commentaire Tampon Indéterminée
vierge)
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témoignage d’une patiente

November 21, 2008 on 12:33 pm | In Non classé | Comments Off

Témoignage d’Anne Le Mee avec qui vous pouvez correspondre si vous le souhaitez. Son mail est annelemee@laposte.net

St Brieu, Novembre 2008.

Suite à des problèmes de santé divers (anémie chronique, problèmes de dos, hernies discales paralysantes, fatigue chronique, épuisement généralisé, problèmes stomacaux, nervosité, insomnies…) qui se sont amplifiés malgré un état moral équilibré, je me suis posé la question de l’origine de ces problèmes.
La médecine classique ne répondant pas à cette question je me suis tournée vers les médecines parallèles. J’ai essayé de nombreuses techniques (ostéopathie, acupuncture, homéopathie, phytothérapie, nettoyage des métaux lourds, qi gong, etc..) qui toutes m’ont apporté un mieux être, malheureusement de courte durée. J’avais même fait enlever tous mes amalgames dentaires au mercure.
Les années passant, ces améliorations ont été de plus en plus précaires, voire inexistantes.
J’ai eu l’information de la toxicité des dents dévitalisées il y a 5 ans de cela, et cette information a tout de suite raisonné en moi. J’avais huit dents dévitalisées, neuf si l’on compte une qui avait été arrachée. J’ai eu mes premières dents dévitalisées à 10 ans (mesure préventive du dentiste qui estimait qu’elles se frottaient trop.)
J’ai réfléchi à la méthode de soins préconisant l’extraction pure et simple de ces dents, j’ai attendu fin 2006 pour prendre la décision de les enlever. J’étais alors extrêmement fatiguée, au point de ne plus pouvoir marcher normalement, et de me sentir littéralement mourir à petit feu (j’avais 36 ans).
Je passais alors des journées entières alitée, bien que j’eusse envie de faire des choses!
J’étais prête à enlever ces dents, car je n’avais plus d’espoir.
Inutile de préciser que la médecine conventionnelle ne trouvait rien (analyses “normales” - en fait il aurait fallu faire des analyses très poussées, non remboursées, qui auraient montré un effondrement du système immunitaire) et que mon état soulevait beaucoup d’incompréhension, sinon de la suspicion.
Lorsque j’ai décidé de faire extraire mes dents dévitalisées, j’ai d’abord consulté plusieurs dentistes de ma région. Selon eux elles ne présentaient aucun problème. Un stomatologiste a toutefois accepté de m’en extraire trois. Mais cela n’a pas suffit et ma santé ne s’est améliorée que partiellement, il m’en restait encore trop j’imagine. En plus la zone opérée restait douloureuse car, je le compris ensuite, l’os entourant la dent n’avait pas été correctement cureté. Par la suite, un traitement de la zone osseuse a toutefois évité de me réopérer. Un traitement conseillé par le Dr Darmon que j’ai contacté ensuite pour qu’il m’aide à faire enlever mes autres dents dévitalisées.
L’extraction des dents a été faite de façon très précise, selon les directives de ce dentiste, qui est un des rares chirurgien-dentiste en France (radié de l’ordre des dentistes depuis quelques années) à reconnaître les problèmes de santé que causent les dents dévitalisées et à agir en conséquence. Un dentiste qui possède en plus des techniques particulières qui permettent que tout se passe bien sans prendre aucun médicament chimique (acupuncture, huile essentielle notamment). Il m’a accompagné chez un dentiste qui accepte de suivre précisément ses recommandations.
En plus des extractions, j’ai suivi des traitements des os de la mâchoire. Les dents dévitalisées entrainent en effet un empoisonnement de l’os qui les contenait et cela malgré les curetages. Ces traitements étonnants d’efficacité sur ma vitalité, mis au point par le Dr Darmon m’ont été effectués quelques temps plus tard pour supprimer cet empoisonnement.
Avec un an de recul, je peux dire que j’ai retrouvé la santé, bien que ma convalescence ne soit pas encore terminée. Je n’ai plus d’anémie chronique, de paralysies dorsales, de fatigue insurmontable.
Le lien de cause à effet entre mes problèmes de santé et la présence de dents dévitalisées ne fait vraiment aucun doute pour moi.
Le fait de porter deux prothèses amovibles en bouche ne me pose aucun problème; c’est un inconvénient tellement mineur en comparaison des soucis de santé causés par les dents dévitalisées!

Anne Le Mee

Anne Le Mee fait partie des patients que j’aime beaucoup et pour qui j’ai beaucoup d’admiration car ce sont des personnes qui ont pris conscience qu’ils devaient faire partager leur expérience pour qu’elle serve à d’autres. Et ils sont rares, je vous assure. Anne Le Mee, après être venue me voir et avoir retrouvé la santé, a voulu diffuser un DVD sur moi. Elle a été d’accord pour participer à un colloque de médecines naturelles pour parler des dents dévitalisées aussi. En fait ni l’un ni l’autre ne se sont faits encore, pour divers problèmes, techniques surtout. Vous pouvez rentrer en contact avec elle si vous le souhaitez annelemee@laposte.net

Dans la liste de mes ex rares patients qui ont vraiment fait quelques chose pour la cause il y a aussi Jean Pierre Garel, Directeur Honoraire de recherche au CNRS et Michel Raynaud, prof à la fac de science de Toulon, qui a réalisé le site internet www.sante-dents.com. Il y a aussi François Bleuez, un musicien soliste d’orchestre Philarmonique dans les Alpes Maritimes. Il a écrit un fascicule sur la toxicité des dents dévitalisées pour l’association sur la Bioelectronique de Vincent. Il y en aussi quelques autres comme René Fiorèse qui toute sa vie en a parlé et a témoigné sur mes vidéos, ou Marianne Galichet qui en parle sans cesse encore et en parlé lorsqu’elle travaillait à l’hôpital de Cannes avec tous les risques que cela comportait. Et il y en a d’autres encore que je ne peux citer ici et qui aident à diffuser cette information dont dépend aujourd’hui la santé de millions de personnes. comme par exemple un thérapeute comme M Thierry Fortin que je remercie. ….

Les inconvénients de se faire enlever les dents dévitalisées

November 10, 2008 on 1:11 am | In Non classé | Comments Off

Les inconvénients de se faire enlever les dents dévitalisées.

Je mets à peine en ce mois de novembre 2008 ce texte sur le site qui date pourtant déjà de quelques années, mais je reconnais en fait que c’est probablement celui que j’aurais du mettre en premier et qui doit absolument être lu par celui qui décide d’entreprendre la démarche d’enlever ses dents dévitalisées. Il m’arrive d’avoir quelques fois des personnes qui me disent regretter d’avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. Elles sont une minorité toutefois. Outre le fait que je leur rappelle quand je le peux, tous les effets positifs obtenus sur leur santé, je leur réponds que je connais aussi des personnes qui regrettent d’avoir eu un cancer et de savoir aujourd’hui qu’en enlevant leurs dents dévitalisées avant elles auraient pu l’éviter très probablement. Bref, enlever ses dents dévitalisées possède des inconvénients certes mais je suis sûr aussi qu’ils sont bien moindres que de les garder. Mais le plus important avant que je vous entrepreniez cette démarche est que vous aussi vous en soyez convaincu. Toutefois ignorer les inconvénients n’est pas non plus la bonne démarche même si l’avantage est qu’au bout d’un tunnel parfois long et tumultueux, se trouve la plupart du temps la santé, mieux qu’aucune autre technique ne pourra vous la donner. Et cela n’est pas que de la théorie mais a été constaté par les thérapeutes qui se sont intéressés au sujet, sur des dizaines de milliers de personnes, comme le site www.sante-dents.com le démontre d’ailleurs. Et cela tout simplement parce que le fait d’ôter les causes d’empoisonnement est toujours plus efficace que tout ce qu’on pourrait faire d’autre. Le jeu en vaut donc la chandelle, enfin si tant est que la santé est votre priorité car si votre priorité est autre, comme le fait de ne pas avoir de dentier par exemple, alors mieux vaut conserver vos dents dévitalisées et les maladies qui vont avec bien souvent. Mais même si votre santé est votre priorité, ne pas connaitre les inconvénients du choix d’enlever les dents dévitalisées est un risque qui peut parfois provoquer dans le mental des séismes destructeurs, surtout si entre temps un dentiste conventionnel passe par là, vous donne son avis « éclairé » et arrive à vous faire croire que vous avez été victime d’une arnaque par exemple. J’ai eu quelques cas, rares certes, mais quand même existants. Si avant de les soigner j’avais vérifié qu’ils avaient bien compris les divers risques et inconvénients de leur choix, cela ne serait peut-être pas arrivé. Et encore ce n’est pas sûr car c’est paradoxalement le patient qui s’en est le plus plaint qui fut en fait celui qui avait été le plus informé.

Les inconvénients de s’engager dans cette voie thérapeutique d’enlever les dents dévitalisées sont multiples. Tout d’abord il est évident que ce n’est pas aussi anodin que d’avaler un comprimé. Il faut passer par un ou des actes chirurgicaux qui consistent à enlever des dents avec tous les risques et les aléas thérapeutiques que cela peut avoir ainsi que le côté irréversible. Ah, ce fameux côté irréversible qui sert à faire peur aux prétendants aux extractions de dents dévitalisées et que des irréversibles abrutis de dentistes utilisent pour mieux justifier leur nécrodentisterie. Des irréversibles abrutis qui ne se rendent pas compte du risque de destruction parfois irréversible de la santé à cause des dents dévitalisées justement. Car, à trop garder les dents dévitalisées on peut aussi perdre irréversiblement sa santé et cela est pour moi le plus grand risque irréversible en fait. Toutefois les enlever possède aussi des risques qu’il n’est pas inintéressant de connaitre.

Les risques.
Je connais des histoires où les personnes sont mortes après avoir enlevé des dents, c’est exceptionnel mais cela peut arriver, bien moins souvent toutefois que ceux qui meurent de ne pas avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. Le risque existe surtout sous anesthésie générale d’ailleurs et surtout si l’anesthésie a été faite en lune croissante car alors le corps fixe les anesthésies. J’avais parfois l’occasion de soigner des patients très gravement malades et très affaiblis que m’envoyaient certains médecins qui ne savaient plus quoi en faire. Il m’est déjà arrivé chez ce genre de patients qu’ils meurent presque sur mon fauteuil juste après l’anesthésie locale, c’est-à-dire qu’alors ils n’avaient plus de respiration ni de pouls. Après des techniques de réanimation en acupuncture, ils sont en fin de compte tous revenus à la vie, ouf, j’avais déjà assez d’ennuis comme ça avec le Conseil de l’Ordre. L’anesthésie est un petit poison qui parfois peut être fatal chez les personnes très faibles, il faut le savoir. Dans ce cas, il vaut mieux maitriser certaines techniques de réanimation et remonter préalablement l’énergie du patient avec diverses techniques.
Parmi les risques les plus fréquents de l’extraction il y a aussi l’hémorragie. En général, le dentiste sait quoi faire mais parfois ce n’est quand même pas si simple. J’avais toujours au cabinet de la poudre de pierre d’alun qui est un excellent hémostatique. Il existe aussi une technique énergétique qui consiste à mettre du froid (un bac à glaçon par exemple) dans le dos entre les deux omoplates. On baisse ainsi la pression sanguine notamment. Sinon la plupart du temps, la compression de la zone opérée avec des compresses (ou un mouchoir en papier ou autre chose à défaut) est suffisante, d’autant plus qu’on laisse la tête relevée, pour diminuer la pression sanguine au niveau de la tête donc de la bouche. La nuit en cas d’hémorragie, on dormira avec deux bons oreillers pour relever la tête.
Autre risque : La création d’une communication bucco sinusale, avec les dents du haut évidemment car le sinus maxillaire est juste au dessus des racines de certaines dents du haut. Bon ça se gère avec des méthodes naturelles aussi pour éviter des antibiotiques qui ne sont pas dénués d’effets secondaires. On lave le sinus avec des hydrolats (de thym, de pin et de laurier par exemple) dilués de l’eau tiède. On évite ainsi une lourde antibiothérapie. On l’obture avec la prothèse amovible, ou on referme chirurgicalement.
Autre risque. Pour les dents du bas, la section du nerf dentaire inférieur qui donne ensuite à la bouche un air tordu à vie. C’est un risque assez embêtant qui a d’autant plus de chance de se produire que l’on fait une anesthésie tronculaire aux dents du bas avec curetages de cavitations osseuses du bas, d’où l’intérêt de préférer les anesthésie locales et non loco régionale comme l’anesthésie tronculaire à l’épine de Spix. Néanmoins si la radio ne montre aucun risque de toucher de nerf dentaire inférieur, l’anesthésie tronculaire à l’épine de Spix est aussi une bonne chose, pour les extractions de dents de sagesse notamment. Ce dernier risque lorsqu’il arrive, peut être la plupart du temps considéré comme une faute professionnelle alors que les autres sont généralement considérés comme des aléas thérapeutiques car ils peuvent arriver même sans aucune faute professionnelle.
Autre risque: l’absence de guérison.
On enlève les dents dévitalisées et on ne guérit pas de sa maladie. Il est souvent plus simple de perdre la santé que de la retrouver et même lorsqu’on la retrouve, le corps peut garder des mémoires de la maladie qui mettront un certain temps à s’éliminer, et que l’on peut d’ailleurs aider à éliminer par diverses techniques. Il n’est donc pas toujours suffisant d’enlever les causes de la maladie pour qu’elles disparaissent et pourtant c’est la première chose à faire si on veut vraiment guérir. Peu de patients sont conscients de cet aspect de la guérison. Ils attendent souvent le miracle un peu comme lorsqu’ils prenaient leur comprimé antalgique et que la douleur disparaissait presque immédiatement. Le problème est que c’est souvent cette façon de fonctionner qui les a conduit à se retrouver aujourd’hui dans l’état grave dans lequel ils se trouvent. La plupart des causes des maladies graves sont à rechercher dans ces comportements pratiques certes mais aux effets secondaires terribles, que l’on retrouve et dans l’allopathie, dans la dévitalisation dentaire et aussi dans des comportements alimentaires aberrants qui tous constituent des transgressions aux lois de la vie. Toutes les maladies sont la conséquence de transgressions aux lois de la vie, sachez le. Rien, n’arrive par hasard, en tout cas dans la vision mystique de la vie, même si notre médecine le croit bien souvent, imprégnée d’athéisme et de nihilisme qu’elle est. L’allopathie, l’alimentation dévitalisée, la dévitalisation dentaire, et l’énergie nucléaire par exemple, sont toutes des transgressions aux lois de la vie qui en apparence sont bien pratiques certes mais dont nous devrons un jour payer les conséquences terribles sur notre santé et celle de nos enfants même si nos chers médecins sont là dessus muets. Et ceux qui nous emmènent dans ces chemins, fussent-ils des chemins balisés par la science et les universités de médecine ou de chirurgie dentaire pour mieux nous hypnotiser, sont les meilleurs associés du diable, qui n’a qu’un objectif, générer la souffrance et le malheur pour s’en nourrir. Tache utile certes, aussi incroyable que cela puisse paraitre car l’exercice du discernement est un des aspects essentiel de l’évolution de l’âme qui est le but ultime de l’existence. Ah mais encore faut-il croire en l’âme et à tout ce qui va avec. Ah décidément, j’ai du mal à rester concentré sur un sujet sans parler de spiritualité. Mais ma foi c’est que j’estime d’une certaine façon, qu’on ne peut approfondir aucun sujet sans arriver d’une manière ou d’une autre à parler de spiritualité. Sans s’intéresser à la spiritualité, on ne peut rien faire de très grand et de très profond. Toutes les discussions sont condamnées à une pale superficie. Et quand on ne s’intéresse pas à la spiritualité, qu’il est fréquent de dire non aux lois de la vie sans même s’en rendre compte. Mais alors on dit aussi non à la vie et au bonheur véritable et durable, il faut aussi le savoir. Quand nous ne sommes pas constamment dans l’action spirituelle ou la spiritualité active pourrait-on dire aussi, qui nécessite que nous nous interrogions sans cesse sur le sens de nos actes en les replaçant dans l’ensemble plus vaste des lois de la vie, nous sortons alors du courant de la vie essentielle, et donc du sens même de notre existence. Nous transgressons sans le savoir bien souvent les lois de la vie et nous allons vers le refroidissement progressif de notre être dont la maladie n’est qu’un des premiers symptômes. C’est tout à fait ce que notre médecine moderne avec son allopathie et notre dentisterie moderne avec la dent dévitalisée ont fait et la première conséquence qui s’en est suivie est d’avoir créé la civilisation de malades et d’handicapés que nous sommes aujourd’hui. Regardez un peu autour de vous le nombre de grabataires et de malades qu’il y a.
Mais revenons à nos moutons, c’est-à-dire aux inconvénients. En fait même si on ne guérit pas complètement de sa maladie en enlevant les dents dévitalisées, à part quelques cas rares où le mental s’en mêle, on va toujours mieux quand même. J’ai personnellement enlevé des dents dévitalisées à des centaines de personnes en leur promettant qu’elles iraient mieux (j’en ai d’ailleurs filmé une centaine mises sur internet www.sante-dents.com) et des dentistes ont fait de même pendant des dizaines d’années. Si cela n’avait pas été vrai, elles auraient toutes voulu nous tuer alors que dans mon cas par exemple, il n’y en a eu que deux ou trois qui l’ont voulu, tandis que les autres ont toutes été reconnaissantes. Le problème, c’est que lorsqu’on a un exercice qui remet en question les intérêts de vos confrères, il suffit de deux ou trois mécontents sur des centaines de guérisons, pour que cela suffise à vous démolir professionnellement même si vos statistiques sont bien supérieures à celles de la médecine académique. Deux ou trois mécontents sur des centaines de guérisons, mais c’est négligeable. Il y a toujours des mécontents quoiqu’on fasse. Deux ou trois ou dix mécontents seulement et cela malgré l’opposition de la majorité des confrères qui essayaient de me faire passer pour un fou. Pensez vous vraiment que nous, les dentistes qui faisons cela, pourrions faire cela, c’est-à-dire enlever des dents qui ne font pas mal, à autant de personnes si cela ne guérissait rien. Vous prenez alors vraiment les gens pour des imbéciles….
Cela aurait été impossible de continuer aussi longtemps s’il n’y avait pas eu des résultats probants.
Bon à part ces risques assez rares, il faut bien le dire, il y a les inconvénients à proprement parlé.
Les inconvénients.
Premier inconvénient : la douleur
Enlever les dents dévitalisées est un acte chirurgical qui produit parfois un peu de douleur après coup. Bon, avec une bouillotte et de l’huile essentielle de girofle, cela se gère assez bien sans avoir recours aux antalgiques chimiques qui sont tous des poisons ne l’oublions pas. Parfois c’est quand même mieux d’avoir à sa disposition un thérapeute énergéticien pour gérer le post opératoire avec de l’acupuncture par exemple. Pour diminuer la douleur post opératoire, il est important que le dentiste ne mette pas trop d’anesthésique, surtout avec vaso constricteur, et qu’il s’assure que l’alvéole dentaire après l’extraction possède un bon caillot de sang à l’intérieur.
Deuxième inconvénient : les dents absentes. Après avoir enlevé ses dents dévitalisées, on se retrouve avec des trous dans la bouche, c’est évident. On peut certes laisser les trous, ce qui de mon point de vue est moins grave que de laisser des dents dévitalisées, n’en déplaise à la majorité de mes confrères notamment les occlusodontistes qui attachent une importance considérable à l’occlusion. Il existe pourtant des tas de personnes édentées qui se portent très bien. Regardez les reportages télé sur les pays pauvres. Il manque des dents à nombre de personnes qui sont pourtant en meilleure santé que nous qui avons des dents dévitalisées. J’explique plus cela dans le texte “ésotérisme médical”. Mais on peut aussi remplacer les trous, c’est encore mieux. Il existe alors en gros trois solutions. La prothèse amovible, les implants et les bridges. D’un point de vue énergétique, la meilleure solution est la prothèse amovible car on appuie donc stimule les zones édentées comme ne le fait pas le bridge et en plus sans créer de passage aux bactéries de la bouche comme le fait l’implant, dont un des inconvénients est aussi d’être bien plus onéreux en plus.
La prothèse amovible ou dentier. La prothèse amovible a aussi des inconvénients mais c’est ce que la plupart des patients vont avoir. C’est ce que je vais traiter uniquement dans ce texte, même si les autres solutions possèdent pour moi encore plus d’inconvénients d’un point de vue de la santé.

Contrairement à ce que disent nombre de dentistes, la prothèse amovible s’enlève la nuit lorsqu’on dort. Inutile de penser à l’occlusion lorsqu’on est allongé, donc que notre verticalité n’est pas soumise aux lois de la pesanteur. On laisse en plus les gencives se détendre ce qui évitera plus de rebasages qu’il n’en faudra, je m’explique. L’os sous la gencive est vivant et il va se remodeler, faisant que la prothèse amovible aura besoin de réajustements prothétiques qu’on appelle rebasages. Parfois il s’agira aussi de compenser l’usure des dents prothétiques en remettant du composite (de labo de préférence) sur ces dites dents. Parfois le dentiste préfère tout refaire aussi. Bref avec la prothèse amovible il faut prévoir un certain entretien, c’est un inconvénient sur les dents dévitalisées souvent couronnées jusqu’à ce que mort s’en suive.
La prothèse amovible n’est pas toujours simple à supporter. Outre le fait qu’il faille parfois faire des efforts pour s’y habituer, parfois elle fait mal longtemps et cela malgré divers ajustements. Certains patients ne supportent jamais leur prothèse amovible, mais c’est très rare et cela dépend aussi beaucoup des capacités du dentiste qui devra notamment arrondir chirurgicalement toutes les pointes osseuses sous la gencive. Il faut aussi comprendre que quand l’os a été intoxiqué pendant des années par les dents dévitalisées, son imprégnation toxinique dont il veut d’ailleurs se débarrasser, le rend douloureux parfois très longtemps. Il est donc aussi important que le patient persévère et mange très progressivement les aliments de plus en plus durs. Les gencives doivent se durcir et s’habituer progressivement sinon on se fait mal et on ne peut plus mettre sa prothèse. J’ai parfois rencontré des cas difficiles qui nécessitaient des outils de diagnostic énergétique pour pouvoir voir quoi retoucher sur la prothèse afin de la rendre supportable. Des outils que ne possèdent pas encore la plupart des dentistes ce qui ne leur permet pas parfois de pouvoir faire supporter aux patients les prothèses qu’ils leur ont réalisées. Les patients s’entendent alors dire « je ne peux plus rien faire de plus, il faut que vous vous y habituiez », ce qui est souvent d’ailleurs vrai en partie mais parfois impossible si certaines retouches subtiles ne sont pas réalisées sur la prothèse.

Mais les patients sont très inégaux devant la difficulté à supporter la prothèse amovible. Les patients plus rondouillets la supportent en général plus facilement car leur gencive épaisse se comporte comme un meilleur amortisseur qu’une gencive fine.
Mais si la prothèse amovible a des inconvénients, elle possède, outre ceux reliés évidemment au fait de retrouver des dents, certains avantages plus subtils. Avantages qui sont paradoxalement liés aux inconvénients, je m’explique. Le fait de comprimer les gencives et qui peut occasionner une certaine gène, voire une douleur, possède en fait un intérêt thérapeutique. En comprimant les zones d’os intoxiquées, on les masse et donc on les guérit progressivement et on participe aussi à guérir les organes à distance qui sont reliés à ces mêmes zones dentaires car on agit par effet réfléxologique sur les organes à distance. La prothèse amovible est donc un outil thérapeutique. Cet effet thérapeutique peut être augmenté en plaçant sous la prothèse un peu de coton (facultatif en fait) imprégné d’huile essentielle (éventuellement diluée) de girole ou de thym par exemple ou autre. L’huile essentielle va traverser la gencive et pénétrer l’os malade pour le soigner. Sans prothèse amovible, il est très difficile de maintenir en place un coton imprégné d’huile essentielle. La prothèse amovible est donc aussi un appareillage servant à appliquer une thérapeutique, ici en l’occurrence de l’huile essentielle mais ce peut être autre chose comme des cristaux lorsqu’on les insère dans la prothèse amovible. Il m’est arrivé juste par téléphone de soigner une sciatique en expliquant de mettre un coton imprégné d’huile essentielle sous sa prothèse à un patient. Hé oui, la réflexologie dentaire, c’est très puissant car on touche des causes, je le rappelle.

Bon après tout ce sérieux on va finir par un peu d’humour, sachant que dans tout humour il y a toujours un fond de vérité.

La prothèse amovible peut aussi être une cause de divorce. Monsieur expliqua à Monsieur le juge qu’il ne voulut plus de sa femme lorsqu’un jour il l’a vit sans son dentier et que cela le traumatisa définitivement….. Ah ! le pouvoir des apparences…… . Les apparences, c’est justement en cela que réside principalement l’explication du succès de la dent dévitalisée et donc par conséquent l’explication en grande partie de l’effrayante augmentation des cancers et des maladies graves depuis des années. Les apparences peuvent donc tuer et pas seulement un couple, sachez le, alors apprenez à voir l’authentique chez votre partenaire, sa beauté intérieure en quelque sorte. Qu’est-ce que c’est qu’un dentier à côté de ces dents dévitalisées dans lesquelles grouillent toutes ces bactéries toxiques, toute cette putréfaction…. Allons, un peu de courage, faites enlever vos dents dévitalisées même s’il y a des inconvénients car l’avantage surpassera toujours les inconvénients puisque la santé est ce qu’il y a de plus important. Mais bon c’est quand même à vous de décider et ensuite d’en assumer les conséquences. Mais si vous ne le faites pas, vous risquez aussi de devoir un jour assumer des conséquences bien plus terribles. Peut-être vaut-il mieux alors accepter les inconvénients de se faire enlever les dents dévitalisées….. Le sage s’efforce d’accepter ce qu’il ne peut changer et s’efforce de changer ce qu’il ne peut accepter.

Dr Bruno Darmon

Amygdales et végétations. Histoire de mutilation ordinaire

November 2, 2008 on 11:03 am | In Non classé | Comments Off

Amygdales et végétations, histoire de mutilation ordinaire.

Ce mardi 7 octobre 2008, je regarde une émission de télé « les maternelles » où le thème est l’arrachage des amygdales et des végétations chez les enfants. Cette opération est probablement l’opération la plus couramment effectuée chez les enfants actuellement. L’émission est assez instructive et représentative de la folie banale de notre civilisation dans le domaine de la santé, c’est pourquoi je vais un peu développer le sujet. Lors de l’émission, on n’entend comme d’habitude que des représentants de la médecine officielle, des chirurgiens notamment puisqu’il s’agit ici de chirurgie. L’émission est une vraie publicité pour l’arrachage des amygdales et des végétations. Les enfants respirent ensuite mieux, grandissent mieux ensuite, témoignages à l’appui. On remarque qu’aujourd’hui la mode médicale est à nouveau d’arracher systématiquement ces organes alors qu’il y a quelques années on en était revenu, le discours étant alors qu’il fallait tout faire pour les garder. Mais aujourd’hui, il semble qu’on se soit aperçu que ce soit mieux de les enlever. Quel progrès !

Evidemment, la voie des médecines douces ou naturelles et de la naturopathie n’est pas entendue encore une fois. Sait-on même dans les médias françaises qu’il existe tout un courant mondial thérapeutique, la naturopathie, qui s’oppose farouchement à ces pratiques thérapeutiques issues de la médecine moderne, pratiques qu’il estime mutilantes, tout en apportant d’autres solutions. Personne ne se pose ici la question de savoir à quoi servent les amygdales et les végétations, ces tissus lymphoïdes qui se trouvent au fond de l’oropharynx (au fond de la bouche) et du rhinopharynx (au fond du nez) respectivement qui constituent des sentinelles immunitaires du lieu où elles se trouvent, tout comme l’appendice l’est pour l’abdomen. Lorsqu’on enlève les sentinelles immunitaires, les poisons rentreront ensuite plus profondément dans les structures organiques car il n’y aura plus de sentinelles pour les arrêter en déclenchant des réactions immunitaires locales. Il y aura donc bien plus de cancers par exemple par la suite. L’émission n’évoque bien sûr pas ces conséquences à long terme, tout comme on ne l’évoquera jamais aux parents des enfants à qui on enlèvera l’appendice qui seront alors plus sujets aussi aux problèmes abdominaux notamment aux péritonites bien plus graves, ces infections généralisées de l’abdomen. Mais il est évident que personne sur le plateau télé n’en est conscient. Pas conscient non plus des causes alimentaires comme si la seule pollution pouvait tout expliquer. Et logiquement, on n’évoque bien sûr même pas le travail de naturopathes qui savent guérir les amygdales et les végétations en transformant l’alimentation par ce qu’on peut appeler l’hygiène vitale en générale et l’hygiène alimentaire en particulier. Bref, tout ce beau monde ne se pose pas trop de question fut-il diplômé de la médecine académique. Il faut dire que la médecine académique n’enseigne aujourd’hui que la médecine des poisons et de la mutilation (voir texte « médecine des poisons » sur ce site) et ne s’intéresse que très peu à vouloir faire changer les mauvaises habitudes. On propose donc une solution médicale qui permettra de faire en sorte comme toujours de ne rien changer dans les habitudes morbides qui ont conduit à l’hypertrophie des amygdales et des végétations gênant la déglutition et la respiration et provoquant fréquemment des angines et des rhinites.

Mais tout cela ne m’étonne guère, dans ce monde de fous. Cela et me fait plutôt penser aux médecins qui eux non plus ne se posent pas trop de questions au sujet de la médecine chimique qui supprime allègrement les symptômes gênants à coup de chimie qui inhibe les mécanismes naturels de défense mais l’exemple le plus parlant est bien sûr celui de mes confrères avec la dent dévitalisée. Lorsque le nerf fait souffrir et bien on l’enlève évidemment, pourquoi s’embêter ma brave dame à chercher à faire autrement puisque le fait de l’enlever résout le problème de la douleur de la dent. C’est tellement pratique n’est-ce pas. Eh oui c’est pratique et simple effectivement en apparence mais en réalité c’est plus simpliste que simple et cela est plus de la folie que de la sagesse. Ce qui permet de distinguer la folie de la sagesse, c’est la conscience des conséquences à long terme des différentes options que l’on prend. Il n’y a pas à chercher plus loin la première cause de maladies graves et de cancers que dans cette attitude médicale folle même si notre environnement pollué n’arrange rien.

La chirurgie qui consiste à enlever les organes gênants ne devrait être utilisée qu’en dernier recours, et cela après avoir essayé toutes les autres solutions thérapeutiques. Il me semble essentiel de le rappeler aujourd’hui où on l’a semble-t-il oublié. Mais encore faut-il pouvoir trouver d’autres solutions thérapeutiques dans ce monde médical où notre société avec les Conseils de l’Ordre représentant la médecine des poisons, adopte trop souvent une attitude hégémonique vis-à-vis des solutions alternatives, avec la complicité de juges inconscients dignes représentants d’une population au moins autant inconsciente sur le thème des médecines naturelles. La société a ainsi jusqu’à présent méthodiquement détruit toute concurrence à la médecine mutilatoire et à la médecine des poisons grâce à un article de loi sur l’exercice illégal de la médecine. Je ne blâme donc nullement les pauvres parents qui font mutiler leurs enfants, je comprends très bien qu’il est difficile de trouver d’autres voies et voix aussi d’ailleurs qui pourront leur expliquer que faire d’autre.

Evidemment la pollution des grandes villes n’est pas la meilleure des idées que nous ayons eu pour y faire vivre nos enfants mais cela n’explique pas tout comme on voudrait nous le faire croire dans l’émission notamment. On ne s’intéresse encore une fois pas suffisamment à l’alimentation.

Si les végétations sont en rapport avec la respiration, il est certes logique de penser que c’est la pollution de l’air qui agit pour rendre ces végétations malades. Pourquoi alors ne pas se procurer un filtre à air dont on enverra le flux d’air filtré vers l’enfant pendant son sommeil. Il existe des filtres à air dont on peut changer soi même le contenu du filtre et par économie on peut même y mettre du coton hydrophile tout simplement qu’on trouve en grande surface et la filtration est tout à fait correcte et permet d’avoir ainsi des filtres neufs pour une somme modique.

Mais la pollution de l’air n’est pas la seule cause du problème des végétations. La fonction respiratoire est liée en médecine chinoise à une fonction du tube digestif et il est plus que probable que l’alimentation sera une clef de la guérison des végétations, des amygdales et de l’appendice aussi d’ailleurs qui sont les trois grands organes, organes sentinelles qui plus est, qui sont classiquement mutilés chez nos enfants avec la complicité de notre médecine. Je ne vais pas ici trop parler d’alimentation car j’en ai déjà parlé dans les autres textes mais en résumé, allez nourrir vos enfants en faisant vos courses dans les magasins d’alimentation bio, arrêter les céréales sucrées en sachet plastique (car sucrées et pleines de mycotoxines très souvent) au petit déjeuné notamment. Si vous n’avez rien de mieux, revenez au pain grillé et beurre tout simplement, et sans confiture. Si vous pouviez donner au petit déjeuné un petit légume avec et un laitage, surtout si vous êtes végétarien, ce n’est pas non plus une mauvaise chose. Arrêtez le chocolat, le vinaigre et, l’ail et les oignons (surtout crus) à remplacer respectivement par le caroube, le citron et les épices. Les yaourts, c’est au début du repas. Et le soir, repas léger s’il vous plait. Surtout des fruits et légumes, du riz ou de l’orge idéalement et un peu moins de pates et pain blanc et surtout ni viande ni poisson ni fromage.

L’attitude mutilatoire qui est la plupart du temps l’option choisie, n’est encore une fois pas indépendante d’un manque de respect pour la vie dans notre société qui est très liée avec une despiritualistion généralisée de la société et de la médecine en particulier. Si dieu ou la vie a fait les végétations, les amygdales et l’appendice, c’est que cela sert à quelque chose et que les enlever ne sera jamais sans conséquences fâcheuses par la suite, ne l’oubliez jamais, même si la médecine académique semble ne pas le savoir. Alors remettez un peu en question vos habitudes de vie et cherchez dans les médecines douces notamment, d’autres solutions à ces actes mutilants que vous propose un peu facilement à mon goût notre médecine académique.

the one

November 1, 2008 on 11:52 am | In Non classé | Comments Off

The One.
Ce texte est probablement le plus complexe de tous à aborder. Il parle de choses très ésotériques, et mystiques, je vous avertis. Il vise à approfondir un sujet déjà traité dans le texte ésotérisme médical qui traite du sens ésotérique des nombres de un à neuf. Ici nous approfondirons le chiffre UN et cet approfondissement présente bien sûr un intérêt pour comprendre la toxicité de la dent dévitalisée.

Parler du chiffre UN est probablement ce qu’il y a de plus simple et de plus compliqué en même temps, c’est un paradoxe, et c’est aussi pourquoi il me semble le plus intéressant à approfondir. Cela permet, aussi incroyable que cela puisse paraitre, de mieux comprendre pourquoi la dent dévitalisée ou morte est si problématique. Les autres chiffres ont déjà été approfondis en thérapeutique. Le chiffre trois a été approfondi grâce à l’Ayurvéda, le quatre par la science de l’habitat etc…Le chiffre deux a notamment été approfondi d’une certaine façon par la macrobiotique avec le Yin et le Yang, et Monsieur Georges Oshawa qui nous parlait jadis de l’intérêt pour la santé de manger entre autre du riz complet et non du riz blanc. Pour l’anecdote, Monsieur Oshawa a lui aussi été embêté jadis par le Conseil de l’Ordre qui déposa plainte contre lui pour exercice illégal de la médecine dans la mesure où il redonnait la santé à nombre de personnes avec ses concepts issus du chiffre deux d’une certaine façon. Les membres des Conseils de l’Ordre n’ont pas l’esprit très large dans le domaine de la santé, surtout s’il s’agit de redonner la santé en remettant en question la suprématie de leurs connaissances. Historiquement, la première action du Conseil de l’Ordre fut d’ailleurs d’interdire d’exercer les médecins juifs sous l’occupation, histoire d’éliminer un peu de concurrence. Aujourd’hui c’est ce qu’ils font avec toutes les médecines alternatives dès qu’ils le peuvent. Mais s’ils peuvent agir ainsi, c’est que d’une certaine façon, notre société à laquelle ils sont unis, les y autorise, crédule qu’elle est de penser que des hommes et des femmes fussent-ils des médecins ou des dentistes ayant prêté serment pourraient s’affranchir des bassesses humaines et donc s’intéresser à l’intérêt collectif quand leur intérêt personnel est en danger. Et bien non et cela n’a jamais été le cas. Les Conseils de l’Ordre sont même probablement ceux qui ont le plus œuvré à détruire toutes les solutions alternatives naturelles pour la santé et en cela nuisent énormément à la santé publique même si paradoxalement le public pense exactement le contraire. Bon j’arrête car sinon on va croire que j’ai une dent contre le conseil de l’Ordre…..

Si le chiffre deux a donc été assez abondamment traité en thérapeutique, à ma connaissance, aucun thérapeute n’a parlé du Un et je trouve que le sujet « dent dévitalisée » s’y prête assez bien somme toute comme vous allez pouvoir le constater ici, je l’espère. Si parler des autres chiffres serait certes instructif, parler du chiffre UN est néanmoins ce qui me semble le plus essentiel car le UN est à l’origine de tout le reste, comme le texte « ésotérisme médical » l’explique d’ailleurs. Je vais ici essayer de résumer ce sujet qui est immense en apportant comme toujours des enseignements utiles. Les enseignements théoriques et pratiques devraient être indissociables sinon on se perd, je trouve.

La connexion.

Les enseignements mystiques nous apprennent que tout est UN. Dans UN il y a uni, donc tout est uni, connecté entre toutes ses parties pourrait-on dire aussi. L’application immédiate au sujet de ce site qui est la dent dévitalisée est que celle-ci est bien sûr unie et donc connectée au reste du corps et qu’introduire de la mort dans le corps ne peut que communiquer cette information de mort au reste de l’organisme à un niveau qu’on a peut-être du mal à imaginer. Les divers organes vont donc se diriger plus rapidement qu’il ne le faudrait vers la mort dont la maladie d’une certaine façon, n’est qu’un début. Et à l’extrême c’est la tendance au suicide qui est la plus parlante expression de la propension de l’organisme vers la mort. J’ai observé de multiples patients suicidaires, ne plus avoir envie de se suicider après avoir enlevé leurs dents dévitalisées. C’est d’ailleurs pour en avoir informé un psychiatre responsable dans ma région du problème des suicides que je fus jadis interdit d’exercer par le Conseil de l’Ordre des dentistes, sans aucune plainte de patient. Le jour où l’opinion publique prendra conscience qu’un conseil de l’ordre censé protégé la population aura eu une telle action visant à occulter une information de cette importance pour la santé publique, je pense que cela pourra être assez instructif. Mais si souvent il faut cacher les petites vérités qui dérangent, les grandes vérités qui dérangent n’ont pas besoin d’être cachées puisque l’inconscience du public suffit d’elle-même. C’est ainsi qu’il accepte qu’on opprime l’idée pleine d’espoir pour la santé de millions de personnes, d’enlever les dents dévitalisées, puisque dans son immense majorité il n’y comprend rien. Tout comme il ne comprend que peu de choses aux notions mystiques, imprégné qu’il est de théories darwiniennes visant en fin de compte à le despiritualiser en même temps qu’à le perdre lui et sa santé. Parler du UN comme nous le faisons ici participe au contraire d’une approche éducative à la conscience spirituelle de l’existence. Comprendre que toutes les parties de notre corps sont en connexion dans une unité peut aider à comprendre qu’introduire la mort dans une des parties du corps ne sera pas sans conséquence pour le reste du corps. Comprendre que nous faisons un avec tout l’univers est probablement aussi une clef essentielle de la partie divine qui se trouve en nous. Certains êtres humains arrivent parfois à l’expérimenter à certains moments de leur existence. A ce sujet je vous conseille de visionner un témoignage fort intéressant à l’adresse suivante http://www.youtube.com/watch?v=uIaY0l5qV0c

Le Karma.

Mais comprendre le UN ce n’est pas juste comprendre que tout est uni dans notre corps, c’est bien plus encore. A un niveau mystique, l’univers se comportera avec nous tel que nous nous comportons avec autrui puisque nous et autrui ne faisons qu’un. Le bien ou le mal que nous faisons nous reviendra donc un jour ou l’autre. Les bouddhistes parlent de karma pour définir ce concept qui d’une certaine façon est une expression du UN. Si nous avons une dent dévitalisée en nous c’est que dans le passé, ou dans une vie antérieure (encore faut-il y croire) nous avons empoisonné probablement quelqu’un. Inutile donc d’en vouloir à votre dentiste qui de toute façon n’a probablement pas conscience de tout cela.

L’Univers miroir.

L’Univers et nous ne faisons qu’UN. Un sage disait aussi que l’on voyait le monde tel qu’on était. C’est aussi une clef de la compréhension du UN. Dans la vision mystique, l’univers est un miroir qui nous reflète l’image de ce que nous sommes puisque nous et le reste de l’univers faisons un. Il nous est ainsi possible de mieux nous connaître. Mieux nous connaître est la première et indispensable étape de notre perfectionnement, de notre évolution spirituelle qui est le but de notre existence sur Terre. Lorsque l’univers nous confronte à quoique ce soit, un individu par exemple , qui par sa façon d’être nous provoque une émotion, que ce soit de la colère, de la haine, de la tristesse ou de l’admiration par exemple, c’est que cette façon d’être est aussi présente en nous. Pour donner un exemple, si on rencontre quelqu’un qui nous énerve parce qu’il est irrespectueux, c’est que quelque part nous sommes aussi irrespectueux et qu’alors pour nous aider à en prendre conscience, l’univers nous met en face de lui. Je sais que cette vision est un peu mystique mais c’est ainsi. Dans la vision mystique de la vie, nous ne rencontrons donc pas par hasard les personnes et les événements. Ils viennent à nous ou plutôt nous les attirons, pour comprendre qui nous sommes ou au moins une partie de qui nous sommes. Et lorsque nous changerons, les personnes que nous croiserons et les événements de notre vie changeront aussi. Le Un signifie aussi que les émotions que nous ressentons à cause de stimuli extérieurs et nous même ne faisons qu’un car l’intérieur et l’extérieur sont un. Par exemple, lorsque nous ressentons de la colère, nous attribuons souvent la colère à un évènement extérieur mais en fait c’est que la colère est déjà en nous, que nous sommes la colère. Si nous voyons chez l’autre certains défauts et que cela crée une émotion en nous, c’est que d’une certaine façon, nous les possédons aussi. Car sinon cela ne provoquerait aucune émotion, nous observerions les défauts de l’autre sans émotion. Et inversement si nous voyons chez l’autre certaines qualités et que cela nous fait admirer celui qui les possède, c’est aussi que nous les possédons. Pour développer ses qualités il est donc peut-être plus intéressant de s’entraîner à voir chez les autres leurs qualités que leurs défauts même s’il ne faut pas non plus tomber dans l’excès inverse qui nous empêcherait de voir nos propres défauts. Pour nous y aider l’univers nous mettra souvent en face de personnes ayant ces mêmes défauts et cela provoquera des émotions qu’il faut savoir ressentir et accepter tout en respirant intensément. C’est une technique simple mais efficace pour évoluer. C’est ainsi une façon de libérer nos émotions négatives enfouies et d’être plus cool ensuite. Le contraire serait de refuser d’accepter ces émotions qui font partie de nous. Cela créerait des tensions qui un jour ou l’autre pourraient provoquer des dégâts sur notre santé. De façon plus générale, si nous trouvons que notre environnement est triste et pollué c’est que nous même sommes triste et pollué car nous voyons le monde tel que nous sommes puisque tout est UN.

Tout cela a un rapport avec la dent morte. La dévitalisation dentaire est apparue dans la société occidentale à peu près au moment de la première guerre mondiale qui a aussi été une grande dévitalisation de la civilisation occidentale. Si la vie a fait aujourd’hui que nous avons une dent morte, c’est que nous avions déjà en nous quelque part cette pulsion de mort. Et maintenant elle est encore plus installée. Cette pulsion de mort pourra se traduire soit par de la violence car la violence poussée à l’extrême conduit au meurtre donc à la mort d’autrui, mais ce pourra aussi être de la tristesse car la tristesse poussée à l’extrême conduit au suicide donc à sa propre mort. Je l’ai déjà dit d’une certaine façon mais j’ai souvent observé que lorsqu’on enlevait les dents dévitalisées, les tristesses et les colères s’atténuaient fortement. Et cela s’explique encore par le Un car nous sommes uni à cette dent morte et il est donc logique qu’elle puisse générer colère ou tristesse qui sont en fin de compte des émotions en rapport avec la mort. Pour information, à l’inverse, les émotions en rapport avec la vie sont plutôt l’amour et la compassion . Mais si nous l’avons eu, cette dent morte, c’est aussi que quelque part nous la méritions d’une certaine façon car nous avions déjà en nous cette tristesse ou cette violence et par manque de conscience nous avons laissé faire un acte médical inacceptable. Comment avons-nous pu accepter ou nos parents ont-ils pu accepter que nous ayons une dent morte dans la bouche, c’est-à-dire qu’on introduise un cadavre dans notre organisme vivant, si ce n’est par manque de conscience comme s’il s’agissait d’un acte médical anodin. Un manque de conscience qui combiné à un certain niveau technologique a abouti à contrarier les lois de l’univers comme si nous avions oublié cette maxime de Pascal : « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Nous sommes avant tout fait pour devenir de la conscience. Dieu, est conscience pure créatrice qui de Un est devenu multiple pour pouvoir expérimenter toutes les facettes de lui-même dans une unité qui un jour s’est diversifiée pour mieux se connaître par l’expérimentation tout en prévoyant un jour de se réunifier. Notre destin à tous est donc de revenir à Dieu même si nous avons chacun un chemin différent à emprunter. Revenir à Dieu signifie d’une certaine façon ne plus avoir en nous de colère ni de tristesse ni de haine mais juste de l’amour et de la compassion et ainsi contribuer à protéger sa création donc la vie, et comprendre donc aussi ce qu’il ne faut pas faire. Ainsi l’homme, parcelle de dieu, possédant en lui l’étincelle divine, expérimente aussi ici avec la dent dévitalisée, le fait de contredire les lois de l’univers en introduisant en lui la mort, en l’occurrence ici la dent morte, pour comprendre qu’alors cette entrave apportera la souffrance, la maladie et la déchéance, ce qui crée colère, tristesse et haine au passage bien souvent. Ainsi par la souffrance, il apprend à mieux connaître les lois de la vie, même si ici malheureusement, c’est à ses dépends. Et cela est juste car nul n’est censé ignorer la loi, comme le code pénal nous le rappelle d’ailleurs pour les sujets plus terre à terre. Mais la souffrance n’est pas la voie obligatoire pour comprendre les lois de l’univers. L’éducation, en est une autre par exemple. L’éducation qui apporte la connaissance, dont jadis nous n’avons peut-être pas voulu et dont nous devons aujourd’hui payer les conséquences de cette révolte. Dans l’enseignement juif, il est dit que Dieu a proposé à tous les peuples une alliance, qui consistait à devoir suivre les enseignements divins qu’il leur délivrerait et que les autres peuples ont refusé pour garder ce qu’il pensait être leur liberté. Mais la vraie liberté implique la connaissance et le respect des lois divines sinon qu’on le veuille ou non, on se dirige vers l’aliénation. Par exemple, lorsque le choix s’impose entre arracher la dent ou la dévitaliser, nous pouvons penser que notre technologie moderne nous apporte enfin la liberté de pouvoir conserver la dent en la dévitalisant. Mais cette liberté de transgresser les lois de l’univers détruira à terme tellement notre santé qu’en fait elle limitera notre liberté de mouvement par les rhumatismes notamment, notre liberté de penser par la destruction de notre cerveau (dépression, perte de mémoire notamment), et en fin de compte notre liberté d’être ce que l’on voudrait être par la diminution de notre énergie vitale. La liberté de faire des bêtises n’aboutit qu’à moins de liberté, il faut le savoir. Mais c’est ainsi et c’est la loi du libre arbitre sur cette planète qui donne la possibilité de faire des erreurs pour ainsi mieux grandir, mieux évoluer puisque c’est la finalité de l’existence. Tout comme cette planète apporte la possibilité de choisir le côté obscur de la force, de servir les forces du mal, ou de refuser de le faire pour bien prouver à Dieu, que l’on choisit sciemment de servir la lumière et non les ténèbres qui n’apportent que le malheur et la souffrance. Cette planète est l’école du discernement et des épreuves sans aucun doute.

Tant que votre organisme est suffisamment vivant pour comprendre le sens de ces mots, vous devrez exercer vous aussi votre discernement entre ce que disent 99% des dentistes, ces thanato-dentistes qui prônent de conserver vos dents dévitalisées et ce que je prétends dans ce site, c’est-à-dire de les enlever, et donc choisir la bio dentisterie c’est-à-dire la dentisterie vivante puisque bio signifie vivant, en rapport avec sa racine étymologique grecque je vous le rappelle. Le mot bio est à la mode en ce moment, mais autant rappeler ce qu’il signifie pour comprendre qu’il ne peut y avoir de dentisterie bio par définition qui puisse admettre de conserver des organes morts dans la bouche. Et puis, pour exercer votre discernement, je vous suggère fortement d’analyser les faits plus qu’aucune théorie, notamment les théories de dentistes se disant holistiques qui disent qu’on peut conserver les dents dévitalisées qu’ils ne testent pas nocives. En médecine on aime bien parler du rapport bénéfice risque et d’effets secondaires éventuels qui pourraient ou non se produire laissant penser à tort que s’ils ne se produisaient pas, tout irait alors pour le mieux dans le meilleur des mondes, médical évidemment. On serait mieux inspiré de parler du rapport bénéfice inconvénients. Un risque en effet est un événement qui peut ou non se produire. C’est un concept relié à une notion binaire, il y a ou il n’y a pas. Si le risque ne se produit pas, il n’y aura alors aucun inconvénient. Mais dans la médecine chimique et la dent dévitalisée, il ne s’agit pas uniquement de risque mais d’inconvénient ce qui est un peu différent, je m’explique. Lorsqu’on donne de la médecine chimique ou bien que l’on possède en bouche une dent dévitalisée, il y a obligatoirement un inconvénient à cela. Ces options thérapeutiques empoisonnent obligatoirement le patient. Certes cet empoisonnement n’est pas toujours suffisant pour tomber malade mais il est toujours présent et de l’énergie vitale est toujours ôtée au patient. On ne peut garder en bouche de dent dévitalisée sans inconvénients, il faut le savoir. Quoiqu’il en soit, regardez les faits car la science se base avant tout sur les faits. Demandez donc aux défenseurs de la théorie de la conservation des dents dévitalisées, notamment à ceux qui se disent dentistes holistiques, qu’ils vous présentent des guérisons de quelconques maladies graves en conservant des dents dévitalisées et comparez leurs absences de cas graves aux nombreux cas de guérisons en enlevant des dents dévitalisées, tels que j’en ai mis une centaine par exemple en témoignage vidéo sur le site www.sante-dents.com. Évidemment on peut guérir des patients sans enlever de dents dévitalisées, mais le résultat n’est jamais le même que lorsqu’on fait enlever la cause de l’empoisonnement. Les personnes n’ont pas ensuite le même état de vitalité, ils sont peut-être guéris mais il manque quelque chose. La santé, ce n’est pas juste l’absence de maladie mais aussi un état de pleine vitalité qui manque souvent à nos guéris de maladies graves d’aujourd’hui par la médecine chimique et qui gardent leurs dents dévitalisées. Voici aussi d’ailleurs ce qu’un jour m’a dit le Dr Rau, médecin directeur de la clinique Paracelsus en Suisse allemande. Une clinique qui possèdent de multiples outils de médecine naturelle et qui a vu des milliers de patients depuis une vingtaine d’années. « Dans les pathologies bénignes, certes les techniques dont on dispose sont efficaces, mais dans les pathologies graves, si on ne fait pas enlever les dents dévitalisées, toutes les techniques dont on dispose ici sont négligeables ». Quoiqu’il en soit, votre état d’être humain vous donne la possibilité de choisir. Vous avez donc la liberté de conserver les dents dévitalisées qui vous tirent vers la mort. Mais quand on acquière une certaine conscience, il faut aussi se poser la question de savoir si cette option est une expression de la vraie liberté ou d’une pure folie qui nous éloignera de la santé. Pour conserver la santé, il est nécessaire de se concentrer sur ce qui est essentiel, en commençant par respecter les lois de l’univers que l’on connaît déjà et en se posant quotidiennement des questions sur ce qui est essentiel, dans une démarche que l’on peut qualifier d’essentialiste. Et ne pas conserver de mort dans sa bouche est essentiel à la santé je vous assure. De là certains ont opposé cette attitude, l’essentialisme, à celle qui ne consiste qu’à rechercher les plaisirs à court terme de l’existence, l’existentialisme. Garder une dent dévitalisée permet à court terme de conserver quelque chose certes mais à long terme on perd la santé. Ce n’est donc pas une démarche essentialiste, qui se concentre donc sur ce qui est essentiel en quelque sorte. D’autres préfèrent opposer le spiritualisme au matérialisme, ce qui revient à peu près au même. Personnellement, s’il est vrai que de ranger dans des cases des philosophies de vie que l’on oppose est parfois pratique, je ne pense pas que ce soit le meilleur reflet de la réalité car la vie peut comporter ces deux aspects sans qu’ils soient contradictoires. On peut profiter des plaisirs de l’existence tout en étant un adepte de l’essentialisme, un spiritualiste. Pourquoi vouloir opposer ce qui ne devrait qu’être complémentaire, même s’il est vrai qu’être excessif dans un aspect nuit à l’autre aspect. Certes l’homme qui ne pense qu’à s’enrichir, qu’à la matérialité et qui ne s’intéresse nullement à la spiritualité qui lui commanderait de partager ses richesses ou de les mettre au service d’une bonne cause, par exemple, n’est pas sur la bonne voie. Mais celui qui ne pense qu’à la spiritualité et oublie ainsi les réalités de ce monde matériel en refusant d’y vivre confortablement, se trompe probablement encore plus. Nous n’avons pas à vivre dans la misère pour nous mettre en accord avec Dieu et vivre dans la spiritualité. Nous ne devons pas non plus vivre dans l’opulence insolente lorsque que tant de misère existe aujourd’hui. Tout est question d’équilibre et nous devons faire ce qui nous fait plaisir avant tout. Même l’égoïsme est une bonne chose si c’est de l’égoïsme divin. L’égoïsme divin, consiste à faire uniquement ce qui nous fait plaisir sachant que ce plaisir aboutit d’une façon ou d’une autre à servir la vie. Pourquoi chercher à servir dieu ou la vie en souffrant et en se reniant. Ne servons pas Dieu ou la vie si cela ne nous fait pas plaisir, car cela n’aboutirait à rien de très efficace. Voyons d’abord le plaisir qu’il y a à être en accord avec les lois de la vie (et à se débarrasser de ses dents dévitalisées par exemple), même s’il est parfois plus subtil à voir que les autres plaisirs. Plus subtil mais plus profond et durable aussi. Le plaisir de transgresser les lois de la vie disparaîtra alors de lui-même. Car sans plaisir, nous n’aurons aucune motivation à agir. Si tout d’abord, j’ai fait enlever mes dents dévitalisées, c’est que j’ai pris conscience du plaisir que j’aurai alors à retrouver de l’énergie vitale avec toute la liberté d’action et la joie qui y seraient associées. Si ensuite j’ai persévéré à proposer d’enlever les dents dévitalisées de mes patients malgré les menaces et les injonctions de me taire du Conseil de l’Ordre, c’est avant tout pour le plaisir de voir guérir mes patients, le plaisir d’être reconnu par eux comme un excellent guérisseur et le plaisir d’en retirer des bénéfices matériels substantiels car ce que je leur faisais avait de la valeur, il faut le reconnaître. C’était donc uniquement pour mon plaisir égoïste en quelque sorte. Mais il s’agissait aussi d’un égoïsme que j’estime pouvoir qualifier de divin car il aboutit à une meilleure vie pour tous. Je n’ai rien contre le fait que mon voisin s’enrichisse si cet enrichissement m’apporte aussi le bien être. Par contre s’il s’enrichissait à mes dépends en m’apportant la maladie et le malheur, ce serait très différent. Et c’est ainsi que 99% de nos dentistes, ces thanato-dentistes s’enrichissent aujourd’hui, en mettant des visses dans vos dents qu’ils ont préalablement dévitalisées pour ensuite les couronner de couronnes plus mortuaires que thérapeutiques. Il s’agit là d’égoïsme démoniaque (destructeur de la vie), c’est très différent de l’égoïsme divin. Mais inutile de leur en vouloir, ils n’en sont généralement pas conscients. Et si et uniquement si cela vous fait plaisir, n’oubliez pas de vous poser chaque jour la question de savoir ce que concrètement vous faites pour servir dieu, la vie, la lumière, l’amour et donc en vertu de certaines lois mystiques, de vous servir vous même. Il peut sembler étonnant de parler de dieu, de mystique et d’ésotérisme dans un site qui traite en premier lieu de dent dévitalisée, un sujet très terre à terre en apparence. Mais ce sujet n’est pas un sujet anodin en fait et il est me semble donc compréhensible d’aborder des notions complexes pour l’expliquer. Certains pensent même que la dent dévitalisée est la première cause de cancers et de maladies graves dans le monde occidental, la maladie étant devenue le premier problème de notre société française par exemple puisque la santé est aujourd’hui le premier budget de la nation. La dent dévitalisée est donc probablement le premier problème de notre société bien que je pense que la contamination radioactive de nos centrales nucléaires ou pire d’armes nucléaires pourrait un jour le devenir. Certains connaissent bien toute la gravité du sujet dent dévitalisée, connue depuis presque un siècle et pourtant l’information n’est toujours pas passée comme il le faudrait. Peut être que d’une certaine façon les thérapeutes qui l’avaient constaté n’ont pas su l’expliquer suffisamment bien aux autres et que ceux qui l’avaient compris malgré tout, en guérissant en général, n’ont pas su unir suffisamment leurs forces pour être entendus par les autres. Tout cela en fin de compte car les uns et les autres n’avaient peut-être pas conscience de ce signifie vraiment le UN. Faire appel à des notions plus complexes comme celle qui est traitée ici ne serait donc peut-être pas si inutile que cela. Peut-être qu’il ne suffit pas de dire que la dent dévitalisée est un bout de pourriture insérée dans l’os de la mâchoire pour que la population prenne conscience de l’immensité du sujet. C’est pourquoi ici particulièrement, je n’hésite pas à expliquer le pourquoi du comment avec des explications qui pourraient paraître complexes certes mais qui pourront résonner dans la tête de ceux qui se posent des questions sur le sens de la vie, c’est-à-dire les spiritualistes d’une certaine façon contrairement à ceux qui ne vivent que pour le plaisir de boire, manger, s’enrichir, contempler le paysage et faire l’amour par exemple. Si ce site est là pour vous faire prendre conscience du drame humanitaire immense que la dent dévitalisée occasionne, je pense que les moyens nécessaires à cette prise de conscience doivent être à la hauteur de l’importance du sujet, d’où le fait d’aborder un sujet ésotérique comme le UN. Et une fois que vous en aurez vraiment conscience, comment pourrez vous rester inactif face à cette information sachant le plaisir que vous aurez en apportant ainsi la santé à vos frères et sœurs qui font UN avec vous compte tenu de ce que cela implique tel qu’il a été traité dans ce texte. En diffusant aujourd’hui cette information, alors qu’elle est si peu connue, vous apporterez probablement plus la santé que le médecin qui aura fait dix années d’études de médecine. C’est ainsi, c’est le pouvoir que confère la conscience, lorsqu’on la possède, d’où l’immense intérêt de toujours chercher à la développer. La conscience se nourrit de la connaissance toutefois, il est donc important que vous cherchiez toujours à acquérir les connaissances que l’univers mettra au menu du repas de la vie, que vous pourrez savourer avec ou sans dents dévitalisées, c’est comme vous voudrez, mais il faudra alors en assumer les conséquences. Enfin si tant est que cela vous fasse plaisir, sinon vous pouvez continuer à regarder des émissions débiles à la télé si cela vous fait plus plaisir. Enfin moi je fais un peu les deux, car j’aime bien les contrastes……
Bruno Darmon

Plaidoyer pour les laitages

June 18, 2008 on 12:01 pm | In Non classé | Comments Off

Plaidoyer pour les laitages.

En résumé
Les laitages c’est bon surtout au lait cru et bio, et idéalement lorsque c’est frais du jour. Mais à éviter le soir et si on en consomme éviter de consommer alors des chairs animales (viande, poisson et œufs), surtout au même repas. Les yaourts eux ne doivent être pris seuls, doivent être pris au début du repas mais pas le soir ni quand il fait trop froid.

Plaidoyer pour les laitages.

Les personnes malades qui ont compris que notre médecine chimique les empoisonnait plus souvent qu’elle ne les guérissait se tournent généralement vers les médecines naturelles et les naturopathes. Mais là, elles y rencontrent parfois des personnes qui tiennent des discours tellement déroutants sur certains sujets qu’elles se détournent aussi parfois par la même occasion de la naturopathie. Un certain naturopathe français qui a écrit de nombreux livres prône de manger de la viande midi et soir par exemple. D’autres de ne manger que cru sous prétexte que les animaux mangent uniquement cru dans la nature. D’autres de bannir tout laitage sous prétexte que le lait de vache est pour les veaux et que l’homme est le seul animal consommant encore du lait ce qui donc n’est pas bien. Mais toutes ces théories omettent le fait que l’homme est un être spirituel et n’est donc pas juste un animal. Il possède un métabolisme différent qui lui permet d’ailleurs de vivre bien plus vieux que les singes par exemple et son alimentation n’a donc pas à être à l’image de celle des animaux c’est-à-dire crue et sans laitage. D’autres justifient leurs allégations étonnantes de ne pas manger de laitages par les groupes sanguins, théorie issue de leurs très longues observations, c’est très à la mode. Tout cela est très déroutant et des personnes en recherche d’alternatives ne savent plus quoi croire. Je pense que si dans certains cas effectivement, le jeun de laitage n’est pas une mauvaise idée, le fait de les discréditer systématiquement n’est pas juste à mon avis. L’exercice du discernement n’est pas toujours celui qui est le plus facile, je sais, et je vais donc essayer sur ce point de vous éclairer, comme j’essaie toujours de le faire, c’est-à-dire non pas en vous assénant des vérités incompréhensibles mais en apportant des arguments afin que cela devienne un peu aussi votre vérité.
Si j’ai écrit ce texte, c’est que je crois que dans le milieu de la naturopathie auquel je revendique d’appartenir, il n’était donc pas inutile de défendre l’intérêt des laitages, même si peut-être certains en consomment trop, de mauvaise qualité et aux mauvaises heures. Je pense par exemple que les fromages sont à éviter au repas du soir car le soir il faut manger léger en règle générale surtout lorsqu’on a une petite santé car le feu digestif est amoindri le soir. La digestion devra alors éviter les protéines qui sont plus difficiles à digérer. Le lait chaud sucré (au sucre complet évidemment) peut toutefois remplacer un repas du soir. Mais en plus, il y a fromage et fromage tout comme il y a lait et lait et c’est ce que nous allons voir. Et puis, il n’est peut-être pas obligatoire de consommer des laitages tous les jours même si on ne consomme pas de chairs animales. Un excès de la meilleure des choses n’est pas la meilleure des chose….

Le fromage a toujours été reconnu comme étant un aliment supérieur dans nos civilisations occidentales. La Rome antique avait d’ailleurs élevé la profession de fromager à un niveau suprême puisque le mot empereur pour les romains était le mot César. Or César est étymologiquement un fromager. En effet César vient du latin Caesar en lien étymologique direct avec Caseus qui signifie fromage. Les allemands aussi avaient reconnu par leur langue, la valeur supérieure du fromage puisque leur empereur, le Kaiser, était lui aussi un fromager étymologiquement parlant, le mot fromage se disant Käse en allemand. Un peu plus tard, ils ont troqué leur fromager par un guide (Fürher en allemand) et ce n’est visiblement pas la meilleure des idées qu’ils aient eu pour la santé de leur peuple. Ils auraient probablement mieux fait de garder leur fromager… Dans la civilisation indienne, les laitages sont aussi considérés comme bienfaisants. Ce n’est pas pour rien si la vache est sacrée en Inde, c’est aussi pour les laitages, dont Dieu (Krishna en sanskrit) se délectait, lui qui vit d’ailleurs sur la planète des vaches selon les védas (les écrits religieux indiens ou plutôt les écrits spirituels sanskrits dirait mon professeur d’ayurvéda, la médecine traditionnelle indienne). En Asie, un prophète a même le nom d’un fromage, le Gouda, heu non je confonds avec le Bouddha. Bon, mais on ne va pas quand même pas en faire tout un fromage de ma petite erreur…..

Le fromage est la source de protéines animales la moins chère et en plus quand les animaux sont élevés dans de bonnes conditions, il n’est pas associé à de la souffrance animale comme la viande. Il n’est donc pas générateur de mauvais karma, diraient les bouddhistes ou les védas. Le fromage est en quelque sorte, la façon la plus simple de conserver du lait et de le transporter. Jadis c’était même la seule façon en fait. Les conquérants romains et teutons dont le nom de leur empereur étaient fromager, transportaient ainsi facilement par le fromage un aliment reconnu de haute valeur nutritive. Et ils n’avaient pas la réputation d’être spécialement de petites natures, que je sache, n’en déplaise à certains naturopathes qui voudraient nous faire croire que les laitages c’est mauvais pour la santé. Ce qui est surtout mauvais, je pense, c’est d’associer laitages et chairs animales, comme la bible le déconseille d’ailleurs dans le « tu ne mangeras pas le veau dans le lait de sa mère » de l’ancien testament. Bien sûr, ces conquérants mangeaient aussi de la viande, mais la consommation de viande jadis n’avait toutefois rien à voir en quantité avec celle qui existe aujourd’hui à notre époque et qui est largement une surconsommation alors que jadis la consommation de viande était assez exceptionnelle. L’association toxique laitage avec chair animale, était donc probablement assez rare chez ces personnes d’une robustesse reconnue. Ce n’est pas le cas aujourd’hui où le fromage avec le dessert sucré, après un repas avec une viande ou un poisson est un classique de notre gastronomie moderne et prétendue hospitalière aussi d’ailleurs, et où effectivement le fait d’éliminer le fromage au dessert et les laitages en général serait alors bénéfique. Mais il serait encore plus bénéfique d’éliminer viande et poisson dans un esprit spirituel qui est développé dans le texte « plaidoyer pour le végétarisme ». On respectera alors aussi le conseil biblique qui indique l’erreur d’association des chairs animales avec les laitages que les juifs religieux connaissent bien car selon l’ancien testament, il leur est interdit au même repas une telle association, le poisson étant compris dans chairs animales bien sûr. J’imagine que le mélange chair animale et laitage est indigeste pour des raisons que je ne connais pas exactement et l’indigestion est le début de la plupart des maladies dixit l’ayur-véda
Mais comme il y a lait et lait, il existe aussi fromage et fromage. Le mieux pour la santé étant les fromages au lait cru. Des études scientifiques l’ont d’ailleurs démontré notamment pour les personnes ayant subi des traitements antibiotiques qui ont détérioré leur flore intestinale.
L’humanité fait du fromage au lait cru depuis la nuit des temps, alors que les fromages au lait pasteurisé (aussi appelé lait frais) sont une invention récente, tout comme le lait en poudre maternisé, le lait stérilisé et le lait UHT (chauffé à ultra haute température) encore plus récent qui ne date que de la fin des années soixante. Ces méthodes de conservation du lait sont certes synonymes d’absence de germes toxiques mais aussi, je l’ai observé de dévitalisation. Si ces méthodes tuent les mauvais germes, elles tuent aussi les bons organismes vivants présents dans la matière première alimentaire du lait que l’on appelle les ferments lactiques et qui ne sont pas dénués d’intérêt. On appelle aussi parfois les ferments lactiques, des probiotiques. Le concept de probiotique remonte à 1903, lorsque les études du Professeur Elie Metchnikoff, disciple de Pasteur et Prix Nobel (1908), mirent en évidence chez l’homme les effets bénéfiques de l’utilisation des Lactobacilles, naturellement présent dans le lait mais encore plus dans les yaourts. Metchnikoff observa que les bactéries lactiques permettent la prévention d’infections intestinales et l’amélioration de la digestion. Les bonnes bactéries de l’intestin permettent la synthèse de vitamines par exemple. Les ferments lactiques sont composés essentiellement de deux types de micro-organismes : des bactéries et ce dont on parle moins généralement, des levures.
Le fait de tuer ces microorganismes dans le lait et surtout s’il est en plus monté à très haute température comme c’est le cas avec le lait UHT, ne semble pas seulement enlever une qualité au lait mais introduire en fait un défaut. C’est ce que j’ai observé en pratique et effectivement alors, le fait de stopper un tel lait peut alors avoir des effets bénéfiques sur la santé. La dévitalisation du lait par la stérilisation UHT (à Ultra Haute Température) et par les laits maternisés en poudre induit semble-t-il secondairement une dévitalisation de l’organisme. C’est un peu comme la dévitalisation des dents qui dévitalise les organismes en entier. Il m’est quelques fois arrivé de redonner la santé à des enfants ou des bébés en leur faisant remplacer le lait UHT ou le lait maternisé en poudre par du lait cru, ou même du yaourt additionné d’eau chaude pour les biberons des bébés (en verre s’il vous plait). Une fois même c’était un petit suisse additionné d’eau chaude et cela a suffit pour que l’enfant aille mieux immédiatement. Il n’y a pas à chercher pour moi plus loin la cause des épidémies de bronchiolites des nourrissons qu’ailleurs que dans le lait en poudre pour bébé vendu en pharmacie. Un lait mort qui favorise alors les processus mortifères. Bien sûr, la pollution des villes n’arrange rien mais même dans les campagnes, les bébés ont aussi des bronchiolites. On peut aussi donner aux bébés des laits végétaux, le mieux étant de les faire soi même et non de les acheter déjà en pack stérile, même si ça peut aller quand même. Le lait d’avoine est très facile à faire par exemple avec de l’eau, des flocons d’avoine, le tout chauffé dans une casserole puis passé à la passoire fine. Idéal pour l’hiver car l’avoine est très réchauffant. Parmi les laits végétaux je déconseille vraiment pour les bébés, le lait de soja trop riche en précurseurs d’hormones sexuelles. C’est idéal pour avancer l’âge de la puberté et donc diminuer la longévité puisque la longévité maximum est un multiple de l’âge de la puberté. A notre époque on observe de façon inquiétante je trouve, que l’age de la puberté est avancé de deux ans par rapport au début du siècle. Les poisons en général provoquent cela. Inutile donc d’augmenter ce phénomène avec le lait de soja, dont je reparlerai encore un peu plus loin. Compte tenu de cet avancement de l’age de la puberté, il est d’ailleurs à craindre que nos jeunes ne vieillissent pas aussi bien que ceux du début du siècle encore en vie aujourd’hui. Et cela malgré les discours lénifiants de la nomenklatura médicale et leur simplisme mathématique qui voudrait nous faire croire que parce qu’aujourd’hui, il y a plus de centenaires qu’au début du siècle, surtout grâce à notre médecine moderne bien entendu, cela ne peut que continuer ainsi. Des raisonnements simplistes pseudo mathématiques qui malheureusement dupent l’immense majorité de la population qui avale alors sans réfléchir les drogues médicaments.

Le lait cru et donc les fromages au lait cru, contrairement aux fromages pasteurisés possèdent encore tous les précieux ferments vivants originels, c’est à dire notamment des levures naturellement présentes dans le lait ainsi que de bonnes bactéries. Le lait pasteurisé lui possède encore quelques bonnes bactéries mais plus les levures trop fragiles pour supporter la pasteurisation car elles meurent à 50°C. Les levures sont au moins aussi fragiles que les cellules humaines et donc meurent aux températures de pasteurisation. Quant au lait stérilisé ou pire stérilisé UHT, il n’y a plus à l’intérieur aucun germe vivant. C’est pourquoi il est inutile de conserver le lait UHT au réfrigérateur tant que le pack ou la bouteille n’est pas ouvert.
S’il existe de bonnes et de mauvaises bactéries, c’est la même chose pour les champignons microscopiques que sont les levures et les moisissures. Les levures sont des microorganismes particulièrement intéressants et naturellement présents dans le lait cru. Ce sont plus précisément des champignons de classe supérieure. Des champignons unicellulaires de forme arrondie ou ovoïde se reproduisant par bourgeonnement. Cela me fait penser un peu à la reproduction humaine. La grossesse est une forme de bourgeonnement en quelque sorte. Les levures ont donc bien des ressemblances avec l’être humain et c’est peut-être pour cela qu’elles lui font tant de bien. Feu le professeur Beljansky, un hérétique de la pharmacologie en a d’ailleurs utilisé pour ses médicaments, réputés très performants. Un des rares médicaments naturels, donc qui n’est pas un poison, vendu en pharmacie pour le traitement de la diarrhée et comme antipoison à prendre après les antibiotiques est d’ailleurs composé d’une levure, c’est « l’ultra levure ». Les bactéries elles, contrairement aux levures, se reproduisent en grossissant et se coupant en deux. On parle alors pour elles de mitose et pas de bourgeonnement. Pas de bourgeonnement non plus pour les champignons de classe inférieure filamenteux que sont les moisissures qui elles ne sont en principe pas naturellement présentes dans le lait cru mais peuvent se développer par la suite sur tout lait laissé à température ambiante et même en fait supérieure à 4°C, d’où l’intérêt d’avoir un réfrigérateur suffisamment froid. Les moisissures sont synonymes de pourritures et elles fabriquent de dangereuses mycotoxines. C’est pour éviter ce problème qu’on a fait le lait UHT et pasteurisé. Mais on l’a déjà dit, cela leur fait perdre un certain intérêt car ils n’ont alors plus ni l’un ni l’autre de bonnes levures. Les levures sont des microorganismes dont certaines ont un A.D.N. proche de celui de l’humain et permettent la réparation des cellules humaines endommagées, des études l’ont montré. Les levures présentes dans le lait cru et les fromages au lait cru vont donc permettre de réensemencer le tube digestif en levures qui seront de véritables petites usines à réparation de notre organisme. On retrouve les levures dans toute une série de produits alimentaires. Des produits d’ailleurs aussi bénéfiques pour la santé comme le kéfir, la choucroute, et les aliments lacto fermentés en général.
Les moisissures elles, n’ont qu’un rôle de destruction de la matière en décomposition. Elles ont différentes couleurs comme bleue et verte pour les plus courantes mais ce peut aussi être blanc et noir mais aussi rose, jaune ou gris par exemple. Tout ce qui a ces couleurs anormales sur les fruits et légumes doit être impérativement enlevé car c’est toxique. Quand la moisissure a envahi un peu trop le fruit ou le légume, il vaut mieux le jeter en entier car elle l’a généralement pénétré en entier. Les taches noires doivent aussi être enlevées sur les fruits et légumes. Ce sont toujours des foyers infectieux avec des micro organismes toxiques. Comme tout ce qui existe dans l’univers, les moisissures ont un intérêt certes mais là, ce sont juste des nettoyeurs microscopiques dont il vaut mieux éviter le contact avec nous. Des nettoyeurs tellement toxiques avec leurs toxines dites aussi mycotoxines que même les bactéries n’y survivent pas. C’est d’ailleurs ainsi que Flemming eu l’idée de les utiliser pour lutter contre les infections bactériennes lorsqu’il s’aperçut en 1928 que la moisissure, le penicillium, détruisait ses bactéries en culture. C’est ainsi que naquit la pénicilline qui ouvrit la route de la découverte des antibiotiques en général, qui permirent de sauver la vie à des millions de personnes certes mais en les empoisonnant d’un autre côté par la même occasion. C’est bien sûr ce qui nous fait dire que les moisissures peuvent être utiles, certains disent même bénéfiques. Une mycotoxine, La cyclosporine A, produite par le Tolypocladium inflatum, est actuellement couramment utilisée pour prévenir le rejet des tissus dans la transplantation d’organes humains (les greffes). Pour permettre de garder une greffe, elle est utile certes et les médecins qui font des greffes diraient qu’elle est bénéfique mais d’un point de vue de l’énergie globale c’est aussi un poison. Evidemment quand la greffe permet de sauver la vie, ça peut se comprendre mais quand c’est juste pour un peu de confort qu’on empoisonne l’organisme, ça se discute…Enfin c’est en tout cas dans la logique de la médecine moderne des poisons qui soigne tout en fabriquant aussi des millions de fatigués. Et même de candidats au cancer je dirais, puisque les antibiotiques empoisonnent aussi nos cellules et que le cancer est un mécanisme qui se développe lorsque nos cellules sont très empoisonnées. C’est bien sûr encore plus vrai avec ceux qui ont en plus des dents dévitalisées, pleines de bactéries toxiques libérant des toxines bactériennes. Et oui c’est là toute la logique de la médecine des poisons que je développe plus dans le texte du même nom sur ce site. On guérit d’un côté et on empoisonne de l’autre. Mais bon, quand on ne sait rien faire d’autre, ma foi ça peut sauver des vies, il faut bien le reconnaître, même si on en ressort très affaibli. Mais il faut aussi savoir qu’il existe mieux, les médecines dites naturelles, qui elles n’ont pas ces inconvénients et cela même si ce n’est pas remboursé par la sécurité sociale ni encore rentré dans nos hôpitaux….
Les moisissures qui sont donc des poisons associés à la putréfaction, proviennent du milieu extérieur exclusivement et ne sont pas naturellement présentes dans les organismes vivants en bonne santé en tout cas et donc pas non plus dans leurs liquides organiques donc pas dans le lait lorsqu’il sort de la vache en bonne santé. Pour les fromages relativement secs, elles ne devraient donc pas être présentes dans l’intérieur des fromages. Mais ce qui est en contact avec l’extérieur (la croûte) est plus difficile à préserver des moisissures. Si on veut éviter d’ingérer des moisissures, en plus d’éviter les fromages avec moisissures, il me semble donc qu’il vaut aussi éviter les croûtes des fromages. En effet, quand l’intérieur est protégé par les levures et bonnes bactéries présentes dans les fromages au lait cru ou réensemencés secondairement de bons ferments, on évite plus ou moins les moisissures. Une façon de protéger un produit de mauvais germes et d’y laisser persister les bons car ils rentreront en compétition alors avec les mauvais germes, c’est ainsi. Dans la production fromagère, il est d’ailleurs beaucoup plus délicat en terme de contamination bactérienne d’effectuer des fromages avec des laits chauffés, car alors la moindre bactérie étrangère toxique se développera dans un tel fromage alors qu’avec le lait cru, ses bonnes bactéries et ses levures le protègent d’une contamination bactérienne extérieure. Mais bon pas toujours, surtout si le taux d’humidité est trop élevé, car les moisissures aiment bien l’humidité. Le camembert au lait cru a une moisissure à l’intérieur par exemple.
Les bonnes bactéries et les levures qui ensemencent l’intestin grâce à de bons produits laitiers évitent le développement de mauvaises bactéries ou de candida albicans qui se serait trop développé à la suite d’une antibiothérapie. Le candida albicans est d’ailleurs aussi une levure naturellement présente dans notre organisme mais qui peut causer des désagréments lorsqu’elle se développe trop. C’est en tout cas ce qu’on croit mais peut-être qu’elle se développe en excès en fait lorsque l’organisme a été trop empoisonné. Je pense que le rôle de cette levure est alors de réparer l’organisme. On observe d’ailleurs des candidoses disparaître lorsque les conditions énergétiques correctes sont rétablies par une simple correction alimentaire sans avoir besoin de prendre des produits qui tuent ce champignon. J’ai vu par exemple des candidoses de bébé disparaître le jour même en arrêtant le lait en poudre maternisé sans aucun traitement visant à détruire le candida albicans. Certains thérapeutes pensent toutefois qu’il est une bonne chose de détruire le candida albicans en cas de candidose car il constitue une cause de maladies graves comme le cancer. Et cela avec du lugol (iodure de potassium) par exemple ou du bicarbonate de soude et prétendent avec cela obtenir des résultats thérapeutiques très intéressants. Il faudrait approfondir tout cela mais peut-être qu’en faisant cela le candida albicans disparaît certes mais non pas parce qu’il est détruit mais parce qu’il n’a plus besoin alors de se développer, ce qui est très différent.
Le traitement antibiotique provoque des désagréments digestifs, surtout si on ne prend pas garde de réensemencer le tube digestif de bonnes bactéries soit par les méthodes déjà indiquées (yaourt notamment) soit par l’absorption germes vivants bénéfiques que l’on trouve en vente dans les pharmacies (ultra levure) ou mieux encore dans les magasins bio. C’est important de le rappeler car la prescription d’ultra levure est passée de mode en médecine et maintenant on prescrit des antibiotiques en oubliant de prescrire l’antipoison qu’est l’ultra levure. Si vous avez pris des antibiotiques, pensez-y même si le médecin l’a oublié. Vous limiterez ainsi les dégâts.
Les fromages au lait cru peuvent aussi moisir malgré tout surtout s’ils ont un trop fort taux d’humidité et ne sont pas conservés au froid. Pour info, les moisissures arrivent aussi inéluctablement dans les aliments cuisinés et oubliés d’être mis au réfrigérateur par exemple et les pénètrent car eux n’ont pas naturellement de levures. N’oubliez donc pas de mettre rapidement au froid tout ce qui a été cuisiné et malgré cela de le consommer dans les quelques heures qui suivent. d’après la Bhagavad-Gita (l’écrit religieux indien le plus important), plus de 3 heures après c’est tamas, c’est-à-dire que cela induit l’indolence, la lourdeur et engendre l’ignorance (cf. chap 17. 8 et suivants). Les moisissures ont un aspect duveteux caractéristiques que tout le monde connaît, aspect dû à la structure filamenteuse microscopique du champignon. Mais il existe aussi des micro- moisissures qui elles ne se voient qu’au microscope. Des études ont montré que des micro moisissures étaient aussi souvent présentes dans les boites de céréales que nos bambins aiment bien généralement. En gros pour éviter les micro- moisissures il faut éviter tout ce qui cuisiné à l’avance et emballé, notamment dans du plastique, et n’est pas gardé au froid (boites de céréales, de chips etc..). Bref, il ne faut manger que ce qu’on cuisine soi-même à partir de produits frais et les flocons de céréales que l’on fait soi-même. Mais encore faut-il être équipé pour. Et ça tombe bien d’une certaine façon car c’est bon pour la planète qui ne sait plus quoi faire des emballages qui sont un facteur essentiel de l’augmentation des déchets qui polluent.
Les fromages de chèvres ou de vache tout blanc tout frais (qui viennent d’être faits) n’ont aucune moisissure. S’ils sont faits avec du lait chauffé non plus mais alors il faut les conserver au froid. Le froid est une bonne manière d’éviter le développement des moisissures pour les produits chauffés notamment.
Il existe une façon d’éviter le développement des moisissures si on veut conserver le fromage. Il s’agit d’abaisser le taux d’humidité, j’en ai déjà parlé. Ce qui est sec pourrit moins c’est bien connu. C’est ce qui est fait pour les pâtes pressées, les pâtes cuites et les fromages à pâte pressée cuite. Les Fromages à pâte pressée cuite ou pâte dure, sont des fromages pour lesquels, après pressage, le caillé est chauffé à 65° puis laissé à l’affinage.
Le terme à pâte pressée se dit d’un fromage dont le caillé est pressé au moment du moulage afin d’éliminer le maximum de lactosérum, donc de liquide, puis laissé à l’affinage. Les techniques d’affinages sont les techniques de vieillissement ou plutôt de maturation du fromage.
Le terme à pâte cuite se dit d’un fromage dont le caillé a subi un chauffage au moment de son tranchage.
• Lorsqu’il est thermisé, le lait est chauffé à environ 65 °C, ce qui ne détruit qu’une partie de la flore.
• Lorsqu’il est pasteurisé, le lait est chauffé de 72 à 85 °C pendant 20 secondes maximum, puis refroidi immédiat à 4 °C. Cette procédure détruit la flore naturellement présente dans le lait, et nécessite donc un réensemencement en flore standardisée, ce qui peut avoir pour les industriels l’avantage économique d’obtenir un goût régulier et une texture régulière.
On peut parfois confondre ces trois types de fromages car leur aspect se ressemble. C’est en gros ce qui ressemble au gruyère. Dans les pâtes pressées, on élimine l’eau du fromage par une action mécanique, le pressage comme le nom l’indique tandis que dans les pâtes cuites c’est par une action physique, le chauffage comme son nom l’indique aussi. Et cela me semble avoir des conséquences très différentes sur la qualité diététique du fromage même si ces deux types de fromages se ressemblent dans leur aspect. Les pâtes cuites ne renferment plus tous les précieux ferments, bien qu’il puisse y avoir réensemencement de bonnes bactéries après cuisson. En plus la cuisson de la pâte fromagère ne semble pas être la meilleure des idées quant à ses qualités diététiques. Elles sont un peu plus indigestes et fatiguent le foie. Certains fromages dits au lait cru ont quand même dans leur fabrication une étape de chauffage. Mais bon si ce n’est pas à température trop élevée mais au dessous de 50 ou 60 °c, ce n’est peut-être pas très grave, je pense. En occident on consomme beaucoup de pâte cuite, recuite dans la pizza par exemple, qui a en plus on de la sauce tomate en boite avec des tomates pleines de pesticides (qu’on ferait mieux de faire remplacer par de la crème fraîche à la pizzeria). On ferait mieux de tapisser la pâte de sauce tomate bio faite maison et de rajouter du fromage râpé issue de pâtes pressées sur la pizza sortant du four afin qu’il y fonde sans cuire. On aurait alors des pizzas bien meilleures d’un point de vue diététique.
Sinon, les techniques d’affinages semblent aussi assez importantes. Car s’il y a fromage et fromage il y a aussi fromage au lait cru et fromages au lait cru. Aux Etats-Unis par exemple, les fromages au lait cru sont encadrés par une législation très rigoureuse et ne peuvent pas être importés s’ils ont un taux d’humidité trop important, afin j’imagine qu’il n’y ait pas de moisissures. Les américains n’autorisent pas le camembert au lait cru par exemple. En outre, tous les fromages au lait cru doivent avoir au moins soixante jours d’affinage avant d’être commercialisés, ça je ne sais pas trop pourquoi. Probablement que s’il y a dedans de mauvais germes dedans, cela se verra après soixante jours, à l’odeur ou à la couleur par exemple, alors que ça peut passer inaperçu avant. On parle même là bas de bioterrorisme pour ceux qui voudraient introduire sur le territoire américain des fromages qui ne respecteraient pas ces normes. Ils exagèrent peut-être un peu ces américains et dans ce cas là ils pourraient étendre ce concept de bioterrorisme aux dentistes qui dévitalisent les dents pourquoi pas car c’est probablement encore plus toxique que certains fromages au lait cru. Nombre de médecins américains déconseillent aussi les fromages au lait cru aux femmes enceintes. Mais peut-être devraient-ils déconseiller uniquement les fromages moisis au lait cru.. Toutefois, la moisissure n’est pas réservée aux fromages au lait cru. On peut aussi avoir des fromages moisis au lait pasteurisé. A titre d’indication, la moisissure pénicillium est de couleur bleutée et si vous voulez rester fort comme le roc éviter donc le roquefort par exemple et tout ces fromages plus ou moins bleus. C’est d’ailleurs en laissant pourrir un bout de fromage de chèvre qu’un berger de Roquefort eut la mauvaise idée de faire du roquefort (je vais encore me faire des ennemis là bas, mais bon, je n’en suis pas à quelques uns près). Mais il existe aussi des moisissures qui sont blanches et en général on les retrouve sur les parois extérieures des fromages comme je l’ai déjà dit. Des parois qu’il est donc intéressant d’éliminer par conséquent. Je pense que le ministère de la santé français devrait approfondir ce sujet avec des biologistes et nous expliquer quels sont exactement les fromages qui ont des moisissures et ceux qui n’en ont pas et qui ont juste des bonnes levures et pas de moisissures. Mais bon en ce moment ils sont plus occupés à mettre les drogues vendues en pharmacie en vente libre, devant le comptoir, en croyant ainsi faire faire ainsi des économies à la sécurité sociale (car pas de visite médicale à rembourser) en favorisant l’automédication des poisons. Une politique qui aboutira à encore plus de maladies graves. En attendant pour les fromages, personnellement j’évite tout ce qui est bleu, ou vert et qui sent mauvais. Si ça sent mauvais ça ne peut pas être bon, me dis-je par intuition. Intuition confirmée d’ailleurs par la Bagavad Gita, où l’on trouve au chapitre déjà cité, une mise en garde sur les aliments malodorants. Je choisis aussi les fromages au lait cru si possible, j’évite les croûtes des fromages et je les laisse tous au réfrigérateur. Et je fais moi-même mon fromage parfois comme ça je suis sûr qu’il n’est pas fait avec un bout d’estomac d’animal qui le fait cailler comme c’est souvent le cas.
Savez vous que vous pouvez faire vous-même votre fromage frais au lait cru dans votre cuisine. Prenez votre lait cru de préférence et chauffez le un peu, au dessous de 50° pour ne pas abîmer les précieuses levures. Versez dedans un jus de citron et il va alors cailler. Il existe aussi une plante appelée caille-lait qui peut faire la même chose, ainsi qu’une feuille de figuier ou une gousse de tamarin aussi mais cela rend alors le produit jaune marron. Versez alors le tout dans une passoire très fine ou mieux un linge en coton, genre torchon. Egoutter bien votre caillé et voilà, votre fromage au lait cru est fait. En Inde on l’appelle le panir et c’est le fromage traditionnel de l’Inde. Quant au liquide récupéré qui ne possède plus les protéines du lait, c’est du petit lait et il pourra être mis au réfrigérateur mais il vaut mieux le boire rapidement c’est-à-dire dans les heures qui suivent car il s’acidifie très vite ensuite. Le petit lait est aussi un trésor de bienfaits notamment pour se reminéraliser.
Je vous ai parlé des fromages mais il faut aussi parler des yaourts. Selon l’ayurvéda, Le yaourt frais du jour est un trésor de bienfaits, à condition de n’être jamais consommé seul, comme c’est la mode dans certains régimes, ni tous les jours, ni quand il fait trop froid. Ce lait prédigéré, c’est-à-dire que le lactose est transformé en acide lactique, par de bonnes bactéries permet de recoloniser l’intestin de bonnes bactéries notamment après un traitement antibiotique. Les bonnes bactéries de l’intestin aident au transit intestinal en finissant notamment le travail de la digestion lorsque la fonction digestive est un peu débordée. Evidemment cela produit des gaz mais c’est mieux que de ne pas digérer car sinon c’est l’occlusion intestinale qui peut être mortelle. Le yaourt doit impérativement se conserver au froid et devrait être consommé idéalement le jour de sa fabrication. Pour cela il n’y a pas d’autres solutions que de le fabriquer soi même. Sinon, il faut bien sûr le conserver au réfrigérateur. Lorsqu’on le consomme alors, étant donné qu’il sort du réfrigérateur, il refroidit l’estomac. Sauf cas particulier où on a très chaud, il est donc bien pour cette raison entre autre de le consommer au début du repas. Le froid du début fait venir le sang dans l’estomac, il ouvre donc l’appétit. De plus il est inutile de digérer le yaourt dont le lait est déjà prédigéré par des bonnes bactéries. C’est un peu comme les fruits sucrés qui sont très rapides à se digérer, puisque le grand intérêt de la digestion est de casser les aliments en nutriments assimilables donc par exemple les glucides du genre sucres lents en sucres rapides. Les fruits sucrés, donc sucres rapides sont donc déjà presque assimilables et n’ont pas besoin d’être longtemps digérés. Le sucré est aussi une saveur qui ouvre l’appétit. Idéalement il faudrait donc consommer un mélange de yaourt, d’un fruit, et d’eau au début du repas, puis attendre un peu quelques minutes que les bonnes bactéries, l’eau et les vitamines descendent dans l’intestin puis commencer le repas proprement dit. Je n’invente d’ailleurs rien ici car je ne fais que vous dire ce que la médecine ayurvédique conseille et qui s’appelle le lassi. Le lassi pris même avec des glaçons lorsqu’il fait très chaud est alors l’apéritif idéal. Il ouvre l’appétit car il est froid. On évite le lassi l’hiver quand il fait froid. A la fin du repas on évite ce genre de boisson car le froid ne serait pas bon car il éteindrait le feu digestif donc nuirait à la digestion. On prend alors plutôt une infusion chaude épicée appelée tchaï. Une infusion concentrée car évitons de trop boire après le repas pour ne pas diluer les acides digestifs. Je sais que nombreux sont ceux qui prennent du café mais le tchaï, le maté ou sinon la chicorée sont bien préférables.
Les yaourts, s’ils sont de bons aliments sont donc à éviter en fin de repas pour les raisons qui viennent d’être expliquées et pour des raisons similaires il vaut aussi mieux les éviter au repas du soir. Ces laitages sont alors des trésors de bienfaits.

Parlons un peu du beurre aussi. Le beurre que des publicités essaient de nous faire remplacer par ces vulgaires margarines aux graisse hydrogénées avec leurs acides gras de mauvaises qualités qui ne peuvent pas aussi bien participer à la construction de notre organisme que le beurre pourrait le faire. Certes comme toutes les bonnes choses, il ne faut pas abuser du beurre et on peut même l’améliorer en le clarifiant pour obtenir le fameux beurre clarifié ou ghee que l’on connaît dans la cuisine ayurvédique. Dans le beurre se trouvent deux composants en gros, deux types de graisses. Les graisses plus fluides et d’autres moins fluides qui donc pourraient effectivement avoir une petite tendance à boucher les artères, et même devenir un peu toxique si on les cuit à haute température. L’intérêt du ghee est donc d’éliminer ces dernières afin que le ghee n’ait plus ces inconvénients. Pour ce faire on fait chauffer le beurre à feu très doux dans une casserole émaillée (et pas en métal afin de ne pas dissoudre les métaux de la casserole dedans comme cela ce fait avec les graisses), puis on écume progressivement la mousse qui apparaît à la surface avec une cuillère en bois. Il ne reste après plus d’une heure que du beurre jaune translucide que l’on récupère dans un récipient en verre en versant le contenu de la casserole, sauf la fin grumeleuse. Une plaque chauffante sur laquelle on pose pendant quelques heures un cylindre en verre contenant également deux centimètres d’eau est une bonne alternative. Ce vase de décantation évite tout travail ; la mousse blanchatre se colle on fond, et sur l’eau surnage le ghee doré que l’on versera avec précaution pour ne pas re-mélanger. On ferme hermétiquement le bocal contenant le ghee que l’on rangera à l’abris de la lumière. On veillera en prenant du ghee d’utiliser une cuillère bien sèche pour éviter tout moisissement ultérieur. Le ghee pourra être utilisé pour cuisiner, même pour les fritures éventuellement. Quant à la partie qui aura été récupérée, la mousse blanchâtre qui pourrait boucher les artères de ceux qui en mangeraient trop et se dégrader à la cuisson, elle sera la base idéale d’une crème pour la peau lorsque des huiles essentielles y seront rajoutées afin de lui éviter le pourrissement. Le ghee selon l’ayurvéda est la graisse idéale des pitta, (ceux qui n’ont jamais froid), mais c’est bien aussi pour les maigres väta, bien que la pâte de sésame et l’huile de sésame soient encore mieux parait-il pour eux. Pour les personnes plus rondes (kapha), les huiles plus acides comme l’huile d’Olive, sont toutefois plus adaptées que beurre, ghee et crème fraîche qui eux sont plus aptes à construire des tissus dont les maigres ont plus besoin.
Il ne faut pas oublier aussi que ce sont des animaux qui produisent le lait qui permet ensuite de produire les laitages. Aujourd’hui, en agriculture on donne souvent des antibiotiques dans l’alimentation des vaches pour leur éviter des maladies mais cette pratique les empoisonne elles aussi et leur durée de vie s’en trouve raccourcie. Les vaches sont mal nourries, leur ensilage fermente et elles consomment alors des aliments alcoolisés. Elles feraient mieux de consommer uniquement de l’herbe, fraîche ou sèche mais de l’herbe toute l’année. Mais bon on en élève tellement pour la viande, qu’il n’y a plus assez d’herbe alors on importe des céréales de l’étranger alors qu’à l’étranger on meurt de faim, en grande partie à cause de cela d’ailleurs… Et je ne parle même pas de la mauvaise idée qu’on avait avant de les nourrir avec des farines animales. On faisait alors manger de la viande à des herbivores. C’était une contradiction des lois de la nature tout comme le fait de conserver dans le vivant, des organes morts que sont les dents dévitalisées. Et dans les deux cas on aboutit à des drames de santé publique. Pour les farines animales données aux vaches, c’était l’histoire de la vache folle, des Prions et de la maladie de Creuzfeld Jacob. Pour les dents dévitalisées c’est le cancer et la plupart des maladies de civilisation. Prions là aussi, mais là c’est pour qu’on le comprenne rapidement. Mais bon, on ne veut pas le comprendre encore, d’autant plus qu’ici ce ne sont pas des fermiers qui sont incriminés mais des dignes représentant du corps médical que sont les dentistes, qui en plus ont un conseil de l’ordre sensé avoir une mission de protection de la santé publique….
Autre problème. Depuis longtemps les vaches sont sélectionnées pour produire une énorme quantité de lait, ce qui est une forme de maladie. En médecine chinoise on sait bien que tout excès cache un manque. Un excès de production de lait cache un manque de qualité de ce même lait. Tous ces facteurs font que le lait n’est plus de très bonne qualité, et moisit très facilement comme ce qui n’est pas de bonne qualité. Des moisissures peuvent alors se retrouver naturellement dans de tels laits. La longévité de telles vaches est anormalement courte. La première raison de tout cela est que trop de vaches servent à fournir la viande de boucherie et donc qu’il reste d’une certaine façon trop peu de vaches à lait. On essaie alors de leur faire produire un maximum de lait. On produit donc en quantité un lait de mauvaise qualité parfois plus laid que lait. Les filières de lait bio limitent en partie ce genre de problèmes mais on ferait bien de recycler toutes les vaches à viandes en vache à lait sainement élevées. Et lorsqu’il n’y aura plus d’essence, on se remettra peut-être aussi à recycler les bœufs en tracteur, comme au bon vieux temps…. Déjà que je dis qu’il faut arracher les dents dévitalisées et revenir au dentier, on va vraiment me prendre pour un rétrograde. Le problème c’est qu’avec la civilisation moderne, nous avons aussi perdu l’essentiel, c’est-à-dire la santé et qu’alors il serait intéressant de réfléchir à tout ce qu’il faudrait vite remettre en question dans notre civilisation avant d’aboutir à une civilisation de malades et d’handicapés.
Il faut savoir aussi que si dans l’absolu, manger des laitages n’est pas mauvais, certaines personnes fragiles et trop habituées à manger des chairs animales ou du poisson devront se mettre très progressivement aux laitages si elles veulent adopter ce style de végétarisme car même le changement (de terrain) pour de meilleures choses doit se faire progressivement. Il faut parfois passer par un stade de quelques temps sans viande, ni poisson ni laitage. Manger, et des laitages et des chairs animales, n’étant pas ce qu’il y a de mieux pour la santé, comme je l’explique un peu plus dans le texte « plaidoyer pour le végétarisme ».
Il faut savoir aussi qu’il existe selon la médecine chinoise plusieurs types de laits en fonction des saveurs. Le lait de vache est considéré de saveur sucrée, le lait de chèvre et de brebis sont considérés de saveur amère, et le lait de jument est considéré de saveur piquante. Malgré tout le bien que je pense des laitages, parfois l’arrêt des laitages fait du bien, il faut le reconnaître. En général, la saveur sucrée (celle du lait de vache) est en état de saturation chez beaucoup d’occidentaux pré diabétiques et alors effectivement, le lait de vache de saveur sucrée peut ne pas convenir, au moins un certain temps, le temps que la fonction estomac pancréas se restaure et qu’on élimine aussi les foyers infectieux chroniques que sont les dents dévitalisées ou les bouts d’os pourris qui restent en place même après l’extraction des dents dévitalisées (par les techniques de traitements des mémoires notamment). Toutes les infections comme les cellules cancéreuses aussi d’ailleurs sont en effet favorisées par le sucré. Alors, les fromages de chèvre ou brebis de saveur amère seront plus adaptés, c’est vrai.
Comme le lait de chèvre est normalement peu produit l’été, certains éleveurs mettent des éponges enduite d’hormone progestérone dans le vagin des animaux afin qu’il produise en permanence du lait. Ma foi, je ne sais pas si c’est la meilleure des idées de vouloir s’opposer aux cycles naturels. Aux Etats-Unis, les éleveurs sont autorisés à donner des hormones au bétail afin qu’il grossisse plus vite. Bizarrement, l’obésité est aussi un des grands problèmes des américains. Un médecin américain a aussi mis en évidence que la consommation de laitage trop chargé d’hormones provoquerait le cancer de la prostate et probablement du sein, des cancers hormonaux dépendants qui sont les cancers les plus fréquents avant même celui du colon qui est causé par les excès alimentaires empoisonnés très probablement. Vouloir aller contre la nature n’est à mon avis pas la meilleure des idées et on ferait mieux de s’abstenir d’utiliser des hormones pour les animaux, même pour qu’ils fabriquent plus de lait. L’Etat ferait bien d’interdire ce genre de pratique en France. C’est un peu comme la pilule contraceptive qu’on dit inoffensive et qui pourrait bien être aussi la première cause du cancer féminin le plus fréquent, le cancer du sein, ce que bien sûr nieront ceux qui l’ont conseillé pendant des décennies. Enfin, cancer du sein si en plus il y a une prémolaire du haut dévitalisée, mais ça c’est une autre histoire… En écrivant cela je repense que le plus grand progrès fait pour diminuer les cancers, notamment du sein, a été réalisé non pas en découvrant un nouveau médicament chimique mais en faisant arrêter un médicament chimique et plus précisément les traitements hormonaux substitutifs (THS) qui étaient donnés par nos médecins aux femmes ménopausées pour supprimer leurs bouffées de chaleurs, qui soit dit en passant ont un sens thérapeutiques comme toutes les réactions du corps, mais ce serait un peu trop hors sujet d’en parler ici. En tous cas cela me laisse pensif sur les milliards dépensés dans la recherche médicale chimique actuelle. S’il n’est pas très bon jouer aux apprentis sorciers avec nos enzymes comme je le développe plus dans le texte de ce site « la médecine des poisons », il me semble qu’il n’est pas non plus ce qu’il y a de mieux de jouer aux apprentis sorciers avec les hormones, et j’en déduis donc même avec la pilule contraceptive par conséquent.
Les laitages au lait pasteurisé ont quand même une valeur nutritionnelle intéressante même s’ils n’ont plus les précieuses levures ni toutes les bonnes bactéries originelles. Ils permettent l’apport de protéines issues des protéines du lait (les caséines ) et notamment de certains acides aminés que les protéines végétales que l’on trouve notamment dans les légumineuses (lentilles, haricots, pois chiche) peinent à nous apporter. Et même le soja ne peut suffire et en plus selon l’ayurvéda, le soja est un peu toxique pour l’humain c’est pourquoi les indiens n’en consomment pas, ils consomment des dahls ce qui est différent. Une étude scientifique vient d’ailleurs d’amener de l’eau au moulin des détracteurs de soja en montrant qu’il diminuait la fertilité en diminuant la quantité de spermatozoïdes. On retrouvera l’étude en bas du texte. Tout cela me fait dire que le régime strictement sans produits animaux dit aussi régime végétalien me semble discutable. Le régime végétarien, sans viande, poisson ou œufs possède une accréditation par la religion indienne et bouddhiste, ne l’oublions pas et a été expérimenté par des millions ou des milliards de personnes depuis des lustres. Des personnes qui s’en sont fort bien portées. Le régime végétalien est lui une invention très moderne je le rappelle à coté du végétarisme dont le bienfait sur la santé est donc un fait avéré. Et les faits sont plus précieux pour moi que toute théorie, c’est d’ailleurs pourquoi aux théoriciens détracteurs de la toxicité des dents dévitalisées, j’oppose des faits, notamment dans la centaine de témoignages vidéo du site www.sante-dents.com ou dans les témoignages de dentistes et médecins connus pour guérir ce que d’autres n’arrivent à guérir.
Mais je ne doute pas de la sincérité de ces personnes tout en n’oubliant pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions. C’est ainsi que certains veulent empoisonner l’eau avec du fluor pour protéger les dents des caries, que d’autres veulent nous vacciner de tout pour nous éviter des maladies, fabriquant des morts subites des nourrissons, et des autistes entre autre, et en nous dévitalisant en tout cas par la même occasion tout comme le font leurs médicaments chimiques qui inhibent nos enzymes vitales. D’autres empoisonnent le ciel de leurs avions pour soi disant reconstituer la couche d’ozone (les chemtrails), d’autres déversent un produit chimique toxique sur les forêts pour prévenir les incendies. Pour améliorer la communication, certains n’hésitent pas à polluer l’espace d’ondes électromagnétiques. On pollue déjà l’eau qui permet de nous nettoyer, la terre qui nous nourrit, l’air qui nous oxygène, et maintenant voilà qu’on pollue l’espace avec des ondes. Nos têtes vont finir par bouillir avec ces ondes, surtout celles de nos enfants plus fragiles. Pour construire plus de logements dans les villes, on détruit allègrement la végétation, éloignant encore plus les citadins de la nature. Cette nature qui pourrait nous apporter tout ce dont nous avons besoin et notamment la santé. Cette nature que l’on pollue aussi avec tous nos emballages qui fabriquent des déchets à ne plus savoir qu’en faire Certains veulent faire mieux que la nature avec leurs OGM, d’autres, éviter de polluer l’air avec leur énergie nucléaire, alors que le Soleil nous envoie gratuitement ces rayons. Mais le pire de tout, nous protéger d’éventuels ennemis en développant des armes nucléaires, le comble du comble de la démarche démoniaque (visant à détruire la vie). Autant de fausses bonnes idées. Mais derrière toutes ces fausses bonnes idées, il existe toujours des groupes qui ont un intérêt financier à ce que cela soit, même si la collectivité pâtira de ces mauvais choix à long terme. Et pourtant les bons choix seraient si simples à faire, si on le décidait en pensant à la collectivité et non pas à nos intérêts individuels ou corporatistes. Réfléchir en pensant avant tout à préserver la vie, devrait alors être la première des priorités et la spiritualité, la première des bases de réflexion pour y arriver. Bien sûr c’est difficile à faire comme choix tant qu’on ne comprend pas que l’intérêt des autres est intimement lié à notre propre intérêt. Mais tout cela, ce sont des sujets que d’autres ont traité bien mieux que je ne pourrais le faire. Des sujets qui ne sont toutefois pas sans lien avec la dévitalisation dentaire qui elle aussi a été inventée pour soi disant sauver quelque chose, des dents en l’occurrence et qui aujourd’hui crée bien plus de problème qu’elle était censée en résoudre. C’est bien la pire des fausses bonnes idées que notre chirurgie dentaire, voire notre médecine moderne n’ait jamais eu. Une idée qui pourrait bien plus que beaucoup d’autres mauvaises idées être aujourd’hui la principale cause des malades en grande quantité dont notre société ne saura bientôt plus que faire. Tout cela parce qu’on ne peut sauver quoique ce soit, ou améliorer quoique ce soit durablement sans provoquer des conséquences pires pour la vie et donc la santé que ce qu’on prétend sauver, si on oublie de respecter certaines lois de la vie et de la spiritualité. Et qui y a-t-il de plus précieux que votre santé mes amis, je vous le demande. Rien bien sûr, alors avant de faire quoique ce soit qui en apparence soit un progrès, nous devrions bien nous poser très sérieusement la question de savoir si notre santé en pâtira ou pas. Aucun vrai progrès ne pourra se faire en se mettant en contradiction avec la vie et ses lois. Mais pour pouvoir envisager cela, encore faut-il savoir qu’il existe des lois à la vie et que celle-ci n’est pas régi juste par le hasard comme les athées voudraient trop souvent nous le faire croire. Et donc qu’on ne peut jouer aux apprentis sorciers en enlevant par exemple le nerf des dents pour en supprimer la douleur.
Mais revenons à nos moutons avec la conclusion humoristique de ce plaidoyer pour les laitages. La conclusion sera de façon très concise : Pour la santé, choisissez les laitages avec le cri du toréador croyant écolo c’est-à-dire : « Olé cru bio ».
Fin

Etude sur la toxicité du soja :
http://www.destinationsante.com/fr_depeche.php?id_rubrique=390&id_article=25532&cat=1

Des chercheurs américains auraient mis en évidence une relation directe de cause à effet entre la consommation importante de soja dans l’alimentation, et la diminution « significative » de la concentration des spermatozoïdes dans le sperme. Naturellement, il y en a que la nouvelle ennuie…
Les responsables ne seraient autres que les isoflavones, les principaux flavonoïdes du soja. Ils sont réputés certes pour leurs effets cardio-vasculaires favorables, pour leur rôle dans le maintien du capital osseux, voire pour leurs propriétés anti-cancéreuses, même si elles sont encore imparfaitement – et très incomplètement - prouvées… Mais dans le domaine de la reproduction, ils cachaient bien leur jeu !
Jusqu’au jour où le Dr Jorge Chavarro et son équipe, de la Harvard School of Public Health de Boston, se sont penchés sur les habitudes alimentaires de 99 hommes qui souffraient de troubles de la fertilité. Suivis pendant 6 ans, la majorité d’entre eux raffolait de soja.
« Nous avons ainsi pu établir un lien direct entre sa consommation et la baisse de la fertilité » précisent les auteurs. Un lien direct facilement décelable, puisque pour les plus grands mangeurs de soja « la concentration des spermatozoïdes dans le sperme (41 millions par millilitre) s’est révélée au moins deux fois moins élevée que la normale, qui oscille entre 80 et 120 millions par millilitre » !
L’explication ? Les isoflavones sont en fait des phytoestrogènes, autrement dit des hormones féminines naturelles, d’origine végétale. Or « en augmentant l’activité oestrogénique dans l’organisme, ces derniers pourraient diminuer la concentration du sperme en spermatozoïdes » conclut l’auteur. Et donc sa fertilité, même si l’hypothèse doit encore être confirmée.

Source : Human Reproduction, 24 juillet 2008

espoir pour le cancer

April 22, 2008 on 10:50 am | In Non classé | Comments Off

Espoir pour le cancer en enlevant les dents dévitalisées.

En Allemagne, des milliers de naturothérapeutes aussi appelés Heilpraktiker ont un diplôme officiellement reconnu par l´Etat allemand pour exercer leur art qui consiste à redonner la santé par des méthodes naturelles et surtout à prévenir l’apparition des maladies. Ils informent aussi des dangers des médications de la médecine officielle et de leurs terribles effets secondaires. Ils sont regroupés en association alors qu’en France, la naturothérapie n’a pas encore de statut officiel et les naturothérapeutes sont souvent attaqués pour exercice illégal de la médecine surtout s’ils remettent en cause les pratiques officielles. Les allemands ont aussi environ deux fois moins de cancers que les français, comme par hasard. Il m’a donc semblé plus qu’intéressant de vous traduire ce qu’ils écrivent sur leur site internet à l’adresse suivante : http://www.hoffnung-bei-krebs.com/Tumor_Patient.html
sur le chapitre Espoir pour le cancer.
Il faut savoir qu’en allemand, dent dévitalisée et dent morte sont des synonymes car la dent dévitalisée est une dent dont le dentiste a enlevé le nerf et les vaisseaux sanguins. En général, elles sont couronnées, mais pas toujours. On peut estimer aujourd’hui que huit français sur dix possèdent des dents dévitalisées et que les français possèdent environ trois fois plus de dents dévitalisées que les allemands. Voici maintenant la traduction complète de la page « Dents mortes et métaux lourds dans le cancer”.

Il y a plus de problèmes de santé que l’on croit qui viennent des dents mortes.
Encore aujourd’hui, on ne prend pas suffisamment en compte en médecine globale le fait qu’il faille s’occuper des dents. Les dentistes eux-mêmes pensent qu’on peut laisser les dents mortes dans la bouche. Mais en réalité, diverses maladies infectieuses tout comme certains cancers proviennent de la sphère buccale.

Les dents dévitalisées ou dents mortes sont souvent des terrains infectieux chroniques. Elles apportent continuellement des bactéries, des déchets et des poisons dans le sang. Tout cela peut apporter des infections dans d’autres parties du corps. Il peut alors se former des abcès et des kystes. Les bactéries elles mêmes peuvent déclencher un empoisonnement du sang. Un terrain infectieux détériore toujours à terme le système immunitaire.

Les poisons et les bactéries provenant des dents mortes ont une particulièrement forte influence sur un corps déjà faible. Les patients avec des maladies chroniques ou ayant un cancer sont particulièrement concernés. C’est pour cela que chaque patient ayant le cancer devrait aller régulièrement faire contrôler ses dents. Les dents mortes devraient être arrachées chez un tel patient sans discussion possible, même si le dentiste vous assure que la dent n’a aucun rapport avec l’organisme. Une dent morte est à peu près habitée par 150 familles différentes de bactéries. Elles peuvent déclencher diverses infections. Même les implants participent à de telles causes infectieuses qui sont potentiellement dangereuses pour l’organisme, et ils devraient être très surveillés chez les patients cancéreux et allergiques.

Un terrain infectieux chronique est considéré à juste raison, en médecine comme un terrain anormal ayant un dysfonctionnement du système nerveux. Depuis plus de cinquante ans, il est connu qu’un tissu mort affecte le corps et que chaque cicatrice aussi.

Les tissus sensibles réagissent particulièrement fortement, ils se transforment. Ils se modifient rapidement et cela peut déclencher un cancer. Chaque tissu garde toujours un contact avec le sang et la lymphe et par cela avec l’organisme entier. La zone infectieuse est alors naturellement incitée à s’étendre dans tout le corps. Il est temps alors de penser différemment et d’enlever le plus rapidement possible, les zones potentiellement infectieuses comme les dents mortes. Fin.

je mets aussi le texte originel en allemand au cas où il disparaitrait
Hoffnung bei Krebs

Tote Zähne und Schwermetalle bei Krebs
Mehr Beschwerden als vermutet lassen sich letztendlich auf einen erkrankten oder abgestorbenen Zahn zurückführen.
Doch immer noch wird die Zahnbehandlung nicht in die ganzheitliche medizinische Betrachtung mit einbezogen. Die Zahnärzte selbst sind meist der Auffassung, dass tote Zähne im Mund belassen werden können. In der Realität hingegen sind die unterschiedlichsten Krankheiten auf Entzündungsherde im Mundraum zurückzuführen. So auch bestimmte Krebserkrankungen.
Wurzelbehandelte oder tote Zähne sind oft chronische Entzündungsherde. Sie bringen Bakterien, Abbauprodukte und Gifte kontinuierlich in die Blutbahn. Diese wiederum können an anderen Körperstellen Entzündungen hervorrufen. Es können sich Knoten und Abszesse bilden. Die Bakterien können selbst eine Blutvergiftung auslösen. Ein Entzündungsherd führt daher langfristig immer zu einer gestörten Immunabwehr.
Besonders starke Auswirkungen haben Giftstoffe und Bakterien, ausgelöst durch einen wurzeltoten Zahn, bei schon geschwächten Körpern. Patienten mit chronischen Krankheiten oder Krebspatienten zum Beispiel sind besonders anfällig. Deshalb gilt: Jeder Krebspatient sollte unbedingt regelmäßig zahnärztlich untersucht werden. Tote Zähne müssen bei ihm umgehend entfernt werden, auch wenn der Zahnarzt versichert, der Zahn liege abgekapselt und habe keine Auswirkungen auf den Organismus. Ein toter Zahn wird im Durchschnitt von mehr als 150 verschiedenen Bakterien besiedelt. Sie können verschiedenste Infektionen auslösen. Selbst Implantate gehören zu den kritischen potenziellen Entzündungsherden im Körper, die bei Allergikern und Krebspatienten besonders intensiv beobachtet werden sollten.
Ein chronischer Entzündungsherd wird in der Medizin zu Recht als abnormer Ort mit gestörter Nervenfunktion bezeichnet. Seit mehr als 50 Jahren ist bekannt, dass totes Gewebe den Körper beeinträchtigt. Jede Narbe gehört dazu.
Empfindliche Gewebe reagieren besonders stark: sie verändern sich. Sie entarten schneller und können damit auch Krebs auslösen. Jedes Gewebe hat immer auch Kontakt zu Blutgefäßen und Lymphe und somit zu gesamten Organismus. Der Entzündungsherd ist also prädestiniert dazu, sich auf den ganzen Körper auszudehnen. Zeit also, umzudenken, und potenzielle Entzündungsherde wie tote Zähne schnellstmöglich zu entfernen.

les sites allemands

April 20, 2008 on 7:01 pm | In Non classé | Comments Off

Contrairement à la France, où le sujet est quasiment ignoré, voire ridiculisé, de nombreux sites allemands dont certains de personnes reconnues dans le monde médical prônent l´extraction systématique des dents dévitalisées en expliquant qu´elles constituent une cause importante des maladies actuelles. Cette idée est très connue là bas, elle y fait polémique car bien sûr il n’y a pas unanimité mais au moins on n’interdit pas les dentistes qui pensent cela. Des dentistes s’affichent effectivement dans cet esprit même sur le web comme vous allez pouvoir le constater. Mais en France, le Conseil de l’Ordre m’a interdit d’exercer pour avoir proposé d’enlever leurs dents dévitalisées à mes patients malades. Bizarrement les français ont aussi a peu près deux fois plus de cancers que les allemands. Y aurait-il un lien ? Evidemment que oui pour moi et pour nombre de spécialistes qui se sont penchés sur le sujet. Un confrère franco allemand qui a exercé longtemps en Allemagne m’a témoigné (en vidéo d’ailleurs aussi) que les français avaient environ trois fois plus de dents dévitalisées que les allemands et qu’en Allemagne, si un dentiste dévitalisait systématiquement les dents avant de faire des bridges, il serait vite convoqué par son conseil de l’Ordre pour devoir fournir des explications. En France c’est un peu exactement le contraire. Vous êtes convoqués par le Conseil de l’Ordre si vous proposez d’enlever leurs dents dévitalisées. Et que vous leur redonniez ainsi la santé ou non, ça ne les intéresse pas.
Quoiqu’il en soit cher lecteur francophone, il est important que vous sachiez que si ce sujet est encore à l’état embryonnaire en France, il est très connu en Allemagne, où de multiples thérapeutes et dentistes prônent l’élimination des dents dévitalisées pour retrouver la santé.

En allemand, on parle de Wurzelkanal-Behandlungen ce qui signifie littéralement: traitement de canal radiculaire ou Zahnwurzel-Behandlungen ce qui signifie littéralement traitement de racine dentaire ou encore tote zähne ce qui signifie littéralement dent morte. Tout cela est la même chose et se rapporte aux dents dévitalisées. Voici quelques uns de ces sites.

- http://www.hoffnung-bei-krebs.com/Tumor_Patient.html
site de l´association des naturopathes allemands. En Allemagne, des milliers de naturopathes aussi appelés Heilpraktikers ont un diplôme officiellement reconnu par l´Etat allemand, les protégeant ainsi de l’exercice illégal de la médecine lorsqu’ils exercent leur art qui consiste à redonner la santé par des méthodes naturelles. Ils ont donc une certaine reconnaissance officielle pour la santé même s’íls ne peuvent prescrire de médicaments chimiques.
Voici ce qui est écrit au début de la page : Hoffnung bei krebs (espoir pour le cancer)
Jeder Krebspatient sollte unbedingt regelmäßig zahnärztlich untersucht werden. Tote Zähne müssen bei ihm umgehend entfernt werden, auch wenn der Zahnarzt versichert, der Zahn liege abgekapselt und habe keine Auswirkungen auf den Organismus.
Traduction : Chaque patient cancéreux devrait absolument aller voir régulièrement le dentiste. Les dents mortes doivent être enlevées sans discussion chez un tel patient, même si le dentiste lui assure que la dent ne peut avoir aucun effet sur son organisme.

- http://www.bio-net.de/Zahnmedizin/avital.htm -site du dr volkmer chirurgien dentiste en Allemagne, auteur d´ouvrages sur la dentisterie holisitique.
Son dernier ouvrage: Herd, Focus, Störfeld - Beiträge zu einem brennenden Thema Traduction : Terrain, foyer, et champs perturbateurs. Commentaires sur un sujet brûlant.
Voici ce qu,il dit sur son site: Je mehr tote (avitale, wurzelgefüllte) Zähne man im Mund hat, desto gravierender ist die Blockade körpereigener Energie
Traduction : Plus on a de dents dévitalisées dans la bouche, plus les blocages d´énergie dans le corps seront graves.

- http://www.medizinauskunft.de/artikel/diagnose/krankheiten/09_07_tote_zaehne.php

site médical allemand sur la santé général visant a informer des nouveautés médicales. Voici ce qui y est écrit :

Bei schwer und chronisch Kranken dagegen müsse nach Meinung der Autoren zwingend jeder tote Zahn entfernt werden.
Traduction : Dans les maladies graves et chroniques, selon les auteurs (NDLR: Ulrich Volz und Hauke Heinzel du livre “Zähne gut - alles gut” “bonnes dents, tout ira bien”), toutes les dents dévitalisées devraient obligatoirement être enlevées.

- http://www.zahnaerzte-bruederstr.de/content/mainframe/wurzelfuellungen/wurzelfuellungen.htm
site réalisé par cinq dentistes allemands qui écrivent:
Mit jedem zusätzlichen toten Zahn im Mund steigt die Wahrscheinlichkeit einer Einschränkung der Regulationsfähigkeit. Chronischen Erkrankungen wird hier der Boden bereitet.Im Zweifel lieber extrahieren.
Traduction :Avec chaque dent dévitalisées de plus, on augmente les chances de préparer le terrain pour des maladies chroniques. En cas de doute, préférer les extraire.

- http://earthsave.de/zgesundheit/zahngesundheit/5036479353119a501/index.html
site sur l´écologie et la spiritualité qui écrit :
Da die Zähne Reflexzonen für andere Organe sind, wie z.B. Fussreflexzonen, können durch den toten Zahn andere Organe belastet werden

Traduction : Du fait que les dents sont des zones réflexogènes pour les organes, comme par exemple la réflexologie plantaire, les dents mortes (dévitalisées), peuvent affecter d´autres organes.

- http://www.totezaehne.de/index.htm
site realisé par le dr Lechner dentiste a Münich. Qui écrit :
• Wurzelkanal-Behandlungen können Ursache vielfältiger System- und Organ-Erkrankungen sein. Traduction : les dents dévitalisées peuvent être la cause de maladies des organes et du système.
• Das Röntgenbild reicht zur Beurteilung dieser Systemwirkungen nicht aus. Traduction : la radiographie ne permet pas de mettre en évidence la problématique.
• Bakterien können in endodontisch behandelten Zähnen überleben. Traduction : les bactéries peuvent survivrent dans les dents dévitalisées.
• Von wurzelgefüllten Zähnen können Giftwirkungen ausgehen. Traduction : des poisons peuvent être produits par les dents dévitalisées.

- http://www.praxis-dr-koch.de/mundraum_tote_zaehne.html
Ce site est réalisé par le cabinet dentaire du dr :W.H.Koch & colaborateur. Il y est écrit :

Verbleibt der tote Zahn längere Zeit unbehandelt im Mund können sich Bakterien über den Blutkreislauf im Organismus verbreiten. Der Infektionsherd im Zahnbereich schädigt somit nicht nur das umliegende Gewebe, sondern kann den gesamten Körper belasten. Der Zahn selbst bleibt dabei symptomlos, das heißt er schmerzt nicht, da auch der Zahnnerv abgestorben ist. Die dauerhafte Auseinandersetzung des Körpers mit der chronischen Belastung führt aber zu zahlreichen Beschwerden an anderen Stellen des Körpers.
Traduction : Si la dent dévitalisée reste un certain temps en bouche, des bactéries peuvent se disséminer dans l´organisme par le sang. L´état infectieux de la loge dentaire ne pose pas de problème uniquement dans l´environnement de la dent mais aussi dans tout le corps. La dent elle même reste sans symptômes ce qui veut dire qu’elle ne fait pas mal puisque le nerf de la dent est mort. La persistance de ce conflit du corps avec ce problème chronique conduit l´organisme à avoir de nombreux maux dans d´autres parties du corps.

- http://www.medizinkritik.de/kri_zahn/sld01.htm
article paru le 14/9/2000 dans un journal de santé des Pfälzer Tageblattes/Die Rheinpfalz
Cet article titre:
Tote Zähne können zu Terroristen des Körpers werden
Traduction : Les dents mortes peuvent devenir les terroristes du corps.
Il y est écrit ensuite:
Eine Art Glaubenskrieg wird unter Zahnärzten ausgefochten. Die einen sind gegen Wurzelbehandlung und für die rigorose und kompromisslose Entfernung entzündeter und toter Zähne.
Traduction : Il existe une sorte de guerre de croyance entre les dentistes. Certains sont contre la dévitalisation des dents et pour l´extraction systématique et sans compromis des dents mortes et infectées

- http://www.hygeia.de/DesktopDefault.aspx?TabID=3543
site de Thomas Klein: auteur du livre:
Energieverlust und Krankheit durch Zahnherde
Traduction : Perte d´énergie et maladie a cause des affections dentaires.
Il écrit:
Auch heute noch werden tote Zähne als Krankheitsursache oftmals nicht erkannt. Das gilt auch für wurzelbehandelte Zähne mit verborgenen Bakterienherden. Schlimmstenfalls können solche Zahnherde zum Tode führen.
Damit solche Todesfälle wie auch chronische Krankheiten vermieden werden, müssen die Gefahren von Zahnherden erkannt werden. Dieses Wissen sollte zum Grundwissen jedes Arztes und Heilpraktikers gehören, wie auch jedes Menschen überhaupt.
Traduction : Encore aujourd´hui, on ne reconnaît pas que les causes de maladies sont dues aux dents mortes (NDLR ici il parle des dents qui se sont nécrosées toutes seules) C’est aussi valables avec les dents dévitalisées (NDLR des dents mortes aussi, mais avec l’action du dentiste en quelque sorte) avec des infections cachées. Au pire des cas, ces infections dentaires peuvent provoquer la mort.
Pour éviter ces morts et ces maladies chroniques, les dangers des infections dentaires doivent être reconnues. Cette connaissance devrait être la base du savoir de chaque médecin et naturopathe, comme de chaque être humain de toute façon.)

- http://www.dr-guggenbichler.de/
site du dr Norbert Guggenbichler chirurgien dentiste allemand.
Ich verweise auf Guldeners Feststellung, dass an jedem toten Zahn Entzündungsgewebe gefunden werden kann. (1) Diese chronisch entzündlichen abgekapselten Bereiche haben Fernwirkungen: “Eine relativ unbedeutende , für den gesamten Körper nicht existentiell bedrohliche Entzündung [hat] relativ große bis gigantische Auswirkungen … bis hin zur Mitauslösung einer Krebserkrankung” (2) schreibt z. B. der Allgemeinmediziner Dr. Reimar Banis.

Traduction : Je précise selon les observations de Guldeners (Der Schweizer Wurzelkanalspezialist Professor P.H.A. Guldener donc le professeur suisse d´endodontie, la spécialité de la dévitalisation dentaire), qu´on peut trouver dans chaque dent morte du tissu infectieux. Ces foyers chroniques infectieux ont une incidence à distance: “Une infection invisible qui peut avoir des retentissements gigantesque pouvant aller jusqu´à déclencher un cancer” écrit le médecin généraliste le Dr. Reimar Banis.

- http://www.heilpraktikermuenchen.de/inhalt/hemm/news/20060917114539.html
site d´une naturopathe allemande qui écrit:
Was jedoch viele nicht beachten, sind die negativen Folgen toter Zähne (also wurzelbehandelter Zähne) und Störfeldern im Zahn- und Kiefernbereich. Jeder tote Zahn kann giftige Substanzen absondern, jede Wurzelbehandlung kann ein kleines Granulom zurückgelassen haben …
Traduction : Ce que beaucoup ignorent, ce sont les effets négatifs des dents mortes (aussi appelés dents dévitalisées) et les problèmes de champ perturbateur dans les dents et les mâchoires. Chaque dent morte peut libérer des substances empoisonnées, chaque dent dévitalisée peut générer un petit granulome …

- http://www.ganpro-ms.de/zahnsanierung1.html
site du Dr. chirurgien dentiste. Helge Rolf Runte

Gerade weil MS(multipler Sklerose) u.a. als Autoimmunerkrankung zu verstehen ist, ist das der Grund, warum Birgitta Brunes, MD im Rahmen ihrer therapeutischen Empfehlungen für MS Patienten dringend die gründliche (operative) Entfernung von Toten Zähnen empfiehlt. Schon in den 60er Jahren wurden eindeutige Beobachtungen in der Neurologie der Uni Würzburg gemacht, dass die Krankheitsverläufe von MS Patienten durch Entfernung von toten Zähnen positiv beeinflusst werden konnten.
Traduction : Etant donné que la SP (sclérose en plaque) est une maladie auto immune, le Dr Brunes (médecin suédois), conseille dans un cadre thérapeutique, d´enlever toutes les dents mortes.
Déjà dans les années 60, on a observé a l´université neurologique de Würzburg, que l´évolution des malades de la sclérose en plaque, a été positivement influencée, par l´élimination des dents mortes.

- http://www.toxcenter.de/artikel/Tote-Zaehne-vergiften-das-Blut.php
site du dr.Max Daunderer auteur d´une encyclopédie de toxicologie et reconnue comme spécialiste mondial en la matiére.
Tote Zähne gehören so schnell wie möglich aus dem Mund!!!!
Traduction : Les dents mortes doivent être enlevées le plus rapidement possible de votre bouche.

- http://www.umweltmedizin.de/content/articles/511/539/410/index.html?catid=410&artid=7350&topid=539&nosum=1&sID=8b90e37b6e024aaa9773b4f643fa436c
site d´information médicale
Die einzige Behandlung toten Gewebes im Körper besteht darin, es zu entfernen. Daher ist die Behandlung der Wahl, eher bei einem chronisch Kranken einen toten Zahn zu ziehen, als die Wurzel zu füllen.
Traduction : La seule méthode pour retirer le tissu mort du corps est de l´enlever. C´est pourquoi le choix à faire dans une maladie chronique est plutôt d´enlever la dent morte que de traiter la racine.

Voilà donc un peu, car cette liste n’est nullement exhaustive, ce qu’on peut trouver sur le web en allemand au sujet des dents dévitalisées.

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